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Une très bonne fin, distrayante et cohérente.
Cela ne vaut pas les tomes 1 et 3 (surtout le 3) mais on retrouve la folie de la première moitié de la série. Ce tome remonte bien la pente amorcée au tome 4, suivi d'un tome 5 très faible.
Je pense que le long laps de temps entre les tomes 3 et 4 dû au film a été préjudiciable à la série, mais cette conclusion digne de ses meilleurs moments fait qu'elle est in fine digne d'intérêt, de lecture et même d'achat. L'auteur a bien fait le tour de son univers. Je ne crois pas que je serai d'une éventuelle suite ou série dérivée s'il devait y en avoir un jour.
Prémonitions : ou l'histoire d'une manipulation machiavélique, d'un homme poussé à bout par les dettes qui met en place un jeu scénique où Oki, jeune fille toujours figée dans sa tristesse et son deuil toujours à terminer de son fiancé, va se faire piégée et entraînée dans une chute dont la mort ne peut qu'être l'issue. Si son ange gardien ne veillait pas, le final serait macabre. Lambert le policier, amoureux en mission d'observation va agir à contre courant des ordres pour sauver celle qu'il aime. Ce qui sans doute fera de lui un policier différent car il ne regarde pas la souffrance et les violences comme un robot. Il agit avec son intuition hors du comportement fonctionnaire :" je n'en ai rien à foutre de ce qui se passe". Une série policière avec une intrigue amoureuse : comment rester impartial...
Oki Hanisutsi vient d'être engagée par un grand couturier M Fontaine qui est actuellement en manque de liquidité et qui compte sur son quatrième ouvrage littéraire pour se refaire. Oki est engagée comme steno en prise de note directe des visions que Fontaine a ou a eu récemment afin de clôturer rapidement le dernier ouvrage et le mettre sous presse. Sa traduction en japonais pourrait être un plus. De son côté l'ispecteur Lambert qui a eu à faire avec Oki dans les épisodes précédents est chargé par la DST de surveiller Oki car il semblerait que quelque chose se prépare. Il en est ravi car il se demandait comment il allait reprendre contact. Fontaine explique à Oki que dans ses rêves prémonitoires, il a été averti par un ami (Hoan, son fiancé tué sur la route) qu'elle courrait un danger et qu'il demandait à Fontaine de l'engager pour veiller sur elle. L'ayant vue à la télé, le lendemain il avait décidé de la convoquer et de l'engager. Mis au courant par un message laissé à son hôtel Lambert de son côté sait que Oki est employée chez Fontaine. En chemin pour la villa de Fontaine à Saint Bernicle sur mer, ils doivent s'arrêter et là Fontaine prévient Oki d'un accident aperçu en rêve la veille : Hoan lui a demandé de lui cacher cet accident car elle est sensible. Sur place les fait racontés par Fontaine se vérifient: l'accident est tel que raconté. Oki est convaincue que Hoan veille sur elle et la prévient par la bouche de Fontaine. Lambert prend une chambre à l'entrée du village pour être près à la surveillance; Là il rencontre une bande de Zigs au comportement douteux ( vus précédemment sur le lieu de l'accident par nous lecteur)dont il a intuition de se méfier. IL se fait passer un homme préoccupé par sa grand-mère. Au milieu de la nuit Fontaine réveille et Oki et lui demande de prendre son rêve en steno(une histoire d'agression d'un homme par trois autres qu'il avait aperçu de derrière la fenêtre.) Fontaine semblait épuisé par ce rêve. Oki s'en trouvait toute remuée. Lambert de son côté prend rencart avec Oki prétextant un passage dans la région pour l'après midi. Ils se voient sur la plage : tant la Dst par surveillance téléphonique que les hôtes de l'augerge qui semblent le suivre ont pris connaissance de son contact avec Oki qui semble bouleversée par les messages de Hoan. Lambert rappelle à Oki qu'il est bien mort son Hoan et la bouscule pour ne pas qu'elle sombre dans la déraison. Chacun rentre chez soi. Lambert s'aperçoit que ses affaires ont été fouillées : est-il grillé A l'extérieur, alors qu'il est invité par les étrangers suspects à trinquer, un homme s'aproche blessé de la maison où loge Oki, il est bastonné sous les yeux de cette dernière. Elle se précipite vers la chambre de Fontaine pour le voir endormi, drogué, (comme Lambert à son hôtel). Les individus poursuivent Oki dans la maison , elle tombe inanimée. Oki se réveille dans son lit. Elle prévient Fontaine, indice cagoule à la main, que la prémonition est bien arrivée, elle l'a vu. Fontaine lui annonce que Hoan l'avertit qu'elle était en danger Fontaine lui annonce que Hoan veut qu'elle parle à la presse. Oki parle à la télé. Lambert, déchargé de sa mission d'observation part la DST, bondit et intercepte un tueur sur le toit de la maison de la radio : il avait Oki en point de mire. Ce dernier se sauve et chute, se tue. Lambert intercepte Fontaine et l'arrête pour association de malfaiteur, l'accusant d'avoir organisé cette mise en scène macabre en publicité pour lancer son bouquin à sensation. La DST est folle de rage, ils avaient accepté de sacrifier Oki pour mettre la main sur la mafia russe, qui blanchissait de l'argent par l'intermédiaire de la maison de Fontaine. Pour Lambert Oki est sauf et tant pis pour les ordres qui viennent d'en haut. et tant pour "l'omelette sans casser d'oeufs"
Nous avons suivi les aventures respectives de Jules, Koridwen, Yannis et Stéphane qui sont enfin réunis à paris pour le final de cette série.
La grande question est de savoir si Khronos existe et s'il peut réellement remonter le temps pour changer le futur en allant dans le passé pour empêcher la catastrophe sanitaire.
On se rendra compte progressivement que cela va être le temps des désillusions. Je ne comprends toujours pas pourquoi l'armée s'attaque à la jeunesse de cette manière aussi expéditive alors qu'elle est une ressource rare dans ce monde apocalyptique.
Cette conclusion ne m'a pas paru extraordinaire. Cela fait l'effet d'un pétard mouillé bien qu'il y ait une petite surprise qu'on pouvait d'ailleurs deviner assez aisément autour du don de Koridwen. Je n’aime pas trop les fins ouvertes même si cela laisse place à l'imagination des lecteurs. A eux de trouver la solution. Trop facile...
Cette série vaudra surtout pour le concept de ces histoires parallèles qui se rejoignent dans une espèce de récit chorale. Dans les années 2010, Frank Giroud avait imaginé un même concept avec la série « Destins » mais qui ne connut pas un franc succès.
Bref, l'idée de départ est plutôt bonne, mais le résultat m'a laissé un peu dubitatif. L'essentiel restera des personnages assez attachants qui se battent pour survivre alors qu'ils ont tout perdu. Je salue tout de même l'originalité de cette idée ainsi qu'un scénario plutôt bien bâti dans l'ensemble.
Comment apprendre à resister.... et sans violence. Cette série devrait tout simplement faire partie des lectures obligatoires en milieu scolaire, tout niveau confondu. Les thèmes abordés sont tellement nombreux et avec une telle justesse de ton que chacun peut y trouver à réfléchir.
Et le dessin porte le propos vers des sommets.
Un grand merci au tandem Delep - Dorison.
Cet album se lit comme un reportage.
Du grand art.
Pas de dialogues inutiles, juste l'évocation de l'état d'esprit des combattants ...
À lire absolument pour une simple raison : Ce tome 33 permet d'oublier sans aucun regret les tomes 29, 30 et 31 !
Ici pas d'américains qui vont bombarder la Corée du nord 6 ans après la fin de la guerre et autres turlupineries du même genre ...
Bien sûr les "méchants" sont des méchants de pacotille mais cet album se lit sans nous confronter à des invraisemblances trop criantes.
Les puristes diront qu'un avion à hélice des années 40, surtout de construction artisanale, ne pouvait pas voler plus vite qu'un Mig 15 à réaction des années 50 dont la vitesse voisinait les 1100 km/h.
Mais bon, ne gâchons pas notre plaisir de retrouver un Lefranc de bonne facture.
On bascule du côté de "l'ennemi", et toutes leurs infrastructures politiques, avec son système de castes sont passionnantes.
Le lien avec le premier tome ne saute pas aux yeux dès le début, mais il est introduit en cours de route. On sent que même s'il semble y avoir deux intrigues distinctes qui influent l'une sur l'autre, les finiront par se rejoindre à un moment où un autre.
Les dessins et le choix des couleurs sont d'une justesse remarquable et l'ambiance délivrée par les auteurs est originale et réussie.
Un bel ouvrage du point de vue scénaristique et graphique.
Serie à la "game of throne", avec des clins d'oeils (intentionnels ?).
L'intrigue est prometteuse.
Graphiquement de très bonne facture.
Album bien meilleur que les deux précédents.
Reste que voir réapparaître Arnold Fischer en méchant de service quand on sait quel sera son sort dans un album précédent ...
ClarkBD dit que cet album a clairement fait l'objet de recherches approfondies ...
