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Première bande dessinée du nouvel éditeur, Éditions Kamiti, cet album réussit l’exploit dès le départ de nous immerger totalement dans cet univers futuriste. J’ai été charmé par cette histoire d’humains soumis à l’esclavage sans possibilité de rébellion à cause d’un gêne incrusté dans leur corps dès leur naissance.
On fait connaissance de Bord’, un mineur rêvant de liberté mais qui se sent surtout surprotégé par sa grande sœur Cass car celle-ci ne cesse jamais de lui dicter sa conduite. Lorsque Bord’, est témoin d’un attentat contre leurs bourreaux, celui-ci sent l’espoir monter en lui. Effectivement, il comprend, sans savoir les raisons, que certains humains ont réussi à passer outre leur inhibiteur, lui laissant entrevoir ainsi une possibilité de se libérer de leurs tortionnaires. A partir de ce moment, Bord’, n’a qu’un objectif, celui de rejoindre les rangs de ce groupe rebelle, au grand désarroi de sa sœur. S’amorce alors le long et tragique parcours qui parsèmera leur aventure jusqu’à la conclusion touchante, dramatique mais pleine d’espoir pour les humains.
Les auteurs ont basé leur scénario sur un système solaire qui a été découvert par les scientifiques il y a de cela quelques années seulement, soit en 2015. Celui-ci serait peut-être propice à la vie humaine et c’est cette toile de fond qui a servi à construire l’intrigue ainsi que les environnements. Ça rajoute une certaine forme de réaliste sur ce qui pourrait nous arriver si nous découvrions une autre espèce intelligente et une lumière d’espoir pour ceux qui espèrent que la vie soit possible ailleurs que dans notre système solaire.
L’histoire est enrobée par des dessins magnifiques qui sont l’œuvre d’une jeune dessinatrice qui a tout un avenir devant elle. On ressent les sentiments dans les expressions de chacun des personnages et cela rajoute à l’immersion de cet univers. Les couleurs sont chaudes et enveloppantes, ce qui apportent un certain réconfort malgré les conditions dans lesquelles évoluent les humains.
Cet éditeur frappe fort avec cette première BD, et en attendant la suite de ce premier tome, je leur souhaite de publier d’autres titres de cette qualité et que le succès soit au rendez-vous.
Pour amateurs de science-fiction, je conseille cette BD sans hésiter.
Vous vous dites, pas encore une autre bande dessinée de plus destinée à un public de type jeunesse au Québec ? Pas grave je vous dis, l’aventure de Rex le petit dinosaure bleu est excellente à lire et agréable à regarder !
Cette création du bédéiste Julien Paré-Sorel est amusante, enlevante, drôle et intrigante. Intrigante car la fin nous laisse sur notre soif d’en savoir plus long dans la suite du 2e tome à venir intitulée ‘’Le Grand voyage de Rex’’ ! Les dessins, tel qu’un album de la série « Les Légendaires » de Patrick Sobral, sont appropriés pour ce type de lecture, colorés, brillantes et très jolies à contempler.
D’ailleurs, c’est mon fils de 9 ans qui l’a emprunté à la bibliothèque de son école et lorsqu’il en a terminé la lecture, il m’a simplement dit : « Lit cette BD Papa, elle se lit toute seule et je suis arrivé à la fin sans voir le temps passé, il faut que tu la lises ! » Eh bien, je dois effectivement avouer que je suis d’accord avec lui sur son appréciation. Il veut même que je l’achète pour entamer la collection de la série. Que dire d’autres après ça, a l’exception d’espérer qu’elle sera longue et fructueuse.
Finalement, que demandez de plus lorsque l’on retrouve des monstres et des dinosaures dans une aventure médiévale tout en étant accompagné de personnages attachants ? A vous de me le dire !
9/10 selon mon garçon de 9 ans
7.5/10 pour moi
Je ne m’étendrais pas longtemps sur cette série tirée des romans de l’auteur Anne Robillard, car contrairement aux livres, j’ai été déçu par les BD. J’ai trouvé que le fil conducteur de l’histoire était trop décousu et qu’on passait d’un tome à l’autre sans explication alors qu’il pouvait y avoir un énorme laps de temps entre deux albums et aucunes explications données sur les raisons de cet intervale de temps. De plus, il y a des personnages qui sont introduits sans aucunes indications de la provenance et des origines de ceux-ci comme s’il fallait deviner leurs rôles, leurs provenances ou leurs ambitions. Ce n’est pas évident à suivre, surtout pour ceux ne connaissant pas les romans. Cependant, je dois avouer que les deux derniers albums de la série sont de loin les plus intéressant avec le retour en arrière sur l’origine des célèbres chevaliers et de l’un de leurs plus controversé membre, Onyx. C’est une opinion qui n’engage que moi mais je trouve qu’Anne Robillard est plus à l’aise avec la dynamique des romans qu’avec celle de la bande dessinée.
Les dessins sont passables mais s’améliorent d’albums en albums pour atteindre au cinquième tome un stade beaucoup plus intéressant et convainquant. De couleurs très mat du premier tome on arrive à des teintes beaucoup plus contrastées et plus agréables à regarder tout au long de la progression de la série.
Pour les initiés des romans d’Anne Robillard, je ne conseille pas vraiment les BD. Pour les autres, ça peut vous donner une idée de la popularité entourant l’Univers créé par la célèbre auteure québécoise de ce monde d’Enkidiev.
6/10 pour l’ensemble des cinq tomes
Western très violent et sans demi-mesure de la première page a la dernière page des trois premiers albums (un quatrième est prévu), c'est ce qui ressort de le plus de cette série jusqu'a maintenant. Les histoires sont biens mais pas nécessairement excellentes, peut-être a cause du personnage de River Bass qui n'est pas vraiment sympathiques et surtout peu bavard. Seuls ses actes comptent et je ne peux dire que ce sont toujours les meilleurs choix qu'il prend. Pour les dessins, selon moi, c'est le point fort de ce western, ils sont vraiment magnifiques, surtout pour les paysages de l'ouest américain qui donnent le goût de se rendre dans cette région du globe.
Bref, pour amateur de violence brut, de chevauchés a travers le farwest américain et d'histoires qui surfent sur le mince fil du bien et du mal, cette BD devrait vous plaire.
Tome 1 : 6.5/10
Tome 2 : 7/10
Tome 3 : 7.5/10
Moyenne de 7/10 pour l'ensemble des trois premiers tomes.
Après m'être attaqué a la série complète de L'Incal d'Alexandro Jodorowsky, c'était maintenant au tour d'une autre de ses sagas dans laquelle me lancer, soit "La caste des Méta-Barons". Les dessins, magistraux, sont l'oeuvre de Juan Gimenez.
Que dire ? Pour tout amateurs de science-fiction, je pense que c'est un indispensable. C'est tout simplement épique et que dire des dessins ? Ils sont majestueux, originaux, détaillés, merveilleux et sublimes ! C'est tout !
J'ai vraiment adoré cette série, beaucoup plus que l'Incal. Probablement a cause du personnage, pas nécessairement sympathique, mais lorsque l'on assiste a la souffrance qu'il doit endurer, autant physique que psychologique, pour acquérir sa puissance phénoménale, on comprend mieux pourquoi il ne peut se permettre du moindre sentiment.
Bref, je recommande sans hésiter ! 9/10
Comme indiqué dans le résumé, les histoires de cette intégrale se concentre sur l’univers entourant le jeu vidéo The Old Republic. N’ayant pas joué à ce jeu, je ne ferai pas de comparaison entre les deux médias. Cependant, ayant lu quelques romans sur l’Ancienne République, je dois avouer que je préfère de beaucoup cette période que celle entourant la famille Skywalker notamment. La raison est que l’on accorde autant d’importance aux Sith qu’aux Jedi et que les différences entre le bien ou le mal sont moins un enjeu que dans les films, pour rester « politicaly correct ».
