Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2025 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 17/01/2025 à 08:16:57 en 0.5203 sec
bon melange d'aventures et d'esoterisme, le dessin n'est pas tellement a mon gout et les couleurs sont assez mauvaises
Brunschwig parvient une nouvelle fois à clôturer de façon magistrale une série au scénario sensationnel ! On aurait pu croire que Warren s’était rangé et était devenu "bon", mais le mal était trop profond et tel Tarantino dans ses films il fallait que Brunschwig fasse éclater cette folie meurtrière une dernière fois avant de conclure avec brio. On appréciera particulièrement le petit clin d’œil au Pouvoir des Innocents avec l’apparition de Jessica Ruppert, maire de New York et personnage principal dans Le Pouvoir des Innocents, qui vient assister en tant que "guest star" à l’apogée de cette série. Bravo !
Pour Melvin Hubbard, le personnage central de ce western pas comme les autres, tout commence le jour où l’on a tué Wild Bill. Accroché à un caillou porte-bonheur infiniment précieux à ses yeux, à ses rêves d’éleveur et à cette promesse qui clôturera l’album, il s’éloigne de l’adolescence à la recherche d’une nouvelle vie. Livré à lui-même il apprendra à survivre dans l’Ouest américain sauvage. Et si la dernière page clôt le récit, la vrai vie ne fait que commencer pour Melvin.
J'ai pris un immense plaisir à lire cet album qui est d'une rare qualité tant au point de vue de sa qualité graphique et de ses couleurs que du scénario.
Un nouveau talent est né en la personne de M. CINNA vivement le prochain album
Un premier album pour cette auteur de bd, le style est fluide, le dessin interressant. la mise en place de l'action, 10 pages peut sembler un peu longue mais elle introduit parfaitement le caractere des personnages tout en faisant avancer l'histoire de 20 ans. La suite est bien amenée, et j'attends impatiement la suite des aventures de la jeune dresseuse ! a découvrir pour ne pas passer à coté d'une future trilogie incontournable?
Enfin un album sensationnel, il y a longtemps qu'aucun dessinateur n'avait atteint ce niveau de perfection, une atmosphère, des couleurs et des dessins du plus niveau.
Bravo à Olivier CINNA
Et on continue dans la qualité. C'est un vrai plaisir de voir que l'auteur c'est ressaisie et arrive à nous pondre une nouvelle intrigue de qualité liée à la précédente. L'histoire est très prenante, l'enquête plutôt bien menée et les déduction sont logiques et assez crédible dans l'ensemble mais si certains points sont assez étonnant je ne m'avancerais pas pour dire qu'ils sont faux.
Bref un bon moment.
Ce volume est vraiment excellent il n'y a vraiment aucune baisse de qualité. On va de plus en plus loin dans la réflexion sur le comportement humain avec entre autre la confrontation d'Akiba face au deuil d'une personne qu'il aimait beaucoup. L'intrigue évolue tout de même assez lentement mais la réflexion engagée est suffisament intéressante pour passez sur point.
Un très bon volume, bien prenant où l'on fait connaissance avec de nouveaux personnages. On commence a mieux cerner la personnalitée de certains Shinigami qui vont surement jouer ubn rôle important dans l'histoire. De plus c'est également l'occasion de faire un petit retour sur les motivations de certains personnages qu'on avait un peu perdues de vue au fil des combats.
Un volume très prenant qui promet de nouveaux bon moments en perspective.
désolè mais je ne suis pas de ton avis!!!
non seulement bercovici nous montre la vie dans les hostos et les personnages me font marrer
ki n'est pa passè au bloc sans avoir la trouille;ben bercovici fait mouche à chaque fois
je préfère bercovici à pif le chien et à glop glop
bonne journèe
cordialemnt
On rit et on angoisse au rythme des frasques de Marco. Le dessin d'abord grossier devient très vite essentiel à l'atmosphère de l'histoire. L'auteur sait d'un coup de crayon nous plonger dans les états d'âme de Marco. Quand à l'histoire de ce combat ordinaire, je pense que beaucoup de gens s'y retrouveront, dans ces angoisses du quotidien, même quand tout va bien en apparence. Il y a trop peu de BD dans ce genre...
Voila encore une bonne bande déssinée qui n'aura jamais de suite probablement.... (série non reprise) ! et quel dommage!! Si vous aimez l'aventure, les dirigeables, et les rebondissements dans une èpoque victorienne, alors récits des siecles oubliés est pour vous! C'est de l'excelent steampunk sortie en 1999! C'est l'ouvrage que l'on ressort plusieurs fois pour le relire, enfin vous l'aurez compris j'adore! N'hesitez pas, il ne se trouve plus que d'occasion, mais ce seul ouvrage se suffit à lui- même et necessite son achat.
Ce 2nd tome est encore mieux que le premier.
Même qualité du dessin (superbe), des dialogues "aux petits oignons", mais avec une histoire beaucoup plus prenante : le racisme, les théories de race pure du nazisme, le Ku Klux Klan, tous ces thèmes sont mélangés et abordés avec beaucoup de finesse.
C'est vraiment très très bien
J’avais une réticence de lire cette BD : je n’aime pas les BD où les personnages sont des hommes à tête d’animaux ou des animaux humanisés (comme vous voulez). Mais là, je dois dire que c’est vraiment très bien.
Le dessin est magnifique, les visages sont très expressifs. Le scénario lui est un peu « tiré par les cheveux ». Par contre les dialogues sont idéalement adaptés au dessin et au caractère « animalier » des personnages.
Puissamment triste, puissamment beau. Enfin une BD qui vous plonge dans de profonds états d'âme, comme il en existe peu.
La fusion réussie de la poésie et de la BD. Dans l'océan actuel des BDs aux scénarios convenus et commerciaux, lire et relire Sambre.
On en apprend un peu plus sur les Arms dans cet album qui clot un premier cycle de la série.
