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Déjà le troisième tome, mais on a l'impression qu'il a été réalisé en même temps que les deux premiers tant l'identité est forte.
Quelque soit la planche, on reconnait que c'est du Leo et que c'est du Bételgeuse.
Et comme les deux premiers étaient très bon, on se régale encore avec celui-ci.
Un deuxième tome dans la continuité directe du premier : magnifique !
L'histoire est toujours aussi prenante et le style graphique faussement désuet lui sied à merveille.
Vivement recommandable !
Cette album fait suite à la série Aldebran mais peut se lire sans connaitre le premier cycle.
En apparence très simple, le dessin est envoûtant par sa poésie, par les édécors magnifiques et les animaux fabuleux.
L'histoire est fascinante et comme Leo sait très bien terminer un album, on n'a qu'une envie : lire la suite.
Très très prometteur !
Je dois dire qu'il s'agit ici d'une bonne surprise. On a un scénario qui tiens bien la route avec une possibilité d'évolution plus que prométeuse. Pour ce premier album cette histoire assez classique il faut bien l'avoué est mené de manière plutôt intéressante avec des personnages bien développés. Le héro est quelqu'un de déterminé à jouer son rôle jusqu'au bout quoi qu'il en coute. Il peu de prime abord paraître très sensible ce qui est mis en exergue dans les scènes avec sa fille qui sait le rendre attachant mais il sait être aussi déterminé tétue. Il ne fuit pas ses responsabilité et est prêt à aller jusqu'au bout de sa mission même si celà doit lui couter la vie. De plus le personnage de la petite fille aveugle qui joue du violon apporte à cette oeuvre pleine d'action une petite touche de poésie. Sa cécité lui permet d'avoir une "vision" assez relative et différente des choses par rapport aux autres et bien souvent elle sait aller au delà des apparences et trouver la véritée là ou d'autres s'arrêtes à ces apparences.
Le dessin est très réussi avec eut être commedéfaut des couleurs assez flashi alors que les personnages évoluent dans un monde sombre que seul les éclairs illuminent.
Bref un album très bien qui m'a fait passé un bon moment, vivement la suite.
Une série à première vue très intéressante étant donné qu'elle devrait nous compter la vie du chevalier errant dont on fait la connaissance dans ce premier album. En effet ce tome nous présente tout d'abord le chevalier errant en commençant par une scène d'action ce qui nous permet de voir tout son talent dans le maniment des armes. Ensuite Swolfs nous ammène dans une situation où le héros se met à raconter sont enfance. Tout cet album sera consacré sur cette partie de la vie du chevalier de ses origines jusqu'au début de son apprentissage du combat.
Je dois dire que j'ai bien aimé cet album qui montre que dès le départ le personnage principal est déjà bien évolué tant sur le plan psychologique que sur le plan graphique. La situation de départ est très claire et même peut être un peu trop. A la fin de l'album on ne peu pas dire que l'on se pose de questions sur le personnage en lui même plus peut être sur l'évolution de sa situation dans la partie du "présent" mais on n'a que très peu de suspense ce qui m'a un peu déçu au final.
D'un point de vue graphique on est heureux de retrouver Swolfs au dessin car il y excèle. Son trait est fin, précis et très détaillé. On peut aussi remarque que ses personnages son assez proches de ceux du "Prince de la nuit" notemment pour les méchants où c'est le plus flagrand. De plus l'utilisation de ton clair pour les couleur permet de bien recréer l'ambiance un peu particulière de l'époque à laquelle se déroule l'histoire.
En bref un album fort plaisant d'un point de vue scénaristique et une totale réussite d'un point de vue graphique qui m'a un peu laissé sur ma faim.
Le scénario est classique et distrayant. Je ne me suis pas ennuyé une minute tout au long de l'album. Les classiques de l'héroïc fantasy sont plutôt bien respectés ce qui donne une histoire efficace qui fait passer un bon moment. Reste à voir maintenant comment le scénario évolura dans les prochains tomes pour si l'intérêt sera maintenu mais je ne me fait pas trop de soucis avec la trame de fond qui se dégage de ce premier tome.
Le dessin est une véritable réussite tout comme la mise en couleur. Non seulement la couverture attire le regard du lecteur mais en lisant l'album on n'est franchement pas déçu. Pas de changement de style comme dans certains albums qui au final déçoivent toujours un peu. Ici le trit précis et détaillé d'Istin associés aux couleurs vives ou sombres (selon le passage et l'ambiance souhaité) sont vraiment agréables et aident le lecteur à se plonger dans l'histoire.
En résumé voici un album qui m'a fait passé un excellent moment et qui plaira surement à tous les fans de HF.
Cette réédition en un seul volume des trois précédents est une vraie réussite sur le plan graphique tant le noir et blanc donne à ce thriller une dimension étonnante. La densité de l'histoire est par ailleurs beaucoup mieux mise en valeur par cette édition modernisée proche du "roman graphique". Une vraie réussite donc, sur tous les plans.
Par coyote, un monde bien particulier mais vraiment accessible et drole.
L'humour de coyote n'est pas vraiment léger mais après deux albums un ton en dessous, il revient avec ses jeux de mots tordants.
c'est un vrai monde comique, à part et très vivifiant.
pour ceux qui ne conaissent pas, il faut à mon avis commencer par le 3 ou le 4.
C'est un chef d'oeuvre.
Il n'y a pas d'autres mots.
C’est reparti pour un nouveau cycle, et le moins qu’on puisse dire, c’est que l’excellent souvenir du 1er (5 tomes) est relayé par le plaisir de retrouver nos 2 héros (Gil et la « fliquette beur » Djida) pour un nouveau challenge …
S’inspirant de sujets d’actualité brûlants (comme l’excellent film « Chaos »), J.C. Kraehn construit une histoire palpitante où le duo va unir ses efforts pour sauver Viviane (belle sœur de Gil) rattrapée par son passé de prostituée de luxe, et Drissia (petite sœur de Djida) « rapatriée » en Algérie pour un mariage forcé … les 2 victimes se retrouvant « sœurs de larmes » (titre de ce 6e tome).
Sylvain Vallée (auteur du petit bijou « L’écrin ») au dessin et Patricia Jambers aux couleurs achèvent la réussite de ce début de cycle dont on attend déjà avec impatience les prochains rebondissements et … l’évolution des sentiments du duo de choc !
Dernier album de la série se décomposant en deux épisodes :
- Le premier est le plus long des deux. Un scénario qui prend le temps de la mise en place des personnages et de leurs relations (KA-ZAR et TONGAH) avant de se terminer plus classiquement par un affrontement entre KA-ZAR et le méchant chasseur venant du monde extérieur
- Le deuxième épisode est superbement dessiné par JOHN BUSCEMA qui fait de KA-ZAR un être sauvage e ttrés violent (un nombre de morts trés élévé pour une telle production !) trés proche de son CONAN. KA-BUR n'a jamais été aussi bien dessiné. Le scénario de GERRY CONWAY est au diapason violent et barbare !!!
Une bonne série donc qui nous présente un KA-ZAR trés éloigné de celui rencontré par SPIDERMAN, DAREDEVIL et autres X-MEN (un TARZAN du pauvre trés romantique et pas méchant pour deux sous...)
Dans ce second opus comme dans le premier l'humour et la fraîcheur sont toujours de rigueur. Ici l'aspect mystique se développe de plus en plus et les méchants sont vraiment méchant. Plus rien à voir avec le "petit" méchant de début pour nous mettre en condition, on sent que l'on va vraiment passer aux choses sérieuses sans réellement y passer dans cet album. On a ici plus une amorce de l'intrigue que l'intrigue réellement dévelloppé. Personnellement j'ai adoré cet album qui fait que, comme le précédent, on retrouve un peu son âme d'enfant ce qui est un pure bonheur.
Pour le dessin ce dernier est toujours aussi efficace et plaira au etits comme aux plus grand.
Un album dans la lignée du second qui plaira à tous ceux qui aiment ce style.
Dans ce nouvel opus toujours aussi délirant nous retrouvons notre p'tit pimousse favoris Sangoku (petit mais costaud : ) ) qui repart une nouvelle fois à la recherche de la dragon ball de son grand père.
Ici humour et combat sont quasiment indissociable et vraiment très efficaces. Durant quasiment toute la lecture de l'album j'ai passé mon temps à rire. Cependant j'ai trouvé que vers la fin de l'intégrale l'humour avait tendance à être un peu moins efficace et trop répétitif mais elle reste tout de même d'un bon niveau et certains passages sont vraiment très marrant.
Bref un très bon moment de lecture comme on les aime.
Le scénario de ce second opus est toujours aussi intéressant que le premier. En effet l'histoire avance de manière assez lente ce qui permet au scénariste de la développer convenablement sans utiliser de raccourcis. Les personnages eux même évoluent au fil de l'album et aux même rythme que le scénario.
