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Vraiment déçu par ce tome 2. Le tome 1 pouvait laisser présager une bonne série, hélas....
Peu d'originalité du scénario et surtout peu de crédibilité. Ok c'est du fantastique. Mais faut quand même pas pousser mémé dans les orties.... En 1 page on retourne l'héroine qui ne veut à aucun prix risquer sa vie et puis qui tout compte fait est d'accord après. On prend en otage sa copine qui peut téléphoner tranquilement et au lieu d'appeler la police discute le bout de gras sur le "t'es pas obligé de vouloir me sauver !"
Franchement non !
Chef d'oeuvre.
Visitez mon site sur le Sursis et plus récemment sur le vol du Corbeau.
Beaucoup d'images agréables pour les yeux...
http://perso.wanadoo.fr/lesursis/index.htm
LES EVADES DE LA PLANETE DES SINGES : 1er épisode de l'adaptation du troisième film. Elle prend un peu de liberté et extrapole sur le voyage des trois rescapés de l'espace avant leur arrivée sur la terre des années 70. Par contre elle condense le début de leur captivté au zoo. Ce n'est pas grave au contraire, cela laisse de la surprise à la lecture. Les dessins sont trés bons.
DOC SAVAGE : De magnifiques dessins de JOHN BUSCEMA servent à merveille un bon scénario classique qui prend le temps de présenter DOC SAVAGE et ses adjoints avant de les lancer dans l'énigme de la destruction mysterieuse de buildings.
merveilleuse BD pleine d'humour, il est regrettable qu'il n'existe (à ma connaissance) que 2 albums
Chef d'oeuvre, oui! Et je pèse mes mots. Ce n'est pas seulement parceque je connais Lisa et qu'elle est une amie, mais je n'avais que très rarement autant ri devant une BD. C'est loufoque, absurde, l'univers foisonne de trouvailles décalées, le tout servi par des dialogues hilarants écrits d'une jolie écriture ronde.
Franchement lisez-le, vous verrez si j'éxagère, mais ça m'étonnerait.
J'avais bien aimé le premier tome qui me laissait espérer le meilleurs pour la suite. Même si la fin m'avais un peu déçu. Trop rapide, je trouve...
Ce second tome ne m'a pas déçu. Une réussite !
L'histoire prend une tournure des plus intéressantes. On en apprend plus sur les différents protagonistes, et de plus les personnages deviennent de plus en plus attachants. J'ai beaucoup apprécié l'idée de faire intervenir la famille de Lloyd, qui apporte véritablement un plus dans l'histoire !
Le dessin me plait toujours autant. Surtout grâce aux couleurs ! C'est d'ailleurs souvent le cas, me semble-t-il, quand ces couleurs sont réalisées par Isabelle Cochet ! Le seul reproche que je puisse faire au dessin c'est qu'il est parfois "hésitant" pour certaines expressions du visages, que je ne trouve pas très réussies...
En bref, une très bonne histoire de Luc Brunschwig, bien prenante, servie par de très beaux dessins d'Olivier Neuray. Vivement la suite !
Une série extraordinaire (comme ses aventures). Les personnages sont très denses et deviennent très humains. Le scénario est très cohérent dans l’absurde.
Lire Tous des Monstres (n°7) pour les monstres dessinés par d’autres dessinateurs (Bilal, Gotlib…)
Mouais bof.... Je trouve que ça un air de déjà vu, tant au niveau du scénario que du reste. Je n'ai pas vraiment été captivé par l'histoire. Cependant il faut tout de même noter qu'il y a du rythme, et une certaine intrigue. Mais parfois, j'ai eu l'impression de me trouver au milieu d'un film américain caricatural ; exemple : l'attaque de la cathédrale au début. Un hélicoptère qui balance une rafale de missiles sur le haut et de la cathédrale, tout le monde crève à l'intérieure mais bon le saint suaire, lui, est indemne, tout beau tout neuf, pas une égratinure. Un exemple parmi tant d'autres qui fait que cette BD m'a très moyennement plu.
La 1ère série (1 à 4) est exceptionnelle en suspens et en rebondissement. On engloutit les tomes.
La 2nde (5 à 8) est très réussi bien que moins surprenante. Sa force est de changer complètement de thème par rapport à la 1ère série.
La 3ème série (9 à 12) revient sur les traces des 1er albums. Elle est toutefois moins passionnante et plus lente.
Une 4ème est cours.
L’alternance des dessinateurs (Vicomte, Hérenquel, Faure et maintenant Laval) n’altère pas la qualité de la série.
Voilà une série qui est vraiment très bien.
Le scénario transpose le mythe de Merlin, de Morgane et du St graal dans un univers futuriste et inconnu. Une forte influence de la saga Star Wars y est également présente de part les rapports entre Voort et le Grand Prêtre, la présence d’anciens ordres chevaleresques (Jedi) et l’existence d’une sorte de magie (la Force), les vaisseaux,…
On apprend à connaître un peu plus les différents personnages, ainsi que leur motivations. Morgana et sa nemesis : Voort, se posent de nombreuses questions sur l’un et l’autre, sur leurs passés et surtout sur leurs confrontations. Les réponses sont fournies parcimonieusement et aux gouttes à gouttes.
Il y a de l’aventure, de l’action et du suspense.
Le dessin est splendide et d’une incroyable justesse. Il est propre, précis et fin sans être surchargé pour autant. On est très vite dépaysé par certains décors et autres costumes.
Les couleurs, magnifiques, contribuent largement au dépaysement et accentuent encore plus l’aspect SF et HF. Certaines scènes sont d’une pure merveille (Quand Voort absorbe la puissance d’une étoile – pages 26-27 ou encore l’arrivée du Dragon de Feu– page 42)
En conclusion, voici deux tomes magnifiques qui installent petit à petit une trame en apparence connue et évident, mais teinté de «Space Opera».
Les réponses concernant les questions relatives aux différents personnages se dévoilent lentement. Ce qui indique que l’on est parti pour une longue suite d’albums à l’épopée grandiose.
DAREDEVIL : CHRIS CLAREMONT au scénar fait ressurgir un vieil adversaire L'HOMME AUX ECHASSES. C'est trés sympa à lire, mais ça s'oublie aussi vite car ne fait pas avancer d'un pouce l'intrigue de la série.
IRON MAN : BILL MANTLO semble regretter les premiers épisodes de la série... TETE DE FER a des malaises (comme dans l'ancienne armure) affronte ULTIMO (ressortit comme par magie de son volcan de l'épisode 12), se fait aider par l'agent SITWELL (blessé 60 épisodes plus tôt) et nous propose en dernière vignette le retour d'un vieil adversaire.
L'ARAIGNEE : STAN LEE nous propose un trés bon scénar où L'ARAIGNEE où aide FLASH THOMPSON de retour du VIETNAM a ramené des ennemis mortels. Les dessins de JOHN ROMITA sont excellents.
L'ARAIGNEE : Suite de l'aventure précédente où le DR STRANGE aide le TISSEUR à sauver FLASH de la décapitation !! Les dessins de JOHN ROMITA sont toujours excellents.
lobo/mask est certainement le comics le plus delirant sur terre, il nous permet de nous detendre dans ce monde brutal avec tous ces morts, heureusement lobo est la pour nous proteger contre tous c'est fou!!!!
S'il y a un album de Mickey à lire, c'est celui-ci.
Loin de l'image aseptisée de bd pour enfant que le nom de Disney évoque le plus souvent, le Mickey de Gottfredson est une création unique en son genre. Alors que Disney lui avait confié en 1930 la tâche d’animer en bande dessinée une petite souris créée pour le dessin animé, Gottfredson a transcendé ce personnage presque insignifiant pour en faire sous son crayon une des série les plus captivante du 9e art.
Paraissant sous forme de strips quotidiens à suivre, les aventures de Mickey étaient davantage destinées aux adultes plutôt qu’au public enfantin qui lui lisait plus volontiers les bandes dessinées des journaux du dimanche.
Le résultat : un graphisme qui, mis à part les personnages principaux, n’est en rien « disneyien » : secondé par des encreurs de talent, Gottfredson est un dessinateur au trait juste et raffiné, il sait montrer, derrière cet univers animalier, l’infinie variété des expressions humaines, et il n’a pas son pareil pour camper des décors évocateurs, tantôt enchanteurs quand il emmène son héros en Afrique, tantôt inquiétant quand celui-ci se risque dans les bas-fonds obscurs de la ville.
Ici, le scénariste Ted Osborne a conçu une intrigue captivante, un parfait récit d’espionnage qui conduit Mickey aux fin fond du Sahara à la recherche d’une dangereuse « taupe » et qui l’amène à affronter le redoutable Pat Hibulaire. Engagé dans la légion étrangère pour se donner une couverture Mickey se retrouve infortunément sous les ordres de son ennemi intime. Après avoir essuyer les brimades en tout genre, la scène où Mickey, à l’agonie dans le désert, est « sauvé » par Pat est une des plus forte de toute la bd classique.
Enfin, un mot sur cette collection, «l’Âge d’or de Mickey ». Réalisée par des passionnés, elle a proposé la meilleure édition de Mickey parue en France, tant par la qualité de la maquette et de l’impression, que par sa traduction qui restitue au plus près le texte original.
En définitive, cet album est un des plus beaux témoignages de ce que peut donner une bande dessinée commerciale entre les mains d’auteurs de talent. Après 70 années, la fraîcheur de ces bandes nous touche toujours.
