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Un tome toujours fidèle aux autres tomes de la série. C'est toujours un plaisir de lire les aventures de Donald et compagnie. Ici, on est plus sur des aventures de 10 pages et plus dans l'environnement où vivent quotidiennement Donald et ses proches. On dénote, ici, l'absence de Picsou dans ce tome.
Néanmoins, rien n'a changé et on passe d'excellents moments.
Une course vers les mers du sud ou une escapade dans le grand nord : Donald, Picsou et leurs neveux ne ratent pas une occasion pour partir à l’aventure. Dernier album pour clore une intégrale riche et conséquente sur l’œuvre de Carl Barks.
Donald, Picsou et leurs neveux explorent une fois encore de nouvelles contrées, des hautes montagnes des Andes jusqu’à l’Afrique profonde, toujours en quête de découvertes fabuleuses. Avant-dernière intégrale marquant la période 1948-1949.
Donald est toujours fauché, incapable d’emmener ses neveux en vacances. Heureusement, l’oncle Picsou leur propose souvent des expéditions à l’autre bout du monde. L’intégrale Carl Barks se poursuit avec des histoires de la période 1947/1948.
Donald ne rate pas une occasion pour partir à l’aventure. Il emmène ses neveux avec lui explorer de nouvelles contrées. Une nouvelle intégrale compilant des histoires courtes sur Donald, ses neveux et Mickey.
Donald emmène ses neveux dans de folles aventures à la recherche d’un trésor de pirates ou du mystérieux anneau de la momie. Ce volume rassemble les premières aventures de Donald imaginées et dessinées par Carl Barks.
Donald accompagne son oncle Picsou dans ses aventures autour du globe, à la recherche de trésors perdus et autres butins incroyables. De nouvelles histoires des canards, scénarisées par le grand Carl Barks.
Les castors juniors ne se laissent jamais impressionner, surtout s'il s’agit de leur oncle Picsou dont les profits dévastent la nature. Le dix-septième tome encore une fois du meilleur de Carls Barks.
Picsou, Donald et leurs neveux partent encore une fois à travers la planète afin de découvrir de nouveaux trésors cachés. Et pas que ! Les dernières grandes histoires dessinées par Carl Barks.
Picsou, l’archi-super-extra-milliardaire, attire sur lui les convoitises les plus folles. Moult escrocs élaborent maintes stratégies pour le dépouiller. Un tome quinze rassemblant le meilleur des histoires de Carl Barks des années 1964/65.
Donald, Picsou et leurs neveux s’embarquent encore dans de nouvelles aventures autour du monde en évitant de croiser une certaine sorcière, Miss Tick. Nouvelle intégrale des meilleures histoires de Carl Barks des années 1963 et 1964.
Picsou, Donald et ses neveux se mettent en quête de la célèbre caverne d’Ali Baba pour y prendre toutes ses richesses. Un treizième tome riche en aventures, toutes pleines d’humour et de bonnes humeurs.
Picsou affronte mille dangers. Même les dieux de la mythologie ne lui font pas peur. Cependant, Miss Tick la sorcière va le mettre dans l'embarras. Une douzième intégrale rassemblant les meilleures histoires de la période 1961/62.
Picsou, Donald et ses neveux partent en quête de la fontaine de jouvence, pour ensuite rechercher le monstre du Loch Stress afin de le prendre en photo. Une onzième intégrale pleine d'aventures et de mystères...
Un volume passionnant qui nous envoie en antarctique, sur un système de double planète, à la recherche des origines de clan McDuck, deux confrontation mémorables de Picsou contre Gripsou ou contre les rapetouts dans un combat mécanique épique. Mais aussi de nombreuses apparition de Géo Trouvetou ainsi que de Grand-Mère Donald et quelques incursions dans les pages du journal intime de Daisy.
Des histoires toujours pittoresques. Quelques grandes épopées, c'est toujours un plaisir de suivre l’œuvre de Barks dans cette intégrale phénoménale.