Le dessin est toujours aussi réussi et aussi précis. Les persoonnages et leur costumes sont très détaillés sans pour autant et surchargé. J'ai d'ailleur une petite préférence au niveau graphique pour les seigneurs Zéïdes qui sont les plus réussis à mon goût.
Cet album m'a vraiment fait passé un bon moment de lecture sans pour autant me passionner autant que certaines autre séries SF. Il est tout ne même d'un niveau plus qu'acceptable et à mon avis cette séries devrait encore évoluer dans le bon sens par la suite.
Cet album est servi par un excellent scénario d'Istin qui reste davantage comme une adaptation en BD du "seigneur des anneaux" que comme une histoire vraiment originale. Celà n'empêche pas cet album d'être captivant et terriblement prenant.
Le dessin quant à lui est incontestablement une réussite. Les traits sont fin, précis et efficace. De plus la mise en couleur est véritablement superbe à part certains détail comme pour les scènes intimiste ou l'utilisation de couleur un peu trop clair à mon goût pour les scène de jour.
Cet album est une véritable réussite et j'en conseil la lecture à tous les fan de l'oeuvre de Tolkien.
"Tout bonnement excellent". Ce sont les premiers mots qui me sont venus à l'esprit en refermant cet album. L'intrigue est vraiment très bien développé au point qu'à la fin de ce tome toutes les hypothèses que j'avais émises à la fin du premier album se sont envolés en éclat au point de me demander qui sont réellements ces personnages dont aucun sauf April ne semble être ce qu'il prétent. La fin de cet opus est des plus sidérant en particulier la planche 45 (page 47) qui est des plus sidérante et nous laisse sur la fin vraiment ébahi et frustré de devoir attendre un an au moins avant d'avoir la suite.
Le dessin est, quand à lui, d'une grande qualitée et d'un style que j'apprécie beaucoup. On sent vraiment qu'il y a eu une évolution positive depuis le premier album qui se poursuivra surement dans la suite.
Voici donc une série vraiment excellente que je recommande à tous car elle ne vous laissera pas indifférent.
J'ai adoré cette série. Les dessins de Plessix sont d'une finesse remarquable et les couleurs de Rabarot conviennent à merveille. Les paysages sont superbes. Au niveau du scénario, on est content de découvrir un héro profondément humain qui souffre tout au long de son parcours initiatique et auquel on peut s'identifier. L'histoire de cet adolescent qui devient adulte au fil de ses aventures est donc parfaitement maitrisée par un Dieter au mieux de sa forme. A noter que le dessins de Plessix évolue en meme temps que son héro.
Une excellente découverte, donc!
Le scénario est intéressant et présente les personnages ainsi que l'univers dans lequel ils évoluent ce qui est classique pour un premier album d'une nouvelle série. L'humour est très présent avec par moment des scène de franche rigolade bien agréable et très appréciable. Le fait de prendre pour héros des personnages totalement incompétents et stupides est une bonne idée car celà permet d'introduire l'humour de façon plus efficace qu'avec des personnages sérieux et parfait comme on en voit souvent.
Du point de vue dessin le style est là déjà bien maîtriser même si il n'est pas parfait et manque un peu de maturité celà s'améliorera avec l'expérience. En tout cas le niveau me semble très bon par rapport à mes lectures habituelles.
Voilà donc un album que j'ai bien apprécier et dont la suite viendra surement dans ma bibliothèque à sa sortie.
Il s'agit de l'une des aventures d'Astérix que j'ai le moins aimé. J'ai trouvé le scénario plus qu'ennuyant et l'humour quasi absent. On ne peut pas dire que ça bouge vraiment et j'ai même failli m'endormir en pleine lecture. Non de tous les albums c'est l'un de ceux que j'ai le moins apprécié.
Le scénario est très intéressant car l'intrigue se met lentement en place tout en intéressant le lecteur. Ceci est due à mon avis à la psychologie des personnages déjà très développé dans ce premier opus et au mystère qui les entourent. Le personnage de Louise et son évolution tout au long de l'album et très bien mis en scène. On se rend compte de tout le cheminement psychologique qui l'ammène à la situation finale qui ne laisse présager rien de bon quand à son devenir (du moins je le suppose). La seule chose qui m'a un peu géné c'est qu'elle maitrise un peu trop rapidement son pouvoir mais ce détail ne nuit en rien l'intérêt du scénario.
Le dessin quant à lui est efficace et les personnages fort bien représentés. Les effets magiques sont également réussi et renforcent l'aspect spectaculaire des sorts lancés. Le passage de la pièce en blanc fait vraiment penser au film matrix même si ce dernier ne fait pas partie des références du dessinateur pour la mise en scène.
Un très bon album qui m'a fait passer un bien agréable moment de lecture.
Voilà une BD que j’ai lu d’une traite. Il n’y a pas de temps mort et les événements s’y succèdent rapidement.
Le scénario ne remportera pas le prix de l’originalité puisque la trame est assez conventionnelle pour une série d’Heroic Fantasy. Il est donc classique dans le fait que les Dieux demandent l’aide d’une Sylve (sorte d’elfe) afin de sauver le monde du Chaos. Elle sera aidé dans cette quête par quelques compagnons (issus de différentes races) introduits dans ce premier opus.
Par contre, le monde et l’ambiance y sont excellent. Le scénariste maîtrise parfaitement un univers extrêmement peuplé et complexe. Les rapports dépeins entre les Oslans (sortent de nains à la mode Gimli) et les Naadirs (des humanoïdes de petites tailles gentils et soumis) nous changent des habituels nains, orcs, elfes et hobbits repris dans la plupart des séries HF dérivés des romans de Tolkien et des JDR classiques. On en vient très vite à soutenir le pauvre Albian et son peuple. Celui-ci fait même passé l’héroïne Elya (Sylve sexy de son état) au second plan.
Les dessins y sont très beaux. Les traits sont fins et précis pour un découpage cinématographique d’un très bel effet. Le dessin est vivant et coloré grâce à une grande maîtrise des dessins, temps au niveau des décors qu’au niveau des personnages (me rappelant les forêts d’Opale). Un petit côté manga est perceptible (cf Les Chroniques de la Guerre de Lodoss) malgré tout.
On est plongé dans cette ambiance HF pour n’en ressortir qu’à la fin de ce premier tome.
Pour les mordus du genre, il s’agit d’un must à l’action omniprésente ne permettant pas au lecteur de souffler et/ou de s’ennuyer.
Comme quoi il est toujours possible de surprendre avec une idée de base classique.
Que dire de cet album sinon qu'il est à lire absolument. Le scénario est plein d'humour et fait passé au lecteur un agréable moment. Ce premier tome met en place les personnages et le monde dans lequel ils évolueront mais tout ceci se fait dans une ambiance légère, drôle où l'action est très présente.
Le lecteur est plongé dans cette aventure fantaisiste non seulement à cause de l'humour mais également par un découpage énergique et une narration directe, qui va droit au but et contribue à instaurer l'ambiance bonne enfant et humoristique présente tout au long de l'album.
Le dessin quant à lui est très efficace même si au départ j'ai été un peu rebuté par le style au fur et à mesure des planches j'ai fini ar l'accepter et même l'apprécier. On sent tout de même une influence manga que ce soit dans le dessin des personnages (mais très discrète tout de même car bien intégré au style) mais aussi dans certaine scène de parodies de combat d'art martiaux. Mon personnage préférée est Etamine qui est vraiment très très drôle et même attachante malgrés son "job".
En bref c'est un album que j'ai adoré et que je conseil à tous.
Hélas, la série est finie. Mais j'ai lu toute la série et j'ai beaucoup apprécié l'histoire. Un bon scénario et de beaux dessins qui expriment bien par leurs couleurs, traits, etc le sujet abordé. Le thème de la série étant l'épidémie du SIDA, cette bd reste d'actualité malgré qu'elle date déja d'il y a dix ans. La série est cloturée mais néanmoins, en février j'ai encore réussi à trouver le dernier tome qui manquait à ma série. Qui sait vous aurai aussi autant de chance que moi...
Cet album est bien simpatique et très drôle même si à mon avis ce n'est pas le meilleur que j'ai lu. Le thème historique de la guerre des gaules et plus particulièrement de la victoire romaine à Alésia (personne ne sait où c'est pas la peine d'insister : ) ) est très bien traité. On s'amuse bien du début à la fin et on passe un agréable moment de lecture.
LA PLANETE DES SINGES : Avec ce premier numéro commence l'adaptation des trois premiers films de la saga de la PLANETE DES SINGES. Il est donc difficile d'étonner dans une adaptation de film (surtout s'ils ont un succés planétaire).