Un album hors-série à reserver aux inconditionnels de Sillage. Loin d'être indispensable il apporte un regard certes intéressant sur Navis. L'intérêt réside surtout dans les nombreux dessins ou reprises d'ex-libris et c'est vrai que là c'est du bonheur.
Les textes sont moins intéressants à mon avis et n'apportent pas tant que ça d'informations.
Pour les fans.
Un avis mitigé. Je suis déçu car je n'y retrouve pas le trait que j'ai tant apprécié dans Carmen ou Travis. Les récits ont des intérêts différents : certains sont plus explicatifs au niveau des infos, d'autres sont sur le thème de l'humour.
Il faut prendre cet album comme quelque chose de différents avec des jeunes auteurs ayant leurs propres styles.
L'album reste cependant pour les fans de la série qui veulent aller plus loin, mais il est à mon avis loin d'être indispensable.
Suite et fin de ce premier dythique. L'intrigue ne baisse pas une seule seconde d'intensité par rapport au premier tome. L'histoire se tient et on comprend enfin pourquoi le spectre du sorcier vient hanter les 3 hommes d'affaires. Les révélations sont bien introduites et restent dans la logique du premier tome. A part une scène totalement fantaisiste et illogique on peut considérer le scénario intéressant et prenant.
Pour le dessin la qualitée reste la même à part tout de même à certains endroits quelques petites erreurs dans les visages.
Bref voici un dyptjique qui ne manquera pas de plaire.
Il s'agit d'un dyptique (tome 6 et 7) dont la qualité s'est quelque peu amélioré par rapport aux albums précédents. L'intrigue est complexe, touffue et bien construite. La conclusion est logique après tout une série de révélations surprenantes dont on était loin de se douter. L'action est cependant limitée et Alpha n'est pas aussi présent que dans les albums précédents. Ceci est une bonne chose car ainsi le scénariste n'en fait pas un ''héros invulnérable qui sait tout et peu tout faire''. Alpha prend une dimention plus humaine qui ne peu que le servir et ceci bien qu'il ait déjà fait preuve de qualités humaines dans les albums précédents ce qui est assez rare dans la représentation classique d'un agent de la CIA. De plus l'histoire gagne en crédibilité et met l'accent sur un travail d'équipe plutôt que sur une intervention en solo.On a pas une vision manicheenne des choses ce qui est un bon point. On a du mal à déterminer qui sont les ''bons'' et qui sont les ''méchants'' car aucun des personnage n'est si simple. De plus le problème abordé (la situation de l'Irlande du nord) n'est pas un sujet simple à traiter et pourtant Mythic s'en sort de façon remarquable.
Le dessin ultra réaliste et classique illustre parfaitement le scénario. La mise en couleure est parfaite et renforce l'attrait du dessin.
Un pari réussi. C'est effectivement un pari de faire un album sur la préhistoire. A part se battre pour survivre, qu'est qu'un auteur de BD peut-il raconter ? Eh bien justement, il nous raconte la survie de deux individus. La loi est celle du plus fort, tant au niveau des animaux que des humains. La valeur d'un être (d'un homme) passe par ses exploits de chasse.
Haussman décrit aussi la condition de la femme et du combat de l'une d'entre elles pour égaler les hommes dans la chasse. Il présente aussi le pouvoir de la femme dans l'intimité et ses conséquences .
Un album dessiné avec justesse et aux couleurs froides à l'image de la dureté de la vie à cette époque.
Un pari réussi et un album riche pour une découverte de cette période si lointaine.
Le problème des pieds-noirs et leur arrivée en France vu par Sibran et Tronchet.
Il sort de cet album une très grande sensibilité dans la manière de raconter les évènements. Une grande douleur également. La douleur d'un homme déraciné, contraint de quitter son pays pour sauver sa vie et de recommencer une nouvelle vie dans un pays qui n'est pas le sien. Combattre puis subir les préjugés, perdre sa dignité, voilà la douleur présentée par les auteurs.
Un album haut en couleurs, les couleurs chaudes de l'Algérie contrastant avec les couleurs froides de la France. C'est assurément une réussite.
L'histoire est distrayante. En effet on a un scénario somme toute classique mais intéressant. L'intrigue se développe de manière lente et l'abum prend le temps de nous faire connaître les différents personnages.
Le dessin est réussi, vif, précis et détaillé. La mise en couleure est propre et efficace. La seul chose que l'on puisse reprocher à cet album est qu'il manque de "chaleur". Il est un peu trop froid ce réduit quelque peut son attrait.
Et le quatrième tome, son retour est pays est tout aussi intéressant.
Le décalage entre les préoccupations qu'elle avait en Europe et celle qu'elle retrouve en Iran, ses copines qu'elle ne reconnait plus ...
DAREDEVIL : DD face à ANGAR le cri avec une allièe inattendu vu le dernier épisode : LA VEUVE NOIRE. SETEVE GERBER au scénario devait trouver qu'elle avait assez manqué et la fait revenir de chez les VENGEURS au bout d'un épisode !!
IRON MAN : Les scénaristes ne sont pas trop de deux (GERRY CONWAY et BILL MANTLO) pour faire sortir l'intrigue de STARK INTERNATIONAL puisque TONY STARK tombe dans un piège à WASHINGTON. Ce piège se nomme ULTIMO !
GEROGE TUSKA rend une copie correcte sans plus au dessin !!
L'ARAIGNEE : STAN LEE nous fait du classique de chez classique avec l'affrontment du TISSEUR face à une ANTI-ARAIGNEE du dr SMYTHE et la présece du DOC CONNORS. Superbes dessins de JOHN ROMITA.
L'ARAIGNEE : Toujours la même recette LEE/ROMITA/ANTI-ARAIGNEE. Avec en prime la vie des amis de PETER PARKER (GWEN, HARRY, MJ, FLASH...) vraiment on se régale !!!!
--- Avis sur les deux premiers tomes ---
Le scénario est tiré d'un "joyeux" mélange d'Event horizon, d'Alien et d'autres. Et même si on sent bien l'influence de ces sources, le mélange est franchement détonnant. On ne s'ennuie pas une seule seconde ; on ne sait plus qui sont les vrais pourris, qui est sous l'influence du maléfice. Bref, le rythme est hyper soutenu ; l'ambiance glauquissime à souhaits. Le dessin, les couleurs et le découpage sont en parfaite harmonie avec le scénario et plongent le lecteur dans l'univers sans aucun effort de concentration. Les deux tomes sont très bien réalisés, même si l'effet perd un peu de sa force dans le seconde tome. Une B.D à connaitre et à faire connaitre.
Rosinsky et Dufaux .... avant même de commencer, on se doute que l'on va passer un excellent moment. Mais on en ressort secoué, soufflé. Assurément une série indispensable, mêlant chevalerie et fantastique. Et cette fin ... l'estoc final, qui fait que vous n'oublierez plus jamais cette série exceptionnelle, mais qui malgré tout par son côté trop "classique" fait rater le 10/10 d'un cheveux.
Une merveille. S'il fallait offrir UNE et UNE SEULE BD à quelqu'un qui ne sait pas même ce que c'est, quelles que soient les origines, croyances ou la culture de cette personne, ce serait assurément celle là. Tout en elle n'est que sagesse et humanité. Si pas la meilleure, ent tout cas LA plus belle BD.
Attention, Ultra-Classique-Monument-Chef d'Oeuvre-Si-t'y-Touches-T'es-Mort de la BD.
Ben si, en fait, j'y touche, tiens. Vais pas m'géner.
J'ai beaucoup de respect pour Morris, qui a fait une mauvaise chute fatale en 2001. (mêêême si il a refusé de me faire un Jolly Jumper à une scéance de dédicace et-que-je-devais-me-contenter-de-ma-tête-de-Lucky-Luke-comme-tout-le-monde-et-arrêter-de-l'embêter-et-ya-du-monde-qu'attend-derrière-merci ). Son dessin et inimitable, le trait nerveux et fin et ça va être chaud de le remplacer. Encore un qui aurait mieux fait d'imiter Hergé et d'interdire la prolongation de la série après sa mort.... On a vu les dégats que ça a fait avec Achile Talon récemment...
Lucky luke comporte 4 grandes périodes:
Première: 1949-1956: Tomes 1 à 8 + le 10 chez Dupuis
LES DEBUTS
Morris s'éclate tout seul sur sa série. Il dessine comme un manche et nous étale en vrac tous ses beaux souvenirs et fantasmes du Far West ramenés de ses voyages aux Etats-Unis. c'est bof et un peu vieillot.
Deuxième: 1957-1978: Tomes 9 à 31 chez Dupuis et 1 à 14 chez Dargaud
LA PERFECTION
O joie !! Morris s'est trouvé un petit camarade aux States. Un certain René Goscinny. Passionné lui aussi par ce pays. La série va être à son meilleur pendant toute cette période: dessin efficace et scénarios impeccables. Bon, du Goscinny quoi... en même temps, il a aucun mérite :) Cette période s'achève avec le tome 14 de Dargaud: le Fil qui chante.
Third one: 1978-1984: Tomes 15 à 23 chez Dargaud
ON SURNAGE COMME ON PEUT
Goscinny meurt en novembre 1977. Et comme pour toutes ses autres séries (Astérix, Iznogoud), la succession sera une galère. Sur cette période, la série s'essouffle mais reste de bonne qualité. Sarah Bernhardt, Fingers sont réussis.
L'Album 15, pourtant de Goscinny, est un recueil d'histoires courtes plutôt moyen. Quant à Daisy Town et La ballade des Dalton, ils sont tirés de Longs Métrages animés de Goscinny mais rendent assez mal en albums.
