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Un de mes albums "île déserte" !
Une histoire originale servi par les magnifiques dessins de Boiscommun...
Ca commence sobrement par un défi d'enfant "t'es pas cap'...", ça s'enchaîne avec une séquence fantastique et un livre dans lequel s'inscrit l'avenir de Jack et ça se termine sur une belle rencontre avec Sam ! Sam qui sera l'héroïne du tome 2 (et dernier) de cette (trop ?) petite série...
En général, les fins de cycles sont un exercice casse-gueule. Et Vauriens s'en sort par une pirouette. J'avais apprécié le 1er tome car il prenait le temps de présenter les personnages et les situations. Et là, au contraire, on enclenche l'accélérateur pour boucler. Le dessin est assez inégal et les couleurs trop différentes des albums précedents. Bref, une semi déception.
Un album assez convaincant... au regard des déceptions des albums 22 à 25. Ok la fin n'est pas inédite, le suspens du tournoi (ou épreuve sportive) on connait par coeur et certains dessins sont seulement honnêtes (pour les dessins ratés, on se réfèrera au Triangle secret...). Ce que je regrette le plus, c'est qu'il faille s'en tenir à une histoire semi-complète de 42-44 planches à chaque fois. Ca oblige à bâcler l'intrigue.
Série exceptionnelle, des squelettes en noir et blanc,
ça ne parait pas très attrayant, mais Eric Liberge,
crée un monde extraordinaire,
où chaque personnage possède une personnalité.
Il y a une bonne dose d'humour dans ce monde de ouf
(normal les squelettes sont d'anciens humains).
Le seul problème est que certains peuvent avoir un peu de mal à entrer (ce n'est pas
mon cas je suis immédiatement aspiré par cette histoire)dans ce monde étrange.
Il faut passer ce cap et alors on découvre un chef d'oeuvre.
Je suis cependant d'accord avec Jim, le tome 3 devient plus complexe, tant dans les textes
que dans les situations. Mais au fur et à mesure que l'on se rapproche du dénouement,
cela est logique, le grand mystère est complexe.
A ne pas manquer.
Sans doute le meilleur Sfar de l'année 2002. Les arguments de départ pouvaient paraître déroutant ("je fais pareil que Lewis", mon apprentissage de l'harmonica). A l'arrivée, on se régale avec un album original, drôle et souvent émouvant. Chapeau bas.
Premier album de la série et directement le meilleur...
La série créée par Vandersteen existe toujours aujourd'hui mais n'a plus grand chose à voir avec cet épisode-ci.
D'abord par le fait que Vandersteen lui-même était au dessin et ensuite par la richesse du scénario.
Les personnages se retrouvent en Belgique durant l'occupation espagnole, rencontrent un fantôme, espagnol lui aussi, et finissent même par se retrouver dans un tableau de Brueghel...pas banal...
Les décors, les costumes et la recherche documentaire en font l'album certainement le plus abouti de la série. De plus la série débutant, les petits travers rencontrés par la suite n'étaient pas encore présents et cet album est un petit bijou. Il n'est bizarrement pas en couleurs mais plutôt en sépia, c'est assez rare pour le signaler.
Là aussi si vous ne devez en lire qu'un...malheureusement il n'est pas représentatif de la suite de la collection...
Autre grand album de Jacobs, SOS Météores présente quelques particularités qui en font un album un peu à part dans sa production.
D'abord il ne se passe pas dans une contrée exotique mais dans la grande banlieue parisienne et donc est plus facilement identifiable pour le lecteur.
Ensuite l'histoire passionnante trouve son point culminant lors de la recherche d'un endroit précis par Mortimer et là, Jacobs a fait très fort en se basant sur des cartes réelles et en allant repérer les lieux sur place, au point qu'aujourd'hui encore, tout lecteur rêve de refaire cet itinéraire (voir à ce sujet le superbe site existant). C'est je pense une des raisons du succès de cette histoire.
Le mélange enquête policière-fantastique, qui a fait la marque de fabrique de Jacobs, est ici en plein centre de l'histoire, les scènes finales sont spectaculaires en contrepartie du milieu de l'album plutôt "touristique" et les personnages secondaires bien exploités et ce dans les deux camps.
Pour moi un des albums les plus intéressants de la série...
Choc de l'année 2000, choc visuel surtout avec cette couverture qui attire irrésistiblement le regard...et ça continue à l'intérieur.
