Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 23/11/2024 à 19:51:36 en 0.5415 sec
Tome & Janry continue sur leur lancée, ils n'ont réelement pas à envier quelque autre auteur que ce soit. Tout les ingrédients d'un bon Spirou son là, ils sont décidément de bon cuisiniers ;)
Inventif et Original, un bon album a qui il ne manque qu'un peu d'humour. Ce qui en soit est assez dommage étant donné que certains personnages assez farfelus aurais eu plus d'une occasion de nous faire rire.
Je trouve le scénario plutôt correct mais on apprend pas suffisament de chose à mon goût. Pour l'instant il ne me passionne pasvraiment mais on sent un potentiel plutôt intéressant. J'espère que les deux albums suivant serons un peu plus passionnant car pour l'instant celà me semble plutôt mou.
Le dessin est plutôt pas mal fait même si je trouve les décors par moment pas assez détaillés. Les personnages sont intéressant d'un point de vue graphique.
Cet album ne m'as pas passionné loin de là mais toutefois je sens un potentiel dans l'histoire qui peu nous donner quelque chose de très bon dans les prochais albums. C'est pourquoi je pense donner une chance à la suite.
L'ensemble est plutôt ennuyeux et j'ai trouvé les gags plats et redondants. Dommage pour quelqu'un comme moi qui voulait découvrir Trondheim :o(
Ce n'est pas la première fois que l'univers du western est utilisé pour une fable psychologique. Blutch, Trondheim ou Larcenet, entre autres, l'ont déjà fait, cet engouement venant certainement de la possibilité de confronter le début duXXe siècle et sa modernité avec la violence brute du far west.
Ce n'est pas non plus une inovation d'utiliser Dieu dans une parodie moralisante, mélange d'ange gardien et de Destin. Mais nous présenter les aventures d'un anti héros qui fait ouvertement et continuellement la gueule... voilà qui n'est pas ordinaire. C'est même très réjouissant tellement ce personnage semble s'emmerder prodigieusement dans ses propres péripéties.
Sous des semblants d'égoïsmes et de violence gratuite, voilà un type que rien ne prédéstine à quoi que ce soit (encore qu'il aurait pu avoir une vie normale s'il n'était pas aussi pessimiste) qui se retrouve être le jouet d'un Dieu nonchalant dont les projets sont aussi obscures qu'est la philosophie de son protégé. Du pacte étrange qui se lie entre les deux personnage, découle une histoire drôleet féroce.
Le dessin et les couleurs s'allient parfaitement pour permettre une grande lisibilité de l'album et donner plus de force à des dialogues fins et humoristiques.
Il y a dans ce livre une fausse simplicité ; laquelle cache une grande efficacité pour permettre un rythme soutenu à l'histoire sans fatiguer le lecteur.
Une vraie belle réussite.
Une suite qui a des allures de déjà vu, on reprend l'album précedent en y ajoutant une suite plutot fade et des dessins inchangé niveau qualité. Heuresement que cela partait sur d'assez bonnes base pour tout de même ce laisser lire.
Je dois avouer que je m'atendais a bien pire, avec tout ce que j'avais entendu sur les albums de Nic & Cauvin, je trouve que l'histoire tient la route et reste même dans le ton, puisque légerment farefelue. Seul gros reproche, les dessins, sur certaine planche on se demande si spirou n'avai pas 15 ans.
Cet album est vraiment très intéressant. La complexité du scénario fait que l'on ne comprend pas tout mais franchement le fait de ce poser pas mal de questions n'est pas pour me déplaire. On a tout de même quelques réponses aux questions que l'on se posaient dans l'album précédent mais pas toutes. A mon avis ces réponses arriverons au fur et à mesures et nous permettrons alors de mieux comprendre le début un peu hermétique il faut bien l'avouer. En tout cas il y a moyen de faire une grande série (en terme de qualité et non de quantité).
Le dessins est toujours aussi excellent et colle parfaitement à l'univers mis en place par le scénario. Ces personnages aux trait anguleux et cette superbe mise en couleur me font vraiment plonger entièrement dans cet univers délirant.
Bref un second tome aussi bon que le premier et qui promet un suite vraiment très intéressante.
Nous nous trouvons devant une histoire de pirate on ne peut moins classique. En effet le scénario est frais, original et totalement délirant tout en étant sérieux. C'est vraiment un vrai petit bijoux qui assure un agréable moment de lecture.
Le dessin lui est vraiment bien fait les traits plutôt anguleux des personnages renforce considérablement le scénario. Le choix des couleurs aussi bref rien à y redire selon moi.
C'est un très bon album qui mérite d'être connu.
Il est vrai que ce 4e tome est moins bon que la trilogie originelle mais celle-ci étant une pure merveille, dessinée par un des meilleurs dessinateurs actuels, comment en aurait-il pu etre autrement. Personellement j'aime assez bien le dessin de Labourot et je trouve que le changement radical de style est judicieux, non seulement parce que beaucoup de temps s'est écoulé entre les deux cycles, mais aussi parce qu'il empeche toute comparaison avec les planches de Boiscommun. Si le dessinateur avait voulu faire du Boiscommun, on aurait eu tous raison de raler car c'est evidemment imossible d'imiter son style si particulier. C'est plutot au niveau des couleurs que je m'insurge: elles sont trop flash et font perdre a la série son ambiance de départ (qu'il aurait été possible de conserver avec des couleurs moins criardes)
Quant au scénario, c'est vrai que le départ de Sfar se fait cruellement sentir mais il ne s'agit que du premier tome et attendons la suite avant de sortir la grosse artillerie. Mais je dois reconnaitre que les clins d'oeil et les jeux de mots sont moins habilement amenés que dans le premier cycle.
Après un très bon tome 1, la suite ne dépare pas ! Le dessin est même sans doute mielleur, tandis que le scenario reste excellent.
Sans grande originalité, mais le sujet est magnifiquement exploité, avec toujours des personnages travaillés.
Une des grandes séries de la décennie, si les tomes suivants sont du même tonneau.
On se coule dans cette BD avec le plaisir de revoir ou de relire un classique... et pourtant ça ne ressemble à rien d'autre !
Des dessins léchés et un scénario épuré mais passionnant, on se régale.
C'est aussi un plaisir d'avoir des personnages un peu moins stéréotypés que d'habitude, malgré les apprences.
Excellent !
Fournier tient le rythme, la présence des magiciens facétieux contribue grandement à l'humour omniprésent, même le seigneur de la mort nous fait rire. Evidemment le sérieux de l'histoire en prend un coup, mais ne compromait en rien le plaisir de la lecture.
