Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 24/11/2024 à 05:01:22 en 0.5412 sec
Je viens de le lire et il est franchement superbe. L'histoire est complexeet nécessite de s'accrocher mais franchement ça vaut le coup. Plusieurs lectures sont visiblement nécessaire pour bien comprendre les différents points du scénario.
D'un point de vue graphisme ont se rend compte qu'Eric Liberge est vraiment bourré de talent (enfin ceux qui ont lu ses autres albums le savent déjà). Le dessin est magnifique, parfaitement maîtrisé et succite bon nombre d'émotion. Le découpage est bien plus simple que dans "tonnerre rampant" ce qui permet une lecture plus fluide.
Un album plutôt surprenant qui nécessique que le lecteur s'accroche pour essayer de comprendre tout ce qui est dit (abandonner déjà l'idée de tout comprendre à la première lecture il en faut au moins deux trois). Ce tome se base essentiellement sur des concepts très vagueet assez difficile à saisir. cependant le lecteur arrive petit à petit vers une véritée plus qu'incroyable et à laquelle on s'attend pas. C'est une très bonne évolution de la série mais il faut dans certaines conditions pour l'apprécier.
LES CHAMPIONS : JOHN BYRNE arrive aux dessins et donne ainsi un peu d'air au scénario de BILL MANTLO un peu simpliste avec un méchant qui "possède" les personnes par leurs ombres.
IRON FIST : CHRIS CLAREMONT sort un scénario prétexte pour faire s'affronter IRON FIST et IRON MAN. (STARK a dans sa chambre un signal d'alerte géant !!!). Petite déception pour les dessins de JOHN BYRNE qui est particulièrement mal à l'aise pour dessiner IRON MAN. Mais ça reste du haut niveau pour le reste !!!!
CAPTAIN MARVEL : GERRY CONWAY met de nouveau CAP aux prises avec la SENTINELLE KREE qui a pris la mémoire d'un nouveau ZAPATA !!! Les dessins d'AL MIGROM sont presque caricaturaux.
LES GARDIENS DE LA GALAXIE : Les GARDIENS à la rescousse d'ICARUS dans une bataille rangée où ils envahissent à eux seuls une planète !!! Cela aurait pu être plus spectaculaire avec des dessins plus aérés que ceux de AL MIGROM. La fin de l'histoire concoctée par ROGER STERN est surprenante par sa cruauté. Etonnnant que la censure de l'époque n'ait pas réagi !!!!
Le quatrième tome est toujours aussi agréable à lire. L'imagination de Léo n'a pas de limites, nouvelles planètes, nouvelle faune et nouvelle flore. Un vrai régal.
L'intrigue se précise et l'on en sait enfin un peu plus sur la mantrisse.
Ce cycle de Bételgeuse reste néanmoins en dessous de la qualité scénaristique du cycle d'Aldébaran, sans doute du au fait que la surprise est moins grande quand aux différentes manifestations de la mantrisse.
Ceci dit, c'est un album très agréable.
Ce troisième album n'est pas le meilleure. Certe l'histoire est intéressante et digne de bonnes séries télé. Cependant il y a quand même de gros clichés un peu trop mis en avant tel que le héros séducteur sans peur et sans reproche ce qui décrédibilise le personnage de Wayne Shelton.
C'est un album distrayant à lire quand on a pas envie de se prendre la tête et ça arrive.
Information à prendre avec des pincettes !! D'aprés Van Hamme, il pense mettre un terme à cette exellente série d'ici trois tomes. Bien sûr ceci pas certain. Alors prudence avec cette information.
Une histoire ressemblant à la Bête du Pacte des Loups. Un scénario sans faille et loin du fantastique qui est présent au début de l'album.
Le dessin en noir et blanc est superbe, les cases s'enchainent comme un film. C'est net, précis et la course poursuite d'un loup après un lapin est magnifique.
Un bien bel album.
DAREDEVIL : STEVE GERBER met DD en face de DRAGON LUNE qui est manipulée par l'ennemi mystérieux de DAREDEVIL (son identité est révélée à la fin de l'épisode dans l'indifférence qui sied à la qualité actuelle de la série). DON HECK reprend une copie "scolaire" au dessin, il est heureusement suppléé par JIM STARLIN pour tout ce qui concerne les origines de DRAGON LUNE.
IRON MAN : Un épisode "oriental" concocté par BILL MANTLO car aprés avoir fait entendre raison à FEU DU SOLEIL, IRON MAN fonce en CHINE affronter son vieil ennemi LE MANDARIN. GEORGE TUSKA est trés à l'aise durant cette période pour les dessins
L'ARAIGNEE : est en pleine guerre des gangs entre OCTOPUSS et HAMMERHEAD. Le scénar de GERRY CONWAY est un peu simpliste (voir l'évasion du TISSEUR du repère de HAMMERHEAD) et JOHN ROMITA au dessin fait son boulot sans plus.
L'ARAIGNEE : Toujours entre les deux magnats du crime assoifés de pouvoir, L'ARAIGNEE tente de sortir TANTE MAY du champ de bataille saine et sauve. GERRY CONWAY nous sort de notre torpeur à la fin par une décision surprenane de cette chère MAY. Le début de l'épisode est limite caricatural au niveau dessin par JOHN ROMITA avant de redevenir normal vers la fin.
L'histoire est intéressante et nous donne une nouvelle vision de la légende d'Arthur et de ses compagnons. L'athmosphère est bien sympathique mais il faut être en forme pour lire une telle série car sinon on sature assez vite au vuedu style narratif qui peu paraître à certain assez lourd et rébarbatif. Il n'empèche que la qualitée est toujours présente même si on aimerais bien revenir sur l'histoire de Merlin.
Ce deuxième album nous permet d'en apprendre danvantage sur le personnage principal de la série et en partie les raisons qui le pousse à agir comme il le fait. Ce personnage est véritablement très développé et encore on ne sait pas tout sur lui. L'intrigue se développe de manière satisfaisante et de façon régulière. Le tout servi par un dessin très réussi.
Un conte comme personne ne l'avait raconté. Nous voici plongé dans le monde des automates et d'un homme à la recherche de la magie capable de résulter d'une fée. Les décors sont sompteux et c'est avec beaucoup de plaisir que nous suivons l'histoire de Jam à la recherche de sa fée.
Une grande réussite plein d'émotions.
Un western avec des femmes pour héroïnes, voilà une idée intéressante. Et cela fonctionne très bien. Une chasse à l'homme (ou plutôt à la femme) est lancée et les quatres femmes sont peut-être dans leur droit avec les assassinats commis.
Un western agréable et différent. Cependant le dessin gagnerait à être plus clair au niveau des personnages, difficile certaines fois de s'y retrouver dans la galerie des visages.
Un début de série à suivre pour voir l'évolution.
Une love-story en Seine Saint-Denis § Eric a laissé tmber le système scolaire, et se lance dans la délinquance. Marina est amoureuse de lui et ne prend cependant pas le même chemin. Les parents d'Eric, inquiets, embauchent un détective pour enquêter sur leur fils. Les évènements vont s'enchainer jusqu'au drame.
Un aperçu du problème des banlieues traité de manière assez caricaturale. L'album est annoncé comme une love-story et se déroule plutôt comme un polar. Il manque de profondeur. Le dessin est inégal suivant les cases. Les personnages ont parfois des visages très élaborés et très expressifs et d'autres fois ils manquent de clarté. Certains décors extérieurs semblent manquer de rigidité.
Un album qui m'a peu intéressé.
Encore une belle couverture :ok:.
C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Meresankh (très affectée par la disparition d'Imeni) et le prince Khâ quatre moisaprès les évènements du t. 2. A nouveau, le mystère et le meurtre touche la famille de pharaon à travers la mort de femmes de son harem. Un chien noir apparaît aux victimes, mais est-ce un signe d'Anubis seul ou quelqu'un mène-t-il sa vengeance et qui ? Voici pour l'intrigue, prenante et bien menée.
Le dessin est toujours aussi splendide : un vrai régal pour les yeux. Des touches de vert et de blanc qui donnent l'impression de rafraîchir les personnages et le lecteur dans ce pays tellement chaud. Très intéressante mise en scène du harem, des femmes qui le peuplent, des amitiés nouées, des rivalités, des peurs de chacune.
Ce volume est intéressant encore une fois. Nous découvrons un nouveau personnage : Ritsu, maudit par le signe du singe, dont nous avons déjà rencontré la mère dans un vol. précédent. Ritsu comme sa mère souffre d'un grave problème psychiatrique : il se sent coupable de tout, pense tout faire de travers, a peur de tout ... Bref son caractère permet des scènes à la fois amusantes et qui amènent à réfléhir (sur la dépression, la névrose, notre place dans la société, etc..). Par ailleurs, Hatsuharu fait face à une difficulté qui le rend 'black' : il vient d'être plaqué par sa petite amie (une Soma également) dont on ne sait pas grand chose. Enfin, la question des études universitaires est posée pour chacun de nos jeunes héros et celà entraîne inévitablement quelques problèmes pour les Soma possédés ; sur ce thème, intéressante rencontre entre Yuki et son frère Ayamé et quelques indices laissant comprendre que les parents de ces deux-là n'aiment pas vraiment leur enfants.
