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Début d'une série mythique où Jérémiah perd toute sa famille mais découvre Kurdy qui ne le quittera plus. Depuis cette série a été beaucoup imité mais jamais égalé grâce aux dessins si originaux de Hermann et à des scénarios malins où le pur Jérémiah doit faire face aux réalités.
L'album le plus réussi de la série, où Najah capturée au Pakistan devra sa survie à des renforts extérieurs et où son engagement donnera enfin un début de résultat.
De l'action, de multiples rebondissements et un fonds réalistes qui donne une idée des problèmes du Pakistan et de l'Afghanistan, on passe un bon moment de lecture.
Najah est maintenant bien infiltré auprès de Sam, la routine des affaires tordues continue, il n'y a qu'à la fin que cela dérape pour relancer l'intérêt.
Najah se trouve embarqué dans un coup d'État au Cabinda en essayant d'infiltrer la mafia international tandis que ses commanditaires sont en difficulté aux USA.
On se demande toujours comment elle arrive à garder sa motivation dans ce bazar, mais il y a de l'action à défaut de sentiment.
Les dessins sont biens, l'histoire sur fonds de mafia international, de terrorisme, de politique internationale et de corruption politique est compliquée à souhait et on a du mal à suivre.
On voudrait trouver sympathique l'histoire de cette baroudeuse, mais on a trop de mal à comprendre ses motivations.
Malgré tout ça se laisse lire.
Cela reste égal à lui-même, on a du mal à comprendre ce qui se passe, les monstres sont toujours aussi hideux et l'histoire est abracadabrante mais on suit toujours par nostalgie du plaisir qu'on avait eu à lire les premiers Lanfeust.
Et c'est quand même vachement bien dessiné !
Nouvelle saison, donc nouvelle installation des éléments de l'intrigue avec des flash back réussis pour raconter le passé des enfants. L'histoire n'est pas bouleversante d'originalité mais cela reste distrayant et les dessins sont sympa.
Une série honnête à suivre.
Ce Manhattan abandonné par les autorités où les gens tentent de survivre comme ils peuvent malgré la violence captive l'attention car malgré les difficultés l'humanité survit et les sentiments ne sont pas absents.
C'est du Comics et il faut aimer le genre mais dans le genre les dessins sont expressifs et l'histoire est attachante.
Les dessins et l'ambiance sont de Tito, c'est à dire que chaque case est très minutieuse et détaillée et que le récit vit au rythme du personnage, ce qui fait qu'on ressent ce qu'il ressent. On peut être gêné par l'apparente imperfection de certaines cases mais au total ce style colle très bien au scénario à la fois politique et un peu fantastique de Bucquoy qui révèle que le passé peu avouable peut laisser des traces dans le présent. Les vieux démons ne sont jamais tout à fait mort ! Intéressant à lire, et un rappel de leur histoire pour les belges.
Difficile de faire une critique d'une série culte que l'on connait par cœur, juste dire que le n°6 voit arriver le gaffophone et que Fantasio y décrète que "après un examen approfondi, j'ai conclu que l'ouvre-boîte n'est d'aucune utilité pour le travail de bureau". La question reste posé !
Pour lutter contre le cafard, rien de tel que trouver plus cafardeux que soit. Bien avant que l'écologie soit à la mode, Franquin avait tout compris au danger que l'homme fait courir à la planète et sait mettre ça en dessin de façon jubilatoire.
Un classique à lire absolument.
Humour grinçant, dessins minimalistes où les décors sont remplacés par des flèches avec des légendes, Binet frappe très fort sur les français moyens et leurs travers, depuis l'agence matrimoniale, le mariage, la nuit de noce jusqu'au premier enfant qui se réduit la à un chien !
On sourit malgré tout en essayant de ne pas trop s'y reconnaitre.
Que mettre d'autre que la note maximale pour ce petit bijou d'intrigue policière pleine de fausses pistes et d'analyse de caractères, où on ne peut s'empêcher de glousser de rire toutes les deux pages, où le dessin et les décors parfaitement maitrisés révèlent le sommet de l'art pour l'atelier Hergé.