La fin inattendue vous laisse l'eau à la bouche quant aux prochains tomes.
Les dessins de ledroit sont un vrai régal,l'histoire est captivante c'est à lire absolument.Pour les amateurs de Ghorghor Bey,et d'aventures.
Voilà une intrigue qui sort de l'ordinaire! Le tome 1 nous présente Garance et les éphemères. Dès le départ on sens bien que ce beaux monde est très bizarre, et sauf à avoir lu la présentation de BDGest qui dévoile un peu (trop) le contenu, les révélations arrivent petits à petits alors que l'intrigue se noue doucement et offre une excellente mise en haleine. La suite sera attendu avec impatience.
Le tome 2 est dans la lignée du 1. Le suspens est toujours bien maintenu. Certes on peu regretter que les premières planches sont une reprise du tome 1 qui ne s'affiche pas comme tel. Le t3 annonce la fin du cycle, je l'attend avec impatience...
Certes, cette BD n'atteind pas des sommets mais j'ai été agréablement surpris. Les dessins sont beaux, l'univers décrit est riche, et finalement, après un début d'histoire tranquille, l'intrigue se noue rapidement et est assez prenante. Et puis le héro genre salopard qui n'a pas de scrupule, je trouve que c'est assez frais par rapport au profil type du héros toujours bon et honnête.
Même qualité graphique. Par contre le scénario a du mal à s'enrichir. On attend toujours qu'il se passe quelque chose d'important, mais on reste vraiment sur notre faim. Reste que le suspens est maintenu, on espère le voir se nouer vraiment au prochain album...
Les dessins sont saisissants et l'histoire commence plutôt bien. Genre Aquablue, on devine que des méchants envahisseurs arrivent pour un coup foireux. Mais tout au long de l'album, on attend en vain l'intrigue...
Le gouvernement essaye-t-il de dissimuler le fait qu’un nouveau virus mortel vient d’être découvert dans la nature ? Le contrôle de ce virus (qui fait penser à un mélange entre la maladie de la vache folle et Ebola) ne lui échappe-t-il pas ? Si ce sujet a déjà été traité à plusieurs reprises, il est ici mis en image de façon irréprochable et quasi cinématographique ! Le suspens est au rendez-vous et petit à petit la tension d’un virus prêt à envahir la population se met à monter. Heureusement, un journaliste infiltré au sein d’une association de défense des animaux va peut-être pouvoir mettre au jour cette histoire que le gouvernement essaye d’étouffer.
Prévu en 4 tomes, ce premier tome de présentation est déjà très prenant et aborde un sujet relativement connu de façon réaliste avec une approche originale via une association de défense des animaux dont l’idéologie et les actes peuvent être discutés, mais dont les acteurs principaux sont intrigants et attachants dès le début. Un bon début d’intrigue très haletant !
Je lis des BD depuis 35 ans. J'ai une collection de plusieurs centaines de volumes. Les 3 livres de Mouchel sont mes plus precieuses BD. Je les ai lues et relues. Cet album est un chef-d'oeuvre. Les mots me manquent pour decrire mon emerveillement renouvelé a chaque lecture du Mur de Pan. Pourqoui faut-il que les meilleurs auteurs de BD soient obligés de finir leur histoire en 3 volumes (éditeur frileux?) alors qu'on est par ailleurs submergés par le flot de médiocrités qui ne valent meme pas le prix du papier. Decidément le monde de la BD est injuste.
des personnages charismatiques,une histoire saisissante,un graphisme qui ne ressemble pas aux autres mangas, le volume 1 nous invite dans le monde de lodoss et esperons que le volume 2 sera encore meilleure...
difficile de ne pas penser à Titeuf en découvrant Jazon, tant le petit suisse a fait des émules, pas toujours à la hauteur du modèle... Mais ici, surprise ! les gags sont d'une rare qualité, servis par un dessin simple et efficace ; le tout illuminé par des couleurs chaudes. Ce premier tome atteint largement son but : faire rire.
Quel plaisir à lire cette BD pleine de contrastes où la poésie dégagée par le
dessin de Fanny Montgermont s'oppose à la réalité de la seconde guerre
mondiales.
D'autres diraient; quelques minutes de douceur dans un monde de brutes.
et en plus l'histoire est terminée en 2 tomes...
Bizarre, la série s'arrète au Tome 6 alors qu'il doit exister (au moins) une suite "Le jeu le plus dangereux". De plus, ce Tome 6 s'arrête plutôt brusquement avec un suspense (tout relatif vu le niveau de cette série) insoutenable...
Une série très année 70, avec de l'aventure a gogos, des couleurs assez criardes, un trait réaliste et surtout forcément des femmes aux belles cambrures avec des pantalons bien moulants souvent à moitié arrachés (et oui, seulement à moitié !).
A part pour les amateurs, fanatiques de ce style, rien a en tirer réellement. De plus la narration est souvent plutôt moyenne (avec des trous, des manques, des abbérations...)
Histoire :
En 1907 un jeune militaire, Amédée Fario, rêve de gagner le Tour de France.
Après son service, pour réaliser son rêve, il est obligé de travailler comme porteur et ravitaille l'Observatoire du Pic du Midi.
Il est prêt à prendre tous les risques, même pendant l'hiver, pour pouvoir avoir son vélo et enfin s'entraîner.
Dessin et couleur :
Christian Lax, rend parfaitement l'ambiance de la montagne, par des couleur claires et lumineuse.
Son dessin est soigné et précis, les détails sont bien rendu, sans surchargés les cases, et nous permettent de nous plonger dans cette aventure humaine avec facilité.
Scénario :
L'auteur nous fait partager sa passion du cyclisme et nous fait connaître les origines du Tour de France avec les isolés (ceux qui non pas de sponsor et qui sont obligés de tous se payer), les contrôles surprise en cours de l'étape, les accidents dûent aux aléas du matériels de l'époque, les journalistes sportifs et les grands pionners du tour de France.
