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En deux mot je dirais : très bon. Voilà ce qui ressort de ce premier album. L'intrigue est vraiment très prenante et on ne s'ennui pas une seule seconde. Les personnages sont plutôt bien développés et pour certains relativement complexe. L'univers est riche et offre des possibilités très intéressantes. Cet album a beau présenter la série et introduire l'univers celà se fait en plongeant tout de suite le lecteur dans ce monde froid et hostile. Il n'y a pas vraiment de temps mort car on se pose toujours une multitudes de questions dont, pour certaines on est pas près d'avoir les réponses.
Niveau dessin on peut dire que c'est très particulier. En effet plusieurs styles assez différents cohabitent ensemble pour donner un résultat assez surprenant. Tout d'abord les personnages sont très soignés ainsi que les décors. Le sens du détail y est somme toute minutieux. Par exemple au début, lorsque l'action se passe sous le dôme, on ressent bien l'aspect gigantesque de la structure. Cependant je trouvent qu'il manquent un peu de sentiment par rapport à certains évènements ce qui est dommage, ils sont un peu trop figés par moment.
Cependant les représentation des "roux" se fait dans un style très différents des personnages des dômes et j'aurais tendance à considérer celà comme un point fort. En effet rien qu'en regardant le dessin on voie tout de suite ce que ces personnages endurent au quotidien et leur différence par rapport à ceux de l'intérieur en est davantage marqué. Le seul style où j'ai eu plus de mal c'est pour les scènes de groupes (notament page 9 dernière case) que je trouve trop sombre et manquant de détail.
Il ne faut pas non plus oublier que la compagnie des glaces est un projet vaste et ambitieux qui néceessite l'implication d'un grrand nombre de personnes pour sa réalisation ce qui est assez execptionnel pour une BD européenne. Or ce genre de projet nécessite forcément une période de rodage car il n'est pas simple de travailler en équipe. Ce problème est à mon avis une réussite. Il n'est certe pas parfait mais cette série devrait se bonifier avec le temps.
Cet album est assez surprenant. Dès le début on nous parle de ce qu'est septentryon et une chose est sûr : c'est révélations auraient pu être mieux intégrés à l'histoire. En effet elle arrivent comme un cheveux sur la soupe. Sinon l'essentiel de l'album est une "pose" dans le voyage de Chronover. Il n'y a qu'à la fin où l'on rebondit pour retrouver la trame principale de la série. Mais ça n'empêche pas cet album d'être intéressant et ce même s'il l'est moin que les autre.
Le dessin quant à lui est de qualitée égale par rapport aux précédents albums.
Mon avis général : J'ai dévoré les 3 tomes qui me sont passés sous la main, et je les ai lu d'un coup. En effet l'histoire de cette famille ( Ne pensez pas qu'il s'agisse d'une famille de mafieux ) est plutôt surprenant : un prêtre ( D'ailleurs - bien qu'il semble parler à dieu - ces pratiques ( Disons légèrement violentes ) remettent parfois sa crédibilitée en doute ... ) , une actrice prétentieuse ( C'est le moins qu'on puisse dire - cf tome 3 ) , une pauvre mère de famille en manque d'adrénaline qui devient une tueuse à gage , un flic ( Honnête mais jusqu'à un certain point ) , et un mafieux ( L'intérêt principal de la série - à mon avis - ) . Tous ce monde vient de sicile et débarque aus USA.
Je ne vous raconte pas la suite , à vous de la découvrir ...
( Il y a ou va avoir une réedition d'ici peu ( chez le même éditeur ) en couleur - la bd était anciennement diffusé dans Gotham - personnelement les couleurs ne me plaisent pas ( j'ai vu un épisode coloré pour la première fois dans BoDoï d'été 2003 ).Voila.
Mon avis sur le dessin : Bien qu'il soit parfois loin de la finesse de certains, il est plaisant, clair, le jeu d'ombre est parfaitement maîtrisé, en fait la bd en n&b est formidable .
Mon avis sur le scénario : Il faut tout d'abord savoir que la bande dessiné est coupé en plusieurs épisodes ( Pas de quoi vous prendre la tête , rassurez vous ) dans une suite plus que cohérente ( Dont d'ailleurs quelque refèrence, surtout au " Parrain" de F.F Coppola.
Mes quelques épisodes sont parfois mous ( Les plus ennuyants est, pour les connaiseurs, le passage où le prêtre frappe de sa croix son frère pendant deux épisodes ) Mais dans l'ensemble il est bien construit.
Donc à lire et à dévorer!
J'ai lu tous les volumes de la série, et jusqu'à présent, que ce soit du côté graphique avec Christian Gine ou du scénario avec Didier Convard, on peut affirmer que cette série est un chef d'oeuvre.
Les périples de Neige sont passionnant, mais ce qui me fascine le plus, c'est de découvrir cette Europe, ensevelie par la neige, ces hordes de "crève la faim" , bref de découvrir un futur plus que probable ( Bien que , à mon avis , nous sommes bien partie pour n'être pas recouvert de neige mais d'eau ... )
Avec le temps, les dessins de gine , évolue, et je pense qu'ils atteignent la perfection.
Donc s'est une bd à lire et à relire ( Je pense que la vendre à 9.50 Euros aurait été plus raisonnable, mais bon...)
A nouveau un album qui se lit et dont en retire un immense bonheur.
Ce chat continue à nous emmener dans ses recherches sur la religion et on adore cela.
Le passage le plus important est la rencontre entre le rabbin et un musulman.
Je suis surpris pas le fait que la manière de se saluer est pratiquement la même. Et ils vont se recueillir sur la même tombe, la religion juive et la religion musulmance avec les mêmes fondements, voilà qui éviterait bien des guerres.
Le dessin n'a pas changé et je m'y suis habitué avec grand plaisir.
Comment ça, vous ne l'avez pas encore lu ?
Ce deuxième album est à la hauteur du précédent. On suit Chronover a la recherche de ses amis enlevés. On se dirige de plus en plus vers une critique sur les manipulations génétiques même si celà reste à confirmer. On apprend de plus en plus de chose sur qui est le personnage de Chronover bien que ce dernier semble bien plus complexe qu'au premier abord. Son rôle et son passé à Septentryon doivent jouer un rôile important dans cet histoire. Cependant on est encore loin de tout savoir.
Un album intéressant à lire.
En profitant de la sortie du tome 3, j’ai donc acquis la série et évidemment, je l’ai lue.
La première surprise provient de l’évolution graphique du dessinateur Efa. La transition était déjà perceptible entre le tome 1 et 2, mais alors pour le tome 3 ! Efa c’est surpassé et fournit dans cet album clôturant le premier cycle un très beau travail. Autant ses dessins du début étaient plus brouillon et comportaient quelques perspectives et autres proportions assez approximatives. Autant, pour ce 3ème tome, il réussit un tour de force afin de nous faire ressentir la magie et le surnaturel d’un monde fantastique. L’auteur a réussi à corriger une grande partie de ses erreur de justesse.
Le dessin et les couleurs nous permettent ainsi, encore plus que dans les tomes précédents, de nous plonger dans un scénario fourni et maîtrisé.
Termens nous propulse ici dans une histoire de conflit entre deux nations. Cette guerre aura pour conséquence de modifier toute la communauté de clans nomades d’où provient l’héroïne Clio. Ces mêmes clans baignant dans un monde tourné vers le chamanisme et les traditions, devront faire un choix. Cela aura pour conséquence de modifier profondément leur société et leur perception du monde et des dieux. On y découvre la disparition progressive d’un monde tournée vers les valeurs ancestrales au profits d’un monde plus matérialiste, cruel et fourbe.
En conclusion, il s’agit d’une bonne série où l’on prend conscience de l’importance de nos racines. Elle n’est peut-être pas indispensable dans une Bdthèque mais elle doit au moins être lue.
J'ai bien aimé ce WEST.
C'est clair qu'il fait penser "Aux Mystères de l'Ouest" mais c'est l'époque qui veut cela. Quoique les Mystères se déroulaient avant encore, il me semble. Et puis, dans WEST, il n'y a pas de gadget à la Gordon.
L'équipe est assez "casting de cinéma" et passerait très bien dans une super production hollywoodienne...
Le changement et la surprise vient surtout du suspense et de l'ambiance. Le tout est excellent et servis par un découpage (cinématographique) et une colorisation maîtrisé quoique parfois un peu confuse.
Les dessins sont parfait et accentuent encore l'intrigue et introduit doucement le côté fantastique du récit.
En conclusion c'est une bonne BD à lire et qui ma tenu en haleine pendant toute sa lecture.
Dès le départ on se retrouve dans un monde post apocalyptique un peu du genre Mad Max avec un héros dont on ne sait rien. On ne connais ni son nom ni même ce qu'il fait là. Tout au long de son aventure on epprend à le connaitre et à cerner son caractère petit à petit. Ce n'est que vers la fin que l'on apprend certains points encore très vagues sur son passé. Une chose est sûr le suspense est bien entretenu et on est vraiment pris dans l'aventure de ce héros baptisé Chronover par des marchands.
Au niveau du dessin on a un peu de mal à ce faire à ce style tout de même assez particulier au début. Mais petit à petit on s'habitue et on rentre vraiment dedans.
C'est un bon album à lire vraiment très intéressant
Je viens de relire toute la série et je dois dire que finalement c'est pas trop mal. Le premier album présente bien la série tout en mettant de l'action afin de tenir le lecteur en Haleine. On y vois d'ailleur que le traitement de l'histoire sera original.