Encore des scènes amusantes qui permettent de relativiser certaines des difficultés rencontrées par nos héros.
Bref, un bon moment de lecture.
Tres bon album qui nous fait decouvrir une tres belle suite de "l'émissaire".
Autant le tome 6 nous donnais les bases mais n'étais pas très explicite,celui-ci nous donne toute nos réponses a la diabolique machination des ennemis et nous offres plus d'action.
J'ai adoré vivement "les puissants".
La conclusion d'une série n'est jamais facile. C'est avec grand plaisir que nous assistons à la fin de cette superbe série sur un tueur.
Le dessin est toujours aussi agréable avec des couleurs somptueuses.
Le bilan est mitigé, point de révélations fracassantes, de retournements de situations, mais un scénario qui se déroule de manière prévisible jusqu'au bout.
L'objectif des auteurs n'était pas dans la surprise, mais plutôt dans les états d'âme du Tueur et là c'est une réussite.
LES EVADES DE LA PLANETE DES SINGES : L'adaptation par DOUG MOENCH marque un petit essouflement. Les scènes cocasses des visites de ZIRA et CORNELIUS dans le monde des années 70 sont moins droles que dans le film. Le personnage de Dr HASSLEIN est lui trop caricatural par rapport au film. Les dessins de RICO RIVAL sont toujours excellents.
DOC SAVAGE : toujours DOUG MOENCH aux scénarios d'abord dans la fin de l'aventure sur l'île au palais maya et aux hommes-bêtes, que quelques pages pour cause de découpage des épisodes plus que bizarres des éditions LUG. On a à peine le temps de savourer les dessins de JOHN BUSCEMA.
Par contre le début des aventures suivantes est superbement mis en images par TONY DE ZUNIGA. L'intrigue est mystérieuse à souhait et prend le temps de se poser.
La série est toujours aussi intéressante et le dessin ainsi que la mise en couleur sont toujours d'aussi bonne qualité.
Cependant ce troisième opus ressemble à un album de transition. L'intrigue se déplace dans les milieux de la drogue et les maigres indices laissés sont insuffisants pour faire le lien avec les tomes précédents.
Cependant, la série reste d'un très bon niveau.
Après un premier tome réussi de manière magistrale, difficile de faire mieux. Et pourtant l'essai est transformé puisque le scénario s'étoffe, car notre tueur devient la proie. Fini le huis clos, fini les états d'âme, cette suite fait la part belle à l'action. La métaphore animale est juste et bien amenée. Un tueur ne peut avoir d'attaches et la trahison peut survenir à n'importe quel moment.
La mise en couleur des ombres est somptueuse, Jacamon joue avec la lumière pour notre plus grand plaisir.
Extraordinaire, époustouflant. Ils ont osé faire une bande dessinée avec comme personnage principal un tueur. Ce premier tome se déroule à huis clos et l'on découvre le héros avec son histoire, ses doutes et son travail si spécial.
Un album qui nous entraîne dans les profondeurs de l'être humain. Tant qu'il y aura des hommes sur terre, il y aura du boulot pour les tueurs.
Le plus frappant dans le dessin de Jacamon, ce n'est pas tant le côté ligne claire de son dessin mais la mise en couleur somptueuse, à l'image des états d'âme de son personnage.
Une série qui démarre fort.
Une valeur sûre dans la collection Aire Libre : Cosey signe un nouvel album.
Son dessin est toujours aussi agréable à lire, à regarder.
Ici, nous avons 4 histoires différentes liées par un même thème : l'amour.
Le deux premières sont superbes, l'amour y est surprenant et inattendu.
J'ai beaucoup moins aimé les deux suivants, peut-être parce que différentes des deux premières.
Un album à lire, avec grand plaisir quand même.
Amer Beton
Y'a des trucs déprimant dans la vie... Comme quand on se sent ultra minable après avoir vu "2001_ l'odyssée de l'espace", ou "lost highway"... après avoir lu un taniguchi ça marche bien aussi, ou un moebius (attention un bon hein!), ou "le mystère picasso"... Enfin ce genre de truc... et généralement après, on est plus bon à rien. On appelle un pote pour aller boire une bière, et on pense sincèrement à laisser tomber tout ça et à aller s'inscrire chez adecco ou à l'anpe. Et ben chez moi taiyo matsumoto il fait ça aussi...
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Taiyo Matsumoto c'est le japonais hors norme. Un des types les plus en marge de la production nippone (en tous cas de celle qui atterrit dans nos pauvres bacs en france- et on a déjà beaucoup de chance!). De mon point de vue, un véritable virtuose et cela, à tous les niveaux. Son histoire, son sens de la mise en scène (son découpage et l'enchainement des séquences) et ses dessins sont exceptionnels.
Bien sûr, il y a plusieurs point de vue sur le dessin, et ceux qui ont une culture bd plutôt "classique" pourront trouver ça tout pourri au premier abord. Mais pour les autres , c'est du pur bonheur en pack de 12.
Amer beton, c'est l'histoire de deux gamin orphelins, blanc et noir, surnommés "les chats", qui ont le don de voler et ne survivent qu'en cognant.(typiquement japonais comme thème.)
Blanc est garçon bien débile mais hautement sympathique. Toujours fantastiquement habillé et paré, il a une lecture du monde tout à fait personnelle, et invente des chansons inspirées comme "le cerveau sort par le nez mais c'est pas de la soupe !" ou encore "la pomme ça donne plein de forces ouiiiiiiiiii!!!!".
A ses côtés, Noir, lucide lui, fait office de grand frère. Mais son penchant pour la violence va le faire basculer dans une frénésie meurtrière.
Dans une ville en pleine transformation ("la ville se transforme peu à peu en disneyland"), les "chats" côtoient une galerie de personnages, acteurs ou victime de cette mutation, tous plus intéressants les uns que les autres. Les personnages se croisent , s'affrontent ou se regardent mourir avec indifférence.
La ville de takara vit, se tord dans tous les sens, Taiyo Matsumoto ne traçant jamais un seul trait à la règle. Dans toutes ses images c'est déformation qui étonne. Le fait qu'il se foute royalement des proportions et se permette de dessiner un poing au premier plan trois fois comme la tête au second, comme si tout etait filmé avec une focale toute stone. Et pourtant tout est très cohérent. En tous cas, pour moi , ça marche. Les "déformations" collent magistralement à l'action,mais plus encore, elles la transfigurent.
Ses planches sont truffées de détails , de grafs,de symboles, de "renvois", de petits animaux qui nous glissent dans un coin de planche des trucs genre "j'ai envie d'gerber!". Les "chats" apparaissent parfois, sous forme d'animaux , surprenant une conversation , assistant à une scène qui ne les concernent pas. Le plus souvent c'est le chat noir qu'on voit en planque dans un coin de page. Aussi Noir sait-il des choses que Blanc ignore, et agit en conséquence.
Amer beton est cependant tout sauf une BD austère. C'est un livre riche, plein de poésie et d'humour. Pour moi c'est direct dans mon top-ten, à côté de F.Neaud, de Taniguchi ou de C.Burns.
Jessica c'est le stéréotype de la blonde à forte poitrine, mais c'est plus que ca aussi. C'est un perso auquel on s'attache facilement, avec tout ce qui lui arrive...
Au niveau du scénar, c'est une des meilleures séries à la "Repérages". Les personnages évoluent beaucoup, certains disparaissent, les relations entre eux évoluent et Dufaux arrive souvent à nous surprendre. C'est à chaque fois une histoire différente mais il y a un vrai fil rouge et chaque fois que je les relis (ou presque) j'ai envie de tout relire dans l'ordre pour reprendre plaisir a voir l'évolution des personnages.
Le dessin est aussi excellent dans le genre réaliste. Cela dit, ca reste quand meme un polar classique (avec du fantastique), mais bien raconté.
Un album dans la continuité de la série. Je suis toujours bluffé devant l'imagination graphique de Leo, son bestiaire est impressionnant, et ses décors aussi. En plus il s'améliore pour les persos qui sont moins statiques qu'auparavant.
Au niveau du scénario, il s'agit plus d'une album de transition avant le dernier tome de ce cycle qui pourrait être riche en révélations. Ce tome est très frustrant parce qu'il reste fort mystérieux sur la présence de la Mantrisse sur Bételgeuse et il annonce beaucoup sans vraiment rien dévoiler.
Seul bémol à ajouter: des dialogues fort convenus qui gachent un peu le plaisir. Pas très naturels, et c'est dommage.
