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5/5. Bonne BD, avec des retournements de situation et un scénario original. Mention spéciale à la dernière case haha
Le meilleur des quatre premiers tomes. Les retournements de situation s'enchaînent, et ça fait plaisir !
Je ne l'avais pas relue depuis 10 ans.
Ce n'est qu'au milieu des pages que je me suis souvenu de l'existence de ce monstre tentaculaire, niché dans les abysses de la montagne.
Un excellent scénario de science-fiction, mêlant voyage temporel et réalisme fictif. Comme d'habitude, des touches d'humanité et d'humour sont laissées çà et là par Roger Leloup dans quelques cases.
On note au passage une touche supplémentaire, celle de la beauté des décors - illustrés par les paysages bien documentés de l'Indonésie. Ainsi que par une case où Tokyo admire un papillon : fait rare dans cet album, puisqu'il s'agit de la seule case sans dialogue de la BD.
Je crois que Yoko Tsuno est en train de devenir ma série BD préférée.
Petit, c'était les Schtroumpfs. Mais à présent, le temps passe et ma préférence va vers ce type d'album.
Non loin qu'il s'agit de mon album préféré. Mais l'essence de la saga y est.
Dans cet album, on se retrouve face aux ingrédients d'une bonne BD de Roger Leloup. Science-fiction à la limite du réel, humour, dessins de qualité et philosophie positive.
Et pour une fois, ce n'est pas avec les Vinéens.
Le scénario tient la route, l'originalité est présente et on en apprend plus sur l'histoire de Yoko. La chute finale est certes triste mais elle provoque un sourire. Un sourire attristé, certes, mais un sourire de compassion également.
C'est dingue de se dire que les dessins autant que le scénario sont créés par le même auteur.
Un bon album mêlant authenticité et fiction à travers un dédalle d'aventures parsemées d'action et de retournements de situation.
On apprécie l'introduction de la bande-dessinée, qui plonge le lecteur in medias res dans une action dont il ne découvrira l'explication qu'une dizaine de pages plus loin.
Et cette action s'enchaîne avec d'autres actions.
On n'a pas le droit de respirer : à peine arrive-t-il quelque chose aux héros qu'une page plus loin, une autre action vient prendre la suite de l'aventure.
Et cela continue de page en page.
Courses-poursuite, trahison, arrivée de renforts, stupéfaction et retournements de situation : tous les ingrédients sont réunis pour transporter le lecteur dans un monde qui fusionne univers mésopotamien, perse et parthe dans l'Antiquité orientale.
On notera la qualité des décors, qui pourraient faire penser à une restitution de véritables lieux et villes ayant existé - alors qu'il n'en est rien. L'inspiration de l'auteur vient effectivement de diverses architectures ayant survécu avec le temps, mais qui n'ont jamais été présentes dans la cité imaginaire de Zür-Bakal - qui sert ici de ville centrale à l'intrigue.
Pourtant, la ville séduit de par ses décors et son scénario : un peuple désireux de retrouver son prince perdu, chassé par les autorités mises en place.
On regrettera peut-être la passivité d'Enak, dont l'utilité se résume à retarder l'aventure du trio qu'il forme avec le prince Oribal et Alix lui-même. À plus de deux reprises, il commet des erreurs qui le font passer pour une victime et non un homme d'action. Quel est le point fort de ce personnage, si ce n'est d'être un point faible tout au long de la bande-dessinée ?
Et comment expliquer la nomination d'Arbacès au poste de Grand Vizir, lui qui reste un étranger de par ses origines grecques ? Une explication aurait pu être appréciée - sachant que tous les autres événements qui surviennent dans l'album sont correctement justifiés.
Ces deux points noirs mis de côté, l'album reste néanmoins une aventure plaisante à lire : et qui dure longtemps de par les actions qui s'y déroulent ainsi que la quantité des dialogues, abondants du début à la fin.
Une bonne (re)lecture.
8,5/10
Très bonne série de science-fiction, documentée et assez sourcée pour faire croire à une possible réalité.
Bien sûr, elle s'enracine dans un contexte particulier : celui de la guerre froide. On retrouve ainsi un clivage Occident / "Empire jaune" très présent, qu'il nous est difficile de concevoir en 2022, tant le libre-échange et le mondialisme d'aujourd'hui diffèrent du 20ème siècle.
Pour autant, elle se lit avec passion et intérêt.
Moi-même, j'avais lu pour la première fois cette série quand je n'étais encore qu'un enfant - sans être sûr de trop comprendre ce dont il était question. Aujourd'hui je l'ai relue avec des yeux d'adulte, et un intérêt naturellement plus poussé.