On s'en aperçoit immédiatement dès les 1ères pages de cette histoire sensée se dérouler en 1959 et où, page 10, on apprend que l'Alpha Roméo de Lefranc prend la direction du Vésinet dans le département des Yvelines ... Département des Yvelines créé en Juillet 1964 :-))
Des références au feuilleton british avec l'agent US nommé John Drake.
Lefranc parle même d'une "Destination danger", titre de ce feuilleton
Quand on sait tous les coups tordus que les américains, les russes, mêmes les français ont pu mener dans ses années-là, voir la CIA s’adjoindre au pied levé un petit échotier français pour mener une action en Corée, ce manque de crédibilité est à pisser de rire.
Enfin, imaginez-vous ce qui se serait passé dans la réalité si les américains avaient mené un raid aérien sur la Corée du Nord, 6 ans après la fin de la guerre de Corée ?
Ridicule, absolument ridicule.
Je suis en train de rattraper mon retard dans la lecture des 5 derniers Lefranc.
Déjà que "la stratégie du chaos" n'était pas brillant, je crains que la fin de ma lecture de cet opus me déçoive encore plus que le précédent.
J'ai l'impression d'être Ulysse, je vais de Charybde en Scylla.
I didn't even think it would be that bad. Without even comparing it to the Metabarons of Gimenez or Kastaka, it's really bad.
The visuals are very bad: the character designs and locations are very faded and unmemorable--just monstrous for a sci-fi comic. But even regardless of the design, the drawing style itself, the lines, the coloring, and the storyboard are very mediocre. The low detail and blurry backgrounds make it look like a very cheap American comic book that was hastily concocted in a couple of weeks. Sort of like the weekly Marvel or DC issues of Batman or the Avengers. A very low bar.
The publisher had options for artists who had already established themselves in this universe: Sécher and Ladrönn.
There are other just terrific artists who could have been brought in: Mukesh Singh, Esad Ribic, Jérémy, Travis Charest.
Or great artists who have never worked with Jodoverse: Jaime Calderón or Riccardo Federici.
After all, if they wanted something totally new, why not approach artists from the East? For example, Katsuya Terada or Sakamoto Shinichi - their Metabaron comics would have looked amazing in color.
What were Les Humanoïdes Associés trying to accomplish? How could they trust their most important franchise to this?
The sad demise of the series.
Un avion lance-t-il un SOS ou un MAYDAY ?
Visiblement le scénariste l'ignore.
S'il n'y avait que cela ...
Adèle est envoûtée est sous l'emprise de son âme noire. La rancœur a tué l'amour et donc veut se venger de tous ceux qui l'ont mise dans la déchéance qu'elle vit actuellement. Pour la ramener à la vie Aristophania , la dame au grand cœur ne peut rien, il faut que les enfants acceptent de rechercher la source Aurore. Ce n'est pas aux enfants de faire ce travail pour leurs parents dira Basile. 7jours pour se former à accueillir l'azur, cette force de l'eau qui vous rend ouvert, gentil, fort et serviable. A côte d'Aristophania et de la jeune Calixe, Garance la fille au service du roi banni n'est que turpitude fait semblant d'accrocher le cœur de Basile et le dénigre, le manipule. Basile est trompé quelle femme es-tu toi? Des trois enfants qui ont trouvé les énigmes du regard vrai sur les choses, lequel sera celui trouvera la source aurore. ? Calixe qui a su trouver le chemin de l'azur,? Victor qui a trouvé le repaire du roi banni ? ou Basile qui a permis au monde sombre d'introduire un objet traçant qui mène à Aristophania. Lequel est le sourcier de la source Aurore?
Pour vivre l'amour parce que venu d'un monde différent et recherché parce qu'il est tel, A Gennevillers Clément Francoeur a épousé en secret Adèle. Celle-ci accepte par amour de taire cette condition d'épouse en public, acceptera la séquestration pour protéger ses enfants et leur permettre d' échapper à la justice, souffrira d'être l'objet de chantage du monde dont est issu son défunt mari, tout cela par amour... Aristophania cette énigmatique femme aux pouvoirs magique qui puise sa force dans l'Azur est indéfinissable. Cependant sa dette est grande vis-à-vis de la famille de Clement, appelé dans son monde le chevalier Arlin Stagarrt, qui a sacrifié sa vie pour la protéger d'un danger qui pouvait la tuer. Elle prend en charge les enfants et va enfreindre les règles de son monde pour leur permettre de grandir mais aussi pour les protéger du laquais ce mangeur de rats du monde nocturne. Une jeune dame Calixte fille du chevalier redonnera vie à Aristophania dans son duel avec le laquais. Les dames ici paraissent des combattantes plus déterminées, moins impulsives mais effectuent leur travail dans la discrétion le silence , loin des fanfaronnades masculines. Patience et longueur de temps font plus que force et que rage. Pour finir, les enfants ont droit à la vérité quoiqu'en pensent les consoeurs d'Aristophania
Elle les fera entrer par la grande porte et leur apprendra à regarder les choses autrement.
Ce ne sont pas les gorilles, ni les pandas mais les vikings qui sont cette fois-ci dans la brume. Lupano nous concocte des gags sur quelques cases concernant ce peuple fier et brave qui n'a pas hésité à prendre la mer pour aller toujours plus loin du Moyen-Orient à Terre-Neuve.
J'ai bien aimé la relation du père qui s'en va en guerre en emmenant avec lui un fils plutôt contre les armes et la guerre. Cela donne lieu à des situations plutôt cocasses qui prêtent à sourire et non à rire aux éclats.
Cependant derrière les gags se profilent certaines critiques géo-politique comme l’expansionnisme territoriale. Un dictateur actuel, tsar postmoderne, n'a d'ailleurs toujours pas compris les leçons du passé.
Bref, c'est un titre juste rigolo pour passer un moment de détente. Il est vrai que nous avions déjà Hagar Dunor dans le même esprit. C'est sympathique mais sans plus en ce qui me concerne.
Cela fait un petit moment que je n’avais pas partagé mes coups de cœur en BD. Et bien ces derniers temps, je lis plein de belles choses. Mais ce coup-ci je vais vous parler de l’album « MAGNUM génération(s) » dont le scénario a été écrit par Jean-David Morvan et les dessins réalisés par Arnaud Locquet, Scietronc et Rafael Ortiz, album mis en couleur par Hiroyuki Ooshima et édité par Caurette (éditeur que je ne connaissais pas).
Ce livre historique est un monument de travail ; le poids de la BD, le choc des photos ! Il rejoint également l’histoire de ma famille, républicaine, engagée dans la guerre d’Espagne, ce qui a rajouté à mon appétit de lecture quand j’ai vu que l’album sortait. Le récit retrace les parcours des grands photoreporters que furent Robert Capa, Gerda Taro, Chim (David Seymour), Henri Cartier Bresson, Georges Rodger ... De part leur engagement très concret au cœur des grands conflits du XX° siècle et grâce à l’introduction d’une photographie très réaliste et souvent artistique dans l’actualité, toute cette équipe est devenue une légende. Ils créèrent en 1947 l’agence Magnum, aujourd’hui devenue mythique, afin de se donner une plus grande autonomie face aux magnats de la presse de l’époque et d’apporter une plus grande lisibilité à leur de travail de terrain et de création. Depuis son origine, l’agence Magnum n’a eu de cesse d’intégrer avec choix et discernement des grands reporters marqués par une identité forte dans leur démarche photographique et leur travail.
Le livre laisse une grande part au récit de vie de Robert Capa (de son vrai nom Endre Erno Friedmann), le photoreporter le plus emblématique de cette période tout en allant chercher régulièrement les connexions avec les récits de vie des autres créateurs de l’agence et les personnalités qui entourèrent cette aventure à l’époque. Gerda Taro, fut la compagne de Capa, qui eut un rôle important dans le soutien de celui-ci pour qu’il puisse se forger une place dans le monde de la presse. Elle resta d’ailleurs un peu trop dans l’ombre de Capa pendant toute une période bien qu’un certain nombre de travaux plus récents l’ont remise au cœur de cette histoire. Gerda n’a pas connu la création de Magnum car elle fut fauchée en plein conflit de la guerre d’Espagne en 1937 alors qu’elle se tenait sur le front de Madrid, un accident plutôt maladroit et inattendu. Capa fut très attristé de la disparition de son amie et quant à son tour il fut fauché, plus tard, en mai 1957 par une mine antipersonnel durant la guerre d’Indochine son dernier mot évoquera le souvenir de ce premier amour.
L’ouvrage laisse aussi une part belle à tous les autres membres créateurs de l’agence, Chim, Cartier Bresson, Rodger, en montrant, notamment de nombreux clichés de l’époque qui s’imbriquent de façon intelligente dans le récit dessiné. Beaucoup de photos reproduites sont saisissantes de réalisme et d’humanité et on y retrouve, bien sur, certaines images qui firent le tour du monde dans les journaux de l’époque et qui ont marqué pour toujours la mémoire collective.
Le découpage du récit qui joue avec le temps et les époques est bien ficelé et à aucun moment on ne s’y perd. Tout ce beau travail nous renvoie constamment à l’engagement sincère, courageux et politique de ces témoins de terrain qui marquèrent pour toujours l’histoire du reportage international.
