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Cet album a été rédigé en 28 pages auparavant, avant le Goulag 1. Le Goulag 1 a été le premier à être publié, mais l'auteur acontinué par après les 28 pages (on le sent dans la tournure brusque à mi-histoire), et c'est devenu le n° 1bis
C'est pour moi le meilleur "Goulag". De page en page, on évolue dans un surréalisme qui aurait valu à Dimitri d'être belge. Emmené à la frontière chinoise, Eugène Krompon vit une belle intrigue entre russes, chinois et américains du temps de la guerre froide.
Je rectifie le premier avis que j'ai donné sur ce second album, qui est quand même loin d'être un chef d'oeuvre même s'il est de bonne facture.
L'histoire se laisse lire, les dessins sont de bonne qualité, et la fin est intéressante et donne vraiment envie de connaître la suite.
Pas mal
Crimson, cette série est de qualité. Ramos a un style assez particulier ne serais-ce que pour dessiner les pieds... son dessin cole très bien à l'intrigue et il s'améliore considérablement durant les 13 albums de la série.
Une histoire de vampire ou le principe des mechants pas totalement inhumain déjà ebauché dans DV8 trouve ici tout son sens. En effet les personnages sont bien développés, Alex, Joe, Sait George, Ekimus, Le senateur etc... disposent tous d'une personnalité forte. A la croisée des histoires de vampires classiques et de la création divine le bien et le mal se livrent un combat appocalyptique, mais qui sera le vainqueur ?
Rien a ajouter ! C'est juste pour monter la moyenne ! Bravo, ces deux tomes resterons longtemps une réference dans le "grand monde" (trop grand maintenant...) de la BD !...
Ah !!! Enfin une sortie intéressante !... Vivement la suite. Effectivement, les dessin sont superbe, dans l'esprit de Giacomo C. L'histoire est bien montée, la mayo prend, vivement la suite !... Bravo
Ca pourrait etre sympa, mais je n'accroche pas... Je ne sais pas pourquoi... Ca arrive :!...
Pas mal le tome 2, mais globalement un peu déçu... Y a pire, mais y a mieux actuellement. J'acheterai le tome 3 quand même !... Ralph Meyer est super doué et il mérite qu'on le suive encore un peu.
Le dernier volet de la saga "sky doll" en version 2b pour les amateurs! Cette
version nous permet de suivre le travail de préparation pour la composition des
planche, de la dynamique mais aussi des crayonnés. Très bel objet, fascinant
pour le graphisme!
une petit bémole cependant pour la fin qui ne délivre pas toutes les clés de
l'histoire...
Tout simplement mortel !...
Le capitaine Kiff est difficilement battable dans la conerie !...
Respect pour Dav.
Vivement le tome 2.
- Dieter nous a livré des personnages haut en couleurs, avec pas mal de folie, un peu de naiveté, un peu de force et un peu de finesse. Mais l'histoire "juste" sympa, ce premier tome n'est pas assez accrocheur. j'ai du mal a bien saisir la quête du héros, qui recherche son père de façon pour le moins bizarre.
- Fourquemin fait du Fourquemin, j'ai mis du temps à mis faire mais maintenant ça passe tout seul ^_^
Une série que je vais quand même continuer, car Dieter & Fourquemin savent donner des histoires simples et entrainantes (cf. Alban).
Ah le soupetard, c'est toute une ambiance! Pour moi c'est comme des souvenirs de l'enfance que j'aurais voulu vivre. La nature, les amis, la famille, la bonne bouffe, c'est toute l'image d'une France telle que je voudrais qu'elle existe. C'est une bouffée de fraîcheur, de naïveté et de bonheur qui me fait revivre dans un monde de pollution de violence et d'hypocrisie. Bien sûr ce n'est peut-être pas intrinsèquement la meilleure BD du monde (quoique, quand vous êtes au fond du trou, ça vous remonte mieux qu'un antidépresseur, ça veut bien dire quelquechose). Enfin pour finir, je vous ferais part de l'avis de Moreno qui m'a dit pendant qu'il me dédicaçait le tome 1 du Régulateur que pour lui c'était la meilleure BD de corbeyran. C'est un avis comme un autre mais je pense qu'on peut le prendre en compte. Bref pour moi le Soupetard, c'est un bon moment à chaque lecture
Je dois dire que je suis un très très grand fan de la série puisque je joue a street fighterII depuis que je suis tout petit. Cette BD quand je l'ai trouvé par hazard dans un petit magasin perdu a charny près de Québec j'ai tout de suite sorti mon bill et je l'ai acheté sur le champs. C'est vraiment la meilleur DB que j'ai vu de toute ma vie. Les dessins son incroyablement beau et l'histoire encore mieux. J'espere bien avoir la collection au complet un jour...
Si vous êtes un vrai achetez la sur le champ!!!
Mike
Trois ans après un premier tome, délai inhabituel pour cet auteur prolifique, parait « La philosophie dans la baignoire » dont la forme et le fond ont considérablement évolué. Du gaufrier à peu près systématique du premier album on passe à une mise en page beaucoup plus éclatée et du trois bandes par page à une quasi généralisation du quatre bandes qui donne une certaine densité au récit. L’encrage plutôt sobre et gras du premier fait également place à des traits beaucoup plus fins, à une surabondance de hachures et à des cases relativement chargées (toujours ce sentiment de densité). Ce qui frappe également dans ce tome c’est le manque apparent d’unité de style graphique tout au long de l’album. On passe allègrement de cases très finement détaillées à d’autres où le pinceau trace juste un vague décor, de hachures nerveuses et rapides à des drapés esquissés en quelques coups de pinceaux bien larges, d’un lettrage scripte à un autre en cursives dans la même planche voir dans la même case.
Et cette « irrégularité » de forme se couple avec un récit qui semble également partir dans tous les sens, partant de pseudos récits mythologiques vers une faune sous marine et féminine, passant de l’antiquité grecque au 18ème siècle libertin, de la philosophie aux récits épiques, le tout emmené dans un joyeux bordel…dans lequel on ne se perd pourtant jamais.
Ce récit fonctionne bien sûr comme une pure fantaisie où de nombreux thèmes sfariens sont abordés, en particulier ses rapports aux femmes et à la philosophie (pas de religion dans le minuscule mousquetaire). Mais l’imagination débridée de l’auteur est toujours tendue vers une direction précise et malgré toutes ses digressions Sfar nous conduit bien à bon port, vers un débordement de vie au sens littéral du terme, où ça déborde tellement qu’on ne peut le garder pour soi. La fantaisie vitale débridée est ainsi le propos même de ce livre et ce serait un malentendu de le prendre autrement. On sent ici le vrai respect du jouisseur de la vie ( le sexe, le vin, les histoires, l’humour, le plaisir) jamais la profonde déprime du libertin aquoiboniste .