Quoi qu'il en soit, cet album devrait ravir les fans de la série. En espérant qu4antares, le prochain cycle des mondes d'Aldebaran, soit aussi bon. Il serait dommage de se lasser.
je suis pas arrivé au bout. L'impression d'avoir déjà vu ca cent fois. C'est du Servais en plein, hyper classique, sans surprise. Une intrigue qui ne m'a pas tenu en haleine (meme pas envie de savoir le fin de mot de l'histoire). Et le dessin toujours superbe ne suffit plus à rendre l'album indispensable. Bref, un album pour les inconditionnels, mais Servais semble a court d'inspiration. Dommage.
Je m'attendais à quelque chose de vraiment pas terrible, c'est encore pire. Ce gars est pire que James Bond. Broshing impeccable, plein de femmes dans son pieux (et qui ne lui en veulent meme pas quand il couche avec une autre), des explosions qui détruisent tout sauf lui (et pourtant il était en plein dedans), bref un ramassis de stéréotypes complétement éculé. Et un dessin qui passe mais qui n'a rien d'exceptionnel.
Qu'est-ce que Cailleteau est parti faire dans cette galère? (du fric?)
Après des débuts plus que laborieux, on a enfin droit a quelque chose de plus original. Le dessin est toujours aussi beau.
Je dirais que cette série suit le meme parcours que Jessica Blandy. Après la blonde pulpeuse, on avait droit au play boy de compet'. Mais au fur et a mesure des albums, les stéréotypes s'effacent pour laisser la place a des personnages plus fouillés et par la meme plus attachants.
Belle surprise donc, en espérant que Dufaux continuera sur cette voie. Si les prochains Niklos pouvaient un jour atteindre le niveau du dernier Jessica Blandy...
Certe le nom de la série est à coucher dehors mais la qualitée est bien présente. L'histoire se déroule dans un monde très influencé par le japon de l'ère Edo avec pas mal d'anachronisme donnant des situations très humoristique. A première vue on a l'impression de se retrouver au japon mais ce n'est pas le cas. Ce monde si bien développé est bien un monde imaginaire même s'il reprend tout les éléments caractéristique du notre mais toutes époques confondu.
L'humour est présent tout au long de l'album se mélan parfois à l'action pour donner un résultat par moment hilarant. L'histoire en elle même se développe lentement laissant place à d'innombrable questions et peu de réponse à chaque tome. Ce mystère si bien entretenu donne vraiment envie de connaitre la suite et le fin mot de cette histoire.
Voici une excellente série qui mérite vraiment que l'ont s'y attarde d'autant plus qu'elle n'est composée que de 11 tomes.
Ce quatrième tome est intéressant mais moins que les précédents. Certe l'humour est toujours présent aussi efficace et corrosif qu'au début de la série (peut être même davantage). Là où le bas blaisse ce serais plutôt au nivreau de l'aventure en elle même. En effet elle n'est pas très passionnante et faire ce nouveau détour dans l'intrigue principale est tout de même un peu frustrant. Déjà que l'album précédent ne nous apprenait pas grand chose au niveau de la quête de nos héros mais là rien c'est pire que le désert. Il serait souhaitable que les auteurs ne s'éloignent pas trop de l'intrigue principale au risque dans faire une série interminable qui perdrait beaucoup en intérêt et en qualitée.
Tintin au Congo m'a fait rêver etant petit , aujourd'hui cette BD me donne la
nausée. Pro-Colonialiste, raciste (les noirs sont tous pareils a mi-chemin entre
l'homme et le primate débile) je trouve grave le manque de discernement que
l'on a, à l'heure actuelle ou la fraternité et l égalité entre les peuples semblent
etre acquises, de dire que cette série (cultissime a n'en pas douter et fondatrice
peut-etre) est capitale à tout amateur de BD qui se respecte (non qui n'aime
pas Tintin n'aime pas la BD et puis quoi encore? Je n'aime pas Tintin tant sur le
plan du fond que de la forme(mes etudes etant accès sur ce domaine j'ai mes
raisons) et pourtant j'aime la BD) et est de plus toujours la bd la plus conseillée
aux plus jeunes...
Sur ce esperant d'autres commentaires
Dans cette série dès le départ le décors et l'ambiance sont instaurés ce qui permet au lecteur de s'immerger totalement dans cet univers. Le scénario est intéressant et bien contruit. On avance petit à petit avec nos deux héros sans trop savoir où l'on va exactement et c'est une bonne chose car celà nous permet d'aller de surprise en surprise. D'un point de vue générale le déroulement de l'histoire s'effectue de manière assez lent ce qui permet de bien développer les divers évènements et ainsi de construire une aventure crédible et solide.
Le tome 3 constitue une sorte de pose dans la quête principale de nos héros mais celà permet au lecteur d'en apprendre davantage sur les "méchants" de l'histoire. De plus une pause de temps à autre dans l'intrigue principale est une bonne chose pour éviter au lecteur de se lasser. Cependant je trouve tout de même que celle ci arrive un peut tôt. Attendre un album ou deux aurait pu être plus intéressant.
Le dessin quant à lui rend parfaitement cette ambiance humoristique par son style très caricatural. Le seul reproche que j'aurais tendance à faire est l'utilisation dans la mise en couleur d'un trop grande prédominance de tons très clair.
DAREDEVIL : STEVE GERBER envoie contre notre couple héroico-sentimental un nouvel adversaire payé par L'HOMME (ça c'est original pour maintenir le suspens) KRAVEN LE CHASSEUR décidement utilisé à toutes les sauces à cette époque. Il vient rapidement à bout de la VEUVE NOIRE pour "terminer" DAREDEVIL. Les dessins de DON HECK sont par moment trés surprenants quant aux "poses" complément figées de certains personnages (dernièrei image : on ne sait pas si KRAVEN va balancer dans l'océan DAREDEVIL ou une statue !!!!)
IRON MAN : Enorme surprise réservée par BILL MANTLO : Les usines STARCK sont attaquées !!! Ca faisait au moins un épisode que les pompiers n'étaient pas intervenus !! Cette fois c'est LE FEU DU SOLEIL qui lance l'attaque. Contraint à se battre en tant que TONY STARK celui-ci utilise l'armure du GARDE ! Dessins classiques mais efficaces de GEORGE TUSKA.
L'ARAIGNEE : GERRY CONWAY lance le TISSEUR à la recherche de TANTE MAY qui a disparu. Dans sa quête l'ARAIGNEE tombe en pleine guerre des gangs et un face à face avec le chef de l'un d'eux. Dessins excellents de JOHN ROMITA.
L'ARAIGNEE : Face à DOC OCTOPUSS le TISSEUR fuit, perd son masque et tombe malade !!! GERRY CONWAY affuble PETER PARKER d'un ulcaire à l'estomac !!! JOHN ROMITA en méga forme pour cette période.
Déçu mais pas mal quand même !!!
Ce tome est nettement moins drôle que les précédents mais heureusement, l'esprit est encore là (ouf !!!) De plus, il manque quelques éléments (la "bande-annonce" du prochain par exemple).
Attendons le prochain épisode pour voir ce que cela donne...
Tout l'album est scénarisé par STAN LEE et autant le dire tout de suite, il se trouve dans une toute petite forme.
Surtout dans le 1er épisode où pour une raison étrange nos héros semblent devoir combattre tous leurs anciens ennemis. Et il les rétament tous d'une chiquenaude chacun. On se croirait revenu au tout début de la série par la naiveté du scénar. Et le pauvre JACK KIRBY aussi tout engonçé dans des petites cases.
Le deuxième épisode est nettement mieux. NAMOR s'allie à MAGNETO pour conquérir le monde. Là on retrouve le grand JACK KIRBY avec un superbe MAGNETO parfois une seule page pour lui seul. Toute sa suffisance ressort alors dans son regard et ses positions. Le scénar est toujours un peu poussif.
Les deux derniers épisodes sont dessinés par JOHN ROMITA. Les FF ne sont pas un univers pour lui... NAMOR semble gringalet et MAGNETO perd de sa superbe de l'épisode précédent. L'invasion de NY est vite bacclé par une nouvelle invention de MR FANTASTIC qui tombe toujours pile poil à deux pages de la fin de l'épisode.
Cet album est intéressant. Le scénario est bien construit et le thème abordé bien traité. Les personnages ont un caractère propre à chacun sans réel cliché. L'histoire est bien présentée même si on ne sait pas trop où l'on va exactement ce n'est pas réellement ennuyant.
Le dessin quant à lui est plutôt pas mal. Les personnages sont expressifs et bien réussis malgrès quelques imperfections (surtout dans les plans larges).
