Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2025 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 17/01/2025 à 06:58:42 en 0.5001 sec
Toujours aussi délirantes, cette nouvelle bd nous fait connaître la famille de Marvin (non, pas le rouge).
Les fans, il vous faut cette bd !!!
le semic book le plus pauvre scenaristiquement que j'ai pu lire. Une grosse deception
Plus la série des Chroniques de la Lune Noire avançait et plus elle stagnait. Avec le tome 12, on retrouve enfin le mouvement des tomes d'entant. Cette fois ça bouge enfin et c’est le délire !!!! Merci au papa de Wismerhill.
Bref, avec ce nouveau Tome, la série des Chroniques de la Lune Noire reprend du galon !
Très bel album qui nous promène dans cette Afrique du XVIIIème siècle....
On sent l'odeur de l'Afrique et on assiste aux effet d'un "maraboutage" sur Alessandro. Un album qui est bien dans l'esprit de la série prenant et envoutant.
bon comme le tome 1 on a le droit a une histoire totalement inutile je trouve et encore une fois elle parle de cuisine enfin sur 5 histoires sa va une seule est a jeter. Pour les autres on a un duel au flingue dans le desert, un sauvetage spatial, une histoire avec les IA et un nouveau contrat de Carmen, ces 4 histoires sont toutes sympa a suivre niveau dessin celui de Roux est le plus reussi je trouve. Bon c'est avant tout ( exclusivement ? ) reservé au fan des 2 series. Bien aimé contrairement au chronique de sillage je trouve ces spin off interressant et riche
quelques bonnes poilades, néammoins l'ensemble est faiblard. Le tome 1 etant quand meme le meilleur de la serie.
le chef d'oeuvre des chefs d'oeuvre ! Tout y est : scénario finement ciselé, rebondissements, suspense, sensualité, le tout servi par un dessin fascinant, une précision des détails inouïe et un découpage bluffant. Une épopée ! La série qui justifie le terme "art" dans neuvième art.
tip top trop col avec les voleuse sutout le 5 avec la double
trop bien aussi ; 5 histoire ti trop mais juste un peu dur les blague
trop bien avec les delire mais un peu dur a comprendre des fois
Ce deuxième tome est meilleur que le premier qui n’avait pas grand chose d’innovant avec ce flic qui n’écoute rien ni personne et fonce à travers tout pour régler ses affaires. Dans ce deuxième tome le mélange entre le polar et le fantastique est très bien dosé et même si l’histoire n’avance pas très vite, l’album, lui, se dévore à grande vitesse. Le dessin n’est pas extraordinaire, mais colle bien à l’histoire. Je suis curieux de voir comment va évoluer l’histoire dans les (3) tomes qui sont encore prévus.
Alors je viens de la lire et j'ai trouvé ça très prenant. Je suis assez friand de ce genre de réçit (par exemple le film avec D. Hoffman, qui a plein de défaut mais qui du point de vue du film catastrophe est plutôt bien fait, à part une fin pas crédible pour un sou) et j'ai trouvé celui là relativement peu original, mais traité et illustré avec brio. L'approfondissement sur les associations de défense des animaux (qui ne ressortent clairement pas sous leur meilleur profil) est assez intéressante et bien liée au réçit.
A lire pour se faire son opinion !!
Le tome 4 des Forêts d'Opale continue de nous guider pour notre plus grand plaisir dans les aventures de Dharko, d'Urfold et des délicieuses Sleïlo et Tara.
Point de vue scénario, si ce tome est très bien mené, il n'en est pas moins qu'un chapitre de plus, qui aurait pu être le tome 6, le tome 9 ou un autre encore. Seules certaines situations sont réellement créées pour faire réellement évoluer la quête: d'une part le fait que Darkho s'essaye (avec un certain succès) aux pouvoirs qu'il doit désormais pouvoir maitriser, et d'autre part le combat contre Xarchias, à la fin du tome.
Ce tome 4 m'a décidément bien emballé: les dessins et les couleurs sont irréprochables: du pur bonheur ! Rien que pour cela, inutile de dire que je sauterai sur le tome suivant !
Bon Andreas on aime ou on aime pas, moi je suis plutôt fan. Nous sommes vraiment dans cet ambiance particulière à cette série avec cette truculente Déliah qui nous mène de médiums en voyante. A lire même si la fin est un peu décevante tout de même.
Ce premier tome sorti il y a bientôt dix ans, est le premier d'une longue lignée. La série sur 40 tomes, on pourrait dire qu'elle a trainé en longueur mais contrairement à d'autres mangas Takada a su tenir le lecteur en haleine.
Malgré une fin que je qualifierais de "légère", la série reste à lire.
Ce premier tome installe la trame principale, et est pour moi l'un des meilleurs, même si beaucoup de tomes reservent de très bonnes surprises.
Acheter les deux premiers vous saurez de suite si vous êtes prêt pour les autres, les deux premiers constituant un premier cycle à eux seul.
Encore une fois, nous sommes transportés dans les méandres psychologiques où des sujets délicats sont abordés et traités avec beaucoup de finesse et de vérité. Dans ce volume, la situation entre Yuri et Isaac évolue énormément, de même on s'intéresse à nouveau à la mère de Yuri et au "grand-père" de Akiba. La vie et la mort sont au centre de ce volume, ou plutôt le droit à la vie et le droit à la mort et les choix qu'ils entraînent. Akiba est de plus en plus "humain". Encore un excellent tome !
Vlad est une série que j'aime bien!!!
Au départ, il est vrai que le dessin n'est pas très accrocheur (c'est pas mon style en tous cas) mais la série, sans rien révolutionner, est prenante.
Dans cet album "Taiga", tout va très (trop !) vite. Igor est retrouvé et je pensais que l'auteur allait quand même nous faire patienter un peu plus. On retrouve le rapport ambigu de Vlad avec son frère, ce mélange d'amour, de jalousie et de remord qui à mon sens explique la psychologie de Vlad. On se dirige petit à petit vers un complot mondial que seul un petit groupe de personnes peut encore renverser. J'espère que la suite ne deviendra pas trop facile ou trop déjà vu..... Ce serait dommage car la série est plaisante
faut aimer, mais moi j'adore !!!
c'est hilarant, bien déssiné que du bonheur quoi.
Une petite BD faites pour tous ceux qui aiment l'humour, le fantastique, l'ésotérisme, la gastronomie et les superbes dessins...
Les petits se régaleront autant que les plus grands.
ca se lit en 5-10 min. et c'est géniale...
déjà que j'adore le très de bengal mais en plus avec un scénar du grand morvan...j'en pleure...