On notera également les nombreux hommages à l’amitié et à l’amour, à ses proches, généralement en forme de clin d’œil, avec des personnages qui prennent les traits de Christophe Blain, de Riad Sattouf, peut-être même de Marjane Satrapi et sans doute de sa compagne Sandrine Jardel, ainsi qu’une ironie sur lui-même en se croquant en mari cocufié qui cherche une solution à son problème. Et bien sûr un hommage appuyé à ses maîtres Pierre Dubois/Petrus Barbygère/Le Borgne Gauchet/Le minucule Mousquetaire et plus particulièrement dans cet album au grand Fred et à sa formidable inventivité (cf en bas à droite de la page 35).
Bref un grand cru qui sous ses faux airs de bordel pornographique creuse le sillon de cet auteur qui continue à nous raconter et à nous livrer ce qu’il croit et ce qui l’intéresse.
Un livre qui ne sacrifie pas à l’esbroufe et dont la ligne directrice pleinement assumée est un savoureux hymne à la vie.
Commentet pourquoi le Joker est-il devenu le bouffon cruel que chacun connaît ? C'est l'objet principal de ce livre, derrière l'affrontement psychologique entre le Joker, qui a capturé le commissaire Gordon pour le torturer, et Batman.
Les dessins sont très beaux, les couleurs très vives, qui envahissent de grands pans de planches, et s'appliquent indifféremment aux visages, aux vêtements... restituent le dérangement de l'esprit du Joker. Le récit est très bien construit, et les vignettes intelligemment construites.
Le seul défaut est finalement la brièveté de l'ouvrage: moins de cinquante planches, ce qui amène nécessairement une certaine schématisation. En fermant cette bande dessinée, outre le plaisir éprouvé à la lecture, on ne peut s'empêcher de regretter un certain manque d'ampleur.
vivement le 5 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je ne peux pas m'empâcher de pense qu'il s'agit d'abord d'une idée de marketing pour nous vendre un album pus cher. Mais, en ce cas, l'essai littéraire est réussi avec une histoire tendre, donnant toute son importance au regard de l'autre, bien mise en apge, biend essinée et bien coloriée. Un bon achat, difficile à ranger.
Une découverte délicieuse qui fait apparaître l'Asterix de même inspiration comme bien sérieux. Attention, album à acheter sur le continennt, discrètement, car la réalité peut encore dépasser la fiction. (Boum!)
Un scénario bien rythmé, on a pas le temps de laisser notre esprit vagabonder (pas même pour une page), c'est assez rare pour le souligner !
Des dessins agréables et recherchés au niveau des vampires; notamment lorsqu'ils vont mordre, ou qu'ils se désintegrent...
Bref, si vous êtes fan d'histoire de vampires, alors cette BD est à lire absolument !
J'attends le troisième tome avec impatience !
A ne pas Manquer !
Des dessins épatants, avec un clair-obscure presque surnaturel, qui va parfaitement avec le scénario.
D'un point de vue esthétique, on ne peut qu'apprécier la lumière irréelle, et l'ambiance qui en découle...
Entre fiction et réalité, un conte qui enchantera même ceux qui ne rêvent plus. Et les autres grandiront en suivant avidemment les vignettes !
Après ''Journal (III)'', Fabrice nous assène encore un volume imposant,
intimidant presque. Encore une fois, il faut penser ''chef d'œuvre'', se dire qu'il
n'est pas facile d'en faire le tour, d'en comprendre la musique. Apaisé est
aussi ce qui revient le plus (ce qui n'empêche pas les coups de gueule, la rage
bouillonnante dont il fait toujours preuve). À quand le 5 ?
La nuque de la couverture est ce qui m'a le plus intrigué et qui a fini par
provoquer l'achat du livre. Je n'étais pas un grand amateur de BD (j'en été
resté aux hyper-classiques) et j'ai eu un sorte d'illumination (sans aller
jusqu'au chemin de Damas). Cette œuvre m'a profondément touché. Sa
sincérité, son impudeur, sa justesse. J'ai aussi aimé le trait, le dessin. Bien sûr
certaines choses m'ont parfois agacé mais dès refermé, j'ai vraiment eu envie
de connaître la suite. Merci Fabrice
Dessin excellent, mais histoire sans gransd intéret. Franchement trés dispensable. . .
Pour le moment, j'ai lu les tomes 1 à 5. Et même s'il faut reconnaitre que le dessin est trés bon, je trouve que l'histoire traine parfois un peu en longueur (le tome 5 peut se résumer à un seul combat). De plus je trouve que la maturité du héros n'évolu pas vraiment au fil de l'histoire (au début il tue sans état d'âme pour se prouver qu'il est le plus fort, au tome 5, il en est toujours au même point). Bref j'attend d'avoitr lu la suite pour donner une opinion définitive.
Un comics vraiment à part de par son ambiance, son histoire alambiquée, son dessin particulier. De plus l'humour noir est omniprésent. Je le recomande chaudement.
Une des meilleures séries des dix dernières années. L'idée est géniale, a vous de découvrir l'astuce du Scenar ! Je suis par contre un peu décu par la nouvelle série "IAN", juste commencée par Ralph Meyer. On verra le tome deux...
Bravo ! Très bon début. On attend la suite avec impatience... Le suspens est bien en place, j'espere ne pas être déçu par la suite !...
Une série magique de part les dessins légers et propres et du scénario qui met en avant une théocratie dont le dogme est entrain de s'effondrer.
Les personnages sont attachants.
Une bonne histoire.
[i]Le Pankat n'est pas un simple sport de combat ... c'est un art de vivre. Mané a tout quitté pour de se rendre à Irap et devenir disciple d'Eïam : le champion de Pankat. Malheureusement, apprendre le Pankat ne nourrit pas son homme.
Ce tome nous conte les mésaventures de Mané qui se retrouve seul et sans argent.[/i]
Avec une couv' similaire au 4ème de couv', j'étais un peu perplexe car j'aime bien de le 4ème de couv' apporte un plus à la bd: histoire de dire on a bien bosser sur cet album, on a passé du temps du le 4ème de couv'. Mais il ne faut pas s'arrêter là, l'intérieur est mieux ^_^.
J'avais un peu peur qu'une grande partie de l'album soit consacré aux combats de Pankat et limite l'avancée de l'histoire. Et bien pas du tout, les combats sont, pour le coup, très (trop) discret, les scènes de narration et de combat sont très bien répartis.
D'ailleurs Merwan nous offre un découpage somptueux. Les cases s'enchainent avec une fluidité impressionnante, tellement impressionnante que l'on arrive à la fin du tome sans s'en appercevoir.
