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C'est vrai que c'est un bon album. Reste une question de taille, au bout de combien d'albums la série sera abandonnée. Neige au 13ème, Neige fondation au 3 ème... Neige origines au 2ème ??? C'est pour cela que je ne mets que 3/5.
Bonne idée de faire apparaitre Bob Morane à notre époque. Ce premier épisode manque un peu d'action mais il s'agit, je pense, d'un album d'introduction des personnages. Ces personnages d'ailleurs ont franchement des "super gueules" surtout Bill Ballantine. Maintenant, quel est le futur de nos héros dans ce "Bob Morane renaissance" ? Voyageront-ils dans le temps ? Reverront-ils les dinosaures ? Affronteront-ils l'ombre jaune ? Tout ce qui faisait le charme de notre aventurier.
Une aventure pleine de rebondissements qui vous tient en haleine. Les dessins sont tout simplement magnifiques. Bref, on est pas déçu avec cet album.
Je crois qu’il n’y a rien eu de mieux depuis « Obélix et compagnie ». Les noms des différents personnages sont bien trouvés et on prend énormément de plaisir avec cet album. Messieurs les auteurs, bravo ! Vous avez retrouvé « l’esprit » d’Astérix et Obélix. Continuez ainsi. Sympa aussi le petit clin d’œil à Albert Uderzo et René Goscinny à la dernière page.
L’idée de faire en BD la géniale trilogie « L'autoroute sauvage, La mort en billes et L'île brûlée » de Gilles Thomas (Julia Verlanger) était une excellente idée. Le faire en seulement trois albums, quand il en aurait fallu au moins le double, l’est déjà moins. Du coup, il faut oublier le roman et voir ce « triptyque » comme une autre histoire. Après, une fois ce tour de passe-passe réussit, et en toute honnêteté, il faut reconnaître que c’est plutôt pas mal comme BD.
Il y a un peu de "La stratégie Ender" dans ces orphelins. Les enfants sont utilisés et manipulés pour affronter une espèce extraterrestre destructrice. Sauf qu'ici, cela ne se fait pas virtuellement.
L'action est omniprésente et à aucun instant le lecteur ne s'ennuie. Il s'agit là d'une très bonne série de science-fiction.
Avis sur les volumes de 1 à 5 - Nous voici dans une « mini » comédie humaine se déroulant dans un petit village québécois. Dans celui-ci, tout tourne autour du magasin général mélange de droguerie, coopérative, bazar et épicerie. Un jour le propriétaire vient à mourir et le village retient son souffle. Marie, la veuve, va-t-elle reprendre les rênes du magasin. Ensuite, on navigue de livre en livre à travers les émois d'une Marie tourneboulée par tous les évènements qui surgissent. Dans ce microcosme, toutes les émotions humaines sont tendrement passées au crible des auteurs. On compatit, on cache, on tait, on fraternise, on déteste, on pardonne, mais surtout on aime. C’est la grande force de ce petit chef-d’œuvre. Et puis… C’est tout simplement magique !
Vite, je vais m’acheter les quatre derniers volumes.
Bonne série sur la première guerre mondiale. Dommage qu'elle soit un peu édulcorée. Des soldats qui se promènent dans les tranchées sans jamais se salir, ou très peu, cela n’est pas très vraisemblable.
Mais, les dessins sont magnifiques et l'histoire de ces huit amis partis à la guerre, fleur au fusil, est poignante. Celle des épouses et petites amies restées à l'arrière ne l'est pas moins.
Ce quatrième volume se concentre sur les premières attaques au gaz avec une armée française qui va subir de lourdes pertes. Il nous confronte aussi à la jalousie d'un soldat qui ne supporte pas la trahison de sa femme qui l'a trompé. Pourtant lui, de son côté, va voir les prostituées. Le manque d’amour pour l’homme et la femme est patent. Quand les lendemains sont incertains qui peut-on blâmer.
D’album en album, l’histoire se noircie et reste passionnante.
Les avis sont partagés sur ce "XIII Mystery". A l'exception de la couverture, je trouve que c'est plutôt un "bon cru".
Dessins et scénario de qualité. Franchement, j'ai passé un bon moment en compagnie de Felicity.
Édouard Péricourt : très dur d’être un homosexuel rejeté par son père, membre éminent de la haute bourgeoisie, d’avoir le bas de la mâchoire arraché lors des derniers jours de la guerre en sauvant un camarade et de dépendre de lui pour survivre.
Marcel Péricourt : difficile pour un père d’avoir rejeté son fils unique et d’apprendre sa mort. Tout aussi difficile de se remettre en question et d’essayer de lui rendre justice en finançant un monument aux morts.
Lieutenant Henri d'Aulnay-Pradelle : compliqué pour un fils de bonne famille ruiné de retrouver la gloire d’antan en se lançant dans une escroquerie aux exhumations de soldats tués sur le champ de bataille.
Madeleine Péricourt : humiliant d’épouser un ex-lieutenant arriviste, cruel et coureur.
Albert Maillard : effrayant d’être le témoin d'un crime du lieutenant Henri d'Aulnay-Pradelle qui envoie deux soldats à la mort. Celui-ci poussera Albert dans un trou d’obus où un éboulement l’enterrera vivant. Il ne devra la vie qu’à Édouard Péricourt.
Voici les protagonistes de ce fabuleux roman, prix Goncourt 2013. Qui sont les plus ignobles ? Henri d'Aulnay-Pradelle avec une escroquerie aux exhumations de soldats ou Édouard et Albert avec une escroquerie aux monuments aux morts ? Henri est un être abject alors que les deux amis sont poussés à une extrémité par les circonstances de la vie. Cela ne les absout pas pour autant, mais l’ après-guerre est compliquée, car tout le monde veut revivre et oublier les sacrifices. On se voile la face pour ne pas voir le désespoir de tous ces hommes qui ont affronté les privations, la peur et l’angoisse.