Sincèrement cet ouvrage est une somme colossale de travail. Sans qu’on se perde dans les détails grâce à cette narration très bien construite on sent que le travail de recherche, de documentation, de précision des faits, est là. Se rajoutent au récit principal de la bande dessinée, des annexes fort intéressantes et très bien ficelées : un portfolio rétrospectif de toutes et tous les reporters qui ont été intégrés à l’agence de 1947 à nos jours, et qui contient là aussi des photos saisissantes, un texte de Clara Bouveresse qui reprend une histoire synthétique de Magnum, une bibliographie.
Le livre fait 248 pages et coute 29,90 euros, ce qui n’est pas délirant au regard de la qualité de l’ouvrage, un cadeau qui rend un peu plus instruit les gens de son entourage, n’hésitez pas.
Une très bonne série de low fantasy médicale (si si !).
Un dessin de caractère, avec de magnifique planches. Un univers que l'on ressent très dense...
...peut-être même trop ! En effet, le dernier tome aurait dû être subdivisé en deux (à mon sens), prendre plus de temps pour continuer à introduire de nouveau concepts, et amener une conclusion sans trop de précipitations.
Retrouvez la totalité de mon avis sur La Licorne sur mon blog :
https://www.alphabulle.fr/univers/monde-de-la-licorne/
Bonjour,
Nouvelle série dans le monde créé par Jean Luc Istin les Maitres inquisiteurs : Maitres Assassins.
A l'image des série Nains/Elfes/Mages/Orcs et Gobelins.... Soleil (l'éditeur) développe ce monde.
Un bon début pour ce volume nommé Osahar scénarisé par Cordurié (qu on retrouve aussi sur les séries de l'univers Elfes/ Nains etc ....)
Un aventure trépidente.... vivement la suite. On aura Elyes, Neida puis Malgerian à venir en 2022 2023
Et ils tuerent le groom.....
L'annonce de la mort de Spirou dans les aventures de "Spirou et Fantasio" a été l'annonce majeur de l'année 2022 dans le monde de la BD.... peu rapportée dans les médias francais...à part RTL.
Spirou est né en 1938 (la même année qu un certain Superman) grace à Rob Vel.. le personnage eu son heure de gloire sous la plume de Franquin (l'inventeur du marsupilami ou encore gaston lagaffe).... puis Tome et Janry (qui inventèrent le petit spirou).
En ce numéro 56, l'éditeur Dupuis fait un sort très funeste à celui sans qui il ne serait pas... la mort.
L’histoire en elle même est bien faite, j ai adoré le découpage des dessins ... surtout à partir de la page 28 avec d un coté Spirou et Fantasio et de l'autre Spip... superbe idée... le scenario et le dessin ne sont pas à critiquer.... mais ... il tue le groom le plus célébrè de la bd.... le duo scénariste dessinateur arrive sur la série et tue le héro ... sic
Alors , effet d'annonce ? coup de pub ? on verra dans l'avenir.
Mais si l'on suit les annonces d'une série à venir sous le nom "Secotine et Fantasio"... cela sera sans moi. Y a qu à regarder les pages de fin ...
J'en ai marre de ces gens qui se disent modernes en tuant l'ancien et en remplaçant le hero par une heroine pour se dire moderne.
DC comics, Marvel Comics ont fait ce choix depuis des années, et le résultat est qu ils galèrent pour vendre leurs comics.
J'espere que c est juste un coup de pub .... car la série Secotine et Fantasio aura encore moins de lecteur que celle de Spirou et Fantasio... ce n'est pas les jeunes qui achetent mais les anciens.
MAIS (et c est le but de ce post) ce qui m'exaspere au plus haut point c'est aussi les articles de ces soit-disants journalistes qui recopient inlassablement le même avis sur le net.
Aucun de ces gens n'a lu Spirou avant, on plébiscite l'album car on tue Spirou et ... on introduit une heroine....
Et on rapporte que dans cet album Spirou est en phase avec la société... peut etre que ces dits-journalistes auraient pu lire les aventures anciennes du duo Spirou/Fantasio avant de raconter des niaiseries journalistes. Spirou a toujours été moderne dès les années 90 ...
C'est bien sur la saga dans son ensemble qu'il faut maintenant considérer. En enchainant la lecture de ses 6 tomes, je me dis que Mattéo pourrait bien être la grande oeuvre de Jean-Pierre GIBRAT. Plus dense et engagé encore que ne le furent le Sursis et le Vol du Corbeau. Cette oeuvre se hisse parmi ce que la bande dessinée historique franco belge a produit de meilleur. Seul léger regret: une fin ouverte qui laisse quelques questions en suspens. Mais qui sait si l'auteur ne nous livrera pas quelques réponses dans l'avenir?
Je viens de découvrir cette série grâce à l’intégrale parue récemment et je dois dire que j’ai été très agréablement surpris.
Autant « Croisade » des mêmes auteurs m’avait laissé de marbre à cause du scénario absolument indigeste et parfois incompréhensible, autant Dufaux nous sort pour le coup un excellent récit très rythmé et bien documenté.
Nous avons donc affaire à un récit épique, une quête marquée du sceau de l’aventure et de l’Histoire.
Comme Dufaux sait bien le faire en général, que ce soit dans Murena ou Double Masque, il y a un équilibre intéressant entre la dimension historique (en l’occurrence la relation entre l’empereur Moctezuma et le conquistador Hernan Cortès au début du XVIe siècle, en pleine conquête de l’Empire aztèque par les Espagnols) et la dimension fantastique (ici une divinité surpuissante qui s’incarne à travers un conquistador et un culte opaque chez les Aztèques).
Et le mélange marche très bien car il est parfaitement dosé, ni trop fantastique (juste quelques touches) ni trop « dissertation d’histoire » (la trame principale est sur les rivalités internes à la fois chez les Espagnols, entre Cortès et les envoyés du roi qui le trouve trop indépendant, et chez les Amérindiens, entre les Aztèques de Moctezuma et les autres tribus proches)
Et que dire des graphismes absolument sublimes de Philippe Xavier. Un pur régal pour les yeux, en permanence. Rien n’est bâclé ou laissé au hasard. J’ai eu les yeux écarquillés un nombre incalculable de fois.
Un Must have pour les amoureux de BD d’aventure, de BD semi-historique ou pour les fans des auteurs. Un indispensable assurément.
Assez déçu jusque maintenant, j'ai continué cette série souhaitant lui donner sa chance.
Ce troisième opus me semble le meilleur (d'autres pourraient dire le "moins mauvais"...). C'est pour cela que je lui mets la note de 3/5, car je le trouve juste "un peu meilleur" que les 2précédents.
Toujours de bons dessins, mais des scènes de combats parfois trop longues et peu utiles pour l'histoire.
Par contre, un scénario des plus compliqués avec une multiplication des protagonistes qui fait qu'on se perd.
En tous cas, l'ensemble des 3albums ne me donne pas trop l'envie de continuer alors que, lorsqu'on débute une série, l'idée est d'aller au bout.
Je verrai ce que donne la suite en la feuilletant chez mon libraire, mais si ça continue ainsi, peu de chances que j'achète les albums à venir.
A noter la couverture, totalement tapageuse et racoleuse, qui ne renvoie à rien dans l'album. Du pur marketing?
EDIT : 2ans après, jetant un oeil sur le forum, je découvre que ce tome3 était le dernier! Décidément, je n'ai rien compris à cette histoire très tortueuse.
Album réalisé sur commande qui faisait 14 planches à l'origine. Cet album a intégré un projet pour venir en aide aux jeunes en difficulté pour lire et un nouveau cadrage avec 6 vignettes par pages a permis d'atteindre 46 planches et de vendre 15 euros un album de 14 planches...
De plus le scénario est réduit au maximum, il y a des erreurs de dessins (personnages sans yeux et bouches dans une case), erreur de bulle (Arthur qui parle mais bulle qui sort de la bouche d'Elias)...
Une bio de Simenon sans prétention qui va de son enfance à l'écriture du premier Maigret. Ça se lit facilement mais cela aurait mérité d’être plus scénarisé. On a plus affaire à une succession de scènes indépendantes les unes des autres qu’à une véritable histoire. Dessins clairs mais rien de transcendant, assez statiques. Ça ressemble à une œuvre de commande.
Tout est juste magnifique: les dessins, les dialogues, l'enchaînement des scènes, les expressions des personnages.
Wahouuuu!!!
D'ailleurs, mais c'est peut-être moi qui me fais un film, les dessins portent tellement bien l'histoire que le nom du dessinateur apparaît en premier sur la couverture! (OK, depuis le Tome1, mais je ne le remarque que maintenant!).
J'ai juste trouvé que ça manquait un peu de "légèreté" par moments. On va me rétorquer que le sujet ne s'y prête pas. D'accord! Mais justement l'une des forces des 2précédents opus c'est que, même si les situatins étaient dures, il y avait de temps en temps.
Mais, comme le dit si bien le membre @BudGuy : "Vivement le tome final"!!!!!
Après un 1er volume qui m'avait sublimé par le graphisme et l'ambiance noire des années 50 digne d'un chef oeuvre. Qu'il est !