Donald, Picsou, Riri, Fifi et Loulou seront dans ce tome accompagnés de Grand Mère donald, Gus et Géo trouvetou. A déguster comme une madeleine de Proust.
Nous continuons à suivre l'évolution des canards au cours des années 50. Un vrai plaisir de collectionneur de retrouver ces amis d'enfances mais aussi de nos parents avant nous.
Une collection indispensable pour tous les amateurs de l'homme au canards Carl Barks !
Donald, Picsou et leurs neveux partent une nouvelle fois autour du monde, à la recherche de trésors perdus, découvrant des contrées sauvages oubliées des hommes. Une nouvelle intégrale rassemblant les histoires des années 1956/57...
Première apparition de Gripsou dans ce tome. Picsou quand a lui se bonifie au fil des aventures. C'est toujours un très grand plaisir de retrouver l'homme au canard que ce soit dans des aventures épiques à travers le monde que dans la vie quotidienne de Donaldville et de ses habitants.
Picsou, Donald et ses neveux partent vers de nouvelles aventures qui les amènent à affronter les Rapetous, puis de mystérieuses harpies venue de Colchide. Cinquième intégrale de Carl Barks, couvrant les années 1954-1955.
Donald, Picsou et leur neveux partent à la recherche de lieux mystérieux et mythiques, disparus depuis longtemps, contenant mille et une richesses. 4ème intégrale des 24 tomes composant la série complète des aventures de la famille Duck.
Halloween, c'est sacré ! Surtout pour Riri, Fifi et Loulou qui, avec l'aide de la sorcière Hazel, vont détrousser Donald de toutes ses sucreries. Une nouvelle intégrale de Carl Barks, rassemblant ses histoires canardiennes publiées entre 1952 et 1953.
Un excellent ouvrage sur la compilation des récits de Carl Barks qui éleva au panthéon des personnages préférés des petits comme des grands donald ; archi-super-extra-multimilliardaire Picsou ; ou encore Riri, Fifi et Loulou.
Pour conclure, cette série est longue et au final plutôt chère, je conseille celle-ci aux admirateurs de canards
Avec Romano Scarpa, Mickey est un second Tintin.
C'est ainsi que je définirai le personnage de Mickey ( Topolino) à travers les bandes dessinées du scénariste et dessinateur italien.
On notera de nombreux récits portés sur l'aventure ou sur une enquête policière.
D'autres scénaristes italiens s'inspireront du travail du Romano Scarpa voire aussi de celui de Hergé.
On notera parmi ses réalisations une bande dessinée assez sympathique où Dingo a un cousin qui vit en Afrique et qu'il décide d'aller le rejoindre avec quelques ingrédients empruntés à Hergé (l'Afrique, la vie à l'écart du monde moderne comme Ridgewell dans l'oreille cassée et même une pierre étrange aux propriétés explosives qui font penser à l'étoile mystérieuse dans Tintin).
On prend plaisir à lire les histoires de Romano Scarpa compte tenu de la qualité scénaristique.
On peut comprendre leur succès à travers le monde.
Des BD à découvrir !
C'est en 1954 que paraissent ses premières histoires avec les personnages de Walt Disney. Comme Hergé l'auteur italien met en avant la notion d'aventure lointaine suite à un simple événement. La plupart de ses histoires ne manquent pas d'action et on est très souvent tenu en haleine à la lecture de ses récits. On notera des personnages créés par lui dont Brigitte Mc Bridge, autre compagne de Picsou.
Si les premières histoires sont dérivées de Blanche neige et les sept nains on notera un excellent début avec Donald ou Mickey.
Les aventures de Donald, Rifi, Fifi, Loulou et Picsou écrite et/ou dessinée par le génial Carl Barks.
