Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 21/11/2024 à 10:55:49 en 0.1939 sec
Une super découverte !
Une claque dans ma face, parce que l'histoire de Samuel pourrait être, finalement, celle de n'importe qui, pourvu qu'il ose faire ce qu'il a vraiment envie...
Le soufflet retombe dans ce dernier tome, me concernant ! J'en attendais sûrement beaucoup trop, surtout pour le personnage de Holden, dont je trouvais l'évolution incroyable (la fin du tome 4 !!)
Cette fin m'a perdue, et surtout frustrée. Je pensais à un mot de fin, quelque chose de consistant pour bien clôturer toutes ces (mes)aventures, mais je n'ai pas été convaincue...
À mon très grand, immense regret.
La série en elle-même demeure l'une de mes favorites malgré ce tome 5.
Yahou ! Une chouette BD jeunesse !
Mon seul reproche serait la trop grande profusion de dialogues parfois.
Le graphisme est super chouette et immersif, les personnages sont à la fois drôles, contrastés et attachants, le récit est prenant, bien trouvé, surprenant. Que demander de plus ?
Un très bon récit !! Autant graphiquement qu'au niveau de ce qu'il transmet. Après avoir lu "L'art de perdre", j'ai été happée par ce récit, par le fort caractère de Lisa et le passé tumultueux de Mohamed. Une très bonne découverte, sur ce thème assez peu présent en littérature qu'est la condition et le passé des harkis.
J'ai adoré la première et grande partie du récit, focalisé sur cette femme extralucide, Rachel, qui a le don de prédire l'avenir. Ce qu'elle veut, elle, c'est aider les autres, leur permettre d'éviter les catastrophe, de sauver leurs proches, d'arriver à temps... Mais dans la société dans laquelle elle vit, tout le monde semble focalisé sur cet aspect de "don", ce qui la transforme en véritable phénomène de foire. Ce qu'elle ressent est si compréhensible, si réaliste.
Les deux autres parties, en revanche, m'ont un peu échappé dans leur fonction. Retranscrire cet épisode par la danse, faire resurgie ce passé...
Ça reste néanmoins un très, très bon album.
Du très bon, ici !
Un récit prenant, sur fond de musique classique et de drame familial, qui embarque le lecteur dans la vie d'un grand pianiste dont la renommée n'est plus à démontrer. J'ai adoré découvrir son histoire, j'ai adoré et détesté ce personnage, mais avant tout, j'ai saisi son passé et ainsi sa manière d'être...
Et quel graphisme !
Autant comme j'ai été transportée par cette première histoire, les trois autres m'ont paru un peu plus "fades". Peut-être est-ce parce que la première était si bonne.
Cette histoire de fil rouge, cette jeune fille qui se retrouve un coup encombrée par ce fil et surtout, ce qu'il représente, un coup absorbée par l'objectif de trouver ce à quoi il est relié... J'ai trouvé tout ceci tellement parlant et poétique ! Ça disait beaucoup de choses. Du coup, les trois nouvelles qui ont suivi m'ont paru beaucoup moins prenantes, parce qu'elles n'avaient pas cette même portée symbolique, métaphorique.
Ça reste quand même un très bel album, et ce dessin !! J'ai adoré.
Wow, quelle lecture ! En plus d'une patte graphique très immersive, ce récit historique pose de bonnes questions, comme l'utilisation de la photographie et son essence, ce qu'elle communique, et toute cette notion de cadre, de contexte de l'image.
L'album, très documenté, m'a fait découvrir tout ce pan historique que je ne connaissais que très peu, voire pas du tout.
À mettre entre toutes les mains !
Je me vois finalement mettre une bonne note à ce récit alors que... la fin m'a complètement échappé ! Quelle frustration !
Ce qui m'a grandement convaincue, en revanche, c'est ce graphisme, cette manière d'appréhender visuellement les personnages, de proposer des silhouettes sans visage mais empreint de vie et d'émotions. Si j'avais eu plus de clés pour saisir le "message de fin", la conclusion de cette histoire, l'album aurait été dans mes plus belles découvertes.
Un récit très prenant et réaliste sur la vie d'un couple qui tente d'avoir un enfant, sans y parvenir. Aimée, notre protagoniste, se voit impactée par tout ce qui l'entoure et s'en trouve presque hypersensible. Ces enfants qui jouent dans le parc, ce petit garçon qui a des chaussures trop petites pour lui, cette jeune maman qui ne voulait pas d'enfants, et ces enfants qui manquent d'attention...
Un récit empreint de réalisme et de sensibilité.
Après avoir lu entièrement la saga en roman, j'avais été un peu frustrée de la fin, mais j'avais plutôt bien adhéré au personnage principal de Léonor.
Ici, non non, je suis passée totalement à côté de tous ces personnages extrêmement artificiels. Certes, je n'oublie pas l'aspect très médiatique auquel se prête Génésis, mais pour moi, c'était trop.
Et même si le graphisme des décors m'a parfois émerveillée (l'espace, l'intérieur du Cupido), je suis totalement restée de marbre face à cette lecture.
Mais je ne doute pas qu'elle plaira à d'autres !
Un album qui fait du bien ! Un récit intergénérationnel qui aborde des questions autour des relations humaines, amoureuses, la vieillesse, aussi, tout en délicatesse, et la sexualité. L'histoire de cette mamie et de sa petite-fille m'a vraiment touchée et... ça fait du bien, je n'ai pas d'autres mots ! Elle nous rappelle que tout est possible dans la vie, si on s'en donne les moyens et/ou qu'on provoque un peu les choses...