La début du premier film est la plus difficile à adapter en BD car elle est faite de multiples plans muets et répétitifs des trois cosmonautes survivant marchant inexorablement dans un désert haride. Les singes n'arrivent que dans les toutes dernières pages. Les dessins sont moyens (ressemblance inexistante avec CHARLETON HESTON. Problème de droit ?)
LES PROSCRITS DE LA PLANETE DES SINGES : Paradoxalement c'est LA bonne surprise de l'album. Une série originale contant les démélées de deux jeunes (un homme et un singe) pour tenter de prouver que les gorilles tentent de diviser les deux communautés qui dans cette partie de la Planète vivent en paix. Les dessins en noir et blanc sont bons voir parfois trés bons. Au niveau scénar, on est plus proche de la série télé que des fims (les hommes parlent et vivent dans des habitations). C'est trés sympa à lire.
difficile de ne pas émouvoir avec un thème pareil, mais Fréderik Peeters ne tombe pas dans la facilité ni dans la pathos forcé, façon "Jo" de Derib. Une lecture instructive.
formidable, très fort, c'est ce que j'ai lu de meilleur par Adrian Tomine qui se hisse ici au niveau de Dan Clowes. La dernière des quatre histoires est d'une justesse de ton formidable.
Dans le premier Tome, Joann Sfar tatonait, il ne savait pas quelle échelle donner aux cases et aux bulles, on était dans l'imperfection et l'amateurisme, mais le personnage du professeur Bell (qui rappelle le Mic Mac Adam de Benn, dans Spirou, mais en plus corrompu et plus minable) était déjà là et son univers avec lui. Les poupées de Jérusalem ne souffraient plus des erreurs du premier tome, c'est aussi un album précurseur du "chat du rabbin" du même Sfar. Et ce troisième tome me demanderez-vous, ce "cargo du Roi Singe" ? Un dessin propre et sans accroc, proche de celui de Sfar mais en plus systématique, un scénario sans doute assez moyen (nettement en dessous des poupées de jérusalem), bref,... bof... j'attends tout de même le prochain pour voir si la série a une chance de décoler à nouveau.
Les parents de Marjane Satrapi font en sorte d'envoyer leur fille hors de l'Iran des Mollah où ils restent, eux... Une remémoration émouvante et instructive.
Je craignais que la série ne commence à s'essouffler avec l'arrivée de Marjane en europe, mais pas du tout : sa découverte de la politique et de l'occident ne se feront pas sans problèmes...
personne n'a posté d'Avis sur Persépolis ? C'est étonnant, cette série est tout de même le plus gros tirage de l'édition indépendante (6 réeditions du premier tome). Le dessin rappelle David B., en moins élégant peut-être, le propos est passionnant.
La BD de l'année je suppose. Cette suite de Shenzen est une promenade hallucinatoire en corée du nord, et le plus effrayant, c'est encore que Delisle ne nous montre que la "vitrine respectable" du régime de Kim Il Song, le fameux président éternel (il reste président même si ça fait dix ans qu'il est mort) de la corée du nord.
La meilleure BD d'humour populaire depuis des siècles ? Sans doute, oui, enfin pas loin de ça. Pourtant, la carrière de Bouzard reste discrète et son personnage fétiche, quoique le premier tome ait déjà connu deux éditions épuisées, n'est pas encore classique du point de vue du grand public.
l'histoire : devenu un justicier des plages - pas trés doué -, notre héros devra affronter des ennemis divers (enfants embêtants, vigiles de supermarché) mais devra aussi survivre à la terrible morte saison !
Certains muscles du ventre me font mal quand je me remémore certaines cases de Plageman, tant j'ai ri en les lisant.
Le dessin brouillon et génial de Huo-Chao-Si, l'humour d'Appollo, tout ça pour parodier Titanic ou Batman. Un grand plaisir pour le lecteur et une ennième démonstration par les éditions "centre du monde" qu'il existe une BD réunionaise de grande qualité.
C'est au moment où la série prend réellement ses marques que Dupuis décide d'y mettre un terme... Quel dommage ! La narration était au point, le dessin de Colonel Moutarde (qui est une fille, le saviez-vous ?) à son meilleur, ce troisième tome est excellent.
ça aurait pu être la meilleure série pour enfants, à côté du Jojo de Geerts, mais apparemment Donito, c'est fini et pour longtemps. Les derniers albums sont un peu bâclés, on croirait lire du "kid lucky", il faut dire qu'à l'époque Conrad venait de commencer à travailler pour Morris sur diverses séries dérivées de Lucky Luke.
Avec les Donjon Parade, Sfar, Trondheim et Larcenet lancent un format "populaire" pour Donjon : on pense à Pépito, de Bottaro, à Mickey par Floyd Godferson, au Donald de Carl Barks, aux séries d'humour des éditions vaillant, tout particulièrement à celles de Cézard. Ici, pas d'histoires en morceaux, la narration est bouclée de manière traditionelle (ordre/désordre/ordre retrouvé) en 32 pages.
Et qu'est-ce qu'on rigole !!!
encore un excellent donjon bien sûr. Il se lit en conjonction avec "la carte majeure", d'Andréas, et "le noir seigneur", de Blanquet, qui apportent un complément d'information bienvenu.
La série Donjon crépuscule est la plus complexe des époques de Donjon : chaos, destins shakespeariens, désintègration de terra amata,... Où l'on verra que Marvin le dragon et Herbert le canard auront fini par ne plus être amis (quoique). Herbert, devenu le terrible grand Khan, tuera des centaines de personnes par jour tandis que Marvin, aveugle, sera surnommé "le roi poussière". Dans la galerie de nouveaux personnages, ce premier tome nous présente "marvin le rouge", un lapin sanguinaire. Les albums de la série "crépuscule" sont à lire après les deux premiers albums de la série Zénith (coeur de canard et le roi de la bagarre) si l'on désire les savourer totalement : les changements entre les deux univers sont vertigineux.
Il paraît qie la série va un peu ralentir, Joann Sfar un des deux co-scénariste étant en train de préparer son premier long-métrage "grand vampire"... Les lecteurs les plus accros y survivront-ils ? En tout cas la "jeunesse qui s'enfuit" est, comme tous les "potron-minet", un extraordinaire Donjon à lire avec plaisir à côté de "mon fils le tueur", le "donjon Monsters" signé Blutch.
Ici l'on verra que notre "chemise de la nuit" est un pragmatique et un meneur en puissance, il n'hésitera pas à s'allier aux plus sales engeances de Terra-amata pour faire capoter une conspiration de sorciers.
Chef d'oeuvre, évidemment, c'est du Blutch et Blutch n'a jamais rien fait que des chefs d'oeuvre ! Celui-ci est particulièrement savoureux et étonnant puisque Blutch s'approprie un univers qui n'est pas le sien, et même, qui est assez loin de lui, et pourtant c'est toujours du Blutch et du grand Blutch !
Imaginez que "mon fils le tueur" nous offre la rencontre de la chemise de la nuit/futur gardien du donjon, avec Marvin, le futur roi-poussière. A l'époque reculée où se déroule l'histoire, Marvin n'était pas végétarien. On rencontre aussi sa mère, un peu frustre mais aimante.
Il paraît que le dessinateur a décidé de se surpasser quand il a appris qu'un donjon de la série Potron-Minet (par Blain) allait sortir à peu près au même moment. Cet album est très spécial encore puisque c'est le premier tirage limité de Donjon : 4000 exemplaires seulement, il semble que l'album soit totalement introuvable un mois seulement après sa sortie. Il sera réedité à la fin de l'été dans une version mise en couleurs par Walter. Je parie que cet album sera très bientôt le plus coté de la série.
Ce tome est d'une grande importance pour l'histoire et ce pour plusieurs raisons. La première est que, pour la première fois depuis qu'il a prit la décision de tuer monster, Tenma se retrouve face à face avec Johann et une occasion manifeste d'en finir mais il n'est pas le seul Nina est présente également et à le même but que Tenma. Point intéressant chacun d'eux veut éliminer Johann afin que l'autre ne gache pas sa vie en le faisant lui même (il s'agit d'un meurtre de sang froid après tout).
La seconde raisons est que cet album est une véritable mine d'informations. Mais deux d'entre elles se distinguent par leur importance. L'une rend perplexe par l'obscurité de sa formulation et l'autre laisse présager que l'on va dans les tomes à venir enfin savoir d'où viens Johann et qui sont ses parents.
En bref une suite plus que passionnantes qui laisse présager encore de très très bon moments de lecture.
Voila bien un album qui ne laissera personne indifférent. Des dessins à vous couper le souffle et une mise en page plus qu'avant-gardiste, tous ces éléments vous obligent à mettre de côté toutes vos habitudes de lecture. Rien que pour cela, cet album vaut la peine qu'on s'y intéresse. Le thème du récit est quant à lui beaucoup moins révolutionnaire mais diablement efficace. Il est évident que cet album ne pourra pas plaire à tout le monde mais il est sain que parfois des auteurs jouent avec les règles de la bande dessinée et produisent des oeuvres hors normes. En cela, la valeur de Tonnerre Rampant est inestimable.