BD animalière à 1000 lieues des classiques Walt Disney (dont les auteurs sont issus), elle reprend le schéma classique du privé américain immortalisé au cinéma par des générations d'acteurs.
Le scénario a été quelque peu critiqué à la sortie (injustement à mon avis) car moins original que la partie graphique, époustouflante elle.
Mais imaginez quand même que ces auteurs venus de nulle part pour l'amateur de BD moyen, ont pris le risque de débarquer avec un genre plutôt délicat et d'essayer de convaincre des lecteurs peu habitués, le risque était déjà suffisant sans pour cela se lancer dans un scénario alambiqué...on verra pour la suite.
Personnellement je trouve que l'histoire tient la route, sert le dessinateur et est d'un niveau très honorable.
Et quand on voit le résultat final, on ne peut que se réjouir qu'ils aient osé...
Gros succès de librairie à l'époque de sa sortie, cet album est pour moi quasi illisible aujourd'hui.
Charles était loin de son talent graphique actuel et je resterai pudique concernant le talent scénaristique de Bucquoy.
L'histoire est du type fantastique et basée sur l'événement que présente Le bal du Rat Mort, festivité célèbre du nord de la Belgique (existe-t-il toujours aujourd'hui ?), mais la facilité semble au rendez-vous, le scénario est approximatif tout comme le dessin.
Je pense qu'il a dû son succès au fait que ce genre de BD était plutôt rare à l'époque mais il ne tient pas la distance. Imaginez que cet album est contemporain au Silence de Comès...
Pour les nostalgiques ou par curiosité uniquement...
One shot de Creanhals avec un personnage jamais revu par après.
Sorte d'agent secret dont on ne sait rien, même à la fin de l'histoire, Delta est un des personnages les plus énigmatiques de la BD.
L'histoire en elle-même n'est pas hyper originale mais les lecteurs de cette époque en ont gardé un bon souvenir.
Il a fait un petit tour puis s'en est allé...
Album méconnu, il propose quelques courtes histoires, pleine de non-sens, de fantastique ou de burlesque...un humour bien particulier allié au dessin léger d'Alexis.
Quand l'humour féroce de Lauzier se combine avec le dessin élégant du regretté Alexis...
Le western, et surtout ses héros, comme vous ne les avez jamais vu. Le cow-boy le plus cynique de la BD, qui ne respecte aucune règle et vous surprend à tous les coups. Quelques scènes mémorables en référence à tous les clichés véhiculés par le genre, que ce soit en BD ou au cinéma.
Très drôle...
Dans un monde totalement farfelu, J-C Acquefacques est employé au ministère de l'Humour.
Il y a des problèmes de surpopulation, du coup le moindre cm2 est très cher et dans les immeubles, tout est habitable, que ce soit les cages d'escalier ou celles d'ascenseur.
Et sous ses airs de Raymond Calbuth, J-C Acquefacques va vivre une aventure extraordinaire en apprenant que sa vie est déjà écrite dans une bande dessinée...
Ce premier tome des aventures de J-C Acquefacues est une TRES belle réussite en matière d'absurde, c'est un vrai régal, c'est particulièrement drôle et l'auteur réussi à être très cohérent malgré la difficulté de traiter certaines scènes.
Ce tome peut se lire indépendamment des autres, comme si c'était un One Shot.
Tout d'abord, il y a une évolution du dessin... par moment on y gagne en finesse en particuliers pour les visages. Et c'est dommage ce n'est que par moments! Au point que les visages paraissent différents d'une planche à l'autre...
Pour l'histoire, on va un peu vite et on est un peu perdu dans le temps... Des événements qui prennent des mois voir des années se sont passés pour Pop "l'autre jour"... Malgré tout l'histoire est intéressante car au lieu de se finir page 33/34 sur un "et ils vécurent heureux, etc..." On a droit a une fin en demi teinte où l'espoir reste de mise. C'est au lecteur de choisir sa fin et moi ça me plaît bien.. J'ai souvenir de quelqu'un qui reprochaient aux filles de n'aimer que les histoires qui se finissent bien... et bien là il y en a pour tous les goûts: les amateurs de fin heureuses et ceux de fin désenchantées...
Pour moi ce 3 et dernier album redresse l’intérêt de cette série qui n'avait pas trop attiré mon attention... En conclusion ceux qui ont aimes les 2 autres volumes ne devraient pas être déçu de leur lecture.
