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Report de plusieurs concerts, festivals ou autres évènements à tendance rock-électro. Le dessin n'est pas vraiment beau, mais très énergique et plein de bonnes idées comme le sont les vignettes habituelles de Charlie Hebdo pour lequel bosse Luz.
L'album est très amusant (le genre: comparaison d'un festival électro et d'un festival country), et bourré de petits détails qui montrent que Luz est calé niveau culture musicale (références à Lester Bangs etc...). Plein d'auto-parodie aussi: le genre "je me casse un genou à chaque fois que je danse", "comment je me suis retrouvé avec cette pillule dans la bouche???", ou "ce soir, promis, je bois pas"!
je conseille sans modération!
Bon chaque sport à son manga alors pourquoi pas le foot americain, et le moins que l'on puisse dire c'est que ce tome 1 est une reussite, bon on evite pas les clichés avec le jeune heros un peu naif et chetif mais le reste des personnages sont completement dejanté enfin surtout 1. A lire.
Bon graphiquement c'est pas super faut bien l'avouer mais c'est tellement drole, les gags sont un peu lourd ( mais meilleur que ceux d'arleston :) ) Suivre nos heros dans leur quete ( bein oui perdre son pucelage c'est une grande aventure quand même ) est genial. Un tres bon manga d'humour.
Un second tout aussi violent que le premier, une ligne directrice commence à apparaitre ( jusqu'ici le heros errait sans but reel). Les rapports Mu/Sando evolue de maniere interressante. Les combats sont toujours aussi grandiose surtout quand c'est la belle Sando. Un vrai Anti heros charismatique, des dessins superbe = une tres bonne serie.
La mission au Mugenjo continu, un peu moins de combats et un peu plus d'humour que dans le tome precedent, dommage Lady Poison est rhabillé :) , de nouveaux mechant tous plus balaise les uns que les autres. Une excellente serie.
J'ai longuement hésité entre 4 boules ou 4.5 puis j'ai souhaité modérer mon choix pour laisser la perspective d'albums encore meilleurs.
Tout d'abord ce qui frappe lorsque l'on prend cet album, c'est la qualité de la couverture. Graphiquement très imposante je trouve, la qualité du carton m'a également beaucoup plu (je connais pas le nom mais c'est celle qui laisse des méchantes traces de doigts si on ne s'est pas lavé les mains avant de prendre l'album).
Ensuite, on ouvre l'album et on se retrouve devant un graphisme (je m'exprime à titre d'amateur de BD et non de professionnel) travaillé par ordinateur je pense. Cela rajoute un peu d'analogie au manga (ce qui est assez agréable vu l'histoire de samouraï) tout en restant dans un graphisme "occidental" denué de couleurs flashs désagréables et dans un univers également "européen".
L'aspect sombre des graphismes se lie parfaitement au scénario qui est loin d'être rejouissant pour les héros. Bien sanguinolant sans verser dans l'excès facile, on a l'impression de ressentir chacune des blessures des protagonistes par un choix de couleur idéalement choisi.
En opposition à cet aspect sombre, on trouve des applats colorés plus vivement qui me font personnellement penser à l'impressionisme allemand par moment. On aime ou pas, moi je trouve que cela rajoute de la chaleur, de l'attachement au décor sans lequel on aurait pu trop facilement se distancer de l'action. Bref, un peu de chaleur dans ce monde cruel de brutes...
De ce côté là donc une belle réussite (pour moi on frôle un petit chef-doeuvre).
Du côté de l'histoire générale, la trame de fond est assez classique en ce sens que l'église et l'inquisition inspire le dérouilement de l'histoire.
Maintenant côté scénario, on aurait pu craindre le pire avec un début larmoyant mais très vite (après 7-8 planches), on tourne franchement dans le très bon pour aboutir à l'excellentissime bers les 3/4 de l'album. Beaucoup d'originalité et de mystères qui nous éclairent en partie sur la signification du titre de l'album.
De ce côté là donc on ne peut que se réjouir.
Du côté de l'animation, là je reste pantois devant la scéance d'entraînement. Ce n'est pas joli, c'est tout bonnement exceptionnel. Pour ceux qui apprécient Ninja Scroll (anime japonais de smaurais), ils retourveront le même bonheur.
Le reste de l'album est de très très bonne facture et le montage classique (a contrario des mangas) des cases nous fait apprécier la rapidité des actions comme on eut peut en rêver (cf. l'épisode de l'auberge) dans des combats de ce type. Pour le reste, je pense que le découpage est bien réalisé
Encore une fois, une belle réussite de ce côté-ci.
En conclusion, cet album reflète parfaitement les capacités archétypales de l'allemand: sobre mais diablement efficace et solide comme un roc!!!!
Et si vous hésitez encore, bon sang, découvrez la séance d'entraînement d'Andrej initiée en page 23 et cloturée en page 25.
personnellement, tel Jubeï, je jubile !!!!!
Chef d'oeuvre absolu _indissociable du tome 1_ de Riyoko Ikeda, bien que le dessin soit assez marqué par les années 70, l'histoire est restée un "must".
Histoire du destin croisé de deux jeunes femmes (Marie Antoinette et Oscar) qui n'ont pu choisir leur vie, dans une période troublée de notre Histoire.
A ne manquer sous aucun pretexte!
Troisième volet de la série La Rose de Versailles, il s'agit en réalité d'un Gaiden plutôt que d'une suite.
Les petites histoires sont centrées sur le personnage de Loulou de la Rolancy, nièce d'Oscar de Jarjayes.
Ce livre est destiné à un public plus jeune que les deux premiers volumes.
Mais, ce manga reste indispensable à tout vrai fan de la Rose de Versailles!
Une fois encore Derib nous livre une magnifique fresque des différents problèmes de la jeunesse actuelle. Alcool, drogue, prise de risques, rackett, racisme, tout (ou presque) y passe.
Epaulé par des professionnels du milieu (éducateurs sociaux, profs, médiateurs, etc.), il nous a pondu une BD qui sort du lot de par son réalisme (imaginez que bien des lieux sont réels et que certains protagonistes existent vraiment, même s'ils n'ont pas vécu cette histoire).
À lire de toute urgence avant de faire n'importe quoi. ;)
Un livre bouleversant sur le SIDA.
Un peu fleur bleue au premier abord, il est en fait très complet et très percutant lorsque l'on comprend réellement le sujet central du livre.
La fin est limite terrifiante.
Une fois de plus, Derib nous livre une BD avec de beaux dessins, réalistes et caractéristiques de cet auteur de talent (p. ex: les plis au coins des yeux).
Ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais simplement une très bonen BD, qui a en plus le mérite d'informer, de sensibiliser.