Dans la première histoire, c’est justement celle d’un jeune et ambitieux Sith, Teneb-Kel, que l’on suit. Celui-ci reçoit l’ordre des seigneurs Sith de retrouver la trace de Exal Kressh, l’ancienne apprentie de l’Empereur et par la même occasion, la leur ramener. Aidé par son esclave, « Asticot », ceux-ci partent alors à sa poursuite parcourant planètes après planètes, à la recherche d’indices pour la retracer. Tout en la traquant, Teneb-Kel découvre peu à peu les raisons de la trahison de celle-ci envers l’Empereur. Découvrant alors une chance de prouver sa valeur, Teneb-Kel use de traîtrise, de mensonge et de manipulation pour atteindre les objectifs de son ambition, soit de devenir un seigneur Sith. Mais c’est sans compter que les Jedi également veulent retrouver l’apprentie et les raisons qui l’ont poussée à trahir son Maître. Nous assistons alors à une palpitante aventure dans laquelle l’action est au rendez-vous, et rendue de façon spectaculaire par des dessins immergeant et grandioses principalement lors des scènes de combats spatiaux ou de duels terrestres. (8.5/10)
Dans la seconde histoire, qui est plus politique cette fois-ci, les Sith demandent un cessez-le feu pour négocier un traité de paix avec les Jedi et le sénat galactique, siège du pouvoir central. Nous y découvrons l’apprentie Jedi Satele Shan, personnage que l’on retrouve également dans la troisième aventure de cette intégrale, qui demeure sceptique devant cette demande de négociation provenant des Sith. Effectivement, pendant les pourparlers entre les deux clans se font sur Aldeeran, la Capitale Coruscant est attaquée par surprise pas les Sith. Les Jedi n’ayant d’autres choix que d’accepter les demandes de leurs ennemis éternels, tentent alors de découvrir ce qui a pu se produire pour se faire piéger aussi facilement. Est-ce qu’il y aurait un traître parmi les Jedi ? C’est ce que Satele va tenter de découvrir. La moins bonne des trois histoires selon moi, celle-ci manque trop d’action et mise surtout sur les mensonges et les manigances frauduleuses des deux clans. N’en demeure pas moins que certains personnages sont intéressants à suivre, en particulier Satele Shan. (7/10)
Pour la troisième et dernière histoire de cette intégrale, ma préférée des trois mais de peu devant la première, on suit un espion de la république, Théron, fils de la Maître Satele Shan qui est sommé de retrouver la trace de son ancien mentor et grand maître Jedi, Ngani Zho. Celui-ci ayant découvert la raison et les motifs réels des pourparlers de paix demandés par les Sith lors de l’histoire précédente, est devenu amnésique à la suite du choc de sa découverte. Faisant équipe avec maître Zho et de sa prisonnière Teff’ith, jeune voleuse interceptée lors de sa mission précédente, ceux-ci tentent alors de découvrir le mystère entourant les souvenirs perdus de maître Zho et le pourquoi du traumatisme subit. C’est à toute une aventure que nous assistons et bien que Théron n’ait pas hérité du pouvoir de la force de sa mère Satele, il a plus d’un tour dans son sac ! (9.5/10)
J’ai vraiment adoré ce Star Wars The Old Republic, les histoires sont prenantes et balancent autant des côtés sombres ou lumineux de la Force, tout en y retrouvant des personnages attachants autant des deux côtés. Les dessins sont magnifiques et même grandioses, surtout lors des combats spatiaux. Bizarrement, j’ai trouvé ceux du deuxième tome un peu moins réussi que les deux autres, mais ça ne m’a pas empêché du tout de les apprécier.
Une BD à lire sans faute pour tout amateur de Star Wars !
9/10
Bonne lecture !
Aussi originale que le premier tome malgré l'effet de surprise dissipée, les gags sont encore plus élaborés et complexes dans celui-ci. Les différentes histoires sont également plus longues ce qui permet d'ajouter un peu plus de profondeur à ce super-héros a part des autres. Les références aux Comics américains sont également bien amenées malgré un ton sarcastique, notamment avec l'équipe formée par Imbattable, les Avengers européens, pour aider les États-Unis à vaincre un ennemi surprenant.
Pour les dessins, ce n'est pas la force de cette série même si c'est très coloré. Imaginez un dessinateur comme Franquin avec un scénario original comme ça, ce serait juste parfait.
8/10 comme pour le premier tome
Suite directe du premier tome « Petits mais costauds », on retrouve nos apprentis Skylanders lors de leur rentrée à la Skylanders Academy. On se souvient que dans le précédent album, Kaos avait réussi à infiltrer les recrues en prenant l’apparence du jeune Weeruptor. Tandis qu’Hugo, le guide des jeunes recrues, leur fait visiter l’Académie, ceux-ci ne se doutent pas que Kaos est parmi eux. Attendant le moment propice pour attaquer, Kaos tente de s’emparer des lieux avec l’aide de son armée de Trolls. Heureusement, Food Fight, le Skylander protecteur du lieu, veille au grain afin d’assurer la protection des nouveaux arrivants. Pendant ce temps, Flynn, Tessa et le vrai Weeruptor réussissent à retourner à l’Académie pour finalement constater l’étendue des dégâts causés par le combat entre Food Fight et Kaos. Ainsi, se termine la fin de l’histoire débutée dans le premier album.
Dans l’histoire suivante, Kaos cherche un moyen d’anéantir les Skylanders dans le but de prendre possession du peuple et du territoire des Skylands, cette magnifique contrée remplie de richesses. Kaos expédie ses trolls à l’assaut d’une des îles flottantes afin de lui ramener des cristaux « radieux », prétendument sans aucune valeur aux yeux des Skylanders. S’ensuit alors une série de combats entre différents Skylanders et les agents aux services du maléfique vilain. Est-ce que Kaos réussira à obtenir ce qu’il comptait acquérir, c’est ce que l’on saura dans le troisième album.
Album dans la parfaite continuité du premier, celui-ci se lit toujours très bien et offre la même écriture captivante mais accessible aux plus jeunes lecteurs. Pour les dessins, ceux-ci sont toujours aussi magnifiques et offrent régulièrement des pages pleines de scènes de combats spectaculaires qui parfois, s’étalent sur deux pages entières. Les couleurs sont toujours aussi brillantes et fidèles que dans l’album précédant et les jeux vidéos.
Ceux qui ont bien aimé le premier album, et bien, vous devriez retrouver le même plaisir dans celui-ci car il contient encore plus d’actions et est plus rythmé. C’est agréable à lire, à regarder et qui prend peu de votre temps pour le terminer.
Bonne lecture !
8.5/10 pour les plus jeunes
7/10 pour les adultes
Mon plus récent coup de cœur revient à cette BD digne d'un L.A. Confidentiel se déroulant dans les années cinquante. Au lieu d'un policier au méthode radicale comme Russel Crowe interprétait dans le film cité, Tyler Cross est un criminel endurci, un vrai. Froid, méthodique, calculateur, sans pitié, il est aussi brillant qu'il peut être sournois comme un serpent.
Autant j'ai adoré Blacksad pour la qualité incroyable des dessins, autant Tyler Cross m'a accroché pour son texte accrocheur rempli de rebondissement dans cet univers sombre et traître du monde criminel. Les dessins ne sont peut-être pas du même niveau qu'un Blacksad mais collent parfaitement avec l’image que projette ce criminel que rien n’empêche d’atteindre ses objectifs. Trait carré, décor et environnement vide et froid, couleurs contrastées, tout pour amener à croire à la fermeté de ce gangster et cet univers.
Je suis tout simplement impatient de devoir attendre un quatrième album et je conseille à tous la lecture de cette impitoyable série. C’est un must !
9/10 pour l’ensemble des 3 albums
Vous cherchez quelque chose à lire de complétement déjanter et de totalement fou, alors, I Hate Fairyland de The Official Skottie Young Fan Page est fait pour vous. Dans mon cas, je suis mitigé, j'ai toujours aimé les dessins de cet artiste mais ce n'est pas le genre d'histoire tordu de ce style que j'apprécie habituellement. Ceux qui aiment du Deadpool devraient apprécier.
6.5/10
Star Wars – Infinities Intégrale
Comics de science-fiction édité par Delcourt Comics
Star Wars, vous connaissez ? Vous savez, cette fameuse saga imaginée par Georges Lucas en 1977 avec A New Hope et qui a influencée une génération entière de fans et qui perdure encore aujourd’hui. De cette saga s’en ait suivi une horde de produits dérivés, incluant des jouets, des figurines, des jeux vidéos, des romans et bien entendu de bandes dessinées. Dans cette BD, Infinities, les auteurs ont imaginé ce qui serait survenu si un évènement en particulier se serait dérouler autrement que celle que l’on connaît déjà dans chacune des trois histoires.
Tome 1 - A New Hope
Dans A New Hope, le scénariste Chris Warner se demande ce qui serait advenue si Luke Skywalker aurait raté son tir lors de l’attaque de l’Étoile de la Mort. C’est ici que l’histoire prend tout son intérêt. Au lieu de célébrer leur victoire, Luke et Han Solo se rende sur Dagobah afin de rencontrer Yoda pour entamer l’entraînement Jedi de Skywalker. Croyant la Princesse Leia morte lors de la riposte de l’Empire, suite a l’échec de la destruction de l’Étoile Noire, c’est toute une surprise pour Solo et Luke lorsqu’ils apprennent que Leia est toujours vivante mais qu’elle est passée du côté obscur ! C’est la plus intéressante et la plus spectaculaire des trois histoires de cette intégrale. La finale est juste sublime mais je vous laisse la découvrir par vous-mêmes. (8.5/10)
Tome 2 - Empire Strike-Back
Pour Empire Strick-Back, c’est au tour du scénariste Dave Land d’imaginer ce qui serait advenu si Luke était mort gelé dans les plaines glaciales de la planète Hoth. Juste avant d’agoniser dans les bras d’Han Solo, Luke lui fait promettre de se rendre sur Dagobah pour entamer son entraînement Jedi auprès de Maître Yoda. Réussissant à s’enfuir de justesse de l’attaque surprise de l’Empire sur Hoth, Solo accompagné de la Princesse Leia se rend sur Dagobah pour honorer sa promesse faite à Luke. Rapidement, il découvre que ce n’est pas au contrebandier que le message de Luke était destiné mais bien à Leia, sa sœur. Pendant que cette dernière débute sa formation de Jedi, Han Solo et Chewbacca retourne sur Tatooine pour trouver un moyen de rembourser la dette de Solo envers Jabba the Hunt. Début électrisant qui s’essouffle plus l’aventure évolue, malgré une fin intéressante. (7/10)
Tome 3 - The Return of the Jedi
Pour « The Return of the Jedi », c’est à Adam Gallardo que revient l’honneur de revisiter celui-ci. Ici, c’est lors de la négociation entre Jabba et Leia, déguisée sous les traits du chasseur de primes Boushh, pour la vente de son prisonnier Chewie que l’histoire prend une tournure différente. Au lieu de remplir son rôle de traducteur, C-3PO échoue malgré lui à remplir sa mission. Alors que les pourparlers dérapent, au lieu de réussir à délivrer Solo, c’est Boba Fett qui réussit à s’emparer du corps emprisonné dans la carbonite du contrebandier et de s’enfuir avec lui. Nos célèbres héros partent alors à l’aventure en tentant désespéramment de retrouver Solo avant que le chasseur de primes Fett trouve un moyen de le marchander avec l’Empire. Ce dernier volet reprend à peu près le même cheminement que le précédent. Un début prometteur et a fond de train mais qui ralentit considérablement de rythme pour s’essouffler drastiquement jusqu’au final assez identique a l’original. (6/10)
Résumé globale: Pour les dessins, le principal reproche que j’ai à leurs sujets, c’est qu’ils sont extrêmement inégaux. Les dessins pleines pages représentant l’espace avec des scènes de combats sont magnifiques mais aussitôt qu’il s’agit de personnages et de décors, ceux-ci sont parfois très moches. Les artistes étaient-ils pris dans un échéancier trop serré, ça ne me surprendrait pas, malheureusement.
