Les avis de la bedetheque

Les volumes 6 seraient-ils destinés à raconter l’histoire de certains personnages ? Sans rire, ce vol. poursuit la présentation de l’Anti-roi Ken Lauhel/Astaré. Tout le volume lui est consacré et seules les dernières pages nous ramènent à l’intrigue d’origine que nous avons laissé au vol. 5 : c'est-à-dire les préparatifs pour le tournoi d’Aden. Nous arrivons vraisemblablement à un tournant. Tous les protagonistes ont été présenté, celui qui est le « méchant » l’est longuement dans ce volume ce qui permet de mieux l’appréhender, de mieux le cerner, de mieux comprendre certains éléments ou détails.
On reste dans une histoire classique où le dessin n’a rien de bien génial ni original, mais les caractères des personnages sont fouillés et c’est ce qui me plaît.
Je note dans ce vol. 6 une 1ère page présentant chaque personnage et ses relations avec les autres, ce qui n’est pas de trop quand 6 mois séparent les sorties des vol. 5 et 6. On remarque qu’en dehors de liens de filiation ou d’amitié, il n’y a guère d’amour… Seule Kérénisse est éprise de l’Anti-roi et Déforauge de Owen.

Voici enfin la suite de ce conte ! Nous aurons attendu presque 6 mois ! Commencée dans le vol. 5 (il est d’ailleurs bon de relire les dernières pages de celui-ci pour mieux débuter ce t. 6), nous poursuivons l’histoire de Leyana, la mère de Chaoud. On fait plus ample connaissance avec le père de notre prince sirène, le journaliste écologiste K, mais aussi avec son ami Eric (dont je sais maintenant pourquoi il m’est si antipathique). On suit la relation de K. et Leyana, tout en découvrant les pouvoirs de celle-ci et l’action des sirènes. L’histoire vire à la fable écologiste mais sans être moralisatrice ni trop gentillette. Je suppose que le prochain volume nous éclairera encore sur les parents de Chaoud et sur leur amour qui va à l’encontre des lois sirènes. En tout cas quel plaisir de retrouver cette ambiance marine ! N’empêche j’ai hâte de retrouver Chaoud et Cheyaeon ^^

Je peux lire les ecritures en Francais, mais je ne peux parler en Francais, je regrette.

I just wish to say, I've purchased the first two books on this series and enjoyed them a great deal. I almost wish they were more realistic and avoided all the Golem and magic ring business however. The story of the terrible revolutions of the late 18th and early 19th centuries are obscure to many, particularly here in N. America. And Hubert and Tanquerelle are at their best when dealing with history in particular the history of tyranny.

Wouldn't it be lovely if they collaborated to produce an illustrated bande dessine of Henri Beyle's (Stendahl) Chartreuse de Parme?

Who else could do it but those two?

Pas le meilleur des trois mais dans la lignée. La différence? De petites nouvelles au lieu d'une histoire complète. Mais encore la même sensibilité, le même humour et surtout, la même intelligence. Ne ratez pas les dernières pages, une surprise de taille vous y attend!

Aussi perfide que le premier, aussi original! Un must! À quand le troisième?

E-X-C-E-L-L-E-N-T! Pour l'humour noir, british et pour toutes ces courtes nouvelles qui mènent au meurtre, sans trop de fioritures...À offrir à celui qui adore les romans policiers, les Sherlock et pourquoi pas, les bouquins d'aliéniste...

Une jolie découverte et un bon début pour ce pur sunjung. Imaginez l’histoire de la Belle au Bois Dormant revu et corrigé. Car quand Aurore s’est réveillée au bout de 100 ans ne regrettait-elle pas sa famille, ses amies, l’époque à laquelle elle avait vécu ? L’auteur nous offre une charmante variation sur le thème non sans une pointe d’humour.

Incontestablement le début d’une bonne et intéressante série. L’histoire qui débute par l’image d’une épidémie ravageuse qui ne fait pas de distinction entre peuples distille par petites touches un discours sur la tolérance, la compréhension de l’autre, etc. Un discours plein d’humanisme et d’humanité auquel il est difficile de rester insensible. Par ailleurs le dessin de F. Peynet illumine cette histoire, lui confère quelque chose d’extrêmement vivace et sensible. Un très bon début qui me donne envie de connaître la suite.

Et l’aventure de Rainef se poursuit. La réapparition de son prédécesseur Rainef IV est expliquée et nous en apprenons long sur ce roi-démon et sur la guerre entre les êtres de lumière et les démons. Yclipt paraît de plus en plus dépassé par les évènements. Ne parlons pas des autres personnages ! Une amitié intéressante pour la suite de la série s’instaure entre le jeune Rainef et Eris. La fraîcheur ne cède pas la place au sérieux et l’humour est constamment présent. C’est un manwha sans prétention mais très agréable à lire.

Un petit mieux peut-être par rapport aux 2 premiers volumes. Les lycéens propulsés au XVIIème siècle se retrouvent peu à peu. Miyamoto commence à retrouver la mémoire (c’était pourtant plus drôle de le voir agir en amnésique), Yatsuka se « réveille » et semble vouloir tourner casaque. L’Histoire est sur le point d’être modifiée par petites touches. S’il est très intéressant de découvrir à travers ce manga l’histoire des chrétiens du Japon et de leurs persécutions, on reste dans le shojo et les problèmes de cœur sont toujours là, sans compter le téléphone portable.

Même si après 7 tomes certains des mini-récits commencent à donner une impression de répétition, le charme de cette série reste intact.
C’est un vrai délice quand plusieurs planches sans aucun texte ou dialogue s’enchaînent et où l’on se rend compte que ces scènes de silence font la vrai force de cette bd. Des pages entières d’expressions, de cadrages et de jeux d’ombres qui disent plus que n’importe quel dialogue ou texte. Le coté malsain du frère aîné, cette torture œdipienne qu’il traverse, la tourmente du père Franck, leur folie, leurs espoirs, … le tout exprimé sans un mot, rien que des expressions, des couleurs et des ombres : Fabuleux !

Quand Van Hamme et Hermann décident de se mettre à table après tant d’années on s’attend forcément à un régal ! Mais quand l’histoire commence par une tomate aux crevettes pour finalement se terminer en nœud de boudin on reste un peu sur sa faim !
C’est vrai que l’escalade de violence va tellement loin que l’on pourrait douter de la crédibilité de l’histoire, mais peut-on d’un autre côté mettre une limite à la bêtise humaine ?
Le tout est évidemment bien dessiné, même s’il est parfois difficile de distinguer les 30 différents personnages que l’auteur abandonne de façon un peu trop brusque lors d’une fin assez décevante !