Vous programmez? Vous jouez? Vous faites du traitement de texte? Vous naviguez? Vous avez un vieil ordinateur à la cave (ou au galetas, ça va aussi)? Vous possédez une bête machine à calculer? Une chose se rapprochant de la pascaline? Un boulier?
Alors ce livre est fait pour vous!
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la vie des g33ks (geeks = informaticiens plus ou moins expérimentés, mais passionnés), surtout ceux de la trentaine!
À dévorer sans modération. Plusieurs fois, même.
Y a-t-il encore un superlatif, une éloge ou toute autre sorte de compliment qui n'ait pas été formulé au sujet des Rubrique-à-Brac??
Gotlib y expose le monde dans toute sa splendeur, à travers des yeux d'enfants plus ou moins grands, et toujours avec ce soucis de la vérité et du clin d'oeil au lecteur (ou aux collègues).
Vous ne l'avez pas lu? Il n'est pas trop tard pour combler cette lacune!!
Vraiment une bonne BD, avec enfin des personnages dont le physique n'est pas parfait, avec des dessins sans prétentions mais touchants.
L'histoire est novatrice, ça change de la soupe réchauffée que nous offrent bien trop de livres du genre.
Un régal!
J'attendais beaucoup de cette production en commun du couple Tronchet-Sibran, mais je suis déçu et je n'arrive même pas à bien définir pourquoi.
J'ai un sentiment d'inachevé, peut-être que le dessin de Didier Tronchet n'est pas adapté pour cette histoire (contrairement, de mon point de vue, à "Là-bas"), peut-être que le roman d'Anne Sibran (certes, je ne l'ai pas lu) est trop condensé et ne parvient pas à s'épanouir sous cette forme.
C'est sans doute là le principal problème : la trop grande complicité entre la romancière et le dessinateur (puissent-ils m'excuser). Je m'explique : eux maîtrisent parfaitement le roman, la plupart des lecteurs de la BD, non... Trop de choses sont sous-entendues (voire survolées) et rendent la BD particulièrement difficile à suivre, voire hachée. Peut-être qu'en 2 tomes l'histoire aurait pu prendre toute sa dimension...
C'est dommage.
Agréable lecture d'été: succession de quiproquos et de situations absurdes entre un capitaine joueur épicurien (pas toujours fin) et des pirates traditionnels. Plaira particulièrement aux amateurs de jeux de mots. Décevra ceux qui apprécient un beau graphisme (pauvre Titien) et un scénario plus fouillé.
le dessin d'Hermann me plait vraiment beaucoup et son fils semble être une valeur montante dans le scénario. Bref, ce livre m'a donné beaucoup de plaisir, plus que The Girl From Ipanema. Les couleurs apportent également une touche exceptionnelle à l'histoire. On pourrait appeler ça l'"Hermann touch" ! Je ne suis pas d'accord avec Yvan quand il dit que les "femmes d'Hermann" ne sont pas sensuelles... Certes, elles ne symbolisent pas le top model des années 2000 mais elles sont très féminines, très "généreuses" et en même temps représentent la grande majorité des femmes. La femme d'Hermann est la femme que l'on rencontre dans la rue...
cette BD me laisse un peu sur ma faim... J'aime toujours autant le style d'Hermann mais ce que je n'ai pas trop apprécié ce sont les trop présents pavés qui pourraient être de la voix off dans un film... Il y en a vraiment beaucoup...
Cependant, le scénario est bon. Aurait-il fallu faire 2 tomes histoire de faire moins de pavés de "commentaires" ?
Mon avis sera sur toute la série jusqu'au 9eme tome (dernier paru quoi ! :)).
J'ai bien aimé la premiere saison (on peut dire 8/10 si il existait un volume saison 1 intégrale) mais la deuxieme, surtout le tome 8, c'est décevant, avec des situations loufoques tellement elles sont improbables, personnellement je pense que les persos principaux si ils n'etaient pas juste les héros pour continuer le récit seraient déja réduit en tas d'humus depuis belle lurette !
J'espere que la situation va se redresser dans le tome suivant, et qu'ils auront de nouveaux une "valeur utile" qui puisse logiquement les laisser en vie. Enfin le 9 est moins ridicule (bon j'admets que "ridicule" c'est un peu fort quand meme mais bon c'est l'idée ;) ) que le 8 c'est déja ca de pris.
On pourrais résumer ces 2 tomes à ces simples mots : à mourrir de rire. Oui c'est même ce qui caractérise le mieux cette série. Les personnages sont de plus en plus drôle, surtout Hiruma qui est le plus souvent à l'origine des scènes comiques. Outre l'élève moche, faible se faisant toujours marché dessus qui devient un être extraordinaire (recette très très classique mais qui marche toujours) qu'est Seena c'est plutôt son entourage qui est le plus intéressant. Les match sont également plaisant malgrès la surenchère d'actions spectaculaires.
Un bon volume où l'on en apprend davantage sur le passé de Yongbi quand il était dans les fameuses lances noires. Cependant cet album nous fait nous poser de nombreuses question et notamment : comment le Yongbi des lances noires froid, cruel et implacable a-t-il pu devenir le comique déguelasse de cette histoire.
La première partie est plutôt bonne même si elle aurait mérité davantage de développement le comportements de chacuns des personnages et des plus intéressant et les quiproquos et diverse réactions assez drôle. La seconde partie de ce roman est plutôt décevante et totalement surréaliste. Elle aurait largement pu laissez la place à un plus grand développement de la première histoire.
D'une manière générale il s'agit d'un bon album avec des styles graphiques pour chaque mini histoires différents mais intéressants. Il est également important de noter que chaque style va parfaitement avec la petite histoire qu'il raconte. Même si au feuilletage on peut ne pas accrocher à un style une fois en pleine lecture plus de problème tellement il s'accorde bien avec les propos traités.
D'une manière générale il s'agit d'un bon album.
la série storm est ma série préférée.
lorsque j'étais plus jeune j'ai découvert storm grâce à mon cousin qui en possaidait quelques uns.
J'ai toujours cherché à me procurer la série complète.
Quelques années plus tard j'ai enfin rassemblé tous les ouvrages parus en FRANCE.
Il est a noter que glénat ne les as édités qu'une seule fois d'où la difficultée pour se les procurer (voire même souvent le prix affiché par les vendeur) et de plus l'éditeur français s'est arrêtée au numéro 14 alors qu'elle a continuée en angleterre(j'ai jamais compris pourquoi et eux non plus d'ailleurs suite à un mail que je leur avait envoyé) à quand la parution du numéro 15!!!!!
