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Nous replongeons une énième fois dans l’ambiance des croisades. Nous partons à la chasse aux reliques sous l’égide du roi de France en compagnie d’un croisé.
Les caractères des personnages sont marqués d’emblée, nous comprenons qu’en même temps que la chasse nous partons aussi à la recherche de leur passé.
Le scénario prend rapidement de la vitesse, l’histoire promet d’être captivante.
Les dessins très réalistes, Les couleurs superbes souffrent cependant du procédé utilisé (type photographique) .
En effet, elles sont froides et nous tiennent de fait à distance de l’histoire, nous en restons spectateur, alors que nous pourrions au vu du scénario nous immergé dans cette aventure.
Mais j'attends quand même le tome 2 avec plaisir, pour connaitre ce que vont vivre ces protagonistes volontaires et attachants.
Le premier tome de cette série nous avait, surpris quand aux héros, et renouvelait le médiéval fantastique. De ce fait le second opus était attendu de pied ferme;
Une fois la dernière page de second volet tournée.
Une seule chose à dire: Défi relevé et o combien .....
le scénario s'épaissit et l'on retrouve la complexité des enjeux et des relations que nous connaissions dans une Asie médiévale. Une intrigue ou chaque membre de la meute prend sa place et dévoile une personnalité propre et multiple. un vrai régal intellectuel, accompagné avec brio par un plaisir des yeux renouvelé sans cesse par le dessin et les couleurs qui nous enveloppent encore un peu plus dans les tourbillons de cette histoire;
bravo et donc vivement le troisième volet.
Le premier tome de cette série nous avait, surpris quand aux héros, et renouvelait le médiéval fantastique. De ce fait le second opus était attendu de pied ferme;
Une fois la dernière page de second volet tournée.
Une seule chose à dire: Défi relevé et o combien .....
le scénario s'épaissit et l'on retrouve la complexité des enjeux et des relations que nous connaissions dans une Asie médiévale. Une intrigue ou chaque membre de la meute prend sa place et dévoile une personnalité propre et multiple. un vrai régal intellectuel, accompagné avec brio par un plaisir des yeux renouvelé sans cesse par le dessin et les couleurs qui nous enveloppent encore un peu plus dans les tourbillons de cette histoire;
bravo et donc vivement le troisième volet.
Un volume qui a du mal à démarrer, mais un coup de tonnerre à mi-parcours de ce dernier vient réveiller les personnages, le drame et donc le lecteur.
Un cran dans l’horreur est franchi et laisse augurer un volume 6 tout en frénésie.
Un regret cependant, la notion des 7 péchés capitaux semble encore une fois passer au second voir troisième plan de l’intrigue alors qu’il était le postulat de départ.
A lire pour pouvoir pleinement profiter du tome 6 qui devrait être une apothéose.
Comme toujours dans cette collection, des dessins très réalistes au service de l’atmosphère voulu par le scénario.
Un album qui répond à la mode du moment, revenir aux origines des personnages. Nous voilà donc plongés dans une enquête cherchant à élucider le pourquoi et le comment de Dracula afin de mettre un terme à une série de crime vampirique se déroulant au XIXème siècle.
L’album nous promène à travers deux époques éloignées de plus de 400 ans, d’un côté nous touchons à l’enfance et arrivons au terme de l’album à un moment clé du basculement de Vlad et de l’autre nous suivons le déroulement de l’enquête sur les meurtres du XIXème.
Quelle bonne idée d’avoir choisi pour cette aventure des légendes comme : Bran Stocker, Van Helsing, Lady d’Amerson…
Une trilogie très bien débutée.
Loki dieu scandinave de la ruse, doué dans la magie et la sorcellerie, tantôt ennemi des dieux tantôt ami. Il sera au final rejeté d’ASGARD, car trop de malveillance.
Cet album qui ressemble beaucoup à une mise en place, aborde assez bien la dualité du personnage.
Les paroles, les couleurs les traits collent assez bien à l’atmosphère des lieux, de l’époque violente durant laquelle se déroule l’histoire.
Un album fondation dont nous attendons la suite pour confirmer en bien je l’espère les pistes qui se sont ouvertes le long de ses premières pages
Un album qui ouvre des perspectives
L’idée de base laisse entrevoir une épopée fantastique, et quelle belle manière que de magnifier notre patrimoine, notre histoire en nous déplaçant dans un contexte futuriste où ce que nous voyons nous tous les jours est devenu le but d’une recherche archéologique des plus importantes du futur.