Un album intéressant bien que j'ai été un peu déçu par le fait qu'il n'y ait que très peu de lien avec l'Histoire comparé aux autres album de la collection loge noire. Ce pendant l'histoire est accrocheuse et on se laisse porter. au final un bon moment.
Une suite a la hauteur de mes espérences. On en apprend toujours plus sur le football américain à travers des personnages drôles et charismatiques (du moins pour la plupart). On passe un très bon moment avec des scènes très drôles.
J'attend la suite avec impatience.
C'est un tome d'explication sur ami et les éléments de l'histoire se situant dans la jeunesse des différents personnages. On comprend ainsi mieux certaines choses. L'autre partie de l'histoire se passe un peu plus dans le futur (An 3 après Ami) que dans le précédent volume. On attérit donc dans un monde qui a encore bien changé et dont on va découvrir ce qui s'est passé. Le tout est mené avec brio par Urasawa mais on y est habitué maintenant. Chaque tome est toujours aussi passionnant que les précédents si ce n'est plus.
Toujours aussi violent, toujours aussi noir, toujours aussi sexy. Sin City s'impose vraiment comme le roman noir du Comics. Fantastique.
Ouah je suis riche 20 euros.......
Bon je trouve vraiment que le format est trop petit pour cette série (n'oublions pas que le format des albums est plus grand que celui des bd "traditionnelles"), c'est un peu dommage mais l'effort est louable............
Pas de quoi se rouler par terre. Dessin commun, histoire de super héros qui ne ratrappe pas l'affaire, donc pas une super expérience en ce qui me concerne, mais j'ai vu bien pire.
Le monde de la Bd présente en format réduit les 4 premiers tomes de différentes séries (Alpha, Lanfeust...).
Le format gêne un peu au départ mais reste très accessible. Finalement, il ne se prête pas trop mal à la série (contrairement à Lanfeust qui mérite vraiment un format plus grand).
Donc, si vous voulez découvrir la série à petit frais, c'est vraiment l'occasion. Je l'ai eu à 7 ou 8 euros dans une boutique parisienne porche de Port Royal (pas de pub mais bon magasin). La série est vraiment décapante et l'on voyage beaucoup dans les lieux qui posent encore problème dans ce monde de l'après-guerre froide. C'est une série qui a des ressources inépuisables en tous cas espérons-le
Je possède les 5 tomes de a série mère, requiem chevalier vampire. Lorsque j ai vu ce tome en librairie, j'ai feuilleté un peu. J'ai trouvé les dessins plutot mal faits, avec un découpage "a-la-Ledroit" mais malheureusement pour Tacito, il n'a pas le même coup de crayon !
Bref une BD qui n'a fait qu'un trajet rapide, de l'étagère de mon libraire a ma main puis de ma main à l'étagère, toute l'action se déroulant en gros en 2,5secondes tout en pensant un truc rapide genre BEURK
on apprend beaucoup de chose sur le baseball et le japon dans GO AND GO
si vous voulez comprendre l'histoire de go and go il vous faut lire ce tomes ,il est aussi exelent que les autre mais je prefere encor plus les autre mais selui ci est inevitable comme les autre il faut tous les lire comprendre l'histoire!
Enfin ! Après 4 ans d'attente (deux éternités !) voici qu'est sorti le tome 2 des "Derniers jours de la Géhenne" !
Et c'est une bonne surprise. Après un premier tome qui posait les pions d'une manière que j'avais trouvé quelque peu difficile à suivre, voici que cette suite précise le type de mystère dans lequel il faut s'attendre à se voir embarquer.
Le dessin reste comparable à celui du T1. On remarquera que le trait dans certaines cases est plus gras que dans d'autres. Ersel travaillerait-il à différentes échelles pour une même planche ? (Je vous rassure, ce détail ne gâche en rien la lecture.) On regrettera cependant la difficulté que semble rencontrer le dessinateur à reproduire d'une case à l'autre un même visage. Mais là, je chipote un peu trop !
Au niveau du scénario de ce T2, on apprécie les parallèles entre le passé et le présent. Parallèles qui sont le ciment de l'intrigue. Ces voyages dans le passé sont un bon prétexte à de belles scènes médiévales qui sont bien dosées et équilibrent les scènes du présent.
Autre chose: je trouve la pochette particulièrement plus réussie que celle du tome 1 (où le visage de cet homme m'a toujours paru un peu trop tordu, ce qui était peut-être malhabile dans la mesure où une pochette est souvent la vitrine de ce qu'on doit s'attendre à voir dans la BD...). (C'est que je dois préférer voir des belles femmes, aussi !!!) ;-)
Allez, et, pour finir, petit détail pour les chasseurs d'erreurs (qui s'en était donné à coeur-joie à propos du bracelet d'Aline qui changeait de bras, dans la librairie, tome 1 !); une erreur de couleur sur le panneau "Interdiction de tourner" (scène de rue, le soir, où on voit un couple se promener) sur lequel les couleurs blanche et rouge ont été inversées...
Une série géniale qui donne le ton de la Nouvelle-Calédonie. On se croit sur le caillou. Dès le premier tome, les personnages récurrents sont là Tonton Marcel (le Caldoche fier, gueullard, chasseur et fier de la Nouvelle-Calédonie), Dédé (le Kanak qui ne travaille que pour se reposer, chasseur, membre important de la tribu et fier de la Nouvelle-Calédonie), Tathan (Le Vietnamien commercant comme il se doit, businessman, chasseur et fier de la Nouvelle-Calédonie) et Joinville (le zoreil qui est vraiment un Zoreil).
Une série drôle dont l'humour est décapant. A lire vraiment si vous avez la chance de la trouver.
C'est l'album que j'adore Paris au début du XVème siècle avec Bec-en-fer, c'est le pied. Bon c'est vrai le scénario est toujours un peu le même (à la Iznogoud : devenir seigneur à la place du seigneur) mais cette balade dans Paris et l'humour anachronique ne me lasse pas....
Je viens de lire ce premier volume et j'en ai la larme à l'oeil. Marv je t'adore, t'es le plus fort.
De nombreux personnages aux identités toutes plus mystérieuses les unes que les autres, un dessin sympathique et qui pourrait s'affiner encore plus, un joli travail de recherche sur les lieux et les monuments visités, le tout pour une histoire dont on ne peut qu'attendre la suite pour se faire un avis plus précis.
Très très bon ! Mais ne plaira pas à tous ...
Le scenario accroche vraiment, ce Marquis pourfendant les démons cachés dans les habitants de cette ville où tout le monde est masqué. Pourquoi l'appellent-ils "Marquis", d'ailleurs. Quelle est sa véritable mission? La relation homme-dieu-diable est vraiment bien trouvée.
