Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2025 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 29/01/2025 à 16:17:25 en 0.4404 sec
Un manga qui retrace le quotidien et les relations entre les personnages lors que chacune de leur rencontre, dans la rue, au lycée, au combini. Il y a beaucoup de poésie, de douceur, d'émotion dans ce titre. Tant les sentiments amoureux ou amicaux que les questionnements des personnages sur leur avenir professionnel interpellent le lecteur et le mettent face à des choses qu'il connaît ou a connu. On a vraiment envie de connaître l'évolution de Rikuo, Haru, Shinako.
Le dessin, très particulier, de Kei Toume donne encore de la profondeur à l'histoire, la transporte, la grave dans nos yeux, par son trait incisif.
Une très bonne surprise ; à découvrir.
Je croyais que nous avions affaire ici à 6 tomes alors qu'il n'en est rien. Les tomes de Fog viennent par deux.
Il est vrai que le dessin est assez rustre mais accomode très bien le Londres victorien. Les couleurs délavées également.
Je suis curieuse de lire les quatre autres tomes. Comme quoi, il n'y a pas seulement Sherlock qui peut enquêter et livrer de bonnes histoires...
Assez conventionnelle comme bd excepté le fait que ce tome situe l'action à Montréal, ville dans laquelle je vis. Le chauvinisme l'emporte alors sur la raison et j'ai bien aimé. Rien qui ne passera à l'histoire mais une bonne demi-heure de divertissement.
Il est très difficile de reconnaître les personnages; le premier tome sert à placer l'intrigue et les personnages mais est en même temps très complexe. On verra dans le tome suivant mais au risque de me faire tirer des tomates, je n'appuie pas les autres critiques dithyrambiques, je demeure neutre en attendant la suite...
un veritable chef d'oeuvre il ya tout dans ce manga!!!!!!!
series pour ce divertir certain volume arrive a
7 d'autres a 3.
alors la ! c'etait nul.1 volume heureusement pour mon argent moi je suis arrivé au bout mais ma soeur a decroche au 2 chapitre bref a evité a tout prix
tiens on se retrouve mais la je suis presque de ton avis.c'est un manga certes beaux mais niais et tchii me tape sur le systeme nerveux:HIDEKIIIIII!!!!!!!
de toute facon clamp n'a jamais etait mes auteurs preferer et meme loin de la.
bof c'est joli ,mignon mais c'est tout. je trouve que ce ne sert a rien de l'avoir dans sa collection .mais bon ca reste un manga maarant et interessant pour les plus petit!!!!!!!
un manga tres marrant avec de beau dessin sans oublier de l'action.
ce manga est pas mal mais j'ai preferer le film car il etait moins choquant pour moi.
la couverture est trop belle ce manga est interessant mais il ne fait pas partit de mes preferer
desole mais je me suis tromper de bouton bref j'augmante d'un point parce que balmung est bien dessiné.
c'est beau mais le probleme c'est que dans les manga de yuu watase ont retrouve toujours les meme base.un rival qui a la fin abandonne et l'heroine aime le brun. dans ce genre elle a deja fait mieux imadoki ou ayashi no ceres
il a 3 point sur 5 mais on a oublier de preciser c'est 1 pour chaque volume comme il yen a 3 vous avez le resultat.enfin je trouve par contre que les dessins sont beaux
Je viens de terminer le tome trois... Quelle fin! On en redemande à la seconde
où on se rend compte que l'album est terminé. Vite, il faut immédiatement que
je me procure le tome 4. L'histoire est fabuleuse. Loisel est maître de son art
et de son monde, où créatures, sirènes, pirates, indiens, enfants et imaginaire
se rencontre. Bravo!
Déception est le mot qui me viendrait à l'issue de cet album. J'avais aimé Bluehope du même auteur (je n'ai lu que les 2 premiers pour l'instant), mais là, je ne trouve pas ça bon au niveau scénario. Ca vise peut-être un public plus jeune, mais la psychologie des personnages est mauvaise, très peu fouillée, et d'une manière générale, on dirait les perso sortis tout droit de la série "1er baiser..". Bref, c'est pas bon. Les séquences fantastiques tombent à plat, on n'en voit pas l'utilité, la finalité... Bref, je n'ai même pas envie de connaître la suite, les questions en suspens me désintéressent complètement... Le dessin est plutôt pas mal, pas terrible non plus. On ne comprend rien aux scènes fantastiques (dessin et scenar finalement), dont la seule utilité semble être de meubler 3 ou 4 pages.. Les couleurs plutôt bien surtout dans l'orangé (elles sont très bien dans les 2 premières pages..). Bref, c'est décevant...
Mon coup de coeur de l'année derniére... Un scénario, ou plutot un concept que j'ai trouvé trés interessant, un bon developpement (malgré encore une fois une scene de poursuite sur 2 page completement inutile....).
Bref, une série extrémement prometteuse,cela dit, j'ai un peu peur que par la suite l'auteur ne maintienne pas le niveau......
Niveau dessin, c'est acceptable,plutot pas trop mal, avec de bonnes couleurs mais avec un bemol; un gros probléme dans le dessin du visage de l'heroine(cf la couverture par ex), avec un nez trés spécial....
Bref, esperons qu'entre toutes ses séries qui sortent mensuellement, Morvan ait pris le temps de bien travailler son scénar, et évite le baclage....
Sinon merci à lui pour cet album..
Tout simplement le meilleur manga que j'ai lu jusqu'a présent. Il ne faut pas être allergique à la violence, mais passé ce cap, on trouve une histoire fantastisque.
Un tome 3 encore meilleur que le precedent. L'action est omnipresente, le scenario est solide avec plein de surprise au rendez vous. Un City Hunter en pleine forme. INDISPENSABLE.
Une ptite histoire bien sympathique, dans l'esprit c'est un buffy un peu plus trash. Les dessins sont un peu caricaturaux mais sont parfait pour ce type de recit. Pour l'histoire c'est pas super original : une ado qui se transforme en loup garou. Action et humour sont au rendez-vous. J'espere qu'on aura le droit à une suite.
De nouveaux perso entre en scene tous avec des tetes de killer, le debut des hostilité va commencer, une chose est sure sa va saigner. Le debut de l'album est assez marrant avec les tests physique de Baki. Fan de baston c'est une serie pour vous sinon passez votre chemin. Moi j'adore en tout cas.