Le dessin et les couleurs sont de grandes qualités, même si (à mes yeux) les couleurs sont trop froides (j'ai l'impression que c'est toujours le soleil levant).
L'histoire se met en place et l'on apperçoit la richesse des thèmes abordés avec justesse. Par contre, la fin du tome n'est pas des masses accrocheuse, on pourrait s'arrêter là, mais le tome suivant nous prouvera le contraire
Une série à suivre de très très près
le dessin est agréable pour ce premier tome. Côté scénario j'aurais souhaité un peu plus d'action car l'accent est trop mis sur la présentation et la psychologie des personnages, un peu c'est bien mais cela prend une place trop importante dans cet album à mon goût, au détriment de l'action; cette BD se laisse cependant lire facilement et sans ennui. Quelques éléments d'ordre fantastique laissent présager d'une suite possiblement passionante. En résumé: en attente du tome 2, qui doit à mon avis être beaucoup plus dans l'action que ce premier tome pour continuer à intéresser le lecteur
Après une découverte mystérieuse sous les glaces, l'univers de Verseau semble basculer. Le début est classique voir déjà vu, mais la suite est beaucoup plus intéressante et on plonge dans une univers SF anticipation très bien servi par le dessin. Les couleurs rendent très bien les différentes atmosphères.
Le scénario semble assez riche, il a du texte et on sent qu'il y a du travail derrière. Un mélange de fantastique et de SF qui permet de passer un très bon moment de BD.
bien content de retrouver cette série que je suis depuis les années 80... ce qui ne rajeunis pas.
Je trouve l'idée interessante de revenir dans les passées, découvrir la jeunesse des chevaliers d'or. Le scénario est très sympa et je préfère le dessin de Okada à celui de kurumada.... bref : je le trouve excellent et j'attends les prochain volumes avec impatience.
nb : les volumes doivent sortir à raison de 1 par mois jusqu'en décembre...
une BD très originale et pleine d'humour, des dessins interessants, une histoire un peu tordu et une héroïne explosive tout pour passer un bon moment.
A l'instar de Léonard est un génie de Turk et de Groot, les auteurs nous font rire avec un Nostradamus revisité par l'humour. Très drôle !
A l'instar de Léonard est un génie de Turk et de Groot, les auteurs nous font rire avec un Nostradamus revisité par l'humour. Très drôle !
Merci M. Fred.
Un très grand moment de bande dessinée, un trop court instant de bonheur.
Où va-t-il trouver de telles histoires ? Peu importe, en tout cas, Fred est à mon avis à son summum avec cette histoire simple et limpide, décrivant un monde qui n'est pqs tout à fait le notre, mais qui nous entraîne dans sa propre logique.
Qui a dit que la BD était un art mineur ?
Houla, je n'aimerais pas être à la place de Calvo. Il s'est lancé dans un scénario qui me laisse dubitatif. C'est très complexe. J'espère qu'il sait où il va !
Je mets un 6, mais c'est une série à mon avis injugeable en l'état. Bonne chance aux auteurs, je suivrai la suite avec attention.
Avis général sur la série :
Comment bousiller une bonne idée. Les premiers tomes sont pas mal, et tiennent effectivement en haleine. Malheureusement, cela se gâte rapidement : les scènes se répètent, le scénario qui au départ était plus polar que SF devient aberrant...
De plus, le dessin de Parras se prête bien à des séries courtes - percutant, laissant beaucoup de place à l'action et peu aux personnages - mais pas à une longue saga.
Il fallait à mon avis rester à l'idée de départ et finir proprement en 4 ou 5 tomes.
J'avais acheté les premiers tomes, mais je n'ai même pas lu les derniers en entier. Et croyez-moi, cela m'arrive rarement.
J'avais trouvé le premier tome moyen, mais il me semble que cette série s'améliore.
Le scénario remontant le temps est désormais mieux maîtrisé par Hubert, et le dessin de Tanquerelle est très adapté à ces scènes d'hiver, de guerre, et de famine. M. de Saint-Loup est tout particulièrement réussi.
Néanmoins, ce tome aurait parfaitement pu être un one shot. Il y aurait peut-être même gagné, n'ayant pas à gérer l'ensemble de la trame.
Il arrive souvent qu'un scénariste trop prolifique connaisse des ratés. En voilà un pour Arleston. Une série qui m'a parut bien plate, et ressemblant trop aux autres productions d'Arleston.
Les références tombent à plat, et le tout manque de cohérence - on dirait parfois que les personnages jouent faux !
J'ai cru comprendre qu'il n'y aurait jamais de suite à cet album - vu la date de parution, c'est certainement vrai.
C'est vraiment dommage car il s'agit d'un premier tome plein de promesses, tant au niveau graphique que scénaristique...
Encore un excellent scenario de le Tendre, et parfaitement servi par un dessin et une mise en couleur de très grande qualité. Beaucoup de sensibilité, sans jamais tomber dans le larmoyant. Une histoire simple, mais apt à provoquer la réflexion. Entrouvrez l'album et regardez : vous sentez la chaleur ? Vous entendez les cigales ?
Une BD désormais un peu difficile à trouver, mais que je recommande sans restriction.
j'ai été émerveillé en lisant cet album : L'histoire est simple et d'une beauté déconcertante, le dessin non accrocheur et les couleurs reposantes.On se prend à rêver à devenir animal et vivre là-bas dans la simplicité, ou être à la place de cette petite fille qui, j'espère, n'atteindra pas son but...
A lire, donc, plusieurs fois, de 7 ans jusqu'à son dernier souffle !
inconditionnel de Carabal, je trouve ce numéro 10 de trés bonne facture.
moi aussi j'ai 2 anfants, et je crois les reconnaitre, par moments.
j'attends déja avec impatience le numéro 11 et la venue de la petite soeur "Lola".
Cette bd est une de mes préférée! je l'ai découverte pendant le concour de la bd.
Je l'ai fait découvrir a beaucoup de monde dans mon ancien lycée mais personne n'a aimé: le canard pour détective est ce qui dérangé le plus!!
mais moi j'adore et je ne me lasse pas de la relire, les dessins sont magnifique.
le personnage de loretta steevens m'a beaucoup touchée je la trouve vraiment trés attachante!
Félicitation!!
A votre avis ? Red nick ? Ca vient d'ou ? Blueberry, c'es le minimum vital pour une collection digne de ce nom. Je suis surpris qu'il n'y ai pas plus d'avis positif. Si vous souhaitez voyager à moindre frais, montez derrière notre lieutenant favoris !
Du grand art !!! Un méchant gentil, un creme brutale ! Le scenar est solide, le dessin magnifique. Matz et Jacamon ont accouché d'une série qui fera date...