Quelle déception au fur et à mesure des pages, tout est jeté pêle-mêle, rien n’est réellement approfondi. Il y a là une impression de gâchis, de va-vite pour boucler cette histoire en un tome. L’idée aurait mérité un rythme plus lent plus profond s’étalant par exemple sur une trilogie.
L’album n’est pas vain, car il nous pousse nous questionner sur l’importance de nos racines, de notre H/histoire mais cela aurait mérité un meilleur traitement
Troisième opus de cette série, l’adieu au roi est à la hauteur des deux tomes précédents. Un graphisme sépia souvent, élégant toujours. Un scénario fouillé qui nous plonge dans certaines réflexions sur les guerres, les destins, Dieu (quelque soit son nom) et les Hommes. Sommes nous libres, des marionnettes, des créatures ou des inventeurs...
Il y a beaucoup de ces légendes lointaines qui nous parlent de nous, du seigneur des anneaux,... dans cette saga, dont soyons sur un cycle se clôt avec ce dernier album.
Les pages de chroniques à la fin sont un pur régal et excellente idée pour éviter une dilution sur je ne sais combien de tome.
le second cycle est attendu avec impatience.
Un nouvel album dans le genre heroic fantaisy, qui s'affranchit de certaines règles du genre.
les orcs et gobelins sont du coté des gentils, et essayent de sauver un monde médiéval japonisant (leur monde) des puissances du mal.
Le pari de ce renversement de situation est pour le moment réussi. Le dessin d'une grande force évocatrice et quelques traits d'humour font que la lecture de cet album est un moment très sympathique avec ce petit goût de nouveauté quand à la typologie des héros. Nous les prenons finalement en affection.
nous attendons donc le tome deux de pied ferme.
Le rêve, l'aventure, la découverte voilà le moteur essentiel de ce premier volume. Partir à la recherche d'une civilisation qui bien évidement ne peut avoir que des trésors fabuleux à nous offrir. Nous voilà en Pissaro, indiana jones, lara croft...
Ce type de scénario ne peut que nous allécher. le dessin ultra réaliste nous plonge immédiatement dans l'univers de cette aventure, nous sentons les odeurs, ,nous entendons le bruit et le silence, nous sommes transporter dans l'atmosphère antique. Une vrai réussite graphique.
L'intrigue commence fort avec un rythme dès le départ très soutenu et plein de promesses, mais il faiblit jusqu’à presque s'enliser dans le dernier tiers de l'album. Mais heureusement nous finissons sur une ouverture très large de l'histoire, qui laisse subodorer un second album plein de surprise et de rythme. Donc à suivre...
Kyöchi, jeune cadre dynamique marié, a toujours adopté le « toujours oui » une conduite qui poussé à l’extrême se révèle lâche. Il se trouve comme excuse le fait de ne rien pouvoir refuser à quiconque de peur de le blesser et se réfugie ainsi dans un « ce n’est pas ma faute »
Cette conduite fini par provoquer les retrouvailles avec Imagasé un ami de collège.
Ils vont se redécouvrir, et finir par expérimenter au début un « je t’aime moi non plus ».
Mais la vie impose toujours le choix. Il va falloir que chacun s’écoute et écoute l’autre, accepte ses sentiments et ceux de l’autre. Chaque protagoniste va faire face à une double recherche. celle que nous faisons tous.
Le choix sera balloté dans un sens et dans l’autre et il restera sur une position fragile à la fin de ce premier tome.
Cette histoire de plein pied dans la vie, est servie pas un dessin mature, tout en légèreté et sensualité.
Un vrai plaisir de lecture. Le rappel que chacun doit trouver sa vérité, son chemin.
La fragilité du système de vaccination, sa certaine absurdité, le poids su hasard semble être le fil rouge de ce neuvième tome
Ce vacillement permet d’entrouvrir la porte sur les résistants face à cette loi. leur rang semble grossir au fur et à mesure et l'annonce d'une guerre possible viendra peut-être bouleverser cette société.
Nous entrons davantage dans les coulisses de ce système avec ce tome.
3,5 Dam's/5
Après une séparation brutale, la vie réunit deux anciens amis. Chacun a parcouru son chemin. L’un est célibataire et l’autre veuf avec un enfant.
Les années collèges et la fin de leur amitié plusieurs années plutôt ont laissées des traces chez l’un, et des souvenirs douloureux et des raisons cachées chez l’autre.
Un scénario plus « adulte » que d’habitude pour ce genre de manga. L’emprise de la vie, des choix ou non choix qu’elle nous impose avec leur cortège de conséquences.