Une histoire décalée, dans un contexte loufoque, bref j'ai été completement surpris. Ca ne ressemble en rien a du spirou classic et pourtant ça ne choque pas outre mesure. Une bonne lecture donc.
Je dois dire qu'il s'agit d'un album particulier un peu déroutant quand on n'a pas, comme moi, l'habitude de ce genre d'ouvrage.
Tout d'abord le dessin est vraiment sublime. Il est vraiment très fouillé, travaillé et d'une précision remarquable. L'utilisation de différentes nuances de gris apporte énormément à l'ambiance.
Le scénario lui est vraiment très particulier au point que j'en viens à me demander si j'ai tout bien compris. Je pense qu'une relecture s'impose. Malgrès cette difficulté apparente il est tout de même très intéressant et sort des sentiers battus. Il mérite bien que l'on s'y intéresse.
Vue l'aspect très particulier de cette oeuvre je ne peu que le conseillé à la lecture avant un éventuel achat pour voir si le genre plait ou non. C'est vraiment un style très articulier qui va beaucoup dépendre des goûts de la personne. En tout cas personnellement je trouve qu'il vaut le coup ne serais ce que pour le dessin et il m'a donné envie de découvrir d'autres oeuvre de François Schuiten.
Je ne saurais donner un avis objectif sur cette BD puisque c'est tout simplement la première BD que j'ai jamais eu, je la lis et relis donc avec Nostalgie.
Neanmoins je pense pas que je pourrais relire une BD qui soit mauvaise, je me risquerai donc a dire que c'est une très bonne BD, voilà c'est dit
28&29
La dernière chose que l'on pourra reprocher a Fournier c'est de manquer d'imagination. C'est frais, c'est neuf, c'est bien mené et surprenant a souhait.
Tembo Tabou a donné des idées a Fournier, qui reprend les même base exotique, en y ajoutant un peu de mysticisme sauce Fournier. Heuresement il ne manque pas d'idée et reste 100% original. Mais je reproche toujours un dessin hétérogène, d'une page à l'autre on passe d'un style fouillé vers un style minimaliste.
Un humour omniprésent, avec une diversité graphique impressionnante et un Marsupilami qui revient en fanfare, n'en jetez plus la BD est pleine.
Bonne histoire, bon rythme, les japonaiserie font toujours rire et Zorglub et toujours aussi génial que naïf.
rappelez vous le générique de la série! "Tatalala Tatalala! Tatalala ta taaaa.... Ta ta!!!" (faut bien faire la musique...). rappelez vous l'intro aussi: "un chevalier solitaire des temps modernes, le chevalier et sa monture dans ce monde sans pitié!....". apres on voyait david hasseloff en jean moulant, col roulé rouge et petite veste en cuire serrée!!!
on pouvait pas faire aussi kitch! bah on se trompait, y a la bd aussi...
Alors là je m'insurge face à la naïveté abusive de nos héros dans cette histoire, heureusement Itoh Kata et ces tours de passe-passe sont là pour egayer le tout. Par aileur les dessins de Fournier sont assez très éthérogène, Il suffit de regarder l'immonde couverture.
Sublime c'est le premier mot qui me vient à l'esprit en pensant à cet album. Le scénario est tout ce qu'il y a de plus romantique et poétique. Les émotions sont présentes tout au long de l'album tant et si bien que l'on ne peut pas rester insensible devant cet album. Les personnages sont véritablement attachant et aucun n'a, me semble-t-il dans ce premier tome, plus d'importance qu'un autre. Chacun à sa propre personnalité à la fois complexe et tellement réelle. Il n'y a vraiment aucune fausse note. N'espérez pas vous tirez indemne de cette lecture car l'émotion est palpable et personne ne peut rester insensible devant histoire.
Le dessin quant à lui est véritablement superbe. Tout d'abord le jeux entre l'ombre et la lumière ainsi que l'utilisation de couleurs directes renforce l'emprise du scénario sur le lecteur. La délicatesse du trait renforce les moments fort du scénario au point que le dessin joue véritablement un rôle essentiel dans ce que resent le lecteur.
La palette des émotion ressentie est très large elle va de la joi à la tristesse en passant par la colère et l'amusement. Je doit dire que ce premier tome est une véritable oeuvre d'art qui mérite largement un 10/10.
Que dire, j'ai lu cette BD, ça ne m'a pas déplu, mais la seul chose qui me soit resté après coup, c'est les frasques de spip et du marsupilami. Je ne saurais dire avec précision ce qui n'a pas coller dans cette histoire, mais elle m'est passée à coté.
Mon album préféré, une bouffé d'air frais au pays des BD. Un zorglub completement a l'ouest ce prenant pour un gosse de 3 ans, un zorglhomme tout aussi a l'ouest avec un Qi de gosse de 3 ans, Champignac naïf et serviable; il n'y avait qu'un dessinateur qui pouvait rassembler tout ça.
Mais on arrive au bout, à bout; et ça enchaine avec une histoire a mourrir de rire, pas tant par l'histoire, mais je ne connais que Franquin pour donner autant de vie à ses animaux.
Quand Fantasio demande au policier d'applaudir mes poumons on faillit exploser.
Dans la ligné des Zorgub, on ne l'arrête plus ce Franquin. Rien de plus a dire que les autres commentaires qui ont plus que fait le tour du sujet.
ah si: Vive les Bretzelles! :)
Le retour de la murène est un succès, originalité et audace, le tout avec un dessin parfaitement maitrisé.
Mais l'histoire annexe: Les petits formats, ne colle pas avec le personnage de spirou, je trouve tout cela un peu ridicule.
Allez on reprend les même, on ajoute un zeste de coup de théatre en alusion au passé, et c'est reparti.
Franquin ne se relache pas, il enchaine les coktails détonnants.
En 1 mot, tout simplement : LAINEG* !!!
*C'est en Zorglangue evidement
**pour ceux qui vraiment aurait du mal: GENIAL
Une BD qui à coup sûr ne laissera pas indifférent !
Même si je n'ai pas adoré sur le plan graphique, il faut saluer un travail très poussé de Liberge et un résultat très original.
Côté scénario, c'est une histoire de fantômes, assez bien faite, mais qui semblera bien fade pour qui a lu "les Hauts de Hurlevent"
Globalement, si on ne tombe pas sous le charme du dessin, il faudra quand même s'accrocher pour tout lire.
Le seul reproche que je puise faire a cette BD est son scénario, qui bien qu'entrainant, n'est pas vraiment large, on a vite fait de résumer le tout. Néamoins naviguer parmis ces pages chatoyantes fut un réel plaisir. C'est une série qui part sur de bonnes bases et on attend la suite avec impatience.