Bonjour à tous,


Une bonne note car l'album m'a bien plu. Dessin agréable à la fois réaliste et dynamique, scénario qui mixe Largo Winch (Corpos) avec X (Dragons/Anges) et Highlander (immortels, très ancien chevalier mentor), trois types d'ambiances que j'apprécie particulièrement...

Terrible, bien sur ce n'est qu'un premier tome mais cette série s'annonce grandiose. Dessin, intrigue, ambiance, tout est a rendez vous pour faire un chez d'oeuvre.

C'est pas trop le genre de bd que je lit, mais la j'ai ADORE : Chef d'oeuvre pour moi, un je ne sais quoi de magique dans l'histoire. De superbe dessin en plus..

C'est avec une certaine impatience que j'attendais la sortie du tome 2 de cette très prometteuse série.

Attente récompensée par un album passionnant.

La première chose qui m'a frappé est la beauté du dessin. 4 dessinateurs différents se sont penché sur les 4 petites histoires. On connaissait déjà Sorel et Gwendal qui ont travaillé sur le premier tome et dont le talent est déjà reconnu. En revanche j'ai dévouvert Eric Liberge qui assure la scénario, le dessin et la couleur du troisième récit : Les Lavandières de Nuit. Son dessin est absolument magnifique rien de moins. Chapeau.

Concernant le scénario on retrouvre la trame du premier tome à savoir un fil conducteur entrecoupé de contes traditionnels. Dans le premier tome on suivait le romancier Guillaume Cadic dans sa quète de l'ankou, dans ce tome c'est sa fille qui découvre les recherches de son père. L'histoire est une nouvelle fois très intéressante et très plaisante à lire.

Vivement le tome 3 avec au dessin Olivier Ledroit

Merveilleux dessins, certes à ne pas mettre dans toutes les mains, mais quel artiste! (Pascal)

Le dessin d'Uderzo est à son apogée, tant par le style réaliste que par les chaudes couleurs de l'Afrique!! Ajoutez à ça un scénario du plus grand Charlier et c'est une réussite de plus pour cette série! (Pascal)

François Craenhals est un homme de coeur...Il dessine ses sentiments, comme il est; fort, généreux et eternel! Il s'est représenté lui-même sous l'apparence de Gaudin et Bradroc, dont il parait avoir les qualités...Son Ardent du Walburge est la representation, sans doute de ce qu'il aimerait être: Un héros écorché devant l'injustice, prêt à toutes les quêtes, rêvant de bruler ses ailes à la flamme des amitiés nouvelles...
Cette série, dessinée à la perfection est à mettre dans toutes les têtes, en esperant que les sentiments qui s'en dégagent s'installent et se propagent...(Pascal)

Victor Hubinon, bien aidé par Albert Weinberg nous livre là un reportage sur le "vif" (si on peut dire)
Avec le recul, on comprend pourquoi cette bd fut interdite longtemps tant son réalisme était choquant, pour l'époque...(Pascal)

Un super dessin, qui ravira les admirateurs d'Hergé, par son style approchant,+ un scénario digne d'Indiana Jones (!)A quand une suite ?(Pascal)

Si vous avez la chance de dénicher une édition originale avec "le carnet de route" ne vous privez pas de l'acheter! Vous passeriez à côté d'un monument du 7ème art! (Pascal)

Non mais je rêve?

La série s'arrête?
Il faut OBLIGER Daniel Desorgher à se remettre au travail! On attend vraiment la suite de cette série exceptionnelle! (Pascal)

Non mais sans rire, ce scénario est digne de Mary Higgins Clark!!!
De plus, les personnages féminins sont décidément tres réussis esthétiquement!!! (Pascal)

Bravo Marc Wasterlain, pour ce scénario à rebondissements, dont on espère une suite...Décidemment, on a là un merveilleux conteur qui fourmille d'idées!!!!

(Pascal)

Cette BD dessinee par Pascal Garray, doit ravir Peyo du nuage où il réside...La magie est intacte...Vivement le prochain!!!!! (Pascal)

Le meilleur tome de la serie pour moi. On retrouve avec plaisir Pandora, on en apprend un peu plus sur le passé de Duncan.Le rapprochement avec Arcane Majeur se fait de plus en plus. L'histoire sera en 2 tomes et en tout cas ce premier tome est tout bon, on retrouve les ingrédients qui font le succes de la serie et même plus avec une ptite enquete policiere. Le dessin s'est encore amelioré. En tous cas vivement la suite.

Je suis une nouvelle fois ressortie sceptique et insatisfaite de ma lecture. Il y a beaucoup de matière dans l’idée mais le développement ne m’inspire pas. Autant le premier opus me paraissait prometteur, autant les 2 tomes suivants me paraissent fades. On part tout à coup dans une quête (à la fois identitaire et vengeresse) qui aboutit tout à coup, trop brusquement. Les explications ne sont pas convaincantes, je les trouve « trop faciles ». J’ai trop l’impression de « coupes », de sauts voulus ou non. Ceci dit l’idée est bonne mais, pour moi, ce n’est pas une grande série inoubliable. Je n’ai pas trouvé l’accroche !

Enfin ! C’est le mot que je choisirai pour résumer mon opinion. Nous terminons enfin l’aventure dans le Mugenjo et ce n’est pas trop tôt. Je m’en lassais. Par ailleurs je n’ai pas trouvé qu cela apportait beaucoup à l’histoire générale. Bien sûr on en apprend long sur Ginji l’empereur de la foudre, mais à la fin quelle impression de vent brassé ! Enfin cet épisode est achevé et nous allons (je l’espère) suivre Mido et Ginji dans d’autres aventures de récupération.

un recueil de nouvelles qui m’a laissé une douce impression. Chaque chapitre s’arrête à une histoire particulière dans laquelle on retrouve la grâce fragile et la force des personnages d’Okazaki. Incontestablement une grande mangaka !

Incontestablement, c’est le manga qui m’a le moins plu. J’ai eu bien des difficultés à comprendre les deux derniers chapitres dont les histoires semblent différentes de celle des précédents. Bref, déçue pour celui-ci.

Déclic amoureux est une jolie petite perle parlant tant de photographie que d’amour, d’instants volés, d’images capturées, de cœurs en floraison et d’amours en suspension. Tout est traité avec brio et sensibilité. Les états d’âmes des trois filles sont transmis avec délicatesse et franchise. Un petit bijou.