Quatrième: 1985-aujourd'hui: Tomes 24 à 41 chez Dargaud
ON COULE
Lucky Luke aujourd'hui est devenu une BD médiocre. de nombreux scénaristes ont contribué à la faire couler (mention spéciale pour De Groot et Nordmann). ça peut plaire aux plus petits et encore... Des albums comme le ranch maudit ou l'alibi sont même franchement chiants.
Laurent Gerra saura-t-il relever la série? ça va être dur. Surtout avec de nouveaux dessinateurs.
Excellent dessin, héroïnes sexy, scénario original et rythme élevé. Premier album vraiment prometteur. Espérons que la suite sera à la hauteur.
Graphiquement intéressant, mais le scénario manque singulièrement d'intensité et surtout d'originalité. Dommage.
Excellente série "espionnage". Au départ très classique, les derniers tomes prennent de la consistance en s'éloignant de la vision manichéenne "bons/mauvais".
Non, vraiment çà ne prend pas. Non seulement le scénario ne me tient pas en haleine, mais ce dessin est si figé... Regardez une scène supposée être dynamique, et remarquez à quel point l'impression de mouvement est absente. Jessica, pour moi, c'est terminé.
Un des grands classiques de la BD, naturellement ! Parfait pour les enfants et tout à fait sympa à lire pour les autres :) Je m'y plonge encore de temps en temps et c'est rien qu'du bonheur !
Le dessin, très "ligne claire", rappelle celui des Schroumpf et de Johann et Pirlouit. Normal, Gos a commencé chez Peyo.
Les personnages sont super attachants (oncle Georges...) et la série atteint sont meilleur avec La Saga de Thorgull et le Secret des Trolls. (tomes 12 et13)
A partir de 1983 et du tome 14, malheureusement, la série s'essouffle.
Gos se fait aider par son fils Walt et le niveau des scénarii baisse nettement... particulièrement les albums consacrés uniquement aux gags des Galaxiens, qui sont même franchement mauvais. (les tomes 15, 17, 25 et 29 sont à bannir)
Comme d'hab donc dans les grandes séries classiques de la BD (Lucky Luke, Astérix, Spirou, Thorgal...) il faut faire du tri !!!
De prime abord, ça paie pas de mine comme bouquin. Mais en fait...
Pour commencer, Q.HAYASHIDA, pour moi -comme pour 99,999% des lecteurs potentiels, je présume - c'est l'illustre anonyme au milieu de la jungle manga. Jamais entendu parler, et comme dans la jungle faut être méfiant...
Secondo, l'éditeur -SOLEIL- est loin d'être dans mon top10 des éditeurs qui assurent. A des années lumières même, mais bon, ça n'engage que moi.
Tertio, faut bien l'ouvrir un jour ce livre puisqu'on vient de l'acheter et donc l'histoire commence...
C'est l'intro classique de la bonne vieille baston de derrière les fagots, avec du sang et des onomatopées en japonais qui déchirent ta page en deux quoi (prononcez quoa)... Comme on ne connaît pas les personnages , ça parait un peu chaotique... Bon rassurez vous, ça ne dure pas trop longtemps... Puis vient la classique exposition: ça se passe dans un monde un peu foireux, avec une caste de magicien qui viennent exercer leurs talents sur Hole, une ville de pauv'type. Et évidemment , tous les pauv'types on les boules de se faire exploser à longueur de journée. Parmi eux, Caïman et Nikaido, soit: un bourrin amnésique à la tête reptilienne qui cache un type dans son gosier (en gros...) et une cuisinière bastonneuse profilée gros seins.
La trame de fond - j'vous la fait en très rapide : Caïman attribue son état (amnésie complète et faciès reptilien) à une rencontre avec un mage.Insensible à la magie, il passe donc sa vie à tuer tous les mages qui se présentent et cherche son passé. Shin et Noi, des espèces de mages nettoyeurs sont envoyés pour lui régler son compte.
Résumé de cette façon, tout ça peut paraître un peu facile et franchement pas original. On peut même commencer à s'inquiéter pour nos 10€. Notons quand même que les images d'HAYASHIDA sont nettement au-dessus de la moyenne comparé à ce qui se voit d'habitude en manga.
L'univers graphique est très séduisant. Les masques des mages notamment (le masque en cœur de Shin, celui en poulet rôti de Turkey), les chaussures de deuils, les champignons d'En-san, les carcasses de porcs de Nikaido pour son restaurant, les balais volant 'honda', le démon qui fabrique les masques (enfin qui les vomit plus qu'autre chose dans le "maléfice bonus" du 1er tome) a une dégaine fantastique... Tout est très beau et l'univers qu'il représente est - au fur et à mesure qu'on avance dans la lecture - plus riche et plus cohérent. Et c'est là que ça devient très intéressant.
Dorohedoro est de ce type de Bd dans lesquelles l'histoire est bien moins importante que l'univers qui l'encadre. La quête de Caïman , honnêtement on s'en fout. Mais chaque nouvelle étrangeté apporte du corps au livre, de sorte qu'après avoir lu les deux tomes sortis à ce jour,on a passé un franchement bon moment .
De plus , l'auteur a le bon goût de tourner en permanence son monde et ses personnages en dérision. ça se prend pas trop au sérieux et ça évite de tomber dans le ridicule tout en étant très drôle.
Ce serait dommage de pas jeter un oeil...
Alors d'accord, c'est pas du Taniguchi ou du Taiyo Matsumoto mais au final ,j'ai bien dû lire les 2 tomes 4 ou 5 fois et je les trouve de plus en plus sympa, même s'il y a des petits trucs foireux à droite à gauche, mais bon, dans quelle bd y'a pas des trucs discutables?
PS: Les 2 'maléfices bonus' sont vraiment très chouettes.(c'est ce que je préfère)
PSS: Glop! pour les planches couleurs du 1er tome.(ils ont assuré chez soleil.)
PSSS: trop pas glop! pour les planches couleurs du 2nd tome.(ils ont pas assuré chez soleil.)
J'ai vraiment adoré cette série. Je ne connaissais pas Duval mais son dessin entre réalisme et onirisùe, allié aux couleurs sombres de Florence Breton, rendent une atmosphère très prenante. On est en plein dans un monde de contes et légendes, comme toujours avec Dubois. Les textes de Dubois sont géniaux et nous plongent vraiment dans l'ambiance, genre grande épopée. Il nous prouve qu'il est bien LE maître des vieilles légendes et de leurs petits etres fantastiques. A lire de toute urgence.
C'est un album intéressant. Les histoires sont bien trouvées parfois sérieuses et parfois humoristique. Certaines apportent des compément intéressant aux albums des deux séries Carmen Mc Callum et Travis.
Au niveau des dessins c'est globalement réussie même si je nai pas apprécié certains styles.
Un album pas mal mais pas indispensable à moins d'être un fan.
Une très bonne fin pour cette série. Les 3 immortels, le roi banni, J'on avec son peuple et chacun des peuples se trouvent rassemblés. Les Schninkel se sont soulevés partout et les Immortels s'unissent enfin. La fin approche et c'est celle de la mort, du sacrifice de J'on, bouc émissaire, sorte de Jésus-Christ incompris jugé par les siens. Guerre finale entre chaque groupe devant le cadavre de J'on et finalement son monde est détruit. Beaucoup d'allusions à la Bible et à d'autres choses dans cette série plutôt complexe. Bref à lire et à relire pour bien tout comprendre et apprécier.
Ben, çà m'a plu. Même si çà reste assez classique, j'ai bien aimé l'accroche du début - ce cavalier poursuivit par des soldats pour une raison inconnue - qui amène à raconter l'histoire de cet homme mystérieux, son enfance (en l'occurrence). On pourrait dire que le scénario a été vu mille fois : complot inter-familial, méchant qui prend le trône de son frère, bébé sauvé de justesse et qui est élevé sans connaître ses parents, etc, signe de reconnaissance, etc. Mais l'histoire est bien ficelée et on s'y laisse prendre, emporter. D'ailleurs, ce n'est pas si simple. On sent bien que vilain oncle n'est finalement qu'une marionnette entre les mains d'un mage puissant.
Le dessin de Swolfs est très beau, mais c'est presque un pléonasme de le dire. Il rend très bien les ambiances, les personnages, puis j'aime bien ces costumes moyenâgeux.
Bref, un bon et agréable moment de lecture.
Quoi? Non, non, non, il doit y avoir une erreur, vous vous trompez, ce n'est pas un épisode de Spirou et Fantasio, ça. Hein? Y a écrit "Spirou et Fantasio" dessus? Oh bein ils ont du se tromper lors de l'impression. Je l'ai lu, je sais de quoi je parle. Si c'avait été un Spirou et Fantasio, je l'aurais reconnu. Pardon? Le personnage principal s'appele Spirou? C'est possible, les homonymes, ça existe. Mais Spirou et Fantasio est drole, Machine qui reve ne sait pas ce que humour veut dire. Spirou et Fantasio est plein de fantaisie, Machine qui reve a à peu près autant de fantaisie qu'un relevé du CAC 40. Spirou et Fantasio est une BD "Jeunesse", pour petits et grands, qui fait rever, et Machine qui reve... Aucun commentaire.
Si quelqu'un veut faire un album serieux, avec une ambiance sombre, un ton adulte, tres bien, c'est son droit, ça peut meme me plaire. Mais qu'on appelle pas ça Spirou et Fantasio.
Ca me ferait le meme effet si un petit malin s'amusait à reprendre Olivier Rameau, mais sans le pays de Reverose et tous ces habitants farfelus ("il faut bien que la série vive avec son temps!""Il faut prendre des risques!"), et dans une ambiance cauchemardesque à la Stephen King.