J'ai particulièrement apprécié le soin apporté aux paysages, aux revirements de situation (présents à chaque fin de page) et aux recherches géographiques et scientifiques données par Edgar P. Jacobs. au travers de ses personnages.
On sent un travail de documentation qui bien que fictif reste fort appréciable, tant il se confond par moments avec la réalité.
Très bonne série de science-fiction, documentée et assez sourcée pour faire croire à une possible réalité.
Bien sûr, elle s'enracine dans un contexte particulier : celui de la guerre froide. On retrouve ainsi un clivage Occident / "Empire jaune" très présent, qu'il nous est difficile de concevoir en 2022, tant le libre-échange et le mondialisme d'aujourd'hui diffèrent du 20ème siècle.
Pour autant, elle se lit avec passion et intérêt.
Moi-même, j'avais lu pour la première fois cette série quand je n'étais encore qu'un enfant - sans être sûr de trop comprendre ce dont il était question. Aujourd'hui je l'ai relue avec des yeux d'adulte, et un intérêt naturellement plus poussé.
J'ai particulièrement apprécié le soin apporté aux paysages, aux revirements de situation (présents à chaque fin de page) et aux recherches géographiques et scientifiques données par Edgar P. Jacobs. au travers de ses personnages.
On sent un travail de documentation qui bien que fictif reste fort appréciable, tant il se confond par moments avec la réalité.
Très bon album, j'ai été surpris.
D'autant plus surpris qu'à lire les autres commentaires, il semblerait que ce ne soit pas un bon album. Personnellement je l'ai trouvé bon.
Bon dans son histoire. On a quelque chose d'original et d'éducatif. Original car on aborde un thème peu courant : la descendance de Vercingétorix. Éducatif car cet album apporte une jolie morale sur le bonheur des enfants (et quand je dis "enfants" ce n'est pas juste Adrénaline, la fille de Vercingétorix, mais bien chaque enfant du village. Ils ont tous des rôles qui évoluent au sein de cette BD et c'est également chouette et original, pour une fois, de voir d'autres protagonistes être mis sur le devant de la scène).
D'ailleurs on a également une petite mise en avant du personnage d'Agecanonix avec un flashback sur la bataille de Gergovie et c'est plaisant.
Plaisant également de constater la différence de mentalité qui oppose les nostalgiques arvernes aux partisans de la modernité. C'est un thème qu'on retrouve constamment, quelle que soit l'époque et la génération. Certains font le choix d'aller en avant alors que d'autres restent ancrés dans le passé. Mais au fond, le plus important n'est-il pas le bonheur de ceux qu'on aime ? (comme le résume la morale de fin)
Il convient également de souligner les efforts qui ont été réalisés dans l'écriture de l'album. Références à la culture populaire, jeux de mots et humour sont toujours aussi présents. Le centurion qui veut profiter de son départ à la retraite ou l'envie d'Adrénaline de s'habiller en gotique, par exemple (en soi, ce choix de prénom est déjà indicateur de la touche humoristique apportée à l'écriture). On notera également la caricature de Wolfgang Amadeus Mozart (représenté à travers un jeune passionné de tambours) et la référence à Voldemort avec le nom de Vercingétorix (celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom).
Les gags s'enchaînent et c'est l'un des rares albums où j'ai autant ri. Peut-être que le fait d'avoir grandi m'a aidé à y comprendre deux trois références supplémentaires - davantage encore qu'à l'époque où je lisais Astérix plus petit.
Mais on ne se lasse pas de rire, vraiment. Chaque nouvelle page apporte son lot d'humour.
C'est aussi l'un des rares albums où tout est exploité dans son ensemble. Le passé autant que l'avenir. Le rancunier autant que le rêveur. La personnalité des uns à l'histoire des autres.
On découvre de nouveaux personnages : entre, Adictosérix, le jaloux de Vercingétorix, Letitbix, un pacifiste convaincu, Blinix, le fils du poissonnier ou encore Selfix, le fils du forgeron, on enrichit davantage l'histoire de ce village d'irréductibles gaulois - qui pour une fois, ne se limite pas uniquement à Astérix, Obélix + un nouveau personnage gentil + un nouveau méchant comme ce qu'on avait pu voir pour pas d'albums auparavant. Chaque nouveau personnage introduit dans cet album est bien pensé et trouve naturellement sa place. On n'a pas l'impression que chacune et chacun a été rajouté à tel endroit juste pour faire joli : la philosophie de chaque personnage a été correctement pensée pour faire écho avec celle des autres.
