Les avis de la bedetheque

Je dois dire que le scénario est vraiment très intéressant. Un robot muni d'une intelligence artificiel intégré à une équipe de secours pour faire ses preuves sur le terrain c'est vraiment intéressant. En effet IAN va devoir apprendre par lui même comme un être humain normal et va découvrir pas mal de chose durant cette aventure.

Ce personnage n'est pas véritablement violent et à même tendance à préserver la vie (ce qui le différencie à bien d'autres être humains qui n'on que faire de cette conception). De plus IAN renferme un mystère dont on est encore loin d'avoir toute les réponses : ses crises. Que signifient elles (si du moins elle ont une réelles importance) ? Pourquoi cette ''machine'' a-t-elle ce genre de vision ?

Des questions qui trouverons leurs réponses au fur et à mesure des albums de cette série qui promet vraiment d'être passionnante.

En ce qui concerne le dessin je le trouve agréable à l'oeil, très précis et détaillé.

J'ai vraiment passé un agréable moment en lisant cette BD. D'abord le dessin qui est très réussi, dans la ligné des meilleurs
titres de MF de chez Delcourt. Et puis surtout l'histoire qui est bien amorcée dans ce tome qui permet de faire connaissance
avec les personnages (c'est un peu classique pour un 1er tome) qui sont eux très attachants. En effet des héros maladroits,
un peu bête, pas très beaux et malchanceux cela ne court pas les rues.
L'ordinaire est donc absent de cette album, et c'est tant mieux !

Claire Bretécher est une grande Dame. En plus d'avoir contribué à sortir la B.D de son ghetto de "littérature pour la jeunesse", en créant notamment l'Echo des Savanes avec ses amis, elle a toujours su renouveler le regard qu'elle porte sur son Temps. On connait aussi son souci d'indépendance qui la pousse à s'auto-éditer en évitant toute concession rédactionnelle.
Voici Agrippine, une ado du 16ème, probablement, ou de Neuilly sur Seine, dans ses aventures contre le reste du Monde. C'est pointu, précis, juste... Le dessin est comme toujours extrêmement efficace, sans fioritures. Ah oui, et puis c'est drôle aussi!
Merci Maître Bretécher d'avoir toujours considéré votre lecteur comme un Adulte qui pense...

J'ai assez aimé le dessin mais je ne sais pas trop quoi penser du scénario... Même si l'auteur a utilisé une technique de mise en parallèle de 2 évènements, ça reste assez confus. J'attends donc d'avoir l'occasion de lire la suite pour porter un jugement plus détaillé.

Très déroutant et superbe à la fois de voir ses poèmes favoris illustré en bande dessinées. Très très bien! A avoir absolument si vous aimez ou avez envie d'aimez la poèsie.
Et on ne peut que mettre un 10/10 avec un tel scenariste.

Voici le retour de Jean Baptiste Poulain, ancien précepteur au temps des Lumières, dont on apprend qu'il a abandonner sa carrière pour se lancer dans l'étude des phénomènes mystèrieux. Il débarque donc en pleine campagne auvergnate, pour y découvrir quelle créature assassine horriblement des jeunes filles chaque année à la veille de Noël.

Vehlmann et Bonhomme nous présentent un second album du même niveau que le premier, un scénario captivant et un dessin efficace de particulièrement agréable, mais aussi avec les mêmes défauts : le suspens et l'ambiance augmentent en intensité progressivement au même rythme pour arriver à une brusque et trop rapide dénouement qui surprend le lecteur et gâche un peu le plaisir.
C'est d'autant plus frutrant que le scénario particulièrement brillant nous présente des personnages, des situations et des pistes qui pourraient avantageusement être développées. Grosso modo, le format de ces albums mériterait d'être augmenté d'une bonne douzaine de pages ou que ces enquêtes se déroulent en 2 tomes. Le lecteur n'aurait rien à y perdre, les qualités graphiques du dessin de Matthieu Bonhomme étant un vrai plaisir.
Une série à suivre

Des dessins réussis, dans un style un peu 'nouvelle vague', un scénario également réussi, bien rythmé, avec une bonne dose d'humour. Jean Louis Marco, dont c'est la première BD, a fait de ce coup d'essai un coup de maître, difficile d'ailleurs de croire qu'il n'en soit qu'à ses débuts tant le tout est bien maîtrisé! Pas de doute pour moi, bourré de talent comme il est, on en entendra encore parler

Les auteurs de l'excellente série NOMAD remettent le couvert pour nous faire déguster les aventures d'un nouveau héros très attachant AL(bertus)'(M'Na)TOGO qui intègre ses nouvelles fonctions au sein de l'EO-6 (Equipe Opérationnelle N°6) d'Europolice de Bruxelles.
Le menu nous entraîne à 100 à l'heure à travers l'Europe (Bilbao ... Amsterdam) sur les traces d'un ministre en cavale ayant enlevé ses filles à son ex ...
Tous les ingrédients nécessaires à une bonne recette (action, suspense, sentiments ...) du chef J.D. Morvan nous sont mitonnés par le graphisme élégant et efficace (voir 4e case p.48) de S. Savoia et épicés par les superbes couleurs de l'équipe Color Twins.
En dessert, un avant goût du prochain menu (T2) qui nous fait déjà saliver ... et espérer en apprendre plus sur le passé d' AL, sur ses proches et sur son avenir ... n'est-ce pas Judith ?
A consommer sans modération !

Malgré un graphisme d'histoire enfantine, le fond est plutôt violent (réservé aux ados ou adultes !).En effet ce lointain cousin de Casimir est totalement dépourvu de conscience et de notion de mal. Cette carence lui fait traverser les évènements dans la plus totale irresponsabilité ! Il y a en plus quelques clins d'oeil à sa famille ... (mais seule, elle, pourra le comprendre et je suis bien placé pour le savoir ... je suis son papa !).Ok ce n'est peut-être pas très objectif, mais je pense vraiment que c'est très drôle !

Voici encore un album très réussi.
Le scénario est très bon et, jusqu'à la fin, on ne sait pas trop comment les choses vont tourner. Si le thème abordé est classique, le racisme anti-noir dans les année 50 aux Etats-Unis, l'histoire l'aborde de façon épatante et sans laisser d'arrière-goût de "déjà-vu". On porte un regard neuf sur le sujet. Et la critique nese tourne pas seulement vers les blancs du KKK (superbement mis en scène), mais aussi des groupes de la réaction noire style "Black Panthers" incarnés par un taureau, un cheval et un mâtin particulièrement bien croqués.
Le dessin est vraiment très bon. Rien à redire donc.

Ce troisième album clôt en beauté une série qui m'a beaucoup plu.
L'histoire avance vers son dénouement très naturellement. Aucune déception sur cette fin, bien au contraire. Ici, les sentiments jouent un grand rôle et les kwaidans eux-mêmes n'en sont pas exempts. C'est le combat entre l'égoïsme et l'altruisme, entre l'amour de soi-même et l'amour des autres qui se joue. Setsuko est magnifique de courage, de noblesse et de fragilité mêlés. Jung nous propose ici un combat, une guerre qui ne se fait pas seulement avec des armes et c'est très bien rendu.
Pour le dessin, il est toujours aussi magnifique et porte l'histoire, la transcende. De très belles couleurs aussi. Bravo à Jung et à son épouse et merci à eux pour cette magnifique histoire.

J'avoue avoir été un peu déçue, çà n'a pas le souffle de la série-mère...
Côté scénario, j'ai trouvé çà un peu plat, surtout pour nous raconter la jeunesse de notre sniper préféré. Ca manque un peu de piment, mais bon c'est quand même agréable à lire. Cela dit on apprend quelques éléments sur lui et non négligeables.
Côté dessin, par contre, c'est toujours très bien. Bravo à Mitric pour sa reprise ; il se montre à la hauteur du maître Crisse.
Attendons la suite pour voir. Peut-être que ma déception vient seulement de ce que je m'attendais à quelque chose de moins "banal" pour l'enfance de Dragan Preko...

Voilà j'ai lu le dernier tome et ce n'est pas l'apothèose finale tant attendue.
En fait je me demande pourquoi ils sont fait si long ce 4eme tome ???
Sinon rien à redire sur les dessins

C'est vraiment pas mal, l'ambiance est tres bonne et ressort tres bien dans les dessins. J'attends la suite avec impatience.