Scénario :
Cette nouvelle série de Giroud raconte l'histoire de chaque protagoniste de ce "quintett" (ensemble de musicien) et de voir que chacun à ses propres désirs, ses problèmes et sa propre vision des choses.
L'histoire de Dora Mars montre à quel point l'amour peut provoquer des folies et prendre des risques insensés.
Le dessin de Bonin est précis et ne surcharge pas l'histoire. Le dessinateur de Fog s'améliore encore du point de vue graphique et les couleurs utilisées sont lumineuses et transcrivent bien le climat de Grèce.
Giroud nous plonge dans une Grèce dans la première guerre mondiale, période de cette terrible guerre que peu connaisse et qui pourtant eu aussi ces morts.
Ce Tome 1 est une touche fraîche de romantisme qui nous rappelle l'insouciance des premiers amours.
J'ai acheté les 2 premiers et ca ce lit tout seul. Ca m'a fait redécourvrir le théatre. C'est vrai tres réussi, ca se lit tout seul. Je ne suis pas du tout decu de mon achat, et je pense que je vais me laissé tenter par le Le mdecin malgré lui... :p
Je trouve que c'est idée génial pour donner une seconde jeunesse a ces pieces de theatre.
Bravo M. Léturgie ;)
Apres un premier tome prometteur, l'histoire s'enlise un peu, dans ce tome pas d'action au programme, on a seulement le droit à des quiproquos amoureux ( j'ai pas tout compris d'ailleurs ). Sympa mais y manque un peu de punch.
Avis sur les tome 3,4,5 : L'histoire avance reellement avec l'apparition de plein de nouveaux personnage et le debut de Shaman Fight. La grande reussite des personnage est leur look : chaque personnage à un look bien classe. Notre petit heros progresse de facon tres rapide dans ces tomes et les combats s'enchaine pour notre plus grand plaisir. Shonen vraiment sympa.
Pourquoi est-ce que Xavier Dorison n'a-t-il pas participé au scénario du deuxième tome?
Pourquoi est-ce que le deuxième tome est sorti en 2003 et depuis, que dalle?
Tant de pourquoi pour une bd qui n'a ni l'intérêt, ni l'action de Sanctuaire. Pourtant, j'aimerais bien que le troisième tome pointe son nez pour voir que le héros va réaliser son destin de prophète, que la terre sera sauvée et que je pourrai passer à autre chose...
Pas compliqué de resumé ce tome : c'est une succession de combat ou chaque "gentil" se bat contre un mechant.
Un melange de Starship Troopers et de premiere guerre mondiale, de tres beau dessin, une mise en couleur impeccable. Niveau histoire c'est le classique premier tome de presentation mais on ne s'ennuit pas, l'histoire etant assez captivante.
Première évaluation..., le terme "trés bon" est exactement celui qui convient. Clarifions d'entrée de jeu l'affaire, il ne s'agit pas de lire cette BD pour le dessin, ni même le scénario... Mais pour les dialogues.
Sous forme d'histoires minimalistes en 6 cases (voir 5, la première étant une constante de départ "Et hop, Francis se promène à la campagne"), Francis fait ce que moultes d'entre nous souhaiteraient bien pouvoir faire, mais voilà, nous sommes humain (avec une âme) et Francis est un animal (sans âme). Et nous savons tous que notre comportement sur cette bonne vieille terre conditionne le futur de notre âme... Donc Francis le fait pour nous.
Francis est sans limite (et en BD, sans limite c'est sans limite) : il trompe, rejette, abuse, utilise ... les siens sans aucune morale et quand il est mort, il ressuscite, alors pourquoi se priver !!! Do it again and let us go.
A ne pas lire en public (dans le bus bondé par exemple, c'est l'expérience qui parle), vous risquez de ne pas maîtriser un fou rire qui pourrait bien vous prendre par surprise...
bonjour est ce que cet album vaut quelque chose?????Merci!!
C'est beau, c'est même tres tres beau mais niveau histoire c'est vide tres tres vide.
Aprés la lecture de ce tome 1, j'ai l'impression d'être un autiste: tout le monde trouve cela genial ou/et beau ou/et emouvant, et bien moi rien de tout cela....
Je suis pourtant du genre à m'émouvoir devant une belle histoire, mais là je trouve cela ininteressant, plat , il ne se passe rien et surtout la psychologie des personnages simpliste à mon sens... Je passe sur la scéne "hot" qui dure 4 pages, et qui même dans les pires films du genres semblerait ridicule...
Bref, il ne se passe rien, les caractéres semblent ridicules, seule à la derniére bulle, l'arrivée de la guerre semble augurer un peu plus d'interêt pour la suite que je ne lirais pas evidement......
Et c'est reparti pour un autre tour! Après le triangle secret, on recommence à nouveau une série qui pose des pistes mais qui ne donne réponses qu'en petites miettes. Assez soutenu et complexe, on évolue et retrouve la saga où elle terminait dans le tome 7 du Triangle Secret.
Cependant, seul bémol, on aura à attendre jusqu'en 2007 pour avoir le dénouement final et ça, c'est s'ils décident pas de pousser le bouchon encore un peu plus. Toute bonne chose a une fin mais dans le cas présent, on ne semble jamais l'atteindre.
Va-t-il oui ou non ressusciter pour de bon le Christ qu'on en finisse et passe à autre chose?
On demeure cependant. tels de bons et loyaux franc-maçons, fidèles à la série!
On retrouve le côté humour et sensible de Marjane avec ce deuxième opus après la merveilleuse série Persepolis. Oui, il est vrai que si on ne connait pas et qu'on en a pas entendu parlé ou vanter le mérite, l'album ne laisse aucunement présager du bonheur qu'il contient.
Le dessin est naïf mais comme dans Persepolis. tellement percutant.
Un autre one shot pour adulte qui mérite le détour. Du grand art à l'Iranienne!
Cet album reprend les anciens titres du Renaud illustré, déjà publié précédemment chez Delcourt en 86, auxquels se sont rajoutés quelques titres du dernier album. Ce genre d'exercice est tjours délicat et forcément inégal (certaines chansons sont mises en image sans paroles, d'autres simplement reproduites et illustrées). J'ai rarement accroché et cet opus-ci confirme la règle selon laquelle la rencontre des arts ne va pas de soi...
Ma femme, fan de Renaud n'a pas vraiment accroché, non plus.
Thelma et Louise à la poursuite de l'épice dans un univers digne de mad max sont sur un bateau. Si l'une d'elles tombe à l'eau, on verra ses p'tits lolos.
Pour le reste, pas grand chose...
Bel album avec un dessin très spécifique et très fouillé. L'univers qui y est décrit est très bien imaginé et fait cohabiter poésie des dessins avec finesse du scénario, très prenant. Le tout réussit à rester cohérent. Une belle inventivité!