Un dessin clair, des traits affutés, des hommes (surtout un brun en ce qui me concerne) d’une sensualité folle.
Des scènes érotiques, juste ce qu’il faut …
Un excellent Manga sur les chemins, les choix que nous prenons.
Durant les premières pages le dessin quasi enfantin m’a un peu déstabilisé, puis les détails se sont fait jour et la revisite du mythe d’Orphée s’est installé. (Orphée descendu aux enfers pour aller sauver Eurydice sa bien-aimée… pour la suite, lisez le conte mythologique…)
Et quelle revisite !!!!
Nous suivons surtout Dysserie (l’épousée) dans son voyage aux ombres, elle est accompagnée par Zebl, un diablotin particulièrement obsédé et très attachant. Dans cet album la galaxie Arleston est là, et les références au monde de Troy sont nombreuses.
La vision décalée des enfers, l’humour incroyable des dialogues, renforcent le combat de cette jeune fille pour vivre sa passion, pour être simplement ce qu’elle est, durant sa vie et sa mort.
Un excellent « one shot », qui nous rappelle un chose essentielle : l’important c’est d’être en harmonie avec soi-même et de vivre pleinement ce que nous sommes, ce que nous aimons, ce qui nous attire.
Car après tout, nous n’avons qu’une vie et qu’une mort. A moins que…
La rencontre de deux hommes perdus dans leur solitude. L’un parce qu’il n’arrive pas à garder une relation stable, et l’autre un secret, une fausse dépendance lui empêche de nouer des liens, de vivre.
Le dessin, les paroles, le ton de ce manga (one shot), nous entraîne dans un conte pour adolescent. Une lecture rafraîchissante, parfaite pour les trains, les moments d’attente ou les atmosphères de légèreté.
Voilà Quinze que nous attendions tous ce deuxième opus de "Sasmira" personnellement je n'y croyais plus et pourtant le miracle d'une suite c'est réalisé. Ce premier moment magique passé, un deuxième le suit de très près, cet épisode est tout aussi envoûtant que le premier. Les quinze années d'attente n'ont rien enlevé à l'histoire, à la magie qui entoure les protagonistes de cette histoire traversant les ages et les légendes. Sasmira et Bertille sont tout aussi charmantes et magnétiques et Stan est d'une sensualité folle (sans mauvais jeu de mot).
L'ambiance du début du 20ème siècle, les rythmes laissant toute leur place à la douceur de vivre se font sentir et c'est pas à pas que l'intrigue avance, nous laissant le temps de déguster chaque information, chaque ambiance, chaque lieu.
Le dessin fin, détaillé, émotif de l'album, nous enveloppe et nous entraine avec une facilité déconcertante hors du temps....C'est un beau voyage qui se lit encore dans nos yeux une fois l'album refermé.
espérons que le troisième album ne se fera pas attendre 15 ans lui aussi.
Que dire de cette adaptation en bande dessinée de ce monument de la littérature qu'est " Le portrait de Dorian Gray" du non moins monumental Oscar Wilde. pas grand chose si ce n'est JUSTE SUBLIME.
Le roman n'est pas trahi, l'esprit de Wilde est avec nous tout au long des pages.
Le dessin absolument superbe avec des couleurs splendides chargées d’atmosphères, de vibrations nous transportent dans l'Angleterre victorienne. Nous entrons de tout notre corps dans cet hédonisme dont nous sentons pourtant le danger.
Après la dernière page, nous regrettons déjà la fin du voyage et nous n'avons qu'une envie...recommencer.
Un seul conseil: Courrez chez votre libraire pour acheter cet album magnifique!
" es ce que tu aimes les films de gladiateurs?" Voilà je crois une phrase culte qui résume finalement assez bien ce que m'inspire cet album. Le dessin est correct et l'intrigue sans grande surprise. L’intérêt majeur de cet album tient plus des corps souvent nus des hommes de sparte et encore ces derniers ne sont pas tous forcément très attirants.
Un moment de lecture assez fade au final,avant d'acheter le tome 2 un bon feuilletage légèrement détaillé sera nécessaire.
pour le sens de lecture que j'ai adopté, il est le sixième et dernier album de cette série hors norme.
il ne détonne pas, et la série loin de s’essouffler, nous laisse un goût qui pourrait être amer d'inachevé mais au final il n'en est rien. cette porte laissée ouverte est parfaite.
enfin quel plaisir d'avoir un protagoniste gay loin des clichés et ancré dans la réalité.
bravo