« Dans l'épisode précédent, nous nous sommes quittés, laissant seuls Morrigane et Mériadek, pas très loin d'un fort, à l'extrême nord de l'Angleterre et, chose étonnante, à l'extrême sud de l'Ecosse... »
Ainsi commence ce second tome de Robin Hood. Cette introduction donne le ton de l'histoire dont voici un court aperçu. Héceff et Ligoon sont sur Terre pour détruire les dragons rebelles. Bien vite, ils rencontrent Mériadek et Morrigane, se découvrant une connaissance commune (Noçnoz le korrigan) et une direction commune (le fort) : ils font route ensemble. Pendant ce temps, Robin, Cacérés, la « criatura », et les autres sont arrivés devant les portes de la capitale... et comptent bien s'en emparer ! Quoi de plus logique quand le but est de conquérir un pays.
Bref, l'histoire avance à grand pas, les héros se rapprochent les uns des autres : ce qui promet des rencontres fort intéressantes. Un album placé sous le signe de l'action en opposition aux présentations du premier album qui ne m'avaient pas plus séduites que ça. Le deuxième album est un tourbillon d'actions... mais surtout d'humour absurde ! L'esprit de « Sacré Graal » des Monty Python plane sur cette BD ! Et c'est un régal de voir ces apartés adressés au lecteur (l'introduction, l'explication du titre de l'album...), ces entorses au mythe de Robin des bois, ces insertions de rôles (enfin des hommes potiches et des femmes qui agissent dans la même BD !) ... ! Et autant passer les autres exemples car il ne conviendrait pas de gâcher la surprise des futurs lecteurs, même si Brémaud sait toujours nous surprendre.
Le dessin de Loche s'est beaucoup amélioré depuis le premier album. On sent qu'il y a eut une maturité dans le dessin, le trait est plus fin... Le style toujours aussi sympa s'adapte et sert parfaitement l'histoire. Ah ! Ces merveilleuses têtes d'ahuris ! Mais, ce qui change surtout c'est la qualité des couleurs. Un changement de papier a permis de faire quasiment disparaître cette drôle de texture alvéolée, et c'est bien plus agréable à voir. Sinon en règle générale, les couleurs sont belles collant bien à l'ambiance.
Pour conclure, je dirais que cet album permet de passer un très agréable moment... et des mois à venir difficiles car il va falloir attendre la suite de l'histoire qui se termine par un joli cliff-hanger.
ce drnier album est lui aussi une réussite! Toujours ce dessin assez simple... mais aussi toujours cette fantaisie, ce côté surréaliste, cette ironie... rien que la réunion de collectionneurs de plaques d'égout mérite le détour! Voir la côte des plaques d'égout et comparer cela au petit monde de la Bd donne encore plus de saveur...
Un vrai moment de plaisir... dommage que la suite ne semble pas venir alors que les 2 derniers albums sont si bons!
Que dire sans reveler les savoureuses répliques qui truffent cet album? pas simple... disons que cette aventure loufoque ne manque pas de piment et de rebondissements! Le petit monde de Louison Cresson ne manque pas de saveur.
une Bd jeunesse qui devrait plaire aussi aux grands!
Une grande BD, sans nulle doute. Chapeau bas à Deslile qui a su nous donner un aperçu si réaliste, terrible (voire terrifiant), presque fantastique de la Corée du Nord, tout en gardant un ton plein d'humour (froid).
Je n'ai pas pu m'empêcher de rire ... jaune... tout le long de l'album, et je me suis empressée de le mettre entre les mains des membres de ma famille et de le conseiller autour de moi. C'est un véritable monument, un album à ne pas manquer. C'était à n'en plus croire ses yeux tout en sachant que tout cela est malheureusement vrai.
Il y a des passages très savoureux, qui font rire quand on voudrait pleurer : les séances dans les musées sont dantesques (en particulier dans le musée anti-nucléaire du Cher Leader Kim Il Sung) !!
On trouve également des passages ou des répliques très incisives et cette question que chacun ne peut s'empêcher de se poser : "mais est-ce qu'ils y croient vraiment ??"...
Le petit jeu qui apparaît dans l'album : éliminer les espions nord-coréens pro-capitalistes, tièdes, etc, est une bonne leçon... Je n'ai trouvé que la 1ere réponse (par simple observation), mais je me suis fait avoir sur les 2 autres...
En conclusion, la Corée du Nord, c'est vraiment pas reggae comme pays...
Pour le comprendre, lisez cet excellent album.
Un bon album, dans la droite ligne des précédents, avec cette atmosphère des vieilles légendes et des anciens contes arthuriens. On rencontre un nouveau compagnon du roi légendaire, ainsi que sa dulcinée et les aventures auxquels tous deux sont confrontés. Le dessin de Lereculey est majestueux. Bref une nouvelle et belle page de cette encyclopédie en Bd de la légende arthurienne.
Une bonne histoire. Istin nous donne encore le plaisir de suivre la légende arthurienne. On se croirait plongés dans Lawhead. Ce 1er volume met en place les éléments qui vont amener l'histoire d'Arthur : l'usurpation du trône par Votigern, la lutte contre celui-ci des fils de son prédécesseur, le combat entre les dames d'Avalon alliées à Merlin et les dames d'Ys prêtresses de la terrible Ahès, le problème du christiannisme et des croyances celtiques.
Le dessin de Chani, certes un peu particulier, rend bien l'ambiance fantastique du récit. Les couleurs sont également bien faites et bien adaptées à l'histoire. Petite remarque, les traits des visages, presque estompés, donnent un côté intemporel que j'ai apprécié.
Une bonne série, pleine d'humour. Les Chats - sur 2 pattes, parlant un langage humain un rien abâtardi - sont les êtres les plus évolués, tandis que les humains, malheureux animaux à 4 pattes ne s'exprimant que par cris ont perdu le pouvoir depuis plusieurs siècles et que les loups ne sont encore qu'à moitié civilisés. La civilisation des chats est empreinte de paix et d'amour, loin des tendances guerrières des humains de leur préhistoire... Mais voici qu'un vieux projet humain se déclenche : celui du réveil d'Adam, et le changement commence à se faire sentir... Les chats vireront-ils comme les terribles et mauvais "politichiens" humains ??
"Par saint Chirac", je ne vous dirai rien de plus . Beaucoup de succulentes expressions : "par la sainte Verge et Jésus Gris", "par saint Chirac", "Not'Dam", etc ...
A connaître.
Fichtre ! Le nom du libraire-disquaire de cette ruelle de Montréal sonnait comme une invitation. Une invitation à quitter le grand froid hivernal pour les bulles de quelques séries stockées dans les vibrations de l'acid Jazz ambiant.
Dans les 20° de la modeste pièce du magasin, j'étalais la neige encore fraîche du dehors devant les rayonnages.
"Parle-t-on français ici", me demandais-je ? Anglais ? Franglais ?
Assurément le français, car les titres sonnaient comme du bon pain (j'en étais si loin) : Les passagers du vent... la femme piège... le génie des alpages... Peter pan... XIII... des classiques, et puis de l'artisanal, des éditions locales, léchées, novatrices, des séries et des ?uvres uniques, lues, relues, sélectionnées comme de vraies bêtes de compétitions.
Aldébaran s'est imposé ce jour là, comme le givre s'imposait chaque matin de cet hiver. J'ai un mis le pied dedans, et ma tête n'en est jamais ressortie.
Aldébaran est une merveille de scénario, surprenant, inattendu, captivant. Les personnages vivent, grandissent, apprennent, dans un univers complètement excitant. Léo a d'ailleurs créé à mon sens une faune d'une originalité inégalée, de part sa maturité de dessin et de part sa cohérence.
La suite Bételgeuse est du même niveau si ce n'est mieux...
Une série sublime. On en fera un film.
On peut considérer qu'il s'agit d'un très bon album. Tout d'abord le scénario est équilibré. On a les réponses à certaines question et de nouvelles apparaissent mais pas en trop grand nombre. Le lecteur n'est pas submergé d'informations et de risque de passer à côté d'un élément important de l'histoire est ainsi moins important. L'histoire en elle même se renforce notamment par un développement des personnages les rendant de plus en plus crédible.
Au niveau du dessin on peut constater que ce dernier arrive à instaurer une ambiance assez sombre qui permet de bien apprécier l'histoire. Son style réaliste et les jeux de couleurs permettent au lecteur de bien rentrer dans cet univers réaliste mais quelque peu fantastique.
A Manhattan, dans un futur post-apocalyptique, des clans regroupés en villages, tentent de survivre en haut de tours dévastées. Leur survie passe par l'isolement et la protection contre les attaques extérieures de pillards sanguinaires. Cependant petit à petit la menace se rapproche inexorablement.
Denis Bajram nous entraine dans un univers où l'homme est retourné au moyen-âge après avoir sans doute joué avec le feu nucléaire. Ce premier tome de déroule presque à huis clos dans un de ces villages et c'est uniquement la fin qui ouvre la série sur un étrange mystère.
La mise en couleurs est très intéressante dans la palette des rouges et donne cette impression de ne pas être très loin de l'enfet.
Une série prometteuse.