BX m’a encore plus conquise. Quelle belle histoire, quelle narration prenante ! on se laisse emporter par ce morceau de vie où la boxe tient une palace importante, où la sensualité brute d’une peau nue tendue dans l’effort émeut profondément. Les sentiments et les désirs de l’héroïne touchent, on les sent à fleur de peau. C’est magnifique tout simplement et les pages finales ont quelque chose d’incroyablement romantique.

Rien à faire, cette courte série ne m’accroche définitivement pas. L’histoire m’a paru sans nul intérêt. Peut-être aimé-je trop la mythologie pour accepter que les protagonistes ne fassent qu’évoquer légèrement les créatures qu’ils rencontrent. Peut-être n’ai-je pas lu de la bonne façon, avec la bonne approche (ou la meilleure des approches). Bien sûr les points essentiels y sont mais tout m’a paru trop facile, sans surprise, sans piment. Seules la représentation des Gorgones m’a plu. Car niveau graphisme aucun enthousiasme criant n’est venu agrémenter ma lecture. Très très moyen comme série.

Le graphisme est très beau et retrancrit a merveille l'époque et l'ambiance (quelle beauté cette Jeanne). Les persos sont authentiques.
Néanmoins je reste un peu déçu et ne partage pas l'enthousiasme des autres avis sur le scenar. C'est d'un niveau téléfilm consensuel mais pas plus haut. Je trouve le rythme un peu faible.

J'ai beaucoup aimé cette suite. Le ton est toujours aussi léger et pas prise de tête tou comme dans le premier. L'ambiance nous fait rentrer dans l'histoire sans problème. Bref un bon moment de détente après le boulot ça fait du bien.

"Série" qui a le mérite de mettre en lumière des évènements historiques récents habituellement banalisés ou, au contraire, oubliés. Le fond documentaire est correctement fouillé et les dessins savent ne pas omettre le petit détail qui fait toute la vraissemblance. Difficile actuellement de réunir tous les tomes. Il faut dire que le tirage a été faible et qu'il n'y a pas eu (et il n'y aura pas) de réédition...

Bonne BD, originale et imaginative. Mais que l'éditeur est brouillon ! Jusqu'à 3 éditions différentes du même volume, des intégrales partielles qui se chevauchent (1.2.3 puis 3.4.5) alors qu'il y a 6 volumes et que la série a été réalisée en (seulement?) 10 ans...
Difficile d'avoir une série homogène ds ces conditions et ça, c'est pas beau dans ma bibliothèque !!!

Quand Swolfs renouvelle le genre western spaguetti et l'adapte à la bande dessinés, c'est tout simplement prodigieux. Cette série a ouvert de nouveaux horizons que ce soit en matière de dessin, de scénario. A l'époque, elle est sortie dans les années 80, c'était une révolution. Un grand coup de chapeau à cet auteur qui a su depuis, mettre son talent au service de séries qui sont toutes des best-sellers.

Callede et Denis avaient ouvert la voie de la bd cinéma avec Comptines d'Halloween. On lit la bd comme on regarde un film. Le suspence et l'action sont servis par un scénario diabolique et des dessins très bien amenés. Enchainés est sur la même longueur d'onde avec un dessinateur qui fait partie de cette nouvelle génération de trentenaires qui s'imposent et revisitent le genre.

Avec le premier tome des aventures de Lincoln, un nouveau genre était créé : le western humoristique avec des dessins proches de ceux de Fred à l'époque de Philémon. Du sarcasme, de l'humour noir et une bonne dose de liberté colorent cet oeuvre qui deviendra très vite une référence. bravo aux créateurs et longue vie à cette édition Paquet qui donne une chance à de nouveaux auteurs talentueux.

Sombre, sanglant, sans pitié ........... en un mot "rainbow".
Manga sans concéssion et ultra réaliste, Rainbow vous plonge dans un univers froid et clos. Ce manga ne vous fera sourir à aucun moment, car les héros subissent, et souffrent des agrétions de leur maton.
Un des manga les plus réaliste que j'ai lus. Les déssins sont tout simplement "nikél" et colle parfaitement a l'ambience opréssente que doit dégagé ce titre.

Je lui aurai mis un 10/10 si j'avais pus lire l'intégralité de l'euvre pour avoir une vus entiére du scénario.

Acheté le, c'est vraiment que du bonheur!!!!! (Quoi que)

Exxxellent manga !!!! J'ai acheté racaille blues un soir de déprime car je trouvé plus que de la BD science- fiction ou éroique-fantaisie et pour étre franche sa me gonfle passablement de lire des avantures pompent toujours dans les mêmes idées. (Tolkein, lovercraft ext......)

Y me fallai du frais, quelque chose sortant de l'ordinnaire; c'est à dire réaliste.
Et surpris !!!!!! je vois écris "racaille" tout a fait mon style!!!! :-))
J'achéte les yeux férmés et depuis 1ans je continu a férmé les yeux sur le prix, car j'adore y à pas à dire.

Vive Morita !!!

Fan de BD de Yankee, je conseille Worst car il est tout simplement trés bon au point de vue des relation entre gang, mais malheuresement on a toujours l'imprétion d'avoir a faire l'homme le plus le plus fort du monde, les combats sont tros rapides et pas assé détallié.

Mais Worst vo vraiment le coup. :-))

Cette série est vraiment déroutante mais vaut largement l'investissement (en temps et en cogitations). Ambiance, dessins, mystères, forte dose d'originalité, interprétations multiples, narration fluide même si l'intrigue reste en première lecture assez ardue à suivre et à assimiler ... au final une vraie bonne surprise.

Encore un bon album de la collection "caractere" de chez Glénat. On se laisse facilement embarquer par ce proces qui scelle le destin de deux familles que tout reunissait. Le scénario en sommes classique; ou amitié, amour, jalousie et haine s'entrecroisent; est mené tambour battant, j'ai décroché à aucun moment tellement l'histoire est prenante. Le dessin quant à lui est tres réaliste et campe bien le décor.
Je replongerai facilement dans un tome 2.

Format original, dessins hyper chiadés (même si le côté informatique rend le tout très artificiel).

Acheté par attirance pour l'univers Sherlock Holmes, j'ai été quand même un tantinet déçu par le côté super-héros des personnages... Le fantastique, l'ésotérique, ok, mais bon... arrêter le temps et tout le reste, c'est plutôt bof!

Sinon, l'histoire est quand même assez bordélique, ça part un peu dans tous les sens. Je vais en rester là moi aussi.