Comme le dit Catteau j'avais très peur ....
He bien effectivement Laurent Gerra a fait ce qu'il sait faire .... Une imitation .... Il a bien compris l'ensemble des ingrédients qui composent un Lucky Luke (Un fond de réalité, des personnages marqués, des figures locales etc ...) mais si tout ça est nécessaire ce n'est pas suffisant pour faire un album de qualité.
J'ai eu l'impression de feuilleter un catalogue de tout ce qui a fait les albums de la bonne époque de Goscinny. Pour moi un catalogue ne fait pas un album ...
Une série sympa qui démarre sur les chapeaux de roue et qui surfent
allégrement sur des succès du ciné comme "Taxi" et surtout "Les Aventuriers
de l'Arche Perdue".
Dom Latil déploie dans cette BD ce qui fait son charme dans la vie : une bonne
dose d'humour jointe à une solide connaissance de l'écriture du scénario.
Toute le long des 44 pages, c'est un véritable feu d'artifice verbal où fusent
bons mots, dialogues marrants plaqués sur une action qui ne ralentit jamais
Le dessin de Julié oscille entre celui de Walthéry et de Serge Carrère, ce qui
accentue l'impression de se trouver dans un univers parallèle à celui de Léo
Loden. L'ex-commissaire est remplacé par une écrivain de romans
fantastiques qui va chercher sa matière première en enquêtant sur des trucs
bizarres, le marin alcoolo et déjanté par un chauffeur de taxi amoureux de sa
voiture et hypocondriaque. Bref, il ne manque que le "Marlène" de l'héroïne
pour compléter la galerie des personnages principaux.
En tout cas, la sauce prend : on est tout de suite dans l'histoire et les
personnages nous deviennent immédiatement familiers et proches. Bref, une
bonne BD pour passer un moment agréable, sans prise de tête. Que
demander de plus, ah oui, que les autres volumes soient du même acabit …
Une très bonne série dont on peut attendre beaucoup dans l'avenir,
le premier album étant un peut hésitant celui-ci est parfaitement maîtrisé
surtout côté dessin et scénario. On regrétera qu'il soit trop court et qu'il faille
encore attendre la suite... Espéront que l'attente sera courte...
Une très bonne série dont on peut attendre beaucoup dans l'avenir,
le premier album étant un peut hésitant celui-ci est parfaitement métrisé
surtout côté dessin et scénario. On regrétera qu'il soit trop court et qu'il faille
encore attendre la suite... Espéront que l'attente sera courte...
Du très bon. Ce privé bedonnant me rappelle un certain Philip Marlowe... Le thème est connu, certes, mais très bien traité. Le dessin m'a séduit par sa quasi ligne claire rappelant Jacobs dans les couleurs sombres et crépusculaires.
Dans ce tome I l'histoire est juste plantée, et on est déjà attaché aux personnages principaux. Il y a du Nestor Burma dans bien des attitudes. ça fait du bien de lire une BD de Corteggiani, dans laquelle il donne vraiment le meilleur.
E X C E L L E N T !
J'avais très peur... depuis la disparition de René Goscinny Lucky Luke n'avait
pas recupéré ne serait-ce que la qualité qu'il avait quand Morris le réalisait
tout seul.
Laurent Gerra a pris un gros risque, car tous les scénaristes qui sont passé
après René Goscinny se sont cassé les dents à cet exercice.
Dans ce premier album LG n'a pas essayé d'être René Goscinny, il a été lui
même, et l'on se rendra compte qu'en restant lui même, il possède le même
sens de la vie, de l'humour, de la dérision, et le même carisme qui nous
transportait chez Goscinny...
La première BD semi-réaliste depuis "De cape et de crocs" qui me fait vraiment rêver. Les personnages sont biens amenés, et très crédibles dans leur rôle. L'histoire est classique, et reste une introduction comme semble l'imposer l'époque actuelle. Mais elle n'en est pas moins palpitante. On ne s'ennuie pas une seconde. Le graphisme dans son ensemble et génial, et m'a littéralement surpris à cause de la couverture (très belle mais trompeuse).
Si l'histoire s'en va, comme je l'espère, vers des aventures insoupsonnées au départ du récit, je serai le plus heureux du monde de posséder l'inégralité des tomes dans ma bibliothèque.
Excellent dessin et scenario à la hauteur du dessin.
Même si le scenario n'est pas sans rappeler Seven ou autre PhoneGame, cela reste une excellente BD qui parvient quand même à s'écarter sensiblement de ses sources d'inspiration américaines.
Les attitudes et études des différents protagonistes sont soignées et flairent le réel à plein nez. L'atmosphère de tension passe remarquablement.
Sans conteste une oeuvre majeure de 2004.
Esperons que nous enchaînerons avec le même niveau et que l'on tentera pas de traîner en longueur.
Voilà une BD qui vaut le détour. Enfin un ouvrage de qualité qui traite de la cryptozoologie (science qui étudie les animaux "cachés" donc légendaires, comme le Yéti, Nessie et autres BigFoot). Ici, Philippe Menvielle nous emmène dans la jungle africaine des années 30, sur la piste ouverte par Citroën, à la recherche d'un animal craint par les autochtones : un dinosaure! Bien évidemment, cela attire les convoitises...
Le découpage des cases est très classique mais le dessin est bien mis en valeur par de très jolies couleurs. Le dessinateur parvient à faire ressortir l'ambiance étouffante de la jungle et nous présente des personnages particulièrement typiques : un missionnaire légèrement déjanté, un vieux chercheur qui pense plus à l'argent qu'à l'avancée scientifique, une héroïne qui marche (et continuera à marcher dans le tome 2, espérons-le) dans les traces de son père...
Sur le plan personnel, c'est un album que j'ai hésité à acheter au départ mais que je conseille fortement aujourd'hui et qui est bien en évidence dans ma BDthèque. Je ne regrette pas du tout cet achat puisque l'histoire m'a passionné du début à la fin. A recommander pour les amateurs du genre en tout cas.
Pour les amateurs de la Loge Noire, cet album est un incontournable. L'histoire rappelle celle écrite par Arturo Perez-Reverte dans "Le tableau du maitre flamand" car elle mélange évènements historiques et art, enquête et passions. C'est tout simplement un récit captivant de la première à la dernière page. Giroud, qui a déjà triomphé avec le Décalogue, revient en force sur le devant de la scène du neuvième art avec ce génial scénario dont on attend la suite avec impatience...