Le Photographe est l'alliance réussie de la photo et du dessin au service d'une histoire réelle.
La photo rend crédible le dessin et ce dernier nous en dit plus sur ce qu'il se passe entre deux clichés.
Certains clichés, notamment les portraits, sont superbes et majestueux en noir et blanc.
L'histoire est une plongée sans filet en Afghanistan. C'est la découverte d'un monde, celui des organisations humanitaires et le dévouement dont font preuve ses membres.
Le ton, bien que grave, est teinté de l'humour du quotidien de ces personnes qui ont certaines fois besoin de se relacher un peu dans un pays en guerre.
Un coup de coeur que ce premier tome du Photographe.
Voici une nouvelle série qui s’annonce très bien.
Le scénario nous relate une aventure d’un couple de marchands et anciens trafiquants de reliques (Raedwald le Saxon et Arnulf). Ils ont été engagés par un Archevêque pour démêler les intrigues liées à un meurtre perpétré à l’encontre de deux membres de la famille Royale. Et pour encore compliquer leur tâche, ils doivent résoudre un problème lié à une relique de St Policarpe.
Nos deux héros évoluent dans une France du moyen âge à la fin du 10ème siècle où le Malin, le surnaturelle et autres miracles règnent en maître. Le doute quand à l’avenir, angoisse l’ensemble de la population.
Les auteurs nous font vivre les points de vue de celle-ci avec leurs croyances et leurs peurs sans apport d’explications rationnelles. L’intrigue politique et religieuse y est fortement présente rappelant le film « Le nom de la Rose » de JJ Annaud. Le scénariste imbrique des éléments réels de la vie de l’époque (certains termes employés, certains personnages historiques ou lieux) avec de rare effets magiques (comme les miracles des reliques) et avec des monstres ou créatures étranges (comme les goules ou les zombies). On se prend facilement à y croire tant le ton employé semble vrai.
Le dessin est merveilleux de par sa précision, son réalisme et son énergie. Les scènes de combat y sont mouvementées et assez réalistes. Le dessin est assez sombre comme pouvait l’être cette période trouble et fortement religieuse où même les références de l’époque (l’église, la royauté et la noblesse) semblent perturbées par le changement de millénaire.
En conclusion, ce premier tome est un très bon cru pour qui aime le genre thriller fantastique et médiéval agrémenté d’intrigues politiques et religieuses.
Vraiment une autre façon de voir les S.H., une histoire très bien tournée et un dessin très détaillée ce n'est pas du dessin mes de l'art
Le scénario est intéressant. On sent vraiment que l'univers développé et très riche et offre de nombreuses possibilités. L'intrigue se déroule correctement. On a quelques réponses mais énorméments de question. L'histoire se développe très lentement et ce n'est pas plus mal vue sa complexitée apparante.
En ce qui concerne le dessin il y a moins de style différents qui se cotoient mais les personnages sont toujours aussi figés. On sent que ça pourrait encore être beaucoup mieux. en bref le dessin m'a beaucoup déçu car je ne retrouve plus cette représentation si parlante des "roux" ou ces magnifiques décors du tome 1. Il faut vraiment qu'ils améliorent le dessin des personnages sinon cette série court à la catastrophe. Enfin personnellement je la continuerais sans doute pour le scénario.
LES EVADES DE LA PLANETE DES SINGES : DOUG MOENCH retranscrit trés bien la présentation des singes à la commission où le caractère de ZIRA apparait au grand jour. Superbes dessins de RICO RIVAL
DOC SAVAGE : Suite de l'épisode commencé au numéro précédent. DOUG MOENCH envoie DOC SAVAGE et ses "frères" pour une aventure à la JAMES BOND dans une île déserte servant de repère à un inventeur complétement fou qui joue à la génétique via l'électricité. JOHN BUSCEMA trés à son aise surtout dans la scéne magnifiquement dessinée de l'affrontement DOC et ses amis face à l'armée du méchant.
LES CHAMPIONS : BILL MANTLO au scénar nous termine l'affrontement des équipes AMERICANO-RUSSES un peu rapidement. Mais dans à l'issue du combat les CHAMPIONS semblent compter un élément féminin de plus (la VEUVE se sentait un peu seule). Les dessins de BOB HALL sont sympas sans plus.
IRON FIST : Arrivée de JOHN BYRNE au dessin. Ce n'est pas encore le grand BYRNE et certaines cases sont à la limite du baclé. CHRIS CLAREMONT au scénar nous plonge en pleines années 70 : poursuite en voiture à la BULLIT et apparition de ANGAR le supervilain hyppie. Pas trés emballant tout ça...
CAPTAIN MARVEL : Reprise de la série juste aprés son arrêt dans STRANGE. GERRY CONWAY et BILL MANTLO nous ont concocté une histoire à deux sous avec le retour de la SENTINELLE commandée par un PANCHO VILLA à deux sous.. (Grand moment quand la TORCHE HUMAINE rappelle à CAP qu'il peut faire revenir RICK JONES rien qu'en claquant ses deux bracelets entre eux aprés que CAP eut détruit la moitié du BAXTER BUILDING pour le faire revenir de la zone négative) Les dessins d' AL MIGROM sont décevants.
LES GARDIENS DE LA GALAXIE : ROGER STERN continue les origines d'ICARUS toujours aussi laborieusement. Les dessins d' AL MIGROM manquent d'ampleur. Un comble pour une épopée spaciale.
Avec ce second cycle, les auteurs nous donnent une nouvelle occasion d’apprécier leur travail et leurs talents.
Le scénario, s’il n’est pas d’une grande originalité, nous propulse au cœur d’un Far-West sauvage et violent.
Le lecteur se rend compte que comme dans la nature, la loi du plus fort y prévaux. Ce n’est pas la petite ville de Barro-City qui démontrera le contraire. Les crapules, faux-jetons, traîtres et menteurs de tous poils semblent y avoir élus domiciles à moins que ce ne soit tout simplement des hommes bouleversés et traumatisés par plusieurs années de luttes fratricides.
Cela entraîne une sorte de méfiance généralisée sur l’ensemble de la population. Les trahisons y sont monnaies courantes que ce soit pour quelques dollars ou par amour.
Le dessin est toujours aussi splendide et permet au lecteur de se plonger dans ce West sauvage à la façon E. Moricone.
Les visages sont rudes et sec comme le pays et le climat. C’est dans cet environnement que se tissent les drames et les vengeances.
Une BD époustouflante mené, tambour battant, par le Bouncer, videur et nouveau bourreau de la ville, en quête d’une vie sereine et d’amour.
J'aimerais écrire scripturalement avec des lettres un avis pensé reflexif opinionnel sur les motards:
j'en garde un bon souvenir quand je les lisais dans Spirou. Et j'adorais les dialogues de Duhon (cf ce qui precede).
La collection Latitude de Soleil nous avait déjà habitué à des albums d'exception avec Kuklos, Tonnerre Rampant et Banquise. Aujourd'hui un nouvel album viens rejoindre cette collection qui se distingue largement de la production habituelle de Soleil par la qualité des oeuvres y figurant.
Un pas vers les étoile est un album excellent plein de poésie et de sentiment. C'est avec un imense plaisir que l'on suite les aventure de Manon cette petite fille bien décidé à retrouvé son père. Le scénario se distingue par sa richesse. Les personnages sont très poussé. A la fois attachant, ambigue et terriblement réaliste ces dernier nous font presque oublié qu'il s'agit d'une histoire inventée. Les sentiments sont parfaitement rendus si bien que le lecteur se retrouve tour à tour ému, étonné, en colère. On ne peu pas refermer cet album en étant resté indifférent à cette magnifique histoire.
D'un point de vue graphique, le trait clair, précis, réaliste mais avec une certaine touche caricatural du dessinnateur rend à merveille toute l'intensité émotionnel nécessaire à l'histoire.
Un album excellent dont il ne faut pas passer à côté.
Dans le prolongement du tome 4 qui avait reçu l'alphart du meilleur album, ce tome 5 se clot sur la réponse au grand mystère de l'existence. Monsieur Jean se demande à-quoi-bon, et la réponse qu'il trouve à ses questions existentielles est du registre de celles qui concluent des histoires comme "la vie est belle" de Capra. C'est émouvant et ça donne envie de serrer sa femme, ses enfants, ses parents, ses amis, ses voisins et même ses ennemis dans ses bras.
Voici une histoire (signé Mangin) assez intéressante se déroulant à l’aube de la révolution française avec un soupçon de fantastique et d’humour. Mais à côté de ces deux aspects, les auteurs s’attardent également à une critique de la société de l’époque avec la suprématie de la royauté (et des nobles) et de l’église.
Devant les déboires du petit Denis, on ne peut que le soutenir et lui espérer une vie meilleure. Le lecteur se prend très vite d’affection pour ce petit miraculé.