Le deuxième tome quand à lui est un album de révélations. On en apprend plus sur l'histoires des vampires déchus (ceux avec un kyste) et des rapaces qui les pourchassent. Les personnages se développent de plus en plus.
Le troisième album continue sur la lancé du second notament en ce qui concerne les révélations sur les personnages et surtout Aznar.
Le quatrième et dernier album de ce premier cycle est sans doute le plus décevant. Ici le sexe et la violences sont à leur apogés. Il n'était pas utile d'en mettre autant. De plus tout va beaucoup trop vite et c'est bien dommage car ça enlève toute "crédibilité", tout intérêt à l'histoire.
D'une manière générale c'est plutôt une bonne série à lire mais pas forcément à acheter.
Quelle réticence de ma part avant de lire le chat du Rabbin.
Je n'avais pas d'à priori, mais le dessin ne m'intéressait pas plus que ça.
Et quelle surprise. Un très bel album.
Ce monologue du chat est une pure merveille.
L'album possède plusieurs niveaux de lecture.
Le premier est poétique : le chat nous raconte sa vie et on se balade avec délectation dans son existence, certes un peu particulière, de chat.
Le deuxième niveau est plus religieu : ici point de morale ou de parti pris sur la religion mais une explicaton simple de la religion juive et des dérives extrémistes au niveau religion. Le personnage qui lui donne des coups de pieds devient sympathique à partir du moment ou le chat le voit avec ses faiblesses.
Le troisième niveau concerne le religion juive et tout ce que l'on y apprend en tant que non juif.
Ce serait intéressant de savoir ce qu'en pense des personnes de religion juive.
Tout d'abord nous avons à faire à un meilleur scénario que dans le tome 1. En effet celui ci est plus intimiste et plus psychologique que l'autre. On suit Taman Kha et son frère jumeau Mano dont les vies vont être bien différente. En effet Mano est un garçon or chez les amazonnes les mâles sont destinés à servir d'esclave jusqu'à leur mort et travaillent dans des conditions épouventable.
Le dessin de Paty est quand à lui très réussi. Il colle parfaitement à ce type d'histoire plus psychologique car il rend mieux les sentiments ressentis pas les différents personnages.
Seconde partie et fin de l'histoire commencée avec O.P.A. L'intrique va enfin se dénouer et les coupables se révéler. JVH ne ménage pas ses effets de surprises: agents triples, espions, cupidités aveugles et scénarii de déstabilisations gouvernementales, il n'en fallait pas mois pour expliquer cette fantastique machination.
Bien que "l'action économique" soit toujours aussi présente, c'est surtout l'action pure qui prédomine dans ce tome. Le suspens reste entier jusque dans les dernières pages et l'on se surprend à trépigner pour que le milliardaire en basquets gagne les précieuses minutes qui lui manque.
Une fin que j'adore (la meilleur de tous les Largo pour moi), des sentiments très bien amenés et JVH parvient à éviter le cliché de fin. Il fallait au moins ça pour clore cette aventure.
Un seul regret: Simon n'apparaît que lorsque l'on a besoin de lui.
A lire absolument !!!
1er tome de ce second diptyque. Celui-ci parvient a réaliser un véritable tour de force: nous inculquer une leçon d'économie en nous faisant dévorer l'histoire. Certains profs. devraient en prendre de la graine !!!
Coté scénario, c'est de l'action menée tambour battant sans discontinuer. Un régal. Une alternance de scènes d'action pures avec des scènes "d'action économiques" qui font avancer l'histoire. En prime la seule histoire d'amour du justicier milliardaire à ce jour.
Le dessin est magnifique ... pour peut que l'on aime les visages carrés de Francq et les couleurs superbes.
Une belle montée en puissance après les deux 1er tomes de présentation de Largo et du groupe W.
Voilà un deuxième album fort intéressant, et ceci à plusieurs niveaux.
Le scénario : Ange nous permet de mieux connaître l’amazone Taman Kha au niveau de son comportement et de son passé. On peut ainsi la suivre depuis sa naissance, dans son apprentissage de l’utilisation des pouvoirs psy et du combat.
Mais l’histoire ne se limite pas seulement à cela. On rencontre la mère de l’héroïne et ses états d’âmes. En effet, Taman n’est pas une fille unique. Elle a un frère jumeau séparé de sa famille au profit d’une ferme pour mâles. Cette épreuve torturera toute sa vie la jeune mère. Mais également, Taman qui ressentira un vide dans son esprit.
Il y a de la psychologie et du sentiment dans cette BD, ce qui n’est pas plus mal. Mais l’action n’y est pas négligée pour autant, loin de là !
Le dessin : Paty nous y procure une belle suite de planches. Le dessin y est beau, propre et régulier. L’action y est bien rendu ce qui augmente encore l’attrait de se tome à la lecture. La transition d’avec Crisse ne s’y ressent pas énormément ce qui ne devrait pas déstabiliser les fans.
Le petit point négatif, à mon sens, se situe au niveau du découpage. On passe quelque fois plusieurs années d’une planche à l’autre sans vraiment de transition Certains lecteurs risquent de s’y perdre un peu. Mais il est vrai que 46 planches pour raconter la jeunesse et l’adolescence de Taman Kha, c’est un peu court…
En conclusion : il s’agit d’un bel album, beaucoup plus intéressant que le premier. Il est surtout plus intimiste de part les relations mère – jumeaux. La suite en sera donc fort attendu.
Album à lire et indispensable aux fans.
C'est du HF assez classique !
Un gros méchant roi barbare (du nom de Ranguen le Terrible) massacre tout un village et y fait quelques prisonniers dont le chaman. Les filles de ce derniers (la blonde aguicheuse Kalyenté et la brune sérieuse Lilmarlèn) partent à sa recherche avec l'aide de Adiwarol, un beau mâle un peu idiot et de son animal de compagnie Bigorno. Tiens ! Tout cela me fait penser à une autre série...
Il s'agit donc d'une série assez loufoque. L'humour n'y est pas mauvais. Mais il est indéniable que l'on ressent l'influence de "Lanfeust de Troy" ou de "Aliénor".
Pour le dessin, il est humoristique, plaisant et net. On voit que Mermin aime dessiner les jolies jeunes filles. Une certaine influence des Maîtres Cartographes y est peut-être perceptible.
C'est un premier tome amusant et rafraîchissant. Cela se lit vite sans pour autant figurer dans les tops du mois.
Du point de vue scénario ça avance très peu. Ceci est dû à l'importance prise par la bataille entre Raven et Hérons ainsi que ses conséquences. Mais celà reste d'un très bon niveau et m'a vraiment passionné. De plus on assiste à l'arrivé de deux nouveaux personnages quelque peu mystérieux qui se présentent comme des cnseillés militaire. On se demande quand même comment ont ils été au courrant de cette guerre si rapidement puisque apparament ils viennent de très loin ?
Le dessin quant à lui et toujours aussi superbe et fait partie des meilleurs que j'ai pu voir. La bataille entre Hérons et Raven a été remarquablement illustré il n'y a pas à dire. Cependant on peu tout de même noté à certains moment un manque de détail pour les personnages en arrière plan mais c'est un peu du pinaillage.
Une série véritablement excellente dont j'attend la suite avec impatience.
Excellent album comme tous ceux scénarisés par M.Tillieux (lire également ceux où figure Choc le vieil ennemi de Tif et Tondu).
TOP du TOP à l epoque et encore aujourd hui de voir ses heros s affronter :)
Cette série d'album commençait avec une ligne éditoriale claire : réédition des premiers épisodes de l'ARAIGNEE. C'est le cas dans ce numéro 1 avec des épisodes déjà édités dans FANTASKS (pour le 1) et MARVEL. Malheureusement il fut décidé de bientôt diffuser dans cette série des épisodes originaux, ce qui poussa les collectionneurs à devoir suivre cette série aussi alors qu'il possédait les séries origninales pour les rediffusions.
LES CHAMPIONS : Enfin TONY ISABELLA fait décoller cette série. En effet, les adversaires proposés à l'équipe est un pendant à eux-même soviétique. LE GRIFFON, LA NEBULEUSE NOIRE, L'HOMME DE TITANIUM... De plus GEORGE TUSKA se met au diapason en élevant le niveau de son dessin (Par contre il a toujours autant de mal avec GHOST RIDER...)
DOC SAVAGE : Toujours TONY ISABELLE au scénar nous convie une chasse au loup garou dans le nord américain. Le scénar pêche un peu au mileu de l'épisode mais rebondit bien à la fin. ROSS ANDRU au dessin est trés à l'aise dans cette ambiance de suspens.
SKULL : BILL MANTLO met SKULL et ses amis en mauvaise position dans un monde préhistorique avec ses dangers habituels (dinosaures, sauvages...) Un monde fait pour mesure pour SAL BUSCEMA
LES GARDIENS DE LA GALAXIE : STEVE GERBER nous perd un peu dans sa saga (quoi qu'ICARUS se transformant en femme devant les yeux ébahis de MARTINEX est un grand moment). Les dessins d'AL MIGROM sont bons mais moins que ceux de l'épisode précédent.
HK pour moi ses une grande histoire d'amour .Avant hk je n'aimais pas particulierement la bd qui pour moi etait souvant trops "légére" (spirou et conpanie lol)ou trops statique ( tintin , black et mortimer ex.....)ou bien les auteurs francais aiment bien se "targer" de culture ou se persuader d'etre intelectualiser (ses vrai sur les americains (5siecles d'histoire ses relativemant peu... mais sur les arabes on se fait later comme des bleux lol (desoler vengense personnel sur moi meme et ma nation lol!)).En revenant sur hk , j'aitais tranquil entrain de regarder des bp et j'ais feuillletéééé HK (tome 3)ET LA J'ais EU UN CHOQUE !!!!