Franchement je n'ai pas été déçu! sans être la BD de l'année (qui pourra rivaliser avec le combat ordinaire :mrgreen: ) j'ai passé un bon moment avec ce héros pas comme les autres. Seule la fin m'a un peu déçu par une conclusion trop rapide. Mais je crois que cela pourra donner une bonne série. :ok:

Dire que cet album était attendu serait un oephémisme. Dire qu'il rempli toutes nos attentes le serait tout autant. Une fois de plus Bilal nous émerveille avec son talent d'illustrateur à nul autre pareil et son imagination qui semble sans limite. A chaque nouvel album de Bilal, on se demande comment il pourrait encore s'améliorer et nous impressionner davantage. A chaque nouvel album, on doit bien se rendre à l'évidence: il y est parvenu. C'est sans doute ce qui fait de lui l'Artiste qu'il est devenu. Il n'y a pas grand chose d'autre à dire sinon que cet album est indispensable dans toute collection, d'ores et déjà un monument qui va marquer l'Histoire de la BD.

Je dois dire que j'ai adoré ce manga. Dans cette intégrale regroupant les deux premier tomes de la série on apprend à connaitre les personnages. Sangoku, qui sera le héros de cette série, va enfin découvrir le monde alors que jusque maintenant il vivait seul dans une forêt sans aucun contact avec des personnes vivant lui ressemblant. Cette apprentissage du monde et de la vie, qui au passage donnera lieu àdes situation fort drôle, va se faire à traver la quête des DragonBall qu'il effectura pour aider Bullma.

Bullma est le deuxième personnage que l'on rencontre. En fait c'est elle qui va être à l'origine de la quête des dragon ball et de tout ce qui s'en suit.

Autre personnage vraiment très drôle que l'on rencontre dans cet album c'est tortue génial. C'est un personnage vraiment drôle et énigmatique dont la puissance n'a aucun rapport avec l'apparence.

Tout au long de la quête des Dragon ball l'humour et présent et efficace. On s'amuse vraiment en lisant cet album et celà donne vraiment envie de lire la suite.

Aire Libre, toujours et encore. Peu de déception dans cette collection.
Desberg au scénario et Will au dessin, une association qui fonctionne à merveille.

C'est l'histoire du dernier des séducteurs et sa quête pour trouver l'Amour, jusqu'à se prendre pour un généticien et créer sa femme idéale, mais quelle déception le soir des noces !
Des situations amusantes, des dialogues excellents, bref un très bon moment de lecture.
On s'attache vite à ce personnage qui veut tout essayer pour trouver la femme idéale, sans y parvenir vraiment.

Les début de la collection Aire Libre. Un album grandiose sur fond d'arrivée au pouvoir du nazisme en allemagne.

Un petit garçon accueilli par les pensionnaires d'une maison close. Un petit garçon à la recherche du grand pouvoir (celui qu'exerce les femmes sur les hommes). Des dialogues d'anthologie sur l'amour. Le ton léger du début s'aggrave au fur et à mesure de la montée du nazisme.

Un très bon scénario de Desberg, bien servi par le dessin simple de Will.
Pour tous les amateurs de la collection Aire Libre, un album qui doit figurer dans votre collection. Un grand moment de plaisir.

tout est nul dans cette suite : dessin, intrigue (il y en t il une dabord ?), dialogue
on est ridicule complétement , il faut le faire mourir le lieutenant et arrêter une fois pour toutes ces rallonges à trois sous .....

merci pour lui

En un seul mot : magnifique !!
C'est à la fois triste et tendre. Il n'y a pas de bulles, pas de paroles, mais beaucoup d'émotions qui vous saissisent à la gorge et au coeur. Un beau dessin à l'image de cette histoire. Pour moi, une lueur d'espoir à la fin.

Ce quatrième opus nous fait découvrir une autre part de la psychologie humaine. En effet dans cet épisode nos deux héros sont confrontés à des sauveteur qui font tout sauf les sauver. On découvre ici un personnage égoïste pour qui les gens ne sont devenus qu'un outil de survie et rien d'autre. Il est très ntéressant de voir que dans diverses situations critiques le comportement de tel personnes peut changer du tout au tout.

Par exemple on se rend compte que le capitaine des secouristes déserteurs essaye d'éliminer Teru afin de garder Ako "pour lui" comme il le dit si bien et n'hésite pas à organiser une chasse à l'Homme pour se distraire et parvenir à son but. Cependant quand la situation se complique et qu'il voit qu'il ne pourra pas s'en sortir sans l'aide de Teru il essaye de le convaincre de l'aider sous le prétexte que tout ceci n'était qu'une plaisanterie, l'argument étant tout sauf crédible.

Mais ne croyont pas que Teru soit le "gentil ado" par excellence incapable de faire de mal à une mouche. Déjà dans le premier tome il montrait qu'il ne se laissé pas marché sur les pied et savait se protéger contre le danger que pouvait représenter certaines personnes ayant perdu la raison suite au choc psychologique de la catzastrophe sans toutefois dépasser une certaine limite. Ici Teru dépasse alègrement cette limite en tuant l'un des membres de l'équipe de secouriste mais une fois ce geste accompli il refuse d'endosser la responsabilité de l'acte ce qui peut s'expliquer sans doute par le fait qu'il avait l'air de ne plus avoir toute sa tête.

On peu dire que cet opus nous livre encore l'un des multiples comportements de l'homme face à des situations extrême. A travers cet album nous en apprenons bien davantages sur les personnages et les liens qui se tissent entrent et mais ce qui est aussi l'un des atout de cet album c'est que les personnages eux même prennent conscience de ce qu'ils sont réellement près à faire pour survivre et surmonter les embuches semé sur leur parcours.

Voici un thriller maritime vraiment passionnant ! Certes on peut reprocher au scénario d'être un peu trop linéaire et prévisible (valable surtout pour les premiers tomes) mais les dessins d'un réalisme exceptionnel font qu'on se laisse très vite prendre au jeu ! Mention spéciale au dernier tome du 1er cycle, d'une très grande intensité et tout simplement génial ! Le second cycle nous envoi en Afrique, les paysages et les couleurs sont magnifiques, bref, un bon moment de lecture en perspective !

Que dire de cette superbe série ! Le scénario de Jean Dufaux est subtil et intriguant (à mon avis c'est l'un de ses meilleurs !). Anna Mirallès donne à ses crèatures une élégance et une finesse envoutante... quel trait !
Les couleurs sont également magiques et superbes, le parallèle entre la vie de Kim et celle de Jade est bien mené, bref, on est tout de suite séduit par cette atmosphère... A lire et relire !

Une oeuvre poétique magnifique, un dessin qui déplaira à certains mais qui transporte, une histoire dense et pleine de tendresse... bref un véritable moment de plaisir.

Cette Bd sort de l'ordinaire et des habituels séries d'héroic fantasy et c'est peut être pour ça qu'elle n'a pas marché. C'est ce coté unique et cette histoire inhabituelle qui m'a tout simplement passionné.

Une des choses primordiales à savoir sur cette serie, c'est qu'elle baigne dans le silence... Jamais des coups de feu auront été silencieux... Le dessin est fabuleusement rasserenent, calme, precis, implacable... De nombreuses vignettes sans texte, pas de parole, juste des pensées... Moi je le trouve très attachant ce tueur... Plus la serie avance, plus il devient heros... :)

Voici mon avis : Wouaaa !

Pour le scénario : il est recherché, fouillé. La trame (vengeance) est très bien amenée. On ressent bien aussi que pour les blancs, le fait d'appartenir au KKK est une suite logique. Cet enrôlement est semble-t'il normal. Le "héros" narrateur s'y implique plus par imitation et fascination que par idéologie (du moins au début). Par la suite, la haine s'installe.
On ressent aussi une évolution dans la population noir. Au début, ils subissent pour ensuite renverser la vapeur.

Pour le dessin : je l'apprécie plus que dans "Banquise". Pour cette dernière, j’ai eu un peu de mal (10 premières pages) pour y entrer. Par contre, avec Kuklos, cela c’est passé tout seul. Je trouve que Ch. Gaultier s’est amélioré.
La haine est extrêmement bien rendu sur les visages. J’ai été complètement époustouflé par les scènes de cauchemars.
Les couleurs ternes collent parfaitement à une ambiance lourde (moiteur du sud des USA) et violente où l’on mêle haine et vengeance aveugle.

Une pure merveille, un pur chef-d’œuvre qui fait réfléchir sur l’absurdité.

Messieurs les auteurs, encore bravo et merci.