Mais le scénario fut assez léger mais quel courbure dans ce 2e tome, là on a un vrai scénario palpitant avec toujours ce charme aux yeux !
Du Grand Marini ! Merci Enrico..
Des animaux ont décidé de mettre fin à la tyrannie de Silvio le taureau dictateur en imposant le vote d'un chef. Le mot d'ordre est de ne pas céder à la violence façon Gandhi. Il est vrai que parfois, il faut en user car ils ne peuvent comprendre que de cette façon. Mais ceci est un autre débat...
La ruse et la solidarité auront-ils raison des manœuvres politiques visant pour le dictateur à conserver coûte que coûte le pouvoir ? La révolte sans violence à savoir la désobéissance peut-elle vraiment mettre un terme à l’inacceptable ? Même si la lutte est non-violente, elle génère une grande violence à laquelle il faut faire face.
En Russie, le dictateur Poutine a fait emprisonner ses opposants après avoir tenté de les assassiner par empoisonnement. Silvio va lui aussi arrêter et emprisonner grâce à sa brigade canine les oppositions aussi pacifiques soit-elles. On voit bien que la métaphore de La Ferme des animaux est à un niveau plus universel, la fable pouvant s'appliquer à bien des régimes politiques de tous bords !
A noter que 4 tomes ont été prévu au départ. On est à la moitié et le récit a déjà bien avancé dans sa progression dramatique et ses nombreux rebondissements. Par ailleurs, le graphisme ainsi que la colorisation sont toujours aussi bien réussis. Ce trait est vraiment magnifique. Je suis toujours subjugué par ces magnifiques couvertures.
Pour ma part, je considère que « la nuit des justes » est une lecture nécessaire pour comprendre le mécanisme des dictatures qui pullulent à travers le monde et qui sont la cause majeure de toutes les guerres et les tensions.
Les destins croisés d'Ora, l'elfe errante (héroïne de la série) qui va trouver sa place dans le monde des Elfes Sylvains, d'Alorënn, la cheffe de tribu qui souhaite mettre un terme aux méfaits de la Kicha et réveiller le sentiment d'unité des elfes de la forêt de Torunn et d'Aliksa, "la main armée" de l'empereur humain de Dumn.
Un épisode bien construit avec des rebondissements et un florilège de personnages intéressants : cet album attend une suite directe
Bof. Pour tout amateur de SF, ce mini-cycle n'aligne que des lieux devenus communs depuis bien longtemps (je ne les énumère pas pour ne pas déflorer l'intrigue mais ils sont légion). J'ai acheté parceque c'est Leo, mais j'ai l'impression de deux abums pour rien dans la saga débutée avec Adebaran. Nous restent le dessin et l'apparente naïveté de ces personnages et visages figés qui font son charme.
Une vision de l'Inde tout à fait envoûtante pour un avant-dernier round passionnant. Cette seconde partie de la série (tomes 11 à 15) atteint des sommets qu'à mon sens seuls les tomes 6 et 7 avaient égalés dans la première partie. Dufaux et Grenson maîtrisent parfaitement leur univers et signent ici le meilleur tome de leur série.
Ce tome et le suivant constituent l'une des meilleures aventures de la série. On retrouve l'aspect "magie" des deux premiers tomes, qui ne quittera plus la série, pour une intrigue bien ficelée, et les personnages ont un charisme dingue (notamment celle sur les deux couvertures), grâce au dessin de plus en plus beau de Grenson.
"Blood - The Last Vampire", c'est d'abord un excellent anime datant de 2000, mettant en scène une chasseuse de vampires nommée Saya, travaillant pour le gouvernement américain. Le manga ici présent reprend les mêmes bases, en faisant tout moins bien : histoire beaucoup plus générique sans aucun intérêt, un dessin médiocre et un mélange d'érotisme malsain et d'ultraviolence parfaitement indigeste. L'anime est superbe mais ce manga, avec les mêmes éléments, est un ratage complet, à éviter.
Le personnage de Deadpool a fait on apparition dans les publications Marvel en 1991, dans la série "Les Nouveaux Mutants", mais c'est en 1993 qu'il aura droit à sa propre série. L'ouvrage qui nous intéresse ici possède un titre français trompeur car il ne s'agit pas de l'histoire personnelle de Deadpool qu'il est question, ni du pourquoi du comment il a obtenu ses pouvoirs. Non, il s'agit tout simplement d'un recueil contenant les 2 première séries régulières du personnage. Dans la première, Deadpool part dans une chasse au trésor, en réalité un héritage mystérieux. La deuxième série est la suite directe de la première, sans rien de vraiment marquant à signaler... Car outre des péripéties très loin d'être passionnantes, si vous n'avez pas lues au préalable la série "Les Nouveaux Mutant" ou encore la saga "X-Force", vous n'allez pas comprendre grand chose... Au niveau du dessin, la première série est un peu vieillote, la seconde est plus maîtrisée mais rien de vraiment fou non plus. Au final, on ne peut pas dire que le mercenaire disert fasse des étincelles pour ses première aventures solo...
A un moment, faut arrêter. Non pas que cet album soit mauvais, le dessin est vraiment bien, mais la lassitude des ces loooooongues séries est inévitable. Sûrement mon dernier Thorgal si jamais il y en avait d'autres à venir.
En s'inspirant d'un mystère les plus troublants de l'histoire de l'aviation (la disparition des passagers du vol C-124 Globemaster le 23 mars 1951), les scénaristes Marniquet et Zumbiehl nous offrent une aventure palpitante de Buck Danny. Décidément cette série dérivée finit par dépasser en qualité, la série mère.
Le récit oscille sans cesse entre le récit d'espionnage, celui d'aventure , sans oublier des scènes d'aviation.
J'ai trouvé le ton de ce volume plus dramatique qu'à l’accoutumée, même si les auteurs n'oublient pas de nous présenter un Sonny gaffeur, qui finit par s'embarquer dans une histoire d'amour qui le mènera assez loin.....
Un album qui, en tout cas, ravira sans nul doute, les nostalgiques de l'âge d'or des Buck Danny.
Je n'ai pas lu livre de R. J. Ellory et donc ne peut comparer le respect de l’œuvre originale. Mais cette histoire de meurtres en série de petites filles et du traumatisme engendré dans l'âme du narrateur, Joseph, est prenante. La vie du "héros" est rythmée par des meurtres atroces de petites filles. Cela l'écrase, le peine, il fait sien ces meurtres et vit mal le fait de ne pouvoir les empêcher. Il subit cela comme une malédiction.
Cette bd est très bien construite. L'atmosphère de l'Amérique rurale puis new-yorkaise est bien décrite. La structure du récit et le système narratif permettent à l'ensemble de fonctionner. Le dessin et les teintes ocres sont justes. Une mention particulière à la façon dont les personnages sont dessinés, ils sont tous particulièrement bien réussis.
100 pages tout compte fait ce n'est pas long quand tout c'est du bel ouvrage!
Cela se passe à Buenos Aires. Une grand-mère meurt et sa petite fille, étudiante, prend possession de sa maison. Introspection et découverte de cette grand-mère inclassable, caractérielle et attachante, rythmeront le parcours de sa petite fille qui se cloître dans cette maison, un peu d'un autre temps. Elle découvrira le passé injuste de la vie de son aïeule, immigrée italienne, et finira par la comprendre.
Le thème pourrait être dur, mais non, c'est à la fois touchant et sensible sans tomber dans la sensiblerie. Le rythme du récit est enlevé, même si le livre fait 330 pages.
Le dessin, a priori pas ce que j'aime, est adapté et souvent inventif, la mise en page participant à la fluidité.
Une belle surprise.
Parce que son petit ami est mort dans un tragique accident, la jeune et belle Oki veut tirer un trait sur sa vie passée. Elle abandonne son Japon natal, et débarque en France en tant que jeune fille au pair. Mais ses ennuis ne font que commencer.. Ses employeurs cachent tous de lourds secrets.. Victime de machination ou de complot diabolique, Oki vit des expériences traumatisantes dont elle se sort de justesse, grâce à sa jugeote et à l'intervention de l'inspecteur de police Lambert.