La comparaison avec le Tour de France que nous connaissons aujourd'hui est obligatoire et le constat est indéniable, celui que nous connaissons à perdu de sa superbe.
Mais cette oeuvre nous expose une superbe aventure humaine où les hommes se surpassent pour gagner le bouquet du vainqueur, avoir leur surnom dans le journal sportif et ainsi rentrer dans la Légende du Tour de France.
Cette BD est sublime et je la conseille à tous ceux qui aiment les grandes aventures humaine, où les hommes vivent leur passion. Si vous aimez le Sommet des Dieux ou tous autres ouvrages montrant à quel point l'Homme peut devenir grand en dépassant ses limites, alors achetez L'Aigle sans orteils de Lax.
J'ai trouvé ça plutôt bon, niveau dessin rien à redire c'est beau et realiste ( les demoiselles sont assez jolies ) niveau histoire c'est vrai que sa rappelle le film Alerte (je l'ai vu y a pas mal de temps donc j'ai que des vagues souvenir ) un virus est present dans la nature et le gouvernement veut a tout cacher l'affaire, niveau personnage ils sont assez sympa, pour l'association des animaux je les ais pas trouver sin extremiste que sa même si leur propos peuvent choquer. Dans ce tome l'histoire avance bien ce n'est donc pas qu'un tome de presentation.
j ai franchement adoré:le graphisme est superbe, les perso sont simpa,l histoire est passionnabte,la mise en page est bien ect. . .
j aime vraiment ce manhwa mais malgré cela il y a un truc qui cloche c est ke le 1er tome n a casiment rien a voir avec les 4 autres.
mais c est un petit détail ki ne m a pas empecher de dévorer les 5tomes.
je le recommende vraiment.
Allons droit au but, je suis déçu par ce tome3.
Le dessin de Xavier n'est pas en cause, je trouve qu'il a honorablement repris la série abandonnée par Varanda, ces anges et les nombreux décors de paradis sont plutôt bien faits.
Non, la grosse déception, c'est le scénario. Enfin, le scénario c'est beaucoup dire. Il se passe quoi dans cet album? Pas grand chose en fait. C'est comme ça depuis le début, vous allez me dire...
Oui, mais là c'est vraiment trop flagrant. On va au paradis, on va sur terre, un petit tour en enfer, retour au paradis...Le principe de base est rabâché jusqu'à plus soif (il faut un équilibre entre le bien et le mal, sinon c'est la cata...), les personnages sont sans épaisseurs, des dialogues ou commentaires qui paraissent bien creux...
On a beau savoir que le prochain tome est le dernier, on ne peut s'empêcher de penser que tout ça aurait facilement pu tenir en 2 albums.
Pour qui aime voir des anges avec des épées, c'est l'album parfait...
Un album graphique, en quelque sorte.
Quelques perles pour finir:
"L'important c'est de vivre,... même juste une minute de plus..."
"Bon, les filles, qu'est-ce que vous me voulez? On monte un groupe? L'une de vous est guitariste?"
"Soyons sincère, veilleur. Vous n'aviez jusque-là pas joué un grand rôle dans cette histoire. Pas actif, du moins. La démone et l'enfant eux, ils ont participés, vous...vous suiviez. Mais plus maintenant."
Remarquez, on n'en est qu'au milieu du tome 3, hein...
Dans ce tome 3, la "famille" des petits Zorn et Dirna est entièrement recomposée et ne cherche dorénavent qu'à vivre en paix, loin des tumultes qui les ont séparés. Mais c'est sans compter sans la horde et un certain forain...
Un album dans la continuité du précédent, l'histoire avance et l'on connait maintenant les origines de nos personnages. Plusieurs flash-backs nous en apprennent beaucoup sur le passé de Zorn, Dirna et leurs parents. On découvrira même l'origine secrète de leur pouvoir. Le thème de la mort est toujours abordé avec beaucoup d'originalité, les 4 héros prennent encore d'avantage d'épaisseur, essentiellement du point de vue psychologique.
Bessadi est maintenant seul au dessin, mais l'on ne voit guère de différence avec les 2 tomes précédents, le trait est toujours aussi précis et agréable, les couleurs réussies.
Bref, j'ai vraiment beaucoup aimé cet album.
très bonne BD sur un theme que j'aime bien ( les pirates ) c'est pas toujours drôle mais les "gags" marche la plupart du temps. Un dessin caricatural tres bon.
Un bel album, domage qu'il n'y' est aucun scenario ! ! !
Surprenant. Vous arrivez à la dernière page et vous vous dites que cela ne peut pas se terminer comme ça. Et bien si.
Brunschwig nous fait (encore) une fin à laquelle vous ne vous attendez pas.
C'est noir, puissant, violent et tourmenté. Bref c'est à lire.
Prenez une héroïne au joli minois, à la moue craquante et dotée d'un physique avenant, faites-en une détective privée installée dans une ville de rêves - Venise - traquant un voleur d'objet d'art qui lui glisse chaque fois entre les doigts, recherchant un tableau pour récupérer son héritage et ajoutez une idylle avec un jeune brocateur, vous obtiendrez un manga au ton léger et désinvolte, une histoire qui semble improbable tout en captivant le lecteur.
Scénaristiquement, on se demande assez souvent où on va , mais une fois pris le parti de lire une sorte de rêve éveillé tout s'améliore et on peut jouir de cette lecture particulière. Le graphisme est soigné avec un côté assez simple. Certaines pages donnent une impression de distance comme si on regardait un film ou un tableau en noir et blanc.
Un bon moment de lecture.
Une série qui aborde le thème de l'inceste entre frère et soeur. En somme une histoire très romantique d'amour impossible malgré des sentiments trops réels. La présence des chéris de Kasumi et Yoshiki n'arrange pas l'affaire, leurs soupçons non plus. Le plus intéressant dans cette histoire, c'est le problème moral soulevé et dont les deux sont bien conscients, sinon ce n'est pas exceptionnel.
