Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 21/11/2024 à 15:49:38 en 0.0230 sec
L'intrigue est très légère et les personnages peu approfondis. Si Golden Cup peut prétendre à un titre ou un prix, c'est celui du sexisme avec des personnages féminins ahurissants. Divertissement dont il ne faudra pas attendre grand chose de plus.
Un album qui sort des sentiers battus pour de nombreuses raisons :
- La qualité des dessins et des reproductions d'art de ce jeune dessinateur Belge.
- L'intrigue qui se déroule doucement, sana accrocs, des moments de vie.
- Le "héros" de l'histoire qui n'en est pas un, justement, mais un homme placide, un esthète de l'Art.
Une bande dessinée particulièrement agréable à lire, avec des personnages attachants, une intrigue fluide qui ne dévoile que progressivement les différents mystères auxquels les protagonistes seront confrontés. Les dessins de Florence Magnin sont toujours aussi féériques et fourmillant de détails. De l'évasion et de l'élégance.
Le scénario est intéressant, l'ambiance parfaitement rendue et l'intrigue rondement menée. Personnellement j'aime autant les dessins de Barral à ceux de Tardi, même s'il faut rendre à César ce qui lui appartient. Progressivement l'auteur imprime sa patte et s'empare de son sujet. Les amateurs de l'oeuvre originale de Léo Malet y trouveront leur compte.
L'idée d'éviter une biographie forcément lacunaire du peintre en focalisant l'intrigue à un moment clef de son oeuvre et de sa vie est excellente, elle permet d'approcher l'essence même du travail de Goya et de sa personnalité ombrageuse.
Les dessins de Bozonnet, tourmentés, rendent bien compte des démons intérieurs de ce peintre. Une lecture très agréable.
Effectivement la couverture fait un peu années 80 mais cette BD se révèle être un polar exceptionnel selon moi. Les dessins sont envoutants et la narration particulièrement fluide, ce qui favorise l'immersion du lecteur. Le scénario n'est pas particulièrement original, mais cette déclinaison d'un thème "classique", dans tous les sens du thème, est très agréable à lire. Mon coup de coeur de ce début d'année.