Le scénario est entrée dans une nouvelle phase. Nos héros qui ne sont plus qu'au nombre de deux ont enfin réussi à sortir du tunnel dans lequel ils sont retenus prisonnier. Hélas pour eux leur situation ne s'arrange pas pour autant car ils se retrouvent maintenant dans un monde dévasté pas on ne sait quel cataclysme. Leur situation n'est pas enviable. En effet ce sont les seul survivant de leur voyage scolaire et forcément certaines questions existentiel se posent. Pourquoi eux, pourquoi sont ils en vie ? Arriveront ils à le rester longtemps dans ce monde devenu innospitallier ?

Par moment on se rend compte que la situation dans laquelle ils se trouvent est très difficile à supporté et parfois le découragement est proche mais heureusement qu'ils sont deux car chacun aide l'autre et lui redonne espoir quand l'un des deux vient à flancher. C'est une belle leçon de courage qui nous est présenté dans cette série. car malgrès toutes les difficultés rencontrés nos amis continuent à se battre pour savoir ce qui s'est passé et retrouver leur famille même si l'espoir est bien mince.

L'espoir la dernière chose qu'il leur reste dns ce monde chaotique.

Encore un très bon album, mais - est-ce possible ?- plus cruel et violent encore que le 1er. On apprend plusieurs éléments de la vie de Mouche et surtout pourquoi il est manchot. La contre-offensive du baron est terrible, d'autant plus qu'elle est menée par le glacial commissaire surnommé "Monocle". Tout se passe sur un rythme trépidant qui laisse à peine le temps de souffler. Dessin toujours intégré à l'ambiance et quelques belles vues des toits de Paris. Encore une réussite et un bon moment de lecture.

Voila une BD qui m'a emballé tout de suite, les dessins sont magnifiques et le scénario quoi que un peu brouillon au début est vraiment sympa, à quand le tome3
PS: Les visages sont inspirés d'acteur de film ou de série américaine : Bruce willis, morgan freeman, richard dean anderson, joey de friends,....

La l'histoire se lache vraiment et j'ai été agréablement surpris par cette histoire façon Roswell de complot de la CIA

En grand fan de la serie, j'ai ete ravi par ce sixieme tome. C'est a la fois une introduction efficace pour un nouveau cycle et une histoire qui se lit d'un trait, sans un seul temps mort.
Beaucoup de questions sont posees qui appellent a des eclaircissements dans les tomes a venir. Comme toujours chez Duval on retrouve sa ligne d'engagement contre les mega-holdings, ici sur le theme du "tout genetique". Les trois personnages principaux ont atteint une maturite qui leur donne pas mal de profondeur et un minimum de credibilite par rapport aux prouesses qu'ils reussissent.
Enfin la mise en image est tres reussi. Le dessin est net, le decoupage et la mise en couleur tres agreable.
Petite mention speciale pour la scene de poursuite a la fin, que j'ai personellement trouvee haletante. Un reel sens de la mise en scene !

Lord M

Une couverture qui ne laisse pas indifférent. Deux cambrioleurs attachants, cabossés par la vie qui jouent au chat et à la souris avec la "rousse". Une histoire agréable dans une ville très art déco avec de somptueuses couleurs, et malheureusement petit à petit de manière insidieuse, on descend dans l'enfer, la cruauté humaine.
Un album qui ne laisse pas indifférent. Une histoire qui dérange.
Un BD de toute beauté.

Les choses se compliquent : Tosca est devenu le chef de la mafia, pour sceller l'union il va devoir épouser la fille de son nouvel ami. Quand l'amour s'en mêle, la situation devient plus compliquée. Surtout lorsque Tosca décide de jouer sur tous les tableaux.
Le recit pousuit sa route, on accroche à l'histoire et l'on attend la suite avec impatience.
Toujours un bon polar, servi par un dessin correct de Vallès.

Un rencontre au sommet : VAN HAMME au scénario, et HERMANN au dessin. Le duo rêvé.
Un one-shot de qualité dans la très bonne collection Aire Libre.
Un mariage qui tourne mal sur un malheureux incident et c'est la catastrophe.
Le trait et les couleurs directes d'Hermann donne à ce récit un caractère particulier et oppressant (surtout la nuit). Les personnages ont le visage dur et les défauts de l'humanité ressortent en plein jour.
Du grand art.

Quel plaisir pour un breton de voir mis en images les contes et légendes bretonnes. Tout amateur de bd breton devrait avoir cet album dans sa collection.(bon, j'exagère un petit peu)
Les Korrigans sont de retour. Un découverte de ce monde fantastique et magique si particulier. Nous plongeons dans les royaumes où les fées sont les reines. Le lien entre les différentes histoires avec le petit Koc'h est excellent.
Les histoires sont bien menées et conformes aux légendes écrites.
Le dessin est à la hauteur des histoires, et quel trait de Peynet.
A découvrir pour ceux qui veulent en savoir plus sur les légendes bretonnes.

J'aime bien le scénario. en effet dans ce tome la psychologie des personages est encore au premier plan. On voit tout leurs peurs, leurs espoirs, la façon dont ils se comportent entre eux pour faire face à la situation dans laquelle ils se trouvent, leurs réactions face au stress et à la pression d'une mort qui peut survenir à chaque instant.

Tous ces sentiments allant du courrage jusqu'à l'impuissance en passant par la nécessitée sont très bien traités malgrès une ambiance un peu glauque et malsaine un peu nécessaire pour bien planter le décors et faire ressentir au lecteur à quel point la situation des personnages est critique et instable. Mais on sent très bien à la fin de ce tome que cette première phase de l'horreur touche bientôt à sa fin pour aller vers une nouvelle phase peut être pire.

Au niveau du dessin j'ai un peu de mal, je le trouve un peut trop chargé et j'ai l'impression que sans le scénario on ne comprendrait pas toujours ce qui se passe. Mais il n'est pas désagréable et n'empêche pas de bien comprendre l'histoire.

Une découverte dûe au forum de BDgest. Un grand moment de plaisir.
Une histoire originale servie par un dessin "tranchant" et des couleurs bien choisies pour les différents moments de l'histoire.

Qui n'a jamais rêvé de pouvoir arrêter le temps ? Les auteurs explorent jusqu'au bout les possibilités en allant même jusqu'au fantasme de faire l'amour à une femme durant le temps supsendu. Mais la vie n'est pas simple pour notre héros qui se retrouvera seul et devra renoncer à l'amour.

La fin est surprenante, très ouverte et l'on se demande où les auteurs vont-ils bien pouvoir nous emmener. Affaire à suivre.

Infiltrer la mafia, tel est le souhait de toute organisation gouvernementale, mais l'infiltrer de cette manière est un pari. Un bon scénario de Desberg et Vallès illustre très bien cette histoire d'un détenu à qui l'on change le visage pour devenir le fils d'un des parrains de la mafia. Un bon polar pour les amateurs.

Enfin la suite. Aucun risque d'être déçu. Le dessin est toujours aussi réaliste, le trait est fin ce qui donne à l'ensemble une impression de douceur qui colle bien au récit. Côté scénario, les choses se précisent et se compliquent en même temps, revivre sa jeunesse est certes une chose agréable, mais pouvoir réparer les erreurs du présent en est une autre. Une histoire prenante, et un très bon moment de lecture

On ne voit d'abord qu'elle : la couverture. Quelle merveille !! : toute la beauté, toute la pureté, toute la magie de la fée automate sont rendues, de même que cet aspect glacé qui la rend distante, irréelle (contrairement à Jam).
L'histoire continue à travers les souvenirs de Jam et le temps qu'il vit au présent, alors qu'il vient de retrouver la trace de "sa" fée. Et le monde qui l'entoure est à nouveau au bord de l'abîme...
Le dessin de B. Tillier est toujours aussi beau et intense. Cette fois-ci, chaque fois que la fée paraît, elle est nimbée d'une lumière bleutée quia ccorche le regard et donne l'impression qu'en sa présence le temps est suspendu.
Vraiment magnifique.