Côté dessin : ben très shojo.
Je note qu'il y a 15 volumes, de quoi se demander si on ne tombera pas dans les pires tourments psychologiques façon Minami Ozaki...
A suivre pour voir l'évolution.
Un petit bijou. Après "Blue", K. Nananan explore avec finesse et sensiblité (voire sensualité) les atermoiements sentimentaux d'une jeune japonaise d'aujourd'hui, Miho. Là encore, graphisme très particulier, épuré, par touches sombres et claires. Des sensations, des sentiments à fleur de peau. Superbe!
Eh bien, cela promet. Un dessin sympathique, un humour décalé, des jeux de mots tout au long de l'album.D'ailleurs les avez vous tous?
Si la lecture de ce titre ne vous fait pas rire, c'est à n'y rien comprendre.
A lire de toutes urgence.
J’avais pris le risque d’acheter les 3 premiers tomes d’un coup et en commençant le premier tome j’ai d’abord eu un peu peur d’avoir fait une erreur: le dessin ne m’avait pas trop accroché au départ et la résurrection du coéquipier m’avait fait craindre le pire côté histoire.
Heureusement l’histoire devient vite passionnante, le dessin finit par accrocher et de tome en tome on prend de plus en plus de plaisir à s’enfoncer dans l’intrigue tout en s’attachant aux personnages dans un thriller haletant et rythmé.
Belle histoire, mélangeant le traumatisme d’après guerre, l’art, l’amour, l’enfance, la jalousie ... Paisiblement le tout s’installe, se mélange et nous prend. Si le dessin m’a fort plu et que les personnages sont attachants, je dois néanmoins déplorer le choix du caractère d’écriture de la "voix off" qui est pénible à lire et pas toujours lisible.
Quand on entend les plus anciens dire que le Tour de France, ce n’est plus comme avant on a souvent du mal à comprendre. C’est vrai, on a vu des images en noir et blanc à la télé, des anciennes photos d’époque, mais souvent on ne reconnaît aucun de ces héros des générations précédentes du tour.
Cette BD à le mérite de donner un côté humain à cette époque et de nous en rapprocher, en nous faisant vivre (et en couleur s.v.pl) l’ambiance du Tour de France avant la première guerre mondiale tout en donnant un visage humain aux participants.
Et c’est vrai qu’après lecture il faut bien se dire que "Le tour, ce n’est plus comme avant" ... et l’on en viendrait presque à regretter cette époque que l’on n’a pas connue. Plus qu’un récit sur le vélo, l’Aigle sans Orteils est aussi un récit très humain sur le courage, la volonté, la montagne, merveilleusement dessiné et mis en couleurs.
La perception que l’on a du comportement de ses parents se modifie avec l’âge et c’est ainsi que petit à petit l’on commence à mieux comprendre leurs actions et leurs décisions. Mais que se passerait-il si au moment d’arriver à la maturité nécessaire pour comprendre des actions parentales que l’on désapprouvait au départ, on coupait tous les ponts, figeant ainsi ce processus de compréhension en plein berceau de l’adolescence.
C’est ce qui arrive à Yoichi, qui en désaccord total avec les actions de son père, quitte le domicile parental avant de vouloir/pouvoir comprendre son père. Ce n’est que 30 ans plus tard, lors de l’enterrement de son père, que ces yeux et son coeur s’ouvriront sur la véritable nature de son père. L’addition sera lourde pour Yoichi et ses 30 années d’aveuglement/isolement.
Si le scénario est moins original que celui de Quartier Lointain, ce chef-d’oeuvre n’en est pas moins émouvant. Une ode à la famille, une prise de conscience et la douleur d’un homme qui ne rencontre son père qu’après la mort de ce dernier. Emouvant, attention aux larmes.
La Guerre Eternelle est une dénonciation de l'absurdité de la guerre, de l’entraînement militaire, des gradés, de la "logique" militaire, ... C’est un grand thème qu’aborde ici Joe Haldeman en se basant sur son passé au Vietnam et si la science-fiction est son genre préféré, je ne trouve pas que la science-fiction soit le meilleur choix pour véhiculer un sujet aussi réel. Si l’histoire, sa noirceur et le côté "dénonciation de la guerre" m’a plus, le coté science-fiction ne m’a par contre pas convaincu. Quant au dessin de Marvano, il a pris un coup de vieux quand on compare à Universal War One.
Une série magnifique, des personnages vrais, une héroïne sexy, un graphisme superbe, un monde fantastique détaillé avec finesse et une intrigue soignée. Bref, une série à conseiller.
N’étant pas trop amateur de SF, je me suis retrouvé dans un combat spatial digne d’Albator, avec un casting faisant penser aux 12 salopards et en plein milieu d’un cours de physique-quantique, le tout ficelé dans un scénario en béton armé !
J’ai dévoré les 5 tomes d’un coup, me demandant à chaque fois comment le scénariste allait s’en sortir au tome suivant sans pour autant s’engouffrer dans une SF aux explications plus débiles les unes que les autres ... et à chaque fois j’ai été scié par les virvoltements, la qualité et la solidité du scénario, de la cohérence de l’argumentation scientifique et par la qualité du graphisme.
Si, comme moi, vous n’êtes pas un amateur de SF, lisez cette série car c’est probablement une des seules à pouvoir vous convertir et si vous êtes amateur de SF ... vous l’aurez sûrement déjà lu.
Suite et fin de ce premier cycle, mené de mains de maîtres.
Une vraie lecture plaisir. Une intrigue assez complexe, de par la multitude de protagonistes, pour nous dérouter "juste ce qu'il faut" et nous inviter à nous replonger dans cette très bonne BD.