Certes ce tome m'avait un peu déçu à sa sortie car l'enfant que j'étais n'y retrouvais pas le parfum d'épopée des autres Tintin, mais une lecture d'adulte ne peut que réévaluer cette impression au profit d'une intrigue toute en finesse leçon de tolérance où on retrouve tous les codes de Tintin.
Si certains autres Tintin sont meilleurs, il faudra inventer des notes au dessus du maximum, sinon comment noter correctement tout ce qui est sorti depuis et qui est loin d'atteindre ce niveau.
Polar ultra classique avec toutes les conventions du genre, mais dessins sublissimes qui magnifient l'ensemble, les têtes d'animaux étant parfaitement adaptés à décrire les sentiments des personnages.
Cette série sera une référence dans le polar bd, indispensable.
Album de transition avant le départ de Hughes aux croisades, l'intrigue est cette fois quasiment policière pour trouver l'auteur de crimes qui se fait passer pour un loup maléfique. On retrouve là le scénariste de Gil St André qui sait construire une histoire à rebondissement. Distrayant.
Les dessins sont réellement splendides, de vrais tableaux même si les visages sont quelquefois approximatifs.
Une très bonne histoire à la fois policière et psychologique, avec une touche de fantastique, on reconnait le style Makyo mais avec un happy end.
Bref une très bonne série à découvrir absolument.
Un très bon scénario ethnographique et un peu fantastique, des dessins réalistes, Jean-Charles KRAEHN est un auteur complet.
Comment Bout d'homme va passer de la haine à l'amour, et accepter de grandir, ce thème réussit à nous maintenir en haleine pendant les 4 tomes.
Très bonne série.
Avant d'aborder ce 11ème tome, on se dit qu'on va encore avoir du mal à s'y remettre sans relire tous les précédents, mais finalement on rerentre assez facilement dans l'histoire qui est bien fichue et dans l'ambiance bien rendu par les dessins.
Le chant des Stryges restent une série de référence de la science-fiction qui se laisse lire avec intérêt car entre les moments d'action, il y a des pauses philosophiques pas inintéressantes. Je reste client pour la suite.
Pour les amateurs du genre, une histoire mouvementée, des dessins fouillés, on ne s'ennuie pas une seconde à la lecture.
De la pure distraction bien faite.
Dans la veine du premier tome, l'intrigue se poursuit tambour battant, pas un temps mort, une surenchère de baston à tel point qu'à la fin on ne sait plus qui est mort et qui est vivant, ni trop qui sont les bons et les gentils.
Mais on ne s'ennuie pas à la lecture.
Les dessins restent très bons bien qu'ils sont quelquefois tellement chargés qu'on ne voit plus grand chose malgré leur précision. Mais le scénario est inexistant, on passe de temple en temple en se demandant ce qui fait courir nos héros et si la visite du dernier relance un peu l'intérêt, c'est tellement artificiel que ça en est gênant !
Je ne souhaite qu'une chose, que Hub trouve un bon scénariste à la hauteur de son talent de dessinateur !
Hughes continue à être poursuivi par son passé aux croisades et doit sortir de sa prostration pour sauver sa fille, mais comme d'habitude heureusement que sa famille est là !
Hughes ne trouvera donc jamais la paix, il faut bien lui trouver de nouveaux malheurs pour justifier la poursuite de cette bonne série qui reste honnêtement racontée et dessinée, mais qui a du mal à se renouveler.
L'émotion revient à la lecture de ce second tome, avec les touches d'espoir et d'humanité qui permettent de surmonter le tragique des évènements. Les dessins un peu minimalistes de Monin participe à l'ambiance.
Une très bonne série.
De la bonne bd classique comme je l'aime, un scénario béton ancré dans l'histoire et romanesque à souhait, des dessins à la fois très lisibles et très évocateurs qui créent l'ambiance, on se passionne pour l'histoire de Yann CALEC sur les traces de son père au milieu de la guerre en Indochine, qui doit faire face aux séductions et aux dangers de l'Asie.
Vivement la suite.