Ce pauvre Nat...il continue à semer le malheur autour de lui. Le cote fantastique de l'histoire est mis de coté pour laisser place à un western désabusé, loin des grands mythes véhiculés par Hollywood, mais non moins réaliste. C'est glauque, c'est triste mais on a pas envie d'abandonner Nat à son triste sort.
Le dessin d'Oger est beau , les couleurs font penser à celles de vielles photos sépias.
un beau cahier graphique avec les commentaires de l'auteur sur son travail. Rien que pour ce supplément, l'album mérite que l'on achète en EO !
En voilà encore un album à acheter en EO... parce que le coffret nous permet d'avoir un petit livret historique pour en savoir un peu plus (moi je n'étais pas au courant des émeutes anti chinoises, etc... ) et avec en prime quelques photos d'époque... dommage que la biblio soit en anglais.
sinon le dessin est fidèle à lui même... L'humanité des auteurs toujours là. Par contre l'histoire est un peu moyennealors que le contexte de l'histoire est et aurait pu faire un album à lui tout seul... mais bon là il y aurait pas vraiment eut d'arts martiaux.
Bref, un bon album... mais pas le meilleur de cette belle série.
Dans les couleurs je trouve une ressemblance avec Magnin... et un peu dans le dessin aussi ... L'histoire n'est pas mal ... mais j'attend de voir la suite car là on voit bien qu'il s'agit d'une introduction...
A voir la suite pour vraiment pourvoir juger...
j'aime pas déjà le dessin ni les couleurs de Ségur ... je partais avec un handicap! Il n'y a que le visage de Lénée qui trouve grâce à mes yeux... Quand à l'histoire peut être est ce parce que c'est l'adaptation d'une nouvelle mais il y des détails qui m'échappent... j'ai pas tout compris et ce que j'ai compris ne me plaît pas ...
Ben, voilà quand j'aime pas: j'aime pas...
On apprend énormément de chose sur le livre : passionnant ! Mais si beaucoup de réponses sont apportées on en soulève d'autres... Cette série ne perd pas du tout de son intérêt : au contraire elle le relance en renouvelant le questionnement du lecteur
Bref, ceux qui aiment ne devraient pas être déçus !
Pour ceux qui sont nuls en histoire et qui veulent comprendre de qui on parle, je vous conseille de prendre un dico....
Une histoire féérique en format géant, des dessins tout en rondeurs et des couleurs subtiles. A lire confortablement installé avec un thé à la canelle et quelque biscuits moelleux.
Comment on devient père Noël ? Où il habite ? Avec cet ouvrage vous saurez tout avec en plus de l'émotion à revendre.
Je le conseille comme cadeau de fin d'année...vous êtes sur de faire mouche !
A la base c'est un roman… et cela se sent : parce que qu'est ce que ça parle ! On ne nous sert pas de grosses bulles avec un discourt interminable à la Blake et Mortimer... Mais quand même... pour faire BD les personnages expliquent la situation en se promenant. Cela fait penser à une adaptation d'une pièce de théâtre pour le grand écran...on cherche des moyens de nous faire quitter la scène sans arriver à être convainquant. Mais peut être est ce nécessaire de beaucoup parler pour poser l'action...qui est peu présente dans cette histoire mais que j'espère pour la suite.
Le dessin est un peu figé, mais les couleurs sont belles et lumineuses en particuliers dans le désert.
Je dirais que cet album ne prendra qu'un sens au vu de sa suite car il peut être l'annonce de quelque chose de prometteur comme d'une histoire rasoir...
En gros, Thorgal et ses compagnons à peine sorti du désert sont capturés par un esclavagiste qui les vend à maître sadique. Pour retrouver sa liberté et celle de sa famille, Thorgal nous rejoue un remix des archers...Comme d'habitude Thorgal à peine il se fait un copain à peine il disparaît...mais bon il devrait retrouver une vielle connaissance dans le prochain épisode intitulé : Kriss de Valnor !
Le dessin est par moment presque moche: on est pas au même niveau que dans les archers... Quand à l'univers il est confus : on ne comprend pas trop de quel empire on nous parle...mais ça c'est du détail. Parce que le scénario n'est pas franchement pas d'une grande subtilité...Les barbares ne sont pas ceux qui portent ce nom, voilà la moralité de cette aventure...
Bref, ce nouveau Thorgal est meilleur que les albums 23, 24, 25.. Mais le niveau reste médiocre. Un album qui doit certainement servir de transition donc à lire pour les amis du bel archer...
