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Tout le milieu de la BD en fait des tonnes : "La claque !", "Chef-d'oeuvre de la bande dessinée moderne", blablabla... Il est vrai que les dessins sont splendides. Les teintes créent une belle ambiance. Mais le scénario... bof, bof. D’abord, c’est une enfilade de sketches. Vous prenez le sketch de l’abri plein de nourriture et vous l’intervertissez avec le sketch du vieux déshabillé, et vous obtenez exactement la même histoire. Ensuite la fin est un gros gâchis. Attention spoiler, ci-dessous...
Le père meurt (archi prévisible, vu le nombre de fois où il tousse) et c’est tout juste si le gamin s’en fout. L’enfant n’arrête pas de solliciter son père pendant tout le récit. Manifestement, l’avis de son père compte. La présence du père compte. Et quand le père disparaît, l’enfant passe à autre chose. En outre, le père aurait dû préparer l’enfant à sa disparition. Le fait de juste dire au fils que sa voix sera toujours avec lui ne suffit pas. Le fils devrait s’effondrer. Bref, c’est trop froid et pas crédible pour moi.
L’autre problème, c’est la facilité avec laquelle les deux protagonistes survivent. Ils ont horriblement faim et froid, mais ils arrivent toujours à trouver un peu (ou même beaucoup) de nourriture. Ils croisent plein de méchants et de dangers, mais ça glisse. Il y a plus de conflit et d'humanité dans "Mad Max 2" ou "The walking dead".
Simple, clair, humain, page-turner, bref formidable... jusqu'à une fin catastrophique. Il manque carrément la résolution de la grande question lancée au début. Hyper décevant.
L’album comprend un nombre effarant de deus ex machina. Samuel et sa famille sont attaqués par des Indiens (dont le méchant Black Possum), heureusement la cavalerie intervient (page 27). Catamount est englouti par des sables mouvants, heureusement un vieux trappeur (Pad) intervient (page 33). Ethel est agressée par quatre Indiens (dont le méchant Black Possum), heureusement un tireur (Pierre Thierry) intervient (page 43). Samuel va être abattu par un voleur de bétail, heureusement son revolver est vide et Pierre Thierry intervient (page 59). Ethel va être tuée par Black Possum, heureusement Catamount intervient (page 63). Je ne savais pas que la vie des pionniers américains était remplie de facilités.
J’ai rarement attendu la suite d’une BD avec une telle impatience. Carole Maurel et Yves Lavandier nous avaient accrochés avec un certain talent, et un talent certain, pour s’arrêter en plein milieu de l’histoire, à un moment brûlant. J’étais à la fois inquiet et impatient de découvrir la suite. Les auteurs allaient-ils dénouer leur histoire de façon satisfaisante ? Le tome 2 est au-delà de mes espérances. L’aventure et le suspense sont toujours au rendez-vous, certes, mais pas seulement. Il y a aussi des rebondissements qu’on pourrait qualifier de personnels ou relationnels. Certains personnages évoluent. Tout s’emboîte logiquement. Et maintenant, je suis encore impatient... de relire les deux tomes d’une traite !
Attention, ce n'est pas une BD. C'est la "novélisation" illustrée du Attention, ce n'est pas une BD. C'est la "novélisation" illustrée du dessin animé de 1976.Attention, ce n'est pas une BD. C'est la "novélisation" illustrée du dessin animé de 1976.dessin animé de 1976.
Quel foutoir ! Hubert a trop chargé la barque. A mon avis, il ne sait plus ce qu'il raconte. Le seul personnage qui a aimé sincèrement Morue/Beauté et qui s'appelait Pierre a disparu.
Formidables dessins et couleurs de David B. Formidable ambiance. L'arène est originale. Il y a de l'humour. Attention, je spoile la fin. Des morts sur un Hollandais Volant désespèrent de ne pas mourir complètement. Ils finissent par recueillir un bébé (assez tardivement dans le récit). Ils l'élèvent en imaginant le tuer quand il aura 10 ans. Finalement, ils se ravisent et l'abandonnent sur terre. Et... ? Et c'est fini ! Je ne sais pas si David B. a respecté la nouvelle de Mac Orlan mais c'est l'une des pires fins de l'Histoire de la fiction. Que devient le gamin ? Que deviennent les morts ? La "Providence divine" les récompense-t-elle pour avoir épargné l'enfant ?
En planche 24, Juan Solo commet un viol. C'est gratuit. La victime est une pauvre vendeuse de rue qui n'avait rien fait. Minable. Abject.
Jolie histoire. Dessins toujours aussi chouettes de JC Götting. MAIS ce n'est pas une BD. C'est de la littérature illustrée. Cela n'a rien à faire sur BDGest.
Du pan-pan-boum-boum avec des dialogues "malins". Jazz Maynard sait tout faire : jouer de la trompette comme un dieu, flinguer une demi-douzaine de personnes dans un bordel, faire des acrobaties façon ninja. Et quand il est attaché sur une chaise et quand même bien dans la merde, il a droit à un deus ex machina : un vieux copain qui vient le sauver. Très bas de gamme.