En termes d'écriture, là encore j'estime que le travail a été réussi. Entre le lexique marin (les jeux de mots sur la notion de poste ou d'abordage), les références à l'histoire (la France libre, l'île de Thulé), les références à la culture populaire (la Bohème de Charles Aznavour, le BAC)... cet album est définitivement riche et complet.
Idéfix sera peut-être le seul personnage à avoir moins été mis en avant que les autres mais ça n'a rien de déplaisant.
Cet album aura l'avantage de concilier schéma traditionnel et non traditionnel : on reprend les basiques (la potion magique et les traditionnels caméos des personnages classiques de l'univers d'Astérix par exemple (Jules César, les postes romains autour du village, les pirates) et on y ajoute de nouveaux ingrédients, avec un lieu d'action qui pour une fois ne se déroule pas en dehors de la Gaule mais juste à côté du village gaulois, entre terre et mer. Un choix qui rappelle les aventures de la Galère d'Obélix et d'Astérix chez les Bretons, ainsi que le Bouclier arverne (puisque l'intrigue prend place autour des Arvernes, derniers combattants de la Gaule libre).
À noter également une référence à l'album Astérix gladiateur, avec le personnage d'Epidemaïs qu'on revoit brièvement.
Ainsi qu'un lieu d'action qui se déroule à un moment dans la nuit (chose qu'on n'avait pas vue depuis longtemps).
Pour résumer, je dirais que la fille de Vercingétorix signe une histoire originale.
Une histoire originale car les auteurs nous livrent un scénario qui apporte un réel plus à l'univers d'Astérix, tout en conciliant le classique à la modernité.
Philosophie et humour sont ainsi les maîtres-mots de ce nouveau duo Ferri / Conrad. Avec ce nouvel album, les deux auteurs nous livrent ici non pas une fille, mais un digne enfant de la tradition Goscinny / Uderzo.
Très bon album. Deux retournements de situation que je n'avais pas prévus.
(spoiler : la fille qui tombe + le gobelin à la fin)
À part ça, on sent de l'originalité dans cet album. Et côté histoire, si vous avez lu le tome 3 des Mages + le tome 26 des Elfes, c'est jackpot : y a un fil conducteur qui fait sens, comme si ce tome 10 signait la trilogie du rôle de la kicha.
Non vraiment, c'est un bon album.
L'histoire est originale : on a une pierre qui prédit la mort, un orc censé aimer la guerre alors qu'en réalité il n'aime pas combattre, une action qui semble être sans conséquences au début de la BD alors qu'en réalité cela va forger son destin, et enfin un fil rouge qui fait sens avec d'autres albums de la série.
L'intrigue évolue au fur et à mesure que les pages défilent, et la tension demeure jusqu'à la fin.
La qualité du dessin est également au rendez-vous et ça fait plaisir. Bravo à l'équipe.
Pas exceptionnel mais les dessins sont toujours aussi détaillés. J'ai eu l'impression de rester un peu sur ma faim à la toute fin, car c'était plus court que d'habitude.
Excellent album.
Pour être franc, j'avais l'impression de retrouver une aventure de Johan et Pirlouit.
Il faut admettre que depuis très longtemps, les Schtroumpfs n'étaient pas revenus voir les humains. Avec cet album, ils s'inscrivent à nouveau dans la lignée des histoires de Peyo.
Le retour de Fafnir est intéressant, car il permet de redonner du neuf à cette série de rencontres entre les Schtroumpfs et les humains. La couverture induit totalement en erreur quant à elle : personnellement je pensais que ce serait une parodie du Loch Ness et en fait pas du tout. Donc j'ai été agréablement surpris.
Si l'un des auteurs de cette BD voit ce commentaire, sachez que vous ferez un heureux en continuant ce type de scénarios.
Bon courage pour la suite.
[SPOIL]
A voir s'il arrive à ressusciter la fille en accédant aux arcanes de Slurce. Sinon bon album.
Je trouve les critiques bien dures également.
L'histoire n'est peut-être pas la meilleure de la série, mais elle est travaillée et crédible. Chaque problème qui est soulevé par les personnages trouve ainsi une réponse logique, qui correspond à des faits réels (ou, du moins, à ce qui semble être des faits réels).
Pour moi le scénario se tient et il mérite donc un solide 4/5. Quant aux dessins, j'en parle même pas : ils sont soignés et semblables aux premiers. Que demander de plus ?