Cet album reste fidèle à la ligne des autres albums, pas de déception donc. Le début est assez inactif: le destin se charge de prendre les choses en mains .La fin aurait pu être objet d'un autre album, voir même d'une série ! Mais, il s'agit ici de finir une série ,ou plutôt 2 ! Car Plume au vent n'est " que " ma suite des 7 vies de l'épervier. Et là on trouve enfin sa " fin heureuse ". On ne termine pas dans le dramatique comme dans la série précédente. On reste sur sa faim, mais tant pis à nous d'imaginer la suite :les auteurs nous laissent assez de pistes dans cet épilogue.
Bref, si on aimait la série on devrait aimer cet album.
J'ai beaucoup aimé le 1er album...la lumière de l'Egypte y était si bien transmise ! J'avais aimé aussi ce mélange de finesse dans le dessin et de flou en même. Et bien cette fois ci on a droit en plus à la lumière du désert ...et c'est toujours aussi beau ! Rien que pour le dessin cet album mérite d'être dans votre bibliothèque !
Pour l'histoire je dirais que c'est la version de Papyrus pour les grands : si vous avez dévoré les aventures du petit égyptien, vous ne pourrez qu'aimer ! Et si vous aimez les polars : ne cherchez plus vous avez votre prochaine lecture/achat !
A propos du dernier Léo Loden !
Notre détective marseillais continue de faire sa tournée des villes de France ! et c'est pas vraiment pour nous déplaire. Ce nouvel album est plutôt sympathique, sans être génial. Marlène est toujours aussi horripilante et tente, sans réussite, de faire avancer son désir de mettre définitivement le crochet sur Loden! A noter donc le clin d'œil assez sympa sur les conditions de travail d'Arleston .
En fait, l'intrigue importe peu et c'est plus l'affrontement entre les personnes auquel on fait attention.
C'est bien , mais sans plus.
ENORME éclat de rire avec cet album dédié aux fondus de la moto mais pouvant plaire à tous.
Le dessin très inspiré (et non plagié) de Franquin, les caricatures vivantes que sont ces 4 motards, les phrases cultes ("On va tous mourir !", "T'attaquais, toi ?") et les petits travers comiques des personnages sont inoubliables.
A lire en cas de déprime...
Pour moi le meilleur album d'Hergé.
Il a atteint ici un sommet de la narration d'une BD dite d'aventure...alors qu'il ne se passe RIEN. Ou plutôt il se passe plein de choses mais jamais à l'endroit ni au moment où on s'y attend.
Le fait aussi que tout se passe dans les environs du château, que les héros sont fatigués (peut-être) et qu'on retrouve quasi tous les second rôles habituels en font un album très complet et très réussi, du moins un de ceux auxquels on peut s'identifier. Pas d'exotisme, pas d'événement extraordinaire mais une histoire presque banale...presque.
Peut-être un des albums les plus marquants de l'histoire de la BD, en tout cas il a laissé des traces dans la mémoire des lecteurs de l'époque.
Sa construction, son ambiance, ses personnages sans oublier le petit côté fantastique propre à Jacobs en font un must incontournable.
Si vous ne devez en lire qu'un...
Là c'est du grand art.
C'est tout à fait le genre de lecture qui me fait penser que la bd est capable de beaucoup de choses qu'on ne pourrait pas imaginer sur un autre support.
Le dessin est une pure merveille. Il ne plaira sûrement pas a tout le monde car il peut paraître indigeste (du N&B, tous les personnages sont des squelettes) mais si on aime, je pense qu'il devient très difficile d'y trouver le moindre défaut tellement les cases sont travaillées et bien réalisées. Je reconnais par contre que je n'ai pas pu lire l’intégrale d'une seule traite, au bout d'un moment, j'ai saturé et j'ai eu besoin de lire autre chose mais à chaque fois que j'y suis revenu, c’était le même émerveillement.
Côté scénario, le point de départ est très bien trouve, original et ouvrant les portes a l'imagination : que se passe-t-il après la mort ? Liberge imagine que nous nous retrouvons sur une autre planète, en squelette au milieu d'autres squelettes. C'est alors qu'un nouveau venu s’interroge...