Oki traductrice experte de traduction de textes japonais-français a fréquenté Hoan dans son travail. Leur complicité en est arrivé à l'osmose totale. Cette idylle n'a pas duré longtemps. Hoan s'est tué dans un accident de voiture; Plongée dans un désespoir intense et une grande tristesse, Oki veut rompre avec son passé et sollicite un job de traductrice en France. "Quelques heures de travail contre le gîte et le couvert". Elle est engagée chez le professeur Benetzak, éminent mathématicien, atteint d'une maladie musculaire dégénérative qui communique par le clavier d'ordinateur. Madame Frogstein est la gouvernante soignante et Goraguer son secrétaire. Devant la froideur de la situation, Oki se demande ce qu'elle fait là. La première nuit n'en fini pas: des bruits à l'étage supérieur qui lui est interdit, l'empêchent de dormir. On avait fermé sa porte à clef... le matin elle prend son rôle de traductrice, rassemble ses ouvrages ; le téléphone lui est inaccessible elle doit passer par le secrétaire pour toutes demandes. La nuit embarque son sommeil avec Hoan pour sombrer dans un cauchemar où transportée, elle subit les attouchements du professeur Benetzak. Son réveil est pénible. Laissée seule le matin, elle visite l'étage supérieur, toutes portes fermées à clef et vide. Elle s'aperçoit que son passeport lui a été retiré. Elle s'en plaint. Le secrétaire élude la question et l'envoie à son travail de traduction. Le soir au repas, elle tombe dans son assiette droguée. Bousculée dans son rêve, elle se réveille dans la rue, soutenue par le frère de Mme Frogstein elle réintègre sa chambre. Là,; l'inspecteur Lambert la suspecte d'un assassinat. On a retrouvé la femme du professeur la belle Romi manequin, assassinée sur une tombe au cimetière e balle das la tête. Tous les indices convergent vers Oki. Il emmène Oki pour un retour sur les lieux du crimes, il sent que ce n'est pas Oki qui a fait le coup, même si les indices convergent : le témoin est formel. Vu la situation, l'inspecteur l'installe chez sa mère, le temps de prendre du recul. Oki s'aperçoit que la mère n'est autre qu'un autre inspecteur de police ; prenant de l'argent dans un manteau, en taxi, elle file jusqu'à la maison du professeur . Escaladant la façade par le chenal, elle entre dans la chambre du professeur, le questionne mais silence. En fouillant elle trouve des photos d'elle compromettantes, en train de se frotter nue à l'infirme. Le secrétaire surgit et la poursuit. Stoppée par la porte d'entrée fermée, il tente de la violer mais on sonne à la porte. L'inspecteur Lambert arrive emmène Oki, voit les clichés, visualise la supercherie. Le professeur a peur. Madame Frogstein, en fait amoureuse de lui, le rassure. Le secrétaire va être arrêté: elle a fait remettre à la police les photos de la belle Romi en train de prélasser lascivement sur les tombes avant d'être assassinée par son amant du moment le secrétaire du professeur. Lambert avait fait un deal avec Mme Frogstein: immunité pour elle et son frère si elle fournissait (La bobine de film qui était entre ses mains) la preuve des turpitudes du secrétaire : Il avait persuadé Romi de se déguiser en OKi pour pouvoir montrer que le professeur avait engagé une pute pour ses plaisirs et ainsi elle Romi demanderait le divorce et par contrat de mariage profiterait de la moitié de la fortune du professeur. Romi avait joué le rôle de Oki , assassinée, Oki en prison le secrétaire manigancerait pour avoir la tutelle des affaires ... mais c'était sans compter sur la lune qui par son reflet révèle l'image du tueur sur la photo. Oki ne sachant où aller est invitée par Lambert chez sa vraie mère.
On continue toujours l'exploration des gouttes de Dieu lors de ce dernier duel final qui donne d'ailleurs lieu à toute cette nouvelle série dérivée qui n'est autre que la suite.
Dans ce tome, on va surtout s'intéresser à la piste des vins rosés qui peuvent se marier avec la plupart des plats thaïlandais ou vietnamiens. Je m'en souviendrais quand je déjeunerais dans un restaurant asiatique où l'on sert du bo bun, plat que j'ai découvert et que j'adore. A noter que le rosé a gagné en popularité dans le le monde entier et on en produit un peu partout. Cependant, le rosé de Provence reste célèbre.
Oui, sans rire, la lecture d'un manga peut apporter des réponses à votre vie quotidienne pour peu que l'on s’intéresse à l’œnologie ou la gastronomie. Pour profiter pleinement des potentiels d'un vin, il faut savoir l'apprécier en accord avec les mets qui l'accompagnent ! Mets et vins doivent se mettre en valeur sans perdre aucune de leurs qualités. C'est tout le thème central de cette série.
Pour le reste, on suit toujours les exploits du jeune prodige Shizuku qui est finalement digne de son père. Il est dommage qu'il n'a pas pu réaliser tout cela du vivant de son paternel. Par ailleurs, il y a un bon dosage qui se fait dans cette BD entre les moments sérieux et les moments plus comiques où Shizuku en bon vivant se laisse aller.
Fort heureusement, cette série s'approche de sa fin sachant qu'il y aura 25 ou 26 tomes. C'est d'ailleurs la série la plus longue que je détiens actuellement. Au moins, je verrai sa conclusion avant la fin de mon existence. Bref, le mot d'usage de la fin serait de dire : « à votre santé ! », un verre à la main bien entendu.
Un Walking dead avec des sauterelles à la place des zombies.
BD graphiquement intéressante mais du déjà vu au niveau du scénario.
Le monde est pavé de bonnes intentions. Chacun du groupe du roi Gédéon ou d'Aristophania veut libérer le peuple, mais à quel prix. Partis tous les deux d'une même manière, à la lecture des événements, la réponse sera différente: destruction, force, pouvoir, violence ou Tolérance, acceptation, cheminement et amour. Le premier vise l'efficacité, la réponse immédiate, l'autre la construction et le respect. A la fin Gédéon au vu de l'amour sans faille d'Aristophania, rejoindra ses aspirations initiale en donnant le meilleur de lui-même : sa vie pour éviter la destruction qu'il avait généré par escalade avec le monde des affaires qui restera toujours sans état d'âme, sacrifiant la rentabilité au bien-être. cote magique où la douceur triomphe, le sacrifice maternel est grand pour permettre à l'enfant de cheminer dans sa propre liberté
Azur bleu, azur noir: force de vie contre force de destruction, arbre et verte nature contre fumée, oxydation et feu métallurgique.
Paris 28 mai 1871, l'armée prend le pas sur le révolte de rue. Le fils de Gédéon et Aristophania est sur le point d'être exécuté. Suite à l'intervention de sa mère, il lui demande de ne pas intervenir pour ne pas parjurer son engagement d'amour et ne pas souiller l'azur comme lui et son père l'on fait en prenant les armes. Aristophania, est blessée par "Fatalitas": "tuer ou causer il faut choisir" . 40 ans plus tard, Calixe, Victor et Aristophania partis à la recherche de la source "Aurore" sont poursuivis par les troupes de Gédéon emmenée par son lieutenant M Zerrt qui eux aussi veulent mettre la main sur la source. C'est là que Gédéon retrouve Aristophania ; Aristophania refuse de faire violence à Gédéon qui lui n'hésite par rancœur de la mort de leur fils à la faire souffrir pour faire sortir d'elle un peu de haine. Pendant que Gédéon et Aristophania s'affrontent, Victor et Calixe poursuivent la recherche de la source dans une grotte qui se termine par un grand puits. Victor enferme Calixe pour quelle continue en faisant écrouler la montagne avec ses pouvoirs. Lorsque les sbires de Gédéon arrivet, il est épuisé et se fait capturer. Victor, Aristophania pris, il reste Calixe comme seule force de l'azur.. Gédéon fait exploser la montagne et dans la grotte plus personne. Calixe a disparu avec la source Aurore qui est montée jusqu'à elle. Emmenés en fourgons cellulaires Aistophania et Victor son libérés par les arbres et la nature qui a repris vie par la force de Calixe qui se révèle être la source Aurore tant recherchée.. En ville Basile joue les forts à bras à la manière de Gédéon, mais est interpellé par une vendeuse de fleurs qui refuse son argent arraché de force à un nanti. Récupéré par Gédéon Basile portant le sabre du fils de Gédéon décide, vu l'honneur qu'on lui fait, de continuer à le suivre dans son combat, sachant que l'on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs. Il part rechercher Victor en prison mais Victor refuse de le suivre dans son combat avec les poings; Cependant voyant la colère de la foule sur les patrons enchaînés,; Basile réagit, libère les patrons sous les cris des ouvriers, puis retourne libérer son frère qui allait être occis par un geôlier. L'intervention d'Aristophania et de Calixe, les sauve de la foule en colère; La famille retrouvée, le pardon exprimé, il reste à retrouver la mère toujours prisonnière dans l'usine. Aristophania va prendre sa place et ainsi affronter Gédéon pour faire cesser ce combat qui ne peut conduire qu'a l'effusion de sang. Le tonneau revient avec la mère des enfants, libérée de l'azur noir en échange d'Aristophania. Aristophania rassure Gédéon de son amour. Les enfants Basile, Victor et Calixe, ne peuvent laisser Aristophania seule ils veulent l'aider à sauver les ouvriers enfermés dans l'usine que Gédéon veut faire exploser pour créer la révolution. Passant par la rivière, ils arrivent dans l'usine en feu et en effervescence, affrontent et réduisent à néant les sbires de Gédéon. Garance, l'amie de Basile le quitte pensant avoir déjà fait trop de mal. Gédéon apprend que Aristophania a pardonné à l'assassin de son fils en le prenant avec elle durant 40 ans pour faire le bien. Gédéon devant tant d'amour, comprend qu'il est passé à côté de l'amour, il embrasse sa femme, la libère de l'azur noir et s'en va arrêter la fusion du métal avant que le haut fourneau n'explose. L'usine est sauvée, Gédéon n'est plus. Aristophania ouvre son château à tous les sans abris ruinés par la fin de l'usine pendant que Calixe et sa mère partent pour d'autres horizons trouver le bonheur.