Fournier ce fait les dents, une histoire agréable et original, cependant j'ai l'impression qu'il manque quelque chose, peut-être le marsupilami qui apportait sa petite dose d'humour toujours déridante.
C'est evidement avec le plus grand plaisir qu'on découvre les moeurs du marsupilami au sain de la forêt Palombienne.
Fantastique, délirant et drôle; même avec un scénario classique, un grand moment de BD.
Une armoire a glace russe farceuse, un marsupilami toujorus gaffeur, un reporter completement zen et une histoire sortie de nul part, rien de plus à dire, pour le reste suffit de lire.
L'album est visuellement très réussi, presque classique ce qui n'est plus si fréquent en SF. Par contre l'histoire souffre de la lourdeur du sujet : les voix off, les explications indispensabkles prennent beaucoup de place et du coup, la partie "action" est réduite au minimum.
On peut espèrer que le deuxième tome développe un peu plus certaines idées intéressantes.
Niveau scénario je trouve cet album plutôt pas mal car contrairement aux habitude ce premier album contient beaucoup d'action mais développe assez peu l'intrigue ce qui est un peu dommage. On n'en sait que très peu sur nos personnages mais ce n'est peut être pas un mal pour l'instant. La qualité de cette série devrait se révêler dans la suite mais pour l'instant le début est plutôt pas mal et j'ai plutôt accroché.
Le dessin est globalement réussi avec des personnages très détaillé et des jeux d'ombre intéressants. Par contre je suis obligé de m'arrêter sur un point qui pour moi ettrès important c'est les scénes d'actions (en particulier 8 cases de l'albums facilement repérable). Dans ces cases on voie les personnages se battre. Ces derniers sont très détaillé mais il n'y a aucun décord en arrière plan. Et je ne voie que deux possibilitées. La première c'est voulut et celà à un but précis mais je ne voie pas lequel donc si quelqu'un sait et pouvait m'expliquer ? La deuxième c'est de la fénéantise et là c'est impardonnable pour un dessinateur car qand on fait une case on dessine aussi bien les personnages que le décors même si on aime pas les décors ou on a pas envie de les faire. Je ne sais pas quelle est la raison de ces blancs mais je trouve que ça casse un peut le rythme de lecture et l'immersion dans l'histoire ce qui est dommage.
Pour le scénario je mettrais un 6/10 vue qu'il est plutôt pas mal mais mérite d'être dévellopé. Par contre pour le dessin je ne mettrais que 4/10 à cause de ces cases sans décors qui sont perticulièrement irritant ce qui est dommage car le dessin en lui même est plutôt bon. Ceci nous fait une moyenne de 5/10 mais je suis sûr que cela s'améliorera par la suite.
Mes commentaire vont finir par être identique, franquin a trouvé ça vitesse de croisière, 33% de scénario Franquinèsque, 33% d'humour, 33% de pure délire et 1% d'inconcevable, le compte est bon Patrice.
Deux histoires bien plaisantes, originales et bien pensée, le tout se lit avec plaisir. Peut-être un petit abus quand au rôle du Marsupilami.
Champignac devient un personnage a part entière dans cette histoire bien construite et "le marsupilami ne cessera de nous surprendre", si j'ose piquer l'expression à Spirou.
Une histoire plaisante mais trop prévisible, on a l'impression de piétiner, même si la qualité de l'ensemble est fort correct, il manque quelque chose.
Champignac dans toute sa loufoquerie, le marsupilami au meilleur de sa forme, Zantafio toujours aussi fou, une histoire qui part dans tous les sens = de la grande BD je vous le dis.
Apparition de Sécotine dans une histoire bien ficelé ne manquant pas d'humour, et tout comme l'album précédent, une parfaire maitrise dans le dessin. Si Franquin n'est pas le seul a rendre crédible un croche pied d'un écureuil sur un éléphant je veux bien manger mon album :)
La suite des Héritiers, toujours aussi bon, on voit la maitrise de Franquin avec des animaux très expressif et drôle et un marsupilami décidément très attachant.
La série évolue avec ces 3 histoires plus ou moins bonnes (la seconde, je la trouve réellement ennuyeuse et les réactions du commissaire non crédible), néanmoins il manque toujours un je ne sais quoi, un peu d'humour sans doute.
Bon avec 1 histoire qui se lit bien, une qui se laisse lire et deux bien moyenne, on ne peu pas dire que la série commence de façon très spectaculaire. Heureusement, le léopard est là pour nous faire sourire, le dessin de celui ci ne changera d'ailleur que très peu par rapport au léopard que l'on voit dans certains Albums suivant.
En conclusion je dirais que c'est très clairement un album qui manque de maturité.
Trés sympa. Le sujet n'est peut-être pas trés novateur (famille Addams, Pierre Tombal) mais c'est rafraichissant et des bonnes idées apparaissent deci delà.
A offrir à ses petites nièces ou cousines
Encore une nouvelle série très prometteuse du scénariste de Sillage. En effet nous avons ici les débuts d'une série qui va surement s'avérer excellente. Tout d'abord le scénario est vraiment très prenant et il ni a aucun temps mort. On est vraiment scotché à l'album du début à la fin sans pouvoir s'arrêter une seconde tellement on a envie de connaitre la suite. Les personnages sont plutôt bien travailler même si ils restent un peut "léger" mais les prochains tomes devraient nous en apprendre davantage sur eux.
Le dessin lui est très réussi bien qu'un peut classique, il reste néanmoins très efficace et illustre parfaitement le scénario. Les couleurs sont très bien faites il n'y a rien à redire (sauf peut être pour ceux qui sont allergiques aux couleurs informatiques).
Bref il s'agit ici d'un excellent début d'une série très prometteuse alors vivement la suite pour confirmer cette impression.
Absolument grandiose, un scénario d'enfer ficellé par Dufaux, des dessins magnifiques. Bref à ne pas manquer.
Cet album est plutôt intéressant avec ses crossover (Décaloge, indiana jones et Qumran) il n'apporte d'une nouvelle vision de l'affaire. Je ne le conseille qu'à ceux qui, comme moi, on vraiment adoré cette série les autres peuvent très bien s'en passer.
Voici un album que j'ai dévoré d'un bout à l'autre. Le scénario qui bien que classique est vraiment passionnant. On est vraiment plongé entièrement dans cette fabuleuse histoire. Le psychologie des personnages est vraiment très travaillé et je pense que certaines surprises vont intervenir dans la suite..
Le dessin lui est vraiment sublime. Il est vraiment fin, précis et très détaillé. De plus le choix des couleurs est très réussie. En effet ces dernières renforcent le caractère des différents personnages et rendent les décors vraiment somptueux.