On peu diviser le récit en 2 parties: la première moitié qui met en place le tout et nous présente ce monde est remarquable et ca sa lecture est très agréable. La deuxième partie commence a lancer l'action et ne nombreuses organisations plus ou moins mystérieuses se mêlent à l'intrigue...Là ça devient dur ! Les textes sont plus durs a comprendre, beaucoup de choses restent énigmatiques et on a du mal a cerner le tout. Du coup, il devient vraiment très difficile de porter un jugement sans connaître la suite.
J'attends cette dernière avec beaucoup d'impatience en espérant que l'auteur sait ou il va et qu'il s'appliquera car il a toutes les clés en main pour nous faire un vrai petit chef d'oeuvre...
Nous sommes en Russie, au début du mois d'octobre 1917, ça bouge, on sent la révolution arriver...
Là, Siméon Nevzorof, comptable, sourit. Pourquoi ? Parce qu'une tzigane lui a prédit au paravent que lorsque la Russie serait à feu et à sang, il deviendrait riche.
A travers ces 4 tomes, nous allons donc suivre les aventures de Siméon Nevzorof, antihéros par excellence.
Cet homme est un profiteur, il est à l'affût de la moindre occasion pour tirer profit du malheur des autres. Jamais il ne lui prendrait d'aider quelqu'un sans avoir besoin de lui.
D'un autre côté, il est lâche et jamais il ne fera directement du mal à son prochain, jamais il ne se battra pour défendre ses intérêts, il préfèrera la fuite...
Pour nous raconter tout ça, Pascal Rabaté peint. Toutes les planches de cette bd sont des peintures. Il n'y a pas beaucoup de texte, le dessin est parfaitement utiliser pour raconter l'histoire.
Je trouve le premier tome d'une énorme richesse, tant au niveau du scénario qui est très dense que du dessin que je trouve tout simplement superbe.
Je crois que n'importe quelle planche de cette bd pourrait être encadrées et affichées. Si vous n'aimez pas ce tome, ça ne sert à rien de continuer, je ne pense pas que la suite vous fasse changer d'avis.
En effet, je trouve que les tomes suivants sont un ton en dessous, mais vu la qualité du premier, la tâche était dure.
D'une part au niveau du dessin : je crois que Rabaté a fait évoluer sa technique histoire de ne pas faire sans arrêt la même chose et au final, dans les tomes 3 et 4, ses planches me paraissent moins belles, moins fines au niveau du coup de pinceau ce qui rend la lecture par moment un peu difficile.
D'autre part au niveau du scénario : le premier tome est très dense et plein de rebondissement, c'est la grande aventure. Ensuite, c'est plus accès sur les déboires de Siméon Nevzorof qui va alterner les hauts et les bas. Au début, on le voit croquer à pleines dents dans cette nouvelle vie qui s'offre à lui et petit à petit, il ne va plus rien maîtriser pour devenir complètement esclave de son destin. Il fait même de la peine. C'est une ordure mais en même temps tellement un "loser" qu'il en est attendrissant, très attachant et c'est au final une des forces du récit.
Je vous recommande donc cette série. Elle apporte tellement d'originalité et de qualités sans sombrer dans l'illisible et le pénible que ce fut pour moi un plaisir immense.
Il s'agit d'une aventure humoristique et fantastique à une époque moyen-âgeuse.
En pleine guerre entre Anglois et Franssois, Alzéor Mondraggo de Boisse-Lame est un être particulièrement malchanceux. Dans l'au-delà, on trouve que c'est un peu excessif alors un astro-régulateur, être invisible et magique, est chargé de prendre en charge le destin d'Alzéor dont la vie va alors être chamboulée...
Makyo nous sert ici un scénario très original et agréable à lire grâce à un ton léger et beaucoup d'humour. Les personnages sont attachants et les événements se suivent à un bon rythme en amenant à chaque fois de très bonnes trouvailles.
Côté dessins, le style colle parfaitement : très caricatural, sans fioritures mais déjà bien maîtrisé avec des couleurs assez vives particulièrement bien adaptées.
Très rafraîchissante, cette bd que j'ai découverte un peu par hasard est pour moi une bonne surprise.
C'est le dessin qui m'a attiré dans cette bd : il est assez particulier et ne plaira sûrement pas à tout le monde mais moi, j'ai accroché ! De plus, les couleurs très chaleureuses sont aussi très réussies.