Les aventures d'un détective raté avec une succession de gags absurdes et de comique de répétition.
Pas originale mais sympa à lire.
Beaucoup de plaisir à lire cette BD qui illustre magnifiquement le destin tragique de Minotaure et le rôle qu'y a joué Dédale, ingénieur de génie qui va de malheur en malheur.
Excellente adaptation du mythe, Serge Le Tendre retrouve l'originalité de son Tirésias.
Une BD à offrir aux amateurs de mythologie et de belles BD !
Al Capone par lui-même, récit original et dessin atypique.
Jouant sur la confession à sa mère en atténuant son propos, le grand (gros ?) Al raconte sa vie toute de douceurs vécues et prodiguées.
Le dessin atténue la noirceur du propos.
Auteur comics célèbre, voici une nouvelle série de Ennis avec Sudzuka au dessin.
Très classique dans les planches et le dessin, l'histoire se développe en 2 parallèles, l'une suivant une ancienne enquête de deux agents du FBI, et l'autre le présent et leur entrée dans un entrepôt qui contient plus que sa forme suggère.
Peu captivant pour un démarrage, l'idée qui est développée et qu'on retrouve principalement dans le titre plus que dans le contenu titille la curiosité.
Mais cela est-il vraiment suffisant ?
BD très méticuleuse sur les moindres détails de l'histoire et du scénario, ce qui la rend malheureusement parfois soporifique mais pourtant très intéressante si l'on va jusqu'au bout, et le dessin est excellent.
Je repasse sur cet album dans bdgest et je suis surpris de ne pas y retrouver mon avis!
Je ne vais pas le répéter, surtout que ma lecture date un peu! Mais juste je voudrais rajouter à toutes ces critiques hyper positives qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu les 5opus précédents pour s'atteler à ce diptyque car il y a très peu de références au passé de la "grand-mère" Isa, héroïne de toute la première partie de cette série.
Un régal!!!
Un groupe de pré-ados qui tente d'échapper au monde des adultes, et de mettre en place une nouvelle façon de vivre ensemble, autonome, en lien avec la nature, ...
L'approche est malheureusement un peu trop simpliste et binaire.
De bonnes idées au départ avec les enfants qui "se changent" au fil de l'histoire mais cela manque de rythme et de profondeur.
BD sans grand intérêt.
Intrigue complexe, personnages très nombreux : pas évident à suivre (le dessin n'aide pas) mais cela reste quand même un très bon polar ayant pour fond les émeutes raciales de 1965 et 1992.
Nouvelle BD sur les vampires qui tient la route, dans l'univers des romans Vampyria.
Dommage que la couverture et que l'édition ne soient pas à la hauteur.
Le récit de ce scandale made in England des années 60 est historiquement intéressant et les illustrations conviennent parfaitement à l'histoire (une facture classique, réaliste, bien situées dans le temps).
Là où le bas blesse, c'est que le récit raconte un épisode, somme toutes dramatique, mais en laissant le lecteur à l'extérieur, en simple observateur, sans provoquer d'émotion particulière à l'encontre des personnages.
Dommage...
Le récit de la vie et des combats de cette grande dame qu'était Gisèle Halimi, depuis son enfance en Tunisie, où dès l'âge de 10 ans elle se révolta contre le rôle que l'on assignait aux petites filles dans les familles jusqu'aux procès de Bobigny et d'Aix-en-Provence, qui firent tant avancer la cause des femmes.
Un récit plein d'émotion, ce qui n'est pas toujours le cas pour les biographies.
Les illustrations, pleines de vie et de rythme, renforcent le message et l'admiration pour cette femme hors du commun.
L'histoire des premiers pilotes noirs durant la deuxième guerre mondiale mais pas seulement.
C'est aussi la vie d'une famille noire de l'après guerre et d'une Amérique en grande partie raciste.
Un dessin surprenant mais agréable, fait à l'ordinateur ?
Récit Post-apocalyptique après une guerre nucléaire.
Un comics efficace avec en plus une superbe couverture.
Vivement la suite qui apparemment sera des histoires indépendantes.
4 robots en cavale liés par le Kill Lock, si un meurt les autres meurent.
Scénario original et dessins numériques, normal pour une histoire de robots !!!
Une histoire se déroulant dans un cadre très peu exploité: la région du Primoré en Russie aux frontières de la Chine et Corée du Nord.
Nous allons suivre une bande de journalistes tournant un documentaire sur la faune locale, mais également sur la déforestation des lieux avec son lot de magouilles mafieuses. Nous aurons le droit à des mots d'argot et expressions en russe et des éléments folkloriques inhérents aux anciens indigènes autochtones.
L'immersion est accentuée avec les magnifiques paysages de Macho et la sensation de froid extrême est bien retranscrite au fil des pages.
Le scénario est intéressant abordant des thématiques écologiques mais également sociétales (corruption, mafia, braconnage et exploitation), le récit nous tient bien en haleine et il y a des rebondissements bien sympathiques. Mention spéciale au mafieux russe qui a des airs de Balkany :)
J'attends de voir si le deuxième volet transformera l'essai pour de bon.
Tant que les adaptations seront d'aussi bonne qualité pourquoi s'en priver ?
Dommage que le dessin ne soit pas tout à fait à la hauteur du scénario.
Bof, c'est long et le héros est assez insupportable...
De plus le dessin est lui aussi insupportable...
Très bonne surprise pour cette BD pure Fantasy.
Kalopsia est un tout nouvel éditeur belge.
On attend la suite avec impatience !!!
Les joies de la (dé)colonisation, ou comment des populations entières sont abandonnées aux intérêts des plus forts....
Ceux qui ont joué à Diablo comprendront l'importance d'avoir un Set complet...
Agréable petite BD Fantastique avec une bonne dose de scènes sanglantes et d'humour.
Une BD qui fait perdre la tête !!!
Documentaire réussi, autant par le propos que par le dessin, sur l'univers carcéral en France.
Le dessin se prête très bien au scénario.
Bon petit Space-opera.
2 histoires qui convergent : celle de la princesse et celle des chasseurs.
A voir comment ça va tourner pour le tome 2.
Dessins toujours aussi magnifiques de Patrick Prugne !!!
Alors histoire vraie ou pas c'est toujours mieux que Walt Disney !!!
Petite déception pour cette adaptation de Michel Bussi, le scénario est souvent confus avec des manques de repères géographiques.
J'ai largement préféré l'adaptation de "Nymphéas noirs".
Bon petit péplum, ça faisant longtemps depuis Murena.
Cette BD fait un peu penser au scénario du film "Gladiator" ou "La Chute de l'empire romain".
Beau conte philosophique et écologique.
Mais est-ce un conte ou de l'anticipation ?
Le dessin des yeux des personnages m'ont un peu géné, mais bon...
Très bon documentaire sur le peuple ouïghours et la répression chinoise, par un journaliste qui mène l'enquête depuis 25 ans.
Pas aussi bien que le livre mais on (re)apprend quand même beaucoup de choses.
Ce qui est intéressant aussi c'est que beaucoup d'exemples sont réactualisés aux problèmes d'aujourd'hui (réchauffement climatique...).
Un histoire de foot dans l'Histoire mais pas seulement.
Une envie de liberté et de prouver qu'il n'y a pas de race inférieure.
Une bande-dessinée au format manga et à la couverture attirante (couleurs pastel et personnages pleins de douceur).
Les planches intérieures sont en noir et blanc et confirment ce sentiment de douceur qui émane du dessin et de l'histoire.
On assiste à la rencontre de 2 ados, Paul 15 et Pandora 18 ans, une jeune fille qui traîne une sorte de mélancolie désabusée et un jeune garçon timide et un peu solitaire.
L'univers manga sera leur point commun et entre eux, naît une romance entre amour et amitié, l'occasion pour Paul d'une sorte d'éducation sentimentale non dénuée d'érotisme.
Ceci étant, je n'ai pas adhéré à l'histoire, pas ressenti d'émotion particulière, peut-être un sentiment de déjà lu, même si je le redis, le graphisme est très beau et l'histoire pleine de douceur.
BD historique qui retrace la vie du nazi Josef Mengele, "docteur" qui faisant des expériences sur des déportés à Auschwitz.
Dans la lignée de "Beate et Serge Klarsfeld : un combat contre l'oubli" de Pascal Bresson.
Le dessin est très réussi et colle parfaitement à l'ambiance.
A lire !
Une réussite !
Après la bio de Robert Johnson, Mezzo et Dupont s'attaque à celle de Jimi Hendrix.
Format carré original (façon vinyle) et super dessins noir & blanc à la Charles Burns.
BD MAGNIFIQUE où les Indiens sont les héros et pas les cow-boys !!
Rue de Sèvre a mis le paquet sur l’édition, grand format, papier épais, couleur mate.
Le western de l'année !!!
Histoire d'une maison hantée, sans prétention.
Une histoire d'amour entre un fantome et une artiste
Se lit rapidement.
Très joli conte de Zidrou qui se poursuit par un drame familiale.
Le dessin de Paul Salomone est somptueux ("L'Homme qui n'aimait pas les armes à feu" avec Wilfrid Lupano).
Encore une très belle édition de Daniel Maghen.