Ce tome 2 est dans la continuité du tome précédent: un superbe dessin et une histoire bien menée au cours de laquelle on fait connaissance plus précisément avec de nombreux personnages.
Très bonne BD. Un dessin de qualité et une intrigue intéressante.
Cet avis concerne la série dans son ensemble.
J'ai du mal à mettre moins de 10/10.
Cette grande fresque de fiction historique pointe le doigt sur d'innombrables composantes du genre humain: la religion, la violence, la cupidité... On y retrouve les marques de l'integrisme, le massacre arménien, les croisades antiques...
L'histoire de ce manuscrit à rebours au fil des siècles est une grande fable dont on cherche à comprendre l'origine.
Le changement de dessinateur à chaque tome, loin de casser une unité de style à la série y ajoute une richesse graphique.
Certes, au cas pas cas, les scénarios sont inégaux. Mais la majorité tiennent la route et la progression est réussie. D'autant que le fait qu'un tome ne colle pas exactement au suivant nous permet de construire nous même les transitions (sauf à lire le tome 11).
Sûrement ce que j'ai lu de mieux depuis longtemps.
Mettons que je note le dessin sur 5 et le scenar sur 5 aussi: dessin 4/5 sc. 1/5
Pellet ne se fout pas de nous et nous présente un dessin que je trouve toujours plus soucieux du moindre détail. Il créé un monde riche et varié dans la flore, les costumes. Le coloriste en place depuis 4 albums en ajoute encore au relief.
Côté scenario, encore un tôme qui ne sert à rien comme c'est devenu le cas régulièrement avec Arleston qui commence à sérieusement nous prendre pour des cons. L'histoire avance à peine, les personnages évoluent peu. Ah ça, des batailles avec plein de sang et des attaques de monstres, y'en a!! Encore une belle série de chez Soleil qui s'apprête à ne devenir q'une simple esbrouffe commerciale.
Merci Pellet! Arleston au boulot!!
Les histoires se succèdent ayant toutes comme point commun un Soda charismatique qui attire la sympathie. De plus chaque histoire a un point fort qui diffère à chaque fois selon l'histoire traitée mais pour le moment ma préférée reste celle du tome 5 "Fureur chez les saints". Chaque histoire est passionnante à suivre et le côté humain des personnages (surtout dans "Dieu est mort se soir") est vraiment l'atout principal de cette série.
Il s'agit d'un receuil d'histoires d'horreur plutôt bien faites et qui ont le mérite de tenir accrochées. On passe un bon moment de lecture. De plus à travers chaque histoire c'est le comportement humain et ses dérives qui sont dénoncés. C'est vraiment bien fait même si au départ j'ai été assez réticent vis à vis du dessin, ce dernier met bien dans l'ambiance.
Une histoire prenante de bonne qualité avec des personnages sympathiques mais auxquels on a du mal à s'attacher. L'intrigue est plutôt pas trop mal mais quand même un peu courte et certains points auraient pu être davantage développés. On passe tout de même un bon moment de lecture.
Encore meilleur que le premier : plus mystérieux, plus "d'effets spéciaux", plus d'interrogations, plus plus! Vivement la suite!
Une bonne critique anti-télé-réalité. Cet album dépend des goûts télévisuels des gens : ceux qui aiment la télé-réalité vont détester cet album et inversement. En tout cas moi j'ai adoré!
Ce tome 2 du dyptique "Bouclier humain" (Suite et fin) est dans la continuité du très intéressant tome 1. Le style du dessin est ce qu'il est. On dirait qu'il évolue (très) légèrement dans ce deuxième tome, mais peut-être est-ce mon exemplaire dont les couleurs semblent être plus pâles, qui me donne cette impression ? En tout cas, passé le débat du "on aime ou on n'aime pas le coup de crayon du dessinateur", le lecteur sait que l'important est avant tout le message transmis au travers l'expérience d'Amara. Une expérience faite d'allers et de retours, de volontarisme et de reculs, d'hésitations. Bref, un reportage fait par quelqu'un comme vous, comme moi.
On comprend (et l'actualité nous l'a bien montré) que même si les boucliers humains n'ont pas servi à grand-chose, au moins auront-ils eu le mérite d'exister. On assiste à l'écrasement des initiatives de paix par les sourdes grosses machines de guerre guidées par des intérêts dont sont loin les victimes. (Dans le même ordre d'action, on se souvient des tee-shirts, avec une cible pour motif, portés par les serbes qui défendaient leurs ponts).
On comprend également (mais... ne le savait-on pas déjà ?) qu'il s'est passé en Irak beaucoup de choses qu'on a su, mais aussi beaucoup dont on n'a pas eu vent. Et cette BD apporte sa pierre au mur des témoignages. Il fallait qu'elle soit éditée pour que les photos prises par Amara (qu'on ne pourra jamais voir pour cause de "censure américaine" manu-militari) puissent quand même nous parvenir en images.
Réjouissons-nous ! La BD ne se cantonne plus au récit d'histoires: c'est un outil. Qui dérangera ou pas, mais qui donc s'imposera de plus en plus comme un support inévitable.
Un ton un peu plus léger que dans les derniers volumes. Tout tourne autour du mystérieux Kuréno dont Uo est éprise. Parallèlement, nous voyons Yuki confronté à sa mère sur la question de son avenir et au vice-président de l'Association à laquelle il appartient au sujet de Torhu.
Un volume intéressant, encore une fois, même si l'intrigue autour de la malédiction des Douze n'avance pas d'un pas !
On continue avec les débuts de Blast et la rivalité du groupe avec Trapnest. Nana, Yasu, Nobu et Shin découvrent la vie particulière des artistes poursuivis par les "moustiques" (entendons paparazzis).
Côté sentiments, les choses évoluent surtout du côté de Ren et Nana. Hachiko est légèrement mise de côté dans ce volume et ne réapparaît vraiment qu'à la fin.