Un super melange de guerre et de magie, c'est vraiment du tout bon, le scenario est beton : on suit le parcours d'un jeune soldat ( ces victoires, ces angoisses ) de plus les dessins sont fabuleux :)

Le deuxième tome, lui, est légèrement en deça, avec beaucoup de cases redondantes de notre "héros" parcourant les couloirs en quête de sa moitié... La fin déçoit également un tantinet, mais l'ensemble distille tout de même suffisamment de poésie et de folie douce pour contenter les amateurs de Dumontheuil. Les indécis feraient tout de même mieux de commencer par "Qui a tué l'idiot".

Très agréable surprise!
Pourtant, le dessin est moins travaillé que dans le désormais classique "qui a tué l'idiot" ou les autres tomes de Dumontheuil ("Malentendus"...). L'auteur semble avoir opté pour un approche plus naïve du dessin, délaissant ce côté réaliste qui plaisait tant ses précédentes oeuvres, donc on démarre cette série avec un a priori plutôt négatif.

Pourtant, nos doutes sont balayés en quelques pages: imagination débordante, petites tranches d'absurde ordinaire (une photo devenue floue à force d'être regardée, Brassens jouant dos au public dans un cabaret "qui n'existe pas", un cheval sans corps, un crieur de journaux à la mémoire courte...), le premier tome se dévore littéralement!

Si le but de cette fin de cycle est de donner suffisamment d’informations pour pouvoir clôturer le cycle, tout en gardant une bonne dose de suspense pour le second, c’est plus que réussi ! En referment ce cycle on est partagé entre le contentement d’avoir appris énormément sur les liens qui lient les Stryges aux humains et une impression de manque qui appelle à la lecture du second cycle ! Le scénario reste passionnant, l’intrigue bien ficelée et l’ambiance créée par le dessin colle parfaitement à l’histoire !

J'ai adoré Requiem. J'ai vraiment flashé sur l'univers, les personnages, l'ambiance. Alors, je me suis penchée sur Claudia... Quel malheur ! Une horreur. Le Dessinateur semble débuter avec un crayon, le dessin est tape à l'oeil (difficile à croire sachant que c'est Ledroit qui s'est occupé de Requiem.) L'histoire est décousue, franchement moyenne, voire carrément enquiquinante. Une terrible deception aprés l'engouement de Requiem. A croire que Nickel en publiant cette deuxième série voulait faire... des sous ! Oui, car si le scénar est de Mills, il est bien loin de ce que ce dernier a pu faire ces dernières années (du bon vous dis-je, il a fait du trés bon !)A moins que ce soit parce que je ne suis qu'une fille et que cette Bd pleine de Nana à poil s'adresse avant tout à des mâles (prépubères?)
Je suis dure avec cette série ? C'est qu'il est difficile d'être plus déçu.

Je trainais dans le rayon nouveauté de mon libraire préféré quand mon oeil a été attiré par ce personnage mysterieux qu'est simon radius. J'ai feuilleté et j'ai été impressionné par la qualité des dessins et surtout le soin des détails. Cette bd developpe un nouveau concept d'enquete policière et la manière de les résoudre du héros est plutôt inédite. Je ne saurai que la recommander !

Je suis un homme au foyer, j'ai 3 enfants, 1 épouse cadre sup. Je n'ai pas
exactement les mêmes défauts que Adam (je sais cuisiner, moaa...), mais au
final, c'est tellement bien vrai, tellement drôle, tellement vécu !
A mettre entre les mains de tous les conjoints qui ne comprenne pas ce qui se
passe à la maison en leur absence.
Je n'ai pas encore les 6 tomes, vite...

Ce sixième tome conclue brillamment le premier cycle. Le dessin et le scénario sont toujours aussi réalistes (navires, costumes, les décors, etc). Même si je ne serai jamais un grand amateur du genre (bateaux, pirates), ce cycle m’aura procuré un bon moment de lecture avec un scénario agréable et même passionnant par moment et un dessin irréprochable !

Un tome 3 qui distille quelques réponses aux nombreuses questions que l’on ne peut s’empêcher de se poser dès la lecture du premier tome. Le mystère reste néanmoins entier et l’histoire de plus en plus captivante.
Côté dessin, j’ai particulièrement apprécié l’ambiance locale qui ressort du dessin lors de l’expédition en Amérique du Sud et dont les couleurs du décor tranchent très bien avec le reste de l’histoire. Le fait de garder quelques dialogues en espagnols ajoute encore un petit plus à cette ambiance sud-américaine que l’on avait déjà pu palper lors du premier tome dans le restaurant mexicain. Excellent.

Des dialogues excellents qui font penser aux dialogues de Pulp Fiction sur le Mc Donald. Le scénario n ‘est pas du niveau du "Tueur", mais cela reste quand même un tout bon polar. A noter que le scénario du tome 2 est de meilleure qualité que celui du tome 1, ce qui est prometteur pour la suite.

Absolument superbe. Premièrement le desin est toujours aussi magnifique rien que pour ça c'est une série que je continuerais à suivre. Ensuite l'histoire se poursuit de manière passionnante. Notons au passage l'arrivée d'un nouveau personnage qui devrait jouer un rôle très important dans la suite de la série. L'intrigue évolue très bien et on a pas mal de révélations sur Jin et ce qu'il est réellement tout en conservant une grande partie du mystère. Bref vivement la suite.

Un volume de plus pour rien. L'histoire n'avance pas d'un pouce et l'humour est de plus en plus lours. Décidément cette série passe de plus en plus de série prometteuse à grosse déception. Cette il y a un élément à la fin sur le passé de Yongbi qui pourrait permettre de mieux le cerner mais il va falloir attendre la prochain tome pour voir comment celà va être traité.

Au premier abord, je vous avoue que j'étais assez réticent à l'idée d'acheter cette bd. La raison était simple : le dessin ne m'emballait pas plus que ça.
Et puis, en voyant les avis très positifs exprimés sur cette bd
(merci Kaël et ThePat ), j'ai outrepassé mes appréhensions et je dois dire que je ne le regrette pas !

L'auteur, Arthur Qwak nous offre une histoire passionnante qui met en scène une prostituée qui va être enlevée par des extra-terrestres. A partir de là, la tournure des évenements va évoluer pour nous donner ainsi une histoire palpitante et non dénuée d'humour. Le début du récit m'a semblé un peu confu mais après quelques pages, la trame devient beaucoup plus clair. Très intelligement écrit, cette bd ne manque pas d'originalité. On suit les aventures de Lola avec beaucoup de plaisir et je dois dire qu'en fermant l'album, j'étais un peu triste que ce soit terminé. La narration est parfois un peu crue mais vu la profession de notre héroine, c'est tout à fait logique.