Le dessin est excellent, mais je n'ai pas compris pourquoi les nuances de gris étaient aussi grossières. Cela dit, cela a le mérite de rendre l'atmosphère extrêmement lourde et oppressante. Pas de soleil dans cette ville, pas d'horizons lointains.
Bref, je cours acheter la suite, et j'attends le troisième et normalement dernier tome avec impatience.
(Cet avis est rédigé à la fois pour le T1 et pour le T2.)
"Meilleurs voeux" est la première série que publie Didier Millotte. C'est un récit complet en 2 tomes. Il n'est pas certain à ce jour que l'auteur ne décidera pas de redonner vie à Abd El Hak, le héros, mais ceci est une autre histoire.
Le dessin de Didier Millotte est assez particulier. Il est bien mis en valeur par les couleurs de Lise Chapelier.
L'histoire est agrémentée de nombreuses situations ou dialogues humoristiques. Il faut dire que quand un génie est libéré après des attentes parfois très longues, il est normal que ce dernier se défoule un peu ! Librement inspirée des ambiances des Mille et Unes Nuits (loin de l'Aladin de Disney), l'histoire nous réserve quelques surprises qui ne font pas pour autant de cette BD une BD au top de l'originalité.
Le tome 2 est dans la continuité du tome 1. Le graphisme de la série est simple, épuré, et sait se montrer plus généreux sur les grands visuels. L'auteur utilise, et cela uniquement lorsque c'est nécessaire (heureusement), des astuces de mises en page classiques (mais adéquates) telles une case qui sera copiée-collée avec ou sans le génie visible, de manière à voir la scène telle que le héros la vit puis telle que les autres personnes la voient (car seul celui qu'accompagne le génie peut le voir; enfin... exception faite de... Non, je ne vous en dis pas plus !). Ou encore la case de la vision subjective, lors d'une reprise de connaissance du héros, qui sera précédée de la même image... passée au filtre "flou".
Bref, cette BD est un cocktail de bonnes intentions, de couleurs, de petits détails qui servent les ambitions de ce jeune auteur. Les lecteurs que le dessin n'aura pas fait de suite refermer la BD (on aime ou on n'aime pas) sont sûrement curieux de savoir sur quelles autres ambiances travaille Didier Millotte.
Sous cette couverture trompeuse, qui laisse présager un monde hostile et noir, Alim le tanneur nous transporte dans un monde oriental aux couleurs pastels et chatoyantes. Chaque page se contemple comme un couché de soleil au pays des 1001 nuits.
Le dessin de Virginie Augustin, issue du monde magique de Disney, nous livre des personnages attachants avec de bonnes bouilles, des visages très expressifs et dont même les corps semblent animés (Disney oblige).
Le scénario est plus classique, mais on peut se réjouir de lire une aventure fantastique sans trolls et sans surhommes. Même si cet album est surtout une introduction à la série prévue en quatre albums, c’est un vrai régal pour les yeux pour une série qui parait plus que prometteuse. A lire absolument !
des couvertures invraisemblbles, de star wars à stargate, titeuf, un vrai régal, un album original destiné au fan, et des jeux de mots assez forts !
Un album magnifique, ce tirage luxe est double : page de gauche la version croquis, avec les bulles vierges, et page de droite la planche noir & blanc version définitive, pres de 100 pages, ça c'est enfin un VRAI tirage luxe !!! un must !
Attention, la notation "2/10 - Pour amateur uniquement" ne se veut pas une note destructive mais vise à mettre l'accent sur la spécificité du style de la BD !
L'intérêt d'une vie pourrait par exemple se mesurer au nombre d'anecdotes, vécues dans la semaine, à raconter lors d'une soirée. C'est bien beau d'avancer cela, mais les semaines qui se suivent sont-elles toutes aussi riches les unes que les autres ?
"Je vais te montrer quelque chose" nous conte la malchance d'un Monsieur Tout-le-Monde, qui, non content d'avoir le moral au plus bas, se voit embarqué malgré lui dans une aventure dont il se serait bien passé. Le quotidien bascule parfois dans l'invraisemblable...
Etrange BD (animalière) que celle-là, servie par un dessin aux antipodes de Blacksad - le héros est un félin.
Le rythme et le style donnent à cette BD un caractère suranné, comme ce que serait un vieux film au cinéma; sauf qu'au lieu que l'image noir-et-blanc soit diffusée à une vitesse plus rapide avec les apparitions furtives de parasites visuels, c'est lentement, en couleurs (pour la première fois dans l'oeuvre de Jason) et d'un trait très épuré, carré, qu'est scénarisée et dessinée l'histoire.
Un monde bien à part, à l'arôme des strips qu'on trouvait au bas des pages des vieux journaux. Le style de Jason, semble-t-il. Un style pour public averti.
Un bon shojo avec des perso attachants, comme sait si bien nous les faire aimer Yuu Watase. Une réflexion sur le bien et le mal mais de façon plus poussée que le simple manichéïsme. L'acceptation de soi également et l'apprentissage des sentiments, du courage ...
Un très bon moment de lecture et une fin pas gnagnan du tout car tout le monde possède une part de ténèbres.
Un vraiment bon livre qui comporte un très bon histoire.
Moi qui est jamais aimer "Sakura card captors" je ne connais aucun des personnages. Donc pour moi c'est complétement un nouveau livre. C'est vraiment un très bon livre avec un bon mix! Il ne mérite pas 4/10 comme chouchoune le dit.
Bonjour,
J'ai découvert cette série et ce dessinateur à l'occasion de la sortie du nouvel album.
J'ai été réellement conquis.
D'abord par le support. Vents d'Ouest nous propose ici un bel album Grand Format aux couleurs vives qui renforcent le sujet.
Quel scénario! Quel plaisir de découvrir ce pan de l'histoire de chine que je ne connaissais pas.
Grand bravo au scénariste/dessinateur dont le trait atypique et de premier abord difficile s'avère finalement chargé d'émotion et ô combien plus réaliste qu'il n'y parait.
Merci pour cette petite merveille.
Sachant qu'il s'agit ici des premiers albums de Bourgeron, j'ai hâte devoir ce que donneront les futurs quand cet auteur gagnera encore en maturité.
Bref un bijou que je ne peux que vous inciter à découvrir.
J.P. Bone est un voleur, un alcoolique, un tueur, mais surtout un homme devenu hors-la-loi malgré lui. Autour de ce personnage central se déroulent plusieurs histoires qui lentement s’entremêlent pour former un excellent one-shot. Les personnages sont décrits avec beaucoup de profondeur, le scénario est bien ficelé, l’ambiance western présente et le dessin excellent !
Un des mangas les plus intéressants du moment. J'attends toujours la suite avec autant d'impatience.