Premier album de la série que je lis.
Il ressemble en effet souvent par moments à la série des Elfes noirs, mais a ceci de différent qu'il est plus rude, plus grossier, sans doute parce que les auteurs ont voulu montrer que contrairement à l'elfe Gawer, qui était un assassin qui faisait dans le raffinement, Ordo, lui en revanche, faisait moins dans la dentelle. Cette première différence est en soi importante car elle montre que vis-à-vis de la Citadelle noire et l'Ordre du Talion, qui sont deux organisations d'assassins, on en a une qui garde une certaine forme d'éthique (un peu comme la mafia italienne qui garde une certaine forme d'élégance lorsqu'elle pratique le meurtre) et une autre qui rentre dans le tas direct, sans chercher à faire propre.
Outre ce petit détail, le reste de l'histoire n'en reste pas moins appréciable, car approfondi et recherché. Le vocabulaire est expressément travaillé pour justement conférer une certaine authenticité à l'oeuvre. Certains dialogues sont eux aussi travaillés, ce qui nous encourage à davantage croire dans le vécu d'Ordo.
Le thème du maître qui se rebelle contre ses apprentis semble être toutefois le seul élément sur lequel on pourrait pinailler étant donné qu'on nous a déjà fait le coup dans la série des elfes assassins. Mais en dehors de ça, le déroulé des événements reste assez original, et c'est plaisant à voir.
J'ai particulièrement bien aimé la fin, où on découvre que finalement ce qui fait la force de l'organisation du Talion, c'est la masse de documents qu'elle possède pour faire chanter tous ceux qui résisteraient à ses desseins. Beau parallèle avec la NSA et les services secrets américains qui, grâce à toutes les infos qu'ils ont pu collecter dans le monde, sont capables de faire chanter aujourd'hui n'importe quelle personne du moment que celle-ci les intéresse.
Je conseille en tout cas cette BD si vous voulez débuter l'aventure des Nains. C'est la première par laquelle je suis passé et je ne le regrette pas.
Bon album, qui introduit en profondeur les personnages de Lor'themar, Sylvanas et (spoiler) Korialstraz.
Bonne idée également de présenter Anveena non pas comme un être humain, mais comme l'incarnation humaine d'une chose matérielle. Jusqu'à présent, on n'avait pas vu ça dans la série Warcraft, et c'est plutôt original.
Les dessins sont toujours aussi bons sinon. On regrette juste que la fin se termine en happy ending pour tout le monde, car si quelqu'un auquel on s'était attaché aurait pu mourir, ç'aurait été davantage intéressant, et donc original.
3,5/5
Beaucoup mieux que le tome 1. On y apprend l'existence d'un réprouvé, mais qui ne semble pas faire allégeance à Sylvanas. Les rebondissements sont davantages présents dans ce deuxième opus, et on est pris dans l'action ab initio.
4/5
Bons dessins, mais un scénario pas très convaincant. Le fait qu'un prologue soit présent au début du manga pour aider les novices à se repérer est certes louables, mais assez fatiguant du fait de sa longueur (5 pages au moins).
Pas d'accord.
J'ai commencé avec le 5ème cycle pour enchaîner avec le 4ème, et, bien que n'ayant pas aimé les deux premiers épisodes, j'ai en revanche apprécié ce troisième opus.
L'histoire est originale, en ce sens où ce sont les intentions d'un simple marchand qui sont à l'origine de la perte d'une civilisation. Après, le système des goules venues d'un continent glacé est pas mal calqué sur le monde de Warcraft, mais, j'attends de voir ce que ça peut donner.
(On peut faire un petit parallèle avec l'exil des semi-elfes à la fin via celui des Orcs dans Warcraft III, avant que le Fléau n'arrive...)
@kingtoof
J'irais même plus loin en disant qu'en dehors de la morale, on renoue avec les fondements de l'univers des Schtroumpfs via la retrouvaille avec le baron du tome 2 et la référence à Schtroumpf les Bains. On en apprend un peu plus d'ailleurs sur l'environnement qui entoure les lutins bleus avec le passage sur la bibliothèque et dans laquelle on peut voir des livres écrits tant en français qu'en anglais et allemand.