MERDE !!!!! ses vraiment FRANCAIS cette "merde "?
J'ais tout de suite regarder le senariste ...MORVAN !!!Deja du tres bon dans la SF
Apresj'ais regardé le desinateur :KEVIN HERAULT
POURQUOI J"ais adore cette bd ? tres simple . Deja le graphisme qui allie manga , comixxxssss, et french teutchh .Herault passe d'une phase calme a la HISASHI SAKAGUCHI (akkanbe ikkyo, ishi no hana) a une action violante et prenante a la YUKITO KISHIRO (gunnm).Que du boneurrrrrrrrr
Ce qui est rejouisant dans une epoque de fose moraliter , on peu encor prendre son pied dans L'ART (seul chose qui nous tiens ENCOR A COEUR ).alors que la bd etait au plus mal (point de vue perso )on voit encor quelque mecs ou jeunnes filles ( pour etre politiquement correcte) qui peu "bafoué "la "moraliter(desoler je me repete) chretienne primer que nous usons, en montrant du SEX (assez cru , pas trops quand meme mais juste se qu'il faut ) (tome 2 et 4).Du gore (tome 2et 3 et 4 sur une planche ou on voit un bebe avec sa tete trancher !lol
et surtout de la CONTROVERSE (sex et gore crue en fait partit !) les persos sontassez bien developer surtout Cedric et SURTOUT BUU! la machine plus humaine que l'homme , fandar avec ses idees philosophiques digne d'un CRITON ou d'EPICURE (meme de SOCRATE LOL) mais sous LSD .Un caractère qui vous fais marrer et rephlechique sur certain pint ( merci MORVAN et KEVIN ?).Le complot gouvernemantal est assez bien rendue et pronant (meme si le 4emme reste en susent sur se domaine... seul critique lol)
Le "graff" de KEVIN est des plus bo (faut aimer "style"manga franchiche!!!)
mais plus il viellit plus kevin se bonifie .
La couleur semi "manuelle" semi ordi est du plus bo effait , sinbiose parfait !!
NON je suis desoler si je parle avec mon coeur mais se la premier bd fransaise qui ma fait "ejaculer" ( je deviens scabreu , pardon aux meres et aux enfants ...)
DU tout bon et vraiment vivment la suite des aventures de CEDRIK ( et j'espaire de BUU (kevin et morvan vous savez se que vous devez faire !!!)
PASSIONEZ DE BD "COUT DE POINT DANS LA GEULLE ! alors CETTE SERIE EST FAITE POUR VOUS (conseil L'IMPLOSEUR et LA BOMB par benoit delephine , stan and vince sont du meme accabit mais ils vont encor plus loin ,style1985 de ORWELL en plus SEX et GORE).
SI VOU ME LISEZ ALLORS ADOPTER CETTE BD . Sur ceuu bonsoir ou bonjours ;)
Papy JODORWSKY est de retours .Merde l'un des seul surealiste "bdéistte" francais , bien sur DRUILLET ausi mais le pauvre vieux ,il a des prob avec sa libido et l'alcool !(information perso lol).L'un des seul "otaku" qui on cotoyer SALVADOR DALI ! donc en somme un gros ponte dans son domaine !!si vous aimez DALI, BRETON ,MAGRITTE et BUNUEL ses votre HOMME !!mais dans cette serie cela ne va pas a son aventage loin de la .Dans cette serie ,il pompe alégrement dans sa serie fare L'INCAL.Mais maleure a lui_ il a pris tout les mauvaises choses .
Un senar qui au depard avait l'air "barre" est "surealistico-tecknologico" mais ses juste la surface ...
Le hero ,un albinos avec une fente sur le milieu du crane ...On s'en fou royalement pendant les 5tomes , il deviens meme franchemant agasant , pseudo pretre moralisateur on y crois pas une seconde , on dirait Paul 2 en boys band fragile( prefaire lire la bible ........si je dois subire ca !)
Pourtant le premier tome etait plutot pas mal (le commansemant de l'histoire ).Mais apres "jojo" enchaine tome sur tome qui nous reserre la meme histoire. .JOJO !! on est des cons de consomateurs certe mais quand meme , tu pouvait etre un peu plus fin .....
Le graphisme de Zoran JANJETOV EST parfait . planche a caractére "lente " mais qui "imprime" nos ensephales malades .
SES UNE SERIE HOOLYHOODIENNE EN SOMME , juste a regarder mais faite une hablation de votre cervau , pas parce que ses con ! mais juste parce que ses agasan et repetitif , SES BIEN PIRE !
serie a deconseil !!!!!
sur ceuu bonsoir ou bonjoirs :)
C'est avec impatience que j'attendais la sortie de cet album dont j'avais pu lire quelques passages dans Fluide. Malheureusement, le séquensage des histoires courtes, s'il se prète impécablement à la parution d'un mensuel, ne me plait pas dans un album. Le rythme s'en trouve haché et j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire.
Par contre, j'aime toujours autant le graphisme de Larcenet, la narration quasi parfaite et les répliques mémorables.
J'adore cette vision modèrne d'un robin de bois désabusé, un peu polio, rattrapé par Alzaimer, qui se met à chanter des chansons paillardes. Heureusement, petit-Jean veille au grain. Marianne est géniale.
Sillage est une série que j'apprecie beaucoup car elle dispose de plusieurs niveaux de lecture. J'aime quand JDM s'attaque à un aspect de notre société sous couvert des aventures de la petite Navis. Mais là, la déception est au rendez-vous. Les 2 thèmes abordés sont "La guerre" mais surtout "la condition de la femme". Les 2 sont traités trop rapidement ce qui laisse un gout de survol bien trop rapide. Navis règle des problèmes ancestraux en 20s et 1 leçon de morale. Pas très crédible.
De plus, l'intrigue "sillage" n'avance pas d'un pouce et les couleurs ne me plaisent pas.
Reste le graphisme de Buchet toujours égal à lui-même. C'est pour moi le seul aspect à la hauteur de mes espérence de cette BD.
Déçu.
Je viens de terminer le premier tome et je dois dire que j'adore. L'univer est très riche et donne des perspectives d'évolution très intéressantes. Les personnages et l'histoire sont vraiment fouillé est intéressants. On peut dire qu'il s'agit d'un mélange d'HF et de SF. Le héro, Ethan, est confronté à une situation qu'il ne maîtrise absolument pas et ne comprend rien aux évènements qui se déroulent. Quoiqu'il en soit Ethan semble reprendre un peu le contrôle de la situation mais ses aventures semble le diriger au delà d'une simple guerre entre deux royames rivaux mais on en saura plus par la suite.
Le dessin quand à lui est vraiment superbe. Il est détaillé, fin et la mise en couleur est très réussie.
Un premier album qui me donne vraiment envie de connaître la suite.
Les aventures hilarantes des Avatars (créatures bizarres qui apparaissent sur Terre et viennent d'on-ne-sait-où...) dans le Londres des années 60... Les amateurs de rock auront le plaisir de croiser les Rolling Stones et les Beatles!!!
Très agréable à lire te plein d'humour!!!
BD très agréable à lire et très drôle... l'idéal pour passer un bon moment!!!
Un nouveau tome plutôt pas mal. L'histoire n'avance pas beaucoup ce qui est parfois rageant, mais on en apprend plus sur le personnage de Kyo et sur les conséquence de la malédiction des animaux du zodiaque sur les membres de la famille Soma qui en sont affligés. De la tristesse dans cet album, où l'auteur aborde le problème de la différence et de la laideur (je dirai même de l'horreur !), les difficultés à le surmonter, le pouvoir du regard des autres, etc. Ca reste frais et gentil.
J'attends la suite (prévue pour la mi-septembre), en souhaitant vraiment que les choses avancent à plus grands pas.
Rien à dire de plus que c'est une oeuvre remarquable, les dessins sont superbes et l'histoire fasinnante. bref, si vous avez l'occasion de le lire, faites le. cela en vaut la peine.
Bon, je viens aussi de le lire et ma première impression est : Pfff compliqué !
Au niveau du scénario : il est très complexe (corruption et factions politiques prêtent à déclencher une guerre civile). L’auteur nous plonge dans un monde fantastique sur le déclin ou les différences sociales se creusent, entraînant une insécurité et une agressivité palpable.
Le rythme et l’action y est assez soutenu. Il y a beaucoup de personnages et l’on risque d’en confondre certains. J’ai du parfois revenir en arrière pour voir de qui on parlait… :!:
On ne sait pas grand chose sur le passé du héros et de ses motivations. Cela devrait changé dans les futurs albums, je suppose !
Mis à part cela, c’est vrai que Kris c’est surpassé. Le monde et l’intrigue sont étoffés et semblent maîtrisés. Je crois que l’on risque d’y avoir de sacré surprise (dans le sens positif du terme).
Au niveau du dessin : ils sont beaux, assez nerveux, vivants et réalistes. Parfois, il me semble que certaines cases sont fortement chargées, ce qui accentuent encore les risques de confusion dans les personnages ou les factions.
Le découpage joue aussi sur la confusion. On passe trop vite d’un groupe à un autre…
Au niveau des couleurs : Comme l’histoire se déroule beaucoup de nuit ou dans des lieux sombres, elles s’accordent avec cet état de fait.