On ne peut pas dire que le dessin d' Arthur Qwak soit laid bien au contraire, certaines planches sont vraiment superbes.
Je dirais plutôt que son graphisme est déroutant. Je pense que cela est dû au fait que l'auteur utilise plusieurs techniques différentes pour réaliser ses dessins.
Mais bon, j'ai pû constater que l'on s'habitue très vite à sa manière de travailler. Une chose est sûr : Lola est très jolie, un vrai régal pour les yeux.

La singularité de ce one-shot est évidente. Grâce à cet album, on peut dire que du sang frais coule dans les veines de la bd !
Laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas !
C'est à suivre.................sans attendre !

Si l'on peut reprocher à Parabellum un dessin qui aurait mérité d'être un peu plus fignolé, force est d'avouer que le scénario est solide. Sur un thème (et une époque) assez peu exploité, les auteurs ont réussi à développer une histoire solide à laquelle on accroche vite et dont on ne se sépare qu'à regret. A recommander !

Oui, j'ai déjà dis que Tardi est génialissime.
Oui, il a initié un genre.
Mais le style fumé de chez fumé de cette série cela n'existe que chez Tardi (ou presque). Cela n'a ni queue ni tête et c'est pour cela qu'on l'aime.
Adèle aurait du mourir 10 fois en 8 albums ? Normal, c'est l'héroine.
Allez, tout le monde est d'accord pour dire que c'est un chef d'oeuvre. La preuve, ils furent même édité au format Librio (comme Kant) c'est dire si cette série est culte.

Les premiers tomes de la série sont vraiment bien. Mais le temps de connaitre les personnages et l'intrigue, 10 tomes se sont écoulés et l'on commence à trouver le temps un peu long.
Même syndrome que pour d'autres manga comme "Hunter X hunter" par exemple.
Mais si vous avez l'occasion de les lire, ne vous privez pas.

Bien sur, l'on commence toujours par poster ses avis sur ses BD favorites.
'10/10 : Chef d'oeuvre' bien entendu. Je suis le premier à le noter. C'est bien ça ma grande surprise.
"120 rue de la gare", c'est le polar par exellence et le style graphique de Tardi colle si bien au personnage de Nestor Burma qu'il est difficile de se le représenter autrement.
Un scénario parmi les meilleurs de Léo Malet et 190 pages qui passent en une soirée.
Art Spiegelman dit de Tardi qu'il fut aussi important dans l'évolution de la BD que le furent Truffaut et Goddard pour la nouvelle vague. Si après cela vous n'ouvrez pas cette BD, je ne peux plus rien pour vous.

J'ai vraiment ADORE les deux premiers tomes de la série ! Après le troisième je trouve que cela s'essouffle un peu et franchement je n'accroche plus du tout. Je ne retrouve pas dans les derniers albums l'esprit des premiers. Mais bon ça vaut le coup de la lire ;p

la nouvelle génération de bd humour de chez soleil... l'univers inépuisable de
l'enfance, les gags a répétition, sortis de l'imagination débordante de
deux...petits diables. le garcon naïf subit sa soeur manipulatrice et profiteuse,
on ris de bon coeur, d'autant que c'est quand meme relativement débile.
les dessins sont parfaits pour la bd humour, et les couleurs font tres enfantines.

bd interessante du point de vu historique, vu que Berheim est a 1/2 km de chez
moi :) .
mais ca s'arrete la...le scénarion est moyen, les dessins a la limite du moche;
seules les couleurs vont bien avec l'époque et l'histoire.
vite lue, vite oubliée...

Ce huitième album de la série est toujours aussi sympathique, l'humour est toujours présent, bref on passe un bon moment. Cependant on aimerait tout de même rentre davantage dans l'intrigue principale, en apprendre plus sur nos personnages et surtout sur Zick, son pouvoir, sa famille et ce que l'on semble vouloir lui cacher à tout prix.

J'ai beaucoup aimé cet album. L'intrigue est bien menée, on en apprend pas mal sur le personnage de Makabi et de son passé. Les personnages sont vraiment très intéressants et complexe. On a encore pas mal de choses à apprendre notamment sur la famille de Makabi et ce dernier mais pour le moment ça tiens bien la route. Bref voici une série que je conseille vivement

Voici une bd pas ordinaire qui a influencé pas mal de bds actuellles. En effet, steam-punk et paranormal se mélange dans ce premier tome qui est une histoire complete. On apprend un peu sur ce mysterieux docteur qu'est le docteur Koblenz au fur et à mesure de notre lecture.
Cet enigmatique docteur Koblenz, accompagné de la troublante Clara se rendent chez un entrepreneur pour resoudre une sorte de "malédiction". Ce genre de "contrat" est vital pour notre héros car cela permet de "regénéré" son coeur mécanique, mais tout à un prix, dix ans de vie en moins pour celui qui fait appel à lui...
Un premier tome interressant qui donne envie de lire la suite. Le dessin de Roblin m'a beaucoup plus, et les dialogues vont à l'essentiel.

je trouve ce tome trés intérésant.
la fin laisse vraiment du suspense.
cela donne vraiment envie de lire le prochain tome.

Comme toujours avec Hermann le dessin et les couleurs sont irreprochable , niveau histoire c'est assez classique on suit 2 jeunes freres dont la famille a été exterminé et qui essayent de survivre dans ce difficile pays qu'est le bresil de cette epoque, pas de surprise au niveau du scenario mais un bon moment de lecture

On dirait que " La Matrice" a été calquée sur ce scénario. Qui est venu avant? L'oeuf ou la poule? Dangereusement inquiétant! À lire absolument!

Fin d'une série excellente. Je ne vais pas revenir sur les différents aspects positifs évoqués ci-dessus, mais juste les pondérer par cette petite critique: les personnages, sutout secondaires, sont très souvent difficiles à reconnaître, ce qui embrouille l'histoire à plusieurs reprises et entraîne aps mal de confusion. Dommage. Sinon, l'histoire et le reste du graphisme sont nickel.

Pour faire court :
On y retrouve l'humour des bd's, de très belle illustrations et le texte est bien espacé pour rendre la lecture plus agréable.
Pour ce qui est des règles, elles sont simples (presque trop) et quelque fois déplaisantes (enfin pour les rôlistes puristes comme moi) mais il y a tout de même de bonnes idées.

La feuille de perso se présent sur un seul coté de page et est assez jolie. On y retrouve ce dont on a besoin pour notre personnage.