Etrange Lestrange, dessins tableaux aux très belles couleurs mais assez éloignés de la ligne claire, scénario chimérique assez déroutant et fantasmagorique, c'est un joli objet à lire sans se poser de question, mais à qui il manque un petit quelque chose pour créer une véritable émotion.
Des auteurs à suivre en tout cas.
Pour les amateurs de SF, cet album est incontournable. Je n'aime pas trop la SF mais à ce niveau de qualité, on ne peut quand même qu'apprécier.
Et cet album fait un peu mentir ma conviction que dans une bd, l'histoire prime. Ici, le récit bien qu'intelligent est complètement magnifié par le dessin, la mise en page et l'utilisation de la couleur.
A découvrir absolument.
Le 2 tient les promesses du 1, les faibles croient toujours qu'ils vont s'en sortir, mais un nouveau coup du sort leur tombe dessus.
Toujours aussi bien raconté et dessiné, on attend la conclusion avec impatiente.
Très noir, très dur, très bien dessiné, à ne pas lire par temps de cafard, mais une bd qui tient en haleine.
Les filles sont un peu trop belles et les méchants un peu trop affreux pour être réalistes, mais c'est ce qui laisse un peu d'espoir après avoir lu, ouf ça ne peut pas être la réalité !
Les dessins sont assez sympa, l'histoire, même si elle a un fonds de vérité, est très superficielle.
Une nouvelle série bien dans la veine de Loisel avec son monde parallèle plein de créatures différentes qui remettent en cause nos idées reçues.
Cet album de lancement est plutôt réussi et plante bien l'intrigue,les personnages sont attachants, le dessin est prometteur.
A suivre pour savoir si cette série deviendra un must.
Natacha est toujours aussi gironde, pour le reste "on a déjà vu ça" comme dirait le Commandant Turbo !
Il faut bien sortir nos héros de leur exil, même si tout a été révélé dans le tome précédent.
Mais J. VAN HAMME laisse suffisamment de pistes ouvertes pour qu'un nouveau scénariste trouve de quoi relancer.
A lire pour les aficionados.
Le dessin de Giraud se prête bien à ce long flash back et permet de différencier les époques. Dommage seulement que comme souvent depuis Arizona Love, il néglige les arrières plans.
En fait c'et ce tome qui révèle réellement la véritable identité de XIII.
C'est a lire absolument pour les aficionados.
On se dit en achetant la dernière parution de ces séries à rallonge qu'on va être déçu, et je dois dire que les histoires de Bardet sont quand même diablement bien foutu, avec des cheminements parallèles qui se croisent et se décroisent et oblige à se concentrer sur sa lecture mais on s'y retrouve même si on n'a pas pris le temps de relire les 15 opus précédent. Bardet est un sacrément bon scénariste et si je regrette un peu Dermaut, on se fait au dessin de Goepfert une fois qu'on y est plongé.
Cette série réussit à maintenir le niveau, un très bon moment de lecture dans cette ambiance "guerre de religions" si propice aux passions.
Il y a du Serpieri chez Ortiz et et du Kurdy chez son héros, mais là il y a encore moins de bons sentiments et tout est noir, hormis une petite parcelle d'humanité chez notre héros.
A découvrir
L'aventure africaine continue, Jade est devenu une déesse et entraine le peuple noir dans la révolte, et tous sont prêt à mourir pour elle.
Avec un scénario qui vire avec le fantastique de plus en plus irréel et un dessin moins original, Djinn reste plaisant mais ne surprend plus autant. Un début de lassitude ?
Les dessins sont toujours aussi superbes, et l'histoire aussi gentille et instructive sur l'ouest américain, mais la fin est vraiment trop gentille, on frôle la mièvrerie.
Ça reste de qualité mais manque de surprise.
La nature dessinée par Hermann est lumineuse, les hommes sont gris. Belle allégorie ! Mais c'est très beau, et l'histoire est prenante et bien dans l'atmosphère pessimiste de Hermann.
De la bonne bd même si Hermann ne se renouvelle pas trop.