Dans la veine d'une série comme Tough, ce premier volume met l'eau à la bouche. Publié après une première série de 42 volumes inédits en France, Baki est vraiment un manga décalé. Beaucoup de questions posés dans ce premier tome et aucune réponse encore. Qui sont ces fameux combatants venus du monde entier à Tokyo pour visiblement défier Baki? Si vous aimez les sports de combats je ne saurais que trop vous conseiller la série, et même si vous êtes étranger à cet univers, je vous invite à la lecture de Baki, qui n'est surtout pas seulement une série de baston.
Voilà un volume pas très passionnant où il n'y a aucune avancée dans l'histoire principale ou même les histoires secondaires. Il y a quelques bonnes idées qui font que cet album n'est pas ennuyant mais celà aurait pu être bien mieux.
La fin de cette série est bien décevante mais en même temps il était difficile d'en attendre mieux au vue de la série dans son ensemble. Tous ces évênements pour arriver à une morale des plus évidentes et qui tombe un peu à plat.
D'une manière générale cette série reste un manhwa dont le seul est unique but est la détente. Il ne faut pas en attendre davantage notamment en terme de réflexion où c'est proche du 0.
Il y a bien mieux à lire.
Si vous etes un inconditionnel de shirow, cette BD est pour vous, sinon si vous voulez decouvrir le manga il y a plus facile a lire du meme auteur !
Cette BD comporte tout de meme de bons moments mais ca reste souvent brouillon malheureusement.
Un conte en tiroir, une quete amene une autre qui amene une autre... c'est simple mais amusant a lire.
Et puis c'est servis par des dessins tellement splendides et enchanteurs que c'est tout simplement magique à chaque page qui se tourne.
Akira est la série qui montre le mieux que le manga n'est pas qu'une bd légère d'ado.
C'est une référence qui a creer un certain format et mis les préceptes du genre cyberpunk.
On peut aussi saluer la performance de raconter une histoire pareille sans la moindre aparthée entre 2 images ! ca se lis d'une traite, il n'y a pas de "quelques temps plus tard" ni de bulles nuageuses qui montre ce que tel ou tel pense de la situation, non c'est concu comme un film sans voix off et sur 12 tomes et demi c'est un vrai challenge de garder une histoire lisible dans ces conditions.
Les tomes 10 et 11 sont pas désagréables si on les compare au 6 7 8 et 9, on avance enfin dans la prophétie, même si froideval aurait pu (et aurait du ?) s'abstenir de faire mourrir wismerhill pour le ressuciter juste apres, ca donne vraiment un rebondissement a 1 rouble (oui2 cents c 'est trop cher payé pour ce genre d'artifice !).
Maintenant commercialement parlant il est sur aussi que les chroniques dureront le temps que la série sur methraton prenne un essort suffisant pour que cette série ne soit plus un pretexte alimentaire.
J'espere que le dénouement est proche !
PS ; pour la passation de pouvoir entre ledroit et pontet, de ce que j ai lu, ledroit a horreur des histoires en 4 tomes et +, l exception a l'air d'être Requiem, mais bon il s'y lache bcp aussi
Il est triste de voir une BD qui etait aussi bien devenir un dinausaure aussi insipide (genre endive).
Déja le scénar, surprise Thorgal est encore esclave ! raaaahh que c'est triste ! Et en plus encore plus original et jamais vu dans la série il se sert de son arc et c'est ce qui va le sauver !
Bref une série qui se vend car quand on a 26 tomes dans sa biblio ben que le 27 soit bon ou pas on le prend pour completer la collection comme un vulgaire pokemon, jusqu'a ce que l'on se lasse...
En résumé :
On peut dire que le dessin et le scénar se congugent parfaitement pour donner un grand sentiment de tristesse quand on lis les premiers tomes et que l'on vois ce que ca deviens.
La meilleure BD d'heroic fantasy !
Si il doit y avoir une BD pour illustrer le genre dans une BDtheque ben c'est celle là qu'il vous faut !
Une très bonne BD très jolie (mais perso vu le sursis j'en attendais pas moins).
Le seul bémol que je reproche est le trop grand lapse de temps séparant les parutions entre tome 1 et 2 ce qui fait qu'en se penchant un peu sur le tome 1, vu les indices qui 'y trouvent, on devine la suite et le "rebondissement" qui intervient dans le 2nd volume... ce qui est dommage pour un rebondissement !
Sinon mis a part ce petit reproche, une très belle BD à lire et à relire.
Les 4 premiers tomes sont vraiment sympa avec un tas de petits détails qu'on s'amuse à chercher.
Dommage que le 5eme tome ne soit qu'une série de baffes sans leit motiv avec une soeur marie therese beaucoup trop bourrine ce qui enleve le minimum de finesse requis pour faire une aussi bonne caricature que lors des 4 premiers volumes... en gros un tome de moins aurait donné 8/10 au lieu de 6/10 sur le jugement de toute la série
Une bonne bd avec un monde assez surprenant qui se dévoile au fur et a mesure, de jolis dessins avec des traits assez mangas mais très bien colorisés, une des meilleures BD sortie chez paquet a mon avis avec le monde de lock.
Il est juste dommage qu'on n'en sache pas vraiment plus sur le héros et son passé.
J'espere bien revoir les auteurs sortir une nouvelle série bientot dans ce monde ou dans un autre registre car la magie fonctionne.
très bon
original et drôle
personnages réalisés en gravure sur bois
les décors sont des vielles gravures d'un ronbinson crusoé
caustique et humour noir, subversif
Bonjour,
Cet album était chez mes grands-parents il y a une trentaine d'années. Je me souviens des nombreuses erreurs typographiques.
L'auteur (Vikenty ou Vincent Krazousky, dit Vica), ancien officier de l'armée Tsariste ayant fui la révolution soviétique, est connu pour ses sympathies pro-nazies.
Son style particulier, typé et caricatural, vaut cependant le détour.
Il fit ses débuts comme dessinateur dans des publicités pour Banania pour lequel il créa le personnage de "Yabon le négrillon".
Pour information:
Je possède le premier album de cette série:
"Les aventures de Vica le vieux loup de mer" - éd. Gordinne (Liège) 1935 - 32 pages.
Patz.
Les tribulations de Delisle en Chine, une petite merveille : plein d'anecdotes, de sourires sur la différence des cultures pour un français expatrié qqs mois en Chine. Le dessin, sobre, reflète tout à fait les pensées de ce français perdu dans un monde sans référence pour lui.
C'est ni une BD historique, ésotérique ou jouant sur des pouvoirs magiques (vis à vis du feu). L'histoire est assez décousue et le dessin ne parvient pas à donner un peu plus de hauteur à l'ensemble.