Ce 1er album est magnifique et tellement cruel en même temps. On plonge dans l'histoire via les souvenirs de l'automate romantique Jam. Et cette histoire est terrible. Alors qu'un homme cherche à animer des automates, à leur donner l'étincelle de vie, de joie, de pureté des fées, des hommes s'entretuent pour un peu de nourriture.
Et c'est Jam, le "raté", qui découvre la poupée rare, la fée ange de pureté, prometteuse de rêve. Las, tout tourne mal alors que la fée n'a pas encore été animée par le maître des poupées et là, le drame atteind son intensité maximum : le maître doit couper le fil de vie de ses "enfants" qui perçoivent dans leur coeur artificiel le mal répandu par les hommes et subi par leurs malheureux semblables. Ces planches sont terribles et intenses.
Béatrice Tillier nous offre un dessin magnifique qui porte et transcende cette merveilleuse histoire. Dessins et découpages sont grandioses : on croit vivre les scènes.

Vraiment superbe et à plus d'un titre.
Un véritable régal !!
C'est formidable de voir comment l'auteur a su utiliser les plus célèbres (voire même d'autres moins connues) toiles de Van Gogh pour les intégrer dans l'histoire, les décors, etc.
Et puis, cette double histoire avec l'existence d'un chat roux artiste peintre croisant et partageant la vie de van Gogh, c'est super et bien imaginé. C'est Vincent le chat qui prend tous les travers du célèbre peintre.
Une bonne idée de l'auteur : la légende à la fin récapitulant et donnant l'explication de quelques références, comme celle du "Lapin Agile"...
Je conseille fortement cette lecture.

En un mot, c'est superbe : un véritable chef-d'oeuvre du grand Taniguchi
Je plébiscite à 100 % .
Ce 2ème album est très émouvant, très fort, très poussé dans la réflexion.
Il est bien meilleur que le 1er tome (déjà très bon). Le dessin est toujours aussi fin et pur.
Quelque chose qui m'a particulièrement plu : les 3 ou 4 pages qui parlent de la guerre 39-45, côté japonais, la campagne d'Inde. Magnifique récit, très poignant.

Découverte d'un nouveau personnage : une mignonne fillette possédée par le signe du Tigre, renfermée sur elle-même, qui ne parle pas et donne du souci aux autres. Heureusement, la gentille Thoru est là qui lui redonne confiance en parlant de sa propre expérience. Une réflexion sur "comment s'accepter et s'aimer soi-même" et donc par extension sur les relations avec les autres lorsqu'on est différent d'eux. Bien sûr, c'est du shôjo, et le traitement de ce problème crucial peut paraître un peu mièvre et sirupeux, mais dans une lecture au 2ème degré, çà passe très bien.
Finalement, ce manga aborde des questions importantes dans la construction de l'être : refus de soi et de sa différence, rapport aux parents. On parle aussi d'amitié et de rivalité (Kyo et Yuki, etc), des rapports entre frères et soeurs (Yuki et son frère Ayamé), des rivalités à l'école avec toutes les mesquineries qu'elles peuvent entraîner (le groupe des filles fans de Yuki : à mourir de rire, leur représentation de Yuki en prince romantique!), les problèmes scolaires (eh oui, ils passent des examens et ce n'est pas facile pour tous !).
Bref, encore un bon volume, frais et léger.

Je n'ai pas aimé cet album, mais alors pas du tout. Pour tout dire, j'ai eu beaucoup de mal à le finir et ce pour plusieurs raisons :
- D'une part le dessin que je trouve de plus en plus lourd. C'est bien de faire de la peinture mais franchement je trouve que cela ne se prette pas du tout à la BD. Cela rend la lecture fastidieuse.
- Le traitement de l'histoire me semble de plus en plus alambiqué. Autant le scénario du tome 1 se tenait assez bien, autant j'ai trouvé celui du tome 2 trop plein d'effet de style. A trop vouloir en faire, on oubli souvent l'essentiel, et c'est vraiment le sentiment que j'ai eu lors de ma lecture.
Bref, une grosse deception.

Une bonne suite . Peut-être pas géniale mais du moins correcte. On découvre les pouvoirs de la Mash-Arim, Naüja, et un peu de sa personnalité . On en apprend aussi un peu plus sur Gorb. Les différents personnages sont séparés les uns des autres et réagissent différemment dans l'adversité. J'ai bien aimé le passage avec Hautgéant et ses filles, il explique certaines choses et est aussi un peu humouristique (les filles qui s'agitent autour de Raspa). Début d'une relation privilégiée entre Gorb et Nhiba, peut-être importante pour la suite ?
Le dessin est toujours beau , même si les couleurs ne sont pas toujours géniales.

Cet album n'est pas mauvais. Il présente les personnages et esquisse la trame de l'histoire. Toutefois, à la vue du titre de ce 1er tome ("le commandement d'Enarsölt"), je m'attendais à autre chose ou plutôt à un peu plus d'explications ; je suis peut-être aveugle, mais je n'ai pas vu où il était question de ce fameux commandement en dehors d'une plaque de roche avec des signes mystérieux, rien n'est dit ni expliqué (bon, je sais ce n'est que le 1er album, mais bon, je pensais qu'il y aurait plus de lien entre le titre de l'album et son contenu...).
Voilà pour le côté pinailleur. Pour le reste, l'histoire se tient mais il faut en voir l'évolution. Classique mais intéressante question des rapport entre n père absent et ses enfants qui ont grandi sans lui (il ne connaît même pas son fils...). Quelques personnages amusants comme le binapien (son langage est bien rendu dans les bulles ).
Côté dessin : pas beaucoup d'originalité, mais ce n'est pas mauvais.

Histoire intéressante : "gentils cambrioleurs" contre "policiers vendus et méchants gros riches pervers", une sorte de vieux polar aux rôles un peu inversés.
L'atmosphère est glauque à souhait et cruelle. On ne peut rester indifférent et la malaise surgit vite. A cause de l'horreur inspirée par les pratiques des méchants. Malheureusement, nos gentils cambrioleurs semblent ne connaître que des malheurs. A cet égard, la fin de ce 1er album fait froid dans le dos.
Côté dessin, il est en accord avec l'histoire : un rien glauque avec pas mal de marron et de gris. Côté graphisme, j'ai bien aimé, car les visages des personnages correspondent bien à leur rôle (et c'est vrai qu'ils ne sont pas franchement beaux) et le côté Art Déco m'a emballée.
Une bonne note donc.

Très bon polar et belles trouvailles des auteurs.
Merveilleuse idée que de donner à chaque personnage la figure d'un animal correspondant bien à son caractère.
On passe par tout : du berger allemand inspecteur de police (en l'occurence Smirnov) au pustuleux "Chef" Ivo Statoc à tronche de crapaud (c'est pas pour rien qu'il collectionne les coléoptères), en passant par le gorille boxeur, les crocos du bar louche et autres reptiles, au sale rat cafteur-espion-tueur, et à la gentille et naîve souris dame de ménage. C'est vraiment génial de se retrouver plongé dans cette jungle animalière... urbaine et sociale!! peut-on encore y être honnête et se payer le luxe d'avoir une conscience ?
Très bon scénario, on ne s'ennuie jamais. Et servi par un dessin superbe, avec des couleurs tout à fait adaptées à l'ambiance générale.

Bon que dire.... déjà j'ai eu du mal avec les dessins. Je trouve les personnages mal finis et quelques fois mal proportionnés. Quant aux couleurs, elles sont trop uniformes et artificiels, pas du tout appropriés à une BD sur le thème des loups-garous à mon avis.
Sinon l'histoire est assez classique au départ mais la bonne surprise du scénario se situe au moment où on a l'explication de l'existence du Garou.
Pour conclure je dirais que c'est un album qui se lit vite mais sans grande passion. Il me reste à lire la suite pour voir l'évolution....

L'idée de départ est très bien trouvée: plus personne ne meurt et les hommes sont obligés d'utiliser des "lamineurs" qui servent de réceptacles aux âmes des personnes trop décrépies pour continuer à vivre en communauté et dont on détruit les corps. Je trouve ça très original.
Ce qui nous amène à la présentation séparée des principaux personnages de l'histoire qui ont tous un rôle à jouer en rapport avec ce drame de société.
On se prend très vite dans l'intrigue, les personnages sont peut-être un peu stéréotypés mais assez attachants et surtout la fin du 1er volume nous donne vraiment envie de connaître la suite.
Graphiquement, les dessins sont assez bons même si personnellement je trouve que les couleurs manquent de nuances ce qui donne un côté trop froid aux ambiances.
Bref, un très bon départ et un album plus qu'intéressant ;)

comme l'a si bien dit FredGren cette BD pourrait passer d'indispensable a chef d'oeuvre grace a son quatrieme et tant attendu tome"Jean ou le jour du corbeau" et c'est se qui vient de se passer en ce jour benit du 10/06/03.
C'est 1 chef d'oeuvre de plus de 70 pages que nous ont prepare Alice et Dorison et cette serie fais partie des plus grandes du septieme art et merite donc cette note (10/10). chef d'oeuvre a ne pas manquer donc...