Au revoir, je dois relire QRN sur Bretzelburg.
L'histoire est intéressante. Contrairement à certaines habitudes dans la présentation de certains premier tome, celui ci ne se contente pas de présenter le contexte de l'histoire et les personnages. En effet c'est un album qui va à 100 à l'heure et qui contient beaucoup d'action. On remarque à peine qu'en fin de compte on apprend relativement peu de chose sur l'histoire ce qui permet de maintenir un suspense maximum pour tenir e lecteur en haleine.
Le dessin quant à lui est superbe. Le style réaliste colle bien à ce type de sujet ce qui permet de s'immerger plus facilement dans l'histoire. La mise en couleur permet de bien faire ressortir l'ambiance particulière de certaines scènes par l'utilisation adéquat de jeux d'ombre et de lumière.
Je ne connaissais pas cette série lors de sa sortie en N&B. C’est donc, attiré par la couverture que j’ai acheté ce 1er tome.
Je trouve que ce n’est pas mal du tout. Le lecteur est plongé dans la prohibition des années 30 aux USA. On a l’impression de suivre un épisode des incorruptibles mais du côté des mafieux et en plus violent.
Car la violence y est présente (torture, règlement de compte, viol, vengeance,…).
Les auteurs s’attardent dans ce premier album à la folie d’Amerigo Centobucchi et les rapports qu’il entretient avec ses frères et sœurs (Frank, Antonio et Caterina). Chacun des membres de la famille c’est tourné vers des destinés très différentes : truand, curé, policier et actrice.
Le dessin est sombre et surtout très expressif. Les excès de colère du frère aîné y sont très bien rendu. Le dessin permet encore plus de ressentir le côté malsain du personnage d’Amerigo.
La couleur y est judicieusement maîtrisé afin de ne pas gâché l’atmosphère sombre et violente du récit.
C’est une très bonne BD. Vivement la suite…
C’est beau, c’est dramatique et puissant, à lire quoi ?
Cet album est bien meilleur que le premier et ce pour plusieurs raisons. Tout d'abord on en apprend davantage sur les parties en présence ce qui nous permet de mieux cerner les personnages et l'histoire d'une manière plus générale. Ensuite le personnage de Jason prend une nouvelle dimention. Dans le premier tome il était plutôt du genre spectateur, il subissait l'action. Ici au contraire il a un rôle plus actif et ne se résigne pas au rôle qu'il est condamné à jouer. Il se rebelle contre l'ordre établie et décide de prendre en main son destin.
D'un point de vue graphique le résultat est plus mitigé. Certes il y a de très belles planches qui sont plus réussies que dans le premier volume mais certains plan larges et peronnages secondaire manque cruellement de détail ce qui est plus génant.
C'est un album qui m'a fait passé un bon moment.
Une superbe BD, un scénario béton, un suspens du tonnerre, des dessins extraordianaires. Du débutà lafin, nous sommes surpris et jamais au bout de notre suspens.
Le genre de BD qui se terminent en lâchant un "oh, putain !"
Génial
LES CHAMPIONS : BILL MANTLO nous tient en haleine avec la suite de l'affrontement avec l'équide des super héros soviétiques. Et une surprise pour IVAN quant à l'identité de la nouvelle DYNAMO POURPRE. Trés bons dessins de BOB HALL
IRON FIST : 1er épisode dans TITANS d'une série précédement commencée dans STRANGE. CHRIS CLAREMONT place IRON FIST face à un androide trop facilement battu. La psychologie du personnage est dans cet épisode plus intéressante que l'action.
SKULL : Dernier épisode diffusé. Et c'est dommage car aprés un passage à vide, cette série repartait bien avec BILL MANTLO au scénar et SAL BUSCEMA au dessin. En plus l'arrêt est plus que brutal au beau milieu de l'action.
LES GARDIENS DE LA GALAXIE : Les origines d'ICARUS contés par STEVE GERBER sont plus que confuses... Les dessins trés"timides" d'AL MIGROM n'arrangent quant à la compréhension et l'intéret qu'on leur porte. Une déception.
Tout d'abord le scénario est plutôt intéressant. L'histoire et les personnages se mettent en place de façon à intéresser le lecteur. Il y a également un peu d'action pour rythmer le tout mais c'est dans le tome deux que l'on peut juger de la qualitée réelle de l'histoire.
Le dessin est pas mal. Il colle bien au scénario. Les traits sont assez fin et les personnages expressifs.
Ce deuxième tome est de la même veine que le premier. Les clichés et clein d'oeil sont toujours là et font parfois sourire par le ridicule des situations ou des dialogues. Cependant on sent que l'histoire aurait pu être raconté en moins de 46 planches. Il y a en effet quelques longueurs qui cassent un peu le rythme et c'est dommage.
Niveau dessin c'est toujours la même qualité et si on a aimé le premier tome on aimera le second.
On attaque un nouveau Chabouté comme on ouvre une bouteille de vin millésimé : on sait pertinemment qu'il va être bon... on se demande juste à quel point il va l'être ! J'avoue donc avoir savouré Purgatoire avec le plus grand des plaisirs, malgré un léger goût amer qui m'a suivi du début à la fin de l'album. Je m'explique. :)
Graphiquement, je me suis régalé. Pourtant loin d'être acquis à la cause d'un Chabouté en couleur, tant je trouve son N&B magnifique, j'ai néanmoins été bluffé par la qualité de sa mise en couleur, à l'image de ses couvertures : palette sobre, clairs/obscurs maîtrisés, ambiance palpable... J'adore.
Bon allez j'enlève ma casquette de groupie béat devant le travail de son idole, et je commence à parler de ce qui m'a moins plu. C'est la méchanceté. De tout le monde. Y en a pas un pour rattraper l'autre, l'assureur le banquier l'expert la secrétaire le quidam moyen, on dirait que le monde entier se ligue contre notre pauvre Benjamin. Alors je suis d'accord pour dire que de nos jours argent et égoïsme tendent à devenir des valeurs morales, mais là ça m'a paru un peu... too much.
Voilà, j'ai fait mon rabat-joie, je peux finir en disant que j'ai quand même passé un très bon moment de lecture, et vivement vivement le prochain !!
Particulier. Au niveau graphique évidemment, car c'est ce qui saute aux yeux dès qu'on ouvre l'album. Autant je trouve la couverture très réussie, autant j'ai été moins convaincu par le contenu. Choix artistiques indéniables, avec trait crayonné et mise en couleur infographiée. Ca a le mérite de changer et d'apporter une ambiance intéressante... c'est d'ailleurs ce qui m'a fait acheter l'album, un peu d'originalité de temps en temps ça fait pas de mal !! =o)
Mais l'ensemble donne l'impression d'être un peu trop "jeune". Quelques erreurs dans le dessin, effets d'ombres excessifs sur les vêtements nottament, et surtout une utilisation de l'info qui donne un aspect terrrriblement synthétique à la mise en couleur. C'est peut-être voulu, mais perso j'adhère pas. D'autant que la seconde moitié de l'album m'a semblé mieux maîtrisée. Intéressant tout de même.
Côté histoire, c'est bien prenant. L'intérêt principal résidant dans la particularité de la petite Aster, ceux qui sont déjà au courant risquent fort de trouver l'album un poil vide. Cela dit le rythme lent sert bien le côté contemplatif du récit, et on suit avec plaisir Aster qui découvre sa différence, et doit faire face à l'incompréhension des gens "normaux".
Un bon début, à confirmer avec la suite.
Il s'agit d'un polar plutôt classique dans le style Mike Hammer avec une touche de fantastique. Le scénario se tient et les clichés présent correspondent bien avec ce style de polar. C'est une histoire bien sympatique et distrayante qui m'a beaucoup plus.
Le dessin est pas mal et son aspect simple, un peu caricatural lui permet de bien poser l'ambiance et colle parfaitement à ce type d'histoire.
En bref une voici une bonne BD divertissante.
Il s'agit d'un bon album scénaristiquement assez complet. Le suspence est assez bien maintenue même si ça pourrait être mieux. Il y a un certain équilibre entre les scènes d'action, drôles, émouvantes et même parfois choquantes ce qui donne au scénario une grande richesse.
Au niveau du dessin, ce dernier est assez sobre et classique. Les personnages sont expressifs. Le trait est fin, précis, dynamique et efficace. Bref un dessin réussi.
Une BD où on ne s'ennui pas une minute à la lecture.
Franchement désolé pour les fans, mais je n'ai pas du tout aimé cet album. Il est fait un "foin" autour de cette série, mais franchement, je ne la trouve pas géniale : histoire creuse et surtout beaucoup de violence et des dialogues douteux (à moins qu'ils aient subi une mauvaise traduction)...
Bref, je ne le conseille pas, mais pour les fans, je suis vendeur de cette BD !
Veuve Noire est un excellent comics qui tient en haleine du début à la fin.
Malheureusement, celle-ci n'est pas à mettre entre toutes les mains : pas mal de violence et l'action se passe dans l'univers SM. Pour adultes donc...
J'attends avec impatience la suite !
Ce deuxième album poursuit l'histoire de façon satisfaisante. L'histoire se développe assez lentement et de façon satisfaisante. Les bases posées dans le premier tome sont développés ce uyi nous permet d'en apprendre davantage sur les personnages et le monde dans lequel se déroule l'action. Mais même si on en sait davantage il reste tout de même de nombreuses zones d'ombre à éclaircir.