Faire une reprise de Blake et Mortimer n'est pas une mince affaire. Yves Sente et André Juillard réussissent ce challenge dans cette histoire mélant l'espionnage et la science digne d'un bon thriller de la Guerre Froide. Bien entendu, on est loin des grandes épopées de Jacobs avec une grande part de science fiction, mais "la machination Voronov" peut faire bonne figure à côté d'un "SOS Météores" (même si ce dernier est un pur chef d'oeuvre avec son exceptionnel suspens quand Mortimer tente de retrouver la propriété où ils'était perdu).
Cet album-ci est très lisible, même si on peut regretter le manque de suspens puisque les causes même de l'intrigue sont facilement identifiables dès la première moitié de l'histoire. Un bon moment de lecture pour les amateurs du genre.
ça sent les fonds de tiroir, du coup il y a de tout dans cet album, du bon et du moins bon, du vieux et du plus récent.
Au final quelques bons gags, la poésie de Franquin qui revient surtout dans les gags de Noël, mais on est quand mêm bien loin de certains albums de Spirou avec le marsu.
Pas indispensable, mais agréable.
Après un accident de voiture, un homme délire pendant 10 heures dans un semi coma. A sa sortie de l'hôpital, son infirmière lui offre un carnet dans lequel elle a noté l'intégralité de ce monologue inconscient. Un sorte de dialogue avec lui même provenant de sa "boite noire" dont il va chercher le sens, au point qu'on peut se demander s'il ne s'agit pas d'un cadeau empoisonné.Malgrè le sujet très intéressant, on sort extrêmement déçu de la lecture de cet album : le début poussif de l'histoire qui ne commence véritablement qu'au second tiers, fait que le véritable fond du livre est présenté en accéléré. Ainsi, alors que le personnage découvre peu à peu ce qui se cache dans son propre esprit, la suite d'anecdotes se fait sans aucun développement sur les conséquences qu'elles ont pu avoir dans sa vie. Comble du tout, alors que l'introduction dure 18 pages, la chute aux enfers ne se fait qu'en 8 planches !La déception vient aussi de l'inconstance dans l'intrigue elle même, on passe de petites anecdotes à une grande découverte fantastique... pour ne pas dire invraisemblable. Et une fin du même tonneau, faisant ainsi tomber l'histoire dans une fiction inutile.
Vraiment une grosse déception.
La JLA confrontée à des doubles méchants dans un monde parallèle... bon, l'idée n'est pas neuve mais est relativement bien traitée dans cet album.Le dessin efficace de Frank Quitely rend la lecture agréable et illustre parfaitement cette histoire où, paradoxalement, les anti-héros sont plus intéressants que leur version positive.
En effet, entre un Ultraman, brute épaisse à la sexualité violente ; Superwoman, vamp vicieuse trompant Ultraman avec Owlman, lequel poursuit une vengeance sadique contre son propre père ; Power Ring, petite frappe sans intelligence dont le seul talent réside dans la bague qui fait son pouvoir ; ou Johnny Quick, junky adepte d'une drogue qui lui donne ses super pouvoirs, tous ces personnages aux relations complexes montrent bien le côté simplistedu caractère de leurs homologues du Bien.
Un bon divertissement.
Ce premier album est un chef d'oeuvre. Jim LEE nous prouve une fois de plus son talent en dessinant ce qui est sans doute une série mythique.
Il n'y a pas à dire : Pétillon a évolué dans son style... et c'est heureux.
Cet album est certainement le moins bon de la série et celui qui a le plus mal
vieillit. Suite continuelle de délires bien faibles, humour douteux qui ne fait plus
rire que les nostalgiques de l'Echo des Savanes des années 80, on peut sans
problème éviter la lecture de cet album. D'ailleurs Jack Palmer n'y est pas
vraiment présent... en tout cas pas le personnage qu'on connait si bien
aujourd'hui.
Voici un TT plutôt réussi on l'on retrouve en plus des planches de Blue ice et Narcocratie une version inédite de l'histoire (raccourcie) où les personnages servent de top modèle. ainsi que des croquis ma fois plutôt réussi. Il y a également un ex libris très réussi.
On peut dire que nous avons ici un TL qui est surement l'un des meilleurs réalisé. Tout d'abord la présentation sous forme de deux albums reliés ensemble, l'un contenant le story-boards et l'autre les planches originales, est très bien faite. Le story-board commenté est vraiment très intéressant et instructif sur la démarche de l'auteur et ses références. Les planches originales quant à elles sont un véritable régal pour les yeux au point que l'on ne se lasse pas de les voir et revoir. Voici une oeuvre qui est vraiment superbe.
Comment faire pire que le Technopères? Avec Megalex, bien sur! Les dessins sentent toujours aussi bon l'informatique et ils sont même beaucoup plus simplistes. Quant au scénario, malgré quelques bonnes idées, il n'a rien d'exceptionnel. Ce qui me déplait le plus c'est la grossièreté des propos des personnages. Encore une fois, ca peut servir à la description de l'univers mais c'est peut-être un peu exagéré. J'ai vraiment eu l'impression de lire un album vide. Jodorowsky a fait de très bonnes séries (lisez la caste des méta-barons ou Juan Solo, par exemple) mais là, franchement, je crie au carnage.
Je me rends compte que ma critique, assez virulente, peut paraitre irrespectueuse envers le travail des auteurs. Il n'en est rien. Beltran a su créer un style qui lui est propre et à sortir des sentiers battus. En cela, il mérite notre respect. C'est juste que son style ne me plait pas. Maintenant il y a des fans et je concois parfaitement que certains puissent apprécier cet univers graphique plus que particulier. Moi pas.
Voila bien une série qui ne passe pas inapperçue. L'originalité est sans conteste son point fort mais à mon avis, ça s'arrête là. Le premier album était bien mais je me suis lassé au fil de la série et j'ai même fini par l'abandonner (chose qui m'arrive pourtant extrêment rarement). Je me suis lassé du dessin qui sent l'ordinateur à plein nez. Je suis d'accord pour dire que l'univers des Technopères avait besoin d'un dessin froid pour pouvoir rendre une ambiance d'austérité qui colle bien avec l'histoire mais peut-être n'était-ce pas la bonne méthode.
Ce ne serait pas encore trop grave, me direz-vous, si le scénario compense ces lacunes. Oui mais non! Le scénario est justement tout aussi lassant que le dessin. Ce qui me dérange le plus, je crois que c'est la structure du récit qui se répète inlassablement d'album en album. De nouveau c'est la lassitude qui l'emporte.