Conclusion :
Si vous êtes fans des bd's, ça vaut la peine de vous payer ce jeu pour passer du bon temps avec vos amis (le monde et l'ambiance de Troy y est bien rendu).
Si vous êtes fan de jdr (sans vraiment connaître Lanfeust de Troy) et que vous voulez vous acheter un nouveau jeu de rôle, regarder pour autre chose ou alors payez-vous les bd's de Lanfeust de Troy à la place.

Bref, il ne faut pas acheter ce jeu pour les règles mais pour le plaisir de jouer dans le monde de Troy !

L'histoire est relativement classique mais l'univers décrit est riche et intéressant. L'intrigue est bien mise en place et les personnages plutôt intéressant. D'une manière générale ce n'est ni mauvais ni passionant c'est simplement bien. On passe un agréable moment sans se prendre la tête.

série tres médiocre, banale a souhait, insipide et ennuieuse. les dessins st
moyens, les couleurs n'ont pas de personnalité et n'apportent pas grand chose
en plus du dessin.

un peu en dessous du premier tome a mon gout. les couleurs de Poli sont plus
plates que celles de Bellaoui. la fin nous laisse vraiment en haleine, et coupe
l'action brutalement; vivement le tome 3.

le design tres soigné de cet album en fait un tres beau livre, et lui confere une
importante atractivité.
le style de dessin de Poli est vraiment original, les planches sont dynamiques et
animées. quand aux couleurs, elles sont sublimes! Bellaoui a fait un travail
exeptionel! le coté "couleurs terreuses" correspond parfaitement a cet univers.
cet album campe bien les bases de l'histoire, et ne laisse rien parraitre de la
suite des évenements.
pour tous les gens qui ne sont pas encore las de l'héroïque fantasy, bien que cet
album vaut bien plus que toutes ces séries pastiches et insipides du genre.

très bonne bd! les dessins sont tres beaux (ils évoluent du dessins encré aux
planches presque entierement aquarellées); les couleurs rendent tres bien
l'ambiance chaude et humide de cette amérique du sud. les angles de vue, les
paysages et les expressions sont tres réussis. les personnages sont tres
atachants, et les émotions (fortes!) passent tres bien.
le scénario quand a lui, malgé une certaine platitude de premier abord est riche
et vraiment réussi! le voyage intérieur de l'héroïne est admirablement narré.

On ne peut appeller ceci une vraie bd..Ce sont de superbes portraits de femmes imaginaires mais très réelles cependant . Portraits aux crayons et pastels . Merveilleux!

Vraiment sympa comme album ! J'ai beaucoup aimé l'ambiance, et la transposition de ce réçit classique à la SF est, je trouve, plutôt réussie. Quant aux dessins je les trouve superbes, surtout les vaisseaux et les séquences spatiales qui sont tout bonnement magnifiques !

J'ai été assez dérangé par cet album. Je ne sais pas trop si j'ai aimé ou pas en fait ... J'ai trouvé le scénario plutôt bien écrit et bien pensé, plutôt entraînant. Mais le tout reste assez glauque et le dessin est bien adapté à la chose, c'est le moins qu'on puisse dire.
En tout cas un album intéressant, ça vaut le coup de jeter un oeil pour se faire sa propre opinion je pense.
Personnellement je ne regrette pas mon achat, même si je me suis retrouvé un peu surpris et quelque peu piégé par l'album (mais peut être est-ce le but ?)

Petite note pour les collectionneurs : l'album a été tiré à "seulement" 5000 ex.

Une histoire somme toute plutôt banale... dans le fond c'est clair que ça manque d'originalité, et d'ailleurs le scénariste ne s'en cache pas.
Non ce qui fait la force de l'album c'est sa forme. Bien sûr je comprends que ça puisse déplaire, tant de texte, qui recouvre parfois trop les superbes planches en couleurs directes auxquelles nous a habitué le grand Hermann (oui je suis fan et j'en redemande !)
Mais personnellement j'ai été captivé par le réçit, et j'ai trouvé ça très bien écrit. Bravo !
J'attends avec impatience le projet sur Dracula des mêmes auteurs !

J'ai beaucoup aimé ce réçit, avec son rythme particulier, sa narration intéressante, et le sujet plutôt original. Le dessin n'est pas extraordinaire, mais je l'aime bien, et je trouve la mise en couleur plutôt réussie. Bon évidemment ce n'est qu'une mise en place, il y a tout de même pas mal de choses à poser pour commencer son réçit. Mais je pense que ça devrait donner une bonne histoire. J'ai hâte de lire la suite ! En tout cas je ne regrette pas mon achat, je suis surpris de lire tant d'avis mitigés... suis-je le seul à avoir vraiment apprécié ?

Mon avis sur Vieille Amerique : ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais c'est un one shot bien réalisé.

Je l'ai trouvé trop court ou trop condensé plutôt...J'hésite... Une impression de voir trop de scènes assez violentes détaillées au détriment du scénario et de la continuité de l'histoire

Comme si l'histoire avait été écrite pour tenir en 2 tomes et qu'on avait tranché pour la faire tenir dans un unique tome en privilégiant les scènes d'action...

Dommage donc, car l'idée est originale, le dessin également et les couleurs très belles.

J'ai découvert cette bd sur les conseils d'un ami. En feuilletant, un des albums, j'ai tout de suite été séduit par le dessin de Mandrafina, et finalement le scénario s'est révélé aussi convaincant que le graphisme.

A travers des mini-récits, Carlos Trillo, le scénariste, nous présente ce que l'on pourrait appeller une comédie de moeurs. L'histoire d'une famille d'immigrés italiens (les Centobucchi) dans l'Amérique d'avant-guerre. Le résultat est très réussi. Les personnages principaux sont cinq frères et soeurs qui sont totalement différents dans leur façon de vivre. De ce fait, leurs relations sont parfois houleuses et c'est ça qui fait tout le charme de cette bd, car ce récit est traité avec une certaine cruauté et surtout avec beaucoup d'humour. Les héros ont une vraie dimension, ce qui les rend attachants. On partage avec eux leurs espoirs, leur projets et parfois leur folie et ce n'est ma foi pas désagréable.
Personnellement, j'ai un faible pour Franck, le curé et Carméla, la femme au foyer à la double vie. Ceci dit, les autres membres de la famille sont aussi craquants.

Le dessin de Mandrafina est très beau. Les cases sont assez petites, mais cela met bien en valeur les expressions des visages. Ces derniers sont d'ailleurs assez réussis (surtout celui de Franck, le curé, argh... j'adore !). J'ai été séduit également par les jeunes filles que l'auteur dessine, elles sont pulpeuses mais sans vulgarité. En somme, un graphisme plutôt réussi .