Dans ce volumineux tome de près de 400 pages, Glénat nous permet de contempler toute l'oeuvre de Barks datant de 1950 avec, outre les personnages sus-cités, Grand-Mère Donald, Gus, Gontran Bonheur et ce qui a certainement servi d'esquisse des Rapetou qui n'apparaissent officiellement que l'année suivante. Un ouvrage remarquable du grand Barks à travers l'Afrique, la Perse, l'Himalaya, à la recherche de trésors fous ou simplement à Donaldville, où les malheurs de Donald nous font rire voire nous émeuvent. Cela m'a replongé en enfance, à Piscou Mag, au Journal de Mickey, à Super Picsou Géant et autres revues Disney.
Prévu en 24 tomes, celui-ci est le premier même si nous n'y trouvons pas les premières histoires de Barks qui seront tout de même publiées dans les derniers tomes histoire que celui-ci soit plus attrayant pour les lecteurs.
Terriblement contemporain – pour preuve les rééditions récentes en kiosque de ces histoires, on y trouve notamment un passage en France où Donald se voit mêler à une affaire d'espionnage et où l'ont constate déjà le regard étranger sur notre pays : un pays de grève incessante. On en rit, un peu jaune en se disant que rien n'a changé, et on se demande si le pauvre monsieur Barks n'a pas été bloqué dans une grève de la SCNF un beau jour.
Je salue également l'énorme travail éditorial qui est proposé, au début, à la fin et également avant chaque histoire, retraçant son écriture et publiant la liste des parutions VO et VF.
J'ai beaucoup aimé, c'est un ouvrage pour les grands grâce à ces éditoriaux fouillés et à cette madeleine de Proust qu'est le travail de Barks mais également pour les petits car, eh oui, Disney passionne toujours autant les jeunes générations.
Merci à Carl Barks d'avoir consacré tant de temps et d'application à nous faire rêver et merci à Glénat pour ce très beau format de publication
Fini ce tome 14 hier (en prenant mon temps, pas plus d'une ou deux par soir, étalé sur quelques temps.. et aussi j''ai réarrangé une partie des étagères, donc je l'avais zappé :lol: )
Pas mal d'inédits, et une bonne partie que je ne connaissais pas parmi les déjà parus :)
Une majorité de canards (11 histoires sur les 12), une avec Mickey plutôt moyenne, et certaines qui m'ont surpris en bien (celle du journal de Daisy).
Sommaire
-Oncle Picsou et la mine de laine !
-Le salaire du labeur
-Dans son journal... Daisy et la farce en bouteille Inédit
-Le passe-temps de Donald Inédit
-Donald, filou cancre !
-Dans son journal... Daisy témoin oculaire Inédit
-Sprinte qui peut !
-Du chahut sur le chalutier !
-Mickey et l'énigme des légumes Inédit
-Les ingestions dangereuses Inédit
-Oncle Picsou et le Mécarapetou Inédit
-Oncle Picsou et la bataille des coffres ! (avec une coquille 'bateille' dans Inducks)
Je viens de finir ce 15ème tome : comme le précédent, quasiment que des histoires de canard ; dont une mixée avec d'autres personnages Disney et une de Blanche-neige et (surtout) les 7 nains : ça nous avait manqués (ou pas).
Bref, comme souvent, il y a des choses appréciables et d'autres non dans ce volume - en particulier pour l'histoire qui lui donne son titre et sur laquelle je reviendrai plus en détail à la fin de ma critique. Parmi les choses négatives, il y a toujours cette impression de scénarios bancals, comme souvent dans les histoires italiennes. Ca se voit en particulier (mais pas uniquement) dans la première histoire, censée parodier Le capitaine Fracasse mais qui en est tellement éloigné que le rapport n'est franchement pas évident. Le patchwork de personnages, mêlant les canards, Blanche-Neige et les 7 nains, le chat du Cheshire d'Alice (nommé Lucifer, comme le chat de Cendrillon, parce que, au point où on en est, pourquoi pas ?) et 2 méchants de Pinocchio, n'arrange évidemment pas les choses.