Je conseille quand même la lecture à tout non-initiés mais surtout aux fans de Star Wars car c’est très intéressant de lire des histoires alternatives selon si tel évènement se serait déroulé autrement. « A New Hope » rempli ce rôle à merveille de déstabiliser le lecteur alors que pour les deux autres, bien que les débuts soient modifiés et spectaculaires, les fins sont sensiblement semblables à celle que l’on connaît déjà, surtout ‘’The Return of the Jedi’’ et surtout moins dramatiques pour ‘’The Empire Strike-Back’’.
(7/10)
Bonne lecture !
Les habitués de la série de jeux vidéos Skylanders d’Activision ne devraient pas être dépaysé par cette collection de BD dédiée a cet Univers. Dans ce premier album, on retrouve le fameux pilote Flynn toujours aussi prétentieux et confiant que dans les jeux, mais qui trouve toujours le moyen de se mettre les pieds dans les plats. Cette fois, c’est sous les traits du Skylander Weeruptor que Flynn se fait piéger par Kaos, car ce dernier a imité l’apparence du futur jeune académicien pour le rendre amnésique.
Rescapé par Chopper, un Skylander à bord du vaisseau, Flynn et ce dernier tentent de trouver un moyen de retourner à l’académie afin de les prévenir qu’elle coure un grand danger, Kaos planifiant de la détruire. Pendant que Flynn retrouve sa mémoire, lui et Chopper cherchent une solution à leur problème tandis que les Skylanders restant dans le vaisseau tentent par tous les moyens de se rendre à destination. Heureusement, Tessa, une amie de Flynn le connaissant très bien ainsi que les maladresses qu’il provoque, commence à s’inquiéter de son retard. Apercevant le vaisseau de Flynn et les jeunes Skylanders en péril, Tessa se lance sans hésiter à leur secours. Après le sauvetage héroïque des Skylanders par Tessa, ces derniers lui expliquent ce qui s’est passé sur le vaisseau et celle-ci, comprenant rapidement la situation, n’hésite pas une seconde à s’envoler vers l’aventure pour tenter de retrouver Flynn et d’éclaircir ce mystère.
Bien que l’histoire n’offre rien de vraiment original, celle-ci se lit très bien et offre aux habitués des jeux vidéos d’Activision ce qu’ils sont habitués de connaître. L’écriture est simple et basée sur des dialogues courts afin d’encourager les jeunes à apprécier la lecture. Les dessins retranscrivent très bien l’univers des Skylanders, que ce soit pour les lieux, mondes et personnages. Les couleurs sont vives, accrocheuses et très fidèles a ce que l’on connaît.
Rien de nouveau sous le ciel mais ça demeure une belle BD. Pour amener de jeunes lecteurs vers le monde de la BD, c’est une série que je conseille fortement pour débuter. Pour un adulte, ça dépend de ce que l’on attend, si c’est pour lire quelque chose de léger et d’agréable a l’œil, c’est une bonne option car elle est tout de même de bonne facture et amusante.
8/10 pour les plus jeunes
6.5/10 pour les adultes
Bonne lecture !
Nadia Pym, fille du célèbre Henry Pym, réussi à s’évader de la ‘’Chambre Rouge’’, labo secret russe qui forme des enfants avec une intelligence aiguisé, à devenir des assassins sans pitié tout en tentant de créer des inventions mortelles. Nadia, ayant hérité du génie de son père, est une jeune adolescente pétillante, courageuse, insouciante, brillante et un brin naïve. Accompagnée de Jarvis, le majordome des Avengers et servant de chaperon pour l’empêcher de faire des bêtises, doit obtenir son visa d’entrée si elle veut demeurer aux États-Unis, dans la maison de son défunt père. Inspiré par la géniale Mockingbird, Nadia cherche à recruter les plus brillants cerveaux chez les jeunes filles de son âge afin de prouver aux Avengers que des femmes peuvent être aussi brillantes que des hommes sinon plus. Ainsi, au grand dam de son avocat, un certain Matthew Murdock alias Daredevil, elle priorise de recruter des candidates au lieu de se présenter à la Cour pour obtenir son visa. Au fil de ses rencontres, plusieurs péripéties et guet-apens l’attendent au détour dont celui de sa meilleure amie Ying qui est envoyée en mission à New-York afin de ramener Nadia a la Chambre Rouge. Heureusement Jarvis est là pour veiller sur Nadia et faire entendre raison à Ying. Finalement, si cette dernière voulait ramener la Guêpe, c’était qu’elle-même était piégé par une bombe collectée sur son cou. Ainsi, avec l’aide de ses nouvelles amies scientifiques ainsi qu’avec l’appui de Janet Van Dyne, elles chercheront un moyen de désamorcer la bombe de Ying avant que celle-ci n’explose car les mercenaires de la Chambre Rouge ne laisseront pas Nadia tranquille jusqu’à ce qu’ils la capturent. L’histoire est amusante et plaisante à lire mais je la conseille surtout à un public plus jeune. Panini Comics devrait faire comme Urban et offrir la gamme «Panini Kids » car ce serait un album parfait pour attirer un auditoire plus jeune et même féminin. N’en demeure pas moins que malgré ça et la légèreté de l’histoire, j’ai passé un agréable moment de lecture. Pour les dessins, c’est un sans-faute. Ceux-ci sont très « cartoon » et très colorés et Nadia et ses amis inspirent la bonne humeur a travers les planches. C’est très joli à regarder et les couvertures sont d’ailleurs magnifiques. Bien que le public visé soit plutôt celui type jeunesse, ça se lit très bien par un adulte. J’ai bien aimé et je le conseille à ceux qui veulent ajouter un peu de bonheur dans leur vie !
Après avoir entamé L'Incal Noir il y a deux semaines, passé à travers la jeunesse de John Difool dans L'Avant l'Incal, j'ai complété la saga de l'Incal après lecture des 3 tomes de Final Incal, avec en bonus la lecture du premier tome de Final Incal avec Moebius au dessin.
Tant la saga originale m'avait plutôt laissé indécis et sur mon appétit, et que celle de l'Avant Incal m'avait redonné le goût d'en savoir plus, Final Incal complète à merveille cette fantastique épopée d'un homme héroïque sans vouloir l'être. Grâce à ces trois derniers tomes, j’obtiens finalement réponses à la majorité des questions qui m'assaillaient lorsque j'eu complété les deux séries précédentes. Ça m'a permis de faire la paix avec John Difool que j'avais détesté dès le début de la lecture de l'Incal Noire.
Quant aux dessins, j'implore d'avance le pardon des bédéphiles, mais wow, quelle claque que ceux de Zoran Janjetov ! Dommage que toute la série n'ai pas été dessinée par lui, ça aurait été tellement plus plaisant et agréable à lire ! Cependant, j'ai en profité pour lire le tome 1 de Après l'Incal, dessiné par Moebius, et je dois avouer que j'ai beaucoup plus aimé son dessin que dans ceux des volets précédents. Mais, n’en demeure pas moins, que j’ai de loin préféré ceux de Janjetov.
Final épique pour un Final Incal, ça se termine avec un super 8.5/10 !
Ma petite recommandation personnelle : Si vous n’avez jamais lu cette saga, commencez-la par ‘’Avant l’Incal’’ plutôt que l’Incal Noire, vous me remercierez par la suite.
Les chroniques de Riverdale
Voici mes impressions à la suite de la lecture de cet album :
Il y a longtemps, très longtemps, soit une quarantaine d’années en arrière, je me laissais emporter par les histoires d’Archie et ses célèbres amis, Jughead, Betty et Véronica, et cela grâce aux Éditions Héritage. Lorsque j’avais le goût de lire autres choses que les aventures de mes superhéros préférés, comme Spiderman, Hulk, Iron Man et les Fantastic Four, Archie était la solution à mon envie de rire et de me détendre.