L'héroïne, physiquement comparable à Marlène Jobert, n'est rien d'autre qu'un James Bond féminin mélangé à un Chuck Norris au meilleur de sa forme. On se laisse guider par un scénario qui manque parfois de rebondissements et qui semble ne pas être l'attrait principal de la série. En effet, il s'agirait plutôt des formes généreuses et des vêtements collants de Scarlett Dream qui sont là pour nous faire oublier la médiocrité des couleurs, dans le style années 70 dont sort tout droit cette héroïne. Elle utilise également des engins à la pointe de la technologie... d'il y a 30 ans. Mais dans l'ensemble, cette BD mérite d'être lue au moins une fois.
DAREDEVIL Scénar : MARV WOLFMAN Dessin : BOB BROWN
LE PITRE apparait être le responsable des manipulations télévisuelles (comme d'hab) l'épisode reste trés bien construit. A noter l'original début qui est un exemplaire du QUOTIDIEN de JJ JAMSEON.
IRON MAN Scénar : DAVID MICHELINE Dessins : JOHN ROMITA JR
Ce n'est pas un épsisode où le sup héros lutte face un énième sup'vilain mais où l'home lutte face à lui-même et à son alcoolisme. Magnifique !!!
L'ARAIGNEE : Scénar : LEN WEIN Dessin : ROSS ANDRU
LE TISSEUR et LE PUNISSEUR S'unissent pour délivrer JJ JAMESON enlevé par LE TIRERUR (pas celui de DD) à la solde d'un mouvement terroriste (hélas déjà d'actualité). Trés bon épisode où l'on ressent bien les relations unisssant chaque protagoniste (PUNISSEUR-ARAIGNEE / TIREUR-PUNISSEUR / JAMESON-ARAIGNEE)
L'ARAIGNEE Scénar : STAN LEE Dessin : LARRY LIEBER
Le gros point faible de ce numéro : la fin de l'escapade du TISSEUR à ALGER pour retrouver la vérité sur ses parents face à un CRANE ROUGE d'opérette à peine plus méchant qu'un vulgaire chef de bande. Comme quoi certains épisodes ont du mal à vieillir
J'hésite pas. Allez soyons fous.
Album d'une qualité graphique époustouflante. Sans doute un des meilleurs album de Moebius. On comprend en lisant un tel album ce que cet artiste a apporté à la bd.
Lorsque la collection "loge noire" est sortie, le legs de l'alchimiste s'est rapidement imposée à mes yeux comme la meilleure série de la collection.
Les tomes suivants ont confirmé cette sensation : le dessin, plutôt original, sert à merveille une histoire un peu loufoque, souvent drôle et intelligente.
Une très bonne série ! à lire !
Je serai bref : le dessin n'est pas mauvais mais le scénario est inexistant. Je vais m'en débarrasser le plus rapidement possible.
Pour moi, Spirou et Fantasio, c'est Franquin. Tout ceux qui s'y sont essayé ensuite s'y sont cassés les dents.
Avec des séries comme Luuna ou Lock, les dessinateurs prennent de plus en plus l'habitude de nous servir un character design a mis chemin entre Walt Disney et la BD japonaise.
Belladone entre dans cette catégorie, et réussi à merveille l'examen : le dessin est très agréable, la sensation de mouvement très bien rendu, et les duels à l'épée n'ont rien à envier à ceux que l'on pourrait trouver dans le Scopion et autres série de cape et d'épée.
Car c'est véritablement d'une série de capes et d'épées qu'il s'agit, avec une pointe d'orientalisme suffisament bien dosée pour amener une pointe d'originalité à une histoire qui aurait pu trop ressembler au film "la fille de d'Artagnan".
La culture indienne permet donc d'ajouter une petite touche d'exotisme, voire d'érotisme (Belladone a plus ou moins les mêmes "pouvoirs" que l'héroine de "Djinn"), à cette série qui pourrait bien connaitre un grand succès si la mise en couleur est à la hauteur du crayonné et de l'encré.
A noter que ce 2b est très riche en esquisses : la page de gauche nous présente des ébauches, des morceaux de storyboard et des croquis de chaques instants de l'histoire, nous révelant même quelques astuces de mise en page (Pierre Alary aime beaucoup les ciseaux et le scotch...) et des versions alternatives intéressantes de certains plans.
Vraiment l'un des meilleurs 2b à ma connaissance.
Allez, je commence par la négatif. Je dirais que ca reste très référencié et que ça manque parfois un peu de surprise. Et aussi que ca reste un tome d'introduction et qu'il faudra attendre le suite pour juger.Ici, on nous présente le cadre et les personnages.
Alors le positif : classique mais parfaitement maîtrisé. On sent que les auteurs ont bien leur récit en main, c'est bien raconté, on accroche aux personnages, y a pas de moment creu dans l'histoire mais en même temps c'est pas bourré d'action. Enfin, l'ambiance générale est une bonne surprise (à laquelle la couverture ne prépare pas, c'est vrai, mais je maintiens que cette couverture est sublime, d'une beauté très sobre mais efficace), fort "1001 nuits", avec des couleurs agréables, lumineuses mais pas criardes, des décors vraiment superbes.
C'est un album que j'ai découvert il y a peu mais qui m'a fait rêvé. Les dessins sont somptueux, les mélanges d'époques réunis dans une seule et même période rendent les décors et les personnages véritablement charmants.
Quant au scénario, il ne manque pas d'originalité et nous embarque dans une aventure dont on a peine à revenir. Je me suis littéralement envolé en dévorant cet album. Je regrettais presque de fermer le livre et de retomber dans la réalité.
Si vous voulez rêver, voyager, en un mot lire une bonne bande dessinée, n'hésitez pas et procurez-vous ce splendide ouvrage...
LE première aventure de cet album est un inédit de 1966 où il est proposé à l'ARAIGNEE d'intégrer les VENGEURS mais avant il doit passer un test ou il doit capturer HULK. LE scénar de STAN LEE est vraiment trop naif. Les dessins de la paire JOHN ROMITA/DON HECK relèvent quelque peu le niveau
Dans la deuxième histoire, l'ARAIGNEE et la CHOSE volent au secours des VENGEURS et de CAPTAIN MARVEL faits prisonnier par THANOS. L'intrigue et les dessins sont de JIM STARLIN (gage de qualité s'il en est). Cet album aurait pu s'appeler LA MORT D'ADAM WARLOCK tant son importance dans cette histoire est considérable.
Très bonne série ! Dommage qu'elle soit finie !
J'attends avec impatience une nouvelle association de Jacamon et Matz !!
J'aime beaucoup Rork, un monde où l'on explore sans cesse d'autres mondes... Ce Capricorne est une excellente BD qui se lit aussi bien indépendamment. Dessins soignés et points de vue originaux, personnages attachants dès la première case, histoires parallèles, ajouts d'un "serial" ou "pulp" (ces romans à suite peu chers des années 20 et 30 comme fil conducteur), à lire et voir sans aucun doute pour tout amateur de BD.