En conclusion : Le Déserteur (T1) prend un départ difficile mais assez intéressant. La suite devrait décanter l’ensemble et permettre à la série de décoller. Il s’agit d’un tome à lire pour les accrocs aux mondes fantastiques et aux histoires complexes à consonances politiques.
Avis sur l'ensemble de la série.
Bon les deux premiers tomes sont des histoires courtes à but plus ou moins instructif.
Ensuite,la série change de ton,et de dessinateur.On peux même aisément se passer de la lecture des deux premiers tomes.
Vernal insuffle ses idéaux un peu utopiques dans les premiers albums,mais se rends vite compte qu'il faut emmener son héros ailleurs et là on part pour des aventures bien agréables à suivre avec au dessin Franz qui ne cesse de progresser.
Pour ceux qui auront lu d'autres histoires de Franz ,ils ne s'empêcheront pas de remarquer que Jugurtha se trouve avec des compagnes de voyage au caractère trempé,comme l'est Lester Cokney,ou Timok.
La série ira vers le fantastique vers la fin,qui elle se termine un peu abruptement(si on considère le tome 15 come le dernier de la série) mais on verra que la moitié de ce tome fut dessiner en 1987 et fini seulement en 1990,de façon un peu hâtive.
Une série d'aventure au dessin agréable,un bon moment de lecture,pourquoi s'en priver?
Un avis sur la série entière.Bon il est vrai que les albums peuvent se lire séparément.Il est vrai aussi que l'on peux lire cette série en partant du tome 10 en allant jusqu'au tome 1,ce que j'ai fait.
Mais je conseille une lecture "première" dans l'ordre de parution, car je pense que le dénouement est plus fort.
La force de cette série réside déjà par le choix des dessinateurs qui ont à mon avis fait là du bon travail.Difficile m^me si on est pas fan d'un dessin d'un auteur de ne pas se laisser aller.
Et là j'en viens maintenant au scénario.Chaque histoire indépendante ne sont pour ma part pas forcément des histoires qui auraient eu le succés que la série entière a eu.En fait la force réside dans l'ensemble de la série,dans le fil conducteur,et de la mise en image de chacun des préceptes designés dans le Décalogue.
Donc ne pas bouder son plaisir,lire cette série en entier,et se demander :et si c'était vrai?
Ce que l’on peut se dire à la lecture de cette BD, c’est : drôle d’histoire !
Le scénario se passe dans un autre monde, situé entre notre début du XXème siècle et entre Le Réseau Bombyce.
Un jeune étudiant en médecine (Howard), décide de quitter l’université à quelques jours de la remise des diplômes pour retrouver sa petite amie (Sally). En effet, il l’a vu se noyer lors d’un déluge dans un rêve peut-être prémonitoire.
Il décide donc de la rejoindre sur une autre île de l’archipel. A son arrivée, il ne peut que se rendre à l’évidence, la ville a été inondé lors d’un cataclysme digne d’une fin du monde. Il ne peut que constaté la mort horrible des habitants ou presque…
Il s’ensuit une enquête ou se mêle fantastique et science pour comprendre ce qui c’est déroulé à Bartlebooth et surtout retrouver sa bien aimé.
L’idée de départ est intéressante et l’enquête nous plonge dans un bon suspense. Corbeyran semble avoir élaboré un monde assez complexe ne vivant qu’en vase clos : l’archipel. Ce qui m’a le plus dérangé, c’est peut-être le vocabulaire un peu spécial qu’emploi les gens de ce monde.
Les dessins sont assez surprenant et m’ont fait hésiter à acquérir ce premier tome. Barbay doit avoir été influencé par Yslaire (Sambre) ou encore Malnati (Anahire). Les traits sont très serrés, nerveux et aiguisés. Les visages semblent avoir été taillés à la serpe. Aux premier abords, cela peu déconcerter. Ce fut mon cas d’ailleurs.
Les couleurs sont assez particulières. Tout est dans des tons sombres (brun, gris et noir). On a l’impression d’évoluer dans un monde onirique (à l’image du Roi des Méduses de Ségur). C’est assez étrange !
Je dirais que la suite me permettra de me faire une idée plus précise. Pour l’instant, je ne regrette pas de l’avoir lu mais sans plus.
Ma première impression en refermant cette BD fut : pas mal mais sans plus…
Au niveau du scénario : Morvan c’est pris une pause par rapport à l’intrigue principale autour de Nävis. On dirait qu’il a voulu se faire plaisir en s’attaquant à deux sujets qui lui tiennent à cœur : la guerre et la condition de la femme. La guerre est orchestré par une IA dont la création revient aux victimes de ce conflit. Par la guerre, l’homme se détruit lui-même, semble vouloir nous dire le scénariste. Mais il reste un espoir, la femme (ou Hembras) qu’il faut protéger.
La trame est menée tambour battant. On n’a pas beaucoup le temps de souffler (sauf quand l’héroïne rejoint les autres Hembras). Le rapport à Terminator et à Matrix (pour le régne des machines) est flagrant. On n’apprend rien de plus sur la jeune humaine sauf sur ses talents de guerrière.
Au niveau du dessin : Buchet y fait encore du beau travail. C’est net et plein de vie. L’action est bien retranscrite par les dessins. Il y a du mouvement et de la fluidité même si parfois certaines cases sont un peu petites.
Au niveau des couleurs : je pense que les auteurs (dont le coloriste) ont tenu à donner un aspect terne et morose à cet album. Ceci en raison de la trame principale : la guerre. La guerre est triste, sale et rarement joyeuse (à par peut-être pour Bush)
En conclusion : cet album n’est pas indispensable à la série. Il se lit vite et permet de passé un moment agréable. Il est à prendre comme un intermède dans la suite des aventures de Nävis.
Quelle BD fascinante! Tout est réuni pour créer une histoire et une ambiance parfaite : un graphisme magnifique du premier au sixième tome, des couleurs a vous couper le souffle et surtout un scénario très bien pensé qui nous plonge du début a la fin dans de l'action, du suspence et de l'angoisse! Merci Swolfs, cette série est exemplaire!
Je viens de terminer l'album et je dois dire que c'est pas mal mais sans plus. L'histoire est intéressante et colle à l'actualité mais alors Nävis c'est la super héroïne. Elle débarque et change tout en dix minutu montre en main c'est incroyable. Autant le grand point fort du tome 5 était le fait qu'elle ne change pas grand chose à la situation et qu'elle reconnaisse elle même qu'elle ne peut pas tout arranger tout le temps autant là c'est oublié. De plus la trame de fond de la série est totalement oublié, une sorte de pose dans l'histoire un peu dommage à mon avis. On sent également l'influence (quoique à ce point c'est plus de l'influence) de terminator et pour les grade de l'armée quelle imagination je siterais en exemple "Sardant-chef" et "Saporal" ça fait peur quand même.
Le dessin est toujours aussi réussi que les albums précédents avec comme seule petite critique l'utilisation de couleurs un peut trop flashi (surtout dans la première planche) mais c'est du inaillage.
En bref c'est digne d'un film de deuxième partie de soirée sur TF1 donc distrayant mais pas passionnant pour deux sous. A ne lire que si on a rien d'autre de mieux.
Le graphisme et le style!
Avec ce mélange incroyable d'amérique des années 50 qui sonne faux comme de la real TV et tous ces gadgets de hautes technologies qui porte l'oeil vers les détails. Et des détails, il y en a un partout dans les vignettes... Que font tous ces petits toutous à chaque coin de rue?
Il y a quelque chose de pas net : on sent doucement la pression monter. Parano s'abstenir.
Quand le héros commence à ne plus s'y retrouver, là, on est accroché, on est piégé jusqu'à la dernière page.
Le syndrome de Stockholm, les revenants, les OVNIs, les TOCs …
Autant de thèmes autant de révélations …
Si vous aimez le noir & blanc, les forces telluriques, la dérive (des continents),
alors n'hésitez plus, ce livre est fait pour VOUS.
Montpellier, Etats confédérés de France, 1950.
Raymond Balmain assure, comme d'hab'
Si vous aimez le glamour, le monde moderne, les belles carrosseries,
alors n'hésitez plus, ce livre est fait pour VOUS.
Je viens de lire l'album et je le trouve pas mal du tout. Tout d'abord le scénario est plutôt complexe mais pour une histoire de complot politico-mafieux devant menné à une vrai guerre civile on ne saurais s'attendre à moins complexe. Les ramifications sont nombreuse entre chaque partie et c'est très bien rendu par la succession de scènes montrant les différents groupes. Au milieu de tous ces groupes on retrouve le déserteur qui est le personnage central de cet album. Tout le monde s'intéresse à lui et même si il semble être du côté des libertaire j'ai comme la sensassion que c'est plus par nécessité que par idéalime. Tous ces groupes sont encore bien obscur pour le lecteur mais celà s'éclaircira surement au fur et à mesure des albums.
Le dessin quant à lui est plutôt réussi. Il aide bien à accrocher au scénario mais le seul petit point qui m'a géné c'est la mise en couleur. Cette dernière est trop flou et mal délimité. Cependant la qualité de l'histoire m'a fait allé au delà et je ne le regrette pas.
Quoiqu'il en soit l'histoire m'a intringué et me fera acheter la suite sans hésitation.