Peu à peu, Archie et compagnie sont disparus de ma vie. Ce n’est que récemment que j’ai entendu parler d’un renouveau de ce personnage grâce a la série télé, Riverdale. Cette série reprenait les mêmes personnages avec les mêmes personnalités mais dans un ton plus sérieux, plus matures. Ce premier tome, qui est plus une introduction aux principaux personnages de Riverdale qu’une vraie histoire, est pour ceux qui ne les ont jamais connus et ont le goût d’en découvrir un peu plus, ainsi que pour les nostalgiques comme moi, qui avaient hâte de renouer avec ces mythiques caractères des comics américains. Oui, l’histoire est plus sérieuse à cause des thèmes abordés comme l’amitié, l’amour, les relations parents-enfants, l’intimidation, la jalousie, mais ces thèmes servent à appuyer l’histoire principale, qui est celle d’un ado fort populaire qui s’est noyé durant les vacances d’été.
Les dessins, tout dépendant de l’histoires, puisque chacun des personnages sont décrits et dessinés par différentes artistes, ne sont pas tous du même niveau, à mon goût personnel bien attendu. De plus, étant donné le ton plus sérieux abordé, on est loin des dessins très cartoons des Archie que l’on a connu auparavant, ce qui n’est pas un défaut en soi.
Pour conclure, j’ai bien aimé ces retrouvailles avec mes ados préférés de mon enfance, quoiqu’avec un ton plus sérieux, ce qui n’empêche pas de laisser entrevoir un avenir prometteur pour cette nouvelle série.
Pour les nostalgiques d’Archie et les curieux, je vous recommande chaudement la lecture de ce premier tome. Cela vous permettra de vous donner une idée des personnalités des différents protagonistes et du ton donné à la série. Je lui donne un bon 6.5/10.
Bonne lecture !
Après un premier fascicule décevant, j'attendais avec impatience de recevoir le numéro 2. Malgré une couverture efficace, originale et surtout très colorée, le contenu n'est guère mieux que le tome précédant.
Alors que dans le premier tome j'avais plutôt aimé la première histoire, c'est l'inverse dans celui-ci. L'histoire devient brouillonne, en grande partie causée par les allées-retour incessant dans le futur ou le passé provoqué par Cable qui est accompagné de Deadpool. Ces voyages dans le temps sont déroutants pour une personne non initiée au personnage de Cable. Même les dessins que j'avais aimés lors du premier tome m'ont plutôt déçu. Pas plus que 4/10.
Pour la deuxième histoire, celle avec Spider-Man, j'ai trouvé l'histoire un peu plus intéressante et les dessins un peu plus attrayant que dans le premier tome. Mais c'est insuffisant pour rehausser la qualité globale du récit. Un 3/10.
Une petite surprise pour la troisième histoire, alors que l'on retrouve un Peter Parker dans un foyer de personnes âgées avec comme co-résident un Deadpool vieillissant dont son agent guérisseur ne fonctionne plus. Le récit est plutôt amusant et le fait de retrouver Spidey dans une chaise roulante tout en essayant de faire la loi dans la résidence est amusante. J'ai bien aimé cette courte histoire. Un 7/10.
Quant à la dernière histoire, celle de Cable avec les X-Force versus les Externels, c'est la plus intéressante de ce deuxième fascicule. Les personnages sont bien amenés et l'intrigue devient beaucoup plus passionnante. Pour les dessins, c'est vraiment celui qui sont les plus réussis à mon goût. Un 8/10.
En conclusion et en attendant de recevoir le troisième fascicule, ma note globale descend à 5/10 seulement. Si le prochain numéro ne s'améliore pas, je ne crois pas que je vais continuer la série Deadpool.
Première incursion dans le monde des Inhumans, je dois avouer avoir été quelques peu décontenancé par les lieux et les personnages faisant partie de cet univers particulier. On retrouve d'innombrables ''flashback'' alternant le passé, le présent et le futur de la majorité des personnages, ce qui fait que c'est un peu difficile de s'y retrouver.
Malgré tout, au fur et à mesure de la progression de l'histoire concoctée par Christopher Priest et de Ryan North, on finit par rassembler les pièces du puzzle afin d'en comprendre le sens. Les meilleures scènes d'actions surviennent lorsque Flèche Noire rencontre par hasard Spider-Man et qu'il croit que ce dernier est un envoyé du Roi des Inhumans pour les ramener sur Attilan. Avec le tact et l'humour qui fait le charme de notre tisseur préféré, Flèche Noire finit par comprendre que Spidey est plus un allié qu'un ennemi.
Quant aux dessins de Phil Noto & Gustavo Duarte, c'est un sans-faute. Les planches agréables à regarder, les personnages sont bien définis et les couleurs sont bien dosées. En somme, j'ai bien apprécié ma première incursion dans le monde des Inhumans et j'ai le goût de m'y replonger très bientôt. Bonne lecture ! Je lui donne un 7/10
Je vais sûrement semer l’hérésie, mais ce que cette série m’a déçue. L'histoire en tant que telle n'est pas mauvaise mais c'est surtout les dessins que j'ai trouvés plutôt laids. Est-ce parce que mes attentes étaient trop élevées, probablement, mais je ne m'attendais pas du tout à ceci.
Cependant, je peux affirmer que certaines planches m'ont ébloui, trop rarement malheureusement, mais la plupart du temps j'ai trouvé ceux-ci bâclées, mal définies ou manquant trop de détails. J'ai surtout trouvé les dessins inconstants.
Quant à l'histoire, ce n'est pas mauvais, loin de là, mais je l'ai trouvée très brouillonne. Parfois, je ne savais plus trop ou j'en était rendu et je devais recommencer ma lecture de quelques pages pour essayer de m'y retrouver.
Un autre point aussi qui m'a embêté, ce sont les personnages. Effectivement, John Difool ne m'a pas du tout accroché, je l'ai trouvé lâche, braillard, égoïste et surtout détestable. J'ai plus aimé le Méta-Baron et l'Animah ainsi que quelques autres mais en général, les personnages ne m'ont pas accroché.
Bref, pas que j’ai détesté, déçu disons.
Je donne un 6/10 pour la série entière.
C'est vraiment une belle surprise cette BD en 3 tomes mêlant tradition, folklore et le fantastique. Des héros improbables, des créatures de légende se mêlent à des personnages tout ce qu'il y a de plus normales pour en faire ressortir un joyeux melting-pot d'émotions. Les personnages sont tous intéressants, ce qui mènent parfois à des passages autant drôles qu’inquiétants. Et j'ai vraiment accroché au style de dessins qui s'intégrait très bien à ce type d'histoire.
Bref, tout ça pour vous dire que j'ai passé un agréable moment de lecture.
Un beau 8/10 pour moi.
Première incursion dans le monde des Inhumans, je dois avouer avoir été quelques peu décontenancé par les lieux et les personnages faisant partie de cet univers particulier. On retrouve d'innombrables ''flashback'' alternant le passé, le présent et le futur de la majorité des personnages, ce qui fait que c'est un peu difficile de s'y retrouver. Malgré tout, au fur et à mesure de la progression de l'histoire concoctée par Christopher Priest et de Ryan North, on finit par rassembler les pièces du puzzle afin d'en comprendre le sens.
Les meilleures scènes d'actions surviennent lorsque Flèche Noire rencontre par hasard Spider-Man et qu'il croit que ce dernier est un envoyé du Roi des Inhumans pour les ramener sur Attilan. Avec le tact et l'humour qui fait le charme de notre tisseur préféré, Flèche Noire finit par comprendre que Spidey est plus un allié qu'un ennemi.
Quant aux dessins de Phil Noto & Gustavo Duarte, c'est un sans-faute. Les planches agréables à regarder, les personnages sont bien définis et les couleurs sont bien dosées.
En somme, j'ai bien apprécié ma première incursion dans le monde des Inhumans et j'ai le goût de m'y replonger très bientôt. Bonne lecture !
Je lui donne un 7/10
Pour commencer, je dois avouer que je ne suis pas nécessairement le public visé par les films, romans et BD traitant de guerres réelles et historiques. Finalement, tout ceci pour dire que je ne suis pas le mieux placé pour vous conseiller ou pas ce style littéraire.
Pour un néophyte comme moi, je dois avouer avoir été surpris par le rythme de l'histoire. Tout se passe dans un intervalle très court de quelques heures seulement. C'est principalement l'histoire d'un soldat, plutôt solitaire, qui fait fi des ordres donnés pour agir selon ce qu'il croît être le meilleur choix. Admirés de ses pairs, tête forte pour ses supérieurs et respectés par ses ennemis, c'est un Lucky Luke militaire mais sans l'humour qui vient avec. Je ne sais pas si c'est inspiré d'un vrai événement s'étant déroulé durant la 2e guerre mondiale ou d'une fiction ayant pour thème cette guère, mais mon appréciation n'en demeure pas moins véritable. J'ai me suis vraiment attaché au personnage principal, George et j'ai trouvé son historique franchement intéressant.
Quant aux dessins, j'avoue avoir été surpris par le style. Celui-ci est de nature réaliste vu le sujet traité et j'ai trouvé certaines planches magnifiques et très bien détaillées tandis que d'autres me laissaient un peu plus perplexe. Mais en général, je considère que c'est une très belle BD.
Le seul point véritablement négatif, c'est que la traduction en français de certains passages et de certains mots m’ont fait me questionner à savoir exactement ce que l’auteur voulait dire ou exprimer. Mais heureusement, ce ne fut pas le cas du début à la fin.
Pour un premier album et sachant que celui-ci doit avoir une suite, je n'hésiterais pas à me l'acheter lors de sa sortie. J'ai été agréablement surpris par cette BD militaire de 86 pages.
Je lui donne un mérité 7/10 !