L'histoire fait apparaître des personnages et crée de nouvelles situations sans véritable logique, et sans que ça choque les personnages. La seule fois où j'ai eu l'impression de quelque chose d'un peu construit, c'est avec l'histoire de l'arc, qui donnait l'impression d'être préparée un peu en aval.
Comme souvent, l'histoire avec Blanche-Neige est particulièrement paresseuse au niveau du scénario : la reine crée un diadème ensorcelé qui endormira Blache-Neige mais cessera de fonctionner si on le lui enlève. Pas grave : la reine est persuadé que personne ne fera le rapprochement (alors que Blanche-Neige s'évanouit juste après l'avoir porté), et elle a raison. Etape suivante : elle sème la discorde entre les nains qui ne sont plus reliés entre eux que par leur seul centre d'intérêt commun : la mine. Heu : et Blanche-Neige ? Elle n'existe plus ? (on est bien dans la même histoire, celle-ci n'est pas partie avec son prince)
Si beaucoup d'histoires souffrent de ce type de problème (pas au même point, heureusement), il y a aussi des bonnes choses. Les dessins ou les discordes entre les canards, notamment Donald et Picsou, sont souvent très amusants. Il y a aussi parfois quelques bonnes idées, comme dans l'histoire avec les coffres-tirelires (même si certains rebondissements sont forcés) ou dans Phil Ature, concurrent industriel, avec un Picsou qui sait se montrer beau joueur à la fin. Le comique absurde et les engueulades entre les personnages fonctionnent bien quand les incohérences ne sont pas trop visibles.
Ce n'est au demeurant pas le problème que j'ai avec Une yé-yé chez les canards. Elle marque l'arrivée de Chris Yé-Yé, une jeune cane qui est aussi la petite-fille de Goldie (ou la nièce dans la préface de Glénat : je n'ai pas trop compris cette différence, d'autant plus que l'éditeur ne l'explique pas par un problème de traduction). Le personnage est attachant et musant et s'insère bien dans l'univers de Donaldville. J'aime bien sa relation avec les triplés, pour lesquels elle représente une sorte de grande soeur ou de grande cousine les poussant à de nouvelles expériences , ou celle avec Picsou, grand-père ronchon mais au final indulgent envers ce nouveau personnage.
Le problème vient plutôt de Goldie, ou plutôt de ce que Scarpa en fait. Qu'elle ait une petite-fille (si c'est bien sa petite-fille, et pas une nièce) qui ne soit pas celle de Picsou, pourquoi pas ? Elle a eu une vie pendant que celui-ci était absent. Elle sait aussi se montrer maline pour pousser Picsou à prendre Chris avec lui. C'est un bon moment de cette BD.
Mais il y a beaucoup plus gênant, d'une part sur ce qu'est devenue Goldie, une cane assez pathétique qui n'a plus qu'à finir les quelques années qui lui restent dans un EHPAD, où elle aurait été maltraitée sans l'intervention de Picsou (que j'aime bien dans ce passage d'ailleurs : il fait le bien mais ne veut pas le montrer, affirmant agir par intérêt), et surtout qui est complètement dévalorisée par rapport à Brigitte, la création de Scarpa. C'est vrai graphiquement : Goldie est loin d'être aussi belle qu'elle l'était dans l'histoire de Barks (et ne parlons même pas de Don Rosa...). Mais c'est surtout vrai dans son dialogue final avec Brigitte, dans laquelle l'auteur lui fait dire qu'elle est dépassée et qu'elle laisse sa place à Brigitte. Je l'interprète comme du "Vire ta création dépassée pour laisser sa place à la mienne qui est vachement mieux" et je trouve ça d'un mépris incroyable envers le personnage et son créateur (qui a pourtant dit qu'il appréciait Brigitte, si je me souviens bien). Au-delà même de l'histoire, ça ne me donne pas une bonne image de Scarpa.