Que dire qui n'aie pas encore été dit? Cet album est une pure merveille. Le thème abordé est vraiment épineux et merveilleusement traité, les dessins conviennent à merveille, rien à redire sinon que des oeuvres aussi utiles et qui nous en apprennent autant, il nous en faudrait bien plus. Bonne continuation aux auteurs donc et qu'ils nous offrent encore beaucoup d'albums aussi intelligents et qui prêtent autant à réflexion.
Après un premier tome très peu emballant, la série prend véritablement son envol et ce tome 3 est certainement le meilleur. Dessins et scénario sont au top et on suit avec grand intérêt la quête de l'oiseau du temps qui nous menera a un des meilleurs dénouements de l'histoire de la bande dessinée.
J'ai vraiment eu du mal à digérer ce premier tome. Je n'ai pas été emballé par l'histoire et les dessins ne m'ont pas vraiment séduit. La suite de la série évolue vraiment bien pour devenir la référence en matière d'heroic fantasy que nous connaissons tous. Mais ce tome 1 est loin d'être à la hauteur du reste, que cela se sache.
Un voyage ma foi bien agréable sur les traces de Caboto, les dessins particuliers de Mattoti sont dépaysants à souhait et les textes de Zentner magnifiquement écrits et traduits. Si vous êtes séduits par l'esthétisme particulier de cet album, n'hésitez plus un seul instant et préparez-vous au départ.
Un très bon premier tome qui présente un monde ou il ne fait pas bon vivre pour les magiciens en ces temps d'inquisition. On suit les pérégrinations de deux voleurs peu habiles dans la pratique de leur art (c'est le moins qu'on puisse dire) et l'histoire est bien construite (elle nous offre quelques moments de franche rigolade). Au niveau des dessins, tout n'est pas parfait mais Créty possède déjà un style qui lui est propre. Les couleurs sont plaisantes et conviennent bien à l'ambiance générale du récit.
L'histoire de la BD ne s'en retrouvera peut etre pas bouleversée mais cette série a bien sa place parmi les autres terres de légende. Alors vivement le tome 2 et en attendant, lisez le premier, vous ne saurez pas être déçus.
Ces deux albums sont de véritables bouffées d'air frais. Un scénario plaisant et qui invite à l'évasion, des dessins et des couleurs flamboyantes par un Boiscommun au mieux de sa forme: tout ce qu'il faut pour passer un agréable moment de lecture. Certains regretteront la légèreté de l'ensemble mais cette série est un moment de pur bonheur et personellement, je ne regrette qu'une chose: qu'aucune suite ne soit prévue pour ces deux fabuleux albums.
Nous assiston ici à l'entrainement de Sangoku et de son nouvel ami Krilin. On peut déjà constater que ce garçon n'est pas un enfant comme les autre et est particulièrement doué. De plus sa naïveté et son ignorence des choses de la vie renforce l'humour sont la base sur laquelle repose tout l'humour de cet album et je dois dire que par moment on assiste à des scènes à mourrir de rire.
Cette suite est selon moi meilleure que la première intégral dans ce sens où elle est bien plus drôle et passionnante.
Les personnage de ce Manga ne cesserons jamais de m'étonner. Ici on découvre de plus en plus le sadisme de Johann sans que ce dernier ne paraisse vraiment antipatique vu qu'il n'accomplit rien par lui même mais suggère certains comportements ou fait faire les basses besogne par son âmes damné Robert. Cependant on ne sait toujours rien sur son plan en définitive mais on on remarque qu'il n'est pas fait de marbre et a des émotions surtout au passage de la lecture du livre pour enfant.
Dans cet album nous retrouvons également le docteur Tenma après deux album essentiellement consacrés à Johann et à différent personnages secondaire. Nous pouvons observé à quel point Tenma est affecté par sa décision d'éliminer Johann maintenant que l'issue semble se rapprocher. Jusque maintenant il avait pris cette décision mais l'acte en lui même restait bien lointain. Maintenant que ce moment fatidique se rapproche on s'apperçoi que celà coûte beaucoup à Tenma d'éliminer Johann. Certe il est décidé à aller jusqu'au bout jugeant qu'il n'a pas d'autre choix pour l'arrêter maisson comportement à énormément changé et il devient plus renfermé que jamais et est sans cesse préoccupé. Ceci est surement due à l'opposition entre ce en quoi il croit (c'est à dire la préservation de la vie à tout pris) et son obligation de tuer Johann donc de prendre une vie pour en sauver beaucoup d'autre. Maintenant sera-t-il vraiment capable d'aller jusqu'au bout ? On le saura bientôt.
Dans ce tome les personnages secondaires jouent encore un rôle essentiel et nous permette de nous faire une idée plus précise sur le personnage de Johann. On commence à comprendre que le milliardaire Schuwald joue un rôle très important dans le plan de Johann mais lequel ? Mystère. En tout cas ce dernier agit de façon tout à fait déconcertante et sans la scéne du toit avec Richard on pourrait presque croire qu'il s'agit d'un étudiant extrèmement doué et sympatique.
Il a de toute façon un charisme impressionnant qui lui permet de manipuler facilement les autres on en a ici la preuve formel pour ceux qui en doutaient encore. Cependant il conserve une grande part de mytère et à mon avis on est pas au bout de nos surprise.
Urasawa nous entraine de plus en plus profond dans une histoire où l'on est sûr d'une chose...... c'est que l'on ne sait rien. On a un monstre qui a l'air de tout sauf d'un monstre et dont l'objectif n'est pas encore très clair (en admettant que certaines révélations d'anciens personnages ne soient que le fruit de leur délire psychotique) ou alors totalement incompréhensible. quoi qu'il en soit tout ceci est mené de main de maître ce qui fait que le lecteur ne s'ennui pas une seule seconde.
lue hier soir et bien aimé Les dessins sont plutôt pas mal, même si ils ont par moment un côté un peu trop 'figé'. L'histoire est prenante, et les 'recettes' de magie sont assez marrantes. Ca se laisse bien lire, une bonne BD pour les amateurs de fantastique. Achat du tome 2 prévu pour moi dès qu'il sortira ;-)
CAPTAIN MARVEL : Combat dans l'espace entre CAPTAIN et DRAX LE DESTRUCTEUR. Personnage qui deviendra récurent dans la série puis plus tard dans ADAM WARLOCK (on en fera malheureusement un attardé mental). AL MILGROM est de plus en plus à l'aise pour dessiner MARVEL. Le personnage de RICK JONES devient de plus en plus insupportable.
DAREDEVIL : GERRY CONWAY nous conconcte une double histoire. La première classique où DD affronte KILLGRAVE et une autre qui fait se lever un voile des origines de la VEUVE NOIRE contés par IVAN. Les dessins de GENE COLAN sont comme à l'accoutumée dans cette série trés bon.
IRON MAN : Du déjà vu !! HAPPY le meilleur ami de TONY STARK se métamorphose une nouvelle fois en monstre et IRON MAN doit lutter sans blesser son ami. Scénar classique donc mais qui se laisse lire malgré des dessins trés moyens.
L'ARAIGNEE : Arrivée de GIL KANE au dessin !! Au début on peut être un surpris mais force est de constater qu'il s'en sort trés bien. DOC OCTOPUS est trés bien dessiné et l'ARAIGNEE semble fait des acrobaties qu'on ne lui connaissait pas. Le scénar de STAN LEE est par contre réduit au strict minimun : Baston entre SPIDEY et DOC OC !
Il s'agit d'un tome très intéressant car il est essentiellement consacré aux personnages secondaire qui devraient jouer un rôle essentiel dans la suite des aventures du docteur Tenma. On retrouve entre autre Eva l'ancienne fiancé de Tenma, Robert apparu pour la première fois dans l'épisode précédent et deux nouveaux personnages Karl Neuman et Lotte Franck.
Cet album est également l'occasion de voir réellement en action le monstre qu'est Johann. cependant si on ne savait pas ce que l'on savait on pourrait bien douté que ce garçon soit le mal personnifié. En effet ici il nous apparait comme quelqu'un de sensible et de fort sympatique surtout envers Karl Neuman. Ceci peut peut être expliqué par le fait qu'il reconnait dans la vie de Karl une partie de la sienne ou alors tout ceci n'est qu'une feinte afin d'atteindre son but. Bref on ne sait plus trop que penser de Johann à la fin de cet album.
