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Hermann nous gratifie d'un album bien au-dessus du précédent mais sans pour autant atteindre des sommets. Le dessin est toujours de qualité mais le scénario (car il y en a un) n'est pas extraordinaire. C'est du classique et ça ronronne. On sent un vrai essoufflement dans cet univers où il n'y a plus aucun enjeu. On arrive sur un format "monster of the week", où le schéma narratif est toujours le même, seule la menace change. Dans un monde de pop-culture post -apo qui joue sur le fil rouge et les intrigues longues et complexes, le format one-shot des aventures de Jeremiah fait de plus en plus daté et perd beaucoup en intérêt. Mais le plus gros problème dans cet album, est le manque complet d'enjeu d'un point de vue des personnages. D'une part, nos deux héros vivent chacun l'aventure de leur côté et leurs interactions sont très limitées, ce qui fait perdre au duo sa force narrative. D'autre part, on ne les sent jamais en danger. Sûrs d'eux, déroulant des plans sans accrocs, dominant l'ennemi par la force et la ruse, tout déroule sans aucune surprise ni ressort dramatique. "Kurdy et moi sommes des errants... réflexe de survie, alors on a le regard qui se balade" : voilà résumé en une bulle tout le fond de ce qu'est devenue la série. Celui qui est le plus baladé, c'est le lecteur... Si vous êtes fan de la série, vous prendrez un peu de plaisir à retrouver Jeremiah et Kurdy, sinon, passez votre chemin.
Comme le tome 1, un très bon album à tout point de vue. Nouveau scénariste, nouveau dessinateur, mais une belle continuité dans le traitement du sujet sous la direction de Bernard Lecomte. Certains passages peuvent peut-être perdre le lecteur qui n'a aucune connaissance en théologie ou en histoire des schismes et des conciles mais cela n'entrave pas la lecture globale de l'album.
Excellent album, habilement mis en scène et donnant une explication très crédible et bien écrite aux derniers instants de Saint Pierre. Le dossier de 8 pages en fin d'album est aussi particulièrement intéressant et richement illustré.
Un très bel ouvrage, sur une des grandes pages de l'histoire de la Bretagne. Le dessin de René Le Honzec accompagne parfaitement ce récit.
Un album qui pourrait être intéressant si on passait sur le discours un peu mièvre, recyclage de bons sentiments repris des leçons de morales les plus maladroites du cinéma américain : "il faut que les gens s'aiment" ("le cinquième élément"), "il faut aimer la nature" ("Avatar"). Au final, le plus intéressant ce serait, non pas ce qui se passe sur Terre, mais plutôt ce qui se joue en coulisse d'un point de vue politique, côté extraterrestre. Espérons que les deux albums suivants en montreront plus car là on passe de "ça discute sur la possibilité d'une intervention" à "bonjour les terriens, nous sommes Renaissance". La première intervention qui aurait pu avoir un lieu un siècle auparavant titille aussi ma curiosité et serait un bon pendant d'un point de vue du débat sur la décision d'intervention (pourquoi non il y a un siècle ? / pourquoi oui aujourd'hui ?). Une bonne idée de base mais, pour l'instant, moyennement exploitée.
Un album où il ne se passe rien. Après une intro de quelques pages qui laisse espérer une suite au récit précédent ("Kurdy Malloy et Mama Olga"), nos espoirs sont bien vite déçus et voici nos deux compères qui se retrouvent dans une maison à l'architecture délirante avec des gens propres sur eux et leur groupe de bras cassés / mercenaires. Evidemment, derrière le côté lisse des choses se cachent toute l'ambiguïté de l'âme humaine. Kurdy et Jeremiah devront trouver le moyen de fuir. Un scénario vu mille fois dans la série pour un album qui n'apporte rien sur la relation entre les deux complices ou sur l'histoire générale. Et surtout sans aucun scénario : cet album est une succession d'images -belles, certes- mais sans aucun intérêt. Et ce n'est pas le caméo d'un personnage vu il y a une dizaine d'album qui change la donne, surtout vu l'exploitation qui est en faite. Bref, la série se perd à peu à peu... je n'ai rien contre les albums contemplatifs mais de temps un temps un album qui relance la trame générale de la série, c'est aussi bienvenu... Si vous n'êtes pas un collectionneur de la série, passez votre chemin... "Et puis merde...", on fermant l'album, on a l'impression que c'est le cri que lance l'auteur à sa série et à ses lecteurs...
N'est pas Carl Barks ou Don Rosa qui veut. Même si Romano Scarpa est un des dessinateurs iconiques des personnages Disney, on est clairement un niveau en-dessous. Le mélange des univers (Mickey, Donald, etc...) rend cette intégrale brouillonne, à l'image des récits de l'auteur. La nostalgie ne suffira pas à me faire poursuivre cette collection.
Michel de Peyret, aumônier militaire, signe ici une belle histoire des clercs qui se donnent au service des militaires. Une synthèse historique bien réalisée, même si certains épisodes, certains personnages mériteraient à eux seuls un album complet. Comme souvent dans ces albums de commande, le dessin n'est pas le point fort. Le trait est un peu rigide et pas inoubliable. Il n'en est pas déplaisant pour autant.
Un album où on prend plaisir à retrouver le duo Ange/Janolle. Le dessin et les couleurs sont plaisants et au service d'un thriller du 3ème type. Les fans de "Nemesis" ne seront pas déçus. Vivement la suite.