Voilà, la saga s'achève.
Un pincement au cœur en refermant cet ultime album.
J'ai découvert Neige via un camarade de chambré lors de mon service militaire...en 1991. J'ai acheté mon premier album en décembre de cette année.
Depuis j'ai suivi avec passion les aventures de Neige. J'ai eu la chance de rencontrer les auteurs.
Certes après le T11 l'attente fut longue...Les albums ne sortant qu'après ce longues années d'attente.
Mais ce T15 me ravi. La couverture pleine de nostalgie. Une histoire qui me semble mieux écrite. Certes la disparition de Rita (Qu'elle repose en paix)fait qu'il a fallu trouver un nouveau coloriste . Mais A. Quaresma ne démérite pas. Certes , il y a des cases où C. Gine a laissé sûrement le coloriste "jouer" avec son ordinateur pour combler les vides. Mais on est loin de l'hérésie.
Je veux remercier dans ce message les auteurs pour m'avoir fait vivre cette aventure. D'avoir fait en sorte de la mener à sa fin.
Je m'en vais désormais lire les deux séries dérivées. Elles attendaient au chaud sur mes étagères que je finisse de lire la saga de Neige.
Il faudrait que je replonge dans les "Carnets de Neige" aussi.
Allez ne boudez pas votre plaisir. Lisez Neige
Encore un polar noir adapté.
Cette fois-ci c'est un roman de Ron Rash.
L'histoire se déroule dans les années 50 dans l’Amérique profonde.
La scénariste, Michèle Foletti prend son temps et joue avec le lecteur pour nous immerger complètement dans dans cette enquête policière.
Une vraie réussite.
4 robots en cavale liés par le Kill Lock, si un meurt les autres meurent.
Scénario original et dessins numériques, normal pour une histoire de robots !!!
J'ai peu aimé. Je suis resté dans l'incompéhension tout au long de ce diptyque.
Pour plus d'infos, voir mon avis +complet sur le tome1
Cet avis porte sur les deux tomes que j'ai lus d'une traite.
Moitié Hulk pour le physique, moitié Inspecteur Colombo pour la perspicacité, Mister Mammoth est un détective redoutable!
Et bien sûr, lorsqu'il est sollicité par un richissime personnage pour enquêter sur une simple photo banale, il comprend vite qu'il y a anguille sous roche...
Le pitch est intéressant, mais la réalisation m'a laissé relativement indifférent.
Les dessins sont beaux, mais parfois gâchés par des perspectives surprenantes et des différences lorsqu'une scène se déroule dans un endroit mais sont des angles différents (ça, j'aime pas!).
Le scénario m'a laissé perplexe. Ca part dans tous les sens, on ne sais pas trop où ça va. On comprend que quelque chose ronge Mr Mammoth, mais ce n'est pas clair. Des indices sont laissés, mais ils n'aboutissent pas.
Et je n'ai rien compris à la fin. Qui est cette femme?
Bref, ça se lit vite, trop vite quand même. Mais bien, il faut le reconnaître. A emprunter à la bibliothèque, pas à acheter.
Parfois, il peut y avoir des imprévus dans la vie d'une personne et ils peuvent être mortel comme cela sera évoqué dans cette BD. Le cadre est celui du grand nord avec la ruée vers l'or dans le Klondike.
On retrouve une atmosphère à la Jack London car il sera question de survie dans ce milieu hostile. On va suivre le parcours d'une femme Edith qui va fuir l’Angleterre et son mari, un docteur violent, pour partir à l'aventure vers le Nouveau Monde où elle tombera amoureuse d'un charpentier aventurier. Elle suivra Hans jusqu'au bout du monde pour le meilleur mais également pour le pire.
L'or attire bien des convoitises mais peut provoquer également des crimes pour le moins abominable même dans une bande d'amis. Et c’est toujours le plus solitaire et secret du Groupe que vient la menace.
La fin est un peu tirée par les cheveux au niveau d’événements pour le moins improbables qui se produisent. A noter que je n'ai pas trop compris les dernières images qui sont un peu expéditives dans l'explication.
Bref, c'est un album qui possède de bons atouts mais qui a également quelques faiblesses. Je n'ai pas été pleinement satisfais alors que cela avait plutôt bien commencé. La lecture demeure malgré tout très agréable sur l'ensemble. On pourra aisément s'y essayer à moins d'avoir un imprévu...
Tarantino? Non. C'est sûr que la scène qui ouvre l'album est une copie conforme de cette fameuse scène de Pulp Fiction, sauf qu'au lieu de parler de massages de pieds on parle de "pompes de maquereau". Sinon, il y a très peu de choses qui ressemblent au style de Tarantino hormis les conversations des deux tueurs qui parlent de tout et de rien indifféremment en attendant de commettre leurs crimes.
Les dialogues sont-ils si percutants que ça? Non plus. Ils ne sont pas mauvais, mais tous ces bla-bla nonchalants commencent à se ressembler à la longue. Et rendu au troisième tome, j'avais hâte que l'histoire se termine -- surtout que l'histoire prend une tournure qui peut plaire ou non.
Une bonne histoire, mais sans plus selon moi.
Du grand western à l'ancienne , avec des indiens méchants mais dans leur bon droit , des chasseurs de bisons sympas mais qui ont tort et un cowboy noir qui essaie de survivre .
Dans la veine du "Coup de Prague" sous de multiples aspects: le contexte de la guerre froide, nos amis anglais aux premières loges, de l'espionnage, une base de faits réels et un couple scénariste/dessinateur qui récidive. Voilà en quelque sorte le deuxième volet d'une série (?).
Le scénario est brillant tant dans l'histoire que dans la façon de la raconter. Le choix du mode de récit, flashback, est judicieux et ménage une fin surprenante, son rythme aussi est soutenu et tient bien sur la durée.
Le dessin, toujours aussi caractéristique de Miles Hyman est lumineux (cela contraste d'ailleurs avec le "Coup de Prague" et son ambiance hivernale). Les références graphiques au réalisme américain sont toujours là pour ceux qui apprécient ce style. Certaines mises en cases et pages sont très belles et rythme très bien le récit par exemple les premières et dernières pages sont somptueuses.
En plus la collection "Aire Libre" de Dupuis qui soigne l'édition en fait un beau livre.
Pour les fans du duo scénariste/dessinateur, voilà le dernier épisode du duo d'enquêteur/enquêtrice. C'est élégant et "so british" pour une BD franco-belge.
Je dois bien avouer que j'ai été un peu déçu par ma lecture de ce titre comprenant deux mythes distincts : Narcisse où l'amour de soi et Pygmalion où l'amour pour une chose (à savoir une statue).
Il faut dire que dernièrement, j'avais lu « Pygmalion et la vierge d'ivoire » de Serge Le tendre qui m’apparaît comme beaucoup plus abouti dans le scénario.
Rien à redire au niveau du dessin de Diego Oddi qui accomplit un travail de qualité avec une belle précision du trait. Le graphisme est avenant et rend la lecture assez agréable.
Les adaptes des histoires de la mythologie grecque pourront toutefois se régaler sur le destin de ces deux figures mineures mais qui ont tout de même des raisonnances dans le monde d'aujourd'hui. Le culte de la beauté et de l'image renvoi à Narcisse par exemple.
Quant à Pygmalion, c'est un peu du Pinocchio avant l'heure à la sauce mythologique.
En tous les cas, c'est une très bonne approche d'une pensée fondamentale issue du monde grec.
Une histoire ultra-violente qui compte sur ses scènes d'action pour faire avancer l'histoire... Considérant que l'histoire débute à peine et que le deuxième tome ne sera jamais publié, à éviter!
Décidément, Adèle Blanc-Sec ne m'impressionne pas.
C'est de la comédie absurde! Du burlesque!
On communique avec les morts tout d'un coup! Ah bon? On ramène à la vie un "pithécanthrope" (d'accord) qui... attendez, aime le cognac et les cigares cubains! Parce que Cuba existait à son époque, voyez-vous... ???????? On a même une sorte de robot-araignée qui sort de nulle part à la fin du récit! Tardi ne se soucie même plus d'écrire quelque chose qui suit une certaine forme de logique! C'est une véritable salade d'idées toutes plus farfelues les unes que les autres.
Adèle semble aussi avoir changé de personnalité, devenant parfois semblable à une petite fille apeurée dans cette histoire. Et, le mieux dans tout ça, c'est qu'il y a douze, oui, douze pages sur 48 qui renvoient avec un astérisque à un des deux premiers albums (ou les deux à la fois!) de la série!! Je n'ai jamais vu ça! Tardi semble tellement vouloir ramener tous les personnages qu'il a créés qu'à chaque page ça ressemble à... VOUS!!! (voir Adèle et la Bête).... VOUS!!! (voir Le démon de la Tour Eiffel).... VOUS!!! (voir Adèle et la Bête ET Le démon de la Tour Eiffel!!!!)... VOUS!!! (essayez-vous encore de comprendre Tardi?)