Le dessin est très bon. Le style de Griffo y est très reconnaissable et peut-être plus soigné que dans Vlad. Son style est ici moins adulte mais plus net, plus lumineux que dans Giacomo C.
Voici donc une BD attachante (grâce au personnage principal). Elle se lit facilement et rapidement, ce qui provoque une forte envie d’en lire la suite pour savoir ce qu’il advient de ce pauvre petit Denis à la tête détachée.
Sûrement le meilleur album de la série. Le scénario est riche et tiens la route. On va de rebondissement en rebondissement ce qui scotch le lecteur et lui donne envie de savoir la suite pour voir ce qui va se passer. Une histoire bien menée qui nous laisse présager un avenir prometteur à cette série qui se bonifie d'album en album.
En ce qui concerne le graphisme le trait de Grenson est très réussie. Les personnages sont très expressifs. Son dessin attire l'oeil et ce style hyper réaliste correspond parfaitement au genre de l'histoire. A noté au passage la façon dont est ressortie le flash back avec une superbe mise en couleur de Bertrand Denoulet par rapport au reste de l'histoire.
Quelle magnifique balade bucolique que nous propos là Plessix.
Je me suis littéralement laissé emporté par mes amis taupe, rat, blaireau et crapaud dans leur merveilleuse campagne.
C'est une des rares BD en effet où je me suis senti réellement projeté parmis les protagonistes ; et qu'est-ce qu'ils sont drôlements attachants !!!
Le dessin est sublime, les couleurs magnifiques, les dialogues truculents et délicats --> bref, un véritable Chef d'Oeuvre, une Ode à la Vie (je manque de qualificatifs tant je suis emballé).
Cette aventure est régulièrement classée comme une "BD jeunesse" ; à mon avis elle s'adresse tout autant aux adultes tant elle est subtile et empreinte d'humanité .
PS : un p'tit jeu sympa après lecture: repérer les nombreux cleins d'oeil dissimulés par Plessix (en lien avec de grands tableaux notamment), et s'attarder sur les magnifiques cases emplies de détails.
Ouh là là... que c'est mauvais tout ça !!
Même pour des enfants, ce n'est pas de la bonne BD. Autant leur faire lire un bon vieux Schtroumph...
C'est TRES mauvais.
Heureusement, la série est terminée et ne sera pas prolongée.
J'ai littéralement adoré. Une de mes toutes meilleures lecture cette année.
Je n'ai pas vu le temps passé tellement la mise en scène rythmée et fluide.
; bien que je sois resté scotché plusieurs secondes sur certaines cases...si belles
La qualité du dessin et des couleurs sont tout simplement grandioses.
L'évolution positive de ce T2 par rapport au T1 est le scénario ; il nous tient en haleine jusqu'au bout (le T1 était à mon gout, visiblement partagé par plusieurs, un trop convenu, sans réel suspens ou coup de théatre).
Quel bonheur! Je ne pensais pas être autant emballée par cette lecture!
certes, Delisle nous raconte l'état de décrepitude dramatique d'un pays... mais c'est fait avec un humour et une sensiblité extraordinnaires! Au lieu de pleurer de rage à la lecture de toutes les absurdités de ce pays: on rit ... certes parfois un peu trop jaune. Un dessin sympa et efficace qui s'accorde bien avec l'histoire... plus de 100 pages qui passent toutes seules : d'ailleurs 100 de plus du même niveau ne m'aurait pas ennuyé ! Une bd documentaire mais racontée avec un réel talent de conteur!
seul hic : le prix!
Peeters parvient à parler d'un sujet grave, triste avec détachement et un certain humour, kle tout est très bien raconté, magnifiquement dessiné (les expressions et sentiments qu'il fait passer par son dessin, c'est incroyable)
Bref, que du bonheur.
Le dessin de Magnin dans toute sa splendeur avec un découpage moins traditionnel mais qui confère à la série une ambiance bien particulière. Ses pages complètes sont toujours aussi impressionnantes, ses couleurs toujours aussi envoutantes, ses décors toujours aussi merveilleux. Le scénario est mystérieux a souhait, une ambiance de contes et légendes, une héroine très attachante. Vraiment très bon.
La quete d'HF qui est présentée dans cette série n'est pas en soi d'une grand originalité (un petit air de Tolkien), c'est plus le mélange des genres qui la rend unique. L'humour n'est pas en reste, les personnages caricaturaux sont ici une qualité, le suspens est bien présent.
Nous avons donc une série qui mêle SF et HF, humour et histoire bien sérieuse et prenante... certainement une grande réussite.
Tout d'abord de très belles couvertures. Le dessin de Briones est très bon, surtout les monstres qui sont assez originaux, les couleurs sont parfois un peu trop flashy mais ca donne une ambiance bien caractéristique, surtout en combinaison avec les découpage explosé de Briones (un des rares dessinateurs a faire quelque chose de vraiment bien en laissant de coté le découpage traditionnel, a mon sens)
Une histoire fantastique bien ficelée et bien mystérieuse, des personnages qui évoluent, du tout bon (en espérant toutefois que la série ne s'éternise pas)
Une toute bonne série! Le dessin ne m'avait pas spécialement attiré au premier abord mais finalement, je le trouve très bon, difficile de dire pourquoi. Certains décors sont très beaux!
L'histoire est aussi très prenante, on s'attache aux personnages et l'intrigue, qui gagne en complexité au fur et à mesure que la série avance, reste assez mysrérieuse pour nous faire acheter la suite.
Une bonne série à découvrir si ce n'est déjà fait.
Je viens de lire le deuxième tome de cette série et je dois dire qu'il est très intéressant. La richesse du scénario et sa complexité tiennent le lecteur en haleine du début à la fin provocant chez lui un sentiment de curiosité le poussant à continuer sa lecture pour en apprendre toujours davantage. Ce deuxième album répond à pas mal de question que l'on se pose dans le tome 1 tout en faisant naître de nouvelles interrogations. Il ne cesse de me surprendre dans le développement de l'histoire m'accrochant davantage de planche en planche.
d'un point de vue graphique c'est plutôt réussi. Le style est clair et attire le regard sans être pour autant exceptionnel.
X-MEN : Sans que l'épisode précédent nous y ait préparé, nous tombons sur un chef d'oeuvre. D'abord dans l'élaboration du scénar par CHRIS CLAREMONT. Aprés avoir lutté contre les nouvelles SENTINELLES du DR LANG, nos héros doivent regagner la Terre à bord d'une navette endommagée. Le choix du pilote qui perdra sûrement la vie en ramenant ses avis fait apparaitre les relations inter-XMEN sous un nouveau jour. SERVAL, CYCLOPE, TORNADE et JEAN GREY ressortent du lot. Chef d"oeuvre enfin par les dessins de DAVE COCKRUM qui ose enfin les pleines pages d'où nos héros ont l'air de véritablement sortir. Pour moi, l'annonce d'une grande série débute par cet épisode !!!!!
L'ARAIGNEE : Les trois épisodes proposés ici sont le début d'une aventure du TISSEUR qui aurait mérité un album géant pour elle-seule. SPIDEY, LA SORCIERE ROUGE et VISION sont envoyés à SALEM en 1692 en pleine chasse aux sorcières. Le mélange entre les héros MARVEL et les personnages ayant réellement existé est magnifique (BILL MANTLO a écrit un scénar trés abouti quant aux recherches historiques). L'horreur de cette époque ne nous ait en rien caché (étonnant pour les parutions LUG de l'époque). Nos trois héros doivent s'allier dans le troisième épisode à un super-vilain qui n'a jamais été mieux dessiné que sur la dernière page du deuxième épisode !!!! SAL BUSCEMA amène sa patte pleine de fureur à cette saga (Le visage plein de haine de VISION quant WANDA est blessée) est magnifique !!!!
Voici une BD (one shot) des plus passionnante. Son appartenance à la collection Latitude nous confirme d’ailleurs que celle-ci ne regroupe que de bons crus.
Le scénario est assez prenant et nous dépeint des personnages attachants et ambiguës (pour certains) et intriguants voire repoussants (pour d’autres).
L’histoire semble commencer comme un conte de Noël pour assez rapidement se tourné vers le drame.
Le lecteur y suit la vie d’une petite fille (adorable) pendant la période de Noël. On se prend très vite à espérer que la petiote pourra aidé sa maman et aussi retrouvé son papa.
Le destin de cette petite Manon croisera celui d’un autre personnage assez typé, Monsieur Bonjour. Ce dernier est un ancien fabriquant de jouet au caractère exécrable et ronchonneur mais possédant un grand cœur.
Tout ceci aurai pu être assez simple s’il n’y avait l’arrivé d’une sorte de père Fouettard.
Les personnages sont très bien détaillés avec pour chacun une personnalité propre et des secrets lentement dévoilés durant le récit.
Le dénouement de cette histoire en sera d’autant plus passionnante même si elle semble évidente. Par contre, les deux dernières planches auraient pu être un peu plus étoffées au niveau du récit.