Disons-le de suite: cet album est un petit bijou. Evidemment, il faut apprécier le style graphique très particulier de Nicolas de Crécy. Tellement particulier qu'il en a surement deja rebuté plus d'un. Mais si vous arrivez à passer cette barrière, vous découvrirez une histoire de dingues absolument fabuleuse, complétement déjantée! Mieux vaut ne pas en dire plus...
Personnellement j'adore les planches de de Crécy (la dernière de cet album est une pure merveille) et je m'empresse donc de vous recommander cet album.
Alors voila bien un album particulier. Très difficile d'accès, tant le scénario est complexe, voguant aux limites du fantastique. Je ne suis même pas sûr d'avoir véritablement compris le fin mot de l'histoire et ce n'est pas faute d'avoir essayé. Il se fait que l'auteur ne nous révèle pas beaucoup d'éléments et que c'est à nous de piocher çà et là des éléments d'explication. On pourrait passer des heures à fouiller les dessins de Sorel à la recherche d'un détail qui nous apporterait de plus amples informations.
Parlons-en, justement, des dessins de Sorel... Absolument fabuleux! Je dirais même que c'est son meilleur album, ce qui n'est pas peu dire... L'ambiance est oppressante, les visages expressifs et torturés, les couleurs lugubres,... Un régal!
Mother est donc un album que je recommande chaudement, ne serait-ce que pour les planches sublimes de Sorel, mais en vous mettant en garde: la lecture demande un réel effort de la part du lecteur... Mais c'est justement une bonne raison de le relire souvent et d'essayer de le percevoir différemment.
Une BD dans le plus pur style "Poisson pilote" par deux références du genre. Ce n'est pas personnellement le genre que je préfère mais je dois dire que cet album, acheté à l'occasion d'une dédicace de Christophe Blain, m'a vraiment bien plu. Le dessin "à la Blain" est sans surprise (mais bien) et l'histoire vraiment passionnante. Les fans du genre devraient adorer.
toujours aussi bien, toujours aussi dur de dire que c'est une Bd ...
sinon si on devait donner un titre pour cet albulm ça serait la non guerre! Cet épisode de la guerre est très intéressant pour l'historienne qui dort en moi. En plus, on nous livre une histoire sans tabou avec une mention spéciale pour avoir parler du pillage!
Voici un tome passionnant qui est vraiment très réussi tant au niveau du scénario que du dessin. L'histoire se termine enfin..... mais non c'est pas fini il y a encore de nombreuse question sans réponses. La fin en elle même est à la fois prévisible et surprenante. Surprenante car on pensé tout savoir de l'intrigue et non. Il semblerais qu'il va y avoir une nouvelle série (d'au moins 4 tomes) pour traiter des questions restées en suspend. Cependant ce tome reste très bon et mérite bien d'être lu.
J'aime beaucoup. D'abord, il y a le dessin de Yoann qui dérange et puis après ... pfuuu que c'est beau (et que ça fait bizarre dans un Donjon ) et puis, il y a "tilapin" alors là, j'adore. Sacré Marvin-rouge, déjà petit il était craquant
Si vous avez aimés, vous aimerez !!
ce super heros n'a rien de commun avec tous les autres
son histoire est tout a la fois bouleversante et passionante, ses enjeux sont
capitaux
l'univers mac farlane est gras , sale , morbide mais cependant ses couleurs sont
fines et les graphismes aussi aggressifs qu' imprégnés d'une puissance
maitrisée
un sentiment de desarroi , une vision du monde plutot fataliste pour un super
heros plus qu 'ironique ... a lire!!!
1 ère partie : La colombe de la place Rouge :
Le dessin de Marini est vraiment pas mal du tout. Bien que ce soit ses débuts le dessin est vraiment bon à quelques détail près qui ne gènent en rien la lecture. Il est vrai que le style est vraiment totalement différent de sa production actuelle. En effet le dessin est plutôt du style manga et très bien fait.
Le scénario est pas mal même si par moment l'enchainement de l'histoire est abrupte, certains évênements pas très crédibles et un peu "gros". Mais il est tout de même relativement équilibré et intéressant. En effet on trouve de l'action mais aussi de l'humour et du tragique. On passe, selon moi, un bon moment de lecture. Je dirais 5/10 pour cette première partie.
2 ème partie : Bienvenue à Kokonino World :
Le dessin est toujours très bon et assez expressif il n'y a rien à redire. Il est très détaillé et retranscrit bien les divers évênements.
Le scénario n'est pas terrible à mon goût et je le trouve moins intéressant que celui de la première partie même si il y a encore des possibilités d'amélioration dans la suite. Donc à voir la suite pour se prononcer définitivement.
3 ème partie : Raid sur Kokonino World :
Le dessin est égal à lui même toujours aussi bon. Les détail sont en général bien fait même si par endroit les décords ne sont que survolés.
Le scénario devient plus intéressant. On retrouve l'action et l'humour du début avec un zeste de tragédie très appréciable mais ce n'est tout de même pas le scénario le meilleur que j'ai vue. Dommage il y avait matière à faire quelque chose de très bon.
4 ème partie : Le parfum de magnolia :
Je trouve que le dessin de Marini est meilleure dans cette partie que dans les précédentes. En effet je le trouve plus clair et plus précis ce qui donne davantage de plaisir à la lecture.
Le scénario lui n'est, selon moi, pas terrible. En effet il y a beaucoup de raccourcis trop "gros" auxquels on ne croit pas une seconde qui font que l'histoire manque de saveur est d'intérêt. Ce qui est domage car il y avait matière à faire quelque chose d'excellent.
Globalement on peut constater que le dessin de Marini est vraiment très bon malgrès quelques point faibles surement due à un manque d'expérience mais qui s'est largement améliorer depuis. On constate aussi qu'il y a une ressemblance entre le personnage d'Olivier Varèse et ses héros actuels même si le style de dessin à évolué et n'est plus le même. On peut regreter toute fois que les scénari ne soient pas, en général, à la hauteur du dessin de Marini ce qui fait que l'on a du mal à l'apprécier pleinement. Globalement je mettrais 5/10 aux scénari et 7/10 au dessin.
Ce premier tome est graphiquement réussi, avec en prime de belles peintures d'Ugarte. Le scénario est dynamique, même si on peut lui reprocher d'être un peu 'pompé' peut être (ça m'a un peu rappelé le film 'sixième sens' par moments); néanmoins, on ne s'ennuie pas et ce premier tome constitue une bonne 'mise en bouche' donnant envie de découvrir la suite. Je sens que la collection Insomnie va me plaîre!
bon je sais que cela fait quelques mois que ce volume est sorti mais il reste pour moi l'un des meilleurs Donjons monsters.Le dessin d'Andréas colle parfaitement à l'univers Donjon et le scénario est génial.A lire absolument au même titre que "la nuit du tombeur" dans la même série.