On retrouve Etienne aux USA agent du FBI ! Quelle vraisemblance ! De plus, le scénario est mou, il n'y a qu'à la dernière page qu'une révélation imprévue pique notre curiosité pour la suite. Et les dessins sont moins percutant que du temps des frères Stalner. Bref, cela sent l'album de transition pour lancer un nouveau cycle, le suivant arrivera-t-il à relancer l'intérêt ?
Seton le naturaliste confronté à un loup qui décime les troupeaux va comprendre que ce loup exceptionnel n'est que le reflet de la nature qui essaye de se défendre contre la main mise de l'homme.
Ce récit initiatique est très bien mis en image au rythme lent de Taniguchi qui permet de laisser naitre l'émotion.
Comme quoi le manga comprend bien tous les types de bd et peut donner de magnifiques romans graphiques.
On retrouve avec plaisir le dessin de Marini qui met toujours autant en valeur les corps et les décors, ce qui sied particulièrement bien à l'époque romaine.
Marini scénariste se débrouille bien aussi, mais son histoire n'est pas d'une folle originalité et suit la vogue du moment lancé avec Murena.
Plaisant à lire, la suite dira si cette série est un top ou seulement un produit de grande consommation agréable.
Apaches reprend le premier contact de Blueberry avec les indiens lors de sa première affectation dans l'ouest raconté à partir de Mister Blueberry. C'est donc juste avant Fort Navajo et juste après la jeunesse. Et ce n'est pas gai ! Ce n'est pas la vision idyllique de la conquête de l'ouest. Les images sont magnifiques et Mike n'est pas le héros invincible, mais un militaire perdu en temps de paix. C'est du Giraud et pas du Charlier, mais c'est encore mieux. Indispensable pour compléter et comprendre la saga.
Cette fois les filles partent à la chasse aux garçons pendant les vacances ! Et ça marche. Ma fille glousse toujours autant en le lisant et je me suis également surpris à sourire de bon cœur. Donc toujours difficile à noter, très bon pour les adultes, indispensable pour une fille de 14 ans.
Histoire naturaliste qui voit l'éducation à la nature d'un jeune homme qui cherche sa voie et qui la découvre en chassant un grand cerf dans l'ouest américain après avoir renoncé à une vie d'artiste à Londres.
Dessins noirs et blancs très précis de Taniguchi qui montre qu'il aurait pu faire un aussi bon naturaliste que celui dont il raconte la vie. C'est curieux de voir que les japonais ont la même fascination que nous pour l'ouest américain et sa nature sauvage. Et le récit est plein de fraicheur dans tous les sens du terme !
A lire donc.
Début d'une nouvelle quête, cette fois il s'agit de sauver l'or destiné à financer la guerre convoité par des francs-tireurs indiens.
Le scénario n'est pas d'une folle originalité, mais les dessins sont toujours parfaits.
Il faut attendre la suite pour juger définitivement de la qualité de ce nouveau cycle.
Travis est à la recherche de son second souffle, et il va être aidé par une nouvelle entreprise terroriste qui le remet en action.
Il faut attendre la suite pour juger de la qualité de ce cycle, ce tome n'étant que l'ouverture. La qualité graphique reste constante, et le décor est bien planté, mais pour l'instant on ne retrouve pas encore le souffle épique des premiers cycles.
A suivre donc....
Deux destins que séparent plusieurs milliers de km, une vie difficile de petites gens qui cherchent le bonheur, et qui on le devine vont se croiser dans les bouleversements de la grande guerre.
Des questions parallèles dans deux mondes qui paraissent pourtant éloignés, la place des femmes, le rôle de l'éducation, le racisme ... et bien d'autres encore par petites touches sensibles qui font qu'on se laisse peu à peu prendre par ce récit et par l'ambiance créée par les dessins superbes de Frédéric BLIER.
A découvrir absolument.
Les vignettes de Rosinski sont magnifiques même si son style n'est toujours pas évident pour les visages. Mais ceux qui aiment la bd pour les dessins seront comblés. Au niveau scénario, le style Yves Sente change de celui de Van Hamme avec une narration plus littéraire, certains évènement étant racontés et non montrés, ce qui n'est pas très bd, mais si l'histoire n'est pas exceptionnelle (parcours initiatique avec épreuves et découverte de la nécessité de se serrer les coudes), des pistes sont lancés pour l'avenir sur la destinée de la lignée de Valnor qui pique la curiosité et font attendre la suite avec impatience.