Le dessin est une pure merveille avec des personnages réalistes mais à la limites de la caricature, accentuant encore plus la sensation de conte. Le trait y est précis et clair avec une certaine sensibilité et du mouvement.
Le découpage y est très bien fait et permet de suivre le récit d’un bout à l’autre sans refermer l’album. Il contribue fortement à donné un rythme croissant à l’histoire.
Les couleurs sont très belles, nettes et réalistes. Elles mélanges des tons chauds (comme le rouge du Père Noël) et des couleurs plus douces, voire ternes pour les décors dans la ville enneigée. Elles imprègnent le récit de ce côté féerique, propre au conte.
Ce deuxième tome est aussi bon que le premier. Le scénario est aussi riche que dans le premier album. On a de plus en plus d'informations à traiter. Vue leur nombre il est nécéssaire de relire le début de la série afin de tout comprendre. Cezt album est passionant le lecteur est plongé dans l'histoire et ne peu plus en décrocher tellement le récit est palpitant.
Le dessin s'est amélioré par rapport au premier tome. Cependant les plans larges même s'ils se sont améliorés manquent toujours de détail au niveau des personnages. Les jeux d'ombres et de lumières sont très réussis et donnent des effet magifiques. Le graphisme et la mise en couleur sont tellement réussis qu'on peu s'attarder assez longtemps sur une case ou une planche pour en saisir les moindre détail et apprécier le travail du dessinateur.
Voici un tome d'introduction bien équilibré. Le scénariste nous livre beaucoup d'informations tout en laissant une grande part à l'action. Cet album a un rythme soutenue qui plonge le lecteur dans cet univers riche et mystérieux. Il est impossible de décrocher de l'album avant de l'avoir terminé tellement l'histoire est passionnante.
D'un point de vue graphique on sent un grande influence du style manga dans le dessin. Les personnages personnages sont expressifs. Cependant on eu regretter un manque de détail pour certaines scènes de groupe ou de plan larges.
Un excellent début qui promet une série des plus passionnante.
je viens de lire l'album et je le trouve très bon. Il met bien en place l'histoire. Les personnages sont intéressant et conservent une grande part de mystère intéressante. Le rythme est prenant au point que l'on ne décroche pas de l'histoire avant la fin et même à la fin on veut tout de suite lire la suite.
Au niveau du dessin c'est magnifique que ce soit au niveau du trait ou de la mise en couleur. L'utilisation de couleurs vives fait bien ressortir l'action très présente dans ce premier tome. La mise en page un peu particulière ne m'a absolument pas géné et la lecture a été très fluide.
En bref un un très bon album à lire.
Complexe est le mot qui me vient pour ce 1er tome. Le dessin est vraiment très beau, les couleurs très vives. La BD se lit d'une traite sans aucun temps mort (le rythme est très soutenu), et en fait le 1er tome fait figure d'une courte introduction pour nous placer directement au coeur de l'action. Nous connaitrons très probablement les faits anciens dans les prochains tomes. Mieux vaut lire ce tome doucement aussi bien à cause du scénario qui parait très riche, que le découpage qui est assez déroutant mais très original. Bref, un 1er tome qui augure d'une très bonne série.
Cet album est intéressant car il marque un tournant dans la vie des personnages et dans l'histoire. Wismerhill perdant son plus grand ennemis le scénario devrait se ressentrer sur la prophétie que Wismerhill a commencé à accomplir ainsi que ses origines. De plus cet album fait le lien avec "les arcanes de la lune noire" en faisant ressurgir le passé de Gorghor ce qui permet de garder une certaine cohérence entre les deux séries.
Le dessin de Pontet gagne encotre en maturité et nous offre une fois de plus un très bel album. Mon seul regret va à la couverture que je trouve la moins belle de toutes celles qui ont été faites.
Ouais... Autant le tome I plante le décor, et contient une veritable intrigue, autant celui-ci pourrait être passé outre.
L'interet de ce volume, à mes yeux, est de refaire connaitre les personnages qui partagent la vie de Rose, mais bon, je pense que c'était assez clair dans le tome I, on sait bien qui est qui et qui fait quoi... L'intrigue par rapport au 1er... à part 2 passages dont les dernières lignes . Bof. une tranche de vie, ou Rose à la plage.
Voici mon avis maintenant, je n'ai peut être pas tout vu...
Guillaume.
Après un début assez difficile marqué par quelques raccourcis malheureux et un manque d'intérêt de l'histoire (surtout dans les deux premiers tomes). cependant la série évolue de manière plus positive par la suite. L'histoire gagne en intérêt et les personnages évoluent sans cesse de manière satisfaisante.
D'un point de vue graphique on peut constater que la qualitée est présente tout au long de la série. La reprise du dessin par Pontet est une vrai réussite. En effet ce dernier à su mettre sa touche personnelle et ne cesse de s'améliorer au fur et à mesure des albums. Il est à noter que le tome 10 est un vrai succès sur le plan graphique. Les combat y sont représentés de manière très efficace.
Une série à lire et à relire.
J'ai eu du mal à terminer la lecture. On se demande toujours qui est qui et qui fait quoi dans cette BD.
Par contre, la série est plutôt originale, construite comme un film, avec beaucoup de "flash". La bande dessinée n'est peu être pas le meilleur support pour cela.
Bref, la grande équipe qui a travaillée pour cette série a essayé des choses nouvelles au niveau du scénario et des images qui ne sont pas classiques. A lire une fois pour se faire un avis.
jef
Et bien, il y avait longtemps qu'une BD ne m'avait pas scotchée autant, depuis Blacksad ... Y'a qu'a voir. Si on commence l'album, on ne peut pas s'arreter et ça a été mon cas.
Le scénario vous tient en haleine du début à la fin. La voix off m'a vraiment donné l'impression d'être dans un film, et puis j'ai révé ou il y a plein de rimes ? A vous de voir, enfin de lire.
Les dessins sont réussis, très lisibles, pas surchargés.
A mon avis une des meilleures BD de 2002 que j'ai découverte un an après.
jef
J'ai passé un tres bon moment à la lecture de W.E.S.T.
La mise en place de l'intrique est progessive, dense et rythmée.
Malgré plusieus césures de séquences, je trouve l'ensemble fluide.
A l'issue de la 56eme planche le mystère est présent ; vivement le T2.
Une agréable surprise que la découverte de cet album. Le scénario est à la hauteur des contres bretons sur l'Ankou, à la fois mystérieux et simple.
Le plaisir de l'album vient des différents dessinateurs de ce collectif avec une mention particulière à Sorel et Gwendal. Le trait de leurs dessins, et la mise en couleur sont exactement ce qu'il fallait à ce type d'histoire.
Une série prometteuse.
Le thème de base est intéressant, et les dessins assez agrréables.
Comme déjà mentionné plus haut, on pose les personnages et l'intrigue dans ce premier épisode, mais cette installation est un peu laborieuse.
On verra avec le tome 2 si le scénario se développe de manière inéressante...
Pour qui aime les chansons du grand Schmoll, cet album mérite une cote de 10/10 (indispensable !).
L'univers de Mr Eddy et une sélection de ses chansons sont transcrites en quelques planches par différents dessinateurs. Ces instantanés sont souvent fidèles à la chanson mais on se laisse parfois suprendre par une adaptation et un point de vue inattendu, ou un découpage original de la trame.
Pour finir, ajoutons qu'on trouve aussi dans cet album les commentaires d'Eddy Mitchell et ses rapports avec la bande dessinée, des lectures de son enfance et ses coups de coeur plus récents.
Et tout ça dans une édition d'excellente facture.
PS: si vous avez de vieux numéros du Coq Hardi, il y a un numéros dans lequel a été publié un dessin du petit Claude Moine (10-11ans) . Ca lui ferait plaisir qu'on en retrouve un exemplaire.
Deux auteurs atypiques pour un album plein de sensibilité, une personnage attachant et un univers captivant, tout pour un album vraiment indispensable.
Une tres bonne BD que je connais depuis longtemps...je suis étonné qu'il n'y ait aucun avis.L'histoire est surprenante et porte à réflexion. Les graphismes noirs et blancs des sphéres sont géniaux.J'adore et la recommande de totu coeur à ceux qui ne connaissent pas...Bonne lecture
Oeuvre méconnue de Greg, Rock Derby présente un personnage, ancien boxeur devenu garagiste, qui va vivre des aventures plutôt policières aux côtés de son frère Skip et dans un premier temps du journaliste Tim Toronto.
Par la suite il changera d'acolytes (Pedro et Baba) mais la série ne comportera que 7 albums, Greg étant pris par ses nombreuses autres occupations.
Pour les nostalgiques de la grande époque du journal Tintin...
Album de transition de Jacobs, après qu'il ait dû reprendre et terminer rapidement Flash Gordon et avant qu'il ne commence Blake et Mortimer.