Decevant
La couverture paraissait alléchante et effectivement pour le dessin d'Yves Rodier ( un jeune dessinateur prometteur ) c'est assez reussi. Ca ressemble à du Tillieux ( l' album est préfacé par ça fille )même si c' est moins lisible ( normal Tillieux est imbattable). Mais pour les textes Corteggiani nous avait abitué a bien mieux. Une enquête confuse, des dialogues non rythmés et un dénouement qui ne surprend pas. Bref, une BD très moyenne au niveau du scénario. En ésperant que le tome 2 annocé sur la 4ème de couverture " Les démons de Pertranssac " sera plus rythmé et moins confu...
Ce tome est une agréable surprise, car après avoir critiqué les deux premiers, je n'ai pas de critique à formuler à l'encontre de ce dernier volume. En effet, l'éditeur a fait attention à ne couper ni les dialogues ni les cases. De plus l'histoire se met en place et l'on comprend bien mieux les éléments mis en place dans les volumes précédents. En plus, quelle surprise de lire à la fin de ce volume une explication géo-polotique de cette série, une explication sur les concepts montrés dans la série et la liste des personnages et leurs liens.
Il me semble que ces dernières pages auraient été la bienvenue dès le volume numéro 1. Donc un conseil, si vous attaquez cette série et bien achetez les 3 volumes d'un coup et commencez par les dernières pages d'explications afin de mieux apprécier cette série.
Et selon les dires de l'auteur, cette série est pour l'instant terminée...laissant ainsi une porte ouverte.
Ma deuxième incursion dans l'univers de Marjane Satrapi après Poulet aux prunes (comme quoi, Angougou, ça ouvre les horizons). Récit plus en apparence léger dont on peut se demander ici s'il aurait le même retentissement dans un contexte plus occidental.
Certes, entrer dans le cercle fermé des conversations entre femmes iraniennes dont les hommes sont exclus, procure un certain plaisir voyeuriste, alimenté par les textes crus et les anecdotes souvent sexuelles (et dramatiquement drôles) des membres du cénacle, mais le sujet de fond en perd un peu de son importance. On perçoit que les fameuses broderies sont un enjeu bien plus important que l'évocation qui en est faite dans ce récit. On en ressort amusé, sensibilisé, mais aussi un tantinet fataliste (du moins en ce qiu me concerne).
Un album peut-être plus féminin, aussi, et en soi, c'est déjà assez rare que pour être souligné.
Quel album!!!
Une énigme que l'on suit avec passion, du suspense jusqu'a la dernière page avec un dénouement totalement inattendu. Bref A.D. Duchâteau nous offre un de ses meilleurs scénario : rythmé et incisif.
Quant au dessin dessin de Tibet il est toujours aussi lisible et efficace. Le seul petit bémol : les décors qui, comme dans une partie des albums de la série ne sont pas très présent. En résumé cette B.D. est indispensable à tous ceux qui sont fan des grands classiques franco-belge...
Là tout de suite, je reste mitigé sur la qualité de l'ouvrage à la lecture de ce second opus.
Les 4 premières planches sont de la même trampe que le premier tôme, à savoir d'excellente facture. On y apprend l'élément déclencheur du scénario du second opus.
Ensuite, comment dirais-je, c'est à ce moment-là que les Romains s'empoignèrent...
Les explications sur le "Pourquoi et Comment" étalées sur 18 planches sont pour ainsi dire ... conventionnelles dans le sens où voilà, les faits sont exposés, on suit l'argumentation du scénariste mais rien de transcendant n'emporte le lecteur. On aime ou on aime pas. Moi je ne les trouve pas exceptionnelles. En tous les cas, rien avoir avec la défense d'une thèse théologico-politique, ni même avec un simple article de géopolitique. Enfin bref, du tristement banal.
Ces explications sont également entrecoupées par les scènes d'action qui mènent dorénavant le héros principal, Jalna et son serviteur au lieu de rendez-vous de ce dernier. Mais également par les décisions prises par d'autres protagonistes, eux-mêmes liés au scénario par leur filiation théologico-politique et explicitée dans le "Pourquoi et Comment".
Bref je ne vais pas m'éterniser sur le scénario, il est somme toute middle.
Mais si le scénario pèche un peu, l'animation prend corps et retrouve de la vigueur. Ici, plus de personnages statiques, on vit l'action au plus près de personnages et des héros.
Point positif également, ce sont les graphismes. Là où le dessinateur alternaient belle gueule et tronche de cake, dorénavant on a droit à plus de stabilité dans dessin du perso même sur plusieurs cases consécutives.
Puis y'a pas à dire, l'univers est particulièrement bien représenté.
Choisir un décor post-apocalyptique et réussir à le transposer avec sa touche personnelle, une touche somme toute très réussie, donne un sentiment de réel ancrage à la BD. Moi perso, j'apprécie grandement et j'en redemande.
En conclusion, ce tôme 2 n'est pas une grande réussite (peut-être en partie à cause de la grande qualité du premier album) ni un échec toutefois, et on a la certitude que le tôme 3 ne pourra que venir améliorer cette série qui promet de révéler encore bien d'autres surprises!
Le lecteur se retrouve plongé dans un New-York dévasté dont seuls les gratte-ciels subsistent. Et pour cause, ceux-ci sont habités par des clans, isolés les uns des autres. Mais un danger se rapproche, chaque soir les villages haut-perchés subissent les attaques dévastatrices et meurtrières de pillards. Qui sont-ils, comment apparaissent-ils ? Le village de Jana, Jeltro & leurs deux enfants sera-t-il la cible de ces redoutables meurtriers sanguinaires ?
Outre la présentation des personnages et la mise en place du scénario, ce premier Tôme révèle un rythme haletant, pour ne pas dire frénétique, et une intrigue parsemée de catastrophes, de morts et de suspicions plus machiavéliques les une que les autres.
Figée sur un même gratte-ciel, l'action n'en est que plus haletante car l'auteur utilise savament les notions d'espace (promiscuité, ompossibilité de fuir) et de temps. Mais qu'arrive-t-il à Jalna dans ses rêves, dans sa vie?
Mon Dieu! Mais que se passe-t-il ?
La démesure des lieux, l'incompréhension des populations et la relative faiblesse de celles-ci retranscrivent à merveille la tension palpable dans les communautés claniques. L'atmosphère oppressante est d'ailleurs agrémentée par un savant mélange de mysticisme pseudo religieux justifiant les comportements étranges et le sort injuste ... je n'en dis pas plus.