Je viens de terminer l'album et franchement c'est pas trop mal. C'est un peu un mélange entre les mystère de l'ouest et les incorruptible avec une touche de Faust plutôt pas mal. L'histoire est vraiment intéressante, c'est un bon western bien développé qui va à 100 à l'heure sans aucun temps mort pour le lecteur. L'aspect du complot politico financier sur fond de fantastique est l'un de mes thème favoris je ne pouvait donc qu'apprécier cet album même si je ne suis pas trop du genre western. Les personnages sont toutefois très stéréotypés et, pour le moment, pas assez développé à mon goût. Je trouve qu'ils manquent un peu de profondeur.
Le dessin est franchement très réussi. Les personnages sont expressif et la coueur directe accentue davantage ce sentiment. Le découpage est originale et plutôt bien trouvé.
Trés belle histoire avec de bon dessin ou l'on découvre un homme attachant dans ces momments solitaire et sombres et qui grâce à un livre redécouvre peu à peu goût à la vie à travers différentes rencontes. Un hymne à la vie.
Oeuvre saisissante ? je ne pense pas. L'auteur par son histoire et ses dessins essaye de nous plongé dans notre monde actuel en montrant les côté les plus obscure et à grande vitesse. On s'y perd, comme l'a sans doute voulu l'auteur, mais au final cette Bd ne marque pas. A oublier.
Merci à Clever d'avoir repris la série car on à bien cru que la mort d'un des deux auteurs marquait la fin de la série. Mais non après 4 ans d'attente, on retrouve notre jeune milliardaire pour le dénouement final. L'intrigue est toujours aussi passionante dommage que ça se termine déjà.
Et non c'est pas fini et c'est toujours aussi drôle.
Caracicature des profs ? Sans doute mais on est pas si éloigné de ça de l'univers des profs. Héran si connait très bien. BD HILARANTE
Dans le genre BD sur les profs ça comblera sans doute les éléves de primaires. Mieux vaut se tourner vers les albums d'Héran qui ne sont pas il est vrai destiné aux éléves de primaires.
Les personnages son beaucoup moins sérieux que dans les précédents mais c'est toujours aussi passionnants.
On rentre pleinement dans l'univers de Valhardi dans cet album, c'est sans doute le plus beau
Dans le genre détective privé et malgré son ancienneté on ne fait pas mieux.
Il fallait rendre hommage à Maurice Tilleux, et le texte de la première page est sans doute l'essentiel de cet album. Néanmoins c'est courageux de la part de tous ces auteurs d'avoir essayé.
Sans doute l'album le plus marrant de la série, l'histoire de la vielle tante de Libellule et de sa chasse d'eau est un grand moment.
Scénario exellent , dessins magnifiques et des couleurs exceptionnelles. en un mot SUBLIME.
La série se termine enfin et par un album assez moyen. Pour comprendre pleinement l'oeuvre complète il est impossible de distingués tel ou tel album. L'idée originale de faire appel à plusieurs dessinateurs permettant de sortir toute la série (de taille pour une fois raisonable) dans un laps de temps assez court ainsi qu'un scénario général intéressant ne peuvent pas masqué la faiblesse de certains albums. C'est sans nul doute un trés gros coup marketing mais hélas immérité.
L'histoire se passe dans la ville d'York la Nouvelle, à une époque du moyen-âge, mais dotée de tout le confort moderne, réalisé avec les techniques de l'époque (style Famille Pierreafeux).
Anachronismes et jeux de mots se succèdent dans la résolution d'une énigme policière menée par un détective privé qui n'a pas du tout les talents d'un Columbo.
Humour, action et rebondissements m'ont beaucoup amusé.
Les détails des cases aussi.
Cette série est plutôt pas mal mais sans plus. L'histoire en elle même est intéressante, l'intrigue est plutôt bien menée. Les trahisons et autres faux semblant sont tout à fait crédible ce qui fait que le "héros" ne peut se fier à personne. Cependant le héros est tout sauf un héros ce qui aurait pu être intéressant mais il est beaucoup trop passif. Il ne fait rien d'autre que se laisser porter par les évênements à un point tel qu'on se demande pourquoi il ne se fait pas abattre car à part servir de liens, de fil conducteur à l'histoire il ne sert franchement à rien. En plus il n'a pas l'air vraiment affecté par la disparition de sa fille (peut être parce qu'il en a une autre pour combler l'absence ?) où alors ça lui passe très vite.
Le dessin est assez réussi même si l'on peut regretter un manque d'expression des personnages. Par exemple quand le "héros" est en colère il a l'air d'être tout sauf faché ce qui est un peu déstabilisant il faut bien le recannaitre. Les couleurs quant à elles sont un peu trop flashi à mon goût ce qui a tendance à déservir l'album.
X-MEN = CHRIS CLAREMONT passe la vitesse supérieure. Les SENTINELLES sont de retour et enlèvent une partie de l'équipe. Parmi eux SERVAL que l'on trouve pour la première fois dans une tenue qui reviendra culte et souvent reprise car elle définit à elle seule le personnage : torse nu et griffes dehors !!
A noter que les autres X-MEN semblent surpris que ces griffes soient réelles et non pas un gadget du costume !! Les dessins de DAVE COCKRUM sont légèrement mieux que d'habitude (et d'habitude ce n'est pas mauvais.)
L'ARAIGNEE : Fin de la saga de la terre du temps où cette fois L'ARAIGNEE entraine les INHUMAINS dans sa galère. Le scénario de LEN WEIN et GERRY CONWAY est bourré d'incohérences mais permet à JIM MOONEY de bien s'amuser à réunir tous ces sup'héros (INHUMAINS, VENGEURS, SPIDEY) dans les mêmes cases.
L'ARAIGNEE : Cette fois LEN WEIN associé CAPTAIN AMERICA au TISSEUR. Ils doivent lutter contre L'AIM pour aider le SHIELD de NICK FURY. Un scénar vite bacclé, incohérence complète à la fin de l'épisode. GIL KANE a un de mal à dessiner CAP.
LA CHOSE : BILL MANTLO associe IRON MAN à la CHOSE pour combattre un chevalier du futur devenu maboul. Pauvre BEN, sa série ne vole vraiment pas bien haut.
Machine qui rêve, c'est Les bijoux de la Castafiore de la série: une déconstruction des bases mêmes de la série. Les repères associés à Spirou sont déboulonnés un à un.
Le thriller est efficace, le sujet est contemporrain mêlant les dérives possibles de nouvelles technologies scientifiques à l'appât du gain. En plus de divertir, Machine qui rêve pose des questions, ce qui était rare dans une série généralement axée sur l'humour. Pas à dire Tome et Janry arrivent tout juste derrière Franquin dans l'apport qu'ils ont fait à cette série.
EX-TRA-OR-DI-NAIRE !!! La BD la plus prenante que j'ai eu l'occasion de lire et qui nous démontre que ce genre peut traiter un sujet aussi grave comme tout autre support.
Voici un album véritabement excellent que ce soit au niveau du dessin que du scénario. On a affaire ici à des anges pas très catholiques qui n'hésitent pas à faire des fiesta arrosés au vin de messe ainsi qu'une bonne baston avec des démons. C'est une album a la fois sérieux et drôle dont le scénario est très développé. L'histoire apporte une certaine fraicheurcar il est agréable de voir la religion et tout le toutim traité de manière déjanté.
Le dessin de Boiscommun est véritablement superbe. Son trait fin et expressif donne des effet très intéressant. Le mise en couleur est une grande réussite même si je trouve par moment que les couleurs utilisées sont un peu trop clair mais ceci n'est qu'une question de goût.
Les points forts de ce manga sont les suivants:
-Un graphisme superbe. D'ailleurs, ces deux coréens sont tellement bons, que les japonais leur avaient commandé le Dernier Angyo Onshi
-Un héros de caractère: il est sensé être un redresseur de tort, mais il n'est pas très euh.. catho (mais alors, pas du tout). Pour les combats, il fait plutôt faire le boulot par une jeune fille ;-)
-Des infos sur les légendes et coutumes coréennes
Ne vous fiez pas au premier volume, dans le second, on voit apparaître une ligne directrice dans le scénario. D'ailleurs, la dernière histoire est beaucoup plus longue que les premières.
Cette histoire continue bien sur sa lancé. Le romantisme est toujours résent ainsi que l'émotion. On apprend à mieux connaitre les personnages et le contexte historique dans lequel ces derniers évoluent. Cependant on peut dire que le scénario prend sont temps pour avancer. En effet dans cette album il ne se passe pas grand chose mais ceci est largement compenser par ce que l'on apprend sur Julie et surtout Bernard (ainsi que sa famille). De plus on va de plus en plus vers un grand boulversement historique qui va surement boulverser la vie de Bernard et Julie.
Parfait! L'histoire et les combats sont excellents et le personnage Thanos est plus humain que jamais.
A lire absolument !!!
LES ETERNELS : Dernier épisode diffusé dans STRANGE par suite de pression de la censure de l'époque. C'est trés dommageable pour la liberté de diffusion et d'expression mais moins quant à la valeur intrasèque de la série entièrement créée par JACK KIRBY. Remplacée dés le mois suivant par un deuxième épisode de l'ARAIGNEE.
DAREDEVIL : GERRY CONWAY au scénar s'est adjoint les services de STEVE GERBER pour nous proposer une étrange histoire de messie noire et de disciples. La première partie avec une double intrigue contant d'un coté les origines du messie noir et de l'autre le combat de DD contre des truands est la meilleure. Peut-être du fait du découpage de l'intrigue en petites cases pendant un long moment, les dessins de GENE COLAN ne sont pas aussi intéressants que d'habitude.
IRON MAN : Fin du combat contre le COLLECTEUR avec GERRY CONWAY au scénar qui il faut l'avouer ne casse pas trois pattes à un canard mais la surprise de la qualité des dessins de GEORGE TUSKA continue. IRON MAN est extraordinairement bien dessiné.