C'est d'un ennui... c'est long... il faut du courage pour aller au bout. Le dessin est absolument quelconque. Heureusement qu'il y a quelques râres touches d'humour pour éviter la nullité absolue. Je n'ai rien à rajouter, tout est dit.
Je viens de lire ce second tome, et franchement je le trouve très bon.
Le dessin est sublime (voir par exemple le paysage en toute dernière page. Whaaa..), l'histoire bien ficelée et moins brouillon que le premier tome (j'ai pas dit qu'il était pas bien, mais quand même un peu brouillon).
Bref, j'ai adoré. Ca vaut beaucoup plus que la très grande majorité des BDs qui sortent, souvent écrites par des gens plus connus.
Un album N&B absolument splendide.
Une folle épopée dans laquelle le héros malgré lui prend petit à petit conscience des destinées de peuples, de tout un monde dont il a dorénavant la responsabilité. L'illumination & la révélation sont rapidement apparues au petit chninkel, mais la route de la réussite est longue et parsemée d'embûches...
Agrémenté de graphismes sobres mais sompteux et doté d'un scénario dont Van Hamme a le secret, cet one-shot est une véritable réussite qu'il est impératif de connaître, ou de faire connaître.
Je n'ai pas mis 10/10 car la perfection n'est pas de ce monde. Mais l'appellation chef d'oeuvre (pour la note de 10/10) convient comme un gant à cet album tout bonnement époustouflant.
Comme quoi il n'est pas nécessaire de se surpasser pour produire de la qualité, il suffit seulement d'exprimer le meilleur de soi-même, et c'est en cela que Van Hamme & Rosinski excellent.
Merci messieurs pour ce pur plaisir de lecture.
Tout a été dit; le tome 2 a été fait en 1999. En 2005, peut-on espérer encore une suite?
Émotion, émotion et émotion. Une bd qui brille par les sensations qu'elle procure. Une vrai montagne russe. Chapeau!
Ces derniers temps, je ne trouve plus beaucoup de plaisir à lire de la BD franco-belge commerciale "adulte". Je trouve par contre beaucoup plus de qualité dans certaines séries dites pour "enfants", qui ne baissent pas de niveau. Celle-ci en est le parfait exemple. Je dirais même plus, elle bonifie avec les années et avec l'apport (pour un album) d'un nouveau scénariste. Captant l'essence de la série (l'amitié, l'école, une saine nostalgie pleine d'ambiance, etc...), Sergio Salma a réussi à la transcender pour y apporter un renouveau intéressant. En effet, outre une modernisation des dialogues, il relance tout à fait l'intrigue, en incorporant un nouveau personnage central (la fiancée de papa), qui ouvre assurément de nouvelles portes pour les futures aventures de Jojo. Contrairement à Cédric/Kid Paddle/Petit Spirou, voici une série qui évolue dans le bon sens. Enfin, que dire du graphisme au top de Geerts, qui illustre parfaitement cette histoire, tirant un profit maximum de l'utilisation de la couleur directe (nouvelle technique qu'il utilise depuis le précédent album). Une belle réussite, qui donne envie de lire la suite...
Mouai...............
Je m'attendais à la BD de la décennie, vue son incroyable popularité.
Qu'elle déception!!!!!
Un très bon album, un peu supérieur au premier dans lequel l'histoire se mettait en place.
Nous suivons bien sûr l'inénarrable Pixie, le drôle Ael et la mignonne Elvynn dans leur quête pour empêcher Ael de rêver. Mais le scénariste n'oublie pas les intrigues du père d'Ael ou celle d'Ankou. Il introduit également de nouveaux personnages, en particulier plusieurs ravissantes mais dangeureuses jeunes femmes.
M. Mariolle nous a bien sûr ménagé quelques excellents moments de délires et d'humour, bien retranscrits par Aurore. Et c'est avec plaisir qu'on retrouve dans cette série un style manga.
Les dessins d'Aurore sont toujours aussi beaux et cette fois-ci elle nous offre quelques verts luxuriants et des couleurs colorées et gaies ce qui tranche avec les couleurs plus sombres du 1er tome. J'aime particulièrement les vêtements qu'elle crée pour les jeunes femmes de cet album et le côté très vivace de son dessin.
Un seul petit chagrin : M. Mariolle, vous êtes cruel avec le lecteur, en lui donnant à lire une fin qui ne peut que donner une furieuse envie d'avoir le t. 3 rapidement !!!
Avec cet album, retour dans l'univers du Pays des Merveilles, librement adapté des romans de Lewis Caroll, et cette fois-ci dans le royaume de Coeur où règne une reine magnifique qui semble être au centre des évènements qui adviennent à Alice. Avec Twyst et le Chat, la jeune fille cherche à combler les parties perdues du livre récupéré par la Reine de Pique. Beaucoup d'évènements et de révélations dans ce tome ; ainsi qu'une fin qui donne envie de connaître la suite.
De beaux dessins également même si les couleurs semblent parfois un peu saturées.
Un trs bon moment de lecture.
Sur l'histoire, pas grand chose à en dire puisque c'est une pièce de Molière. Côté dessin et mise en scène, d'aucun peuvent ne pas apprécier la décoration minimaliste. Je trouve pour ma part que celà fait justement très théâtre. La pièce dans laquelle se déroule toute l'action se trouve à l'étage d'une maison bourgeoise. C'est une antichambre où on reçoit, il n'y a donc pas beaucoup de meubles d'où le côté très dépouillé. Par ailleurs le plancher donne vraiment l'impression qu'on se trouve sur les planches du théâtre. Pour le dessin, il n'est pas mal.
Bref, j'ai apprécié.
Dumontheuil a un univers très...LSD! Ce n'est vraiment pas un artiste qui pourra plaire à la majorité car ses histoires assez déjantées, demeurent tout ce qu'il y a de plus éclatées.
Ici, si ce n'était de la fin étrange, j'aurais poussé un peu plus la note. Pour ceux qui aiment lire des trucs originaux, farfelus, mais qui passent quand même un message sociétaire.