L'influence Flash Gordon est très présente mais d'autre part, on y retrouve déjà les personnages qui annoncent la série future.
A lire pour l'aspect historique ou documentaire...un petit côté Enigme de l'Atlantide aussi...
Effroyable...il n'y a pas d'autre mot...
Imaginez une histoire qui mélange le monde des collectionneurs de BD à un groupe néo-nazi faisant des expériences génétiques dans un château isolé en Belgique...
Déjà là il y a de quoi avoir peur mais quand on ouvre la chose, on reste pétrifié devant la qualité incroyablement médiocre de cet album.
Aucune proportion conservée, un texte envahissant, des dialogues d'une débilité inimaginable, la dose de sado-masochisme inhérent à ce genre d'ouvrage, des scènes de tueries abominables (à coups de lance-flammes), des monstres (expériences génétiques ratées), des soldats nazis en uniforme de la guerre 40-45 et bien entendu les inévitables scènes de cul (les orgies nazies...c'est vendeur).
Peut-être (sans doute) un des albums les plus nuls de l'histoire de la BD...
Je suis agréablement surpris par cet album:voilà une nouvelle série qui promet.
Certes le scénarion n'est pas renversant d'originalité mais le dessin l'est, avec notamment un design très réussi des méchants. La personnalité de l'héroïne est originale et donne une touche plus légère à une atmosphère sinon plutôt sombre.
Une chronique très drôle racontant la première année de Beaux-arts d'un étudiant à Saint-Etienne et les péripéties qui l'entoure. L'humour est tour à tour noir et tendre et les situations des étudiants sont parfois hilarantes, chacun pouvant s'y reconnaitre (pas seulement les beauzardeux). Un excellent moyen de se détendre avant des examens de fin d'année. Le dessin noir et blanc colle parfaitement au ton. Une BD attachante pour rire et réfléchir.
Le scénario est de qualitée égale par rapport au premier. On en apprend davantage sur le passé de Angus tout en avancant de manière régulière dans l'histoire. On commence à bien comprendre la personnalitée d'Angus et certains détail de sa vie son assez étonnants. Il y a un savant mélange d'action et de poésie dans cette histoire qui fait que l'on ne peut rester indifférent.
Le dessin de ce second tome s'améliore un peu. Le seul reproche que je pourrais faire serais que les flash back ne sont pas suffisament marqués.
- AVIS SUR LA SERIE -
Je viens de lire toute la série d'une traite et tout est remarquablement ficelé. Les 3 tomes sont du même niveau, et d'un excellent niveau. Certes, l'histoire n'est pas d'une fantastique originalité mais le résultat est néanmoins très efficace. Il est très difficile de trouver dès le début qui est le meurtrier, tellement les possibilités sont multiples. Le dessin et les couleurs sont tout à fait en phase avec le scénario, à la fois , et bourré de suspens. Bref, une série très réussie.
Cet album est une déception autant par le dessin que par le scénario.
L’histoire nous ramène Alix et son inséparable Enak en Egypte à la suite d’une invitation de la Reine Cléopatre. Celle-ci, afin de renflouer son trésor et consolider ses frontières au sud, accepte de marié le jeune compagnon d’Alix à une jeune princesse égyptienne.
L’idée de départ n’est pas mauvaise mais elle évolue bien vite en une sorte de course poursuite dans une savane sauvage et dangereuse.
J. Martin y incorpore des éléments fantastiques (comme la confrontation entre les Titans, les deux héros et des buffles) qui sont tout bonnement ennuyeux et mal développés.
Les personnages n’y ont aucune profondeur. Ils sont fades et subissent en partie les événements. Les deux héros sont continuellement pris en charge par les personnages secondaires.
Alix et Enak semble intemporel car ils n’évoluent pas et ne vieillissent pas. On y apprend qu’Enak n’a pas encore 20 ans et ce malgré les aventures (et voyages) vécues.
Le dessin est, si l’on s’arrête aux décors, toujours aussi magnifique mais par contre les personnages sont de temps en temps, un peu ratés. Certaines poses sont bizarres et/ou tellement conventionnelle par rapport aux autres albums, qu’on a l’impression que Moralès ne fait que de recopier ce qui a déjà été fait. En outre, certains profils ou même expressions du visage y sont complètement loupés. Il n’y a aucun effet de relief, de mouvement.
Cet album renouvelle l'héroic fantasy en sortant des schémas classique du genre. Le scénario est un véritable enchantement plein de fraîcheur et de poésie. Les personnages sont très intéressant et sortent du lot par rapport aux héroines style 90-60-90 ou aux lourdeaux décérébré qui sont certe amusants mais ne permettent pas de donner à une série toute l'intensitée présente dans cet album.
Le dessin est suerbe et traduit parfaitement toute la poésie de l'univers décrit. Le trait est dynamique et colle vraiment bien au scénario.
Bienvenue dans l'unviers d'un harem. Dufaux nous propose de suivre le destin de deux jeunes femmes : la première, Jade, est la favorite du sultan Murati. Elle attise les convoitises, elle fait perdre la raison aux hommes, mais elle est aussi experte pour envouter les femmes. Elle a le pouvoir. La deuxième est Kim, la petite fille de Jade. Elle part à la recherche de cette étrange grand-mère. Mais pour y arriver elle va devoir se plonger dans le coeur des harems, elle va devoir faire don de son corps.
Dufaux nous emmenène dans un univers mystérieux, où les hommes sont à la merci des femmes. Un univers où les femmes agissent sur la politique, font vaciller des états.
Seule une femme pouvait dessiner cet univers, peut-être, toujours étant que c'est avec une grande sensualité que Ana Mirallès nous emmenène dans cette Turquie du début du siècle. Le trait est précis et les couleurs très chaudes.
Un début de série prometteur.
Autant j'ai adoré le sommeil du monstre ; autant Nikopol reste d'un hermétisme assez important. Si on veut comprendre quelque chose, mieux vaut rester concentrer , faute de quoi on perdra le fil de l'histoire très vite.... Quant au dessin, c'est assez sympa de voir le dessin de Bilal évoluer au fil des tomes. Pour les fans de Bilal, pour ceux qui aiment les histoires tordues....
DAREDEVIL : STEVE GERBER nous propose un scénar tiré par les cheveux où L'ARAIGNEE vient grâce à une excuse bidon donner un coup de main à DD et à LA VEUVE NOIRE à combattre un méchant à deux balles du nom de BULLDOZER. Les dessins de DON HECK sont à la limite de l'amateurisme et certains dessins du TISSEUR de l'enfentillage !
IRON MAN : GERRY CONWAY et BILL MANTLO nous font s'écrier tout ça pour ça !! En effet, mettre autant de mois à préparer le retour du GARDE pour baccler sont affrontement avec IRON MAN aussi vite... Les dessins de GEORGE TUSKA sont sympa.
L'ARAIGNEE : Un chef d'oeuvre que cet épisode imaginé par STAN LEE ! Il prend son temps pour nous narrer la triste vie du GIBBON mais aussi en même temps nous intéresser aux problémes perso du pauvre PETER PARKER !
Les dessins de JOHN ROMITA sont splendides.
L'ARAIGNEE : GERRY CONWAY conclut l'épisode précédent. On reste un peu sur notre faim avec le combat final un trop vite réglé et le retour un peu trop vite expliqué de KRAVEN. Mais les problèmes de PETER PARKER et les dessins de JOHN ROMITA sont toujours là !!!
Une suite à la hauteur du premier tome. c'est avec un grand plaisir que l'on retrouver le trait de J.F. Charles ainsi que la mise en couleur directe. Quelle sensualité dans sa manière de dessiner les femmes.
Notre voyage en Inde continue, et c'est un album de poursuite dans lequel s'engage nos héros. A la recherche de leurs parents respectifs, à la recherche de leur passé commun. Ce deuxième tome est aussi plus politique, on est en plein période d'indépendance et de fin de la colonisation anglaise, ce genre d'évènement ne se fait jamais dans la douceur, mais plutôt dans la douleur. Et le futur maharahdja doit protéger sa vie, mais pourquoi et contre qui ?
Londres - 1944 - Une jeune femme entre ne possession du journal de sa mère. Commence alors un étonnant voyage, celui où elle accompagne sa mère pour rejoindre son père en Inde, quelques années plus tôt. Le choc est intense. C'est la découverte d'un autre monde, où sont omniprésents la pauvreté, la mort mais aussi la sensualité.
Maryse et Jean-françois Charles nous offre un album sompteux où l'on retrouve les luttes de pouvoir, la fin de la colonisation anglaise sur fond d'un amour interdit.
Pour cet album, J.F. Charles réussit une mise en couleur directe avec une grande sensibilité. Il se dégage de son trait une grande douceur, mais aussi par moment une grande dureté. Ce sont ces mots qui peuvent aussi résumer cette histroire.