Bref, on repique au truc !
Les américains veulent absolument savoir pour qui travaille Lady S. et kidnappe son père pour le découvrir. Mais ils sont aussi mauvais que les faux époux Turenge et vont foirer lamentablement.
C'est pas forcément très crédible mais très agréable à lire, l'histoire est très bien menée et les dessins très accessibles. De la pure distraction de bonne qualité. Et cette idée de l'amicale des retraités espions est assez jubilatoire.
Les américains veulent absolument savoir pour qui travaille Lady S. et kidnappe son père pour le découvrir. Mais ils sont aussi mauvais que les faux époux Turenge et vont foirer lamentablement.
C'est pas forcément très crédible mais très agréable à lire, l'histoire est très bien menée et les dessins très accessibles. De la pure distraction de bonne qualité. Et cette idée de l'amicale des retraités espions est assez jubilatoire.
Lady S. se trouve encore malgré elle mêlé à une histoire de terrorisme et en plus elle tombe amoureuse du ''méchant''. Elle s'en tire encore grâce à la mystérieuse organisation qui l'emploie mais cette histoire ouvre des pistes pour le futur.
Agréable à lire et à regarder, on s'attache à notre héroïne et on a envie de savoir si elle va trouver des traces de sa famille dans les prochains épisodes.
Pas très crédible, cette histoire, mais Lady S. est bien charmante, alors on la suit.
Quelle histoire que celle de Shaniouchka ! Elle a bien du mérite à avoir survécu à toutes ces péripéties. Mais Van Hamme sait raconter des histoires et une fois qu'on est pris, on continue !
Heureusement que les femmes sont là pour venir au secours d'Hughes !
Fin de cycle pour cette très bonne série bien ancrée dans son temps. La vérité éclate mais pour les héros, les happy-end ne durent jamais très longtemps.
Ravenaud met tout en oeuvre pour perde Hughes, y compris sacrifier Nolwen à d'affreux brigands pour se les allier. Le pauvre Hughes va encore se retrouver au fond du gouffre !
Très bonne histoire et dessins maintenant parfaitement maitrisé, cette série est à son apogée.
Impossible de trouver la paix pour Hughes, Nolwen menacé de répudiation s'allie de nouveau à Ravenaud qui menace de dénoncer son illégitimité.
Toujours une histoire palpitante à rebondissement, dessins parfaits, du très bon divertissement.
Fin du cycle où Hughes parvient à déjouer les machination de Ravenaud et de Nolwen et sauve Alix grace au sacrifice de Sigwald.
Histoire palpitante, dessins arrivés à maturité de Michel Pierret, un très bon album.
Hughes court tête baissé pour délivrer Alix et tombe dans le piège tendu.
L'histoire est toujours bien mené, le dessin de Pierret n'est pas encore au top, mais cela reste un bon numéro.
De la science fiction de qualité pour ceux qui aiment le genre.
La suite sans surprise d'une série toujours bien dessinée et au bestiaire amusant mais qui a du mal à se renouveler.
Nos héros se délivrent et rentrent au pays. On leur souhaite une retraite bien méritée !
Les dessins restent sympa même si je n'aime pas trop la couleur qui sent trop son ordinateur, mais l'histoire se rapproche plus de la SF traditionnelle avec engins futuristes et combats boum boum ! Il me manque la poésie du premier tome.
A suivre en espérant que la suite sera un peu plus originale.
On retourne en Allemagne qui a envahie la Russie, la population commence à se poser des questions sur le régime, et une résistance timide s'organise. Mais la répression est féroce.
On suit Maria, secrétaire d'un médecin, dans sa vie quotidienne, toujours avec cette ambiance faussement tranquille qui reflète la réalité de l'époque en Allemagne qu'on connait peu en France.
Fin poignante qui donne tout son sens au récit très bien raconté et mis en dessin.