"Qui a tué l'idiot?" demeure pour moi sa meilleure oeuvre.
Tout le reste est à venir et j'attends impatiemment la suite.
Tetsurô et Maetel poursuivent leur voyage vers la planète où on donne des corps robotisés gratuitement. Chaque planète où le train s'arrête est l'occasion d'une aventure et d'une réflexion sur l'homme, sur la technologie ou sur les préjugés et les sentiments (ou leur absence).
Toutes ces aventures et la leçon qui en est retirée alimentent les doutes de Tetsurô sur l'utilité d'avoir un corps robotisé.
Ce qui me plaît le plus dans cette série, ce sont les réflexions diverses qu'elle nous offre.
en un mot excellent.
humour sentiment super personnages action au rendez vous a ne pas rater.
Love hina, série culte??laissez moi rire.C'est sur que si votre sex appeal ou vos envie cochone prennent le dessus alors la n'esitez pas!!!moi je trouve sa grotesque et d'un tres mauvais gout!!!enfin comme on dit chacun ses gouts.
PS:allez plutot voir des trucs style naruto inu-yasha ou encore saiyuki.
franchement j'ai lu ce manga et c'est vraiment pas terrible.certes les personnages sont beaux mais c'est tout le but de cette histoire est de montrer des filles denudé. le personnage principale tombe est voit une fille nu on le frappe on le critique et ces repartit pour un tour.
Ce mangas est trop fort!humour, amour et tristesse se mari!!!!G vu l'animé avant de le lire et serieux profités en sa vaut le coup!!!On se marre tout le temp mais sa nous fait réfléchir kan meme.KYOU je te trouve tro bô!!!
PS:Ceux qui ne l'aime pa ne sont pa obligé de le dénigrer de cette façon!
je ne suis absolument pas d'accord avec l'avis son goku ! je trouve que fruits basket est une serie culte a lire imperativement.elle est marrante rempli de bon sentiment (ce qui manque)avec des personnages trop craquant mais elle peut aussi etre triste et sombre.
quand j'ai envie de me detendre et de rigoler je prends cette series sinon pour l'action je prend inu yasha et naruto. BREF A NE PAS RATER!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Comme tout le monde j'ai du mal avec le dessin, pourtant la couverture est super belle dommage que le reste ne soit pas dans le même style. Niveau histoire c'est sympa, Elektra en irak pourquoi pas. La fin est plutot surprenante.
Ce tôme propose l'affrontement entre les Huns et les Romains, entre Attila et Flavia....
Les graphismes sont toujours aussi splendides, un point qu'il est toujours essentiel de souligner. Le scénario quand à lui ne se livre pas encore entièrement et laisse des incertitudes pour le tome suivant.
On adore Attila dont l'obsessionnelle bravoure guerrière (identique à celle de Végéta dans l'anime Dragon Ball) lui forge un caractère de plus en plus destructeur. Ce seul personnage donne toute son ampleur à cette série décidément bien menée !!!
Non franchement, je cherche mais je ne vois pas de points négatifs.
Il s'agit là d'une série incontournable dans le genre!!!
Tellement beau au niveau dessin mais tellement vide au niveau scenario.
C'est dans l'esprit de " New Mutants", ptit one shot sympa avec Jubilé en vedette. Pas de super mechants dans cette album, on s'occupe plus des problemes d'ado de jubilé. Sympa à lire en plus le dessin est plutôt bon.
Des jolies filles à tres forte pointrine ( fort bien dessiné )qui se battent voila pour le scenario, c'est un peu pauvre quand même.
Ce tome est presque entierrement dedié à l'entrainement du heros. Une ptite reference sympa à Le Banner ( je sais pas si c'est propre à la version francaise ). Le tournoi commence dans ce tome et les adversaires de Yonggi sont tous plus fort les uns que les autres. Toujours divertissant.
Une idée de depart qui rappelle le film avec D. Whasington et A. Jolie : Bone Collector : c'est à dire un flic qui reste chez lui et une femme flic sur le terrain. Nos 2 inspecteurs sont donc sur les traces d'un serial killer : l'enquete est bien mené, les rapports entre les 2 flics sont interressant. Un bon debut de serie pour une serie policier sympathique.
Un tome vraiment pas terrible : 100 pages inutile avec une ptite histoire sans interets avec Horohoro et un ours : c'est bourré de cliché ( respecton la nature et patati et patata ... ) heureusement la suite devient plus interressante avec le debut d'un combat entre le ringard Ryu et Dracula.
Cet opus diffère totalement des deux premiers en cela qu'il met l'accent principalement sur l'Orbis et Flavia. On quitte donc la barbarie sauvage des Huns et de leur chef Attila pour se concentrer sur l'Orbis, ses complots politiques et la préparation de Flavia... je n'en dis pas plus.
Il n'est donc plus question ici de sauvages batailles, même si de sanguinolents sacrifices parsèment ça et là le scénario, mais bien de mise en place tacticienne. Le calme avant la bataille devrais-je dire.
Une fois de plus la qualité du scénario concocté par Valérie Mangin nous immerge totalement dans ce troisième tome avec un seul regret cependant, les gamineries du jeune empereur Valentinien III. On apprécie ou pas, personnellement, j'y vois là une baisse dans la qualité du récit.
Hormis ce fait, les graphismes sont toujours d'aussi belles factures, même si de temps à autres, selon le plan choisi, certains visages donnent l'impression de ne plus correspondre. Ce point ne m'avait pas heurté dans les deux premiers tomes, dans celui-ci j'en ai fait l'amère constat. Rien de scandaleux toutefois rassurez-vous.
Je dirais que cette cote plus faible s'explique par un fait entièrement imputable aux auteurs: Les deux premiers tomes d'excellente facture ont immergé le lecteur dans un monde cruel et barbare, dans lesquels le sang coule à flot tant dans les veines des Huns, que sur le corps des autres...
Replonger dans un album où la tactique prédomine sur l'action revient à priver le lecteur de ses instincts les plus primaires : celui du besoin d'être mauvais, celui d'endosser le rôle du tueur aux mains propres, du spectateur vicieux.