Attention: BD à polémique. En effet, difficile, voir très difficile de traiter un sujet aussi brulant que le terrorisme, en évitant de prendre parti. Morvan s'en sort comme d'habitude, très bien. Pas évident de rester de marbre devant cette fiction qui nous rappelle furieusement un conflit que nous connaissons bien :-( On est alors tiraillé entre nos propres opinions et la réalité du monde. A travers ce sujet brulant, les auteurs nous ont concoctés un petit bijou d'action et d'aventure. Les cases n'ont vraiment plus rien à voir avec celles du 1er opus. On sent la maturité de Buchet à tous les niveaux et Morvan n'hésite pas à sacrifier ses personnages secondaires. C'est assez rare pour le souligner.
Nouveau challenge du duo Morvan/Buchet: la corruption active du système. Sur trame de conquête de planète, de la domination de certaines races (ça vous rappelle un monde que vous connaissez ?) et de révolte des esclaves, les auteurs nous emènent cette fois-ci sur une planete moyenageuse. Graphiquement toujours aussi beau, l'action est toujours au rendez-vous. On retrouve avec plaisir Houyo (même si ...).
Très bon mais en ton en dessous du précédent.
Voilà les albums que je viens. J'ai bien aimé. Monsieur Jean est un personnage sympathique et attachant, peut-être parfois un peu trop mou pour la speed que je suis. Ces albums sont amusants et frais... ils donnent de véritables petites bouffées d'oxygène.
L'album sur la concierge m'a beaucoup fait rire, je le trouve très vrai il m'a remémoré les histoires de certains potes ! (7/10)
Un coup de coeur particulier pour ''La théorie des gens seuls'' au ton assez juste, amplifié par des dessins en noir et blanc. (8/10)
Je sais qu'il m'en reste encore 3 à lire, mais je fais une pause... en continu ce style d'album me lasse, par contre un petit Monsieur Jean entre deux albums un peu plus difficile d'accès, c'est une petite pause idéale !
Pour en apprécier toute la saveur je recommande de lire le 3éme album de Monsieur Jean :" les femmes et les enfant d'abord" ... En fait, les auteurs nous livrent les coulisses mais surtout leurs vies! Ils nous montrent les affres de la création mais aussi l'influence de leur vie sur celle de leur héros. On est à mi chemin entre le making-off et le journal intime. Le tout est fait avec pudeur, émotions et humour aussi!
Pour moi c'est une petite merveille!
indispensable car il s'agit du premier album... Et il m'échapee au défaut d'un premier album: le dessin se cherche, évolue ... mais il a déjà bien pris ses marques! On reconnait bien le style de Dupuy Berberian : frais, coloré, émouvant, pleins d'humour...
On découvre l'univers de Mr Jean par petits bouts de tranches de vie. Ah! Cette concierge! Avec elle, vous ne verrez plus la votre de la même façon! Et Félix: cet ami sans géne a qui il est impossible d'en vouloir bien longtemps!
Une très jolie entrée en matiére pour rentrer dans la vie de Mr Jean : très drôle mais aussi émouvante!
un des meilleurs albums des tuniques bleues.
la difficulté de recruter des hommes pour s'entretuer apparait clairement ainsi que les manoeuvres des hauts responsables politiques pour arriver à leur fin.
basée sur des faits réels cette histoire est bien construite et bien dessinée.
RHALALALA quel bonheur cette BD. Un scénario époustouflant, un héros attachant avec son boulet accroché au pied ;-) nous emmène de nouvelle en nouvelle, chacune présentant notre futur sous un jour .... peu attractif. Le graphisme est bon sans rien n'avoir d'exceptionnel mais à l'avantage d'être très clair et de ne pas perdre le lecteur dans des détails superflus.
L'enchainement des nouvelles qui forment un tout n'est pas sans rappeler les génialissime SOS Bonheur, qui est pour moi une référence.
Un très très bon one-shot !!
comment expliquer pourquoi j'aime cette Bd? Tache très rude car celle ci fait partie de mes coups de coeur...
j'ai beau la relire: je suis toujours émue, je rigole toujours...
Je trouve la comparaison de la vie de Mr Jean à celle d'un chateau assiégé géniale! Avec en apothéose l'avant derniére planche où réalité et "rêves" de Mr Jean se mélangent adroitement.
Non décidement, je n'arrive pas à m'expliquer... cette BD elle vous parle, et si elle vous parle: vous allez adorer!
la mort de blutch!!!! tout de suite on se dit que nos deux sous-off vont nous manquer. mais dès les dix premières pages on devine la fin de l'histoire (surtout quand on connait Blutch et son gout immoéré de la désertion)
finalement l'album semble un peu plat et la répétition de certaines scènes donne le sentiment que les auteurs ont "ramés" pour boucler leur album
le tout premier léonard que j'ai eu l'occasion de lire et qui m'a convertie!!!
c'est aussi celui que je relis avec bonheur bien que je le connaisse par coeur
c'est aussi un des albums de léonard qui me semble le plus riche au niveau des gags et des inventions loufoques
la guerre des génies à mon avis ne tient pas toutes les promesse de son titre...
j'ai été déçu à la lecture de cet album. la construction de robot pour se battre dans le type de goldorak, bien que me rappelant mon enfance ne m'a pas fait beaucoup rire
Question scénario, c'est loin d'être l'extase il faut l'avouer. Tout est prétexte à tuerie et violence mais alors graphiquement, c'est un véritable bain de bonheur. Cette BD est celle qui m'a fait découvrir le monde de la BD "adulte" c'est pour celà que je l'aime quand même :-D.
Un des meilleurs Spirou de la série, et sans doute le meilleur de Franquin, le plus politique aussi. Le plus extraordinaire est sans doute que cette histoire provient d'un malentendu, ou plutôt d'un caprice d'éditeur. En effet, en dessinant ses premières planches, Franquin (qui sortait de Z comme Zorglub et l'Ombre du Z) avait en tête ce qui allait devenir quelques années plus tard "Panade à Champignac". Alors qu'il présente ses premières planches dessinées à Charles Dupuis, il explique à celui-ci qu'il s'agit de "Zorglub qui...", et Dupuis l'a arrêté par un "Non, Zorglub on vient d'en prendre 2 histoires de suite, je n'en veux plus". Décontenancé, après avoir cherché vainement avec Peyo et d'autres un moyen de rebondir sur l'histoire commencée (le Marsupilami qui avale un mini transistor), Franquin se tourne vers Greg qui imagine l'intrigue du petit roi radio amateur enfermé dans son palais. QRN sur Bretzelburg est né. Les amateurs du journal de cette époque pourront d'ailleurs rechercher dans leurs archives : la prépublication des premières planches présentait un bandeau (sans le titre de l'histoire) avec Spirou & Fantasio à droite ; Spip, le Marsu, Champignac... et Zorglub (l'air débile) à gauche !