C'est donc avec beaucoup de logique que je vous conseille l'achat des "Spaghetti Brothers". Vous ne serez pas déçu. Ces albums sont des petites merveilles de cynisme, d'humour et de réalisme.
A suivre !!!


PS : Je signale que si vous êtes interessé par la version N&B, il faut savoir que le dernier album est un peu plus faible d'un point de vue scénaristique. Il faut simplement le considérer comme un album bonus, où on nous fait partager les confessions des paroisiens de Frank.

Grâce au dessin de Lepage on s’enfonce au cœur de cette jungle, au milieu de cette tribu, se retrouvant presque dépaysé en refermant cette bd.
Au niveau du scénario tous les ingrédients sont présents : une guerre mondiale à l’arrière plan avec l’extermination du peuple juif et la parallèle avec cette tribu à la recherche d’une nouvelle terre, la recherche de l’équilibre et de la sagesse interne de plusieurs personnages au milieu de cette jungle perdue, etc … et pourtant en refermant cette bd on a vraiment l’impression que Sibran nous a fait passer à coté d’un chef-d’œuvre.
Aucune partie de l’histoire, aucun détail n’est accentué ou mis en valeur, ce qui rend l’histoire trop fade, sans rebondissements, sans suspens et presque tirée en longueur. Dommage !

A la base, une réflexion politique et sociale qui au fil des années ressemble de plus en plus à un récit historique et c’est bien là que se trouve la grande force de ce chef-d’œuvre. Un scénario excellent de Van Hamme et pour lequel il faut apparemment remercier un certain Albert (voir l’intro de l’intégrale). Je n’ai qu’un conseille : achetez-le vite, temps que vous êtes encore libre de le faire …

Que dire de Coq de combat à part qu'il n'est pas à mettre entre toute les main surtout les plus jeune.
C'est violent, et ultra violent, de plus la psycologie des personnages est tres poussée.
Ce manga est un grand succes au japon mais je pense qu'il n'égalerat jamais le nombre d'exemplaire vendu en france.
C'est un manga tres noir, sombre et violent mais si vous avez plus de seize ans, fonce acheter ce titre

autant j'avais adoré les deux premiers tomes, autant le troisieme m'a laissé sur la fin, je trouve dommage cet album ou la parlotte prend trop de place par rapport à l'action et je trouve que la revisitation de l'histoire humaine n'amène pas forcément grand chose à l'histoire de yann... j'espere que le 2e cycle fera rebondir cette histoire qui partait tellemnet bien...

L'histoire

Nakanishi, délinquant tout droit sorti de la maison de redressement, essaie en vain de se libérer de son passé de voyou.

Son nouveau job ne lui procure aucune satisfaction et il doit sans cesse subir les provocations de son patron. Un jour, une connaissance anonyme du Net lui propose de participer à un jeu mystérieux pour se libérer de son stress : Duds Hunt.

Chaque participant est équipé d’un téléphone portable, baptisé le pointeur, ainsi que d’un PDA lui permettant de localiser ses adversaires, mais aussi d’être repéré.

Le but du jeu : récupérer le pointeur de l’adversaire, chaque prise rapportant 100 000 yens. Une seule règle : tous les coups sont permis…

Voilà une histoire bien ficelée où le passé rattrape notre protagoniste. L'intensité monte rapidement et les retours-arrières sont bien amenés ainsi le lecteur ne perd pas le fil conducteur. Les dessins sont très clairs et les dialogues bien posés. Un manga à lire absolument.

Le dessin de Sanchez change de ce qu'on trouve habituellement, et c'est tant mieux ! Ensuite on aime ou pas, mais on ne reste pas indifférent. Quant à l'histoire, que serait elle sans Camilo ? Un personnage tout en finesse... qui ne connait pas la demi mesure. J'attends déjà avec impatience le tome 2 !

à JJ Sanchez : Pas facile de rester concentré avec un hérisson volant en face de soi... ;)

Avec le passé de Guts la série prend un autre tournant avec des révélations sur certains personnages et sur les épreuves ayant forgé la personnalité de Guts. C'est très bien fait, les nouveaux personnages sont intéressant et très travaillés, bref on passe un très bon moment. C'est vraiment une série qui s'améliore de plus en plus.

Un seul mot pour caractériser cet album: onirique.
On ne sait pas si on est dans le rêve ou la réalité.
Ce qui arrive à Johan est vraiment étrange et chacun peut l'interpréter selon son imagination.
Des répliques qui font mouche: "je me disais aussi que tu semblais moins nombreux que tout à l'heure" (p.24) etc.

Je pense que c'est le genre de BD à laquelle on adhère ou pas, il n'y a pas de demi-mesure.
Moi j'aime beaucoup.
Un bon expresso.

Créer une histoire mettant en scène un héros muet est une chose peu courante. Pourtant, Les auteurs ont relevé le défi, et le résultat est plutôt réussi.

Pascal Bertho, le scénariste, nous offre un récit très intelligement écrit. Avec une certaine pudeur, il nous raconte comment un acteur muet fût injustement accusé du meurtre de son épouse. Quinze ans plus tard, grâce à deux journalistes, ce fait divers est à nouveau sous le feu de l'actualité.
Sans pour autant être transcendant, "La Voix" tient toutes ces promesses. On partage la souffrance de cet homme meurtri qui essaye de vivre avec ses démons du passé. Le personnage est très attachant, et on devine toute la colère qu'il a accumulé pendant toutes ses années. En toile de fond, on nous immerge dans l'Amérique des années 20 et plus précisément dans le milieu du cinéma, au début du parlant.
La trame est bien construite et le résultat est crédible.

Spécial est le qualificatif qui me vient à l'esprit pour parler du dessin de Korkydü. Son traît est parfois grossier et maladroit, mais ceci est compensé par les ambiances qui sont tout à fait réussies. Les expressions des personnages sont, elles aussi, très bien rendues. Harpovich, le personnage principal est expressif à souhait, et les autres protagonistes du récit ont un aspect plus caricatural mais sont néanmoins tout aussi sympathiques.
Les couleurs de Aifelle ne sont pas à négliger. Les tons chaleureux sont dominants, ce qui donne un côté apaisant à cette bd.

La collection Equinoxe s'enrichit de plus en plus de titres intéressants. "La Voix" ne faillit pas à la règle.
Je vous conseille cet album. Le sujet est traité avec subtilité, et ça c'est bien !