Les Légendaires - Tome 17 à 20
Série d'Héroic-Fantasy édité par les Éditions Delcourt
Scénario, dessin et couleurs de Patrick Sobral
Tout ce que je peux dire sur cette série d'Héroic-Fantasy à destination des enfants et jeunes ados en premiers lieux, c'est que Delcourt tient vraiment un filon d'or. Comme on dit pour les Tintin, c'est du 7-77 ans sans exceptions.
Ce sont mes enfants qui m'ont fait découvrir cette série. Le pire, c’est que ça nous a pris presque une année complète à en terminer la lecture de la série car je devais fonctionner sur réservations à ma bibliothèque municipale ainsi qu'aux bibliothèques de mes deux garçons, l'un au primaire et l'autre au secondaire. C'est vous dire la popularité !
J'ai pris autant de plaisir qu'eux à lire cette série et probablement qu'à leurs âges, ça aurait sûrement été ma série préférée. C'est original, c'est drôle, c'est plein d'actions, les rebondissements arrivent les uns après les autres, c’est imprévisible car les héros ne sont pas immortels, et en plus les dessins sont magnifiques ! Patrick Sobral est un vrai génie.
C'est simple, si vous avez des enfants, c'est un indispensable à leur faire lire et sinon, faites-vous plaisir car c'est une série tout simplement géniale !
Note globale de la série : 9/10 et je me suis retenu.
Marvel Legacy - Deadpool, tome 1 - Deadpool tue Cable
Éditeur: Panini Comics France
Résumé: "Deadpool est de retour, mais il a bien changé. Fini le héros adulé des foules, après ce qu'il a fait au cours de Secret Empire, le voici revenu à sa personnalité de "mercenaire maléfique". Sa première cible ? Cable, son ancien allié ! Deadpool en veut aussi à Spider-Man et les deux anciens amis s'affrontent. De leur côté, Cable et son équipe X-Force enquêtent sur la mort étrange d'un Externel...
Une nouvelle ère commence pour le Mercenaire Disert, Spider-Man et Cable, avec de nouvelles aventures signées Gerry Duggan, Scott Koblish, Robbie Thompson, Chris Bachalo, Ed Brisson et Jon Malin."
Mon avis : N'étant pas très familier avec Deadpool, l'antihéros déjanté de Marvel, j'étais curieux de plonger dans la lecture de cette nouvelle série consacrée à ce mercenaire sans scrupules.
La première histoire est vraiment bien, c'est du bonbon même. C'est un non-stop d'action, Deadpool est souvent hilarant et les dessins sont bien, même très bien parfois. Pour celle-ci, je lui donne un 9/10.
Cependant, ça se gâche pas à peu près pour la seconde histoire, celle avec Spider-Man. L'histoire est confuse du début à la fin et que dire des dessins !!! J'ai tout simplement détesté ceux-ci. Je n’ai jamais vu un Spider-Man/Peter Parker si mal dessiné, ça m'a vraiment déçu. Un 2/10, pas plus.
Pour la 3e histoire, celle de Cable avec les X-Force, je l'ai trouvé intéressante. Le rythme est bien et les personnages sont intrigants. Quant aux dessins, ils sont beaucoup mieux que ceux de la deuxième histoire. Je donne un 6.5/10 pour celle-ci.
En conclusion, je donne seulement un 6/10 a l'ensemble de ce premier numéro, note très décevante du a la deuxième histoire vraiment pénible à lire. Dommage.
Cinquième album d'une série consacrée à Mickey et ses compagnons selon le principe de vu par des auteurs différents, le moins que je puisse dire, c'est que les dessins sont tout simplement magiques ! Chaque planche est unique et de toute beauté. De ce côté, absolument rien à redire.
Pour l'histoire, c'est quand même intéressant. On retrouve Mickey, Minnie et Dingo dans un univers steampunk, ce qui contraste habituellement avec ce que l'on connaît d’eux. Ils sont à la recherche de source d'énergie, avec comme compétiteur leur adversaire de toujours, Pat Hibulaire. L'histoire est très bien, originale même, mais il manque l'humour et la touche enfantine qui fait le Mickey que l'on connaît. Dingo est méconnaissable, surtout.
Un album de très grande qualité et peut-être une future BD de collection. Mais à cause d'une trop grande dénaturation des personnages de mon enfance, je lui donne seulement un 7/10. Malgré tout, je le recommande à tous.
Série surprenante s'il en est une, c'est bien celle-ci. D'un premier album très drôle, amusant mais un peu enfantin, on évolue constamment au fil des tomes en même temps que les personnages de la BD. Tout en gardant un fond humoristique, la psychologie des personnages évolue à chaque numéro, on y retrouve même une histoire de tueur en série dans le numéro 6, un album apothéose.
C'est l'histoire de trois amies, Vicky la "Bitch", Jenny la "Conne" et de Karyne, la "faire-valoir" des deux premières. Ça se déroule durant la dure pénible période de l’adolescence ou on apprend à se connaître et ou on se définit pour une bonne partie de notre vie.
Jenny est la plus belle fille de l'école, mais son QI est tout l'inverse. Mais lorsque l'on apprend l'éducation qu'elle a reçue, on comprend les raisons de sa superficialité. Ce n'est qu'une fille qui recherche de l'attention, ce qui est légitime dans son cas.
Ensuite Vicky, probablement le personnage principal de la série. C'est la manipulatrice du trio, celle qui fait faire à Jenny tout ce qu'elle veut et qui se sert de Karyne pour faire ressortir leurs beautés tout en rabaissant constamment cette dernière. Elle est vraiment haïssable comme personnage, mais c'est comme pour Jenny, plus on en apprend sur sa vie familiale et plus on en vient à avoir pitié d'elle.
Quant à Karyne, c'est l'intellect du groupe, celle qui a un cœur gros comme tout, qui veut constamment faire plaisir et qui croit que tout le monde est pareil qu’elle-même. Mais elle se fait constamment dévalorisée par ses deux amis qui la traitent de moche et font tout pour qu'elle garde cette image. Mais ça c'est jusqu'à celle-ci rencontre son amoureux, Dan, qui va l'aider à prendre confiance à elle au grand dam de ses 2 amies. C'est peut-être Vicky le personnage principal, mais c'est Karyne qui est le pivot de cette série. C'est elle qui évolue le plus rapidement tout au long de la série et celle vers qui ses deux amis veulent constamment obtenir son approbation et son amitié.
Les dessins, quant à eux, sont très adaptés à ce genre de série. C'est attirant à l'œil, c'est coloré, c'est très beau et l'évolution de ceux-ci se font en même temps que nos personnages évoluent. C'est vraiment très agréable à regarder.
Un point que je voulais mentionner, c'est que j'ai découvert que cette série est l'œuvre de 2 autres "Bédéistes" québécois, soient Maryse Dubuc et Marc Delafontaine. Ce n'est qu'en terminant la lecture du dernier tome et en m'apprêtant à rédiger mes impressions de cette série que j'ai découvert cette information. Je me rends compte que nous avons du talent, mais vraiment de superbes talents dans notre belle province ! Il faut les encourager, ils le méritent !
Tome 1 : 7.5/10
Tome 2 : 6.5/10
Tome 3 : 7/10
Tome 4 : 6.5/10
Tome 5 : 8.5/10
Tome 6 : 9.5/10
Tome 7 : 9/10
Appréciation globale : 8.5/10
Tome 8 : Sortie prévue le 9 novembre 2018
Lecture que je viens de terminer, j'en avais entendu parler mais sans plus. Quelle erreur !
Mais j'étais sur quelle planète ??? C'est toute une claque que je me suis pris ! Je vais résumer ça en peu de mots, c'est "Une BD SUBLIME" !!!
J'ai été hypnotisé par la beauté des planches, c'est peut-être la plus belle BD que j'ai lue, rien de moins ! Je ne sais pas si ce style graphique peut plaire à tout le monde mais moi, j'ai trouvé ça absolument splendide !
Pour l'histoire, rien de vraiment original mais elle est efficace et bien menée.
Il ne me reste plus qu'à lire les suites avec empressement !
Juste pour la beauté des dessins, cette BD mérite facilement un excellent 9.5/10 !
Lecture terminée. Pas mauvais, loin de là mais pas excellent non plus. Peut-être considéré comme la première grande aventure de Spirou. L'histoire est intéressante, surtout à partir du tiers de l'album mais j'ai surtout eu beaucoup de difficultés avec les dessins. Je considère ceux-ci trop caricaturales, un style avec lequel j'ai beaucoup de difficultés.
Je lui donne quand même un 6.5/10.
Après l'excellent "Le journal d'un ingénu" d'Émile Bravo, la pression devait être forte sur les auteurs qui avaient la lourde tâche de succéder à un tel album !
Je crois qu'on peut dire que c'est mission accomplie. Ainsi, cet album se déroule pendant la seconde mondiale, soit quelques années après celui de Bravo qui, lui, était un prélude à la guerre qui allait se déclarer. Je peux dont dire que le ton et l'ambiance de cette BD sont pratiquement les mêmes que le tome précédent.
La grosse différence pour moi entre ces deux albums, c’est probablement les personnages auxquels je me suis beaucoup moins attachés que ceux du tome 4, à l'exception de Spirou bien sûr qui lui fait montre d'un courage qu'on s'est habitué à côtoyer lors de ses différentes aventures.
Sans atteindre la qualité exceptionnelle du Journal d'un ingénu, le 5e album s'en tire très bien. Un très bon 7.5/10.