Encore un bon moment même si le rythme est un peu plus lent. Quelques nouvelles têtes qui joueront peut-être un rôle important par la suite. Bref on ne s'ennuie pas et on en redemande
J'ai eu très peur les premières pages. L'aventure du Mugenjo terminée, les amis qui se sont retrouvés se quittents : d'aucuns restent au Mugenjo avec un nouvel espoir insufflé par Makubex, les autres s'en vont à leurs affaires loin de là. Cependant certains petits détails me laissent penser qu'on reviendra à cette histoire et que l'aventure qui s'ouvre n'est qu'une pause. Avant la nouvelle affaire de récupération de nos Get backers désargentés, un petit épisode concernant Shido qui pourra peut-être être développé par la suite (on reste un peu en suspent). La nouvelle affaire (les bras de la Vénus de Milo, pas moins !) s'annonce très intéressante d'autant que Ginji et Mido ont laissé tomber Heaven (qui ne leur fournissait pas de boulot) afin de bosser pour le compte d'une de leur vieille connaissance et qu'Heaven a contacté deux vieux copains de nos get backers .
Pas un tome génial mais on retrouve un peu de souffle (avec l'épisode sur Shido) et le début de cette nouvelle affaire. Donc contente !
De la super BD hallucinogène! Imagination débordante, grande fresque galactique et belle poésie. Le côté parfois hermétique permet à chacun d'y inclure sa propre interprétation, selon ses penchants philosophico-mystiques.
Bien que les auteurs soit les mêmes que pour L'Incal, qui était un pur chef d'oeuvre, ne pas s'attendre à grand chose avec cette suite. Le dessin semble être fait par ordinateur (on est très loin du graphisme de l'Incal) et l'histoire est un remaché de tout ce qui a pu être original dans L'Incal et Avant l'Incal, condensé en un tome. Ceux qui n'ont pas lu l'Incal et Avant l'Incal n'y comprendront pas grand chose et ceux qui l'on lu seront déçu de cet album. A vouloir surfer sur la vague du succès, on fini par boire la tasse...
Pas le meilleur mais à chaque fois je me bidonne d'un tel plaisir que je serais folle de m'en passer... Le croquis qui représente une descente de police m'a fait hurler de rire. Chapeau à la famille Vouvray!
La fin du deuxième tome m'a laissé pantoise; le premier tome était excellent. Une belle montée, un suspense qui captive. Malheureusement, un essouflement dans la deuxième partie et un revirement dramatique trop soulevé m'a fait décrocher. Moi qui aime habituellement les romans graphiques adultes...Pour ce genre d'histoire, le meilleur à ce jour est Le voyage en Italie...C'était pourtant bien parti. On voit cependant le talent qui pointe son nez...
Les auteurs, Denoël et Pierret, nous invitent à suivre les aventures de Pylos et Asinée, jeunes grecs destinés à devenir esclaves en Crète.
Lors de leur acheminement vers leur triste futur, ils arrivent à fuir, à la faveur de l'abordage de leur embarcation par des pirates. "Auto-affranchis", ils vont vivre des situations extra-ordinaires, prétextes à nous faire mieux connaître l'antiquité de cette zone géographique, que la mythologie nous a fait connaître au travers le labyrinthe du Minotaure, Thésés et le fil d'Ariane... Car attention, messieurs-dames "défenseurs de l'Histoire authentique" (avec un grand H): Pylos et Asinée sont bien des héros de BD: c'est de la fiction - même si les recherches par les auteurs sont indéniables.
En outre, le scénario met en parallèle cette histoire avec une autre, actuelle, se situant sur un lieu de fouilles archéologiques qui n'est autre qu'un lieu qu'on découvrira abondamment dès ce premier tome. Pas de grande originalité en vue de ce côté-là de la narration, d'autant plus qu'on tombe dans le "truc" surexploité de la collaboration homme-femme sur le chantier...
Mais surtout... Le dessin est décidément très agréable et la mise en couleurs est délicieuse. Un régal. Le rythme de l'histoire est également mené de mains de maître: on ne s'ennuie pas dans l'enchainement des situations. Beaucoup plus de plaisir à la lecture de cette BD qu'avec "Aathon" (de Rocca et Cébé chez Soleil), pour ceux qui connaissent.
Ravi d'avoir acheté cette BD, je vous la conseille vivement et attends déjà la suite de pied ferme !
Superbe BD, au fond très critique socialement et humainement, et ayant la particularité de mélanger une ambiance poétique avec une histoire assez malsaine et dérangeante.
On a une légère impression de retrouver quelques traits et caractères de certains oeuvres de Bilal (déshumanisation, critique social, désespoir tout en gardant une amour pour l'être humain...ainsi qu'un fond assez fantastique avec un dessin superbe très soigné et réaliste aux couleurs sombres).
Découverte en brocante, cette histoire dégage une atmosphère particulière, tranquille tout en ménageant une énigme prenante.
Les personnages sont attachants, le dessin est simple et efficace (NB clair) et le scénario nous capte de bout en bout
je trouve que cette bd est un chef d'oeuvre tout simplement ...
Mais conbien y a t il de jeux de mot? car je me demande encore à la troisieme lecture si je n'en ai pas manqué...
Superbe BD avec un dessin direct et net composé de couleurs agréables. Le scénario est impeccable, même si l'histoire traite un sujet connu, et ce premier tome n'est pas qu'un tome de présentation, Callède nous offre un scénario halletant et bigrement intéressant. A posséder pour absolument le lire.
Comment peut on faire des BDs avec si peu de contenu ???
Encore des pages de "banquets" et de vides narratifs... Gorghor a bu sa 200e biere, Pilou volé sa 68e bourse, je n'ai pas vu les fraises de la petite Nasha !! Encore un mystère avec le pere de Wis. Qui est ce Prince démon qui meurt en une page... ? pas très resistant...