Côté histoire, c'est de l'aventure. Un chômeur plutôt "loser" en a marre de sa situation et décide de passer une annonce dans le journal : "Dexter London, aventurier, accepte toute mission". Et le voilà embarqué dans une aventure pour le moins dépaysante. Ca aurait pu être contemporain mais Léo préfère imaginer des mondes. Du coup, peut-être sommes-nous sur la terre dans le futur : sans qu'il y ait de technologies avancées, on trouve des monstres et des races imaginaires.
Le tout est plaisant a lire mais ca semble être moins approfondi que la série des Aldébaran.
Mais bon, c'est que le premier tome alors attendons la suite.
Voici une agréable surprise.
On a le droit à une histoire assez farfelue sur le thème de Robin des bois avec beaucoup de personnages différents et de petites histoires en parallèles. Certes ce n'est qu'un premier tome et beaucoup de choses, bonnes ou mauvaises, sont encore possibles mais le point de départ est intéressant.
Par contre, que ce soit au niveau du dessin ou du scénario, on sent que les auteurs ont besoin de s'améliorer : le dessin est assez inégal et de très belles planches peuvent être suivies de planches plus grossières avec retouches tandis que côté scénario, quelques situations ne sont pas faciles à suivre ou à comprendre.
Mais malgré ces imperfections, je pense que c'est une série prometteuse...
C'est avec grand plaisir que j'ai découvert cet auteur.
Il s'agit d'un Manga, graphiquement dans la lignée de tous les Mangas (du moins le peu que j'en connais).
Côté histoire par contre, nous sommes loin d'Akira ou des dessins animés des années 80.
Il s'agit d'un homme d'une quarantaine d'année, un peu en mal de vivre, qui retourne par hasard dans le village de son enfance.
Là, sans qu'il ne sache pourquoi, il s'endort et se réveille 20 ans en arrière avec son corps d'adolescent mais son esprit de 40...
Il retrouve donc l'école, redécouvre ses amis d'enfance et surtout redécouvre ses parents dont il va percevoir les problèmes avec un regard d'adulte.
Ce n'est qu'un premier tome mais déjà l'histoire est très intéressante, captivante, touchante.
Vraiment une très agréable lecture.
Les expériences heureuses ou malheureuses mais toujours droles du dessinateur de Titeuf en concert.
Tous les styles musicaux sont passés en revue, des Stones à Henri Dès en passant par la culotte de Madonna !
Zep (qui a collaboré à la pochette du CD de Goldman - à voir !!) étale son humour sur 46 planches. Un très bon moment !
A travers 16 histoires courtes (largement inspiré du livre d'Assouline (voir (AUT)Hergé)), Bocquet et Fromental parcourt astucieusement la vie du grand Hergé.
Cet album a l'avantage d'offrir à chacun une bio sommaire d'Hergé (il est quand même dommage de s'arrêter à cet album pour qui veut connaitre (comprendre) un peu Hergé).
Un dernier clin d'oeil à Hergé grace au dessin de Stanislas.
Mon dieu ! Comment cette BD a-t-elle pu se retrouver dans ma bibliothèque ?
L'humour de Carabal... mais quel humour ? Je ne lui souhaite qu'une chose, qu'il réussisse à rire de ses blag... euh "histoires".
J'espère qu'il trouve son public dans "femme actuelle".
Certes, l'histoire est alléchante au premier abord. Mais je doit toutefois calmer vos ardeurs.
D'abord, le scénario est très simple, très linéaire, sans surprise. Tout se passe exactement comme on l'imagine. Bref, rien de génial de ce coté là.
De plus, la BD est vite lue. Il y a de nombreuses grosses images sans texte, et on en vient à bout en à peine 20 minutes! Oui, 79frs les 20 minutes, j'ai pas calculé, mais ça revient cher la minute!
Bon les dessins sont chouettes sinon, mais je me demande si cette BD vaut vraiment le coup. J'ai lu quelques part qu'un deuxième tome était à l'étude... peut être apportera-t-il plus d'intérêt à la série.
Ah oui, un dernier truc. J'ai pas compris la fin, même après plusieurs lectures... si quelqu'un peut me sortir de ma bêtise, qu'il ou elle n'hésite pas:)
Pour les inconditionnels de Murena voici la première ébauche qui malheureusement n'eut pas de suite,comme beaucoup d'album de Dufaux a ces débuts.
Cet album est ce que l'on pourrait appelé le brouillon de ce qui deviendra la série FINKEL;En effet l'éditeur Blanco ayant fait faillite les auteurs ont repris l'histoire sous une nouvel forme chez Delcourt.