L'ARAIGNEE : STAN LEE ne fait pratiquement pas apparaitre L'ARAIGNEE dans cet épisode où le héros est PETER PARKER et ses amis. Il est vrai qu'à part GWEN toute cette partie de la vie de l'ARAIGNEE avait été grandement laissée de coté. De plus STAN LEE en profite pour s'attaquer au problème de la drogue et des masse laborieuses. Mais le plus fort dans cet épisode brillament déssiné par GIL KANE est que l'on sait où il veut en venir et que l'on savoure cette dernière page attendue depuis des mois. Un véritable poster pour les fans de la série. Le redécollage de celle-ci est-il définitif ?
Vraiment bien ... mais la vrai beauté de cette BD se révèle dans le T2
tout simplement génial
Complètement époustoufflé
J'attends avec impatiente le T3 en espérant qu'il n'y aura pas 3 ans d'attente
Pour moi, une des meilleurs séries d'aventures fantastiques! Graphisme et scénario d'une grande qualité! Vivement la suite!
spoogue coment dire il est charmant un peu ronchont c'est normal le bourreau n'arrête pas d'écarteler les gens puis après il ne peux plus les mettre dans son cercueil... Amoureux d'une ravissante princesse au dent de lapin, ce personnage des plus curieux va& se promener parmis des planches bien dessinées, avec des petits détails affriolants à remarquer, je n'en dis pas plus.
Personnellement, j'ai passé un bon moment en sa compagnie, ainsi que le reste des personnages qui sont très bien caricaturés
Une peinture de l'angoisse, très beau très intriguant et angoissant, bravo
Et bien je dirais que cette histoire commence un peu comme beaucoup de nos jours où on aimerait bien prendre la clé des champs et se casser. C'est en l'occurence, ce que fait simon. Cette fuite n'est en fait qu'une occasion de plus de découverte de rencontre et l'on peut suivre derrière son silence c'est penser par le dessin du haut de son crane illustrant dans un premier temps ces pensées mais également son immersion dans les différents milieux rencontré (ex: la mer, la ville...)
Ce livre est, pour les gens qui manque d'air, une grande bouffée d'oxygène. Merci M.Baudoin et bonne lecture aux autres.
ETERNELS : Ce 3eme épisode confirme que la série ne sera pas un chef d'oeuvre. Au niveau scénaristique JACK KIRBY fait trainer les choses en parlottes inutiles. Ses personnages sont fades pour les humains et les Eternels, pas du tout impressionnants pour les "Dieux". Les personnages les plus intéressants sont les déviants. Au niveau du dessin cette impression ressort aussi. KIRBY ne met aucune expression dans le regard d'IKARIS par exemple.
DAREDEVIL : Le PROJET 4 a transformé un vieux millardaire en HOMME INVINCIBLE que DAREDEVIL et la VEUVE NOIRE doivent combattre avec leurs pauvres moyens. GERRY CONWAY s'attarde assez longuement sur les relations DD/Police ou même police/police. Ce qui rend l'épisode agréable à lire. GENE COLAN est d'ailleurs plus à l'aise au dessin dans cette partie urbaine qu'en dessinant le géant plus sorti d'un film SF que d'un épisode de STARKY et HUTCH.
IRON MAN : L'étrange guide des FRERES DE SANG des épisodes précédents était LE COLLECTEUR viellle connaissance d'IRON MAN qui sort de sa cachette avec ses esclaves. Le scénar de JIM SHOOTER est somme toute classique mais pour je doir saluer le dessin de GEORGE TUSKA qui a fait de gros efforts surtout au niveau des esclaves du collecteur qui par leur coté naîf sont assez intéressants.
L'ARAIGNEE : STAN LEE envoie PETER PARKER à LONDRES à la recherche de GWEN. Malheureusement c'est l'ARAIGNEE qui aura du travail avec des terroristes kidnappeurs. Cette histoire simpliste est surtout prétexte à faire voler le TISSEUR dans le décor londonnien. Et ça marche ! On prend énormément de plaisir à le lire grâce au dessin de JOHN ROMITA incontestablement depuis le début de la série le meilleur dessinateur de L'ARAIGNEE.
LES CHAMPIONS : TONY ISABELLA met un épisode entier à terminer laborieusement le combat du groupe contre RAVAGE. C'est d'autant plus pathétique que l'exo-squelette de ce super-vilain pas super du tout est endommagé dés le début de l'épisode. GEORGE TUSKA nous remet au dessin une copie digne de lui : passable.
DOC SAVAGE : Une petite déception car le scénario est à la moitié de l'épisode à peine compréhensible pour accéle la conclusion du mystère des géants. ROSS ANDRU a aussi pour sa part un petit coup de moins bien par rapport à l'épisode précédent (ses dessins demeurent quand même pour la plupart trés bons)
SKULL : BILL MANTLO au scénar nous fait participer à une bataille aérienne entre deux armées de robots chauvauchant des destriers ailés. SKULL est dans une armée et ses amis miraculeusement réssucités dans l'autre. C'est trés agréable à lire surtout grâce aux excellents dessins de SAL BUSCEMA qui fait ressortir la haine dans le regard des protagonistes.
LES GARDIENS DE LA GALAXIE : Encore une bonne surprise. STEVE GERBER fait découvrir au groupe une planète inconnue (du moins ce que l'on pense être une planète) sur laquelle ils retrouveront une vieille connaissance. AL MILGROM fournit une excellente prestation aux dessins (pour ma part sa meilleure de ce que j'ai pu lire)
Dans un marché de la BD en pleine extension, qui va de records en records, certaines séries restent injustement méconnues.
Candélabres est l'une d'entre elles. Cette série dispose de tous les éléments narratifs pour devenir l'une des références de la BD fantastique. Algésiras a réussit à mêler harmonieusement une multitude de symboles aussi bien historiques que culturels. Elle nous sert un univers original où Paul, le héros, se sert habilement du feu qui le consume pour s'extraire de son handicap et devenir aussi léger que l'air dans une chorégraphie décoiffante. La danse nous révèle tous les tourments dont souffre Paul et qui l'entraînent dans une interrogation perpétuelle.
Algésiras révolutionne le fantastique dans la bande dessinée et son trait tout en légèreté séduira l'ensemble de ses lecteurs. Nous assistons à la naissance d'une grande conteuse qui prolongera notre plaisir en adaptant le chef d'oeuvre de Pierre Bordage «Les Guerriers du silence».
Si vous souhaitez prolonger vos réflexion sur Candélabres, je vous conseille la lecture de Candel'Mag (http://candelmag.site.voila.fr/) :
Le numéro 1 est consacré à la présentation générale des trois premiers tomes, et à une interview exclusive d'Algésiras.
Le numéro 2 est parle de Paul Klarheit, le personnage principal. Nous avons essayé d'imaginer ce qu'aurait pu être son passé, ainsi que ce qu'il adviendra de lui à la fin de la série.
Nos axes de réflexions nous ont donc amené à relater les raisons de sa première paralysie et pourquoi il s'est brusquement coupé de sa famille. Nous avons aussi réussi à retrouver la sœur de Paul qui n'est pas mentionnée dans les BD.
Sur son futur, nous avons imaginé que les candélabres disparaîtraient de sa vie et qu'il en serait profondément marqué.
Tous ces axes de réflexions sont le fruit de notre imagination et ne préjugent pas du tout du contenu des tomes 4 et 5.
Le numéro 3 est un cadeau collectif d'un groupe de discussion sur Candélabres. A l'occasion de Japan-Expo, nous avons tenu à offrir un cadeau approprié à Algésiras. Nous nous sommes alors mobilisés pour écrire une série de haikus (petits poèmes japonais) et pour réaliser des fanarts sur le thème de Candélabres.
L'histoire d'une jeune indienne qui a perdu son ombre et qui demande l'aide d'un chaman déchu pour la retrouver. Avec en toile de fond l'histoire d'une ancienne tribu. Très bon scénario, très prenant même si l'album est très court. Au niveau des dessins, je considère cet album comme le meilleur de Comès (c'est pas rien), les ambiances sont fabuleuses (clair/obscur), il nous fait deviner les éléments du décor plus qu'il ne nous les décrits clairement, avec un minimum de traits.
STAN LEE nous laisse un peu sur notre faim en concluant en deux pages du deuxième épisode la fin de l'enlèvement par les SKULLS de la CHOSE avec sa participation à un tournoi genre gladiateurs. Là aussi l'idée n'a malheureusement pas été utilisée jusqu'au bout.
Le 3eme épisode est le plus intéressant et le plus important de l'album car il fait apparaitre la nurse de FRANKLIN : AGATHA ARKNESS car aura une grande importance dans la suite de la série.
Le 4ème épisode est sans intéret car le méchant (le MONOCLE) est un simple terroriste avec un arme cachée dans une caméra.
JACK KIRBY est plus à l'aise au dessin dans les deux premièrs épisodes avec les différents esclaves gladiateurs et dans les costumes rétro (année 30) des habitants de la planète SKULL que dans les deux derniers.
LA PLANETE DES SINGES : L'adaptation s'améliore. Les dessins sont au diapason pour une fois dans cette série. On suit avec intéret l'évasion de TAYLOR et NOVA aidés par ZIRA et CORNELIUS.
LES PROSCRITS DE LA PLANETE DES SINGES : La série continue son bonhomme de chemin avec une attaque de monstres marins et la décourte d'un groupe de gitans composé d'hommes et de singes. Le dessin est véritablement excellent.