Je dois dire que ce premier tome débute fort. On a trois personnes qui ont survécu à un accident de train et qui se retrouvent dans un tunnel où toutes les sorties sont obstrués entouré des cadavres des autres passagers. C'est dans cette ambiance tendue, pesante que se déroule le début de leur lutte pour survivre.

On voit bien que chaque personnage à sa manière de réagir face au drame qui le touche et sa façon de résister à la peur et l'effroi de cette situation peu enviable. En tout cas on apprend, à travers la réaction des personnages, à mieux les connaitre et c'est la première pierre d'une aventure qui à première vue ne s'arrêtera pas à un banal accident de train.

A première vue j'ai l'impression que nous avons à faire à une série très dure mais qui à le mérite de mettre en avant différents comportements face à une situation quelque peu hors du commun. De plus l'ambiance créée met le lecteur un peu mal à l'aise mais à tout de même le mérite de ne rien passer sous silence ce qui rend la situation plus que crédible.

Le dessin est plutôt bien fait même si je n'aime pas trop le dessin des personnages qui patr moment ont un air bizzare qui ne traduit pas, selon moi, l'état d'esprit réel dans lequel il se trouve. Heureusement ce dernier peut ce deviner par les action et les dialogues des différents personnages.

Comme je le disais il s'agit d'une série plutôt dur que je ne recommande pas aux âmes sensibles et aux dépressifs chroniques. Pour les autres il s'agit d'une très bonne série à lire.

Je dois dire que j'ai trouvé le scénario assez amusant mais un peu moins que les précédents. En tout cas l'idée de départ est plutôt bien trouvé. Astérix banni pour n'avoir pas su protégé un chaudron plein de sesterce il fallait le faire. Tout au long de l'aventure on assiste à des scène qui se veulent drôle mais qui personnellement ne m'ont pas fait rire du tout. For heureusement elles ne sont pas toutes dans ce cas. La scène où Obélix essaye de dresser son chien est franchement terriblement drôle.

En tout cas il s'agit d'un album bien agréable à lire.

Le scénario est vraiment superbe. On a la vie d'un klaniste du début (son entrée dans le clan) jusqu'à sa fin. Tout d'abord l'enfance du personnage est vraiment très bien traité. On apprend les raisons qui font que jackson rentre dans le klan et on s'apperçois que c'est surtout pour faire comme son père. Ensuite on assiste à son intronisation et au début de sa "formation de bon klaniste" qui est franchement bien traité.

Puis soudain petit saut temporel pour ce retrouver avec un Jackson d'une trentaine d'année. Cette ellipse montre bien que tout au long de ces années rien n'a changé (du moins en apparence) à part la position du personnage dans la hiérarchie du klan. Le reste de l'histoire c'est l'évolutionde la situation des membres du klan jusqu'à leur fin qui est à la fois logique mais terrible. On se rend bien compte qu'il n'y a pas que d'un côté les méchants et de l'autre les gentils mais que tout est bien plus compliqué.

Je trouve vraiment que le scénario est menée de façon efficace ce qui permet au lmecteur de rester plongé dans l'album jusqu'à la fin et franchement on ne voit pas du tout le temps passé et c'est encore le meilleur gage de qualité.

Le dessin est véritablement excellent. Il installe l'ambiance adéquat à l'histoire ce qui permet l'immersion dans ce monde dure et terrible qu'à été le notre à cette époque (et qui l'est encore aujourd'hui ne rêvons pas). De ce côté tout est bien retranscrit. Les traits des personnages reflètent parfaitement leur caractère et les décors bien rendus.

En bref c'est vraiment un peit chef d'oeuvre à lire absolument.

Le dessin est réussi même si curieusement, il m'avait paru mieux sur les quelques planches vues 'en preview' sur le net, je ne sais pas si c'est ma mémoire qui avait embelli les choses ou si réellement il pourrait être un peu plus 'fouillé', mais en tout cas, malgré ce petit défaut ( qui s'arrangera d'ailleurs sûrement au fil des albums) il reste tout de même de qualité.
Pour le scénario, le sujet me plait bien. Il s'agit néanmoins d'un album d'introduction et le rôle des machines dans l'histoire, qui sont pourtant omniprésentes, reste encore inconnu... d'ailleurs auront elles un role dans l'histoire ou n'est ce qu'un décor? Difficile de dire dans quel sens va s'orienter l'histoire, et c'est justement ça qui me donne envie de lire la suite!

Le scénario de cet album est plutôt pas mal à mon avis. L'histoire est originale, plutôt drôle et son traitement intéressant. Je dois dire que j'ai passé un agréable moment de lecture même si l'album n'entrera pas dans le lot de mes lectures inoubliables. Le seul petit reproche est que par moment certains passages se veulent drôle mais je trouve qu'ils sont plutôt ratté, ce qui n'engage que moi. Heureusement ils ne sont pas nombreux. De manière global le scénario est plutôt réussi.

Le dessin quant à lui est assez bien adapté au scénario. En effet il est clair et assez simple ce qui permet de bien illustrer le scénario et d'installer l'ambiance adéquat à ce genre d'album.

La mise en couleur est vraiment très réussie et allié au dessin illstre parfaitement le scénario.

Un immeuble avec un apartement à chaque étage (3) et des tranches de vie des habitants qui n'ont rien en commun et qui pourtant vont finir par se rencontrer. De l'humour simple et réaliste pour cette vision d'univers différents pourtant dans le même univers.

Seul petit reproche : la qualité d'impression de cet album issue d'une production indépendante. Mais ce n'est que le début de la carrière de Vanyda qui s'annonce prometteuse.

Cette aventure d'astérix fait partie de mes albums préférés. En effet le scénario est très bien mené, à un point tel que l'on est mort de rire tout au long de l'album. Mon passage préféré est celui où Obelix va ceuillir des fleur et où l'on apprend qu'il est timide : ). Je dois dire que cet album se moque bien de l'armée qui est soit dit en passant une source de gag toute trouvé de par ses excès hiérarchique notement.

Le dessin est toujours aussi réussi et sert très bien le scénario.

Dans cet album Godderidge nous présente un scénario de pur SF fort sympathique qui n'est pas sans rappeler Aquablue (du moins en partie). Celà dit on passe vraiment un agréable moment à lire cet album qui est, avouons le, assez prennant.

Floch lui nous a fait un dessin agréable à l'oeil qui colle très bien au scénario. Les personnage ont un graphisme très recherché. Les décors sont plutôt bien fait même si par moment j'aurais aimé qu'ils soient un peu plus détaillé et pas composé d'un fond quasi uni (ce qui est purement personnel et ne gène en rien la lecture).

Les couleurs de lyses mettent bien en valeur le dessin et les divers jeux de lumière et d'ombre sont plutôt réussi.

Bref nous voici devant un très bon album qui ne révolutionnera pas le genre mais qui fait passé un agréable moment de détente et c'est bien là l'essentiel.

Aujourd'hui Astérix reçoit à domicile les normands pour une aventure toujours aussi percutente que les précédentes. Franchement le scénario est une vrai réussite (encore : ) ). Tout est basé autour de la peur et de l'absence de peur des guerrier normands ce qui donne lieu à des situations très drôle que l'on ne peut qu'apprécier avec pour terminer cette moralité : le véritable courage n'est pas de n'avoir jamais peur mais plutôt de savoir vaincre ses peur.

Le dessin est toujours aussi réussi que d'habitude ce qui amplifie le côté humoristique présent dans le scénario.

C'est vraiment toujours aussi marrant qu'au début peut être même davantage d'ailleur. On passe vraiment un excellent moment et une fois le tome terminé on a tout de suite envie de passer au suivant. En un mot : superbe.

On est en 1976!
90% de la BD commerciale est empêtrée dans ses codes narratifs, depuis les années 60 une émergence "Adulte" est née, et est souvent victime d'un défoulement nécessaire.
Moebius, lui, INVENTE!
Il nous livre ce chef d'oeuvre muet, d'une beauté à couper le souffle, déboulonnant au passage tous les codes de la BD traditionnelle: scénario, dialogue, mise en pages, couleurs, format, tout y est révolutionnaire (snob, diront certains)!!!
Le genre de BD qui a offert la liberté d'expression aux auteurs d'aujourd'hui!