La fin du premier album renvoie donc au début, qui à son tour permet d'en comprendre ... la fin (du premier tôme) ... qui n'est en fait qu'un début (de l'histoire)...
M'avez-vous suivi ? Non?
Ok, je recommence.
Soyez attentifs à la mise en situation, aux quelques premières cases, elles éclairent sur la suite des événements, mais ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Eclairer ne veut pas dire expliquer.
Le mystère demeure entier. Des cendres renaît le phoenix...
Les graphismes sont quant à eux fins, détaillés mais parfois pas du meilleur goût, surtout en ce qui concerne les visages des sujets. Certaines cases seront très réussies, et les suivantes à contrario totalement loupées à mon sens.
Dans le même ordre d'idée, la gestuelle des personnages laisse présumer à la BD un aspect assez statique. Toutefois, et l'auteur y parvient à merveille, l'utilisation de couleur (à dominante rouge pour l'action réelle et verdâtre-noirâtre pour l'action imaginée) renvoie l'image d'un feu omniprésent et ... omnipotent. A ces personnages relativement figés donc s'oppose une action rythmée et le mouvement incessant du feu, des flammes et de la fumée.
De cette réelle contradiction, l'on peut affirmer, sans aucun doute, que Bajram a fait naître une BD angoissante à l'univers oppressant ... et au mystère tout entier.
Une série à mon sens incontournable ou, à tout le moins, à découvrir en librairie pour se faire un avis propre...
Lanfeust, que ce soit dans le cycle sur Troy ou que ce soit dans les étoiles, est toujours un bonheur à voir évoluer. Doit-on reprocher à Arleston et Tarquin de se faire plaisir ?
Je comprends que certains critiques se voulant hautement qualifiés et au dessus de toutes choses soient un peu déconcertés lorsque le tandem Arleston/Tarquin se réserve toute une page pour placer le jeu de mots sur le "Tahiti douche". Il est vrai que cela surprend un peu. Mais pour cela, ils méritent le respect, non seulement pour leur ingéniosité, mais aussi pour leur audace.
J'espère que cela continuera ainsi.
Voilà un deuxième tome de toute beauté dans lequel l'histoire de nos deux compères pleine d'humanité navigue. Leur aventure les relie encore plus. Ils ont l'air d'être complices depuis toujours, leurs regards échangés en disent plus long qu'un discours. Carême a sûrement pour la première fois de sa vie, faite du rejet des autres, un réel ami.
Ce deuxième tome renforce cette aventure humaine et nous donne, malgré ce que l'on redoute, une note d'espoir. Courez l'acheter car passer à côté de Carême sans le regarder serait une erreur.
C'est beau un auteur dans la pleine maturité de son talent et de sa vie.
Cet album est un exemple parfait d'un art mis au service d'une histoire simple, humaine et touchante.
Il démontre aussi qu'on peut vivre et partager sa mid-life crisis autrement qu'en se regardant le nombril et en s'interrogeant sur sa capacité à être génial en permanence.
Indispensable pour tout amateur d'héroic fantaisy. Les premiers pas d'un des plus grand mythe du genre..........
Indispensable pour tout amateur d'héroic fantaisy. Les premiers pas d'un des plus grand mythe du genre..........
Indispensable pour tout amateur d'héroic fantaisy. Les premiers pas d'un des plus grand mythe du genre..........
Un tome 2 qui monte en intensité et s'arrête au seuil d'un évenement important... que l'on découvrira dans le tome 3!
Vous connaissez l'effet Papillon dans la théorie du chaos? Un battement d'aile de papillon à un endroit de la planète peut théoriquement déclencher un ouragan aux antipodes. En gros, le grain de sable imprévu qui fait tout basculer. On peut donc anticiper un grain de sable dans le T3 et c'est là que c'est intéressant: on arrive pas à l'identifier dans les 2 premiers tomes. La mécanique de la prévision mathématique semble bien rodé. Alors suspense...
Le cycle touche à sa fin. J'ai bien apprécié ce tome, plus historique peut-être que les autres, et moins sexe et sang. On y voit Cortes beaucoup moins flamboyant que dans l'histoire officielle
Nouvel opus de la série Kookaburra universe, avec un retour du sniper Dragan Preko mais avec un graphisme complètement différent signé Ludolullabi, très fortement teinté Manga. Si le dessin est japonisant, l'intrigue pourrait l'être aussi. Ca fait aussi penser à la guerre éternelle. C'est l'histoire d'un guerre menée de manière aveugle, où les forces de l'alliance vont massacrer une planète avant de tomber sur un "os" très inattendu...
Ce 5eme tome conclu très vite une intrigue qui se noue sur les 4 tomes précédents. On a un peu l'impression que l'auteur veut en finir avec la série...
Reste que l'ensemble du cycle est de qualité avec une imagination très féconde, qui rehausse cette fin un peu vite amenée.
une série pas comme les autres, passionnante mais parfois longue (il y a deja plus de 45 tomes!!). On aurait envie d'en savoir plus sur l'intrique principale qui n'avance pas : va t'il retrouver les hommes en noir qui l'ont fait rajeunir et trouver un antidote pour regrandir?
Chaque tome (j'ai lu les 20 premiers tomes), est constitué d'environ trois petites enquêtes de meutres ou autres.
Enfin, c'est un manga à lire, au moins les premiers tomes...
C'est le premier Spirou avec fournier à la manoeuvre. On peut dire sans risques que l'essai est réussi même si la transition a été facilitée par le parrainage de Franquin et son intervention dans certaines cases. Pour ce nouveau cycle, on retrouve d'emblée les personnages-clé de la série: Champignac, Marsu, Zorglub, Zantafio, le Maire de Champignac. Ajoutez-y une trame criminelle et une petite dose d'ésotérisme et vous obtenez une bonne histoire, seulement gâchée par une intervention orale malheureuse du marsupilami, mal amenée et incongrue. Au final, on trouve déjà une marque "fournier" qui trouvera son apogée dans l'Ankou.
La seconde histoire de l'album est touchante, très dans l'esprit des "noëls du journal de spirou".
La troisième histoire, sorte de bande annonce de l'album suivant, si elle part d'une bonne, est, selon moi, confuse.
Trop de personnages, une complexité mal définie et finalement, tout ça pour ça? La trame de base n'est pas mauvaise en soi; un professeur du British Museum vole une stèle qui paraîtrait-il est une porte vers un vaisseau extra-terrestre. Ça débloque cependant en cours de route. Contentez-vous de regarder Raël à la télé...
Un peu ambigüe face à ces deux albums. Je trouve qu'il y a trop de personnages secondaires et que cela fige un peu l'histoire dans une complexité non-nécessaire. On se laisse cependant entraîner après le premier tome et on a réellement envie de savoir ce qui lie Flee(Volunteer) aux vampires. J'espère qu'on aura plus de gras autour de l'os lors de la sortie des tomes subséquents sinon je crois que mon intérêt ira malheureusement en décroissant.