Oui si Valérie Mangin arrive à combler nos désirs de cruauté dans les deux premiers tomes, il est un fait que l'on en redemande à la fin du troisième opus. Mais pour nous faire patienter, la scénariste, par sa dernière planche, a réussi à faire vaciller nos quelques certitudes établies tuot au long des 2 tomes!
LA bataille risque d'être grandiose, vivement le tome 4!!!
Apres un tome 1 qui m'avait moyennement emballé, ce tome 2 me reconcilie avec Ryo :ok: , l'histoire devient vraiment tres bonne. Les differents personnages sont tous bien developpé, City hunter egal à lui même, de l'action, de l'humour et un peu de suspens = une tres bonne serie.
Sympa sans plus, des dessins pas terrible et une histoire tres moyenne poutant l'idée de base est sympa mais le heros est tellement debile que sa devient vite lourd et pas tres drole.
Lecture de mon premier DD, finalement c'est pas si mal, j'avais peur de pas aimé ( surement à cause du super film avec Ben Affleck ). J'ai donc decouvert l'univers de daredevil : c'est plutot sympa. L'histoire est assez sympa, Matt Murdock est un personnage vraiment tourmenté. Le dessin de Quesada est vraiment bon je trouve.
Ce tome 3 est clairement le meilleur tome depuis le debut, l'histoire devient reellement interressante avec l'apparition de nouveaux personnages ( l'ecuyer qui amene un peu d'humour, et surtout des gros mechant bien balaise ). Le passé de Mun Sun est un peu expliqué. Sando quand à elle est fidele à elle même c'est à dire parfaite :ok:
Bienvenue dans l'univers inimitable de Foerster !!!
Foerster, dont le talent n'est à mon avis pas assez reconnu, nous livre ici un de ses albums les plus réussi .Si son dessin peut en rebuter certains au premier abord, il sert par son originalité une histoire empreinte de fantastique, de peurs d'enfance et habités de personnages tourmentés ...On retrouve l'atmosphère noire des albums de fuide glacial (" LA RAISON DU PLUS MORT", "HANTONS SOUS LA PLUIE",etc ), un héros marin/aventurier qui rappelle "STARBUCK" (autre série de Foerster, superbe!!!) et un humour second degré très percutant .A noter les nombreuses références à d'autres contes ou mythes ...
Si Foerster avait un peu perdu sa marque de fabrique avec la série "SILEX FILES", il arrive avec "GUEULE DE BOIS" à un excellent compromis qui ravit ses puristes et rend accessible son oeuvre au plus grand nombre ...
Ce sera peut être le début du succès qu'il mérite ...(croisons les doigts) .
Si cet album arrive à vous convaincre essayez donc ensuite "STYX" paru chez Le Lombard en 1995 avec Andreas au scénario, vous ne serez pas décus ...
Manque cruellement de tout, un scenario ringard servit par un dessin pas terrible.
Le tome 2 poursuit dans la même lignée que son prédécesseur.
Le scénario est d'aussi grande qualité que le précédent. Certains voiles sont levés mais sans relâche l'intrigue se poursuit, offrant des voies pour le moins surprenantes.
La Déesse Kerka est ici au centre de l'album. Sa relation avec Attila se complexifie davantage, celles avec ses parents se clarifie. Les dés ont été jetés, mais par qui et pourquoi...
Les graphismes sont tout toujours aussi somptueux. Rien à redire de ce côté là.
Ce second opus relance une fois de plus l'action avec une fin très prometteuse. Au final même s'il ressort de ce volet une impression d'action plus lente, la guerre est belle et bien lancée, plus sanguinolante que jamais.
L'heure est aux choix stratégiques, voyons ce que recèle le tôme 3...
Et voilà l'album qui clot le premier cycle de la meilleure série du label série B de Delcourt, label lancé il y a 10 ans (on le saura, vu le matraquage marketing qu'il y a derrière !!). Cet album répond à de nombreuses questions qui restaient sans réponse jusqu'à présent. On comprend mieux ce qui a poussé le clone d'Harrison Banks à prendre la place de ce dernier, sans aucun scrupule : l'amour, toujours l'amour! Il y a énormément d'action dans cet album, on ne s'ennuie jamais à sa lecture. Ca traînait en longueur, depuis 2 ou 3 albums, mais là pas de temps mort, que du bon ! Mais je tire surtout mon chapeau au dessinateur et aux coloristes qui ont réalisé un travail magnifique. J'aime beaucoup le passage où Harrison et celle qui cherche à l'éliminer depuis le début, pour nourrir son fils, se retrouvent dans un jeu obscène à la running man, et doivent éviter une multitude de pièges pour sauver leur peau. Les dessins sont très réussis, très rythmés. Une série dépaysante, dont je comprends le succès tant il est mérité.
Voici une magnifique surprise. Cette BD est une véritable réussite.
Le scénario est travaillé, finement ciselé avec des retournements de situations, des allliances ... rompues etc etc. Transposer la lutte entre les Huns et les Romains dans un environnement intergalactique fonctionne à merveille.
Et dès l'apparition de la Déesse Kerka (seul point plus faible du libre à mon avis mais on oublie bien vite ce détail tant l'action est haletante), on entre dans le vif du sujet pour ne plus le lâcher tout le long de l'album.
Les graphismes sont tout bonnement beaux. Très beaux même.
Ce premier tome propose plus qu'une simple découverte des différents instigateurs de l'épopée.
Il s'agit là d'une guerre sans merci dont la première bataille meurtrière et sanglante vient de se terminer, pour en appeler d'autres encore bien plus dévastatrices...
L'histoire commence étrangement, on ne sais pas trop vers quoi ça nous entraine, même si on se doute un peu de ce dont il s'agit.
C'est bourré de références. J'ai plusieurs fois éclaté de rire.
Le dessin est efficace sans être parfait, mais l'histoire est tout à fait correcte, pour ce qui partait comme un spoof.
INDENIABLEMENT LE MEILLEUR CHAUZY.
A ses début, Chauzy flirta avec le roman noir chez futuropolis. Puis ayant grandi, il eu assez de recul pour taquiner l'autodérision ("parano", "l'âge ingrat"), où l'on sentait un certain vécu. Enfin, récemment Chauzy s'est lancé dans le policier dans un premier temps en demeurant fidèle à un certain sens de l'humour ("Clara"), mais cela de mon point de vue gâchait le potentiel qui se révèle enfin, le mélange des genres n'était pas parfait. Puis il s'est attaqué au polar pur et dur avec plusieurs collaborations avec "Jonquet".