Et Moebius inventa la Performance BD!
Pas d'histoire préméditée, mais un immense cadavre exquis solitaire, qui évolue de semaine en semaine (dans Métal Hurlant) passant d'un style réaliste à humoristique à minimaliste à gothique flamboyant à etc...etc...
On perd des personnages en route, mais on s'en fiche, car nous sommes les témoins privilégiés d'une oeuvre totalement novatrice et jouissive!

A mon avis, le chef d'oeuvre de Bilal!
D'un point de vue graphique, Bilal n'a pas encore plongé dans la "BéDé peinte" et touve ici un équilibre très juste graphisme/couleurs tout à l'avantage de la formidable histoire qu'il nous livre.
Histoire hantée par des personnages fictifs/réels (Bruno Ganz), Des lieux en mutation prémonitoire (Paris et sa future banlieue de sauvageons illéttrés), teintée d'un mysticisme délirant et drôle...
Bref un subtil équilibre des moyens plastiques, narratifs et dramatiques, parfaitement maîtrisés, pour une BD très engagée que l'on est pas prêt d'oublier!

Quel dommage qu'une oeuvre aussi incroyable ait été aussi mal éditée en version Française!!!
Un exercice de style formidable, datant de 1903, qui consiste à lire la planche normalement, puis à la retourner en fin de page pour la terminer! (Et quelle économie de papier!)
Malheureusement, si cela fonctionne admirablement en Noir & Blanc, ça ne marche (presque) plus en couleurs!? Quelle mouche les a piqué chez Pierre Horay?
Par pitié Un éditeur courageux pour reéditer ce bijou en N&B!!!!

Les éditions Soleil nous ont habitué à une production essentiellement SF et HF et même un peu de fantastique avec des séries plus ou moins réussie selon les cas et les goûts. Ici nous voici dans un nouveau style plutôt fantastico-humoristique.

Je dois dire que Katja CENTOMO, Francesco ARTIBANI (pour le scénario), Alessandro BARBUCCI (pour le dessin) et Barbara CANEPA (pour les couleurs) on réalisaient un travail remarquable sur cet album.

Tout d'abord CENTOMO et ARTIBANI nous ont concoctés une histoire pleine de fraicheur et terriblement drôle. Les personnages sont vraiment hors du commun que ce soit Zick un petit garçon l'allergique à tout ce qui peut exister sur cette terre ou alors Elena Patate qui a horreur que l'on se moque de son nom et répond à tous les petits plaisantins par des arguments frappant.

Ce qui est le plus intéressant à mon avis c'est que ces 2 personnages se complètent au point que, sans réellement le vouloir, ils finissent par devenir amis et par s'entraider même si leur première rencontre n'est pas tout à fait fortuite.

Tout l'album tourne autour de ces deux garnements et plus particulièrement du pouvoir de Zick qui est de voir des monstres et des fantômes dont certains lui demandent de l'aide. Tout l'album est construit sur le raisonnment des enfants ce qui donne une fraicheur certaine que l'on est peu habitué à voir en bande dessinée et c'est un véritable régal.

Le dessin quant à lui est vraiment excellent. Les personnages sont très recherchés et ont une représentation graphique correspondant parfaitement à leur psychologie. De plus les expressions de leur visage sont remarquablement traduite et accentué ce qui renforce le côté humoristique du scénario, un véritable régal pour les yeux.

En bref j'ais passé un excellent moment de détente à lire cet album dont j'attend impatiement la suite.

Et bien à mon goùt, c'est du très bon Morvan et pis aussi du bon F. Porcel.
Le sujet me plait bien, un flic en reality show (d'où le titre :mrgreen: ) et en vrai direct. Toutes les dérives de ce genre de programme sont passées par le fil de la caméra (à défaut d'épée). De là à nous faire réfléchir sur le futur de la télé....
Pour le dessin, très efficace, je suis pas loin de penser que Porcel à sa place au studio 510 TTC (si ce n'est déjà fait). En conclusion une bonne BD à lire et une série prometteuse

Quelle magnifique leçon d'histoire! ! Quel plaisir pour moi de découvrir l'histoire d'un Vietnam fini-médiéval envahit et soumis par la puissante Chine des Ming !
L'auteur, song, nous emmène à la découverte de la culture du Pays du Fleuve Rouge, de ses traditions de ses aspirations, de sa fierté. Tout est dit : la force comme la faiblesse des personnages. On voit les Vietnamiens qui collaborent avec les Chinois mais aussi ceux qui résistent et nul n'est épargné par le destin d'un pays conquis qui refuse de se soumettre. On sent la réalité du problème à travers les choix du prévot et de ses 2 fils dont l'un refuse de collaborer, et le résultat final de ces choix. Les Chinois sont eux-mêmes diviser sur la politique à adopter : le gouverneur veut négocier et assimiler les grandes figures du Dai-Viet (le lettré Trai) tandis que son frère est le général chargé de soumettre la population. La résistance même est divisée et cherche un chef qui ferait l'unanimité, un dragon capable de tenir tête aux Ming.
Le dessin de Song est superbe: paysages, personnges, couleurs, ambiances créent une atmosphère authentique, réelle, splendide et c'est pure merveille de les contempler.

Une histoire d'amour à travers les sens, les regards morcelés des protagonistes qui se découvrent lentement.
Chaque planche est un régal, une respiration, une douce musique sensuelle, un parfum qui sourd de la peau et de l'encre du pinceau...
Les auteurs n'ont, je crois, pas réïtéré leur expérience graphique et littéraire,sans doute se sont-ils envolés dans leur spirale amoureuse...
Dommage pour nous.

Ce n'est pas la partie du Donjon que j'ai le plus aimée. Le dessin est de bonne qualité, mais le scenario m'a un peu déçu, déçu est un terme un peu fort, disont qu'il ne m'a pas passioné. Bon j'ai tout de même passé un agréable moment et je continue mon exploration, je ne suis pas prêt de m'arréter....

La collection loge noire comprend plusieurs séries fortes intéressantes et on peut déjà dire que "Les passants du clair de lune" en fait partie. Avec un scénario plein de mystère et de magie cet album, qui plante le décor d'une série aux perspectives d'évolution très intéressantes, donne véritablement envie au lecteur d'en apprendre plus sur cette histoire.

Dans cet album nous avons trois parties et chacune est vraiment très intéressante. Nous avons le conseil des 10 dont le rôle, les motivations et surtout les méthodes utilisées démontrent bien que ce sont des êtres sans scrupule prêt à tout pour avoir ce qu'ils désirent.

D'un autre côté nous avons la fraternal compagnia qui semble être très mystérieuse notamment concernant ses objectifs mais dont tous les membres sont solidaires des autres.

Enfin la dernière partie présente dans cet album est la femme en blanc qui reste très mystérieuse et dont on ne sait rien mais qui, bien que sont rôle soit secondaire dans cet album, semble être essentiel pour l'avenir de la série.

Toutes ces parties se croisent, s'affronte tout au long de l'album sur fond de magie, de meurtre, de vengeance, d'amour et de haine. En tout cas une chose est sûr il faut savoir se méfier des apparences une fois l'album refermé on a plus qu'une envie : lire la suite pour en savoir plus.

Le dessin quant à lui est vraiment superbe. Son efficacité est marquée par son élégance, sa sobriété qui nous donne non seulement un dessin très appréciable mettant en avant le scénario mais aussi par moment à des cases vraiment superbes qu'on ne peut qu'apprécier.

Une bonne touche d'érotisme, la même dose de romantisme et une petite pointe d'humour en fond un des chefs-d'oeuvre du genre et une des plus belle pièces de ma bibliotheque !!!!

A LIRE !!!

Le scénario est vraiment très bien fait. En effet les allusions aux cliché sur les anglais et leur culture sont menés de main de maître avec un humour très efficace ce qui a pour conséquence de rester plongé dans l'album du début à la fin sans jamais s'ennuyer.

Le dessin est également très réussi comme d'habitude ce qui rajoute à l'intérêt de l'album.