Fin de l'histoire précédente où l'intrigue se dénoue et on retrouve Louis toujours aussi malchanceux puisqu'il ne pourra même pas embrasser sa mère avant de repartir. Mais il y a encore plus malheureux que lui !
Toujours l'ambiance de la guerre de 14, cet album fin de cycle n'est pas le meilleur mais est indispensable pour terminer l'histoire.
C'est la guerre, Louis Ferchot a disparu sur le front, et nous suivons parallèlement les recherches de sa mère et ce que vie en caméra subjective ce que vis un soldat exempté de l'armée suite aux séquelles des combats avec des papiers au nom de Louis Ferchot.
Série historique qui décrit l'ambiance dans l'Europe de la première guerre mondiale. On est intrigué par ces histoires qui ne trouveront leur aboutissement que dans l'album suivant.
Dessins décrivant très bien l'époque, une bd solide dont la véritable héroïne est la mère de Louis.
A suivre.
La fin des aventures malgaches de Louis Ferchot qui est confronté à la rébellion et qui essaye toujours de vivre comme il peut au milieu des tragédies du monde.
Assez classique et sans surprise, ces aventures reflètent surtout un atmosphère bien rendu.
L'histoire est sympa, un jeune aristocrate breton fauché qui part dans les iles à la recherche de son ancêtre et qui y découvre l'amour, mais ce qui est extraordinaire dans cet album c'est que les pages sont dessinées par plus de 20 auteurs qui ont pris la suite de Will décédé après n'avoir fini que 5 planches.
Et pas des moindres, Dany, Derib, Frank, Franz, une superbe illustration de Hausman, Hermann, Loisel, Mézières, Plessix, Roba, Walhéry, Wasterlain pour citer les plus connus. Cela donne des planches en couleurs directes de toute beauté qui permet de comparer et d'apprécier le style du must de la bd franco belge. Un collector !
Deux histoires formidable de simplicité et de poésie, une au Japon où les deux amoureux se sont perdus et se cherchent et l'autre en Afrique à la découverte d'une petite fille.
Les dessin est parfait, un album tout à fait réussi pour tous.
Chacun cherche son chat et en profite pour faire des rencontres et se découvrir soi-même.
Le dessin atteint sa maturité et l'histoire très simple est prenante jusqu'au bout avec cette ambiance poétique qui est la marque de cette série.
Un très bon album.
On retrouve l'univers du premier album mais cette fois ci à la campagne, mais le message ésotérique est un peu difficile à saisir.
Il reste de très belles images et l'ambiance particulière de cette série.
Premier album, dessin encore en formation, histoire poétique mais un peu tiré par les cheveux, mais l'humour du quotidien fait passer le tout pour cet essai prometteur.
Dessin style manga, histoire de cape et d'épée amusante, une série sans prétention
Donne quelques clefs de la vie d'Hergé avec des clins d'oeil aux personnages des albums.
Le dessin est tout à fait fidèle à la ligne claire.
Franz est vraiment un grand. Et quand on sait qu'il est mort avant la sortie de cet album, la fin prend encore plus de résonance !
C'est du grand western, âpre et désenchanté malgré la qualité des rencontres et les amitiés qui se nouent par dessus les préjugés.
Et le dessin est vraiment magnifique.
Oui, à lire absolument.
Changement de dessinateur, Mitton donne plus de couleurs à cette histoire très sombre et ça surprend au début.
Le scénario reste intéressant en collant à la vérité historique, mais les deux principaux protagonistes en devenant adulte se banalisent et nous touchent moins en étant un peu désincarnés.
Les trois premier "de silence et de sang" avec Males au dessin sont très bons avec un scénario solide décrivant le départ d'Italie et les premiers pas à New-York de deux jeunes siciliens dont les destins vont prendre deux voies différentes mais dont les chemins vont continuer de se croiser.
Mais je ne suis pas un grand fan des dessins de Males.
Très bonne chronique de Léga, mais je mettrai quand même un moins bonne note.