Ce second opus est plutôt réussi. L'histoire avance assez lentement vers un tome 3 qui promet d'être assez riche en information. On en apprend davantage sur les personnages et leur caractère. L'action et l'humour sont encore présent avec la même intensité. L'histoire évolue de manière très lente mais très cohérente, il n'y a pas de raccourcis scénaristique. Ceci nous donne un album équilibré qui prend le lecteur dès les premières pages.
En ce qui concerne le dessin le trait vif et détaillé de Pellet alliés au couleurs de Goussale traduisent bien le scénario dynamique et sans temps mort d'Arleston.
Un petit chef d’œuvre, une petite merveille à admirer et à montrer.
Le visage, le regard et les expressions de ce pantin sont remarquables, ses émotions sont perceptibles et chacun de ces sourires est un petit bonheur. La mise en page aussi rend bien les effets. Tout le passage dans le parc est dessiné dans des petites cases identiques qui dynamisent les mouvements. Les cases déformées traduisent bien que sa pierre l’attire violemment dans l’eau.
Il est comique, gai, entreprenant et courageux alors on est triste avec lui, mais pas autant qu’on est heureux avec lui. Bon dieu…….., quel agréable moment, c’est beau, mais alors …………je me suis mouillé les joues. Ben oui.
Tant d’émotion et de plaisir en quelques pages avec un crayon, du rêve, du talent, un gros cœur et sans un mot.
J’ai de loin préféré l’édition crayonnée en noir et blanc (Ed Le cycliste collection comix Nr16 17x26, janv 1999) à la version couleur qui aurait été splendide avec les aquarelles de Claude Guth (Pitchi Poï).
Cette BD est indispensable à ceux qui perçoivent l’émotion et la tendresse, et qui ont gardés des yeux d’enfants.
Ce quatrième opus est assez réussi. Le scénario est dans la continuité du tome 3 et reste prennant. L'enquête est plutôt bien menée sans facilité scénaristique ce qui est appréciable. Tout y est logique mais hélas celà va trop dans le fantastique. Personnellement j'aurais bien aimé que cette série reste dans le style polar bien classique d'autant plus que l'époque où elle se déroule laisse entrevoir la possibilté d'avoir de bon scénario (un peu dans le style de jack l'éventreur). D'autant plus que le brouillard londonnien campe bien l'ambiance. Ici tout est basé sur le fantastique d'autant plus que les personnages on tendance à accepter trop facilement ces évènement fantastique sans réellement rechercher une explication plus crédible. Enfin celà n'empêche pas le lecteur d'être pris dans l'histoire et de prendre du plaisir à la lire.
Le deuxième opus de la série. Toujours en verve, les auteurs poursuivent sur la lancée du premier album en reprenant le principe identique : une collection de courtes histoires axées autour d'un meurtre ou d'une situation abracadabrantesque. L'inventivité est toujours au rendez-vous et la qualité des dessins, le même. Bref, vivement la suite !
Le source ayant présidé à l'inspiration du Green Manor, ce "hellfire club" so british, paraît on ne peut plus évidente : le fameux De l'assassinat considéré comme l'un des beaux arts, par Thomas de Quincey (auteur également de Confessions d'un mangeur d'opium). Et justement, tout le talent des auteurs est d'être parvenu à restituer tout ce sel si particulier, mélange d'humour noir, de cynisme grinçant, saupoudré, pour faire bonne mesure, d'un soupçon (pardonnez le jeu de mot) d'ambiance victorienne. La forme est classique : une succession de courtes histoires, toutes censées s'être produites dans les entrailles du club, véritable nid de gentlemen amoraux au goût prononcé pour le sang mais d'une parfaite respectabilité. Le dessin est correct ; il restitue la saveur de l'ambiance victorienne (la fin de cette période, en fait) sans atteindre le chef d'oeuvre. Mais ça n'est pas le but, pas plus que le point fort de la série. Non, ce qui confère indubitablement à Green Manor sa très grande qualité, c'est la force de ses scénarios, de petits bijoux ciselés avec drôlerie, humour et, surtout, une très grande inventivité ! du loufoque au pastiche de meurtre en chambre close, tout y est abordé et écorné. Dans le genre, c'est du grand art.
Début d'un nouveau dyptique où l'on retrouve l'ambiance des premiers albums dans un londre des années 1870. Cette nouvelle aventure est bien menée. Le suspense présent dès le début de l'album s'intensifie de plus en plus à chaque page. Le lecteur est litérallement plongé dans l'enquête et ne peu s'en dégager avant la fin de ce troisième opus. Il est cependant assez étonnant de voir le surnaturel débarquer et celàlaissele lecteur assez perplexe quand à la suite de cette histoire mais aussi de la série.
Le dessin reste toujours d'aussi bonne qualité même si par moment il est dommage de voir certaines cases avec un fond blanc ce qui est une chses que j'apprécie très peu car celà donne une impression d'inachevé assez énervante.
LES ETERNELS : Un deuxième épisode décevant où la parlotte l'emporte. En plus il est dommage d'assimiler une partie de la Bible aux origines des humains par rapport aux Eternels. L'oeuvre de JACK KIRBY n'en gagne rien en clarté. Comme ses dessins d'ailleurs qui semblent dans cet épisode surchargés sûrement à cause du manque de dynamisme. Le prochain numéro sera crucial pour se donner une idée précise de l'oeuvre.
DAREDEVIL : GERRY CONWAY commence à donner des explications dans la saga du facteur 4. Celles-ci ne sont pas à la hauteur de l'attente. De plus GENE COLAN n'est pas à l'aise pour dessiner les méchants en armure aux rayons destructeurs.
IRON MAN : Fin de l'affrontement entre TETE DE FER et les FRERES DE SANG. ARCHIE GOODWIN lui adjoint l'aide de DAREDEVIL. GEORGE TUSKA au dessin s'en sort honnêtement sans plus.
L'ARAIGNEE : Un épisode où PETER PARKER en pleine déprime suite au départ de GWEN à LONDRE se remémorre son histoire depuis qu'il est l'ARAIGNEE. Il affronte le SCARABEE qui a enlevé TANTE MAY.
STAN LEE nous plonge dans une ambiance désuette. On se croirait revenus une quarantaine d'épisodes en arrière !!! Les dessins de JOHN ROMITA sont au étrangement et malheureusement au diapason de cette ambiance. La série commence à bafouiller grave !!!!
LES X-MEN : CHRIS CLAREMONT nous convie à un affrontement improbable entre les X-MEN et ERIC LE ROUGE (ERIC étant un déguisement sous lequel CYCLOPE avait vaincu MAGNETO dans un épisode des PREMIERS X-MEN) qui contôle POLARIS et HAVOK. Celà nous permet d'assister au meilleur passage de l'épisode avec le combat entre les deux frères SUMMER.
DAVE COCKRUM est d'ailleurs trés à l'aise pour dessiner ces deux personnages, ce qui n'est pas le cas pour TORNADE, le HURLEUR ou même SERVAL qui depuis le début de la parution de la nouvelle série fait pour l'instant vilain petit canard trés peu utilisé.
L'ARAIGNEE : GERRY CONWAY n'est pas fait pour les histoires de SF ! Une histoire complètement idiote qui voit L'ARAIGNEE et IRON MAN plongé dans un avenir hypothétique. Et que dire des dessins de ROSS ANDRU ! Méconnaissables ! A croire qu'il les a fait avec ses pieds !!!
L'ARAIGNEE : Suite de l'ineptie précédente. Et cela ne s'arrange pas !! Revenu à notre époque pour sauver le futur, L'ARAIGNEE demande l'aide de la TORCHE. Nos deux héros rallient ainsi en une heure !!! l'un le JAPON l'autre l'AMERIQUE DU SUD. Décidemment GERRY CONWAY au scénar n'était pas dans son assiette. JIM MOONEY au dessin relève au moins le niveau graphique par rapport à l'épisode précédent.
LA CHOSE : BILL MANTLO convie LA CHOSE à un combat avec une statue vivante le GOLEM. Jamais notre ami BEN n'a semblé aussi puéril et inintéressant.
Le scénario de Mosdi est queque peu classique. En effet il s'agit en gros de meutres en séries commis par une personne laissant des indices exprès derrière elle. Mais plus ont avance dans l'album et plus on se rend compte que ce thriller à priori classique devrait évoluer vers une histoire où le surnaturel devrait être assez présent ce qui peut être une bonne chose.
En tous cas cet album à un rythme assez soutenu et prenant. Le lecteur en apprend donc plus que ce qu'il imaginait. De plus tout indique que l'histoire va prendre par la suite un tour assez inattendu mais très intrigant. a la fin de l'album le lecteur rete quand même très perplexe se posant plein de questions et voulant connaitre la suite très vite.
Voici un album meilleur que les autres. En effet l'histoire reprend son cours normal après une petite pause de deux albums. On en apprend plus sur ce que contient la fameuse malette et va entrainer nos héros dans une affaire dont on est encore loin d'imaginer l'importance. De plus dans cet album on rencontre enfin Igor le frère de Vlad.
Le seul bémol que j'aurais à apporté à cet album c'est bien la psychologie des deux frères qui a tendance à se contredire selon la situation. Par exemple lorsque Vlad retrouve son frère seul compte pour lui l'héritage alors que par la suite c'est un point qui est passé au second plan. Or on a pu s'appercevoir que jusqu'à présent Vlad est surtout quelqu'un de pragmatique qui a tendance à utiliser les gens pour atteindre son but et les laisser par la suite sans réellement s'attaché. C'était ça son originalité. Mais il semble avoir changé en un album ce qui est plutôt déroutant et dommage.