50 pages pour fermer une porte, c'est bcp.. peu de coherence, des personnages qui ressortent de nuls part (Parsifal), on frole la correctionnelle...
12e tome déjà et ca ne finira jamais ? Les auteurs savent ils combien coute une BD ? La beauté des dessins ne suffit plus !!!
Où est passé l'"esprit" du début ? Envolé avec la mégalomanie du scénariste ?
Pitié... je suis las de déceptions... rdv au 54e tome en 2075 pour la chute ?
bientot 150€ de "Chroniques" et on patauge toujours dans la semoule ! Je vais relire la série et faire un peu de statistique pour voir tout le bois gaspillé en pages inutiles (sauf pour certains porte-feuilles)
Pas bravo messieurs...
Au début, j'ai été rebuté par le dessin de l'auteur, notamment par l'expression des personnages qui ont tous l'air shooté, et en plein "bad trip". Passé cette mauvaise impression de départ, je dois avouer que j'ai été captivé par cette série, scotché par cette atmosphère noire et terrifiante. Les premiers tomes dans le tunnel sont les plus opressant, mais certains épisodes se déroulant dans un immeuble en ruine ou dans l'hôpital désert sont tout aussi stressant.
Une histoire post-apocalyptique avec une atmosphère de "Horror Survival", voila qui va vous valloir quelques délicieuses nuits blanches !
l'histoire est interessante : Pour se venger du démon qui a tué sa femme, un prêtre fais don de la moitié de son ame à un autre démon, et, devenu immortel, il traque son enemi en tuant sur son passage tous ses sbires.
Une atmosphère opressante et un héros dans l'esprit des comics americains : un prêtre déchu a l'ame tourmentée, emprunt de noirceur, déchiré entre son goût de la vengeance et la mémoire de son ancienne vie au service de Dieu.
Attention cependant, le dessin assez simple, tout en lignes et hachures peut rebuter les lecteurs plus exigeants sur le plan graphique.
très belle série de samourais. L'histoire n'est pas d'une originalité folle (la vengeance d'un samourai trahi par un clan ennemi) mais le fait que le personnage principale se déplace toujours accompagné de son fils dans un landeau donne un certain charme à ce ronin bourru et expert en arts martiaux.
A noter que chaque volume propose plusieurs petites histoires qui se terminent. on peut très bien lire chaque volume indépendament, et arrêter la série si on n'accroche pas.
A noter également que ce manga a donné lieu à une adaptation cinématographique en 6 volumes sous l'appelation : "Baby cart".
le dessin est beau, et l'histoire n'est pas ininteressante. Cependant, la violence crue qui remplie les pages fait passer au second plan la relation attachante entre le garçon et le chien. Au final, les derniers tomes nous conduisent à une overdose de gore sans intêret. dommage !
c'est une très belle histoire. Profondément ancrée dans la culture religieuse du japon médiévale, elle raconte le parcours initiatique d'un jeune bonze et suit son évolution jusqu'à sa mort.
Même si on ne comprend pas tout du contexte politico-religieux de l'époque, on est submergé par l'émotion qui se dégage de la série.
Si vous aimez les grandes sagas, vous adorerez ce manga. C'est beau et émouvant... que demander de plus ?
Admirable ! N'ayons pas peur des mots, ce manga est un chef d'oeuvre. Je n'ai pas pu retenir mes larmes à la fin de la lecture du 12ème (et ultime) tome.
L'histoire est difficilement résumable ; c'est le destin extra-ordinaire et improbable de deux hommes unis comme les deux doigts d'une main, fermement décidés à changer le monde.
Le dessin est réaliste et met en valeur les expressions des personnages, mais disons le tout de suite, c'est surtout l'histoire qui captivera le lecteur, tant l'intensité dramatique et le suspens sont fort.
Si vous cherchez un manga qui fasse réfléchir, intelligent et subtil, précipitez vous sur "Sanctuary" ; vous ne le regretterez pas.
Un humour décalé, un dessin prenant, des jeux de mots à profusion et même une critique sociale ? A lire absolument
Un premier volume très prometteur, pour des publics d'âge différent, car on a plusieurs niveaux de lecture. Le dessin est sympathique. L'originalité réside dans l'humour avec lequel est traitée cette histoire de pirate décalé, qui persuade son équipage à jeter les trésors par dessus bord. Nous éviterons, nous, de jeter cette BD derrière notre bibliothèque ! Le scénariste est aussi l'auteur d'un excellent Woody Allen dans la collection BD ciné.
L'univers d'Armandis, moi m'a complètement séduite. Contrairement à Fennec, je le trouve différent et nouveau... un monde fantastique mené par des enfants en quête de vérité, je trouve ça très sympa. L'ambiance est plutôt agréable, la fraîcheur et l'audace de la jeunesse, la beauté de l'île flamboyante de couleurs (entre ciel & mer !)... petite intrigue qui glisse petit à petit dans la science-fiction (on découvre un monde plus glauque, plus lourd dans le 2e tome, mais le contraste est justement intéressant!) confère à cette BD un rythme différent, bien particulier, propre à son histoire... ce n'est que le premier tome, on découvre peu à peu les personnages et je ne les trouve pas du tout plats mais attachants. La genèse de l'histoire ne dévoile pas tout et tant mieux !... D'ailleurs, le deuxième tome plein de surprises confirme que le premier annonce les réjouissances, tandis que le deuxième, lui, fait du troisième... un tome très attendu !
une série commencer il y a bien longtemps... à l'époque, elle était rolistiquement parlant très intéressante :)et bien ficeler. Avec le temps, j'ai songer à arreter le massacre financier. A croire qu'il n'y avait plus rien à raconter.... Bref, depuis le tome 10, cette série remonte dans mon estime, les auteurs ont su redonner de la dynamique, de l'intrigue à l'histoire. J'en viens presque à regretter mon manque de motivation lièe à la platitude des épisodes 5, 6, 7, 8.... :)))
Au final, une BD incontournable pour les mordus du genre (uniquement)
très bonne BD même si je ne suis pas forcèment adepte du genre. Un dessin efficace et caricatural mais surtout un humour tordant :)
L'auteur-dessinateur a beaucoup d'imagination, une importante diversité des couleurs, une grande passion, une grande âme se révèle dans son oeuvre.