Dans "rouge est ma couleur", il réalise avec Villard un somptueux polar. J'ai toujours considéré que bien souvent les meilleurs BD étaient celles en 1 tome (voir 2 ou 3 maximum... si nécessaire). Mais encore ne faut-il pas se rater dans cet exercice et c'est le cas. Le scénario tient parfaitement debout et s'enchaîne parfaitement. Côté dessin, il s'accomode parfaitement à cette ambiance sordide nord-parisienne (comme c'était déjà le cas pour "la vie de ma mère" avec Jonquet).
BREF, UN EXCELLENT POLAR EN BD - ce qui est assez râre pour mériter notre attention. Devrait plaire aux amateurs de genre.
MMMh Comme les graphismes sont somptueux! Une petite merveille. Mais que c'est beau!!!
Séra s'est surpassé pour cet album. On quitte vraiment le réalisme pour entrer de plein pied dans un graphisme particulier. Les couleurs de fond sont léchées et d'une douceur extrême tandis que les volumes, les personnages, les objets et les décors prennent vie par des contours noirs. Cet album semble avoir été réalisé en deux passes : la première par des aplats de couleurs puis la seconde par la mise en forme des volumes.
Le moins que l'on puisse dire c'est que le résultat est des plus détonant! On passe de planches sublimes en planches magnifiques. Ou alors, malheureusement, le lecteur est rebuté par ces dessins quelque peu et délaisse un petit bijou.
Le montage est assez agréable en cela qu'il diffère souvent au gré des pages, donc la lecture est dynamique, paradoxalement au cases qui sont assez statique et qui confère à l’ambiance déjà mystérieuse une dose supplémentaire d’angoisse.
Côté scénario, on commence par une situation tendue entre un fils et son père qui conduit ce dernier au bord ... du suicide. Mais au lieu de perdre la vie, c'est plutôt la tête que le héros va perdre tout le long de son périple.
Farman, héros malgré lui, va donc perdre ses repaires dans un nuage de fumée verte pour atterrir... nul ne le sait! Ni lui ni les protagonistes de l'aventure ne le savent. La seule certitude que Farman défend bec et ongle est celle d'avancer, de progresser dans ces lieux mystérieux et inconnus.
Au fur et à mesure des planches plus belles les unes que les autres, les questions s'amoncellent dans le cerveau du héros perdu ainsi que dans ceux de ces compagnons d’infortune.
Une mise en situation détonante pour une série prévue en trois albums.
Ne passez pas à côté d’un petit chef-d’œuvre…
Tout débute par la vision d'un pape, et quel pape! Prêt à tout pour une immortalité illusoire. Au point qu'il faille lui trouver un successeur, donc organiser un conclave ...
La trame de l'histoire est connue.
Le scénario de Jorodowski fonctionne à merveille et est bien mené. A l'intrigue principale viennent s'ajouter des complots, des traîtrises et des jeux de séduction. L'action est trépidante et le montage des cases est bien réalisé, classique mais très fonctionnel dans la réussite.
A l'image des corps dessinés superbement (trop superbement on en viendrait presque à regretter cette époque), nos âmes sont choquées par une telle débauche de luxure et de pouvoir. Les graphismes restent fidèles à Manara, on aime ou pas, mais quand on aime, on ne s'en lasse pas. Si bien que ... non je ne peux pas en parler sans lever un bout du voile ... si bien que la fin du Tome 1 révèle bien des surprises ... très surprenantes.
Bref, vous découvrirez dans ce Tome 1 la famille Borgia, ses opposants, des mœurs décidément bien d’une autre époque, encore quoique…
Une lecture à conseiller malgré l’attente d’un second tome pour s’assurer d’un très bon lancement de la série !
Un merveilleux potentiel totalement inexploité. On n'apprend rien sur cette
fabuleuse maison qu'un dépliant pour touristes ne nous montrerait. L'intrique est
sotte et plate et le dessin baclé sur de nombreuses planches. Un produit
purement commercial et un joli piège à gogos.
pas mal, pas mal ce tome 4.
l'album est très dense (beaucoup à lire), et il reste après la dernière page encore une petite pointe d'énigme, avec une fin disons ouverte, mais on apprend beaucoup de choses et les couleurs sont superbes. Sinon, je ne sais pas si c'est une légère lassitude de l'oeil ou du dessinateur, mais je trouve ses squelettes un tout petit peu moins bien dessinés sur le 4ème tome...
ça doit être moi, et c'est pas bien grave de toutes façons.
Boujour je comence a m'interesser a votre site que j'ai decouvert par le net par hasard j'ai plusieurs Buck Danny et j'aime bien une question sur les cotes et les informations par ex:j'ai les mysteres de Midway de 1966 il n'a aucune cote pourquoi et ce livre vous le donnez avecje crois 54 ou 58 pages et le mien en a 62 d'avance merci de me repondre et de m'apprendre Adrien
Cette réédition compile "la véritable histoire du soldat inconnu" et "la bascule à Charlot" (histoire déjà parue dans le recueil "Mouh Mouh" aussi je crois...)
c'est du Tardi totalement libre, comme à l'époque de Polonius, même si le dessin est ici beaucoup plus proche de Ici même ou des Adèle (plusieurs des personnages dessinés ici se retrouveront d'ailleurs dans la suite de son oeuvre)
ça part dans tous les sens, c'est absurde (dans la "véritable histoire", c'est un auteur de polars populaires qui se retrouve confronté aux personnages maléfiquesqu'il a lui-même créés!), érotique et sanglant, et ça fait souvent sourire!
bonne réédition (même si l'on m'a dit que certains exemplaires se re-rentraient très mal dans le coffret après ouverture! moi je n'ai pas trop ce problème, ça passe!)
Incontestablement, c’est l’un des meilleurs titres de Clamp. On entre de plein pied dans un monde fantastique au bord de la révolte, au bord du chaos. Un monde qui depuis 300 ans subit le règne terrible et cruel de Taishaku-ten qui a trahi l'Empereur du Ciel.