Même si l'histoire se laisse lire (mais la fin n'est pas terrible), les dessins sont sympa mais quelquefois très légers ! Des visages blancs sans traits par exemple sur certaines vignettes.
Donc ça se laisse lire, mais de là à l'acheter ?
La suite des aventures de Hughes et de Nolwenn à St Malo essayant de sauver Sigwald prisonnier des naufrageurs, Nolwenn essayant par tous les moyens de devenir indispensable pour s'attacher Hughes, le tout sur un fond historique parfaitement décrit. Histoire passionante donc dans une époque bien rendue, cet album est de très bonne qualité.
Dessin reprit en cours par Michel Pierret, ça passe très bien.
Nouveau cycle, Hughes est seigneur mais a perdu Alix et se repend de son usurpation, alors il part en pèlerinage pour expier ses fautes, prétexte à de nouvelles aventures à St Malo où il va faire la connaissance de Nolwenn qui va prendre une place considérable dans la suite de ses aventures.
Scénario impeccable de Kraehn qui reste seul aux manettes et de ce fait néglige peut-être un peu le dessin, mais l'ensemble reste excellent.
Je trouve cette série sublime, car elle raconte l'histoire et l'humain.
Mais ce tome est trop historique et un peu moins humain, avec Samia qui va se jeter dans la gueule du loup !
Mais cela reste de la grande bd !
Excellent scénario à plusieurs tiroirs, mais qui reste compréhensible et qui est très prenant.
On s'attache un peu moins à la personnalité des enquêteurs, mais l'histoire des protagonistes nous intéresse et on attend la suite avec impatiente.
Richelle reprend seul le dessin, qui est plus simple et plus classique que celui de Delitte, mais la mise en scène est impeccable et sert bien l'histoire.
A lire absolument si vous aimez les histoires policières bien fichues !
Une idée nouvelle par tome, que c'est pauvre ! C'est toujours plaisant, mais trop rapide à lire et sans réelle avancée de scénario à part la découverte des boites !
Le dessin de Léo est égal à lui même mais beaucoup moins recherché dans les décors que dans Aldébaran, alors on remarquez plus les expressions approximatives des visages.
Une série prometteuse qui a du mal à maintenir son niveau, mais qui arrive à nous intriguer suffisamment pour qu'on attende la fin !
Un album à lire pour compléter l'histoire d'Ariane, et comprendre la genèse de Masquerouge.
Les dessins de Venanzi ne sont pas ceux de Juillard mais sont parfaits pour une série dérivée.
Se lit toujours agréablement, mais un peu mois inventif, ça pourrait faire une fin ?
Très bon scénario prenant, c'est moins original qu'au début qui était très psychanalytique, mais les séries SF d'aujourd'hui ne sont pas mieux.
Comme d'habitude chez Davodeau, les gens ordinaires sont extraordinaires.
Tout le début de l'histoire où on découvre le cheminement des personnages est passionnant, il y a de l'émotion, du suspens, de l'humour et le contraste entre le jeune looser et le vieux débrouillard est jubilatoire.
Par contre la fin m'a déçu, en fait il n'y en a pas comme souvent, pleins de portes sont ouvertes, à nous d'imaginer la suite.
Le dessin n'est pas ce qui m'attire le plus chez Davodeau, mais une fois rentrée dans l'histoire, on s'y fait très bien, il convient tout à fait à l'ambiance.
Pas le meilleur Davodeau qui n'est pas un spécialiste des récits policiers, mais tout le reste (l'arrière plan et les personnages secondaires) est super.
A lire donc.
Polar (très) noir classique avec tous les poncifs du genre, dessin difficile mais adapté à l'ambiance.
Un bon moment de lecture.
Chronique pas gai de l'enfance confrontée à la maladie.
Les dessins et le noir et blanc conviennent très bien à ce type de récit.
Ce qui est très bien vu, ce sont les contradictions de l'enfance fascinée par la guerre et la violence mais qui la rejette quand il la découvre dans la vrai vie, et la cruauté des enfants rejetant la différence et influencé par les préjugés des adultes.
Mais ça manque quand même un peu d'humour et d'optimisme, peut-être un peu trop réel.