Il n'y a pas à dire ce tome met en place une nouvelle partie de l'histoire qui promet de nous en apprendre plus non seulement sur le personnage de Johann mais également sur ses intentions réelles
Rhalalalalala j'adore j'adore j'adore. Une BD d'HF traitée comme une comédie burlesque, comme un vaudeville. Un graphisme et une mise en couleur directe magnifique de Olivier Boiscommun, un scénario de Sfar et Morvan qui nous emmène là où nous n’aurions jamais pensé nous retrouver. Rien n’est usuel dans cette BD : les trolls tombent enceintes, les gobelins aiment les trolls, les dragons n’aiment pas les mauvaises odeurs, et les humains sont les emblèmes de la laideur, il fallait oser bafouer tous ces concepts.
C’est surtout l’ambiance graphique qui pour moi, donne vraiment une autre dimension à cette œuvre : l’utilisation des verts et des rouges de Boiscommun est vraiment quelque chose.
Un cycle complet d’une très grande qualité. Pour moi une référence de l’héroic-fantaisy à coté de La quête de l’oiseau du temps et de Légende des contrés oubliées.
Bon, autant le dire de suite, j'ai aimé tout en étant déçu ;-) Je ne suis pas clair ? Je m'explique: Rhhaaaa qu'elle était belle cette aventure avec cette merveilleuse ambiance graphique et cette mise en couleur si particulière à Boiscommun. Pensant l'histoire terminée, c'est avec étonnement que j'ai vu le 4eme tome pointer à l'horizon. Morvan continu l'aventure seul (ça c'est pour la partie déception) (non sans remercier ces pairs) et évite l'erreur (à mon sens) de vouloir conserver l'esprit du 1er cycle. N'est pas Sfar ou Boiscommun qui veul et c'est avec plaisir que j'ai retrouvé les personnages mais dans une tout autre ambiance (beaucoup plus proche graphiquement d'un Sillage). Les aventures sont moins burelesques et plus héroic-fantasy classique mais bon ....
Voila, c'est donc avec plaisir que j'ai retrouvé les héros si attachants du 1er cycle tout en évitant d'être déçu car les auteurs n'ont pas cherchés à "copier" mais bien à prendre leur propre ligne. Une agréable surprise.
Cette BD est genial avec un humour fin et est une bonne introduction a toute la serie "donjon" qui est aussi genial !!!
Le scénario est vraiment passionnant même si cette BD est plus tourné vers le côté aventure et on y trouve moins d'humour que dans les albums précédents. Cependant l'histoire rester tout de même à un très haut niveau de quamité et le lecteur y est plongé sans temps mort du début à la fin. Bien que j'aurais aimé un peut plus d'humour j'ai adoré cet album et le passage avec les rhinoceros est bien le meilleur de l'album pour le côté humoristique.
C'est avec beaucoup de confiance que je me suis penché sur cette nouvelle série de Seiter, scénariste de Fog (à lire absolument ).
C'est plutôt agréable à lire, l'idée de l'histoire et sa construction sont intéressante mais il n'y a rien de suffisamment prenant pour la rendre inoubliable, au contraire de Fog où l'ambiance victorienne est superbement rendue avec un dessin très original et beaucoup de suspens.
Mais bon, ce n'est que le premier tome alors faisons confiance au talent de Seiter pour la suite...
Une bien belle surprise !
Déjà c'est un très beau livre qui donne envie. Avec la collection Equinoxe, Vent d'ouest propose de belles reliures avec un papier de qualité, un bon point .
Ensuite, Mosdi et Béhé nous offre une histoire originale pleine de surprises et mélangent thriller et fantastique.
L'intrigue se passe dans un monde contemporain mais certains personnages semblent posséder des pouvoirs étranges liés à un monde féerique peuplé d'êtres de la mythologie grecque.
J'attends la suite avec beaucoup d'impatience.
Un album vraiment superbe plein d'aventure et d'humour comme on les aime. L'histoire est vraiment mené de main de maître par le grand Franquin et le lecteur passe un fort agréable moment de lecture. Il n'y a aucun temps mort du début à la fin et le personnage du marsupilami est plus drôle et attachant que jamais.
Voici un album à ne surtout pas manquer.
je conseil vivement cet album pour sa qualité narrative et l'originalité du dessin.
Max ( que j'ai découvers sur le site www.haleinesfraiches.com) signe un
premier album déjà d'une main de maître. On attends la suite avec impatience.
Quand au scénariste, Seiter, j'aimais déjà beaucoup son autre série Fog. Dans
Dies Irae, il mélange réalisme social et fantastique. surprenant mais très
réussi.
Cette série comence plutôt bien à mon avis. Le scénario est vraiment intéressant. Il n'y a pas de temps mort du début à la fin et le thème abordé, bien que classique, est traité de façon intéressante et mêle action et émotion tant et si bien que le lecteur est plongé dans l'histoire d'un bout à l'autre.
Le dessin est assez proche du style manga et m'a beaucoup plu. Il est très expressif et correspond bien au scénario.
Maintenant pour savoir si la série va bien se poursuivre il va falloir lire la suite car à mon avis cet album peu très bien se lire comme un one shot.
Nous avons là un premier opus d'une série fort sympatique. En ce qui concerne le scénarion on peut dire qu'il s'agit d'un mélange de highlander et de Largo Winch plutôt réussi et qui arrive à tirer son épingle du jeu. L'histoire n'a pas de temps mort du début à la fin si bien que le lecteur est plongé dedans sans jamais intérompre sa lecture ce qui est un point fort pour un scénario. De plus ce dernier conserve une part de zone d'ombre essentiel pour garder un intérêt à la suite de la série qui promet d'être intéressante.
Le dessin quant à lui est vraimnt agréable à l'oeil et rend parfaitement les ambiances rendues par le scénario.
Ce premier opus m'a vraiment plu et laisse présager une excellente série. Le scénario est vraiment intéressant et complet. Il y a de l'action, de l'humour (quand même très présent) et une histoire plaisante qui évolue correctement. Le lecteur n'en apprend pas très long sur ce qui se passe et la quête dans laquelle il est entraîné mais suffisament pour s'y intéresser tout de même. La suite de cette série et par conséquent du développement du scénario devrait à mon avis confirmer la qualité de ce premier album.
Le dessin est également très bien fait. Le trait est fin, précis et renforce le charisme des différents protagonistes. Le lecteur apprécira motamment certains passages aux décors très détaillé et agréable à l'oeil.
Cette histoire m'a passionné du début à la fin et ce sera avec un grand plaisir que je lirais la suite.
Attiré d'une part par le graphisme de Brazao bien mis en valeur par les couleurs de Béatrice Tillier et d'autre part par l'expérience scénaristique de Mosdi, je me suis lancé dans cette nouvelle série.
Et bien l'histoire est d'une banalité affligeante : deux peuples sont obligés, toutes les 13 lunes, d'envoyer aux terribles Worgs 6 de leurs enfants de peur de les mettre en colère et de mettre en danger la totalité des clans. Bien entendu, à chaque fois on espère que ce seront les derniers et que les enfants envoyés sauront mettre fin à cette dramatique tradition...
Ce n'est pas désagréable à lire mais il n'y a aucune surprise, aucun humour, que des clichés...
J'espère que Mosdi saura nous surprendre par la suite car il a su s'entourer d'un dessinateur de talent.
LES CHAMPIONS : Fin de la sage en Olympe (Pas trop tôt !) imaginée par BILL MANTLO et TONY ISABELLA et dessinée par GEORGE TUSKA. Des noms ronflants qui donnent envie et qui expliquent la désillusion quand on lit cette série. Le point faible de TITANS de l'époque !!! (même les dessins sont trés moyens...)
DOC SAVAGE : On enchaine avec le point fort de l'album. Génialement dessiné par MARV ANDRU qui s'est trés bien adapté au style "sérial". Un épisode plein de rebondissements qui met d'abord en vedette ses adjoints puis DOC SAVAGE seul. Etonnant de lire le courrier des lecteurs de l'époque qui détestent SAVAGE et demandent son remplacement !
SKULL : Les promesses du 1er épisode ne sont pas toutes tenues par MARV WOLFMAN au scénar. Mais ces aventures en territoire préhistorique sont rafraichissantes malgré l'humour à deux balles du héros.
LES GARDIENS DE LA GALAXIE : Il semble que les origines du 1er épisode n'aient guère convaincues car STEVE GERBER au scénar enchaine rapidement sur la guerre de libération de la terre pour expliquer le départ dans l'espace de l'équipe. AL MILGROM au dessin s'én sort nettement mieux que GENE COLAN même si ce n'est pas encore l'extase.
La série est un OVNI fruit des oeuvres du studio Desclez.
Henri Desclez était alors rédacteur en chef du journal Tintin après un passage chez Rossel (éditeur du journal belge, Le Soir et de Yalek).
Desclez avait constitué un studio dont faisait partie Franz Drappier, le futur dessinateur de Poupée d'Ivoire, Jugurtha et tant d'autres séries. Le dessin de Franz se reconnaît dans les traits de San Antonio.