Cette série est tout simplement sublime !
Les dessins sont de toute beauté, ils ont du charme, du caractère, les couleurs sont envoûtantes et le tout nous plonge dans une ambiance qui nous fait voyager et oublier le monde qui nous entoure.
Ce climat est renforcé par le scénario qui dès le début du premier tome nous implique rapidement et directement dans l'action et on se met vite dans la peau des personnages. D'ailleurs ces derniers sont plus que vivants et entiers: ils ont chacun un caractère qui est parfaitement dépeint et qui "colle" à l'histoire.
Dernier point: les décors du zoo. Alors là, je paierais très cher pour avoir un jour la chance de visiter un lieu si enchanteur et si parfaitement coupé du monde. Le genre d'endroit qui nous donne envie d'y rester et d'oublier qu'il y a un univers autour !
Pour conclure, comme vous l'aurez remarqué, j'ai adoré cette série et je ne peux que vous encourager à la lire. Si pour vous BD est synonyme de voyage, d'évasion et de rêve... foncez !

Un scénario assez intéressant mais qui mérite d'être développé davantage avant de se prononcer sur son réel intérêt. En tout cas ce premier album (qui sert surtout d'introduction à mon avis) est plutôt intéressant et possède un grand potentiel.

Le dessin quant à lui est très réussi, les personnages sont plutôt recherchés et leur représentation graphique colle bien à leur personnalité. Personnellement ma planche préféré est la 15 (page 17) avec la représentation des chevalier que je trouve particulièrement réussie.

Il s'agit donc d'une série plutôt prometteuse dont seul la suite en fera une série de "qualité" ou non.

Le dessin est fort agréable, je lui reproche juste (mais c'est un petit défaut) un aspect trop 'lissé' donnant par moment une impression de flou dans les contours (ou alors j'ai besoin de lunettes). Le scénario se tient bien, avec un côté un petit peu fantastisque pour l'instant encore discret, mais qui je pense sera développé par la suite. Bref, une très bonne entrée en matière et cela fait plaisir quand on sait qu'il s'agit de nouveaux auteurs, nouvelle série, nouvel éditeur! Pour ma part, je n'hésiterai pas à acheter le tome 2.

On peut être un peu déçu de ce 3e tome de Baker Street quand on a beaucoup aimé les deux premiers.
Plus d'enquête dans celui-ci, il s'agit d'une histoire complète aux rebondissements plus espacés et avec moins de vacheries dans les dialogues entre les personnages. C'est un peu dommage et on ne peut qu'espérer de revoir Holmes et Watson revenir au 21b Baker Street pour y retrouver leurs enquêtes si proches de l'original et permettant les situations les plus délirantes et les répliques au vitriol.

Comme le premier tome, voici de nouveau les aventures de Sherlock Holmes et du Dr Watson.
Toujours aussi drôles et cruel dans les dialogues, il s'agit ici d'une série d'enquêtes présentées dans une histoire générale.
Holmes est ainsi terrassé par une violente déprime alors qu'il se trouve dans l'incapacité de résoudre les enigmes qui lui sont présentées, situation d'autant plus cruelle que le Dr Watson en profite largement pour prendre sa revenche sur les vexations dont il est habituellement l'objet.
C'est toujours aussi bien écrit, l'histoire en parallèle qui débute et termine l'album apportant d'ailleurs une excellente touche de mystère et de fantastique, tout en gardant à l'ensemble son côté parodique décalé.
Un second tome dans la droite ligne du premier.

Sherlock Holmes version déjantée, c'est la définition que je donne de cette excellente série qu'est Baker Street.
Tout en gardant un univers très proche de celui du célèbre détective anglais, les auteurs nous proposent ici une parodie humoristique à la fois brillante et complètement loufdingue.
Sherlock Holmes est présenté comme un personnage d'une intelligence aussi grande qu'est son ego, mais surtout considéré avec mépris par la bonne société britannique !
En parallèle, le Dr Watson, lui, brille de la gloire des journaux et de la gente féminine, depuis qu'une erreur de compréhension a fait qu'on lui prête d'avoir traité la Reine Victoria de "Grosse méduse" alors qu'ils étaient en écosse.
En rapport avec le fameux duo, l'inspecteur Lestrade fait figure de souffre douleur doublé d'un incroyable crétinisme qui font de lui l'idiot de la série.
A ces personnages bien plantés, ajoutons des enquêtes plus ou moins farfelues résolues de manière particulière, des dialogues savoureux, des situations cocasses, et vous obtenez un album irresistible d'humour et de cruauté.
Un vrai plaisir.

Ce tome 4 est donc la suite des pérégrinations d'Holmes, du Dr Watson, de cet imbécile de Lestrade, de Mme Hudson et de quelques autres personnages qui courraient après un héritage pour les mener en Indes.
Le t3 manquait à mon sens un peu de vigueur et était un ton en dessous des 2 premiers, cette suite est nettement plus drôle et tourne essentiellement autour du personnage de Moriarty.
Ce ne sont pas vraiment les aventures d'Holmes et de sa bande qui donnent à cette série son originalité, mais plutôt les dialogues savoureux bourrés de vacheries distillées au goutte à goutte un peu partout.
On rit à la fois des situations absurdes dans lequel s'empêtrent les personnages, bons comme méchants, et des répliques qui font mouche à tout les coups. Un vrai délice à déguster douilletement rien que pour le plaisir de la lecture.

si l'histoire reste toujours aussi glauque.... le dessin lui est encore plus beau ! les 3 premiéres pages, qui nous replongent dans le passé de Mouche et nous fait comprendre son surnom de lune, sont tout simplement magistrales! les décors et l'ambiance art déco sont toujours aussi beaux (eh oui j'aime pas le glauque mais j'aime bcp l'art déco )
Et les visages sont plus beaux! en particuliers page 18-19 le visage d'Estache a une certiane beauté et un charisme qui lui était absent auparavant...
pour revenir à l'histoire,... je dirais que j'ai trouvé émouvante la façon dont est montré le passé de Mouche, et que la fin à suspens va certainement me faire lire la suite....

Je débute la série par ce tome qui m'a enthousiasmée. Les dessins sont agréables et l'humour est omniprésent! Un Sherlock bien différent du personnage original de C.Doyle, un peu farfelu mais très plaisant. L'action est en plus bien menée et on suit les pérégrinations des héros sans s'ennuyer un seul instant. Si vous aimez les aventures humoristiques, je vous conseille cette très bonne BD.

Certainement le meilleur Valerian (ce qui n'est pas peu dire, vu la qualité de la série). Le scénario de Christin est une vraie merveille (bonne approche de l'asservissement des peuples) et Mezieres atteint des sommets en matière d'illustration. On est bien loin des productions modernes mais on ne peut qu'admirer son travail. Les ambiances glauques et les décors sont extremement bien rendus, surtout sur les territoires du maitre.

un dessin qui me fait penser aux comic trips... une histoire légére... mais souvent racontée de façon lourde (je pense en particuliers à une certaine scéne qui m' a fait penser à mary à tout prix) une fause réflexion sur l'amour et une vraie série de déboires qui m'a fait moyennement rire...
je pense que cette BD devrait plaire à ceux qui ont aimé le combat ordnnaire.... ce qui n'est pas le cas

pour l'histoire... pour donner une idée de l'ambiance je dirais que c'est les brigades du tigre du côté des bandits version trash... bon effet, c'est glauque, presque une chanson réaliste où tous les malheurs tombent sur les héros...mais l'histoire capte bien l'attention... mais bon on se sent pas très à l'aise à la fin de sa lecture....
pour le dessin... je trouve les visages laids... mais cela semble presque un choix de l'auteur plutôt que la réelle représentation de son talent.. Mais, ce qui fait que cette BD mérite le détour c'est les décors d'inspiration art déco qui sont de toute beauté!

une bd singuliére, cruelle à ne pas lire un soir de coup de blues...

X-MEN : Enfin ils arrivent !! La série qui va révolutionner le monde MARVEL et du COMICS à long terme (plus de 20 ans et ça dure toujours !!). On peut regretter que pour la compréhension de la série et la constitution de la nouvelle équipe, LUG n'ait pas à l'époque commencé par l'épisode Hors Série d'UNCANNY X-MEN GIANT SIZE 1 qui expliquait les origines des nouveaux membres (Problème de droits ?).
Dans ce premier épisode scénarisé par Chris CLAREMOTN (Le giant size l'était par WEIN), on peut déjà constater dans la première partie que les relations et la psychologie des personnages prendra une place importante.
Les dessins de Dave COCKRUM sont pas mal (en attendant BYRNE....) mais il n'arrive vraiment pas à dessiner le FAUVE.