Mais ça, ce sont de petites anecdotes. À chaque nouvelle parution d'album, je me pose toujours la question de savoir quelle morale les continuateurs de la série vont exploiter. L'idée d'une rencontre amoureuse de Gargamel était déjà originale et redonnait un peu de piment à la série ; avec Schtroumpf le Héros, on poursuit ce redynamisme avec le constat que l'arruivée d'un événement, aussi minime soit-il, peut entraîner de grandes conséquences. C'est important car on comprend que chaque action ne sert pas à rien, comme ils le disent justement à la fin de la BD, mais cette fois pour parler de l'utilité qu'a eue cette expédition.
On notera aussi le petit clin d'oeil du scénariste avec la phrase "Aucune chauve-souris n'a été maltraitée au cours de cet épisode", ainsi que la référence au mythe de la légende, représentée à travers le brouillard qui pendant un temps fait passer le schtroumpf qui a déclenché l'éboulement avec son bâton pour le schtroumpf héros.
Bref, un bon album pour ma part, que je recommande plus particulièrement aux amateurs des petits clins d’œil ou détails vis-à-vis de l'univers des Schtroumpfs.
Pas de commentaire à donner en particulier pour ce tome, si ce n'est que la suite est bien fidèle au premier opus et que les dessins sont toujours aussi immersifs (de belles couleurs qui rappellent l'ambiance automnale des Maleterres, fidèle tant au MMORPG de WoW qu'au STR de Warcraft III). Certains dialogues ont des formules bien tournées, on a l'impression que le scénario a vraiment été creusé. La fin ne pourra être véritablement comprise néanmoins que si les lecteurs ont déjà réalisé les quêtes des chevaliers de la mort dans le MMORPG World of Warcraft.
Ma note se situe entre 4 et 5. L'un des premiers mangas sur WoW que j'ai lus, et sans doute l'un des meilleurs. Le dessin est fidèle aux images du jeu et pour les passionnés des petits détails du lore comme moi, on apprend beaucoup de choses (notamment sur qui composait l'escorte d'Arthas dans la cinématique de Warcraft III).
Je le conseille à tous les fans de l'univers Warcraft, et en particulier à tous ceux qui ont déjà pu créer un chevalier de la mort en jeu, jouer à l'excellentissime Warcraft III et son extension ou encore lu la série "Porte-Cendres" de Ludo Lullabi et Micky Neilson. Si vous aimez en particulier la période de l'expédition d'Arthas au Norfendre, son invasion à Quel'Thalas et la création des Chevaliers de la Lame d'Ébène, ce tome est fait pour vous.
Seul bémol néanmoins : les fautes d'orthographe. Il y en a au moins une quinzaine. De plus, certains noms de lieux, qui sont censés représenter leurs équivalents en jeu, sont dépossédés des articles définis qui les précèdent, ce qui brise un peu l'immersion. Sans cela le tome aurait été parfait.
Pas grand chose à dire. Le choix du lieu où se déroule l'intrigue est original, par contre, la manière dont se déroulent les événements l'est moins.
(ATTENTION SPOIL)
La théorie sur la survivance d'un monde jurassique dans la calotte glaciaire est intéressante néanmoins ; dommage que l'évasion de Lefranc ne se soit pas orientée dans cette perspective.
Je ne trouve pas le scénario "exceptionnel". Bien que certaines stratégies d'assassinat sortent un peu de la banalité, j'ai eu l'impression d'en trouver moins par rapport à celles qui étaient présentes dans le premier tome. Du coup on perd un peu en qualité (je suis exigeant mais j'aimerais bien trouver des trucs auxquels on ne peut absolument pas penser (le coup de la taverne et du pont par exemple, on l'a déjà vu plusieurs fois, c'est pas très novateur). Le coup de foudre de Gaw'yn pour la princesse redonne en tout cas un peu d'humanité à ce sombre personnage ; un peu déçu par la fin toutefois, (ATTENTION SPOIL) dans le sens où son maître se rebelle contre lui (mais là par contre c'est original).
Une citadelle qui ressemble beaucoup à la Tour Nuage dans la série Winx Club et un scénario comportant quelques bonnes surprises. Quelques phrases bien écrites nous font comprendre que les auteurs ont fait de la recherche en amont pour donner un peu de crédibilité à leur album. Le système de pierre d'âme est intéressant, ça renforce l'aspect tragique des Elfes Noirs. Couverture au top sinon.
Déçu de nouveau. Les cases sont toujours trop agrandies (ça donne l'impression qu'on veut combler du vide) et le scénario prend beaucoup trop de libertés avec le mythe de Médée. Moins d'humour également ; Héraclès continue de garder ce rôle de défonce-tout, et la fin n'est pas très originale. Par contre les couleurs sont toujours sympas.