La critique de la "real TV" et la dénonciation de ses probables dérives est à la mode. Mais au fond, des films comme le Prix du Danger d'Yves Boisset ou encore "Running Man" de Stephen King, ne disaient pas autre chose il y a 20 ans.
Morvan s'attaque donc au sujet, et enfonce le clou. Mais c'est fait avec une certaine subtilité, sans marteler un message moralisateur, et le prétexte d'une enquête policière (secondaire) permet de rendre la narration plus agréable. On peut aussi saluer encore une fois la volonté de Morvan de ne pas placer cette histoire à New York ou LA. Après Marseille dans "Trop de Bonheur", c'est cette fois Barcelone qui est le théâtre de ces évènements.
Les personnages sont largement stréotypés, mais c'est indispensable au propos ci dessus, et on entrevoit un comportement différent peu à peu, "hors champ" de la caméra.
Côté dessin, c'est bien fait, typé Manga mais le sujet s'y prête bien... les couleurs en revanche sont un peu sombres.
Un bon album, mais la série va beaucoup dépendre de la tournure des évènements, notamment concernant l'ennemi des héros.
Mention spéciale au making of, une bonne idée pour changer des carnets de croquis.
L'histoire de base est assez classique : un seigneur beau et courageux, jalousé par son cousin vilain et cupide, entretient des relations ambigües avec une jolie jeune femme des bois, vite qualifiée de sorcière. Sa femme n'apprécie pas ça, et son fils qui semble souffrir d'une malédiction peut etre liée à un phénomène étrange survenu le jour de sa naissance, c'est là la seule apparition du fantastique dans cet album.
Tout cela est mis en valeur par un dessin simple sans fioritures, et des couleurs assez réussies.
L'ensemble est donc assez bien fait mais manque d'une étincelle qui rendrait le tout un peu plus passionnant, cxe qui se produit peut être en fin d'album avec l'arrivée d'un personnage différent, plus énigmatique, représantant de l'Inquisition. Le quatrième de couverture fait la part belle à ce personnage, ce qui laisse présager une évolution plus musclée de la série.
Peut être un bon album de mise en place donc, si la série décolle ensuite.
Déjà le cinquième tome d'une série agréable mais qui, il faut bien le dire, n'a jamais déchaîné les passions. Certes, le dessin est élégant mais sa sobriété peut être rebutante, et ses couleurs sont souvent glaciales. Mais surtout, on a à chaque album toujours la même difficulté à se faire à l'idée d'un inspecteur des impôts qui se balade avec un calibre 9mm pour ses enquêtes, et qui se comporte comme un crack de la NSA. La faute a une culture européenne différente des standards américains ?
Finalement, ces particularités graphiques et scenaristiques donnent son indentité à la série, et même au personnage principal, Larry B Max, lisse tant dans ses traits que dans sa personnalité. On le connaît finalement très peu, et justement le scenario de ce 5e tome se focalise beaucoup plus sur son histoire personnelle. Révélations étonnantes à la clé, sur fond d'une histoire quant à elle assez classique de corruption !
Parrallèlement les choix narratifs sont un peu plus audacieux, notamment dans les premières planches où le mélange de deux histoires apparemment complètement distinctes est parfois confus mais donne un rythme inédit dans cette série. Dommage que les couleurs n'aient pas marqué un peu plus la différence, car on était dans l'idée pas loin de l'excellent film Trafic de Steven Soderbergh.
En insistant moins sur les personnages secondaires ultra stéréotypés, Desberg le scénariste à la mode (Tosca, Le Scorpion), réussit ici son meilleur scenario pour IR$, et ramènera peut être à la série les déçus des premiers tomes.
Graphiquement c'est sans surprise mais toujours aussi réussi pour les amateurs du style "troisième vague". La couverture annonce tout de ce style, et la posture de la fille, qui rappelle celle de la tueuse borgne de XIII, en dit déjà long.
Finalement, dans ce genre prépondérant de la BD qu'est le polar sophistiqué, Silicia Inc ne décevra pas et conquerra pourquoi pas des lecteurs plus généralistes
Pour se changer des agents secrets tatoués, des héros roux un peu bénêts aux pouvoirs absolus ou des millardaires en basket, rien de tel qu’un bon vieux détective londonien irascible et prétentieux.
S’attaquer au détective le plus célèbre de Londres et en faire le héros d’un album de gags, il fallait oser. Aucun problème pour Barral et Veys, qui non contents de dépoussièrer ainsi le mythe, réussissent même un excellent pastiche, au point qu’on se demande quelle est la version la plus intéressante.
Les personnages sont désopilants à travers leur prétention et leur préciosité, y compris les personnages secondaires (mention spéciale à la cuisinière alcoolique).
Les intrigues sont d’abord là pour amener les situations comiques mais les auteurs s’amusent à y introduire le suspense et on se surprend à se prendre au jeu en plus de se régaler des crises entre Watson et Holmes.
Le dessin manque peut-être un peu d’assurance, mais l’ensemble, visiblement sans prétention au départ, est finalement réussi.
Le format gags en quelques planches est parfois frustrant, mais il a cet avantage qu’on peut en lire un peu tous les jours. On demande à voir sur une histoire plus longue, mais c’est pour l’instant une bonne série.
Superbe polar en noir et blanc...et c'est sans doute ce qui porte l'histoire. Rien à redire. Ca cogne fort
Je dois dire que j'ai été agréablement surppris. Ayant été charmé par les deux premiers tomes, je n'en attendait pas moins de celui qui doit clore cette sublime série.
Le dessin est toujours d'une beauté à faire tomber les mouches , le trait fin de Jung associé auxcouleur directs font du coté graphique de cette Bd et de la série en générale un petit bijou d'esthetisme
Au niveau histoire, ce dernier tome repond à toutes les questions que l'on pouvait se poser, on est surpris de la revolte des kwaidans enfants, on est touché par les morales implicites cachés dans les paroles de Setsuko et autres. Cette fin tient en 46 planches et au vu de toutes les informations de ce tomes on s'etonne à ne que ca tienne qu'en 46 planches et que l'on comprenne tout
Bref ce dernier tome fait de cette série un vrai conte noir asiatique de toute beauté. Pour moi c'est une série culte dans ce style là
J'aime beaucoup les dessins et aussi le style de l'histoire, aventure fantastique. Je ne trouve en fait absolument rien à redire à cette BD car tout m'a plu L'intrigue est bien menée, pas de temps mort, le personnage du magicien est un peu mystérieux (on ne sait pas trop si il va être 'gentil' ou 'méchant' ), ce qui donne envie de découvrir la suite, d'autant plus que l'album s'arrête pile là où il faut pour donner envie de lire la suite. Bref, pour moi, très bonne BD. J'attends la suite avec impatience.
Nouveau conte moderne de l'auteur de Kady. Un peu moins déjanté, mais toujours aussi poétique. Balade balade porte bien son nom, cet album est une invitation au voyage. Voyage qui se révèle davantage "contemplatif" qu'"aventurier", les scènes de balade alternant avec celles de la vie des citadins écoutant cette palpitante émission de radio-réalité (hum). Dessin parfaitement maîtrisé (moins chargé que dans Kady), scénario très agréable à suivre, bref une belle réussite. Sans être boulversant, c'est prenant et plaisant. J'adhère.
Pas vraiment convaincu.
Le fait est que cet album se laisse lire tout seul. Noirceur du dessin comme du scénario, la machine bien huilée de Comptine d'Halloween fonctionne toujours... Mais à aucun moment je n'ai vraiment réussi à rentrer dans l'histoire, si bien ke j'ai eu le sentiment d'un exercice de style appliqué et réussi plutôt que d'une oeuvre originale. Offrir une histoire classique n'a évidemment rien de négatif... j'avais d'ailleurs beaucoup aimé Comptine d'Halloween, qui se "contentait" de revisiter les standards du genre de manière extrêmement efficace. Mais avec Légion, ni les personnages ni l'histoire n'ont vraiment trouvé grâce à mes yeux, laissant un goût de superficialité peut-être due au statut de "premier tome". J'attends donc la suite, mais sans réelle impatience.
'tain c'que c'est beau quand même !!! Rien à dire niveau dessin et couleurs, c'est une réussite. Autant certaines cases du premier tome m'avaient semblées un poil hésitantes, autant ici c'est du tout bon du début à la fin !!! Gestion de la palette sans faille, atmosphère palpable... Bref une réussite !
Je suis plus mitigé au niveau du scénario... Parce qu'en fait j'ai pas réussi à détester !!! =o) J'étais sorti du premier tome avec un sentiment d'immmense frustration causé par la part excessive de mystère inexplicable... J'aime bien me poser des questions, mais quand on ne me donne aucun élément pour y répondre ben ça m'énerve quand même pas mal !!!