J'ai arrêté après les 2 premiers tomes, ce qui ne m'était jamais arrivé ...
Quelque part entre Harry Potter et Tim Burton (penchant cependant nettement vers ce dernier), Courtney Crumrin a été pour moi une excellente surprise.
Un dessin très simple et cependant envoutant au service d'histoires de monstres cachés dans la forêt où le "petit peuple" des contes de fée n'est pas forcément gentil ni amical.
Voilà une histoire bien humaine d'un garçon qui fuit les fascistes et se retrouve accueili par un vieux gardien de phare. C'est une redécouverte de l'envie de vivre et du rêve que ce vieux bonhomme va donner à ce jeune garçon. C'est aussi l'opposition des personnages qui nous touche et qui fait de cette histoire du vécu. Bref, un morceau d'optimisme et de rêve auquel il serait absurde de ne pas goûter.
Bon scénario que les tomes suivants devront confirmer, car surfer sur des thèmes d'actualité (Afghanistan, Irak) ne suffit pas toujours à faire d'une série un must.
Soupçon de paranormal apprécié pour justement nous décoller d'une simple histoire de héros-qui-ont-la-bougeotte.
J'attends la suite avec impatience !
Belle histoire, servie par la maîtrise graphique de Stalner.
Attention par contre à cette calligraphie "voix off" que j'ai trouvée pénible à déchiffrer.
Du grand, du bon, du 100% Tezuka. L'histoire est sombre et dure comme d'habitude mais il arrive à rendre le tout passionnant au point de ne pas en décrocher jusqu'à la fin. Les personnages une une psychologie tellement travaillée, réaliste qu'on finit presque par en oublier que l'on se trouve dans une bande dessinné. Le dessin est très épuré mais il fait ressortir davantage les émotions et de l'émotion il y en a ça va de la tristesse à l'horreur en passant par la colère mais très rarement la joie (peut être un début de soulagement et encore).
Bref un excellent moment proche du chef d'oeuvre.
N'ayant pas lu les roman de Bordage je ne baserais donc mon avis que sur l'album en lui même. L'gistoire est riche et complexe, ona beaucoup d'informations difficiles à digérer et à s'y retrouver ce qui nécessite au moins une deuxième relecture. Dans une époque où les premiers tomes de séries sont des intro light avec assez peu d'informations c'est un véritable plaisir de lire un album aussi riche et aussi passionnant (comme quoi un bon scénariste peut y arriver).
Bref la lecture de cet album a été un très bon moment et ce sera un plaisir de suivre cette série.
Voici un album tourné vers les secrets de famille tout comme "L'écharde" mais en bien plus riche. En effet l'histoire avance beaucoup et rapidement. De plus il est davantage tourné vers l'action que l'autre.
Au final on passe un bon moment et on a envie d'en savoir davantage.
Cette série ayant pour thème les secrets de famille est une vrai réussite. En effet l'histoire promet d'être intéressante. Pour le moment on a une introduction relativement légère en informations mais le contexte historique de mai 68 est suffisament riche pour en faire un album passionnant à suivre.
Bref une bonne découverte.
J'ai continué cette série par nostalgie parce que ma premiere Bd était un Boule et Bill. Les derniers épisodes étaient moyen et la série s'épuisait un peu, ce qui est normal vu le nombre d'albums.
L'association de plusieurs auteurs au scénar donne un second souffle à cette magnifique série et lui rend toutes ces lettres de noblesse. Ce qui bien sur ne serait rien sans la reprise superbe de Verron.
Ce bestiaire m'a bien fait marrer, surtout l'expression des animaux, je vous conseille le gag avec les pingouins et le raton-laveur .Et bien sûr notre Bill qui devient de plus en plus "humain".
Excellente suite. L'histoire avance bien, on s'arrete presque ou le tome 1 a commencé. J'aime bien cette univers décalé qui traite de faits historiques sous fond de Steam-Punk, la couverture en ton sépia est en parfaite adéquation avec l'histoire et c'est bourré d'anachronismes, et plein de clins d'oeil cinématographique, de plus la p'tite Zelda a un côté Salma Halyek qui n'est pas pour me déplaire.
Vivement le tome 3.
Ja trouve que la série s'améliore d'album en album, ce tôme4 est pour moi le meilleur de la série. Malgré un scénario encore très nébuleux, j'ai beaucoup apprécié la mise en place de l'histoire, les 2 intrigues parallèles et liées suivies par Walter et Mood. De plus, on apprend des choses sur le passé de Walter, ce qui permet de mieux comprendre le personnage. Le dessin est très bon, Kovacevic a vraiment fait du bon boulot. Bref, un album indispensable pour qui aime l'univers des joueurs de cartes...
Comme d'habitude, 3 contes et un fil rouge pour ce récit de légendes celtiques.
L'action se passe dans les highlands écossais (non, pas de mac léod à l'horizon ), où l'ami nessy du T1 a quelques petits problèmes.
Le personnage de K'och, déjà mieux mis en valeur dans le T5, s'étoffe encore un peu plus dans cet album, donnant un meilleur "liant" aux 3 contes. On assiste même au début d'une intrigue le mettant en cause personnellement, et dont l'épilogue se trouvera probablement dans le prochain tome des contes.
Le dessin de Gomes (le fil rouge+un conte) est agréable et dans la continuité des précédents albums.
Les contes en eux-même, sont assez classiques, avec une nette préférence pour l'histoire du forgeron , au style graphique plus marqué et à l'histoire interessante.
Le scénario des deux autres sont, quand à eux, assez quelconques.
Bref, un album sans surprises, dans l'esprit des précédents malgré un K'och plus concerné. Un plus d'audace dans les histoires de messieurs Lebreton ne serait pas de trop, certains contes n'ayant malheureusement qu'un interêt très relatif...
Revenir en haut
Pourquoi Sha et pas Shadowslayer?
Pourquoi Requiem et pas Shadowslayer?
Les scénarios sont pourtant bâtis sur une même thématique et sa qualité n'est ici pas moindre puisqu'il s'agit du même auteur.
Moins abordable narrativement que les deux séries à succès, les graphismes de Shadowslayer laissent transparaître un délicat parfum de démence. Léger au début, enivrant par la suite, il devient écoeurant vers la fin. Au soulagement d’en avoir fini succède ensuite la persistance de son odeur si particulière ! Un album fort !
A quand la suite ?
Je viens de le lire (dévoré hier soir, en rentrant de chez ma libraire chérie). Alors, que dire, sans paraître en faire trop... Déjà, du point de vue scénario, l'histoire avance bien et certaines boucles crées par le tôme 1 sont habillement refermées. On en apprend un peu plus sur la fameuse arme absolue, sans pour autant en connaître la nature (réponses au T3?). Les héroïnes féminines sont attachantes, on peut percevoir quelques doutes et faiblesses dans leurs vécues, contrairement à notre irréductible gavroche très "mystères de l'ouest".