Donc, par pitié les auteurs, si jamais vous voyez ce commentaire : je ne dis pas détenir la vérité universelle, vous faites un travail sans doute titanesque, mais prenez le temps de faire des dessins plus condensés et d'écrire une trame narrative plus originale, sinon, on perd en intérêt et à chaque nouvel album qui sort, on rechigne vraiment à l'acheter.
Album intéressant dont le coup de crayon imite à la perfection celui de Morris. Certaines cases sont parfois trop agrandies à mon goût ; c'est à partir de ce type de détails qu'on sent qu'on n'a plus affaire aux auteurs originaux. Néanmoins l'humour reste présent et le choix du cadre narratif plaira aux lecteurs francophiles. Les références à l'indépendance québécoise sont nombreuses, mais comme le dit Noubealitas, on se rapproche davantage d'un Astérix que d'un Lucky Luke. Néanmoins, les rebondissements s'enchaînent et ne lassent pas ; je trouve les dernières cases tout particulièrement bien réussies. À lire pour tout bon francophile (ou pro-indépendantiste québécois) qui se respecte.
D'emblée, la première page de l'album en met plein la vue avec cet arbre immense qui élance ses branches dans le ciel : le dessin est impeccable, comme d'habitude. Au niveau de l'histoire, c'est toujours très documenté et sourcé : on apprend des choses intéressantes, comme la tentative de raid des Orléanais sur les renforts anglais ou l'assassinat involontaire de Salisbury. Pas pour rien qu'un badge d'Historia reconnaissant la qualité de l'album est accolé sur la couverture. Par contre, la manipulation de Jeanne d'Arc par des déguisements de moines en saints laisse à désirer ; ça gâche un peu l'histoire religieuse de notre pays, même s'il y a de l'originalité dans l'idée. De plus, on a parfois l'impression que la trame narrative traîne en longueur, même s'il y a beaucoup de rebondissements : le roi est toujours en train de douter tandis que l'armée française continue à cumuler les défaites et ça en devient lassant. En bref, un album toujours aussi soigné et dont l'ouverture sur Jeanne d'Arc laisse heureusement prévoir un changement qui cassera le rythme habituel de la série.
Même avis que Jiefd64. Depuis le tome 6, les personnages restent suspendus dans un semblant d'action, qui confirme la latence et la nonchalance du scénario. Pour les dessins, les cases ont été agrandies : on a l'impression qu'il s'agit là d'un acte désespéré qui tente de remplir le vide de la trame narrative. Je conçois qu'il est difficile de créer une série dont la qualité perdure dans le temps, mais il est temps pour Grey et Crisse de se ressaisir. À voir si le huitième tome redonnera aux lecteurs l'envie de continuer la série. La jalousie d'Atalante pour la nouvelle promise de Jason semble en tout cas être un bon début pour redémarrer la série.
Il faut savoir que toutes les histoires de cet album ont été reprises dans l'Univers des Schtroumpfs, que l'on trouve en magasin. Néanmoins, si vous désirez posséder des albums collector, la collection pirate vous en propose trois : les couvertures sont inédites, au même titre que l'ordre d'apparition des mini-récits, qui diffère de celui des rééditions actuelles.
Le scénario est d'époque : il a été réalisé par Peyo, et non par son fils, qui continue la série. La trame narrative repose sur des faits divers dans l'histoire des Schtroumpfs ; les altercations avec Gargamel sont omniprésentes dans chacune d'entre elles. La première histoire, Les schtroumpfs et le Bougloubou, n'est pas un remake du Cracoucass, contrairement à ce que l'on pourrait croire : toutefois, elle n'apporte pas de message particulier pour le lecteur adulte, à l'instar de la 2ème (Olaf le petit viking), 5ème (les Schtroumpfs et les petits fantômes) et 6ème (Gargamel et le crocodile). Les autres histoires (la Maman des Schtroumpfs, les Neveux de Gargamel, la Course de cochons d'Inde) sont les seules à apporter davantage de contenu dans l'univers des petits lutins bleus, mais un enfant ne fera pas la différence.
Au final, ce recueil de 7 nouvelles est un album quelconque qui plaira néanmoins aux fans de la série pour son aspect inédit et son contenu traditionnel.
Attention, spoiler.
Un très bon album, qui, même s'il met fin à une bonne partie des principaux protagonistes de la série, soulève une nouvelle intrigue qui redonne un second souffle à l'histoire. En espérant que la qualité du scénario et du dessin perdurent, histoire d'avoir une BD qui se maintienne dans le temps.