Ce troisième intégral conclut de façon magistrale cette épique histoire horreur-fantastique de la famille Locke.
Dans cette saga qui s'étire sur plus de 200 ans, on y apprend l'origine de la fabrication des clés et la raison pour laquelle ceux -ci ont été conçues. On y apprend également le destin funèbre de ce qui a amené Luke "Dodge" Caravaggio à devenir aussi diabolique. Toutes les questions amenées lors des deux premières intégrales trouvent réponses dans cette conclusion, disons-le, tout simplement magistrale !
Les dessins, que dire des dessins, ils sont effrayants, ils sont aussi lumineux qu'ils peuvent être sombres, ils sont surtout majestueux, ils sont parfaits.
Tout dans cette œuvre inspire le respect et l'admiration, et celle-ci doit faire partie du panthéon de la littérature au même titre que les meilleurs romans littéraires. "Masterpiece" !
Sans hésitation, ça mérite la perfection ! 10/10
Chinaman, une BD Western écrite par Serge Le Tendre et dessinée par Olivier TaDuc. Couleurs de Nadine Voillat et Olivier TaDuc. Participation au scénario : Chantal.
"Dans la seconde moitié du XIXe siècle, un Chinois parcourt les plaines de l'Ouest américain. Rejetant le joug des triades, John Chinaman, ancien mercenaire, s'élance à la découverte d'un monde nouveau."
Tome 7 - Affrontements a Blue Hill
"A Blue Hill, l'installation de nouvelles familles chinoises attise le mécontentement de la population qui voit d'un mauvais oeil l'arrivée de ces étrangers, alors même que les lois d'exclusion viennent d'être votées. C'est dans ce climat social tendu qu'arrivent dans la région le maître d'une école d'arts martiaux et ses élèves, venus affronter en combats singuliers le légendaire Chinaman."
Chinaman, maintenant devenu une légende malgré lui, doit défendre non pas son honneur mais sa vie. Sa renommée est telle qu'un maître d'école de combattants chinois doit relever le défi de combattre et vaincre Chinaman afin de prouver sa valeur auprès des triades chinoises. Chinaman, qui n'aspire qu'a une vie paisible en compagnie de sa femme Ada, n'a d'autres choix que de relever le défi malgré le désaccord de cette dernière puisqu'elle craint de ne jamais le revoir.
Dans la même période, la petite localité de Blue Hill accueille de plus en plus d'étrangers chinois, aux grands déplaisirs de la population locale. Mené comme toujours par un leader blanc, la population n'attend qu'un prétexte afin de pouvoir déchaîner leur colère sur ces étrangers, ce qui bien sûr arrivera rapidement.
C'est dans un contexte de tension raciale qui ressemble beaucoup a ce qui se passe présentement un peu partout dans le monde qu'évolue l'histoire de ce magnifique album. La non acceptation des différences, la peur des étrangers et la peur de se faire voler leurs terres ainsi que leurs emplois sont des enjeux que l'on retrouve encore maintenant, a notre époque. A croire que l'on évolue pas énormément comme société dite évoluée.
Dans toute cette histoire, c'est finalement Chinaman qui malgré le fait qu'il essaye d'avoir une vie paisible, en paye le prix avec cette fin qui est d'une tristesse injuste pour ce dernier.
L'histoire est accompagnée de dessins magnifiques comme dans les albums précédents. Les expressions de haine, de tristesse, de rage, de déceptions sont nombreuses et donnent vie aux planches pour en faire de vraies réussites visuelles.
Un bon 8/10 qui donne le goût de lire la suite.
Première incursion dans le monde de Valiant Comics (édité par Bliss Comics en France), ce premier intégrale de X-O Manowar frappe fort, très fort même.
Recommandé par des amis, je leur en veux car je vais être obligé de m'intéresser a un univers de plus par leur faute ! Non, je blague, c'est vraiment excellent, c'est de la fichu bonne science-fiction mêlé a du fantastique et le tout très bien écrit. J'ai lu cette brique en quelques jours seulement tellement j'étais immergé dans cette histoire.
J'ai adoré les dessins, ceux-ci sont vraiment spectaculaires par moment et rendent bien les sentiments des personnages. Le seul reproche que j'ai est que j'ai moins aimé lorsque les dessins étaient entièrement fait par Cary Nord. Mes préférés étaient ceux faits par Doug Braithwaithe.
Pour résumé, c'est toute une entrée dans le monde Valiant pour moi et ça m'oblige a vouloir en savoir plus sur cet univers !
Un excellent 8.5/10 !
Une aventure de Spirou et Fantasio par... Émile Bravo
4- Le journal d'un ingénu
Scénario & Dessin : Émile Bravo
Couleurs : Delphine Chedru avec la participation de Rémi Chaurand
Éditeur : Éditions Dupuis
"1939. Comment un adolescent qui tient des portes dans un hôtel peut-il se révéler et devenir le jeune aventurier que nous connaissons ? Pourquoi celui-ci chosira-t-il de garder sa livrée de groom ? A-t-il été amoureux ? A-t-il une conscience politique ? D'ou vient son amitié indéfectible avec Fantasio ?
Et qui est ce Fantasio ? Et Spip ? Derrière toutes ces questions, se cache un terrible traumatisme qui nous affectera tous..."
Véritable "Coup de coeur" pour moi que ce 4e album de la série alternative "Une Aventure de Spirou et Fantasio par..." ! Encensé par la critique autant que par les lecteurs, c'est avec une certaine fébrilité que j'entamais la lecture de cette BD que je considère maintenant comme un indispensable !
On y découvre un Spirou jeune et naif qui ne connaît pas grand chose en dehors de son travail de groom. C'est un garçon poli, respectueux, enjoué, dévoué et prêt a rendre service a n'importe qui.
Grâce a une jeune fille qui travaille au même hôtel que lui, le bien nommé "Moustic Hotel", notre ami Spirou y rencontrera l'amour pour la première fois mais pas seulement ça. Celle-ci fera tout pour ouvrir les horizons de Spirou en le conscientisation sur les actions et les décisions qu'il peut prendre, afin de lui faire comprendre que tout ce qu'il fera affectera d'une manière ou d'une autre son entourage.
J'ai adoré la relation qu'il entretient avec Spip et de la façon dont celui-ci a évolué. C'était magistral ! Par contre, le début de la relation avec Fantasio m'a quelque peu déçu, trouvant Fantasio un peu trop enfantin.
C'est écrit avec intelligence, fidèle a l'esprit de Spirou, avec un humour efficace mais contenu étant donné le contexte menaçant que représentait la crainte d'une guerre mondiale.
Quant aux dessins, on se croirait vraiment dans une BD sortie directement des années '30-'40 ! Ceux-ci conservent l'esprit vieillot de l'époque et sont tout simplement magnifiques.
J'avais de gros doutes malgré toutes les critiques positives envers ce volume, mais ceux-ci se sont vite évaporées. C'est sans difficultés que celui-ci se retrouve dans mon top 5 des albums de Spirou et Fantasio.
Un Incontournable ! 9.5/10
Lecture terminée du 2e intégrale de Locke & Key et, wow, que dire, c'est du grand Art ! Tout simplement.
Quand je vois des dessins de cette envergure comme ci-bas, je suis sans voix ! Époustouflant !
Ne reste plus qu'a attendre l'appel de ma bibliothèque lorsque le 3e tome intégrale sera disponible et je m'attaquerais sans tarder a la lecture de cette conclusion qui, je l'espère, sera aussi épique que les deux premiers intégrales !
Je viens de terminer la lecture de cette excellente BD. C'est amusant, c'est vivant, c'est jolie, c'est rythmé et surtout c'est remplie de personnages attachants.
Nos deux protagonistes principaux, MacGuffin & Alan Smithee, bien que mal assortis, sont amusants a suivre et surtout très drôles ! D'ailleurs le personnage MacGuffin me fait beaucoup penser a l'héroine de l'excellent jeu PC "No One Lives Forever" sortie en 2000.
Bref, l'histoire est amusante et les dessins sont magnifiques ! Un autre BD québécoise a lire sans faute !
Vivement la suite !
9/10
Après 320 pages de lectures intensives, je viens de terminer la lecture de cette sorte de biographie imaginaire de l'un des vilains les plus emblématiques de l'univers Marvel.
Effectivement, ce recueil d'histoires nous racontent les origines de ce Titan a travers ses premières apparitions dans plusieurs aventures de différents héros Marvel. Que ce soit Iron Man, Thor, Adam Warlock, Captain Marvel, Spiderman ainsi que les Avengers, cet être cosmique s'avère l'un des plus puissants ennemis que chacun de ces personnages aient affrontés.
Création de Jim Starlin, celui-ci a créé son Titan Thanos avec un égo démesuré, lui octroyant une force phénoménale, une folie des grandeurs et une adoration sans borne non pas de la vie mais de la mort. Ce dernier aspire bien entendu a devenir un Dieu et son attirance de la mort le pousse a faire tout ce qui lui semble juste a ses yeux. Provoquer la destruction de planètes entières, de civilisations entières et même d'univers entiers ne lui fait aucun pli si c'est dans le but d'obtenir le ou les objets de ses désirs, soit le cube cosmique ou le gant de l'infini principalement.
Étant donné que cette brique est un condensé de plusieurs histoires différentes a travers les décennies, que ce soit du début des années '70 aux années récentes, certaines histoires sont inégales. Par contre, je considère que c'est une lecture essentielle pour tout amateur de comics voulant en savoir plus sur qui est Thanos, le protagoniste principal du MCU actuel.