Visuellement c'est un régal, dirigeables, véhicules, décors, le plaisir visuel ne manque pas (quelle couverture!!! probablement dans le top 5 de cette année).
L'attente fut longue, mais récompensée par une bd de qualité.
L'attente sera (re)longue...
Dans ce 3ème tome de la série, nous retrouvons notre couple de héros à Cuba, où la mission est d'éliminer purement et simplement Castro.
Pécau nous sert ici un scénario très en phase avec l'Histoire, les années 50, Cuba, le débarquement américain manqué en baie des cochons, tout en y ajoutant les éléments propres à la série, à savoir les cartes et leurs pouvoirs. Le cadre historique est très bien restitué, on croise même bob kennedy et une certaine Norma jean, alias... Marilyn Monroe (!). Le rythme de l'album est, je trouve, un peu lent, l'histoire peine à prendre forme, mais il s'agit probablement d'une histoire à suivre, beaucoup d'éléments restant inexpliqués à la fin du tome. On l'impression gênante de survoler le récit sans rentrer vraiment dans l'histoire. Malgré tout, l'album est plaisant à lire, le dessin de damien toujours aussi bon et une mise en couleurs très réussie.
En résumé, un bon album, mais il manque la petite touche scénaristique finale qui l'aurait rendue encore meilleur.
Un tome 4 attendu au coin du bois, les questions sans réponses ne pouvant assurément pas le rester...
Après un tome 3 un peu décevant sur le développement de l'histoire, ce tome 4 fait avancer un petit plus les choses (un petit peu, j'ai dit! ). L'histoire se déroule à Nénuphe, où nos héros sont mis en prison dès leur arrivée en ville.
Les véritables stars de cet album sont les monstres aquatiques présent sur le couverture. Le héros un peu neuneu, sa brunette de soeur, la blonde aux gros seins et le vieux sage (qui a dit lanfeust?) vont avoir fort à faire dans cet épisode. Sans compter un adversaire à sa mesure (enfin!) pour l'ami Görgh.
Le dessin de Pellet est toujours aussi beau, assurément le point fort de cette série. Du côté scénario, arleston nous ressort les recettes habituelles qui ont fait son succès, pas de révolution à attendre de ce côté là. L'histoire est tout de même plus prenante que celle du tôme 3, avec notamment quelques petites révélations sur certains personnages. Bon album donc, mais on pouvait en esperer d'avantage. Esperons un T5 qui fera avancer de manière plus significative l'histoire.
Après un premier tome intéressant, accrocheur même, la série s’enlise dans ses errances scénaristiques. Les rebondissements s’enchaînant à un rythme frénétique, la naïve flamboyance du personnage cache un temps le canevas éculé que semble s’être imposé l’auteur. De l’éternel ennemi aux conquêtes de l’irrésistible Yann, on passe d’un bateau à une geôle, d’une arrestation à une mutilation. Notre ‘survivor’, victime d’un destin trop lourd pour lui (nous !), croise souvent des personnages historiques. Rien de répréhensible en soit, au contraire, mais ajouté au grotesque de certaines situations, l’ensemble s’en trouve définitivement plombé. Graphiquement on peut louer le bel effort sur les décors et des bâtiments de marines… Quel dommage qu’un même soin n’ait pas été apporté pour les personnages.
appréciant énormément Valles pour son travail dans "les maitres de l'orge" et Desberg pour bon nombre de ses scénarios, c'est sans même l'ouvrir que j'ai acheté cette BD, toutefois en ayant pris soin de lire un petit synopsis auparavant. L'intrigue est prenante et l'ensemble bien ficelé. J'ai toutefois un reproche à faire, c'est que cet épisode bouge trop dans le temps et l'espace, bref on ne s'y retrouve plus vraiment à certain moment. Mis à part ce désagrément, c'est déjà avec grande impatience la suite de cette série qui s'annonce déjà comme un best-seller
Holmes, un prénom bien connu et souvent entendu! Oui mais voilà cette fois-ci, il ne s'agit pas d'un homme, mais d'un singe et les ressemblances sont frappantes, le béret, la pipe, et le métier. Justement, Holmes, singe détective, se lance à la poursuite de Moriarty junior après le massacre de son peuple et la destruction de Simia et ses péripéties dans New-York ne sont pas de tout repos, mais à vous de le découvrir.... Bonne lecture....
Je viens de terminer cette nouvelle série sur la Saga Troy. Très content de retouver Ciro Tota au dessin que j'aime beaucoup (Aquablue), l'histoire laisse un sentiment de déjà vu, même si l'histoire se passe avant les aventures de Lanfeust et Trolls et raconte la colonisation du monde de Troy. L'humour d'Arleston est toujours présent ce qui fait que les héros se retrouvent souvent dans des situations burlesques et ces personnages sont toujours tres attachants...à suivre.
Pour un premier album c'est un coup de maître.
Graphiquement, cela sort des sentiers battus : ça n'est ni de la ligne claire, ni de la ligne je-ne-sais-pas-comment-à-la-sfar...
Les couleurs réalisées informatiquement donnent des lumières splendides aux décors et aux personnages.
Scénaristiquement, c'est du tout bon aussi pour les fans de Lovecraft : un bled à l'abandon, des rêves bizarres, des gens encore plus bizarres...
L'angoisse monte tout au long de l'album et on se prend au jeu de l'héroïne qui essaie de savoir ce qui est arrivé à sa mère...
J'ai vraiment apprécié ce 1er tome qui m'a rappelé mes parties d'"Alone in the dark" ( l'auteur a participé à l'un des opus ;) ) et autres jeux de rôles sur Chtulhu.
Un grand bravo à Francois Baranger pour ce pari osé qui je l'espère sera un pari gagnant...
Récit non-moraliste sur la vie d’un klaniste vu de l’intérieur du KKK: son initiation, son ascension au sein du clan (= sa chute au niveau humain) et sa fin inévitable, voir méritée. Une violence gratuite, une haine absurde, une ambiance nauséabonde, un combat sans gagnants entre noirs et blancs qui s’intensifie au fil des pages.
Le dessin est loin d’être classique, légèrement perturbant au début, mais colle bien à l’histoire.
Dans un camp les noires, dans l’autre klamp (il faut apprécier la narration originale où le "c" est systématiquement remplacé par "kl") le KKK et son idéologie. Quand on donne une couleur à la haine, la vengeance devient souvent aveugle et le sang qui coule toujours rouge. Il n’y a pas de camp à choisir dans cette histoire, car le seul gagnant est celui qui lit cette bd et réfléchit à la bassesse humaine et à l’absurdité qu’il vient de voir.