Les personnages sont charismatiques et les auteurs mettent en avant la personnalité et les aspirations de chacun. On s'attache même à ceux qui de prime abord peuvent rebuter, comme Taishaku-ten.
Yasha-O est le type même du guerrier sombre et solitaire, qui porte un lourd fardeau sur les épaules. Comme personne, les filles de Clamp savent mêler fantastique et violence des sentiments qu'ils soient cachés ou non. C'est l'un des shojo les plus romantiques que j'ai lus. L'intrigue est prenante et tient en haleine jusqu'au bout. On sait qu'Ashura est destiné a tuer Yasha et on se demande comment celà va se terminer.
Les relations entre les personnages sont suggérées ou montrées avec raffinement et force. Chaque regard, chaque mot expriment des sentiments à fleur de peau.
Les desseins sont très beaux par ailleurs.
Un troisième volet riche en évènements.
Cornaro et les membres de la [i]Fraternal Compania[/i] n’ont-ils pas présumé des désirs de Ruzante ? Le « double » de celui-ci s’avère étrange et étonne les immortels lorsqu’il rencontre le jeune comédien. Angelo ressort de cette rencontre bouleversé et plein de ressentiment contre Cornaro et ses pairs. Il retrouve mystérieusement Maria. Non loin, le frère prieur Calvacante et le commissaire-enquêteur Jonzac remontent la piste de la [i]Fraternal Compania[/i], un chemin qui sent le soufre et qui date de plusieurs siècles. Une piste qui mène l’un vers le cadavre d’un noyé, l’autre au château d’un certain Alexandre de la Gentilhommière Dans l’ombre, des puissances invisibles se combattent. Le dernier des masques ne semble-t-il pas aussi différent que Ruzante peut l’être par rapport à ses compagnons ? Que cherche-t-il et qui est-il ?
Mosdi nous offre un beau scénario qui épaissit le mystère tout en révélant certaines choses. Il donne envie de connaître la suite de l'histoire.
Le dessin de Paturaud est toujours très beau. J'ai trouvé qu'il avait su donné de la maturité à Ruzante qui, de fait, a perdu son innocence vis à vis de la [i]Fraternal Compania[/i] et de ses actes. J'aime particulièrement le rendu des scènes où apparaît Sabazius, les gris de cette sorte d'entre-deux-mondes. Je note également que les couleurs semblent plus terreuses, comme si la boue remuée par les personnages déteignait sur l'environnement.
Enfin, lacouverture m'a fait forte impression :ok: .
bon je n'arrive plus à modifier mon avis et à rectifier la note qui n'est évidemment pas celle que je voulais mettre. Ce message pour corriger l'erreur donc. Sorry. Administrateur? youhou?
Cette série humoristique met en scène un tueur à gage dont les bourdes ou les idées inventives donnent prétexte à autant de gags. Assez sympathique mais toutefois assez peu originale. Les gags sont en effets très (trop) souvent prévisibles. J'aime le dessin, propre et dynamique. Que ceux qui n'aiment pas l'humour noir s'abstiennent...
Excellente série nous venant de la péninsule ibérique. Quino me fait vraiment mourir de rire avec ses réflexions à la fois profondes et naïves. Le dessin est très simple mais supporte bien les petites histoires de Mafalda. Je rapprocherais cette série des excellentissimes Calvin et Hobbes. Beaucoup de plaisir donc. Je n'ai qu'un regret : que les histoires ne durent que 4 ou 5 cases.
[tome 1] à [tome X]
Manga où est lié a la foi aventure, humour et fantastique (un tout petit peu d'mour aussi...).
Le personnage principal (Ueki) dispose de 11 pouvoir dont celui de recycler les déchets, ces derniers lui ont été donné par son aspirant-dieu (M'sieur Kobayashi) qui la remarquer pour son sens aigüe de la justice. Mais à chaque fois qu'il blesse quelqu'un avec un pouvoir, Ueki perd un autre pouvoir
Ueki se retrouve entraîné dans un tournoi ayant pour but de savoir comment évoluerait le monde s'il était confié a un collégien ayant un projet. Dans ce tournoi se retrouve plusieurs autre jeunes possédants eux aussi des pouvoirs dont le jeune Robert Highdown qui, contrairement à Ueki, ne recherche pas la justice mais plutôt son contraire ! Ueki se donne comme tâche d'anéantir Robert...
A la fin de chaque combat contre une personne du tournoi, le vainqueur gagne un autre pouvoir et le perdant est disqualifier. A la fin du tournoi, le vainqueur disposera du don vierge, sorte de pouvoir absolu.
Personnellement je trouve que ce manga sort un peu de l'ordinaire même s'il suit (à la base) le même style d'histoire que Naruto ou Hunter X Hunter...
S'il n'est pas à posséder (ce que je trouve dommage) il est au moins a lire, ce qui vous donnera surement l'envi de le possédé
C'est un bon album qui nou est offert là. Tout d'abord à propos de l'intrigue de cet aventure ça reste un classique du genre mais bien maîtrisé. L'histoire est intéressante et prenante même si il n'y a pas énormément de suspense. En effet la première page fait totalement voler en éclat tout le suspense qu'il aurait pu y avoir. A la place on en apprend davantage sur un des membre de l'EO-6 et on se laisse porter tout au long de l'histoire pour découvrir comment on en arrive à la première planche et au dénouement.
Ensuite il y a ce qui est le plus important pour moi l'intrigue de fond. En relisant toute la série on se rend compte qu'elle avance beaucoup. Certains éléments à priori anodins sont révélés mais celà peut avoir finalement sont importance.
Bref on est très pris par l'histoire. a savoir aussi que tout n'est pas dans les textes mais aussi dans le dessin. Le lecteur doit interpréter certaines scènes, certaines ambiances pour profiter pleinement de cet album.
Tome un peu moins intense mais tout aussi interressant.
Dans une société où SIDA rime avec mort, voici un roman graphique qui fait réfléchir.
Lorsqu'il apprend qu'il est porteur du VIH, notre héros doit faire face à la musique. Un peu cliché (père qui n'accepte pas l'homosexualité de son fiston, amoureux qui s'éloigne, morts d'amis sidéens ici et là), cette bd n'en demeure pas moins réaliste dans son contexte.