Absurde, délirant, et très drôle, servi par des dessins réalistes, ces histoires courtes font souvent rires et remettent joyeusement en cause l'ordre établi.
Du Jodorowsky servit par les dessins très clairs d'Arno. Ce scénario d'héroïque-fantasy de 1983 était très nouveau pour son temps.
Comment un enfant sans bras ni jambes peut devenir un héros dans ce monde aux monstres terrifiants, et rencontrer l'amour de la très belle Diamante, on a envie de connaitre la suite de ces péripéties qui nous captivent.
Hughes atteint au but, mais il lui manque encore l'essentiel, l'amour.
L'histoire est encore plus palpitante, tout se précipite un peu trop mais les dessins servent toujours magistralement cette histoire qui pourrait être une fin mais reste ouverte à de nouvelles aventures.
De l'aventure, du suspens, de l'amour et de très beaux dessins, série de qualité qu'on suit avec plaisir.
Je suis pas fan du tout des dessins que je ne trouve pas lisibles, j'ai du mal à m'attacher à des personnages aussi peu figuratifs.
L'histoire est un peu tiré par les cheveux, et j'ai du mal à m'intéresser à ces personnages trop éloignés de moi.
Bref je ne pense pas aller plus loin, mais c'est un jugement apparemment pas partagé puisque certains crient au génie.
Tous les gouts sont dans la nature !
La manière de Tondheim de raconter ses états d'âme est jubilatoire. Et c'est vrai qu'en plus il nous apprend pleins de choses sur ses confrères.
Ses dessins illustrent très bien ses propos et donnent une ambiance particulière, il y a indiscutablement une "patte" Trondheim.
Album honnête et de bonne facture, les dessins nous mettent bien dans l'ambiance historique et le scénario maintient suffisamment l'intérêt pour faire un agréable moment de lecture.
Certes, il s'agit d'exploiter le filon du décalogue, mais c'est fait avec qualité donc on se laisse faire volontiers.
Dans la veine des "filles de Soleil", quelques dessins sympa
L'histoire de Marjane qui doit se construire malgré l'intégrisme et la guerre, et trouver sa voie dans l'occident futile.
Cette histoire très forte est merveilleusement racontée, le dessin est très maitrisé, le parallèle avec Maus est pertinent.
Et le film qui en est issu est un véritable bijou d'humour et d'émotion.
Réellement indispensable !
La vie de Lili n'est pas de tout repos, et même si elle dit qu'elle veut se ranger, elle n'est pas près de trouver la tranquillité, avec les cadavres qui occupent son salon et les fantômes de son passé de dealeur. Le scénario est prenant et on se prend d'intérêt pour Lili, et on attend la suite pour vior si elle va s'en sortir.
Le dessin est lisible, seules les couleurs sentent un peu trop l'ordinateur.
Une série à suivre, mais le risque existe qu'elle passe à la trappe comme beaucoup de nouvelles oeuvres de jeunes auteurs à qui on ne laisse pas le temps de trouver leur public.
Ce tome relance superbement la série avec l'incursion de Lucius Murena en Gaule à la recherche d'Actée, laissant provisoirement Néron à sa folie des grandeurs et Pompée à ses intrigues.
Péripéties palpitantes, fonds historique passionnants, dessins très expressifs avec des personnages hauts en couleur, il manque juste pour que ce soit un chef d'oeuvre ce petit quelque chose qui fait qu'on se retrouve dans les personnages qui là sont quand même très loin de nous.
Série réellement indispensable.
Début prometteur d'une très bonne série, le jeune Hughes à la reconquête de son fief déguisé en jongleur, de l'aventure, du suspens, et de très bons dessins, dans une ambiance moyennageuse très bien rendu, ce premier tome est très palisant à lire.
Il ne fait pas bon être alsacien pendant la 2ème guerre en France et Claus est donc mal vu partout. D'où des péripéties qui nous tiennent en haleine, entre marché noir et secrets de famille à la campagne, banditisme et espionnage de Paris à la Suisse.
Tout ça très bien dessiné par les frères Stalner fond une très bonne série.