Apres entre autres Pleine Lune, j'avais hâte de retrouver Chabouté.
Il s'agit ici d'une traque à "la bête" dans un village paumé. Des villageois meurent, on les retrouve complètement déchiquetés.
Première constatation : Chabouté n'a pas beaucoup changé ! On retrouve l'ambiance village qu'il aime tant, les mêmes visages de vieux fous ; l'auteur prend son temps pour installer l'ambiance et pour décrire des situations (heureusement que son album de 120 pages n'est pas divisé en 2 ou 3 tomes de 46 pages !).
Deuxième constatation : c'est toujours aussi beau ! Je me suis une nouvelle fois émerveillé devant les planches de Chabouté. Il n'a pas son pareil pour jouer avec les lumières, c'est un maître du noir et blanc.
Quant à l'histoire, elle est très agréable à lire, les personnages et les dialogues sont très bons. Malheureusement la chute de l'histoire est trop sortie de nul part, il n'y a aucun indice dans la bd permettant de la prévoir (pas comme dans Pleine Lune) et c'est dommage car on reste sur sa faim. A trop vouloir surprendre le lecteur, on perd en crédibilité.
En définitive, une bonne bd bien agréable à lire à conseiller aux amateurs de noir et blanc.
Le moins que l'on puisse dire, c'est merci T. Mosdi !
Alors qu'on ne savait pas du tout où nous emmenaient les 3 premiers tomes (Civiello le savait-il lui-même ?), Mosdi réussit à terminer brillament cette série qui nous a fait parcourir le monde des elfes, fées et autres trolls.
Le dessin de Civiello reste égal à lui-même : féérique (ma préférence allant au T.4). Rien que pour cela, cette série mérite le détour.
Pour ceux qui ont lu les deux premiers albums desinés par Mounier le dessin de Puech peut rebuter heureusement la série se finit là.
Trop court!Cet album est trés riche peut être trop riche en révélation,action.Mais pour la petite histoire le contrat entre Le Lombard et Andréas stipulé 7 albums.Le Lombard n'a pas voulu d'un 8° et Andreas ,proposant un album plus gros,n'a pas accepté le fait que l'album soit vendu plus cher.
Mais tout ceci ne doit pas gâcher le plaisir que l'on a ,à lire cette histoire,qui sort des sentiers battus.
Cet album est trés dense au niveau scénario avec l'apparition d'une flopée d'acteurs.Andréas avoue qu'il a écrit cet album avec l'intention de tester le nouveau personnage de Capricorne.Voir cette série si vous avez apprécié Rork.
Même si ce tome est le troisième de la série,je conseillerais a toute personne ne connaissant pas la série de commencer par ce tome,et de lire en flash-back les deux tomes précédents.
Voilà l'exemple type de la série méconnue !
Je profite donc de la réédition en intégrale des 4 albums pour poster un avis qui j'espère vous donnera envie de les lire !
Juan Solo, l'homme à la queue de chien découvert abandonné tout bébé dans une décharge publique par une autre "erreur" de la nature comme lui et élevé avec amour au lait de chien, qui fera tout pour s'en sortir.
Tout, au point de devenir le meilleur des tueurs à gage capable d'éliminer jusqu'à son propre chef puis le bras droit du plus grand caïd du coin. Tuant par plaisir et de sang froid, sans aucun remord jusqu'à la puissance presque absolue, derniere étape avant une terrible prise de conscience qui verra arriver la rédemption finale après la période d'adulation !
Une fin apocalyptique que l'on trouve en introduction du tome 1 avant de la retrouver en fin de tome 4.
Du grand Jodorowski servi par de beaux dessins de Bess !
Franchement ne vous privez pas de ce plaisir !
La série perd de sa fraicheur avec ce second chapitre des aventures de Brodie et Mc Pherson...
Le démarrage de l'histoire est un peu long, et peine à finir.
Le dessin est également un peu moins "frais" que le premier tome.
C'est dommage car cette série avait l'air assez prometteuse...