Ceci dit ce deuxième tome m'a en partie réconcilié avec ce cher Algernon. L'album est dense, il apporte certaines clefs, tout en laissant planer le voile de mystère sur lequel repose la série. Ceux qui aiment les ambiances étranges et poétiques devraient être comblés. Mais pour ma part j'ai quand même trouvé l'ensemble un peu trop obscur. Une deuxième lecture s'impose... davantage par nécessité que par plaisir, ce qui n'est pas forcément bon signe...
De l'animation sur planches !!! Ou comment donner vie à de bêtes cases qui se suivent... =o)
Le duo Barbucci/Canepa oublie pour un temps l'ambiance futuro-mystico-spaciale de Sky Doll, et passe avec bonheur dans le registre plus léger des aventures pour petits-z'et-grands-n'enfants. L'ambiance graphique qui en résulte est à l'image de cette nouvelle série : joviale, colorée, cartoonesque, pas-prise-de-têtesque (oui j'essaie d'inventer l'adjectif le plus débile possible). Si on aime les couleurs pétantes et le trait stylisé à la Disney, c'est un régal !!
L'histoire n'a quant à elle d'autre prétention que de détendre, ce qu'elle fait fort bien d'ailleurs (enfin, en ce qui me concerne en tous cas). Les personnages sont attachants, et on suit leurs tribulations sans trop se faire prier. Bon ok, on referme pas l'album avec le sentiment d'avoir lu un chef-d'oeuvre, mais avec celui d'avoir passé un bon moment, ce qui est déjà beaucoup ! :)
J'ai commencé à lire le premier tome sans réelle conviction, par simple curiosité. Et j'ai dévoré les 2 d'une traite !
Sujet original, dessin classique mais efficace, couleurs excellentes, personnages attachants... tout est réuni pour passer un bon moment. Le premier tome est à mon avis le meilleur, car il nous fait brillament rentrer dans cet univers à la fois commun et inhabituel. Le second conclut de façon fort honorable, mais peut-etre un peu trop gentillette. Faut croire que mon coté obscur aurait préféré un conte un peu plus noir... =o)
M'enfin ca reste du plaisir du début à la fin.
Un poil dubitatif.
Pourtant je suis assez fan de JDM (7 secondes, Zorn et Dirna, TDB, et j'en passe...), mais là j'avoue etre resté sur ma faim. L'idée générale est très bonne : un enqueteur de police made in RealTV, avec évidemment toutes les dérives et manipulations que cela entraine. Mais ce qui m'a gené c'est que la trame principale, à savoir le serial killer lui-meme, n'est que survolée !! On referme l'album sans avoir la moindre idée d'où veut nous mener l'auteur... Ok, c'est un premier tome, mais on a quand meme été habitué à plus dense de la part de Mr Morvan !!
Niveau dessin là encore chuis réservé... Autant les croquis du bonus sont nerveux, autant lors de l'encrage ça devient mal maitrisé... enfin amha hein !! Rien à dire pour la colorisation infographiée, l'ambiance futuriste est parfaitement rendue. Du bon boulot.
Enfin, pour finir de faire mon raleur, je dirais que j'ai trouvé le sang et le sexe un peu trop présents dans cet album... mais bon on pouvait difficilement attendre autre chose de la part d'une BD qui traite de la RealTV !!! =o)
En bref un album qui se lit tout seul grace au talent indéniable des auteurs, mais dont il ne reste pas grand chose une fois la lecture terminée. Dommage.
Suite et fin fort attendue, évident risque de déception... ben pourtant non ! Sans crier au chef d'oeuvre, je ne peux que saluer la qualité de cet album qui conclut très justement la désormais célèbre série épique.
Alors oui, des faiblesses persistent... que ce soit au niveau du dessin (aux couleurs néanmoins irréprochables, tout comme les paysages), ou de la mise en scène finale certes nerveuse mais parfois délicate à suivre. Cela dit on respire le souffle de l'Aventure tout au long des 4 tomes, sans jamais le sentir faiblir, jusqu'à une conclusion qui évite brillament les terribles ennemis trainajenlongueur et finpréssipitée. Bravo.
Alors pour faire la balance avec l'avis précédent, je trouve cette bd tres tres bien, les thémes de la laicite et de l'anti clericalisme y sont abordés en grande intelligence.
De plus, les textes sont d'une qualité rares et flirtent souvent avec la poésie.
C'est vraiment une de mes BDs préférées, le rythme change selon le personnage exposé, beaucoup de mélancolie avec les fantomes, mais egalement de l'action avec Dame Gorge, une guerriere impitoyable.
Bref, a lire au moins une fois.
Zone mortelle - 1.Cronos
Les dessins sont de qualité, mais c'est surtout le scénario (de Mosdi) qui permet à cet album de se positionner 'dans le haut du panier' de la collection insomnie. L'histoire est prenante bien que pas super originale et laisse la porte ouverte pour des rebondissements dans le prochain tome. Je ne veux pas trop dévoiler l'intrigue mais si vous aimez les histoires de serial killer avec des petites énigmes, je vous recommande très vivement cet album. Juste un petit conseil: évitez de lire cet album juste avant d'aller vous coucher, sinon vous comprendrez pourquoi ils ont appelé cette collection 'insomnie' ...quand je disais que le scénario était prenant!
Et voilà une série de terminée, sur une apothéose, sur un chef d’œuvre.
Ce quatrième tome ne m’a pas déçu. Même si au début, le papier de la version coloriée m’avais rebuté par son aspect fragile, cette impression disparaît grâce à un scénario prenant.
Monsieur Xavier Dorison nous a fournit une montée en puissance (du 1er au dernier tome) de la tension et de l’approche épique de cette aventure biblique
Les couleurs sont sombres (parfois un peu trop même) avec des flashs de couleurs vives (voir couverture) sur la fin de ce 4ème bouquin. Cela accentue encore plus la violence de la confrontation finale. Vraiment bien, j'ai adoré.
La version N&B permet de mieux apprécié le dessin et éviter de pénétrer directement dans la violence de cette fin de série. Cette version permet de savourer tout le talent de Monsieur Alex Alice. Mais, je pense qu'elle efface l'aspect dramatique et fort de ce dernier volume.
Une belle série indispensable.
CAPTAIN MARVEL : Encore un nouveau monde exploré en un épisode par notre duo intergalactique. Cette fois-ci c'est une planète qui se croit au temps du far-west et c'est assez sympa avec ses chercheurs d'or, ses saloons etc... L'arrivée de l'Etranger pour le duel final avec CAPTAIN MARVEL fait rebasculer l'épisode dans le classique. AL MILGROM est de plus en plus à l'aise au dessin.
DAREDEVIL : Un scénario commun de GERRY CONWAY pour introduire l'installation de DD et de la VEUVE NOIRE à SAN FRANCISCO pour laisser savourer le chef d'oeuvre de cet album : les dessins de GENE COLAN. Il n'a jamais été aussi bon que dans cet épisode (DD en équilibre sur le GOLDEN GATE ou volant au-dessus des "rues montagne-russe" comme DD les appelle).
ELECTRO n'a jamais été dessiné comme cela, avec un tel réalisme dans les traits. Un dessin "réaliste" dans un COMICS pour l'époque c'est MARVELS ou CODE OF HONNOR 25 ans en avance. Chapeau bas.
IRON MAN : La fin du combat avec le FANTOME ROUGE et ses supersinges qui se termine... aux usines STARK comme d'habitude. LEN WEIN n'a sur ce coup là pas plus d'imagination que ses prédecesseurs.
L'ARAIGNEE : Un scénario de STAN LEE un peu désuet pour expliquer l'évasion d'OCTOPUS de prison et la prise d'otage d'un avion. Même les dessin de JOHN ROMITA semblent un peu pâlots. Une petite déception.
Une ville apparemment tout à fait normale. Avec ses voleurs, ses mages, sa bourgeoisie... et ses crétins congénitaux.
Surtout des crétins congénitaux, des abrutis, des idiots du village et des maladroits bêtes.
Ajoutez une petite teigne comme inquisiteur, un artéfact magique très puissant, quelques épices et remuez.
Vous obtenez Salem la Noire, un album au superbe dessin, de belles couleurs et une histoire délirante pour vous faire passer un bon moment.
La collection "Signé" chez Lombard a les mêmes objetcifs que la collection Aire LIbre chez Dupuis, permettre aux auteurs de s'exprimer sur des ones-shots et hors des sentiers battus.
Ici on découvre le talent d'un jeune scénariste Yves H qui pose l'histoire d'amour touchante et tragique d'un flic qui continue de vivre dans le passé. Ce jeune scénariste est illustré par un dessinateur de talent, son père.
Le dessin d'Hermann est précis, les visages sont toujours aussi bien défini, on sent qu'il y attache beaucoup d'importance. Quand aux couleurs, elles sont somptueuses, elles donnent cette atmosphère particulière, ce ton tragique et jusque dans les recoins du passé.