La première chose qui m'est venue à l'esprit en voyant cet album c'est : Bon-sang que la couverture est moche ! Par contre, en feuilletant celui-ci, j'ai été surpris de voir que le contenu était beaucoup plus attrayant et c'est donc avec une joie non dissimulée que je me suis plongé dans cette nouvelle série de la collection Equinoxe.

Après avoir lu quelques pages, j'ai pû constater qu'une fois de plus l'influence du manga se fait sentir d'une manière de plus en plus évidente dans la bd européenne.
Cela me ravi car je pense que le mélange des genres est toujours très enrichissant.
Le scénario est très bien construit. L'auteur nous fait découvrir une ville imaginaire où les bases sociales et économiques tournent autour d'un sport : le Pankat.
Cette discipline est, en fait, un curieux croisement de boxe française, judo, karaté et sumo. A travers le parcours initiatique d'un jeune homme naïf, Mané, l'auteur va nous faire découvrir les différentes écoles de Pankat. Par la même occasion, on va mieux comprendre les motivations de ce peuple ainsi que leurs ambitions.
Le résultat est convaincant, on ne s'ennuie pas une seule seconde et on suit avec beaucoup de curiosité les mésaventures de ce gamin très influençable. Malgrès le thème un peu dur du récit, l'auteur nous developpe son histoire avec un certaine pudeur. Ici, pas d'excès de violence mais plutôt des mots justes et des actions constructives.
J'ai beaucoup apprécié le mini-dossier de 8 pages en fin d'album. A l'interieur, on y trouve une petite description de la ville de Irap ainsi que quelques explications sur le Pankat et ces différentes écoles. Je vous conseille de lire ces pages avant de commencer l'album. Cela vous permettra de mieux cerner certains points du récit.

Au niveau du dessin, Merwan nous propose un graphisme assez original. Son traît est franc, précis et les personnages sont très expressifs. Leurs émotions sont rendues avec beaucoup de réalisme. En particulier, le sentiment de peur. Comme par exemple à la page 19 où le héros est dans une facheuse position.
Ce sont, évidement, des détails mais je pense que ceux-ci ont leur importance dans la réussite d'un album.
A noter : curieusement, certains visages me font penser au graphisme de Christian Rossi ("Tiresias").
Pour terminer, je dirais que les couleurs sont très chaleureuses et que la mise en page est efficace.

Pankat est donc un album découverte que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire. L'auteur nous offre, ici, sa première oeuvre et c'est franchement réussi.
A conseiller et à suivre !

En y refléchissant un peu, on peut constater qu'en bd, peu d'auteurs ont choisis la Chine comme toile de fond pour leurs scénarios. C'est donc avec beaucoup de joie, que l'on retrouve ce pays fascinant via ce récit.

Franck Bourgeron, un jeune auteur complet qui me semble prometteur, nous emmène dans la Chine des années 20.
A cette époque, les conflits internes font partie du quotidien des habitants. Dans cette ambiance imprégnée de massacres et de complots, un homme, Li Fuzhi, veut croire à ses convictions. Celles-ci le mèneront à rejoindre les rangs du parti communiste chinois.
J'ai beaucoup aimé cette histoire. Le ton est très convaincant et tout les aspects de cette période troublée sont développés avec beaucoup de rigueur. Fatalement, ce récit nous pousse à la reflexion. Par exemple, on se rend compte que les vraies valeurs, du moins, celles que l'on croit justes peuvent être ébranlées en un instant. Un seul homme peut changer votre destin en quelques secondes et cette notion de pouvoir peut vaciller à tout moment. Tout vous semblera, alors, si futile.
Malgré un contexte historique assez sombre, l'auteur a réussi à éviter les lourdeurs. La narration est très fluide et les personnages sont plutôt bien campés.

Le dessin, quant à lui, est tout à fait original. Personnellement, j'ai été convaincu par celui-ci dès le premier coup d'oeil. Les visages des personnages sont représentés d'une manière très particulière mais pourtant on s'y habitue très vite. De plus, j'ai trouvé qu'il y avait déjà beaucoup de maturité dans le coup de crayon de l'auteur. Un détail curieux : la plupart des événements racontés, ici, se déroulent sous la pluie. Cela accentue encore plus l'effet tragique du récit. Le graphisme est très aéré et on peut constater que la taille des cases est assez imposante. D'ailleurs, le dessinateur donne de l'ampleur à son travail en nous gratifiant de trois grandes planches qui sont franchement très jolies. Visiblement, Franck Bourgeron a besoin d'espace pour dessiner et on ne s'en plaindra pas.

Extrême Orient marque les débuts de cet auteur. Pour une première oeuvre, c'est plutôt réussi. Il nous offre une vision différente de la bd.
C'est neuf, c'est frais et c'est surtout à suivre !

Je constate de plus en plus que la collection Equinoxe de chez Vents D'Ouest devient un vrai label de qualité. Les titres se multiplient avec éclats, et "La Grippe Coloniale" ne faillit pas à la règle.

Le scénario d'Appollo est assez original. A la fin de la première guerre mondiale, l'auteur nous parle, ici, de quatres soldats français qui reviennent du front. Ils rentrent chez eux, à la Réunion. Leur retour à la terre ne se fera pas sans mal. Les tensions sociales et raciales qui sont vives, l'incompréhension de leurs congénères, le décalage dont ils sont les victimes par rapport à la vie paisible de cette île et surtout le sentiment de rejet qu'ils éprouvent quotidiennement. Tout ces ingrédients donnent le ton de cet album, mais là où cela devient intéressant c'est que celui-ci est traité avec beaucoup d'humour. Les différents personnages sont très attachants : Grondin, le costaud au grand coeur, Camille, l'aristocrate défiguré, Voltaire, le tirailleur sénégalais et coureur de jupons, et pour finir Evariste, le plus futé de la bande.

Le graphisme de Huo-Chao-Si est très actuel, et plutôt influencé par Blain, Sfar, etc... On voit clairement que l'auteur a travaillé sur ces décors et ces personnages avec coeur et enthousiasme. Ce qui est un peu logique, car si j'ai bien lu, ce dessinateur est originaire de La Réunion. Ce détail est important, car grâce à cela l'album est plus crédible dans sa présentation générale.
Les couleurs de Tehem collent très bien avec le récit. Les tons sont peu agressifs, ce qui donne un cachet supplémentaire à cette bd.

Une fois de plus, j'ai été séduit par un titre de cette collection. J'en suis ravi.
Un album à lire en savourant cet instant de bonheur !

Tres bon premier tome pour cette serie prometteuse, une ambiance à la Blade runner qui n'est pas pour me deplaire, un heros charismatique qui fait un sale boulot, des dessins somptueux. Rien à reprocher