Hahaha... et après, quand on regarde les critiques pour le dernier album (tome 10) qui vient de sortir (que je n'ai pas encore lu, bien sûr), les gens sont surpris d'apprendre que c'est incompréhensible si on ne vient pas juste de relire tous les tomes de la série!? Je ne suis qu'au tome 3 et Tardi est déjà en train de faire des pieds et des mains pour ramener tous les personnages qu'il a jamais dessinés! Une vraie farce!
Avis très mitigé. Le scénario est assez simpliste mais suffisamment prenant pour que l'on ait envie de connaître la suite. La psychologie des personnages est basique, avec des réactions qui relèvent plus de l'époque moderne que du 55eme siècle, il semble en effet que rien n'ait changé en 3000 ans.
Le dessin est brouillon, et serait acceptable si il était le fait d'un débutant ; ce n'est pas le cas et il ne faut donc pas attendre d'améliorations pour le tome 2.
Malgré tout il est tout à fait possible que j'achète le second tome...
Un meurtre a été commis au bordel de la "Perle pourpre" Blandin reporter photographe, à la solde de Rucke, magnat américain, possède le cliché du siècle qui va faire tomber la classe politique française et Lesseps qui s'est compromis avec une fille de joie de 14 ans. Dans sa fuite, il perd son cliché; il est bousculé par Oscar le jeune "à tout faire" de la maison amoureux de Chimère qui elle, vient d'être emmenée comme coupable de l'assassinat de Salomée. Elle est emmenée par la police à Saint Lazare, prison des femmes. Au vu de l'affluence et de son âge, elle est dirigée vers les cellules des malades mentales. Mise avec Eugénie qui la prend pour sa fille, elle prend peur au vu de sa violence . Un feed back sur 1874, 13 ans auparavant, nous voyons Gisèle alias Olympe danseuse étoile, flirter avec Van Gogh, muse en tous genre, elle refuse le mariage, ce qui rend Van Gogh fou. Elle doit cependant lui avouer qu'elle est enceinte et qu'elle ne peut le supporter, aussi elle quitte Van Gogh qui envoie son ami et frèreThéo. Olympe sera mise sous la protection de Théo. L'accouchement proche, Vincent envoie son frère. Olympe voyant cela fuit et veut mourir, une chute provoquera la venue prématurée de son enfant qui sera pris en charge par Théo alors qu'Olympe sera mutilée et sa carrière de danseuse terminée à jamais. Théo se charge de faire disparaître l'enfant.
1887 :Chimère en prison, Blandin doit s'expliquer avec Rucke sur la disparition de la plaque photographique. Pour Rucke pas de plaque, pas de chantage, pas de reprise de chantier de Panama. Il envoie Jack le meurtrier de Salomée à la recherche de Blandin qui rattrapé lui avoue avoir perdu la plaque dans sa chute dans le Bordel.
Pour Chimère qui assiste à une crise de sa voisine Eugénie, ce n'est pas facile. La venue du professeur Charcot va changer sa vie. IL veut pratiquer l'hypnose avec son pendule pour calmer Eugénie, Voyant le balancement, Chimère raconte sa vie. Impressionné, Charcot poursuit son étude avec elle. Mais libérée par les aveux de Blandin à la police, elle doit rentrer avec Fernand à la "Perle pourpre". Là elle reprend du service et choisie par Rucke, qui cherche la plaque elle avoue qu'elle la possède car Oscar la lui avait remise en gage d'amour. Elle accepte la transaction et lui propose un marché financier. Elle va trouver Gisèle lui annonce qu'elle a de quoi couler son établissement avec la photo de Lesseps aussi elle lui demande un dédommagement, la moitié de son bordel. Interloquée, Gisèle, qui depuis la départ de Chimère voyait son bordel délaissé, reste sans voix lorsque Gisèle lui révèle qu'elle est sa fille /..
Deux histoires s'écrivent en parallèle dans la BD l'une celle de Vincent (van Gogh)qui tombe amoureux d'Olympe danseuse de music hall et l'autre celle du bordel "la perle écarlate avec Gisèle et Chimère. On perçoit le lien qu'il y a entre Olympe et Gisèle qui sont une seule te même personne, mais pourquoi Chimère la petite "put" de 14 ans... En parallèle une intrigue politique autour de Lesseps et son canal de Panama
1874 Vincent apparaît comme galeriste d'art. Ses toiles sont méconnues voire bannies. Son ami Luis l'emmène voir un spectacle qui va changer sa vie.-
1887 Chimère est dans le collimateur de Gisèle la maquerelle, car elle a favorisé la fuite de son amie Elise (voir tome 1). Oscar( le valet à tout faire de la pension) qui était parti à la recherche d'Elise, la retrouve violée à moitié assommée. Il essaye de la faire fuir car Fernand et ses chiens sont à leur poursuite. Vol d'engin motorisé, accident, Elise est ramenée de force à la pension et va subir dans son état un avortement : ordre de Gisèle. Pour Chimère la punition sera dure, plonger sa tête dans le seau d'excrément collectif en guise de soumission. Son amie Margueritte ne pourra rien faire. Salomée en est folle de joie, Aussi quand le soir tout le monde remis au boulot, elle croise un quidam Blandin informateur de l'américain Burke qui lui pose des questions sur Hertz et Chimère, elle essaye de monnayer la réponse. Pour sa part Oscar qui s'occupe d'Elise tombe amoureux de Chimère. Salomée pour renseigner Blandin fouille les affaires de Chimère pour avoir une preuve de la relation illégale de Lesseps et une mineure d'âge ce qui ferait couler sa notoriété( discrédit plus de subsides de l'état français...) et permettrait aux américains de reprendre le travail à la place des français à Panama. Chimère veut aller se plaindre de Salomée à Gisèle, mais elle tombe sur une Gisèle en pleine souffrance. Son ami Léonardo, l'enmène dans son atelier où il expérimente des machines de plaisir. Il lui donne une poupée, tout en lui racontant la vie de Gisèle : l'étoile de Paris, tombée amoureuse d'un portrait d'elle issu des mains de Vincent van Gogh. Chimère regagnant sa chambre reçoit des mains d'oscar le cadeau de son cahier de note à moitié calciné", il l'a sauvé du poêle lorsque Chimère l'y avait jeté et l'avait dissimulé des autres regards; En échange Chimère promet à Oscar de lui apprendre à lire. Salomée de son côté trahit en livrant à Burke des indications sur les faiblesses de Lesseps et du Ministre. Chimère participe à la grande soirée , elle y rencontre Guy de Maupassant, puis est invitée par Salomée à rejoindre Lesseps dans sa chambre (qu'elle a drogué et dévêtu). Chimère donne beaucoup d'attention à Lesseps lorsque surgit un photographe Blandin qui avec son assistant saisit la scène; Lesseps est compromis; Blandin fuit avec le cliché, Jack, son comparse veut faire taire Chimère, Jack veut la tuer. Salomée aux aguet intervient : oui pour l'argent mais elle ne veut pas d'assassinat. Jack la tue. Couverte de sang, Chimère se réfugie chez Gisèle qui avec Fernand découvrent le drame. Georges le préfet de police (client du bordel) prend l'enquête en main Lesseps est effondré, avoue avoir été drogué par Salomé. Gisèle ordonne à Chimère de taire sa version des faits. Jack resté sur les lieux, crie au scandale, annonce à toute la salle le meurtre et désigne Chimère couverte de sang comme coupable. Gisèle désavoue Chimère et la fait passer comme souillon de 14 ans qui a volé une robe de ses pensionnaires. Chimère est emmenée en prison...
Je tire mon chapeau là : niveau intrigue, c'est du bon. On a vraiment l'impression de voir un Columbo. Si vous ne connaissez pas Ric Hochet, cet album vous fera découvrir une bonne histoire et un héros pas comme les autres.
On pourrait se dire : encore un Ric Hochet mais moi je répondrais hé alors, c'est très bien dessiné et en plus l'histoire est palpitante ! Que demandez de plus ?
Que dire si ce n'est qu'on se régale avec ce nouvel opus de Ric Hochet. Très bon album ! Ici les extra-terrestres ne sont qu'un prétexte pour une intrigue sacrément bien faite !
J'ai beaucoup aimé cet album. Beaux graphismes, histoire solide et rebondissements nombreux. J'adore !
Première fois que le scénariste introduit un peu de surnaturel dans la série et pour une première, c'est très réussi. Bien sûr, il y a une explication rationnelle à la fin et tout revient dans l'ordre. On peut dire qu'avec cet album, la série commence enfin à prendre ses marques !
Deux histoires présentées dans ce premier album. C'est classique au niveau des intrigues et ça sent bon les années 60. On n'en est qu'aux balbutiements du meilleur de Ric Hochet mais ça vaut le coup d'être lu.
Un objet vraiment (très) beau.
Après, l'histoire est ce qu'elle est : une histoire de mutinerie et de naufrage. On est dans le classique.
C'est bien raconté, les dessins sont très beaux, mais ça manque un peu de souffle épique.
Je n'ai pas été subjugué.
Et 35€, ça reste cher, trop cher pour 130 pages, le vernis sélectif et le toilage de la couverture ne peuvent pas tout excuser.
Note selon les critères du site : 3,5/5.
Attention, il existe une version du T3 qui n'est pas encore découverte! juste avant le 3A01 (ou qui devrait prendre sa place).