Voilà pour l'anecdote et les débuts de cet album. Mais pour quelles raisons mérite t'il d'entrer au Panthéon des classiques ? Car c'est un des grands albums de Franquin. Graphiquement il y a deux périodes dans la conception de QRN. En effet, l'auteur souffrait (déjà !) de problèmes de santé qui jouaient malheureusement sur son talent... quelques planches sont inégales et les nouveaux personnages n'atteignent pas toujours leur maturité (par exemple, le Roi Ladislas et le Général Schmetterling dans les planches 14 et 15) ou les débuts du professeur Kilikil. Mais tout dans cette période n'est pas faible, bien au contraire ! La scène de la poursuite avec le berger allemand, ou la fantastique case de Schmetterling de dos à la planche 15 montrent bien que, même malade, Franquin était capable de véritables petits bijoux. Mais ses ennuis de santé l'obligent cependant à arrêter la création de cet album en cours de route, et ce pendant un an et demi !
Mais à la reprise (les planches sont de nouveaux numérotées en partant du chiffre 1, dans l'album classique page 27), on sent bien le retour du Grand André : Kilikil et Schemeterling prennent de l'épaisseur dès la 1ere planche et tout le reste de l'album est réalisé avec une qualité constante.
Outre ses qualités graphiques, QRN est aussi un superbe pamphlet contre la course aux armements et ceux qui s'y enrichissent. Contre l'armée aussi. Bref, c'est du "Idées Noires" 20 ans avant. La filouteries et le cynisme desmarchands
de canons, la moquerie ridicule contre les rites militaires (le salut, les gardes etc...), l'imbécilité au quotidien (les bus à pédales qui vont la course), la police politique et la pratique de la torture (même si, dans ce cas, il ne s'agit qued'une
parodie amusante, bref voilà un Spirou engagé... un des seuls d'ailleurs (avec Fournier et son "l'Ankou").
Et puis il y a l'humour... On ignore qui de Franquin ou de Greg a parsemé l'histoire de quelques petites répliques cinglantes et décalées, sorte d'histoires dans l'histoire, la plupart venant de Spip qui joue ici le rôle du râleur. Je ne prends que quelques exemples, rien que pour le plaisir :
Devenu fou furieux par manque de sommeil, le Marsupilami vient de s'assommer lui-même d'un grand coup dans le nez où était logé l'appareil :
Fantasio : Il a pulvérisé le transistor ! Qu'est ce qu'on fait dans un cas pareil ?
Spip (portant la queue du marsu, l'air détaché) : une radio...
Ou, alors qu'ils sont poursuivis par un berger allemand, Spip évite de justesse la petite valise de Switch qui tombe à côté de lui
Spip : HEP On chercherait à m'écrabouiller qu'on ne s'y prendrait pas autrement
La case suivante, c'est une énorme caisse qui s'écrase encore plus près !
Spip : Ah si ! Ceci est mieux !
Ou encore la scène entre la concierge de Switch et un policier à l'air impassible et particulièrement abruti :
Concierge : Quand je suis arrivée, ils le trainaient dans une grosse voitue noire qui attendait là
Policier (regardant à l'opposé du côté qu'on lui indique) : Où ça ?
Concierge : d'ailleurs je ne vous mens pas... il a perdu une pantoufle, pauvre monsieur... regardez elle est encore ici !..
Policier : Où ?
Concierge : Un si gentil monsieur !... En tout cas, s'il lui est arrivé malheur... snif snif... je suis certaine snif... qu'il est au ciel !...
Et l'autre con, levant la tête en l'air : Où donc ?
Bref, pour moi, cet album est un des incontournables de la BD.
Plus original que le tome 1, avec des situations plus variées, on sourit de temps en temps mais rien qui ne marquera votre mémoire.
Attention: avec ce tome de sillage, on passe un cran au dessus. A croire que chaque tome de cette série est meilleur que le précédent. Tout y est: un graphisme magnifique, des couleurs parfaites (on retourne enfin sur une planète) et un scénario qui allie critique de la societe (comme d'habitude avec Sillage), sentiments exacerbés de Navis (nostalgie, découragement, passion, tristesse, résignation etc ... on pourrait en parler des heures), action, suspens et retournements divers. Le meilleur est pour la fin ... Une leçon de morale qui fait TILT et que l'on pourrait résumer par ce proverbe: "l'enfer est pavé de bonnes intentions".
En prime, des Puntas qui ressemblent à un troupeau de Yoda: j'adore :o))
Pour moi, le meilleur de la série.
Les anecdotes de cette écrivain ce lisent avec sourire, mais manquent cruellement d'originalitées.
Cette série est associée à Algernon Woodcock et c'est plus pour cette raison que je l'ai achetée que pour ses qualités intrinsèques. Comprenons-nous... Cet album n'est pas à jeter, loin de là... Les contes sont bien racontés et les dessins de Castaza, s'ils n'atteignent pas le niveau d'excellence des planches de Sorel, sont assez beaux. Toutefois, l'ensemble se révèle assez peu passionnant (et peu surprenant) et son principal intéret est de fournir des explications sur l'univers de la série et sur les êtres fantastiques qui le peuplent. C'est donc un bon supplément à la série principale mais je n'ai pas été enthousiasmé. Reste à voir ce que nous réservent les prochains tomes.
Je suis bluffé !!!!
Franchement, pour moi les BD animalières ct Walt Disney donc l'horreur absolue.
Finalement grâce à vos critiques j'ai consenti à me lancer et... j'adore.
Le scenario est bon sans être exceptionnel, mais je trouve le dessin éblouissant. Alors même qu'a priori je ne voyais pas l'intérêt de mettre une tête de chat à un type, là je me dis que ce serait vraiment dommage de ne pas l'avoir fait.
Un vrai régal, je veux 25 tomes dans cette série !!!!
Très bonne surprise pour cette nouvelle série du scénariste de Sillage.
Le scénario est vraiment accrocheur, le rythme ne laisse aucun temps mort: c'est de la pure action soutenue par un graphisme classique mais efficace. Encore une fois, il vaut être "compatible" avec les couleurs informatiques mais si vous aimez par ex. les derniers tomes de Nash, vous ne serez pas déçus.
Je voulais jeter juste un oeil, je n'ai pas pu refermer l'album avant la fin.