L'avantage des albums de Tintin c'est qu'ils sont "bi-faces". Un enfant les lira avec autant de plaisir qu'un adute mais leurs pércéptions seront diferentes.
C'est ça qui est magique.
Désolé pour cette lamentable faute d'accord.
Je ne suis pas de ton avis Alerio quand tu dis qu'il n'est pas pour les enfants.
C'est un album que j'ai particulièrement apprécié étant enfant.
L'avantage des albums de Tintin c'est qu'ils sont "bi-faces". Un enfant les lira avec autant de plaisir qu'un adute mais leur pércéption sera diferentes.
C'est ça qui est magique.
l'histoire tourne autour d'un italien: Giorgio Pellegrini.
Les dessins sont excellents, les dialogues aussi, et l'histoire est très agréable à lire.
une descente aux enfers très bien orchestrée par trois auteurs italiens talentueux.
On attend la suite avec impatience.
cet avis vaut pour les deux albums.
que dire sinon que cette série ne restera pas dans les annales de la bande dessinée.
Dommage car le titre est prometteur, et le premier album n'est pas mauvais, car un certain suspens est maintenu, mais l'intérêt retombe bien bas dans le deuxième album.
on n'a du mal à faire le lien entre le titre et l'histoire, qui est finalement très conventionnelle.
bref une série plutôt décevante qui n'aura à priori pas de suite.
pas mal ce polar politique mais quand même assez classique. il n'y a pas d'énormes surprises, ou de gros rebondissements.
les dessins sont sympas, le scénario tient la route.
L'auteur s'est inspiré de faits réels, qui font plus que jamais partie de l'actualité: la profanation de tombes juives.
l' inspecteur Max Klein enquête sur l'affaire. c'est le personnage principal de la série.
Ca se laisse lire. On passe un bon moment.
Pour les amateurs du genre.
Outre la qualité affligeante de cette...appelons-là "chose", il faut y ajouter le mattraquage médiatique, censé nous faire croire au chef-d'oeuvre. Je suis en général ouvert à toutes les genres de BD, mangas, comics, et même les nouveaux genres, les essais, parfois ratés, mais avec toujours une volonté créative derrière. Cette "chose" n'est pas une BD, mais un storyboard, sur lequel ont vomi 3 "coloristes". Il faut vraiment être trois pour faire ça, tout seule Beinex n'aurait pas réussi à louper les couleurs comme ça. Ils auraient au mois pu avoir le courage de revendiquer leur oeuvre comme un storyboard et ne pas avoir la prétention de l'appeler BD. Au niveau de l'histoire, parce que je l'ai lu (oui, oui) je pense pouvoir dire que c'est un premier tome d'introduction, comme on en voit fréquemment. Le problème ne se situe pas tellement à ce niveau, mais plutôt vers les dialogues. Il sont fades et laissent un arrière-goût de fosse sceptique sur la langue. C'est creux, ça manque de dynamisme, c'est gnan-gnan (je ne cite pas d'exemples, je n'ai pas la "chose" avec moi)...les 89 pages sont vites avalées, ce qui pourrait être un signe de qualité, mais ici c'est surtout le signe d'un vide interstellaire écrasant.
Je conseille la lecture cependant à tous ceux qui trouvent une BD mauvaise. Lisez-ça et vous verrez, mais la pire merde vous sera tout de suite plus digeste.
Graphiquement, la plus belle BD de Miller, si vous aimez la couleur. Puisque Sin City est aussi bonne mais pour le N&B. Les couleurs sont superbes, les textures aussi, les mouvements fluides, grandioses... C'est du grand format, ça prend tout son ampleur sur des planches vertigineuses, comme celle de l'appart de DareDevil ou l'église finale. Dessins superbes, mise en couleur magistrale.
Par contre, seul et unique point faible, le scénario est obscur. On ne sait jamais où on va, ce sont les états d'âmes de DareDevil qui priment.
On voit effectivement Carmen Cru, mais aussi un mutant tiré de Dark Knight et un Clark Kent (mais là faut être tordu, c'est une scène dans le commissariat).
Ben moi j'aime beaucoup ! Revisiter 2000 d'histoire (+ ou - certes) avec ses porcs et truies immortels ... C'est génial !! ENCOOORE !!! ou plutot ... HUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII (j'imite super bien le cochon normalement)
;-)
En partance pour nulle part ... le titre dévoile toute l'intrigue !!! J'ai adoré voir ces crapauds et rats grotesques ... tellement humains en somme ...
Ptiluc nous offre une fois de plus sa vision de l'etre humain sous la forme de rats et autres petites bestiolles ...
HILARANT !!!
et tout ça pour traverser une route ... vers un monde meilleur ... ?
Ambiance noire, humour noir, des angles de vue fantastique font de choucas une serie à ne manquerf sous AUCUN pretexte !!!
Un ouvrage original. Comme il est précisé au début, cette bande dessinée s'adresse "aux kafkaïens"...
Excellent album, pour un nouvel héros qui fait effectivement penser à Vidocq. C'est amusant que dans "Les Voleurs d'Empire" (des mêmes auteurs), le personnage de Lévadé s'en inspirait également pour son passage du statut de bandit à celui de serviteur de la police. Perso, "La torpille" me fait davantage penser à Giacomo C, mi-gentilhomme, mi-voyou, expert en escroqueries diverses. Jamar demeure un véritable virtuose pour dessiner le "Paris disparu", et l'histoire est bien sympathique, même si elle manque un peu de profondeur. On verra la suite.
L'ARAIGNEE Scénar : BILL MANTLO Dessin : JIM MOONEY
Enfin cette série décolle. On découvre les étudiants bossant avec PARKER et L'ESSAIN déboule à l'université et crée une panique monstre. Le format va trés bien aux dessins de MOONEY
LE SURFER D'ARGENT Scénar : STAN LEE Dessin : JACK KIRBY
Le sacrifice d'ARDINA et la libération (mais est-ce une libération ?) du SURFER qui peut enfin s'éloigner de la Terre sont de trés beaux moments qui clôturent trés bien la saga du SURFER. Dommage que tous les derniers épisodes n'aient pas étés du même calibre.
LES FANTASTIQUES Scénar : STAN LEE dessin : JOHN BUSCEMA
Fin de l'affrontement FF/ GALACTUS dont le SURFER D'ARGENT est l'enjeu involontaire. De bonnes trouvailles et la présence de NIXON est trés amusante. Les dessins de BUSCEMA méritent vraiment un grand format !!!
Alors d'abord, le dessin me plaît beaucoup. Je trouve le trait fin, de belles courbes, précis, réaliste et détaillé. La mise en couleur est magnifique, les couleurs sont vraiment resplendissantes, c'est un régal pour les yeux.