Le roman est vraiment fabuleux. La BD a su rendre l’atmosphère du livre et les faits principaux sont tous présents. J’ai adoré la mère d’Albert Maillard, petit personnage qui arrive, avec ses réflexions, en surimpression de certaines cases. Elle est tel un fantôme et cette idée rend bien celle du livre où Albert est poursuivi par le souvenir de sa mère. Par contre, ayant lu le roman je ne saurais dire si une personne ne l’ayant pas lu aimerait la BD et/ou comprendrait la trame de l’histoire. Moi, j’adore.
On prend beaucoup de plaisir à lire cet album. Les héros sont sympathiques comme toujours avec Leo et son duo avec Icar fonctionne à la perfection. Après un tome 6 d'Antarès manqué, il est réconfortant de s'apercevoir que Leo a encore plein de bonnes idées. Bref, il s'agit là d'une série très plaisante.
Chaque année, le titre de maitre d'armes du roi de France est réattribué. Cette attribution se déroule sous forme de duels. C'est ainsi que Hans Stanhoffer, maître d'armes en place affronte le comte Maleztraza muni d'une nouvelle arme : la rapière.
Le duel se termine sans vainqueur et Hans Stanhoffer décide de disparaitre. Cette disparition oblige le comte à le poursuivre pour un nouveau duel. En effet, seule une victoire fera de lui un maître d'armes du roi incontesté.
Dans cette poursuite effrénée, vient s’ajouter l’histoire de la bible traduite en français. C’est ainsi que le chirurgien du roi Gauvin va entraîner Hans Stanhoffer dans une double péripétie : fuir le Comte qui veut sa revanche et fuir des mercenaires chargés d’éliminer Gauvin et de détruire sa bible.
Superbe! 94 pages à lire d’une seule traite. Certainement une des grandes BD de l’année 2015. Cela ferait aussi, sans conteste, un excellent film.
Ce n'est ni un bon album ni un mauvais. Mais à quoi sert-il ? A montrer que Jeremiah devient de plus en plus violent ? Que Kurdy devient de plus en plus cynique ? Tout cela manque d'idées, d'aventures et d'humanité. Je suis devenu fataliste, et je pense qu'il n'y aura plus de très bon album Jeremiah / Kurdy. Dommage, c'est (c'était ?) ma série préférée...
Ca virevolte, ça va à cent à l’heure et ça sent bon le film d’aventures des années 60. On pourrait prendre pour modèles les acteurs de 100 000 dollars au soleil : Bébel, Lino Ventura, Bernard Blier, Reginald Kerman et Andréa Parisy. Les auteurs ont été très inspirés pour cette BD. L’ennui ne gagne jamais et on dévore les pages avec gourmandise. Bref, j’ai adoré.
Des dessins magnifiques, une excellente histoire de science-fiction (bien que d'une autre époque) et trois tomes très réussis. Un vrai régal pour les yeux et pour l'imaginaire. Bravo !
Dans un Paris occupé, le Dr Destouches (Céline) nous apparait totalement désabusé voire écœuré par l’humanité. C’est cet écœurement qu’il va traîner dans ce magnifique album, de château en château dans une Allemagne en déroute.
Le dessin est sombre et chaque personnage est magnifiquement caricaturé. La représentation de l’acteur Robert Le Vigan est géniale. On assiste tout au long des pages aux pitreries et autres bouffonneries des personnages entre grotesque et burlesque. On ne sait plus si l’on doit rire, pleurer ou s’indigner devant ce spectacle souvent affligeant.
Quant à Céline, bien que controversé pour ses positions antisémites, il reste un écrivain de talent. Je souhaite vivement que Christophe Malavoy et les frères Brizzi se lancent dans l’adaptation de « Mort à crédit » et « Voyage au bout de la nuit » en étant persuadé que cela serait une réussite comme peut l’être « La cavale du Dr Destouches ».
Les couleurs de cet album sont vraiment flashy. Quant à l'histoire, elle se lit sans déplaisir. A part ça, aussitôt lue aussitôt oubliée. OSS 117 mérite mieux.
Le dessin est simple sans être simpliste. Normalement ce style de BD ne m'attire pas outre mesure mais des conseils éclairés m'ont poussé à m'y coller. Pfffff... tout bonnement génial. On ne peut pas dire que le scénario d'Angola n'a pas déjà été vu et revu. Mais, il faut reconnaître qu'il est ici magnifiquement traité. Ce Tyler Cross a vraiment l'âme noire et il est sans concession. Je ne sais pas en fin de compte ce qui le pousse à être juste. Un reste d'humanité ou des règles de vie auxquelles il ne faut pas déroger. Vivement un troisième album.
Quel final décevant ! J'ai plutôt bien aimé les cinq premiers albums d'Antares mais le sixième m'a laissé perplexe. J'espère que la magie reviendra lors du retour à Aldébaran...
A moins d'être un grand conteur, un texte trop fourni gâche généralement une BD. Et malheureusement, ici c'est le cas. Je ne suis donc pas d'accord avec la chronique de BDGEST quant à la fluidité des différentes péripéties. Concernant le dessin, il s'appauvrit dans ce deuxième album.
Je pense que les édinautes "surcotent" les albums qu'ils financent. En lisant cet album, il est évident que les planches sont de qualité inégale. On passe du "pas mal" au "bof bof bof". N'est pas Loisel qui veut... Mais il faut laisser le temps au temps, le tome 2 sera peut-être de meilleure facture et comme le suggère canarenchaine, le dessinateur aura probablement plus d’expérience et c'est ce qu'il faut lui souhaiter.