Pour le dessin la qualitée ne diminue pas dans cet album. Il y a toujours autant de détail apporté aux personnages et aux décors. A savoir que la couverture n'est pas représentative de la qualitée du dessin qui se trouve dans l'album. Ce dernier est en effet bien meilleur.
Le scénario est intéressant de par son suspense très présent et des nombreuses zones d'ombre qui restent. On apprend à connaître les personnages. Même si on a du mal à cerner leurs motivations ces dernière devraient être éclairé dans le tome 2. Par contre on ne sait pas trop où on va ce qui peut être un point positif car ainsi on pourra avoir de belles surprises mais cela peut aussi signifier que le scénariste ne sais pas lui même où il va donc c'est à voir sur la durée.
Pour le dessin il est magnifique. Les ambiances sont bien rendues par une jeu entre les couleurs claires et les couleurs sombres. Les détail apporté au personnages et aux décors est vraiment très appréciable.
Un album de qualité à lire.
Ce premier album de la série la plus bizarre de tous les temps annonce la couleur: les personnages sont imparfaits, les situations sont cocasses, voire totalement absurdes, et l'ensemble est aussi passionnant que drôle.
Tardi, reconnu génial pour son travail sur la guerre de 14, montre ici une autre forme de génie: l'absurde palpitant drôle...
Du bonheur à l'état pur.
Une composition originale, des images frôlant le splendide, une intrigue intéressante... Que demandez de plus?
Après Sambre, Yslaire signe un autre chef d'oeuvre. Mais qui arrêtera cet auteur génial???
On souhaite que la réponse soit "personne"
Des dessins de plus en plus beaux, et une intrigue relancée avec talent...
J'attends la suite avec impatience, d'autant plus que la fin laisse la porte ouverte à de nombreuses possibilités.
Ruez-vous dessus!
Les personnages sont attachants et le rythme est bon.
J'attendrais la suite pour me prononcer plus avant.
En tout cas les auteurs sont super sympas...
On regrettera de se retrouver dans une BD à la "Monsieur Jean" sans en avoir la force... mais tout de même à lire
Ce troisième et dernier album de ce cycle est surprenant, difficile de le poser avant d'en avoir fini la lecture. Les protagonistes se livrent une guerre sans merci. Les manipulations et les trahisons sont à leur comble. L'action est prédominante de ce tome. La CIA, les clans, le gouvernement russe, chacun essaye de s'ne sortir. Et au milieu de ce panier de crabes, Alpha réussira-t-il à sortir son épingle du jeu.
Malgré une reprise pas évidente du scénario, Mythic s'en sort très bien pour clôturer l'histoire.
Et Jigounov est toujours aussi à l'aise dans un dessin qui nous transporte aux coeur de l'action.
Une grande réussite.
Manipulations, trahisons, règlements de comptes, voila le tableau de ce deuxième tome. Petiti à petit , renard nous livre des informations qu'il prend plaisir à distiller.
Alpha, notre agent de la CIA, se révèle petit à petit être un agent redoutable, derrière sa couverture de peintre. Les têtes tombent, le filet se resserre et la guerre entre clans, mafia et CIA va éclater.
Un thriller passionnant, très bien construit et que l'on lit avec plaisir tant les détails apportés aux cases nous immergent dans l'histoire.
Voici un bon album. L'intrigue se tient et le suspense est présent. L'histoire s'inspire un peu de star wars sans être une pâle copie. Le scénario fait tout de même preuve d'originalité ce qui renforce l'intérêt de l'album. Le personnage principal est plutôt intéressant. On le voit évoluer tout au long de l'album pour au final se retrouver mêler à une affaire qui le dépasse totalement. On peu dès lors supposer que ce n'est que le début et que cet être au départ antipathique, imbu de lui même et ne songeant qu'à l'argent va changer radicalement tout au long des albums.
Le dessin quant à lui est somme toute classique. Il est plutôt réussi et agréable à l'oeil. Le trait est fin et précis, les couleurs sont chaudes et vive ce qui illustre bien l'univers dans lequel le personnage évolue.
Voilà un premier album de la nouvelle collection Neogénésis de l'editeur clair de lune. L'annonce d'une enquête digne du film "Usual suspect " intrigue.
L'histoire est celle de 7 prisonniers et de 3 gardes-androïdes qui pour être libérés de leur planète-prison doivent faire une "marche" dans le désert de 120 km en à peu près 36 h sinon la mort est assurée pour eux. d'où le titre redemption.
L'originalité de cet album est le mode de narration croisée entre les faits qui se sont déroulés sur la planète et des enquêteurs qui interrogent DAG un des androïdes rescapé de la planète. Au début il faut vraiment s'accrocher pour comprendre ce qui se passe. Mais une fois compris l'histoire on passe agréablement d'un moment à l'autre avec ces 2 périodes qui se répondent.
Cependant la fin redevient fortement confuse et j'ai eu du mal à tout comprendre jusqu'au bout.
Un point positif qui est la densité des informations fournies se transforme en point faible si on n'arrive pas à les assimiler. Et c'est malheureusement parfois le cas à cause de certains problèmes de narration cités plus haut et de la réelle densité de l'intrigue et de choix peu judicieux, comme le fait d'appeler les prisonniers parfois par leur nom, parfois par leur matricule. Même s'il y a une scène de clarification, il n'est pas évident de se rappeler que XLAP 444 est Brad Norton.
Un autre problème est de temps en temps la disposition des bulles (on met un peu de temps à savoir qui parle), même si vu leur nombre les auteurs s'en tirent bien.
Graphiquement c'est honnète, mais inégal. D'autant plus que les décors sont vides (une planète désertique), il est dommage que les expressions des visages des personnages ne soient pas toujours justes (l'enquétrice féminine s'en tirant très mal). Il y a aussi un manque de dynamisme dans les quelques scènes d'action.
Le plus dérangeant pour un album edité qui a du être lu par quelques correcteurs ce sont les fautes d'orthographes, parfois très grosses et surtout sur la fin de l'album ce qui n'aide pas à rester concentré sur l'intrigue assez exigeante.
Au final un album ambitieux mais inabouti. Comme la réalisation de l'album qui comporte un cahier graphique réservé à la première édition(sympa!) mais qui a ses pages découpées à la hache (dommage).
Une très grande réussite que ce premier tome d'Alpha. C'est à la rencontre d'un monde inconnu que nous emmène Renard. Mafia Russe, différents réseaux mondiaux, le tout sous la surveillance de la CIA. C'est un jeune agent, Alpha, qui à la lourde tâche d'infiltrer un de ces réseaux. La tâche se complique lorsque l'un des contacts se révèle être une femme.
Cet album est une réussite scénaristique car l'auteur nous emmène dans un monde complexe où l'argent est roi. Les explications sont précises et fournies pour ne pas être perdu.
Et cette réussite devient un succès sous le dessin de Jigounov. Chaque case semble avoir été pensée comme une couverture, tant le soucis du détail est présent, rendant le récit encore plus crédible.
Une grande réussite pour ce premier tome.
Un album passionnant quoi nous fait retrouver le style bon vieux polar de début. Il faut espérer que ça ne tournera pas en polar fantstique comme dans le deuxième cycle. L'intrigue est menée avec beaucoup de suspence. La qualitée de l'histoire n'a pas baissée c'est toujours du haut niveau.
En ce qui concerne le dessin, il est toujors aussi bien fait. Cependant j'y retrouve ce qui m'a le plus énervé dans les précédents albums : le fond blanc sans couleur. C'est utilisé de manière excessive et nuit au dessin.
Contrairement à Allerio, je trouve cette série des plus sympathiques.
Elle sort du style "héroic fantasy/SF" cher aux éditions Soleil, et permet avec une autre série "Lance crow dog" d'avoir des polars plaisants en dehors classiques Dupuis.
Pour Private ghost, l'histoire se continue dans le deuxième tome et prend de plus en plus d'épaisseur, ce qui ne gâche rien.
Vivement le suite !!!
Une histoire qui peine à démarrer. Quand on finit l'album, il faut bien dire qu'on n'a pas appris grand chose. Comme dit dans les autres avis, c'est dans les 10 dernières pages qu'on apprend quelque chose. C'est même à se demander à quoi sert le début. Mais peut être que le tome 2 répondra à cette question ; il faut l'espérer.
Pas grand chose à rajouter par rapport à ce qui a déjà été dit : un univers très dense, une multitude de personnages dont il est parfois difficile de distinguer les motivations mais aussi l'aspect. Certains se ressemblent peut être trop, si bien qu'on nage forcément à un moment ou à un autre. Ceci dit c'est un album de qualité qu'il ne faut pas hésiter à acheter ; il en vaut le détour
Bon, j'ai été nourri au Scram depuis ma plus tendre enfance, je ne suis donc pas hyper objectif sur ce sujet (meme si je reconnais une baisse de régime au niveau des scenarii actuellement). Mais quand meme: c'est très mignon comme série! Et cet épisode-là est vraiment très bon sur le theme de la tolérance.
Je suis encore moins d'accord que l'avis precedent. Pour moi "Le Roi des Meduses" est un chef d'oeuvre. Le trait de Segur est magique, unique, ses couleurs enchanteresses. Quant a l'histoire... Quelle histoire! Enfin quelquechose qui nous sort vraiment de l'ordinaire! C'est une histoire d'amour absolue, profonde (c'est le cas de le dire), triste et belle a la fois.
Par le biais de la metaphore, elle nous rappelle que les relations humaines sont complexes et qu'il ne faut jamais juger trop hativement.