Du côté de l'histoire, bien que ça soit assez classique (obscurantisme religieux, petit faible hors caste contre "lerestedumonde" et la société...) c'est traité avec justesse et un peu d'humour.
Ayant beaucoup apprécié "Batman. Dark Night", des mêmes auteurs, j'achetai en confiance "Martha Washington...". Mais, comment dire ? Je n'ai à peu près rien compris, et j'ai été incapable de lire réellement les dernières pages. Le dessin n'appelle pas de commentaire particulier, et si le scénario présente certaines idées excellentes, la confusion demeure trop grande... Peut-être faut-il connaître certaines données avant de commencer la lecture de ce tome, pourtant numéroté comme le premier chez Delcourt ?
Une des bandes dessinées les plus drôles et les plus intelligentes que j'ai lues. Blotch est un personnage velléitaire, odieux par ses opinions politiques, sociales, mais si grotesque qu'il suscite avant tout le rire. La restitution historique des années 30 paraît très bonne, et sert toujours la construction des gags, dont la chute est toujours impeccable. Le dessin est également très beau: les regards, des femmes en particulier, m'ont souvent frappé...
Retour d'un dessinateur trentenaire sur son adolescence toulousaine, pas vraiment difficile, en tout cas, pas plus que celle de tout un chacun: cohabitation avec des camarades rugbymen "brut de décoffrage", musique, filles... Un ton toujours gai et intelligent, assorti d'une auto dérision salutaire, et un dessin parfois dégingandé (c'est du moins l'impressio que j'ai eue) qui colle très bien au fond de l'histoire.
Le scorpion est une bonne série tant au niveau du dessin, toujours superbe, et du scénario. Je suis d'accord avec Grimm sur le fait que ce tome 4 redynamise la série et les femmes de cet opus sont vraiment superbes.
Un vrai régal à lire
Oeuvre difficile que cet Ascension du Haut-Mal. L'ayant lue à peu près en une fois, je ne me souviens plus de tous les détails de chaque volume, si un est meilleur que l'autre, alors je vais en parler dans son intégralité. Ce n'est pas exactement de la BD, plutôt un roman illustré. Le noir et blanc est superbe, et l'édition sur papier épais rend la lecture extrêmement agréable.
Bon l'histoire... C'est David B. qui raconte sa vie avec le point de vue presque omniprésent de la maladie de son frère, épileptique. Voilà.
Comme pour d'autres auteurs-dessinateurs, on pourrait penser que certaines illustrations sont plus des peintures que des dessins de BD. Mais ici elles prennent leur sens grâce au texte, elles le supportent et le transcendent. En ce sens le format BD est finalement le meilleur pour cette oeuvre un peu atypique : ni roman ni film ni BD, mais tout à la fois.
Ca se lit très vite et très bien, en restant sombre et désenchanté. Mais c'est un bonheur que de suivre les émotions que David B. nous fait partager, son humour également. A découvrir, à lire.
Désolé pour le premier avis, je ne voulais pas donner une note de 10/10 (faut pas exagerer tout de même) mais plutôt 7/10 (très bon) et puisque je n'arrive pas à modifier l'avis, je suis obligé d'envoyer ce second avis pour rétablir la balance (là, j'ai mis 5 mais on est d'accord, pour moi la série vaut 7/10 et il faut la lire).
Chapeau bas. Les dessins sont superbes, peut être un peu moins que dans le premier opus (notamment cette image où l'inspecteur recrache la fumée de cigarette par le museau, ouahou) car il manque de fonds complexes, plus fournis.
Par contre, le scénario est génial (plus complexe que dans le un qui plantait le décor et les persos et où la fin est un peu rapide à mon goût), le monde où évolue des animaux avec les tares humaines bien mises en évidence est splendide, orginal.
Bref vivement la suite, c'est génial
En une planche, les grands écrivains (principalement du XXème siècle) sont très drôlement croqués, dans des situations tantôt absurdes tantôt féroces; l'application par Freud de ses principes ou les expériences stupéfiantes de Michaux valent le détour!
La concision extrême à laquelle s'est astreint Vincent Sardon (trois ou quatre vignettes par écrivain) renforce encore la valeur de l'ouvrage et la force comique.
Les dessins sont superbes (normal, it's Marini), l'ambiance est particulièrement captivante, le jeu de couleur intéressant. De plus, les persos sont complexes, pas complétement tordus mais un peu tout de même. Et puis le scénario est bien ficelé.
Par contre, je trouve que l'histoire se termine peut être trop vite avec ce tome 4 (mais je n'avais peut être pas envie qu'elle se termine). Bonne lecture
Dans la série des Rêveurs, c'est mon préféré de Larcenet. C'est un essai, dans le sens où L'artiste de la famille est né du hasard. L'auteur l'explique très bien lui-même en ouverture : il s'agit de textes de Larcenet imprimés puis "illustrés", en réaction au texte qu'il propose la plupart du temps. Mais le thème central est bien l'art et la mécanique qui mène de la pensée à la création artistique. Larcenet se met encore une fois à nu, sans retenue, et c'est avec plaisir que ces dessins parfois inchérents illustrent des thèmes graves. A lire si on aime l'expérimental et Larcenet.
Je sais ça fait cliché... mais voilà, c'est vrai : La ligne de front est un chef d'oeuvre. Déjà, le Sigmund Freud était incroyable, drôle (très) et décalé, avec un fond grave et un discours profond, des dessins splendides et efficaces. Mais ici ça va plus loin.
Et pourtant c'est pas drôle. Ou pas beaucoup. Les couleurs semblent réelles, tactiles. Les dessins sont magnifiques et beaucoup plus travaillés qu'à l'habitude, par moments, ce sont des peintures (normal, c'est Van Gogh !), mais qui font partie intégrante de l'histoire, comme si nous n'avions pas une BD entre les mains, mais une fresque. De plus, nous avons l'histoire, ah ! l'histoire... Van Gogh n'est pas mort en 1890, et il a pour mission de dépeindre la guerre de 14-18. On est proche des Sentiers de la gloire de Kubrick (il FAUT voir ce film), car évidemment La ligne de front est antimilitariste au possible.
Larcenet est grand, car en une case, une seule, sans texte, sans onomatopées, il peut nous faire pleurer, nous faire tomber de notre chaise, nous assommer. Je parlais de peintures, et certains moments de cette BD pourraient en être, car il s'agit aussi d'une réflexion sur l'image, son pouvoir, les émotions qu'elles peuvent nous procurer. Il peut également s'agir d'un hommage aux peintres que Larcenet admire, je ne sais pas, en tout cas, il ne faut pas passer à côté de La ligne de front.