Une performance atypique dans le paysage des auteurs de bédé, celle d'un médecin qui a choisi le crayon pour témoigner de la misère des SDF au quotidien et de leur volonté de conserver leur dignité à travers une soupe chaude. Ni versant ni dans le message moralisateur, ni dans la dénonciation militante, le monologue introspectif du vagabond nous accompagne bien après la dernière page. Et si un jour c'était moi...
Spin off de la série Kid Paddle, cette série basée sur un personnage de jeu vidéo fictif ne décolle pas. A peine quelques sourires sont-ils esquissés à la lecture de certains gags. Finalement, je préfère le barbare à dose homéopathique dans la série mère.
Une leçon de marketing d'origine médiévale qui se laisse lire, mais constitue une porte dérobée dans l'univers du donjon. En d'autres mots, pas la meilleure pour en saisir toute la richesse.
Sympa mais sans plus, loin d'etre original : des series avec des bastons de lyceens il y en a en pagaille. Le gros probleme vient du nombre élevé de personnage, tres dur de toujours se rappeler qui est qui. Enfin c'est distrayant et pas prise de tete.
Cet album est pour moi le meilleur des six et constitue l’apothéose de ce conte de fée satirique. Etant probablement le seul conte où le prince charmant aspire à devenir batracien pour finalement vivre heureux et faire beaucoup de têtards, cet album s’amuse à regrouper tous les acteurs de cette pièce de théâtre aux dialogues fabuleux, tout en faisant un clin d’œil aux autres contes populaires (la belle et la bête, le chat botté, le petit poucet, la belle au bois dormant, etc.).
Ce mélange d’aventure, de dérision, de satyre, de poésie, de tendresse, de philosophie et de magie se termine comme tout conte de fée qui se respecte et de la même manière que le premier cycle, avec cette petite différence que cette fois, on a l’impression que Romuald a bien compris la leçon. Parfait !
Si le tome précédent nous avait fait partager quelques moments de tendresse entre l’ogre et la princesse, ce tome ci se veut plus dynamique et bourré d’action. L’album s’ouvre par une chute vertigineuse de nos deux amis, qui devront ensuite éviter le lynchage pour finalement pouvoir participer aux joutes de chevaliers qu’ils devront impérativement gagner pour obtenir le fameux baiser de la princesse Héphylie.
Cette alternance d’action, de dialogues exquis et de situations d’infortune, combinée aux dessins fabuleux de Bruno Maïorana donnent une impression de dessin animé au lecteur, qui prendra sans aucun doute autant de plaisir à lire ce nouvel album, moins novateur, mais plus dynamiques que les précédents.
Le tandem Garulfo/Romuald, toujours à la recherche de la princesse Héphylie, fonctionne encore à merveille avec de nouvelles scènes hilarantes. Amusant de voir un corps de grenouille expliquer la ‘logique’ humaine à un corps d’humain et un humain expliquer comment manger des insectes à un batracien. La naïveté de Garulfo, combinée aux expressions incrédules de Romuald dans son corps de grenouille font merveille.
Heureusement pour le lecteur, leur quête pour retrouver leurs formes respectives n’aboutira pas dans cet album car ils n’y rencontreront même pas la princesse, qui parodiant la Belle et la Bête, passe sont temps dans la maison d’un Ogre. Cette nouvelle relation entre la princesse et l’ogre donne une petite touche de tendresse à cet album, que l’auteur s’amuse à alterner avec les drôleries de notre duo favori.
Au début j'étais vraiment réticente à cause du titre à mon avis trop shojo, trop gnangnan....bref je voyais déjà l'histoire d'amour bateau, pleine de bons sentiments....Alors j'ai été agréablement surprise en le lisant, parce que c'est surtout l'histoire d'une recherche de soi ( et d'ailleurs l'amour perd à la fin!), et je me suis plutôt bien retrouvée dans le personnage de Maki, mais peut-être est-ce parce que moi aussi je fais de la photo alors ça aide! En bref ce manga m'a parlé et surtout il m'a donné la pêche, j'en suis sortie avec le moral et ça c'est plutôt rare! Donc je le conseille autour de moi mais honnêtement je ne sais pas si ça plaira vraiment à une personne qui ne connaît rien à la photo et qui s'en fout, même si on peut tous en tirer une belle leçon de vie!
Un très bon album clairement signé arleston . j'ai notemment craqué pour le "méchant" Chrysante Von Laack vraiement tordant .
BD qui se lit très vite ce qui est louable pour un prmier tome qui doit présenter tous les personnages... Vraiement très bon .
Bernard Werber a encore frappé !! Après ses incroyables romans il nous dévoile encore une autre facette de son immense talent . Félicitatios également à Puech pour ses dessins . J'attends le tome é avec impatience .
Je crois que nous devons être un peu plus indulgent avec ce 1er album. En fait l'histoire aurait pu être développée sur 2 albums afin d'étoffer un peu plus les personnages.. voyons la suite qui j'espère corrigera les défauts du début mais gardera les qualités de dessin et de l'ambiance de cette BD...
Un bon début pour une série qui promet. Rien de trop mais assez qui donne envie de continuer et d'aller découvrir ce qui se cache vraiment dans la zone 85. Un bon suspense pour ce genre d'album. On attend le troisième avec impatience!
Un debut de serie plutot bon, on decouvre des personnages tres attachant, les dessins sont vraiment bon. C'est du Shonen classique avec les combats qui vont avec, l'amitié comme theme tres important. Je sais si le reste est aussi bon mais ces 2 premiers tomes sont vraiment sympa.
Un dessin de tres grande qualité au service d'une histoire interressante. Dans ce premier tome on nous presente les personnages : le "heros" qui d'ailleurs est plutot un anti heros tres charismatique, une jeune femme tres belle et tres dangereuse qui lui sert de garde du corps. Ce premier tome est assez violent, un personnage plutot sympa meurt de facon tres violente. L'histoire na pas vraiment debuté dans ce tome 1 mais c'est tres prometteur.
bon opus d'une série aux scenari bien construits. Bien que je n'adhère pas aux dessins, l'histoire est assez captivante pour me le faire oublier
Un second tome aussi bon que le premier avec la conclusion de la premiere enquete avec un brin d'action. Debut d'une seconde enquete tout aussi passionnante, Eiji utilise son pouvoir avec parcimonie ce qui est bon pour l'intrigue. Une bonne serie policier avec un peu d'humour, un peu de reflexion et un peu d'action.