En ce qui me concerne, une bonne nouvelle série très prométeuse.
Le thème de la politique, avec ses dérives habituelles et ses réalités ecoeurantes, voila le nouveau cheval de bataille de ce tome. Il faut avouer que cela est plutot original. Comme d'habitude, JD Morvan s'en sort comme un roi. Servi par un graphisme un poil en dessous du 1er (avis presonnel bien sur), nous accompagnons maintenant Navis à bord du convoi Sillage, qui parcours la galaxie. Les influences du pouvoirs, les compromis obligatoires et les trahisons multiples ne sont pas sans nous rappeler un monde qui lui, n'est pas SF ;-)
Encore un coup de maitre du duo Morvan/Buchet, pour notre plus grand plaisir. Contrairement à certain, j'ai trouvé ce tome un peu longuet, c'est le seul defaut que je lui trouve :-p
Le 1er tome d'une série déjà mythique. Le scénario est très prenant, aucun temps mort et le découpage des pages à un exemple de lisibilité. On ne remarquera pas trop les erreurs de perspectives ou de plan, comme par exemple la case 6 page 16 où l'on a du mal à comprendre comment Houyo saute sur le méchant mais il faut bien trouver un defaut à cette série non ? (sinon vous allez trouver ça louche). Le graphisme de Buchet est somptueux et JD Morvan signe là un chef d'oeuvre et encore, vous n'avez pas lu la suite ;-)
Je viens de finir les 4 premiers tomes du Murena. J'ai été épatée par la qualité de reconstitution historique et le travail des auteurs en ce sens.Absolument passionnant, et j'ajouterais même instructif (je pense en particulier à la thèse de la mort de Britannicus habituellement retenue, contestée par certains historiens) d'autant plus que je m'intéresse à l'Antiquité. Quant aux dessins, bien que ce soit bien dessiné, je n'ai pas plus accroché que ça, en fait je crois que ce sont surtout les couleurs que je n'aime pas trop. Bref, j'ai acheté ces albums pour leur sujet, et je n'ai pas été déçue! Je les conseille à la fois à ceux qui aiment l'histoire de Rome, mais aussi aux autres, car l'intrigue est vraiment bien menée, sans temps mort, et ces BDs sont vraiment très agréables à lire.
Enfin un manga consacré aux arts martiaux traditionnels, et ou le graphisme n'est pas laissé a l'abandon! Tout au long de sa progression, Kybo apprendra de plus en plus l'essence de son art, le Nadashinkagé, tout en s'améliorant au contact d'autre art martiaux, tel que le Ju Jitsu ou le Sambo. Meme si les techniques sont poussé a leur paroxisme et difficilement reproductible, 95 % des techniques étudiés dans ce manga sont de réelles techniques de combat.
Un de mes mangas fétiche. Mr Hojo nous montre l'évolution des rapports entre ces personnage si attachants, doué chacun d'un très fort caractères. Tout au long de ces 36 épisodes, Kaori, Ryo, Umibozu et consort nous emmenes d'aventure en aventures, pour finir, sur les derniers tomes, sur des histoires plus "graves". Un chef D'oeuvre. Note: Les art book de MR Hojo sont une réelle merveille, a acquérir d'urgence !!!!
Une pure merveille, tant au niveau graphisme qu'au niveau du scénario ... on prend une grosse claque, et en même temps un grand cours de politique, d'histoire nippone et de culture nippone. Un livre a lire ABSOLUMENT ! A noter: Les deux premiers volume sont en Francais, les 6 autres (je suis pas sur du chiffre exact) en anglais... A LIRE IMPÉRATIVEMENT !!!!
Les dessin est plutôt pas mal fichu, un peu étonnant au départ mais on s'y habitue. Il rend vraiment bien l'aspect "polar noir" de cette oeuvre.
Le scénario est vraiment excellent on ne s'ennui pas une seule minute tout au long de la lecture. C'est vraiment un excellent album.
Ce second tome de "Green Manor" est du même niveau que le premier, avec
une nouvelle approche dans les sujets : il y a beaucoup plus de références à la
magie et aux supertitions de l'époque. On sent que le scénariste (Velhmann)
utilise le contexte particulier de l'époque coloniale pour opposer le fantastique
développement scientifique de la fin du XIXe aux mystères et à la supertition et
aux légendes des colonies orientales et de la vieille europe.
A lire tout particulièrement "La marque de la Bête", "L'ombre du centurion" ou
l'excellent "Nuit vaudou". Cette dernière histoire reprenant d'autant plus
l'humour noir et moqueur très présent dans le premier tome et un peu moins
dans ce second.
Bref, si on aime le premier, on n'est pas déçu par le second
Dans la lignée de Adios Palomita, ce western "one shot" fait de nouveau mouche.
On retrouve Lamy au dessin et Rabarot aux couleurs, c'est une nouvelle fois très réussi.
Côté scénario, encore une histoire avec beaucoup d'action et de rebondissement, plusieurs personnages qui se disputent le même butin, à la manière de "le bon, la brute et le truand".
Très divertissant.
Que les amateurs de politique/fiction se réjouissent, on est en présence ici d'un vrai petit bijou !
Tout au long de 5 tomes, Brunschwig nous construit un scénario en béton avec des surprises et des personnages très attachants : c'est du grand art. Par contre ne vous attendez pas à un "tout le monde il est beau tout le monde il est gentil" car le monde dépeint est particulièrement noir et ce n'est pas à mettre entre toutes les mains.
D'autre part, il faut insister sur le fait que cette série est terminée. Enfin un auteur qui réussit à ne pas s'éterniser et à rester crédible jusqu'au bout. On peut ne pas aimer mais à l'image de Chauvel, on sent que le scénario est réfléchi à la base, dans son ensemble, et que rien n'est ensuite brodé pour faire durer.
Côté dessin, ça ressemble un petit peu à du Boucq mais en nettement moins caricatural et expressif. Il en est cependant très différent car ici, on sent que le dessin de Hirn est fait pour prendre toute sa dimension grâce à la mise en couleur, et à ce niveau, il y a beaucoup d'évolution tout au long de ces 5 tomes :
Les 2 premiers (couleurs de Hirn) ont certes un peu vieilli mais le travail de lumière pour donner de la forme aux personnages est très bien réalisé. Par contre, pour les tomes 3 et 4 (couleurs de Guth), je n'ai pas trop aimé et ça m'a beaucoup dérangé : tout ce travail de relief disparaît et le dessin de Hirn en pâti.
Et puis le tome 5 débarque (couleurs directes de Hirn) et là c'est du très très beau travail, c'est tout simplement magnifique.
Une série à ne pas rater pour les amateurs du genre !