Grosse surprise : je pensais que tous les sous-produits de ce chef d'oeuvre qu'est l'Incal ne valaient pas l'original. La preuve avec la Caste des Méta-Barons, aux dessins somptueux pour histoires répétitives et sans réel intérêt. Mais cet Avant l'Incal ne manque pas de charme. Comme son illustre prédécesseur, Janjetov réussit à changer ses dessins d'une planche à l'autre, à conserver ce côté brouillon mais flamboyant. Les personnages semblent avoir plusieurs visages par exemple. Ses dessins s'améliorent et s'affinent au fil des tomes, comme souvent dans une série, et aucun ne démérite.
Mais il faut surtout souligner l'excellent travail de Jodorowsky. Ici il n'y a pratiquement que du bon Jodo, pas celui qui se perd en considérations vaines. Même si on peut décomposer Avant l'Incal en deux ou trois parties distinctes, si quelques rebondissements paraissent incongrus (à commencer par la fin qui fait de John Difool un minable alors qu'il était en fait voué à devenir un héros, mais si je vous jure), l'ensemble est cohérent et agréable, du moins pour des adultes. Il paraît d'ailleurs que cette série a été en partie censurée...
La lecture d'Avant l'Incal interpelle aussi grâce aux questions presque visionnaires que pose le monde de la Cité-puits. Métaphore de notre époque actuelle et de notre propre société, elle semble encore plus juste depuis deux ou trois ans, alors que le premier tome date de 1992 (il me semble). Et ce pour plusieurs sujets, trop nombreux pour être décrits et ne pas gâcher le plaisir des futurs lecteurs. Finalement une bonne série, réussie, mature (on est loin des délires mystiques et humoristiques de L'Incal), ludique et prenante.
J'avais acheté cette bd uniquement pour ses bonus, car je ne connaissais absolument pas cette série (ou de loin, juste comme ça).
Eh bien, je n'ai pas été déçu:
- ni par les bonus qui nous livrent vraiment plein de détails, d'anecdotes, de "secrets" sur la réalisation de l'objet bd. Bajram s'est investi pour nous montrer l'envers de sa bdet on l'en remercie ^_^.
- ni par les dessins qui sont superbes. Comparés à d'autres n&b, ceux de Bajram ont du relief. Bajram joue à merveille avec le noir, les zones d'ombres pour que la planche est une intensité.
- ni par le scénario qui offre de la grande Science-Fiction. Ce tome m'a donné envie de lire toute la série, car on sent que tout l'univers est parfaitement maitrisé et riche en rebondissement.
En résumé, ce tome est un vrai moment de bonheur.
A l'intention D'Infinitus.
Il est effectivement vrai que beaucoup de filles apprécient Love Hina, mais cela ne veux pas dire que ce n'est pas une série pour garçons! Ils y a également beaucoup de filles qui apprécient Video Girl après tout!! Et c'est aussi un shônen;
Apparement, tu ne sais pas que le shônen est un genre uniquement destiné au public masculin de la même manière que le shôjô est destiné aux filles. Mais cela ne veut pas dire qu'il est interdit à une personne du sexe opposé de s'interresser au genre qui ne lui est pas destiné! Love Hina est le cas classique du manga purement commercial qui sera à coup sur (et ça a été le cas) elu manga de l'année par sa maison d'édition. Et pour ce faire, tous les éléments du futur shônen à succès sont brassés ensemble. Si certaines filles aiment voir à quel point certaines situations de LH sont ridicules et apprécient, c'est leur problème! Je ne critique pas je ne fait que donner mon avis. Mais il faut se rendre à l'évidence, les shônen SONT et seront toujours destinés à un public masculin! Ce n'est pas dans un shôjô que tu verra une fille nue toute les deux pages de la même manière que les gars ne souhaitent pas voir un bishi torse nu à chaque case du manga qu'ils lisent.
Je l'attendais beaucoup et finalement je ne suis pas trop déçu
Le dessin d'Aurore est superbe, c'est la première chose qui m'a fait flasher sur l'album , les expressions et le postures m'ont parfois parues trop "figées" mais sinon le mix manga-européen est réussit
L'histoire quant à elle est le point le plus particulier ... Je comprends tout a fait qu'elle en aie dérouté beaucoup. Moi j'ai adoré, surtout parcequ'elle est construite totalement dans le style RPG-console-japonnais dans le pur style Final Fantasy, Star Ocean, Secret of Mana et consorts. Que ce soit dans le traitement de l'histoire, les péripéties, les dialogues, la trame tout y fait référence, et le dessin colle parfaitement
En gros, c'est réussit
mais je comprends que les avis soient très partagés
Trois jeunes femmes, colocataires venues d'horizons très différents, se retrouvent dans l'appartement d'une personne mystérieusement disparue quelques mois plus tôt ... l'ambiance devient oppressante, d'étranges suicides ont lieu juste en bas dans le métro, et de mystérieuses appartitions traînent dans la maison ...
Angoisse, horreur et fantastique, le cocktail est réussit
A la traditionnelle angoisse et histoire de fantômes vient de mêler une intrigue où les participants en cachent beaucoup plus qu'ils n'en disent
Le dessin est très fort, le suspens et l'angoisse très bien rendus, et l'histoire est excellente !
Un polar fantastique, l'histoire d'un homme qui se réveile amnésique et dont le peu de mémoire semble s'enfuir chaque nuit.
Une histoire de vampire moderne, à la sauce polar ... et ça prend pas mal
Le dessin est bon et l'histoireest bien menée, le tome semble un peu court mais globalement on pase un très bon moment ! ;-)
Je viens de lire ce premier tome de la nouvelle trilogie de Bilal, Le Sommeil du monstre, et franchement je ne sais pas si on peut appeler ça une BD. Les dessins sont merveilleux, splendides, magnifiques, c'est évident, on ne saurait approcher une telle beauté ailleurs que dans une galerie. Parce que ce sont plus des peintures que des dessins. Sur ce point, rien à dire, mais ça me donne envie de déchirer l'album et de coller chaque planche un peu partout aux murs... Les dessins sont les 3/4 de ma note.
Car pour le scénario, pardon ! C'est facile, oui, facile, de faire transporter son corps dans un double et faire des doubles doubles traîtres pour se perdre dans un scénario confus et lassant... Et puis les encarts tapés à la machine, c'est plus une BD, c'est un dossier de X-files. Contrairement aux Watchmen, c'est très mal utilisé. Par contre, l'oeuvre est VISIONNAIRE. Ecrite en 98, et nous voici en 2004, aux proies avec les illuminés décrits dans ce volume (ou presque). Pour ça, et pour l'évident amour que porte Bilal à ses personnages et leurs sentiments d'espérance, il mérite le respect.
A défaut d'adorer cet album, je dirai que j'adhère aux préceptes ici formulés.