Belle BD dont l'originalité tient en ce que le (anti) héros est un homme au foyer qui tente d'assumer les diverses tâches ménagères et les humeurs de sa famille. Beaucoup d'humour et de bonnes idées, c'est une bonne série, agréable à lire
Parfois vulgaire mais toujours amusant. Le scenario est bien mené avec une ironie parfois cruelle. C'est une belle critique sociale, pertinente et percutante que nous livre Ptiluc
Un album plutot divertissant, de beau dessin en NB un decoupage soigné et un bon scenario. On suit donc un inspecteur un peu desabusé aux methode expeditive. Bon c'est vrai que le scenario n'a rien d'exceptionnel : une enquete classique, mais la mise en scene est efficace. Le seul point noir c'est le temps de lecture c'est ultra rapide à lire :(
J'ai beaucoup de mal avec ce type de dessin "réaliste". Pourtant j'aime cette série qui comporte (en général) d'excellents scenari, tellement bons d'ailleurs que ma réticence face au dessin s'estompe au fur et à mesure de la lecture (la magie Van Hamme). Je n'aime pas trop le côté science-fiction mais la série sait innover et faire évoluer ses personnages (cf le tome 8 "Alinoë", sorte de huis clos angoissant). Je ne peux donner d'avis sur l'évolution complète de la série, n'ayant lu que les 12 premiers tomes. Jusqu'à présent du très bon
Deux flics gaffeurs sèment le désordre dans leurs enquêtes...et celles des autres. J'aime assez l'humour, ni trop lourd ni trop subtil. Le dessin est dynamique, les persos finement croqués. Ce premier tome est très prometteur
venant d'acheter le tome 9, j'en ai profité pour relire les 7 et 8 et, m'apercevant que je n'avais pas encore donné mon avis sur le 7, je m'y colle !
Que dire... Je suis un peu déçu par le côté trop facile et très fouilli à la fois... Je n'ai pas du tout aimé les planches ou Debrah visionne une vidéo où les ex-membres du niveau 2 (ceux qui ont été assassinés au début du tome) parlent de l'organisation : dessin trop réaliste voulu mais qui "choque". De même que la planche où on voit les images de synthèse 3D... J'aurais préféré que tout soit fait du même style/trait que le reste.
Aaahhh... Je retrouve le bon Chant des Stryges avec ce tome 9. J'ai l'impression que le "truc" qui faisait toute la splendeur des débuts de la série est enfin de retour. Désormais, je reprendrai bien un peu de tome 10 pour le dessert ;-)
venant d'acheter le tome 9, j'en ai profité pour relire les 7 et 8 et, m'apercevant que je n'avais pas encore donné mon avis sur le 8, je m'y colle !
C'est un bon scénario, des dessins qui me plaisent toujours autant. Cependant, l'intensité a du mal à revenir je trouve...On attend avec impatience la suite et on reste sur sa faim...
Un tryptique extrêmement décevant. Il commençait pourtant très bien, dans la plus pure veine des Andreas, avec promesse d'intrigue complexe. Et puis tout s'écroule, tout n'était que fausses pistes, mises là comme pour délayer. Au final, un argument plus mince qu'un cheveu, qui même dans une histoire courte sur trois pages aurait semblé bien vide et bien creux, s'étale paresseusement sur trois albums. On comprendrait presque qu'Andreas n'ait pas voulu perdre son temps à dessiner lui-même ce qui semble n'être qu'un fond de tiroir, une idée vite jetée sur un bloc-note, et vite oubliée.
j'ai lu cet album et, franchement, je n'y trouve rien de bien terrible. Fan de la série télé, je suis très déçu : à vouloir les faire ressemblants, les personnages sont des caricatures des acteurs. C'est moche !
Bien entendu, c'est subjectif...
Phénomène ô combien fréquent au Japon, le suicide collectif, et tout particulièrement d'adolescents, laisse perplexe. Comment cela se fait-il qu'au sein d'une société aussi riche que le Japon des jeunes à l'avenir apparemment souriant décident de mettre fin à leur jour ?
Cette manga, bien qu'elle laisse présager d'une explixation surnaturelle au phénomène (une malédiction du même genre que celle que l'on peut voir dans The Ring), énonce clairement le problème : dans un monde où l'individu a de nombreux moyens de communiquer (dont l'Internet, composante majeure du récit), il est néanmoins courant, très courant de se retrouver complètement seul. Pourquoi ? Parce que dans une société individualiste qu'a engendré la modernité, l'individu doit assumer seul sa propre liberté, et n'a aucun groupe de référence auquel confier un peu de sa liberté en l'échance de certitudes et de chaleur humaine. C'est cette incompatibilité entre une vie solidaire et les normes de la société moderne qui pousse ces individus au suicide. Dans Le Cercle du Suicide, le groupe est lui-même fondé sur cette incompatibilité, de fait, le suicide en est le confiteor.
Le dessin est clair, expressif et assez agréable à lire, d'une violence et d'un réalisme parfois gênant voire insoutenable (il s'agit plus de maturité à mon goût, mais cela dépend des sensibilités de chacun).
Au final, une oeuvre intéressante qui ne manque pas de déranger et d'émouvoir. Que demande-t-on de plus ?
Je n'aime pas être aussi sévère sur une bd mais cette fois-ci, la déception l'emporte. Avec un titre aussi accrocheur, on s'attend à quelque chose de mystérieux, d'énigmatique. Là se trouve le coeur du problème; cet album renferme quelques histoires totalement dénuées d'intérêt. Le dessin est solide; sûrement à la plume et à l'encre. Le reste? On s'en tape la coquille comme dans l'an quarante de connaître un ami-prétendant-on-ne-sait-trop de Lovecraft, on en a rien à cirer de savoir qu'Agatha Christie a eu un épisode d'amnésie et tutti quanti. Soporifique au max! Quelle déception!
Deux polonais revoient les codes de bd et se paient le titre de meilleur album au concours Arte-Glénat. On comprend pourquoi!
Otto vit avec son rat Watson dans une boutique de chapelier désuète mais se promène avec un sac de papier sur la tête. Il nourrit son rat de camembert et laisse celui-ci utiliser sa brosse à dent. Otto mènera une enquête et on découvre que Watson, lui est aussi nécessaire que Dupont et Dupond font la paire.
Jouissif, intelligent; on est loin de la Bd fade et convenue. Chapeau les polonais!
Dès la première histoire le ton est donné. Il n'est pas facile de lire un album des Chroniques absurdes au complet en un seul jet. L'émotivité et l'agressivité suscitées par ces histoires se doit d'être suivi de quelque chose de plus léger. Prado ne perd aucunement la touche dans ce deuxième album.