Pour les dessins, nous avons droit a du moyen (rares), mais, surtout a de l'excellent. Certains planches sont tout simplement exceptionnelles et représentent merveilleusement bien toute la folie et la soif de pouvoir que recherche Thanos.
Pour la qualité de l'album, des histoires, des dessins et de la compréhension de ce que représente le titan Thanos, je lui donne un excellent 7.5/10.
Je suis Thanos !
512 pages de bonheurs, oui, 512 pages de bonheur ! C'est ce que j'ai ressenti tout au long du premier intégral de "Geoff Johns présente Green Lantern" Tome 1 - Sans peur !
Moi qui ne connaissait pas beaucoup ce personnage, j'ai été conquis par les les histoires racontées dans cette brique que j'ai dévoré en a peine deux jours.
Quant aux dessins, je suis abasourdis ! Ils sont absolument magnifiques et que dire des illustrations représentant les scènes de combat, celles-ci sont éblouissantes, on se croirait presque dans un film !
Dire qu'il y a déja 3 autres intégrales de sortis et un autre a venir en 2018. Du bonbon !
Pour amateurs de science-fiction et de superhéros comme moi, c'est un incontournable !
9/10
Premier tome de la nouvelle série "Shelton & Felter" du québécois Jacques Lamontagne, "La Mort Noire", je dois avouer que j'ai trouvé ce premier album excellent. C'est une histoire qui se lit d'un trait acccompagnée de dessins splendides sur lesquels les détails sont juste épatants.
Quant aux deux personnages principaux, ceux-ci, bien que très différents l'un de l'autre, se complètent très bien et deviennent de plus en plus attachants au fur et a mesure de la progression de l'enquête. Ce sont les Sherlock Holmes et Dr. Watson québécois !
Je tiens a donner une mention spéciale au superbe "cahier graphique" de la fin. Plein de détails savoureux sur l'histoire de la création des personnages de Shelton & Felter ainsi que sur le triste drame véridique a partir duquel l'histoire de cette BD a été créé. Une excellente idée !
Pour conclure, c'est une BD que toutes personnes amateur d'enquête policière se doit de lire, je la conseille sans hésiter !
Chinaman, une BD Western écrite par Serge Le Tendre et dessinée par Olivier TaDuc. Couleurs de Céline Puthier.
"Dans la seconde moitié du XIXe siècle, un Chinois parcourt les plaines de l'Ouest américain. Rejetant le joug des triades, John Chinaman, ancien mercenaire, s'élance à la découverte d'un monde nouveau."
Tome 5 - Entre deux rives
"Afin d'échapper a une bande de tueurs sans scrupules, Chinaman, accompagné d'une jeune femme, Ada Waters, s'embarque sur un radeau. Ils n'ont pas d'autre choix que de s'enfoncer au coeur du territoire des Paiutes, Indiens en guerre contre les Blancs."
Un autre excellent album de cette BD western. Chinaman, suite a un mandat d'arrêt émis contre lui, se fait capturer par des chasseurs de primes. Il ne restera pas prisonnier longtemps et alors qu'il s'enfuit, il aperçoit des truands qui pourchasse une femme qui traîne un chargement mystérieux. Chinaman prend la défense de la femme ainsi que les chasseurs de primes qui veulent arrêter les bandits. Le chef de ces derniers réussit a s'enfuir et reforme une équipe afin de traquer Chinaman, Ada et l'un des chasseurs de primes a qui il a sauvé la vie. S'ensuit une course-poursuite a travers un territoire indiens hostile aux blancs.
Cette histoire m'a tenu en haleine du début a la fin. Ada, la mystérieuse femme, ne peut sentir Chinaman suite a certains préjugés qu'elle avait envers lui mais a force de fraterniser avec notre ami, celle-ci finit par s'amouracher de celui-ci. La fin apporte également un vent d'optimiste pour le futur de notre cowboy. Curieux de voir comment l'album suivant va se dérouler.
Les dessins sont excellents comme dans les albums précédents, rien de spécial a rajouter. Les décors sont toujours magnifiques et les personnages sont très bien détaillés. On se penserait vraiment a l'époque du farwest ! Un album magnifique.
8/10.
On y retrouve Zantafio qui rêve toujours de devenir un riche et puissant de ce monde. Et il y a Spip, que je trouve beaucoup plus présent et amusant avec ses commentaires sarcastiques que dans les albums précédents. Et quel plaisir de retrouver notre cher ami, le Marsupilami. Oui il a sa propre série, mais j'ai toujours préféré lorsqu'il faisait équipe avec nos deux aventuriers.
Pour les dessins, ceux-ci également semblaient plus ressembler a ce que Franquin faisait a son apogée, selon mon humble opinion. Est-ce parce que le marsupulami était présent que ça me donnait cette impression ? Peut-être, mais ça ne m'empêche pas de les avoir trouvés magnifiques. Et que dire de la couverture ? Celle-ci est splendide !
Au final, c'est un album qui m'a fait du bien et que j'ai dévoré.
9/10
PS. Avec la pause de la série principale de Spirou, soit celle-ci, j'espère que les Éditions Dupuis vont revenir sur leur décision et poursuivre sur la même veine que ce dernier tome car je serais très déçu que cet album en soit le dernier.
Premier album d'une série alternative en marge de la série dite régulière, on a droit a une première aventure ressemblant plus aux Tintin de Hergé qu'au Spirou de Franquin. L'histoire est intéressante dans l'ensemble mais il elle lui manque un petit quelque chose pour la rendre plus passionnante.
Pour l'une des rares fois, Spirou et Fantasio sont confrontés l'un a l'autre avant de finalement se réconcilier. Un autre détail qui m'a chatouillé un peu, Spip, qui n'était que très peu illustré, ce qui m'a dérangé un peu car celui-ci fait partie intégrante de l'univers de notre groom favori depuis les débuts.
Quant aux dessins, j'ai eu beaucoup de difficulté a les apprécier. J'ai trouvé les personnages très caricaturaux et les expressions de ceux-ci, beaucoup trop exagérés, ce qui m'a un peu déconcerté. A l'exception des personnages, les décors par contre sont dignes du travail que Yoann effectue dans la série régulière.
Finalement, pour un premier tome d'une nouvelle série, je me suis senti mi-figue, mi-raisin. Je lui donne un 6.5/10.
Chinaman, une BD Western écrite par Serge Le Tendre et dessinée par Olivier TaDuc. Couleurs de Céline Puthier.
"Dans la seconde moitié du XIXe siècle, un Chinois parcourt les plaines de l'Ouest américain. Rejetant le joug des triades, John Chinaman, ancien mercenaire, s'élance à la découverte d'un monde nouveau."
Tome 4 - Les Mangeurs de Rouille
"Sur le chantier du Transcontinental, Irlandais et Chinois se livrent une compétition acharnée. Contre son gré, Chinaman va être mêlé a cet affrontement meurtrier et devra protéger les siens."
Parmi les quatre premiers albums, c'est celui jusqu'a présent qui m'a le moins accroché. Il n'en demeure pas moins très bon, mais contrairement aux trois premiers tomes, je me suis moins attaché aux autres personnages.
L'apport des chinois a la construction du chemin de fer d'un océan a l'autre est intéressant mais mal exploitée a mon avis. La confrontation avec les irlandais est trop courte et je crois que l'histoire aurait dû être développée sur deux tomes. Chinaman n'en demeure pas moins charismatique et demeure le défenseur du pauvre et de l'orphelin.
Quant aux dessins, ceux-ci sont toujours aussi magnifiques et détaillés. Les contrées explorées au fil des aventures de Chinaman sont très bien représentées par des planches d'une beauté indéniable. Un album très beau a parcourir.
Je lui donne un 7/10.
"Retenu prisonnier par les forces nord-vietnamiennes, Tony Stark, un milliardaire fabricant d'armes, conçoit une incroyable armure a la technologie de pointe pour échapper a ses ravisseurs. Décidé a changer de vie, il se sert des capacités extraordinaires de l'armure qu'il a créée pour revêtir l'identité du super-héros Iron Man, et secourir les personnes en danger.
Dans l'Homme au Masque de Fer, Tony fait face a son plus grand défi : son ennemi est sa propre armure. Commandée par une intelligence artificielle malfaisante qui semble connaître Tony mieux qu'il ne se connaît lui-même, l'armure menace d'anéantir son créateur. L'homme se bat contre la machine dans ce récit plein d'action qui vous tiendra en haleine jusqu'a la dernière page !"
Quelle claque ! Après avoir été très déçu par l'histoire proposé par Hachette Collections dans le précédant album portant sur l'Incroyable Hulk, cette fois-ci, l'éditeur nous en donne pour notre argent.
La première histoire, on l'a connaît tous, celle d'un Tony Stark se faisant capturer par un tyran et qui doit fabriquer une arme pour ce dernier. Finalement, Stark, blessé au coeur par des éclats d'obus, en profite pour créer une armure qui deviendra son garde du corps et alter-égo : Iron Man !
Pour l'histoire suivante, cette-fois ci, Tony Stark doit lutter contre lui-même, ou devrais-je dire, une armure dotée d'une intelligence artificielle doublée d'une véritable entité autonome et vivante. Connaissant aussi bien Tony que celui-ci se connaît, Iron Man veut prouver a Stark qu'il peut lui faire confiance et qu'en réunissant leurs forces, il deviendrait une seule et même entité ultra-puissante. Hélas, ce n'est pas vraiment ce qui arrive.