L'émotion y est intense; j'ai eu de la difficulté à la terminer sans broncher car la fin y est triste et belle, noire et radieuse...Il y a toujours de la vie dans la mort et le message passe même s'il semble parfois souligné au trait noir.
Pour ceux qui aiment lire des bd différentes à l'occasion et qui se préoccupent de la différenciation sociale.
Rien de neuf à l'horizon, toujours la même mission, des combats toujours aussi bon. On en apprend un peu plus sur le passé des volts. La fin approche.
Une histoire sans surprise mais toujours divertissante, c'est pas tres original mais c'est bien traité. Le classique tournoi d'art martiaux va bientot pointer son nez. Les 2 heros se separent pour partir s'entrainer chacun de leur coté. De beaux combats et des perso charismatique. Sympa.
génial !!!!!!
le magnifique dessin de springer avec un super scénar !!!
alors là, j'ai deniché une pépite, un phénoméne:
c'est le pire album que j'ai tenu entre mes mains (je l'ai emprunté à une médiathéque, je précise). Quand je pense que ce genre de truc, peut avoir la même appellation BD qu'un Thorgal ou autre, je frémis...
le dessin n'est pas catastrophique, pas bon, non plus... mais alors, (je commente après 22 pages lues) le scenario est du plus horrible possible, je me demande comment, même jeune, on peut pondre une telle daube... les dialogues sont vraiment le must : "cool", "c'est bidon" et "fait chier" une fois par page en moyenne...
La psychologie des personnages est tout simplement horrible (pour l'anectdote j'ai cet âge-là).. et les femmes de 25 ans ne se pâment en disant "qu'il est bôooooo johnny depp" (c'est à 12 ans ça..)
bref, je me demande comment on peut laisser sortir ce genre de truc, (ca mérite un licenciement immédiat ça )
Pour finir, l'ensemble est à l'image du titre (voir bien pire): "fred et sophie"...
L'album finit, le sentiment est encore pire, c'est tellement mauvais que ça en est énervant, et la, je suis en colére.....
Un premier tome tres dynamique, pas de temps mort. Un dessin plutot bon avec notamment une superbe course poursuite en moto :ok: qui est une vrai reussite. Niveau histoire ce premier tome nous presente les differents personnages, on apprend pas grand chose : ce sont des etres superieurs ( avec un pouvoir inconnu pour le moment ) qui sont poursuivi par le gouvernement. Un premier tome prometteur.
La meilleure façon de découvrir Hausman Illustrateur...cet album à d' ailleur reçu la " Pomme d' Or" à la BIB, exposition internationnale de Bratislava des illustrateurs du monde entier.Imprimés sur des papiers de très grande qualité, et grâce au grand format, les illustration d' Hausman sont idéalement mises en valeur ! La richesse du dessin n' a d' égal que les couleurs ( Hausman utilise l' aquarelle ).
Feuilleter le " Bestiaire Insolite " est une extraordinaire façon de découvrir un monde animal que l' on croit bien connaître !
Le réel côtoie le fabuleux et l'étrange n' en paraît que plus vrais. Le lecteur est plongé dans une autre réalité. C' est beau et affreux, c' est tendre et cruel,c' est magique !
Les Albums d' Hausman dans la collection terre entière ont par ailleurs reçus de nombreux Prix et sont tous à découvrir.Ils sont malheureusement épuisés depuis longtemps et ceux qui ont la chance d' en posséder y tiennent.Ce sont des trésors.
Quelques titres de la série:
- La Forêt Secrète
- Les Contes de Perrault
- Les Fables de Lafontaine T1 et 2
- Le Roman de Renart
Un bon tome qui nous amène doucement vers le dénouement. Maiana continue sa confession après avoir subi la question. Cette fois-ci elle affronte Cortés, le "teutl" suprême des "dieux blancs" venus de la mer. Comme toujours, elle use de ses charmes pour survivre tout en restant fidèle à elle-même et à ses espoirs. Elle devient dans ce tome la fameuse et très controversée doña Mariana. Mitton nous offre une vision toute autre de la marche des conquistadors sur Tenochtitlan, moins glorieuse que dans les livres des auteurs de l'époque.
J'attends impatiemment le dernier tome et le dénouement. Quand sera-t-il du fameux trésor ?
Comme pour le t. 2, un avis mitigé sur ce troisième volet. L’enthousiasme du premier tome me semble retombé. L’histoire me paraît aller dans tout les sens. L'apprentissage de Grégoire semble nous mener un peu n'importe où à n'importe quel moment. L'intrigue d'origine me paraît bien lointaine.
Pas très amatrice du dessin, il ne sauve pas l'album.
Un peu déçue encore.
Toppi est au sommet de son art, les dessins sortent tout droit de l’univers des Milles et nuit au point qu’on a l’impression qu’ils sont d’époque et ont garder une âme sauvage orientale. Après quelques pages, vous êtes transporté quelque part au milieu des dunes de sable le regard perdu dans la nuit étoilée et écoutez incrédule une histoire ancestrale...
Shéhérazade narré par un maître italien du graphisme amène ici un monument incontournable de la bande dessinée...
J'ai beaucoup adoré cette BD, on début elle me paraissais bizarre, et assez mélangée mais j'ai finalement adoré !
Je vais bientot allez macheter le tome 2 ! J'ai mis du temps à lire le 1 pour apprecier les dessins magnifiques ;) mais finalement quand jy suis arriver au bout je suis rester sur ma faim!
Un peu comme l'ami Sckizo, l'idée ma parraissait bonne. Les différents styles graphique présentés dans ce collectif ne m'ont pas choqué, j'ai plus été déçu par la rapidité avec laquelle les contes sont torchés (3-4 planches en général) mais aussi et surtout, SURTOUT, par la qualité médiocre de la traduction. Une floppée d'erreurs de français, de répétitions et de tournure gnan-gnan dans les dialogues qui nuisent vraiment à la lecture. A lire en VO ?
Proposition de titre :
Le portrait ovale ou comment anéantir une nouvelle de Poe en 2 étapes.
Etape 1 : Un dessin laborieux.