Une lecon a appliquer a la lecture de cet album : les avis divergent fortement : lisez le donc, puis decidez pour vous meme ! Doucement...
Effectivement, album double avec Kegoyo et Klamedia; pas un pour rattraper l'autre. De l'humour inexistant, aucune finesse. Rien à en sortir!
Perso j'utilise cette BD pour bloquer les autres au bout de l'étagère...
Fait pour faire rire... RATE!
Ce n'est ni drôle ni fin! Tout juste de l'humour d'auteurs collégiens...
à éviter!
Dernier tome d'une série atypique au niveau des premières et dernières pages de chaque album. en effet, chaque album de la série commence par une série de vignettes montrant un personnage de l'histoire et sans légende, sans texte. Entrée en matière énigmatique et intéressante puisque répétée.
Quaterback est une course poursuite entre des tueurs et le FBI pour résoudre un meurtre. En fil conducteur, le football américain dans les dérives qu'il peut avoir poussées à leurs paroxysme.
Chauvel nous entraine dans une histoire dont il tire les ficelles au fur et à mesure en distillant des informations de temps en temps. Il maitrise bien son art.
Kerfriden au dessin s'applique essentiellement sur les visages qui sont parfaitement maitrisé en délaissant un peu les décors, à mon avis.
J'ai été un peu gêné par les couleurs sans doute réalisées à l'ordinateur, ce type de polar aurait gagné à avoir un peu plus de profondeur.
Une série très intéressante et très bien menée.
Ocean City ou comment de petits truands minables vont se retrouver dans une galère inimaginable.
Un polar en deux parties dans ce premier tome. Une première où un truant s'enfonce après avoir commis un meutre. La deuxième partie paraît n'avoir aucun lien avec la première et pourtant, un incident va réunir les deux de manière inattendue et stupide pour des truands.
Scénariste prolifique, Chauvel un livre un polar dont il a le secret. c'est bien amené, net et sans bavure. On sent l'influence cinématographique dans de nombreux cadrages, il en découle un rythme nerveux.
Komorowski signe un album ou le dessin pourrait être plus fouillé, les décors plus aboutis à mon goût. En revanche, les personnages sont dessinés avec un plaisir particulier, ce ne sont plus des visages, ce sont des "gueules" et il les fallait pour ce type de polar.
Un polar intéressant et divertissant.
Ce quatrième tome relance la série. En effet l'histoire, qui jusqu'à présent était plutôt complexe et difficile à suivre, a comme un second souffle. On a un certains nombre d'éléments de réponses qui nous permettent de comprendre ce qui se passe et un peu où l'auteur veut en venir. Cependant même si on constate une certaine simplification par rapport aux albums précédents il faut tout de même s'accrocher pour comprendre et surtout accepter certains conceptes on ne peu plus effarant mais qui rendent le récit intéressant.
Le dessin quant à lui reste de qualitée égale par rapport aux autres albums.
En bref voici un bon album qui a le mérite de relancer l'intérêt de la série
Depuis quelques années, les Reality Show de tous poils nous envahissent. Avec ce one-shot, nous avons droit au fond du panier de ce type d’émission.
En effet, un puissant média à imaginer de faire participer, à une mission armée dite « humanitaire », un civil. Quand on sait que ce média fait partie d’une puissante corporation qui dirige notamment l’ONUC (Organisation des Nations Unies Corporatistes) et qui détient toute l’économie des USA, on se rend vite compte des dérives possibles au niveau international.
Il est alors aisé de manipuler les opinions publiques grâce à ce type d’émission et de média. Le lecteur ne peut s’empêcher d’y faire certains rapprochements avec les actualités.
Les principaux protagonistes semblent avoir leurs propres motivations qui par moment peu paraître flou ou inexpliquées.
La particularité du scénario provient également d’une succession de flash-back relatif à certains événements antérieurs à l’émission T.V. C’est pendant cette période qu’émergera le premier grains de sable destiné à grippé la mécanique de la machination armée. Le deuxième étant un regain de moralité de la part du participant civil au show.
Le dessin est nerveux et agressif. Il y est possible de confondre certains personnages ou du moins de s'y perdre parfois.
La violence y étant omniprésente, le découpage se veut rapide et clair.
En raison de l’histoire sombre et assez malsaine, les couleurs suivent le style du dessin par des tons sombres ou ocre (pour les retours dans le temps).
LWH est un album passionnant ne répondant pas à toutes les questions et laissant une envie de suite à la fin de la BD. Mais, il se suffit malgré tout à lui-même.
LE SECRET DE LA PLANETE DES SINGES : L'adaptation du deuxième film de la saga se termine magistralement. C'est graphiquement magnifique. La détresse de TAYLOR lors de la mort de NOVA est magnifiquement retranscrite !!
LE ROYAUME DE L'ILE AUX SINGES : On se demande pourquoi la série ne s'est pas arrêtée lors de l'épisode précédent. ZANE retourne sur le continent pour un remake du 1er épisode lui-même mauvais remake des deux premiers films. De plus comme cette histoire est parrallèle au deuxième film, il est un peu bizarre de s'intéresser à des personnages dont on connait le funeste avenir à court terme.
Paradis... le dernier volet de cette superbe série..
Vu mes souvenirs, je ne laisserai qu'une vague impression des trois tomes..
Un rêve végétal comme on aimerait en voir plus.. dans la réalité..
Malgré quelques clichés et arguments parfois simplistes.. la magie est toujours là.. grâce aux dessins de Mc Kean, qui manie la couleur, et le noir, comme des sensations pures.
Le contraste toujours présent entre l'humain gris, oxydé, oppressant avec l'éclat végétal transcendant, fragile, mais si évident de puissance, est vraiment jouissif je trouve.
Au fil des tomes la couleur prend de plus en + de place : le paradis vert aurait-il le dernier mot sur l'éternelle soif de conquête humaine?..
Le rêve végétal peut-il s'unir à une forme d'humanité pour donner naissance à une nouvelle expression du futur terrestre ?
Pour tout amateur de Cyberpunk, une BD a avoir dans sa collection. On y retrouve une forte inspiration "Gibsonienne". Corporations tentaculaires, NetRuners (cow boys), anti heros... A rapprocher a mon avis de la lecture de Neuromancien (W Gibson)
Je viens de lire l'album et je dois dire qu'il est très bon. Le scénario est intéressant. Certe ce n'est pas le premier album qui parle de télé réalité, il y a déjà eu Reality show et intox mais cet album va au delà. Ici nous avons l'utilisation d'un média pour faire accepter à la population une guerre pour des raisons humanitaires alors qu'en réalité il s'agit de finance. L'album nous montre des personnes capable de tout pour de l'argent. La télévision ne montre aux gens que ce qu'elle veut bien montré et on s'aperçoit qu'il est très facile en utilisant des informations fausses, créées de toute pièces pour justifier l'injustifiable. Ce qui fait le plus peur quand même c'est que l'on ne peut pas s'empécher de faire le rapprochement avec les Etats Unis et leur propagande basé sur des documents falcifiés pour justifier la guerre en Irak. Donc voici un sujet on ne peu plus d'actualité.
Le dessin est vraiment réussi. Le trait est fin et précis. La mise en couleur est efficace d'autant plus qu'elle marque bien les passages des flash back.
« Elle » constitue un album très intéressant :
Le scénario nous raconte l’histoire d’un jeune homme (Hippolyte) sympathisant à la cause des résistants, pendant la seconde guerre mondiale, dans une ville de Rennes occupée et bombardée.
A la suite d’un bombardement, il y fait la rencontre de Michelle, une jeune fille étrange au visage d’ange et recherchant ses ailes ?
Notre personnage central, y découvre l’horreur de la guerre avec ses dévastations et ses morts. Il apprendra ainsi la violence.
L’histoire est assez intimiste par son approche du personnage d’hippolyte. Au début, il est idéaliste, voire philanthrope, et peut-être encore un peu naïf au sujet de la guerre et de ses conséquences. Cela lui procure une certaine profondeur.
La jeune Michelle se déclare comme étant un ange, mais peut-être est-elle tout simplement folle. Elle souhaite protéger son prochain et semble caché un terrible secret.
Les conséquences de leur rencontre n’en seront que plus dramatiques.
Le dessin est tout en douceur, féminin et en beauté avec des traits très fins. Il est lumineux et très agréable à l’œil.
Le seul petit bémol provient du fait que les personnages sont parfois effacés avec des traits du visage un peu flou. Ils ont tous l’air d’avoir le même âge (à part pour un médecin,…).
Les couleurs, pastels et extrêmement lumineuses accentuent encore cet aspect flou ou irréelle de certains paysages ou de certaines scènes.
« Elle » est un très bon album, aux beaux dessins et au scénario accrocheur. La suite, et fin, devrait répondre à de nombreuses questions laissées en suspends.
La lecture en est facile et agréable. La jeune artiste qui signe cette œuvre en tant que scénariste, dessinatrice et coloriste, entre tout en douceur, mais par la grande porte, dans le monde des auteurs de BD.
X-MEN : Le reste de l'équipe part au secours de JEAN GREY, SERVAL et HURLEUR retenus prisonniers dans une station spatiale par les SENTINELLES. CHRIS CLAREMONT fait dans le classissisme pour cet épisode où les personnages semblent à l'étroit dans les case de DAVE COCKRUM. COLOSSUS semble attiré par TORNADE. Idylle à suivre ?
L'ARAIGNEE : Le postulat de départ est un peu gros. SPIDEY croise par hasard NAMOR en plein NEW YORK et en pleine nuit !!! LEN WEIN se rattrape à la fin de l'épisode où ils vengent le père de NAMOR tué par le REQUIN TIGRE. Le dessin de GIL KANE est moyen sans plus.