Ce second tome est bien meilleur que le premier. En effet les personnages et l'humour sont mieux travaillés, il n'y a plus de raccourcis dans le déroulement de l'intrigue et le personnage de Soda devient plus charismatique. J'ai passé un bon moment et cet album me pousse à lire la suite.
Un premier album pas très convainquant au final. en effet l'histoire va un peu trop vite, certaines situations sentent franchement le raccourcis à plein nez mais l'ambiance reste sympathique et la fin est bien faite. de plus on sent des possibilités au niveau humoristiques pas suffisament exploitées. Bref un premier tome pas trop mal mais rien d'exceptionnel.
Ce volume n'est pas très riche au niveau de l'histoire mais il est très efficace au niveau de l'humour. Surement l'un des plus drôle. Il va valoir attendre la suite pour voir si il va y avoir des conséquences sur les relations entre les différents personnages mais on est pour le moment dans une phase plus "sentimentale" qu'"action". Une petite pose n'est pas mal, il faut juste voir comment tout celà va évoluer.
Un très bon volumes où les évênements et les révélations se précipitent. Le prochain et dernier volume devrait d'ailleur être également très riche en informations. Les relation entre Shichimi et Natane. De plus l'humour est toujours présent et passe meiux que dans les volumes précédents. Vivement la fin.
Un bon volume à la hauteur des précédents qui continue de développer l'histoire lentement à ceci prêt que le rapport informations/actions est mieux dosé. En effet on a quelques révélations très intéressante sur l'importance de la quête en cours sur l'avenir du jeu lost saga.
Magnifiques dessins, couleurs et personnage MR DEEDS absolument nouveau quel découverte ce dessinateur
Histoire :
En l'an 1561, Nostradamus en échange de la vie de 3 personnes leur demande de garder chacun une opale et de la transmettre à leur fils.
En 1628 lors du siège de La Rochelle par Richelieu, les opales sont une nouvelle fois réunies pour le meilleur et le pire.
Dessin et couleur :
Les dessins de Hamm sont clair et précis, ressemblant à certain moment à Delaby (Murena, complaintes des landes perdues). Mais quelques irrégularités dans les postures ou les visages donnent une impression que l'auteur peut encore s'améliorer.
Les couleurs manquent, d'après moi, de noirceur, car la famine, l'horreur de l'emprisonnement et la mort sont traités de la même façon que la promenade sur la plage.
Scénario :
Cette histoire donne une impression de déjà vu, rien d'original. Nous retrouvons les principaux protagonistes d'une histoire de fantasy : le guerrier, le sournois et le passe-partout, avec le grand méchant qui les pourchasse.
On peut remarquer cependant que la ville de La Rochelle est bien rendu ainsi que cette période historique (guerre de Religion, Richelieu, famine, peste, costumes , ....). Les auteurs ont du faire une recherche bibliographique et avoir une bonne documentation.
En conclusion, une livre que se lit facilement, qui introduit les protagonistes et plante le décor. Sans être original, on peut espérer que le tome 2 nous permettra de découvrir la présence de la fille africaine qui dérange un peu, certes elle apporte de la fougue à l'histoire et est le principale personnage de ce tome 1, mais on a l'impression qu'elle ne colle pas au contexte historique.
Un manga sur les art martiaux à découvrir absolument. Humour et action sont au rendez vouz, le dessin est agréable, que demander de plus.
Les questions qu'on se poses au tome 1 trouvent petit à petit des réponses. L'intrigue est très bien conservée de bout en bout. Les dessin sont sympas. Judith est une mini-série très agréable à lire.
Ce tome 1 pose le décore d'une histoire très énigmatique et nous tient en haleine. A la fin on s'empresse de lire le tome 2.
Une histoire intéressante sans toutefois être vraiment prenante. Les dessins sont très agréables.
Les dessins de Renaud sont très statiques, le scénario assez banal. Toutefois, il reste quelques intrigues à la fin de cette histoire qui éveillent la curiosité. Bref, rien d'exceptionnel.
J'ai passé un agréable moment en lisant cette BD. Il y a une certaine fraîcheur et de très bonnes idées. On n'éclate pas de rire mais on garde le sourire au lèvre jusqu'au bout.
Et toutes mes craintes se sont confirmées...
Après une première lecture, le sentiment principale est une lourde déception. Ce tome 2 n'est pas à la hauteur du premier. Loin de là...
Une deuxième lecture me fait relativiser mon premier sentiment. C'est bon, très bon même. Ce n'est certe pas à la hauteur du 1er tome, mais ce dernier avait mis la barre tellement haut que mes attentes étaient immenses...
Les dessins sont toujours magnifiques, et la couverture est franchement réussie, mais c'est au niveau du scénario que cet épisode me laisse sur ma faim...
Un premier opus haletant, au scénario excellent. A tel point que je me suis demandé après sa lecture comment les auteurs pourraient faire ne serait-ce qu'aussi bien dans le deuxième tome...
Voici une bien belle surprise que cet album. Si le premier cycle ne manquait pas de souffle, l'introduction de ce second cycle est magistral. L'album se lit d'un trait, sans temps mort, et l'on découvre une Carmen plus humaine.
Que dire du dessin ? il est tout simplement remarquable. Pour tous ceux, comme moi qui suivent cette série depuis son commencement, l"évolution des dessins de Gess est perceptible. Cet episode est remarquable de ce point de vue. Les dernières pages d'action sous la pluie battantes sont une pure merveille, bien aidées par des couleurs somptueuses.
A posséder absolument...