Un bien bel album. Un vrai régal. Vivement les prochaines productions familiales Hermann and Co.
J'adore toute la série du Goulag, depuis plus de 20 ans. Bedetheque me permet de voir que les derniers tomes m'avaient échappé. Et dire que je relis les memes depuis régulièrement ...
L'histoire et intéressante et plutôt bien menné avec parfois un manque de finesse un peu "lourd" dans les dialogues qui font que l'on a du mal à rester accroché. Sinon l'album est plutôt agréable à lire même si ce n'est follement passionnant.
Le dessin est vraiment bien fait. Le trait est précis, efficace et traduit parfaitement la force de caractère des personnages .
En résumé c'est un album plutôt sympatique à lire mais sans plus.
L'histoire avance bien et continue de tenir le lecteur en haleine ce qui est un bon point. Par contre cet album est assez compliqué à comprendre et plutôt psychologique. Dans un sens c'est ce qui fait que cette trilogie est pour le moment toujours aussi intéressante mais celà peu également rebuter certaines personnes. Le seul reproche que je peux faire et sans doute u'il ne va pas assez à l'essentiel.
Le dessin est vraiment toujours aussi superbe et je n'ai rien à y redire même si c'est un genre assez particulier qui ne plaira sans doute pas à tout le monde.
En résumé il s'agit d'un album un peu moins bon que le premier mais qui mérite quand même le détour même si d'une certaine façon le premier album pourvait se suffire à lui même.
Deux soeurs jumelles , la première est assassinée et on va demander à la deuxième de prendre sa place. Jusqu'ici on retrouve le scénario de bon nombre de films TV.
La première fait partie des Eternels. Des agents chargés de traquer les trafiquants de diamants pour les diamantaires d'Anvers. Elle n'a pas froid aux yeux et pourtant sa vie est comptée.
La deuxième travaille dans un laboratoire d'anthropologie, suicidaire, dépressive, elle va devoir prendre la place de sa soeur. Rien ne sera plus comme avant, elle sera à son tour en danger.
On ne peut rester insensible face à la plastique des deux soeurs, elles sont sexys et Meynet est visiblement dans son élément. Cependant, il n'y a pas que cela, les décors sont précis, complets (voir l'affiche du film Elephant Man dans l'appartement) et donnent du corps au scénario de Yann.
On se retrouve dans un polar daction très agréable, et l'on apprend pas mal de choses sur le milieu des diamantaires.
Ce n'est certes pas une grande bd, mais cela reste néanmoins un album très agréable.
Le thème abordé n'est pas des plus facile. En effet le terrorisme, le fanatisme religieux, la dictature, tous cela n'est opas des plus facile à aborder et à mettre en place dans un premier album sans rentrer dans des clichés dont on se passerait bien. Heureusement Bilal y arrive de mains de maître. Le lecteur est véritablement pris da,s l'histoire malgrès le fait que cette dernière soit quelque peu difficile à suivre . Son univers froid et les saut d'un personnage à l'autre pour développer ses idées, sa vision pessimiste et apocalyptique de cet univers sont véritablement des plus réussi.
Le dessin pris à part ne m'attirait pas tellement mais associé au scénario c'est un véritable régal. Il renforce l'aspect surréaliste et apocalyptique de ce monde qui pourrait bien être le notre dans l'avenir si on ne fait pas davantage attention.
J'ai adoré cet album et ne regrète pas de l'avoir acheté une seule seconde.
J’appréhendais le nouveau cycle du « chant des stryges » (7e tome situé 7 ans plus tard), vu qu’Eric Corbeyran se dispersait beaucoup (trop ?) et que les critiques distillées ci et là ne l’épargnaient pas (notamment pour son inauguration de la collection « Insomnie » par 2 titres : Asphodèle et Le territoire).
Cependant, il faut reconnaître que dès la lecture des premières pages, mes craintes se sont dissipées …
Le duo des héros principaux du 1er cycle, Kevin et l’Ombre (qui semble lui prendre la vedette), se transformera en trio à la fin de ce tome avec l’arrivée de Jill.
Jill est un (ex) agent retirée pendant plus de 5 ans après un traumatisme qui vous sera révélé, et souhaite réintégrer l’Organisme secret dont le sinistre patron Crandl confie à l’Ombre l’exécution de Sandorf G. Weltman, l’individu le plus dangereux du globe (N° 1 des Stryges ?).
Bref, ce nouveau cycle démarre à fond la caisse en s’appuyant sur un scénario très cohérent qui justifie les motivations de chacun des membres de ce trio et celles de l’ « Organisation ».
Coté dessin, 2 superbes planches en images de synthèse viennent compléter le découpage et le graphisme efficace et élégant de Richard Guérineau mis en (superbes) couleurs par Ruby (Ne jamais oublier les coloristes qui n’ont pas toujours les honneurs qui leur reviennent).
Sur la lancée, je vous conseille le 3e tome de la série médiévale parallèle « Le clan des chimères » qui se révèle tout aussi efficace …
Merci Corbeyran qui fait partie des scénaristes les plus prolifiques du 9e art (pour en savoir plus sur l’univers des Stryges, lire « Pavillon rouge » de juin 2003 …).
J'ai beaucoup apprécié l'humour de Jean Louis (le grand copain de Loran Crenn) avec quelques petits clins d'oeil influencés par la télé (le million ... urgences ...)ou le cinoche américain (en lisant "pour Roger" j'entendais la voix de Stallone par les Guignols !).
Bref, un album sympa avec un scénario humoristique servi par un graphisme original et des couleurs d'ambiance.
... à découvrir d'urgence !
Connaissant d'autres oeuvres commises par JL, je ne doute pas qu'il a son avenir devant lui ...
Elmer Tanner, vieux flic fatigué qui a tout vu, va devoir élucider 5 crimes atroces qui ne peuvent être l’œuvre que d’un UNIQUE criminel … un serial killer de plus … et pourtant, à chacun de ses crimes, son enquête le conduira à un coupable différent … jusqu’à l’inimaginable dénouement …résume l’éditeur.
Il faut reconnaître qu’à l’issue de ce 3e tome, le suspense va crescendo et que le 4e et dernier tome est attendu avec impatience !
Une impatience qui sera satisfaite plus rapidement que d’habitude (oct 03 ?), car l’originalité (?) de cette série, à l’instar du « Triangle secret » ou du « Décalogue », réside dans la réalisation des différentes séquences par des dessinateurs différents attachés chacun aux principaux personnages ...
Bien sûr, cet avantage de sorties semestrielles a son revers … l’inégalité graphique qui peut surprendre, voire déranger … car la virtuosité et l’élégance des uns (A. Mounier, C. Rossi …) contrastent avec la maladresse des autres qui pourraient alimenter les colonnes du Pinailleur de BoDoï !
Malgré ce bémol, l’histoire de C. Godard tient la route … il nous reste à espérer qu’il ne rate pas les virages et nous conduise à bon port en justifiant la conclusion de l’éditeur !
LA PROMESSE (T1) ... tenue !
Grand frère New Yorkais du "Choucas" (voir les 5 premiers excellents tomes) ou grand père de Jérôme K. J. Bloche (voir les non moins excellents 16 tomes), Oxford, détective privé septuagénaire et caractériel, est le nouveau (anti ?) héros de la Collection « Polyptique » (7 albums prévus par série).
Malgré des problèmes de mémoire et la désapprobation de ses proches, portés par ses vieilles jambes, il s’entête à résoudre une enquête … et, comme disent les d’jeun’s, il ne « lâchera pas l’affaire » … comme au bon vieux temps !
Un scénario bien ficelé, des personnages attachants bien cernés, des sentiments (il fait croire à sa femme qu’il ignore qu’elle vit ses derniers jours) mis en scène par un graphisme très réaliste … et voilà une série très prometteuse qui confirme, s’il en était besoin, que la BD sud américaine se porte bien !
Un agréable moment à passer.
Que rajouter à toutes les louanges sur ce petit chef d'oeuvre ? ... pas grand chose, sinon mon enthousiasme à sa lecture ... JOUISSIF !
Déjà, le ton est donné par l'originalité de la première page (mots entre-coupés de dessins ...), ensuite, le découpage d'un récit complet en demi planches de 1 à 6 cases pouvant se lire séparément, avec chute garantie (je vous recommande le 24 ... on croirai entendre Cabrel ... ou le 82 qui résume tout l'album !).
On se reconnait en Manu avec toutes ses "qualités" : la mauvaise foi, la lâcheté, l'égoïsme ...
Bref, il ne manque à ce bijou que la cerise sur le gateau : les miches de la boulangère ! Si vous voulez (vous ?) faire plaisir pour Noël ... vous savez ce qu'il vous reste à faire !