Avec Davodeau une querelle paraît familière, un enlèvement humain et un meurtre excusable car tous partent de sentiments qui sont décrits avec un tel réalisme qu’on n’a aucun mal à se les appropriés. Une fois ces sentiments nôtres, les actions qui en découlent paraissent tellement logiques qu’on les juge différemment. Ah, si Davodeau présentait le journal parlé chaque fait divers paraîtrait sûrement plus acceptable, moins écœurant et certainement plus humain et plus proche de la réalité.
Même si le sujet de cette série (le contrôle du temps) peut paraître un peu simpliste et donner une impression de déjà vu/lu, il reste tout de même original et est très bien développé par l’auteur. Le scénario intense mélange action et explications et a le mérite de bien développer la psychologie du personnage principal (Yann). Le dessin manque un peu de pêche, mais est plus qu’honnête et n’est pas désagréable.
Il est dommage que ce troisième tome ne développe pas plus le personnage de Kali, sa psychologie et sa relation avec Yann, au lieu de tenter de raconter l’histoire du monde (et de quelques-uns de ses personnages clefs) sur un fond de complot mondial un peu facile et qui n’apporte pas plus que ça à l’histoire ! Il reste néanmoins très difficile de décrocher de cette excellente série.
N’étant pas un grand fan de romantisme et encore moins de l’époque (Paris et la révolution au 19ième siècle), de ses costumes et du type de narration, il m’est impossible de crier au chef-d’oeuvre pour cette série ! Je mentirais néanmoins en disant que le dessin tout de noir (mort) et de rouge (amour) n’est pas fantastique, accrocheur et en symbiose avec un excellent scénario et une ambiance tragique, envoûtante et romantique ! C’est ce dessin et les personnages bien développés qui m’ont fait accrocher à l’histoire, à l’ambiance et à la série !
Je me réjouis donc de ce cinquième tome moins romantique que les précédents. De plus, ce premier tome d’un second cycle annonce un exile vers Cayenne, loin de Paris et de sa révolution. Une thématique différente et un changement de décor tout en restant dans la lignée sombre de la série, ça promet !
Une agréable bd de science fiction, copieuse (70 pages), cohérente et avec des personnages touchants !
La nuit tombée, l’ambiance s’alourdit, le bon samaritain se met à l’écoute de vos peurs, de vos angoisses ... une ambiance à la Stephen King s’installe! Même si la peur ne s’installera pas, ce récit cauchemardesque aura le mérite de vous faire goûter à la nuit et à une nouvelle histoire bizarre qui si déroule!
Etant donné que les cauchemars qui font le plus peur sont ceux qui semblent réels on peut reprocher au scénario de ce troisième tome de s’éloigner un peu trop de la réalité, mais l’ambiance reste la même que dans les 2 tomes précédents, avec le bon samaritain comme fil conducteur à travers cette série sombre.
Nous poursuivons la double histoire de Soledad - son passé et son présent. Si nous avançons bien dans la narration du passé de la pirate andalouse et que nous avons quelques éléments nous indiquant comment elle est devenue un écumeuse des mers, le présent ne nous réserve guère de surprise et c'est ce que je trouve dommage. Ce que prévoit Al Makhzun se voit vérifié, sans surprise, dès les premières pages et le dénouement de la tractation avec le sultan d'Alep ne nous étonne donc guère. Par contre, la fin de l'album annonce quelques changements, certes prévisibles, dans le présent de l'Andalouse. J'attends avec intérêt et curiosité la façon dont Sylvianne Corgiat les traitera dans le prochain tome.
Le dessin de Christelle Pécoud est parfois inégal comme l'a fait remarquer Asceltis dans sa chronique, mais j'apprécie particulièrement ses scènes d'intérieurs et je regrette qu'il n'y ait pas d'avantage de décors quelquefois. J'aime également beaucoup ses tronches de pirates balafrés !
Les couleurs de Delphine Lacroix animent les scènes et ses"nocturnes" ou "à la lueur des torches" me plaisent beaucoup.
Un album avec une histoire de pirate somme toute assez classique mais réhaussé par le fantastique venant de la pierre de lune et de ses pouvoirs.
Et bien voilà ce que j'appelle du très bon polar. Tous les ingrédients sont réunis, ici, pour créer un climat où le suspense et les ambiances malsaines sont présents à chaque instant.
Le scénario est très bien élaboré. Le scénariste a placé ses pions avec beaucoup d'intelligence. Le résultat est à la hauteur.
Nous voilà débarqués, ici, dans la banlieue lyonnaise au milieu des délinquants et trafiquants de drogues en tout genre. Le tout géré par la mafia locale.
Du coté des "gentils", nous découvront un ex-flic, un écrivain en herbe, un délinquant reconverti et bien-sûr une jolie fille. Vous aurez compris que la galerie de personnages est très riche et complète, et que chacun d'eux a un vécu digne d'interêt. La trame du sujet est présentée en trois tomes, ce qui est bien nécessaire pour cerner tout les aboutissants. Dès les premières pages, on est absorbé par l'intrigue. De ce fait, je vous avoue que j'ai lu les trois albums suivants, car j'étais impatient de connaître la conclusion.
Le dessin d'Olivier Berlion ("Lie-de-vin") a quelque chose d'envoûtant. Son trait réaliste est mis en valeur par les clair-obscurs qui donnent un côté énigmatique au récit. Cette atmosphère intimiste colle très bien avec ce genre d'histoire. Par la même occasion, cela accentue encore plus l'aspect dramatique de cette enquête et cela lui donne beaucoup de réalisme.
Les couleurs sont fidèles au dessin et s'intègrent très bien dans l'idée générale.
"Histoires d'en ville" est un excellent album qui a tout pour plaire. C'est-à-dire un très bon scénario et un dessin qui est du même crû.
A suivre, d'urgence !!!
J'avais bien accroché sur la premiere serie parue chez vents d'ouest dont j ai l'integrale.
Quelle déception, il n'y a aucun rythme, des dessins approximatifs,le scénario plutot mal ficelé.
Pour la representation de la ville sous les flots etc, on dirait tous les plans ressortis de valérian la cité des eaux mouvantes, la surprise en moins.
Tous les dessins appraissent comme figés, a l'exemple de manque de vent lors de la descente page 18 sans mouvement de cape qui reste betement collée aux talons alors que ca apparaissait dans le storyboard ! Ca rend toutes les phases d'action très statiques et sans pêche.
C'est dommage que les croquis a la fin du tome soient plus jolis que les dessins de la bd.