Pas aussi frappant que le premier puisque l'effet de surprise est chose du passé. Cependant, on s'y marre et on a hâte au troisième.
Pas le meilleur des Larcenet mais comment pourrait-on comparer les chef d'oeuvres que sont le Combat Ordinaire et Le retour à la terre? Cependant, on y retrouve tout l'univers Larcenet et son trait de crayon magique. Il maintient ses dogmes de création peut importe sur quoi il travaille. À remarquer: les ellipses du passé sont toujours en gris-kaki, les crises d'angoisse en rouge, les deux bras en l'air pour la joie...Son trait fin et naïf fait toute sa force. Encore un coup réussi!
À tous ceux qui adorent l'originalité, vous ne pouvez passer à côté de cette petite merveille. On rêve d'avoir un tel chat pour nous protéger. Les planches sont vraiment chouettes, le scénario cohérent. Tout baigne dans l'huile pour le plus grand plaisir des bdphiles. Bravo!
Un chat qui réussit là où l'âme humaine peut parfois échouer. Pour tous les amoureux des petites bêtes à quatre pattes qui font miaou! Sympathique.
La rusticité de l'image correspond peut-être à l'époque; le scénario est dans la première partie incohérent en partie. Peut-être parce que les personnages ont semblablement les mêmes traits qu'il est parfois difficile de les démêler. Lorsqu'on entend les mots sorcellerie, alchimiste et énigme on s'attend souvent à plus que ça. Rien pour renouveler le style; courez plutôt lire "Le troisième testament" pour bédéphiles férus d'énigme du Moyen-Âge.
C'est avec un certain à priori que j'ai lu cet album, les autres avis ici postés n'étant guère élogieux. Pourtant, mis à part les impardonnables fautes d'orthographe, j'ai trouvé l'histoire assez prenante. Le scénario est plutôt bien ficelé mais le découpage n'est pas toujours judicieux et l'on se retrouve souvent à chercher la phrase suivante à lire. Mis à part ces désagréments, l'album mérite tout de même un bon 6/10 car le dessin est assez agréable (même si les décors, par la force des choses, sont assez simplistes) et les quelques pages de croquis sont assez belles. Espérons donc que le tome 2 (à paraître???) sera juste un peu plus consistant du point de vue des dessins (logiquement oui, vu l'arrivée sur Terre) et corrigé par des pros de la langue française.
Adorant Davodeau, c’est sans la moindre hésitation que je me suis jeté sur Les Mauvaises Gens. J’ai directement retrouvé ce dessin simpliste mais efficace typique Davodeau, tout en étant agréablement surpris que dans ce récit il dessine aussi ses parents, mais également lui-même. C’est ainsi qu’on prend plaisir à voir le petit Davodeau un Astérix à la main ou sur une table de dessin avec en face de lui un plumier avec ACDC écrit dessus. Et petit à petit on découvre le petit Davodeau et ses origines.
Ce côté autobiographique de l’ouvrage m’a bien plus. La perception du petit Davodeau de la religion est de la politique est narrée et dessinée comme seule Davodeau est capable de le faire. Seulement, le sujet principal de cet ouvrage n’est pas la famille Davodeau, mais les gens qui militent au sein de cette région catholique et ouvrière et comme le dit honnêtement Davodeau à la fin de cet ouvrage : ce récit est pour eux ! Et donc : pas pour moi !
Le sujet ne m’a donc pas accroché du tout, car lire un récit sur les syndicats, la religion, la politique et ses militants, dans un pays qui n’est pas le mien et une période qui date d’avant ma naissance ... désolé mais j’ai plus tendance à décrocher qu’à accrocher. Donc même si le côté autobiographique m’a intéressé, le côté plus historique et militant m’a plutôt ennuyé et je me vois donc dans l’obligation de donner ma toute première mauvaise note au grand dadais, ... ce qui lui rappellera peut-être l’école.
Charles Masson nous fait suivre le raisonnement hypothétique mais réaliste d’un SDF qui s’enfuit d’une maison d’accueil en pyjama et pieds nus sous la neige. On suit le parcourt d’un type qui souffre d’un cancer. Les médecins ont bien voulu lui enlever la mandibule pour tenter de le sauver, mais comme il n’avait déjà rien il ne voulait pas en plus qu’on lui prenne sa mandibule. Quand il fouille dans les poubelles, il ne cherche pas ses clefs car cela fait longtemps qu’il n’a plus de maison. Il n’y a qu’une chose qu’il a et qui le réchauffe : c’est la soupe chaude qu’on lui sert le soir au foyer. Alors, quand on a l’audace de lui servir une soupe froide, il se sent humilié et préfère fuir au beau milieu de la nuit !
On suit les dernières heures de ce SDF, de cet homme qui va mourir dans l’anonymat, tout ça parce qu’on n’a même pas été capable de lui servir une soupe chaude dans un monde où un SDF qui meurt de froid est qualifié de mort naturelle ! Ca ne devrait pourtant pas être naturel de mourir de froid … saloperie de monde !
En tant que lecteur on prend la peine d’écouter le monologue de 120 pages d’un type qu’on évite dans la rue. Des gens qu’on ne regarde pas alors qu’ils crèvent de faim et de froid et qui ont une histoire similaire à celle de ce SDF dans Soupe Froide. Charles Masson leur donne ici enfin la parole, rendant ainsi un peu de dignité à ces personnes qu’il nomme SIP (sans intérêt particulier).
Le trait assez brut et hachuré est tout de même convaincant et parfois surprenant. Je ne peux que vous conseiller de lire ce récit poignant, car la fin anonyme de ce SDF vous rendra intérieurement plus riche ... Ces gens qui n’ont rien vous offrent ici leur histoire !
Le meilleur recit de Wolverine depuis les origines, Logan en super vilain malgre lui. Au scenario le talentueux Millar et aux dessins Romita JR. Un mega crossover avec tout l'univers marvel contre Logan : Elektra ( super role dans ce recit ) , Furry et ces gars du shield ( les pauvres : wolverine en tue en pagaille ), les 4 fantastiques ( ridicule comme d'habitude ), Daredevil, Captain,Iron Man et les X-Men. Un X-men secondaire va même mourrir. La premiere partie du recit est vraiment genial. Vivement la suite.
Petit crossover Logan/Captain America et miss marvel. Scenario ultra classique avec des gros mechants qui ont derobé une technologie qu'il faut à tout prix recuperer. Niveau dessin c'est vraiment tres beau, malgre le scenario basique on passe un bon moment grace à Wolverine bourrin comme à son habitude, Captain America est lui aussi comme d'habitude c'est à dire ridicule et sans interet.