LES ETERNELS : Nouvelle série entièrement conçue par JACK KIRBY. Une histoire qui se met bien en place relatant les origines de l'humanité (version KIRBY) et préservant un bon suspens quant à la teneur de ces fameux dieux. Les dessins du grand JACK sont pour la plupart assez fameux (surtout les édifices incas).
DAREDEVIL : GERRY CONWAY place MATT MURDOCK face à un gros problème. Comment prouver que son arrivée à SAN FRANCISCO coincide avec cellle de DD. Bons dessins de GENE COLAN. A noter que DAREDEVIL s'en sortira en utilisant un stratagème déjà utilisé par L'ARAIGNEE dans STRANGE 84.
IRON MAN : TETE DE FER face au retour des FRERES DE SANG manipulés par un étrange chef caché. Le scénar d'ARCHIE GOODWIN est assez original par rapport à la dizaine d'épisodes précédents de la série. Mais les dessins de GEORGE TUSKA sont de pire en pire.
L'ARAIGNEE : STAN LEE n'arrête pas de s'acharner sur le pauvre PETER PARKER. Pendant que l'ARAIGNEE doit prouver au RODEUR son innocence dans la mort du capitaine STACY, il risque de perdre GWEN qui menace de partir vivre à LONDRES. A noter le dessin raffraichissant de JOHN ROMITA qui colle parfaitement à l'épisode.
Suite des aventures de Vlad et d'Elenstein qui tentent de sévader de la zone rouge. Même si cet album est un peu moins "moralisateur" que le précédent le sujet évoqué n'en est pas moins important et fait réfléchir. Cependant cet album est clairement axé sur l'action et l'évasion des héros de la zone rouge. Maintenant on peut espérer que l'on va rentrer dans le vif de l'histoire dès le prochain album en espérant que lasuite soit aussi intéressante que cet album plutôt sympathique.
Ce tome final est l'apogée de cette quadrilogie. Je trouve la scène finale sur le glacier digne des batailles à grand spectacle du cinéma : on se prend à rêver d'une adaptation sur grand écran (qui sait?).
Les 4 tomes sont tous excellents, le dessin est magnifique avec des scènes grandioses comme la poursuite dans le clocher de notreDame (T1), la bibliothèque de Tolède (T2), ou le sac de Jérusalem (T4).
L'intrigue est dense, pleine de rebondissements et la révélation finale à la hauteur!
Bien sûr, il y a une forte similitude d'ambiance avec le nom de la Rose mais c'est limité: L'action n'est pas en huis clos et le personnage principal (Marburg) est un homme d'action et non pas seulement un lettré. C'est clair que physiquement, il tient plus de Sean Connery (surtout au début) que de Jacques Villeret, quoi qu'en disent les auteurs...
C'est pour moi un cycle culte, à la hauteur de la quête de l'oiseau du temps par exemple. A lire absolument !
Je suis d'accord avec la critique de PascalB, cette série est vraiment à part et mérite le détour.
Il faut cependant mettre en garde les futurs lecteurs car c'est d'une extrème violence et que ça ne peut être mis entre toutes les mains.
Le pire c'est qu'on finit par s'y attacher à Juan Solo...
LA PLANETE DES SINGES : La meilleure partie de l'adaptation en BD du film est paradoxalement la plus statique : le procés de TAYLOR. Par contre les dessins de GEORGE TUSKA sont encore un point faible pour les singes.
LES PROSCRITS DE LA PLANETE DES SINGES : On a vraiment un melting-pot des genres au niveau des personnages : singes, hommes, mutants, semi homme-bête et même un DAVY CROCKETT chinpanzé. Ce foutoir est néanmoins sympathique à suivre. Les dessins sont trés intéresssants.
Voici la suite des trépidentes aventures..... enfin des aventures de Vlad ex capitaine des force spécial russe à la recherche de son frère, mélé à on ne sais quel complot internationnal, afin de toucher l'héritage de leur défunte mère. Dans ce troisième opus on entre dans une sorte de pause de l'histoire principal. En effet la situation dans laquelle se trouve Vlad. Cette aventure annexe traite des danger des manipultions génétiques dont on voit une partie des risque dans cet album le reste étant dévellopé dans le quatrième tome. Il est donc normal que ce sujet soit traité à travers les yeux d'Elenstein qui et plus axé science que Vlad afin de conserver toute cohérence.
Cet album est meilleur que les précédent par le sujet traité et aussi par la façon dont il est traité. Ce n'est pas le genre d'abum à laisser indifférent. Mais tout n'est pas axé sur la science et la génétique tout au long de l'album. Il y a tout une partie qui traite des effort de Vlad pour se sortir du pétrin dans laquel ils se sont mis pour garder un aspect dynamique et pas trop ennuyant pour les lecteurs que la partie scientifique ennuirait trop.
Voilà un tout bon manwha!
Malgré une histoire et un héros classiques, cette BD est très prenante.
-La narration est maîtrisée, avec un bon découpage des planches, des séquences bien choisies et des cadrages qui mettent en valeur les sujets!
-Les persos sont réussis, tant au niveau graphique que personnalité. J'adore le calme et mince Shinji, qui sait être très efficace...
-Le graphisme est superbe, c'est du grand art.
Vivement la suite!
Mobilis est une série fort bien écrite, les 3 albums se lisant d'une seule traite (même si le dessin est peut être un peu trop "classique" et manque de chaleur).
Il s'agit d'une sorte de huis clos, les lieux évoluant mais se limitant à quelques espaces, entre une demi-douzaine de personnages dont on ne sait jamais véritablement les motifs de leurs agissements.
Le rythme est tellement efficace et l'intrique équilibrée qu'on ne sait jamais s'il s'agit d'une histoire policière ou de SF. Le lecteur est constamment balancé d'un genre à l'autre sans possibilité de prendre ses repères.
Voilà une sorte de one-shot en 3 albums qui mérite largment qu'on y porte attention.
je ne suis pas un grand fan de TL d'une manière générale et certains sont vraiment à la limite de l'abus "marketing".
Mais le travail réalisé sur celui ci est de toute beauté et vraiment aboutit.
Si vous aimez la BD et le reseau Bombyce, vous adorerez ce TL.
LES CHAMPIONS : Série décidement mauvaise. L'équipe rencontre ou des adversaires trop forts (dieux de l'Olympe) ou trop faible comme ici où TONY ISABELLA au scénar fait mettre l'équipe en échec (dont le demi-dieu HERCULE) par RAVAGE un homme normal avec un simple exo-squelette moins balaise qu'IRON MAN !!! Dessin toujours aussi mauvais de DON HECK
DOC SAVAGE : Un épisode plein de mystère et de rebondissements imaginé par STEVE ENGLEHART où DOC et ses boys doivent affronter un géant !! Dessins vraiment excellents de ROSS ANDRU.
SKULL : Le scénar de STEVE ENGLEHART commence à baisser de niveau. L'explication du mystère du triangle des bermudes est trés moyenne. Par contre SKULL est vraiment un anti-héros : il fuit laissant ses compagnons mourrir atrocement. SAL BUSCEMA est trés doué pour dessiner ou suggérer la barbarie !!!
LES GARDIENS DE LA GALAXIE : Un épisode trés moyen inventé par STEVE GERBER où l'équipe s'échoue sur une planète inconnue au décor terrestre. L'idée finale originale relève un peu l'ensemble. AL MIGROM fournit un travail correct sans plus au dessin.
CAPTAIN MARVEL : Le dernier épisode diffusé dans STRANGE (la série reprendra quelques mois plus tard dans TITANS). Il était temps ! Série à bout de souffle malgré la présence au scénario pour cet épisode de CHRIS CLAREMONT. Les dessins d'AL MIGROM sont moyens sans plus.
DAREDEVIL : GERRY CONWAY a un baclé la fin de l'histoire des angoisses de DD et de la VEUVE NOIRE. Le retour tiré par les cheveux de MISTER PEUR est un peu dur à avaler. Bons dessins de GENE COLAN comme d'hab.
IRON MAN : Fin de l'affrontement classique entre TETE DE FET et BLIZZARD. BILL MANTLO ne s'est vraiment pas creusée la tête. GEORGE TUSKA est seulement lorsqu'il dessine les deux protagonistes principaux. Pour le reste !!!
L'ARAIGNEE : Dans la série glaçon on continue avec la présence d'ICEBERG des X-MEN qui aide l'ARAIGNEE à démasquer un politicien véreux. Scénar un peu basique de STAN LEE et des dessins de GIL KANE qui baissent véritablement par rapport au début de sa collaboration à la série. ICEBERG est affreux.
Ni pire ni meilleur que le précédent cet album ne marquera pas les mémoires. L'histoire est assez linéaire et manque de rebondisment. Le sujet évoqué est assez intéressant et la série découlera vraiment quand on en saura plus sur cette fameuse malette mais pour l'instant c'est assez plat. En bref c'est un album distrayant qui avait pourtant la possibilitée d'être plus intéressant que ça.
Une rencontre régulière entre un enfant et un SDF. peu de textes. Une histoire très émouvante comme la BD arrive certaines fois à faire passer. Un dessin noir et blanc qui ajoute au drame de la vie de cet homme qui à tout laissé tomber. Un petit garçon qui va peut-être réussir à lui redonner le goût de la vie.
L'histoire est boulversante et on en ressort ému.
Un album à posséder dans sa bédéthèque.