L'ARAIGNEE : la série proposée dans SPECIAL STRANGE sont des sortes de JOKE comparés à la série principale éditée par STRANGE où notre Tisseur est toujours allié à un autre super-héros. Dans les deux épisodes proposés dans cet album tout les deux dessinés par Ross ANDRU (l'un des meilleurs à mon gout pour l'ARAIGNEE) il est allié à la TORCHE HUMAINE. Le premier est un conté de Noël pensé par Roy THOMAS dans lequel on peut commencer à deviner la future rédemption de l'HOMME SABLE.
Le deuxième trés moyen au niveau scénar du pourtant pas mauvais Gerry CONWAY les oppose aux TERRIFICS dans le QG des FF (scénar pratiquement repris à l'identique dans un futur NOVA).

LA CHOSE : Comme l'Araignée, BENJY est toujours allié à un autre héros MARVEL en l'occurence ici THOR dans un épisode complétement idiot et niais scénarisé par ... Chris CLAREMONT ! Comme quoi on ne peut être bon à tout coup !!!!

Le scénario est plutôt pas mal, une bonne introduction qui demande tout de même un sacré paquet d'éclaircissement. Par contre je trouve certaines scènes un peu décevante car les réactions sont peu crédible notament la scène des retrouvailles vers la fin qui est comment dire.... un peu légère et la quasi absence de réaction de Carmen est tout de même peu convainquante enfin c'est mon avis.

Le dessin est également assez réussi. Le trait est fin, précis, efficace. Le seul problème que j'ai c'est avec le personnage de Carmen Mc Callum. Par moment en regardant le dessin du personnage j'ai l'impression qu'elle est beaucoup plus vieille par rapport aux album précédents mais aussi au reste de l'album Le passage le plus visible selon moi étant à la dernière planche.

Un album plutôt pas mal mais qui, en ce qui concerne le scénario, nécessite d'avoir la suite pour pouvoir véritablement juger de sa qualitée.

Je ne pensais franchement pas accroché autant à cette BD. Le scénario est bon ; l'auteur plante d'emblée le décor et l'ambiance. On tombe rapidement dedans et on en redemande (j'ai hâte de lire la suite). Il y a de l'action et on ne s'ennuie absolument pas.
Un dessin très expressif qui m'a beaucoup plu (et pourtant je ne suis pas une grande amatrice de Crisse) .
Au passage, j'ai bien aimé l'allusion à Vatine et à Blanchard sur l'une des planches.

Ce premier album débute très bien cette nouvelle série. Le scénario est prenant. On y reste plongé d'un bout à l'autre de l'album. Seul petit regret : j'ai l'impression que les personnages ne sont pas suffisament développés même si au niveau de leur psychologie il y a un grand potentiel au vue de ce qu'il nous a déjà été révélé.

Le dessin est vraiment très bien fait et efficace. Le mélange des représentations entre humains et annimaux est très intéressante notamment en ce qui conserne a mise en valeur graphique de la psychologie des personnages. En effet le dessin nous donne des indication sur le type de personnages à qui nous avons à faire.

En conclusion je trouve qu'il s'agit d'un très bon album qui vaut le coup d'être lu.

C'est super.
11 fables mises en BD par 11 auteurs dont Robin, Dethan, Ogier et Plessix.
Du bon travail, plein d'humour qui donne vraiment envie de se replonger dans les fables de monseir de La Fontaine. Quelques clins d'oeil dans certaines planches, comme le triangle de "Vache qui rit" que le corbeau de la fable tient en son bec ou le plan de métro dans "Le chat et le renard" ou encore le clin d'oeil à la fable du "corbeau et du renard " dans "Le renard et la cigogne".
J'ai même trouvé 2 fables que je ne connaisais pas : "La chauve-souris et les deux belettes" et "Les deux mulets".
A découvir donc.

L'histoire de cette brave Thoru Honda (quand même très naïve, y'a pas à dire) et de ses copains de la famille Soma, qui ont le chic de se transformer en l'un des animaux du zodiaque chinois quand une fille les prend à bras le corps se poursuit. Encore quelques nouveaux personnages : Ayamé le serpent, frère aîné de yuki, qu'on dirait tout droit sorti d'un manga yahoï avec ses longs cheveux argentés et ses robes (très élégantes et parfois bien détaillées) ainsi qu'une rencontre avec le mystérieux et sombre Akito le chef de la famille Soma (par contre on ne sait pas s'il est possédé par l'un des signes du zodiaque chinois). Des moments tristes aussi comme celui où on apprend que Momiji a été "renié" par sa mère.
L'auteur semble vouloir présenter un nouveau Soma possédé par album... pourquoi pas ? J'éspère quand même que l'histoire avancera parallèlement à ses présentations. Pour l'instant peu de nouveaux éléments.

Je dois dire que je ne m'attendais pas à ça: je suis déçu !
Tout d'abord les dessins: je suis désolé de le dire mais on dirait vraiment du "sous-manga" les personnages sont mal proportionnés, les postures parfois ridicules, bref ça me fait penser aux petits dessins qu'un copain faisait à partir des Chevaliers du Zodiaque quand on était ado
Ensuite le scénario: ben... y'a pas grand chose à dire... c'est trop classique et sans surprise. Des êtres différents des autres qui se font bannir de leur village, qui rencontrent plusieurs dangers en chemin et le héros qui tombe sur un grand méchant et veut venger ses amis tués par ce dernier. C'est tout et on reste sur sa faim
Voilà, je suis désolé pour les auteurs mais franchement ça m'a déçu...

Silence est un garçon de ferme muet et simple d'esprit. Il va rencontrer une sorcière qui va lui ouvrir l'esprit sur la vérité, une vérité qui fait mal.

Silence est un roman noir qui dépeint à merveille les terribles secrets des campagnes ardennaises.

Ce dernier tome est véritablement sublime. Le scénario est vraiment très profond, les personnages ont véritablement une personnalité très fouillés, développés. De plus cette histoire fait naître une large palette d'émotion chez le lecteur. A un moment c'est la joie, à une autre la tristesse mais aussi la colère. En tout cas ce scénario ne laisse pas indifférent et pousse le lecteur à la réflexion.

On peut même dire, à mon avis, que certaines personnes peuvent se reconnaitre dans certains personnages ou à travers certains évènement. Les réactions du personnages principal, Hiroshi, sont, je trouve, celles qui donnent le plus à réfléchir car même s'il est un homme de 48 ans dans le corp d'un enfant de 14 ans ses réactions ne sont pas toujours celles que l'on attend d'un adulte mais parfois celle d'un enfant. Après tout peut être qu'un adulte n'est rien d'autre qu'un grand enfant : ).

Pour ce qui est du dessin ce dernier est également magnifique et fait passer toute les sensations, les sentiments dégagés par le scénario. Il s'agit d'un style terriblement efficace qui fait de cette oeuvre un monument incontournable du manga.

Ce deuxième opus est, je dois l'avouer, bien meilleur que le premier. Il est à mon avis plus profond et pousse la réfléxion à un niveau plus élevé que le précédent. Il s'agit véritablement d'un chef d'oeuvre à ne manquer sous aucun prétexte.

Alors, dans l'humour froid là chapeau ! On atteint des sommets, un vrai régal de description de l'univers ahurissant nord coréen. On rigole même si l'on connait la triste réalité (enfin si l'on croit la connaitre) !
Coté dessin, c'est fou comme Delisle est habile pour illustrer son propos, même dans une toute petite case !

Pour simplifier ma pensée sur l'art de Fred, on va dire qu'un demi-siècle s'est écoulée mornement entre les grands inventeurs américains du début du 20ème siècle, Winsor Mc Cay, Gustav Verbeeck notamment...et lui.
S'il pouvait nous obliger à utiliser une boîte à outils pour le suivre dans les méandres de sa narration...
Ce type me scie!

Encore un chef d'oeuvre de FRED!
Chaque semaine, dans Pilote, il arrivait presque à me flanquer la trouille, avec ses histoires "inhumaines".Ses lavis sur la vie, mine de rien, valaient bien un cours de philosophie...
Rêve, cauchemar, poésie, fantastique, expressionisme, show-biz rive-gauche, humour noir et gens du voyage, que du bonheur!

Le scénario est aussi bon que dans le premier tome. L'aspect mystique est davantage développé et ce de manière efficace et intéressante.

Le dessin quant à lui est vraiment très bon. Il sert parfaitement à illustrer le scénario même si c'est un style qui ne plaira pas à tout le monde.

Pour ceux qui l'apprécient c'est une BD à lire et à relire.