L'ARAIGNEE : est cette fois-ci allié au CAVALIER FANTOME qui lutte contre un motard au look original (là le scénar de LEN WEIN est un plus imaginatif)qui veut lui voler son spectacle itinérant. Les dessins de ROSS ANDRU sont trés agréables.
LA CHOSE : Décidement cette série demeure le point faible de la revue. LA CHOSE est allié au FILS DE SATAN pour lutter contre un ridicule fantôme outlaw de cent ans. BILL MANTLO n'est pas prêt de relever le niveau de la série avec des scénars aussi insipides.
Je viens de lire l'album et j'ai bien aimé. L'histoire est intéressante et originale. On découvre ce monde post apocalyptique, froid et assez malsain qui reste somme toute très mystérieux. Les personnages ont de la personnalitée et chacun d'eux joue un rôle bien précis qui n'est pas toujours celui auquel on pense de prime abord. Le suspense est bien entretenu et les informations distillés au compte goutte.
Pour le dessin et la mise en couleur il n'y a rien à redire. Les décors et les scènes de combat sont vraiment réussis, un vrai bonheur. Le seul petit point négatif c'est au niveau des visages. par moment on a l'inpression que le personnage pricipal vieilli d'un coup puis redevient plus jeune d'une case à l'autre. Les couleurs sont très bien choisies et contribuent grandement à intaurer la sensation d'être dans un univers dur et oppressant.
En bref je dirais qu'il s'agit d'un très bon album dont j'ai hâte de connaitre la suite.
tout simplement exellent ! une perle ce troisieme tome , sans doute le meilleur de la serie
ont ne se lasse pas une seconde et ont pris dieu a chaque page pour que celle çi ne soit pas la derniere .
Une très grande surprise, je ne connaissais pas du tout ce qu'avait fait Florence Magnin et ne connaissais Rodolphe que pour les Ecluses du Ciel.
Une histoire renversante, un conte poétique qui nous ramène en enfance. Une BD douce comme une patate chaude. Eh, oui, je suis tombé sous le charme. Le scénario est fantastique.
Et cette histoire est illustrée de manière très douce sous le trait de Florence Magnin. Des couleurs tendres pour un conte pas si enfantin que cela.
Quand la BD nous procure des émotions dignes de notre enfance.
Tous simplement fascinant. Je l'ai lu d'une traite et j'aurais fait n'importe quoi pour que le tome 2 sorte tout de suite pour aller l'acheter. L'intrigue est exeptionelle, elle vous fais lire fièvreusement les pages qui défilent sous vos doigts, sous vos yeux.
Abordant une intrigue différente des dernières productions que l'on a pu voir ces derniers temps en librairie, dans une situation géographique peu banale et dégageant une atmosphère singulière, cette bd est un petit bijou. Espérons que la suite soit la consécration du premier tome.
Allerio... autant j'apprécie la plupart du temps tes avis sur les séries, autant là, tu craques complètement !
Bon, je suis d'accord avec toi, Agrippine n'est pas-et de loin-la meilleure série de Bretecher. la dame a un peu vieilli et sa caricature des jeunes sonne plutôt faux: ouaih bon, d'accord...
Mais de là à la traiter de pseudo-auteur... c'est clair, tu t'emportes !!
Va relire "Les Frustrés" !! Vite ! S'il te plait !! Claire Bretecher est tout de même l'auteur d'un des "Monuments" de la BD ! OK, c'était les années soixante-dix mais c'est toujours aussi poilant ! Elle se fout de la tronche de son environnement très parisien comme personne ! "Tourista", "Le destin de Monique" font également partie de mes BDs préfèrées: côté humur, elle est au niveau de Goscinny !
Quant au dessin... la couleur ne les met peut être pas très bien en valeur dans Agrippine. Pourtant, malgré une apparence brouillon, celui-ci est au contraire extremement travaillé et efficace.
C'est étonnant de ta part de te voir juger une artiste uniquement sur son dernier album, toi qui a très bien décrit l'évolution de "Thorgal" ou de "Lucky Luke" !
DAREDEVIL : Depuis le précédent épisode LA VEUVE NOIRE a quitté DD (épisode 111 des AVENGERS non diffusé par LUG) et il se remémorre son passé (pratique pour un N° 100 merci Mr STEVE GERBER). GENE COLAN pour la fin de sa collaboration à sa série est en petite forme.
IRON MAN : GERRY CONWAY termine l'affrontement avec KRAKEN. Une fin clin d'oeil qui reléve trés nettement la petite forme actuelle de la série.
L'ARAIGNEE : Fin de l'escape du TISSEUR dans la terre sauvage de KA-ZAR. Un épisode proche du pastiche tant le scénario de ROY THOMAS est mauvais et c'est sans commune mesure avec le désastre du dessin de GIL KANE.
L'ARAIGNEE : Aprés le désastre des derniers épisodes le niveau ne pouvait que remonter grâce à un retour au classissisme (retour de STAN LEE au scénar oblige). L'ARAIGNEE est face à un nouveau robot ANTI-ARAIGNEE acheté par JAMESON. GIL KANE est nettement plus à l'aise au dessin pour les histoires citadines.
LE SECRET DE LA PLANETE DES SINGES : Retrouvailles entre BRENT et TAYLOR prisonniers des mutants. Les singes s'approchent de la cité. L'adaptation est toujours autant réussie et les dessins en noir et blanc superbes.
LE ROYAUME DE L'ILE DES SINGES : La série se démarque totalement du plagiat des films que faisait ressentir les premiers épisodes. Les singes sont des chevaliers qui jouent à la table ronde. La bataille rangée finale est vite bacclée mais malgré tout impressionante.
Voici un premier tome tout en légèreté. Que ce soit dans le scénario, dans l’humour et dans le dessin.
Le scénario y est quasi inexistant. L’histoire que relate SexyGun par l’intermédiaire de la voix off d’un dénommé Tom Reck, ne fait que de retranscrire certains faits autour des quatre ravissantes héroïnes. Cela va de la rencontre du trio de base (Svetlane, Betty et Ann) avec l’asiatique Li Ming, à la manière peu orthodoxe pour les SexyGun de survivre dans ce « West » sauvage. Il est vrai qu’elles ne sont pas des exemples de vertu (effeuilleuses, modèles, voleuses, escrocs et prostituées à l’occasion).
L’ensemble est saupoudré de légèreté et d’humour avec certain clin d’œil à notre société (viagra en sirop, photos de pin-up pour magazine,…) et certains archétypes sur la gent féminine (filles faciles).
Le dessin, humoristique et très réussi nous dépeint un far west résolument tourné vers le charme et l’aventure. Le dessinateur y représente la femme comme sublime et généreuse (sauf peut-être Molly, la patronne du bordel et saloon, Mack-the-Knife).
Même si le dessin y est très beau, je trouve que l’encrage y est parfois trop épais. Certains personnages, en arrière plan, semblent aussi un peu flous ou mal représentés. Les visages ou même les formes aguichantes des quatre jeunes femmes sont parfois un peu surchargés, ce qui peut nuire à leurs apparences.
Les couleurs y sont assez lumineuses et chaudes.
En conclusion, SexyGun est un album tourné vers l’humour et le charme (d’où le titre de la série) laissant une grande place à l’action. Le dessin totalement différent de Banana fight est accrocheur et plus réussi à mon sens.
Il s’adresse plus à un public adolescent ou adulte (et encore ado dans l’âme).
Il s’agit donc d’un album à lire dans le but de passé un bon moment de détente.
Au fur et à mesure que l'on lit Sillage, on peut mesurer la richesse de l'univers de Navis. Un nouvel album plus politique. Pourquoi ? Navis se range aux côtés d'un peuple opprimé et y met tout son courage pour supprimer ce joug. Dans cet album, une révolution se prépare, mais au fond, après une révolution, les choses reprennent leur cours normal et tout recommence.
Le parallèle (s'il peut y en avoir un) est celui de la révolution industrielle qu'ont connu nos civilisations.
Morvan avec Sillage me fait penser un peu à Christin dans les débuts de Valérian ; un même souci de faire passer des idées de sociétés meilleurs, de sauver les peuplades opprimées. On ne pouvait rêver meilleure référence scénaristique. La comparaison s'arrête ici, Morvan n'a point besoin de références, c'est son univers à lui qui deviendra une référence.
Et toutes ces idées sont superbement mises en images par le trait net, et précis de Buchet. Il est aussi à l'aise dans les réprésentations de Science-Fiction que dans les recoins d'une civilisation en pleine révolution industrielle.
La série n'est plus prometteuse, elle tient ses promesses.
Morvan confirme la qualité de Sillage. L'univers est complexe et très cohérant, aucun risque d'être perdu. Chaque personnage a sa propre histoire et c'est avec plaisir que l'on découvre la personnalité de chacun.
Ce second tome est la fin de la mise en place de Navis dans le convoi. Elle va devoir se battre pour conserver sa différence. deux nouveaux alliés vont venir l'aider, Snivel le robot et Bobo, le migreur.
Buchet confirme également son talent. Quelle richesse dans les vaisseaux, les décors, l'enchainement des cases est rapides et efficace. La gammes des couleurs propre à chaque race crée une ambiance et donnant un rythme efficace.
Sillage, une série prometteuse. Plus maintenant, ce second tome est à la hauteur du premier. A lire absolument, évidemment.
Une planète ressemblant à la terre. Un vaisseau spatial qui se l'approprie pour la terraformer. Cependant une espère intelligente y vit, représeentée par son unique spécimen : un être humain.