ARFFF je ne sais pas pour vous, mais moi, dès la sortie des tome 1 et 2, en voyant les titres des 10 tomes, j'attendais celui-là avec impatience. Normal, on à l'impression que l'on va ENFIN percer le secret de la génèse de Nahik. C'est effectivement le cas, mais Giroud réussi le tour de force de nous surpendre: là encore, pas de fond religieux. Qui l'eu cru ? Je ne peux vous en dire plus sans déflorer le mystère, ce que je m'en voudrais de faire Un mellange subtile d'intrigue psychologique (qui rappelle le tome 3 Le Météore), d'initiation à la psycanalyse avec en prime, LA révélation sur le mystérieux Alan D. auteur de Nahik. Graphiquement, celui-ci est plus sobre mais l'ambiance "grise" colle très bien au scénario et les traits sont magnifiquements détaillés et les arrières plans d'une précision incroyable. Rien n'a été négligé pour faire de ce tome mon préféré. Quand on sait que l'on est souvent déçu lorsque l'on attend la suite avec impatience, c'est une réelle performance. Comme tous les autres, celui-ci peut être lu en "one-shot" mais avec la mention particulière "A délecter".
Album riche en révélations puisque l'on apprend enfin pourquoi il ne reste plus qu'un seul exemplaire de Nahik. Autant les autres tomes sont orientés "religion" et doctrine, autant celui-ci (et le suivant d'ailleurs) nous fait découvrir Nahik comme un roman traditionnel sous le couvert d'une intrigue policière du début du 19ème. Le scénario est prenant, les sentiments à vifs et la chute nous laisse ce petit goût amèr digne des grandes BDs. Le dessin de Gillon est superbe, surtout les dernières planches. Les couleurs sont magnifiques et servent admirablement bien le scénario: sombres et lourdes pour le Paris des périodes agitées, rougeoillantes pour les scènes de complot et claires pour les révélations finales, quand le "narrateur" de l'histoire se soulage la conscience. Bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré.
Mais combien de temps resitera t'il encore?
Non pas au romains, mais aux scénarios de plus en plus fades et stupides que nous concocte Monsieur Uderzo.
Depuis quelques tomes Astérix est mis à toutes les sauces...
Le dessin est fidèle à lui-même (encore heureux) mais où est l'intérêt de perdre 4 planches complètes afin de montrer Astérix chevaucher un dauphin?
Bref, achetez-le si vous ne voulez pas avoir de trous dans votre collection, mais si les derniers tomes ne vous ont pas non plus inspiré, il est peut-être temps de savoir arrêter une série culte qui ne mérite pas son traitement actuel...
Albums de gags en une planche.
Les WOMOKS sont une bande de Space Raners complètement déjantés...
Leur univers est peuplé de créatures farfelues, où les humains sont la seule réelle menace.
WOMOKS est publié dans Tchô, leMag! et dans Kid Paddle Magazine, mais s'adresse égalemnt aux grands.
Le dessin et les couleurs sont particulièrement soignés.
Les gags vous ferront rire à n'en pas douter.
Bref, une BD pour les 7 à 77 ans...
Voici une magnifique série très bien menée d'un bout à l'autre.
Nous suivons le couple formé de Telenko et Marth. Ils sont tous deux rongés par la haine qu'ils éprouvent l'un pour l'autre au point d'avoir des envies de meurtre.
L'histoire n'a en soit rien d'extraordinaire mais l'ambiance très noire, les personnages, la façon de raconter, le dessin... tout ça est particulièrement réussi et le support "bande dessinée" est utilisé à la perfection : souvent on se dit "tiens, ça pourrait faire un super film" mais la, non : ça fait une super bd et aucun autre support ne pourrait rendre la même chose.
Ceci est en grande partie du à ce très beau dessin de Meyer et au fait que chaque tome raconte une même histoire vue a travers les yeux de personnages différents.
Une série qui se termine sans que le lecteur soit déçu. Un grand bravo.
Franz aime les chevaux, et ça se voit, son trait met en valeur l'anatomiedu cheval. Les couleurs sont standard pour la production du Lombard fin 70 début 80.
Il s'agit d'une série d'histoires courtes ayant pour thème le cheval et son exploitation.
La plupart parlent de courses hyppique du 19ème siècle en angleterre et de "cracks" qui ont marqués l'histoire.
Franz y dénonce violemment l'exploitation du cheval par l'homme, c'est son cheval de bataille ;-)
Ce n'est pas fantastique mais ça se laisse lire, pour les Fans de Franz et des chevaux.
A éviter pour les coeurs trop sensibles, les scènes d'éxécutions de chevaux après fractures ou d'abattoirs ne sont pas pour eux.
Superbe série au romantisme exarcerbé servie par des dessins d'une beauté incomparable.
C'est un classique qui doit de figurer dans toutes les bibliothèques !