Pour le scénar, déja dès le début on vois zorya noire comme le néant, et quand le serpent lui offre la place du néant (sigh) elle se révolte, achement logique, tous comme les mutations qui apparaissent immotivée de son compagnon dans le monde apocalyptique.
Bref une bd d'heroic fantasy sortie de son contexte et donc de son charme originel. Peut etre qu'un jour ils nous feront une BD terminator au pays des bisounours !
En attendant je lirais peut etre le tome 2 en super marché pour voir si ca se corrige.
J'ai trouvé ça excellent ! Décidément, j'aime beaucoup le style d'Hermann pour ce genre d'histoire, le dessin est un peu glauque et "angoissant" à souhait. Le scénario est un peu compliqué sur la fin mais on est pris dedans et on n'arrive pas à s'en dégager avant d'avoir tout lu.
Histoire :
June Hackett, jeune conservatrice assistante, vient de recevoir une lettre de sa mère qu'elle n'a plus revu depuis 12 ans, lui demandant de venir la voir à la demeure familiale, sur son lit de mort.
En route June découvre que sa famille possède un lourd passé qui dérange certaines personnes.
Dessin et scénario :
La maîtrise des couleur et de l'outil informatqie de François Baranger n'est plus à prouver après cette BD.
Less couleurs et différentes textures du décors sont magnifique et crée une atmosphére parfaitement adaptée à l'ambiance des scènes : féerique, angoissante ou étoufante . Le petit bémol provient des personnages, qui malgré un bon coup de crayon, manquent de naturel, les visages ne sont pas assez expressif par un manque de profondeur des traits.
L'histoire est une sorte de récit narré par l'héroïne June, qui exprime ses sentiments et ses doutes sur sa famille et ses rencontres. Cela permet de créer une sorte e mis-clos qui nous emporte dans un monde qui bascule de plus en plus dans le fantastique au cours de l'histoire.
Ce premier tome de françois Baranger est une réussite narratif, car il crée une histoire qui a tout les aspects d'une aventure angoissante qui peu tourner au cauchemar pour les protagonistes et en créer chez le lecteur.
Son dessin manque un peu de maturité surtout au niveau de la profondeur du trait des personnages, mais cela est peut être dû à l'outil informatique.
Je conseille cette BD à tous les amoureux du Fantastique avec un grand "F" et de Lovercraft le maître dans le genre.
Quatre histoires basées sur des nouvelles dont l'action se déroule pendant et après la seconde guerre.Les nouvelles elles memes ne sont pas extraordinnaires, en fait la fin est chaque fois un peu brutale et prévisible.Cependant un moment sympa à lire cette BD.
Coté dessin, j'adore ce type de dessin sans couleur qui font resortir toutes les expressions et les mouvement sans fioriture.
A lire pour les amateurs du genre.
Je viens de lire l'affaire belge. Et je n'ai pas aimé. Pourquoi ? D'abord parce que ce n'est pas le Canardo que j'aime mais ça ce n'est pas une surprise, le temps des débuts est bel et bien fini, donc ce n'est pas de là que vient ma déception.
En fait, j'ai trouvé la caricature trop grossière pour vraiment me faire rire : d'accord certaines anecdotes sentent le vécu mais à trop vouloir forcer le trait, Sokal se décrédibilise lui-même. Voir la Belgique comme un pays où les jeunes veulent devenir soit dessinateur de bd soit coureur cycliste... mouais, pourquoi pas, mais pas convaincu non plus. Et le coup du pot graphique... j'ai trouvé ça plus risible que drôle. Les déconvenues du jeune dessineux dans une école de bd ne m'a pas fait rire non plus.
Le personnage de Canardo n'a absolument rien à voir avec l'histoire, on aurait pu mettre n'importe qui. Si Sokal avait vraiment des comptes à rendre avec le milieu de la BD, il aurait pu à mon avis faire un album à part, parce que je me suis demandé tout le long ce que Canardo faisait dans l'album : ce n'est qu'un prétexte. En plus, les éléments de critique du milieu de la bd ne sont qu'effleurés, je n'ai pas senti de réelle implication de l'auteur dans ce qu'il disait. Il s'en fout de la bd ? Ben qu'il arrête d'en faire, pour moi c'est aussi simple que ça. Parce que même quand il tente de dénoncer ce qu'il n'aime pas, j'ai l'impression qu'il n'y croit pas non plus.
Bref, un album fade.
Je continue à penser que Sokal devrait tout bonnement mettre fin à cette série.
Une histoire lue , relue et re relue.Pas d'originalité dans le scénar , des erzats du fourreux, de lanfeust, de cixi etc ...
Une BD sauvée par un très bon dessin à mon avis.Merci Varanda.
Attendons la suite
Le dessin et le scénario :
Le dessin peut sembler étrange par l'incrustation des personnages sur le décor fait par ordinateur, mais la beauté des décors et la qualité du dessin net et peu encré, nous fait oublier ce décalage.
Les couleurs sont parfaitement adapté à la trame de l'histoire, se mariant au dessin et rendant celui clair et nuancé.
Le scénario permet de créer un mystère que nous découvrons au long de la lecture : qui sont les Delany, pourquoi ont-ils été tous massacrés, qui sont ces mystérieux guerriers dorés.
Nous compatissons à la douleur du héros Andrej et découvrons ses sentiments mitigés. Mais son détachement le rend étrange et mystérieux.
Cette BD est merveileuse que cela soit au niveau des dessins, des couleurs et de la trame du scénario On découvre une histoire tragique qui doucement penche vers le fantastique, avec une fin de tome qu vous donne une énorme envie de lire le suivant. Car on découvre une nouvelle facette de l'histoire qui crée un rebondissement étrange et ouvre de nombreuses possibilités.
Je conseil cette ouvrage à ceux qui adore la période médiévale teinte de fantastique.
J'ai dévoré cette oeuvre au graphisme superbe à l'ambiance dérangeante, preuve de la trace de Bertolt Brecht, mais pleine d'espoir. Les couleurs collent parfaitement à cet univers de la dérision où la machine, représentant le pouvoir de la société, joue avec l'homme pantin. A lire absolument, à posséder complètement
Cette BD est tirée de l'oeuvre "Le Temple" de H.P Lovecraft. Elle retranscrit à merveille l'univers confiné d'un U-boat allemand durant le premier conflit mondial dont l'équipage est envoûté par la présence "mystique" d'une petite tête en ivoire....Les couleurs sombres renforcent la folie, l'oppression de la discipline, et laisse supposer la fin inéluctable. :bravo: aux auteurs pour avoir réussi le pari d'adapter Lovecraft.
De plus, la cahier de 6 pages à la fin, vous permet de mieux comprendre cet auteur fabuleux qu'était Lovecraft.
Une Bd à posséder absolument