Avec Sillage, Morva, a crée un univers à part entière, aves ses lois, ses codes. Un univers réaliste dans un futur lointain. Et l'on découvre avec grand plaisir Navis, cette petite terrienne si attachante.
Mais cet univers ne serait rien sans le dessin de Buchet. Le trait est net, précis, le dessin est riche, très riche. Une belle mise en couleur assure la qualité de l'ensemble.
Le renouveau de la SF, une série très agréalbe et très prometteuse.
Aussi déjanté que son "cousin" Bouyoul :
Et voici Evil Devil, un des démons du 7e Cercle, (qui prend la relève de Bouyoul*) né de l'imagination toujours aussi perturbée de Loran (... il a dû en baver dans sa jeunesse le pôvre !).
Malgré quelques différences avec Bouyoul (vert, inconscient et gaffeur), Evil Devil (rouge, vicieux et alcoolique) partage avec lui un goût certain pour la bagarre et les catastrophes !
En effet, notre héros se trouve invoqué pour quelques missions terrestres (grâce à des grimoires pas toujours maîtrisés) au cours desquelles il se chargera de foutre un beau merdier, de débaucher de pauvres ados, et de régler quelques comptes avec nos compatriotes (même les morts !)... Dans une ambiance toujours aussi gore ! Bref... des comptines à ne pas mettre entre les mains d'âmes trop sensibles...
Le graphisme "nerveux" de Loran, parsemé de "raccourcis" graphiques audacieux et originaux, et éclairé par des couleurs flashy vous feront passer un bon moment...
A consommer sans modération !
* Voir son premier album (L. Crenn) dont un 2e tome est prévu début 2004 ...
Voici un premier album où le romantisme et le poétique sont omniprésent. a travers les souvenir de Jam on découvre ce monde apocalyptique livré a des guerres intestines pour un peu de nourriture mais aussi la beauté et la joie de vivre des automates qui au final sont plus humain que les humains. Le scénario est véritablement en béton sans le moindre petit défaut pour le moment. Il fait naître une grande palette d'émotion chez le lecteur suivant les scènes.
Le dessin de Béatrice Thillier est vraiment superbe. Associé à une splendide mise en couleur accentue l'émotion que dégage le scénario. Les deux s'entendent merveilleusement pour nous donner un pur moment de bonheur.
Une nouvelle série par Kraehn, j'y vais les yeux fermés.
Avant de lire l'album, la couverture nous plonge déjà dans le Moyen-Age et c'est l'objectif.
Un chevalier errant et son valet arrive sur les terres d'un seigneur dans les Pyrénées. Par maladresse, ils offenseront la maîtresse des lieux, ils seront contraints de quitter le château. Blessé, le Ruistre sera soigné par un ermite, tandis que de son côté son valet sera fait prisonnier par une bande de brigands. Complots et trahisons sont à l'ordre du jour, le Moyen-Age était fait de conquêtes de territoires.
Un dessin de qualité, Kraehn montre qu'il peut être très à l'aise dans cette période de notre histoire. Un dessin très agréable et de belles couleurs rendent ce récit très attractif.
La surprise vient des dialogues entièrement en vieux français, cela déroute mais crédibilise le récit.
Un premier album qui nous montre le Moyen-Age tel qu'il était avec la brutalité des chevaliers, dans les rapports guerriers, mais aussi dans leurs rapports avec les femmes (quel bestialité).
Un Moyen-Age comme l'on vécu nos ancêtres.
Cet avis concerne la série complete.
J'ai adoré cette série.
Notamment car elle a eveillé ma curiosité sur certains évènements historiques que je connaissais peu. J'aime ce côté enrichissant dans la BD.
Par ailleurs elle ouvre des réflexions sur la foie et les fondements des croyances religieuses.
Une jeune fille tatoué à la manière des Maoris.
Sans passé apparent.
Poursuivie par des tueurs : une frère et une soeur aux moeurs étranges, et une armoire à glace.
Qui est-elle ? Que cherche-t-elle à cacher ?
Elle est folle mais cette folie fait partie d'un plan machiavélique comploté par son frère pour une sombre histoire d'héritage.
Un polar haletant, où l'on découvre au fur et à mesure les personnages.
Un dessin particulier, en couleurs directes. Des tons très chauds alternant avec des cases pouvant être très sombres. Rien de mieux pour créer cette ambiance de polar.
Un trait hors des sentiers battus mais qui se révèle d'une grande finesse.
Un très beau polar.
L'album se décompose en deux histoires.
La première (beaucoup plus longue) permet à ROY THOMAS de mettre en place progressivement les protagonistes jusqu'à leur arrivée au royaume des damnés (CONAN n'apparait sous un faux nom et un turban trés exotique qu'au bout d'une dizaine de pages). C'est la fin qui a une certaine baisse de régime ou CONAN doit sortir vivant de ce piège en embarquant la fille (pour une fois il est aidé par des forces inconnues plutôt que de lutter contre elles). Le dessin de JOHN BUSCEMA est superbe voir grandiose du début à la fin !
La deuxième beaucoup plus courte toujours écrite par ROY THOMAS est hyper classique avec CONAN devant lutter contre une secte secrète avec son monstre millénaire. (D'aprés vous il repart avec ou sans la fille ?)
Le scénario de cet album est intéressant. Gille Chaillet prend son temps pour poser l'action et développer les personnages qui jouerons un rôle très important par la suite. De plus on apprend peu de chose sur le complot en lui même ce qui ménage le suspense et à la fin de l'album on est vraiment impatient de lire le suivant pour connaitre la suite. Ce qui est agréable c'est que le scénario est basé sur la réflexion et non sur l'action. En effet il y a quelques scènes d'action dans cette albums mais elles ne sont pas omniprésente.
On est ammené à réfléchir sur le rôle de la télévision et le comportement des gens faces à ces émissions de télé poubelle basé sur des sujets à la mode où l'on dit au telespectateur ce qu'il veut entendre plutôt que la vérité. On se rend compte du rôle de cette dernière dans la manipulation des masses étant donné que la plupart des gens prennent les info de la télé pour argent comptant au lieu de simples éléments de réflexions qui ne sont bien souvent qu'une vision assez simpliste des choses. Et c'est à travers ce média que va se jouer un complot dont on est loin de connaître tous les tenants et les aboutissant.
Le dessin joue un rôle assez efficace dans cet album et les expressions des personnages sont assez bien rendues.
A mon humble avis, l'un des meilleurs tomes de cette série. Pourquoi ? tout simplement parce qu'il combine tout ce que j'aime dans cette bd, et aussi sans doute parce que c grâce à lui que j'ai découvert la série et qu'elle m'a accroché.
beauté graphique, qualité du scénario, efficacité de l'intrigue, pose de nombreux jallons pour les tomes suivants... du bonheur, ça donne en vie de se plonger dans les aventures de ce héros simple et mystérieux, et de profiter de ce que l'association Van Hamme - Rosinski offre de meilleur... enfin jusqu'au tome 18... mais d'autres en parlent déjà sur ce même site, et mieux que moi
Voici une série parallèle à Golden City, qui commence sur les chapeaux de roues.
Le scénario prend le temps de nous y présenter les différents protagonistes. Le lecteur passe de séquences de courses avec des véhicules hyper puissants et un jeune héros surdoué du volant au nom évocateur de Dayton, a des scènes d’intrigues liées à Golden City.
De nombreuses questions restent en suspend à la fin de ce premier tome. Ce qui est normal, pour un album d’introduction.
Néanmoins, l’intrigue y être moins intéressante et moins novatrice que pour la série mère.
Le dessin, tout comme pour Golden City, y est propre et net. Le trait est précis et détaillé voire un peu stérile par moment. Mais grâce a un découpage assez cinématographique et nerveux, les scènes se suivent rapidement ne laissant aucun moment de répits.
Les couleurs chaudes et vives accentuent encore cet effet de vivacité dans le dessin.
Il s’agit d’un premier album plaisant et rapide à lire.
Ce premier tome d’une série de trois frappe fort et surtout ne laisse pas indifférent.
L’auteur nous y présente un jeune homme plein d’avenir qui après avoir hérité d’un maison, s’est lancé dans la vie active en tant qu’indépendant. En conséquence de quoi, il a investit dans un outil informatique performant. Malgré, ses dettes, il garde un moral d’acier car il sait que son affaire tournera grâce à un carnet de commande bien rempli.
Malheureusement, le destin se jouera de lui. En une nuit il perd tout (maison, travail, carte d’identité, honneur…) et n’ayant plus de famille, il se retrouve SDF.
Le lecteur assiste donc à une lente mais irrévocable descente aux enfers de la part de cet héros malgré lui : Benjamin Tartouche.
Même si les événements s’enchaîne les uns aux autres, et ce de façon presque surnaturelle, on ne peut que redouter ce type de déchéance. On ne peut s’empêcher de penser : « Et si cela m’arrivait » !
Le Purgatoire constitue bien un drame où le désespoir s’accroît de pages en pages.
Le dessin (extrêmement lisible et réaliste) est sombre, voire même noir comme l’avenir de Benjamin. Il ne laisse aucun doute aux lecteurs quant à l’issu du récit.
Le style triste de l’auteur (visages allongés, grisaille des bâtiments, du ciel, la pluie,…) est néanmoins rehaussé de couleurs. Mais celles-ci restent dans les tons sombres, gris et bruns.
Il s’agit donc d’une œuvre réaliste et prenante, à ne pas lire dans un moment de déprime.