J'ai été emballé par cette dernière histoire écrite par Joe Quesada. On ressent le questionnement existentielle de Stark sur la vie qu'il mène. Malgré ses amours, son argent, son génie et ses amis qui l'entourent, Tony ne se sent pas le plus heureux des hommes. Est-ce parce qu'il ne sait pas s'il doit avouer ses sentiments a la femme qu'il aime ? Ou parce qu'il craint de révéler son identité secrète et ainsi mettre ses proches en péril ? Ou alors et surtout, peut-il faire confiance a son armure doté de vie ? Pleins de questions qui ne trouvent pas nécessairement de réponses mais qui ajoutent de la profondeur a notre ami Tony Stark et son alter-égo Iron Man.
Quand aux dessins, j'ai été subjugué par ceux-ci. Les combats sont superbement illustrés, on ressent les coups portés et on a l'impression de les voir pratiquement se concrétiser devant nos yeux. Pour l'expression des sentiments et des états d'âme, ceux-ci sont reproduits de façon presque réel et on y croit vraiment. Et que dire des couleurs ? Jamais je ne trouvé l'armure d'Iron Man aussi jolie que dans cet album.
Vraiment, j'ai été emballé par ce volume et je ne suis aucunement mal a l'aise de le recommander a tout ceux qui voudrait se familiariser avec l'univers de l'homme de fer: Iron Man.
Un 9.5/10 amplement mérité !
Hors-série de Sillage intitulé "Le Collectionneur".
Une BD qui vaut la peine surtout pour les magnifiques illustrations de Navis ! Quant a l'histoire, elle nous permet de savoir qui tire les ficelles et qui est le plus grand commanditaire de Navis. Et cela sans qu'elle le sache.
Une BD graphique qui est vraiment agréable a regarder !
7/10
Spirou & Fantasio
H.S. 05 - Les folles aventures de Spirou
Scénario : Fabien Vehlmann
Dessin : Yoann
Couleurs : Hubert et Laurence Croix
Dans ce numéro hors-série de Spirou & Fantasio, on y retrouve plusieurs histoires courtes qui sont apparues au courant de la dernière décennie dans le Journal de Spirou.
J'ai trouvé les histoires très inégales, quelques unes sont excellentes tandis que d'autres sont ennuyeuses. Les dessins sont quand même agréables comme d'habitude mais parfois, ils donnaient l'impression d'être plus enfantins.
A l'exception du Journal de Spirou, c'est la première fois que l'on retrouve dans un album le nouveau personnage incarné par Spirou, celui du nouveau super-héros de Dupuis, Supergroom. Personnage que l'on retrouvera dans une série de trois albums lors des prochaines années.
Si l'engouement est au rendez-vous, peut-être que le futur sera plus positif pour l'avenir de Spirou. Un 5.5/10
Chinaman, une BD Western écrite par Serge Le Tendre et dessinée par Olivier TaDuc.
"Dans la seconde moitié du XIXe siècle, un Chinois parcourt les plaines de l'Ouest américain. Rejetant le joug des triades, John Chinaman, ancien mercenaire, s'élance à la découverte d'un monde nouveau."
Tome 2 - À Armes égales
"Après avoir tué son maître, Chinaman doit fuir San Francisco. Mais il sait que Chow, son ancien compagnon d'armes, reste déterminé a le punir et leur confrontation est inéluctable."
J'ai trouvé ce deuxième album encore meilleur que le premier. L'histoire m'a tenu en haleine du début a la fin et j'ai trouvé les dessins encore mieux définis. L'ultime affrontement inévitable entre les deux anciens frères d'armes, Chinaman & Chow, mérite a lui seul le coup d'oeil. C'était vraiment spectaculaire et convaincant !
Après 2 albums de lus, je conseille vraiment la lecture de cet excellent Western. Un 9/10 !
Chinaman, une BD Western écrite par Serge Le Tendre et dessinée par TaDuc.
"Dans la seconde moitié du XIXe siècle, un Chinois parcourt les plaines de l'Ouest américain. Rejetant le joug des triades, John Chinaman, ancien mercenaire, s'élance à la découverte d'un monde nouveau."
Tome 1 - La Montagne d'or
"Tueur implacable, Chinaman débarque a San Francisco chargé par les doyens de Canton de remettre au pas les triades locales. Ce sera sa dernière mission. Dès lors, son destin sera irrémédiablement lié a une Amérique en pleine expansion."
Suggéré par le "Paperman" lui-même, Marc Gagnon, cette BD me fait beaucoup penser par son introduction a celle du Lieutenant Blueberry de même qu'a celle du légendaire pirate Barbe-Rouge, deux séries qui font parties de mon panthéon des BD.
L'histoire est sans doute des plus communes mais elle se laisse agréablement lire. Histoire de trahison, vengeance, d'amour, d'honneur et/ou d'amitié, des valeurs qui seront mises a rudes épreuves dès ce premier tome. Les dessins, quant a eux, sans être spectaculaires, sont méticuleux, sobres et précis, tout en laissant la place a la mise en situation de l'histoire. Et pour le personnage principal, John Chinaman, on s'attache rapidement a lui, malgré son air bourru.
En bref, un très bon premier tome que je recommande fortement.
J'aime bien cette nouvelle série québécoise. Je viens de terminer la lecture du deuxième tome et comme le premier, ce sont plusieurs petites histoires qui viennent s'imbriquer les unes avec les autres pour finalement donner de petites réponses dans chacune de celles-ci. Et les dessins, je les trouve vraiment jolis et attirants.
Jimmy et et sa soeur Lupe se complètent très bien malgré leurs énormes différences de caractères. C'est une série qui, a mon avis, a un fort potentiel pour devenir éventuellement lors de sa maturité, une saga phare pour le Québec.
C'est une autre bonne série pour les parents qui veulent essayer d'attirer leurs enfants vers la lecture et plus particulièrement les bandes dessinées. Et comme toujours avec les séries jeunesses, les plus vieux peuvent également trouver leur compte avec celles-ci.
J'avais le goût de lire quelque chose de léger ce soir et quoi de mieux que du Gaston Lagaffe.
La collection "Gaston Selection" regroupe les meilleurs gags de Gaston par catégories. Ce tome S5, est consacré aux nombreuses tentatives infructueuses de l'homme d'affaire Monsieur De Mesmaeker, de signer les contrats dont on ignore tout du contenu. Bien entendu, notre commis de bureau préféré fera avorter de toutes les manières inimaginables la signature de ces fameux contrats, et cela de façon purement accidentel a tout coup !
Comme toujours, malgré le fait que j'ai lu plusieurs fois tout les Gaston, c'est inévitable, je ris toujours autant. Gaston, et bien, c'est Gaston.
Franquin était un véritable génie !
Sillage complété ! Je suis rendu au même point que ceux qui ont lu cette superbe série de science-fiction, soit celui d'attendre avec impatience le 20e tome.
Ce 19e album par contre, est peut-être l'un de ceux que j'ai le moins aimé de cette saga. J'ai trouvé l'intrigue un peu trop brouillonne, probablement dû au fait que l'histoire était raconté de façon déchronologique.
L'autre point que j'ai moins aimé, c'est la place qu'occupait Navis dans ce volume. Elle était relégué au second plan pour laisser plus de place a son fils et malgré que celui-ci devient plus sympathique au fil des albums, je préfère quand même de beaucoup Navis.
Je sais par contre, qu'a chaque fois qu'un tome me plaisait un peu moins, le suivant était excellent. Pour les dessins, comme d'habitude, ceux-ci sont toujours aussi magnifiques.
Mon avis : 6.5/10
Lecture terminée ! J'ai super aimé les premiers numéros mais depuis l'album 14, je suis complètement absorbé par cette magnifique et envoûtante saga ! Un 9/10 pour cet intégral !
Après la conclusion épique des 13 premiers tomes qui a trouvé son lot de réponses dans le 14e album de la série "Sillage - Liquidation Totale", c'est un nouveau cycle qui s'amorce avec l'album suivant "Chasse gardée".
Celui-ci démarre sur les chapeaux de roues si vous me le permettez. Navis doit maintenant trouver de quoi subvenir a ses besoins de même qu'a ceux de ses éternels complices, Snivel et Bobo. Ne travaillant plus pour le gouvernement en place, elle est maintenant a son propre compte et doit se trouver du boulot par elle-même. Son premier contrat consistera a capturer des animaux sauvages afin de les confiner a un autre endroit. Mais les surprises et les dénouements se dévoileront au fil des pages jusqu'a la conclusion qui s'avérera une totale surprise.
Les dessins sont toujours magnifiques et les animaux exotiques de cet album sont vraiment impressionnant. Ce nouveau cycle s'amorce de façon magistrale !
Mon avis : 8.5/10
Lecture complétée et je dois avouer que pour moi, c'est l'album de la consécration ! J'ai comme l'impression que l'on avait prévu la fin de cette saga par cet album car on obtient toutes les réponses laissées en suspens par les tomes précédents.
Les dessins sont a l'image de celle de la couverture, splendides ! Et pour l'histoire, elle est sans temps mort et on achève la lecture avec l'impression que seulement cinq minutes se sont écoulés entre le début et la fin de l'histoire.
Ne reste plus qu'a voir ce que nous réserve la suite des aventures de Navis dans les prochains albums !
Mon appréciation: 10/10 !