Disons-le tout net : même si tout le monde n'apprécie pas, Bilal est un grand dessinateur. Il est donc logique en soi que des dessinateurs s'inspirent de son travail pour affiner leur propre style et parvenir ainsi à une forme d'indépendance. Pascal Somon n'est pas de ceux-là. Nous avons en face de nous un dessinateur tellement accaparé par ses traits éparses de pastel blanc sensés donner une note nonchalante MAIS artistique à l'ensemble, qu'il en oublie ses proportions, perspectives et mises en scène. Le résultat est mauvais. Je vous invite à le constater par vous même sur la planche de preview...
Etape 2 : Un dessin inutile.
Un bon écrivain n'a pas besoin de support visuel pour donner à son oeuvre un goût de réel, d'authenticité, ou même pour situer l'action. Tout cela est compris dans sa plume.
Ainsi pour un dessinateur qui choisit d'illustrer un texte, il faut, soit apporter de nouveaux éléments de compréhension (Tardi avec les romans de Céline), soit orienter le lecteur vers une autre interprétation (Sfar chez Bréal). Rien de tout cela ici. Les dessins ne sont là que pour combler les blancs. On passe d'ailleurs rapidement les dessins pour ne s'attarder que sur le texte, largement suffisant.
Ajoutez à cela la préface trompe-lecteur et vous aurez un chef-d'oeuvre d'inutilité.
Une bonne surprise, assurément. Un moment de lecture plaisant mais qui commence à tourner un peu en rond vers la moitié du livre.
Certains problèmes de mise en scène désamorce des gags pourtant alléchant.
Vivement le tome 2 pour voir où tout ça peut nous mener.
Pour exorciser sa peur et ses cauchemars récurrents à propos de son séjour forcé au collège, Riad Sattouf contacte le ministère de l'Education Nationale afin d'être autorisé à suivre une classe de 3ème du collège Charles-Henri (3ème collège de France) pendant 15 jours.
Son intention est louable : il veut dépeindre l'ambiance réelle d'une classe, loin de l'image tronquée que les médias donnent. De ce fait, le choix du collège Charles-Henri (3ème collège de France) n'est bien sûr pas anodin. Son principal argument : son éditeur, Hachette, gage de sérieux.
Avec ce ton de névrosé anxieux et suant bien à lui, Sattouf nous raconte sa mission de taupe chez les riches. Le résultat est terrible. Surenchère de marques, comportement malsain et paroles crue, mépris...Il ne fait pas bon vivre pour tout le monde à Charles-Henri (3ème collège de France).
Un livre tout à fait intéressant et drôle recommandé pour les gens comme moi qui détestait déjà cet univers avant de le connaître. Il vous convaincra que vous êtes dans le vrai.
L'auteur nous a ménagé une surprise et à quelques volumes de la fin voici un nouveau retournement de situation. Ce tome met Asagi en avant. Un Asagi dont la conduite et la démarche sont effectivement suicidaires. Là encore les sentiments de haine, de jalousie, d'amour sont au centre des réactions des personnages. Le triangle Sarasa, Shuri, Asagi nous réserve des surprises et des émotions. Par ailleurs Tatara n'en a pas fini avec ses propres troupes dont une partie voient d'un mauvais oeil son alliance avec le Roi Rouge destructeur de leur village de Byakko.
Le talent de Yumi Tamura est de nous tenir en haleine sans cesse, d'amener avec subtilité des rebondissements saisissants et de savoir donner une vie, une âme, des sentiments à chaque personnage en les mettant tour à tour sur le devant de la scène, sans jamais s'éloigner trop longtemps de l'intrigue principale.
Un manwha qui semble attirant (le titre m’a plu) mais dont le scénario m’a paru très brouillon. De plus le dessin m’a rapidement rebutée. Les petites têtes surmontant des corps aux troncs immenses ne m’ont pas paru très beaux, pas plus que les têtes particulièrement hideuses de certains personnages (des bandits, soit, mais bon…). Blasée ? peut-être.
Très très moyen.
Enfin ! Yuuna est sortie d’affaire. Il était temps, je me lassais des combats répétitifs, des ennemis ressurgis du passé, des coups secrets et de ces types qui sont quasiment morts mais tiennent encore debout. L’histoire va pouvoir se recentrer sur la recherche du corps de Kyo. Un nouveau personnage apparaît, un personnage assez cocasse de prime abord qui amène une bouffée de gaîté délirante dans la 2ème partie de ce tome. Maintenant que les Quatre Sacrés du Ciel sont à nouveau réunis, les choses vont peut-être un peu avancer. Cependant je ne m’attends pas à une évolution rapide de l’intrigue. Nous allons seulement vers de nouveaux combats, de nouvelles techniques plus ou moins cachées. J’espère juste qu’on aura d’agréables surprise côté adversaires, afin de trancher avec la routine.
De beau dessin, une histoire un peu compliqué : dans ce premier tome on nous presente un groupe de personne morte qui doive tuer un homme byzarre. Rien nous est expliqué dans ce tome 1 on entre directement dans l'action et c'est assez violent.
sans nul doute le meilleur démarrage de série que j'aie jamais lu avec le Tueur, tout simplement (plus marquant que l'esprit de Warren du même Brunschwig, par exemple...)
un crescendo de violence et de tension, des voyages entre présent et passé qui ne perdent pas le lecteur, des personnages ambigus ou des retournements de perspectives, c'est parfait à tout point de vue.
Un one shot composé d'une série de petites histoires dont les thème et personnage principaux sont la mort ou la tentation de mort.
Dans chaque récit, l'un des personnages au moins est tenté par la mort que ce soit volonté de se suicider, acte mortel d'épingler un papillon ou meurtre effectif. Il y a aussi la mort de l'amour, le goût du sang.
Chaque histoire à une saveur particulière et en lisant on se trouve transporté dans une sorte d'atmosphère étrange, vers une frontière invisible, un fil toujours sur le point de céder. Ebine nous fait ressentir le vide et le néant, ma peur de ceux-ci ou leur fascination.
Son trait délicat qui semble ne faire qu'effleurer le papier renforce cette impression d'étrange étrangeté. Les caractéristiques propres de chaque personnages sont difficiles à distinguer parfois mais celà renforce le sentiment de malaise qui me semble voulu par l'auteur. On ne sait quelquefois plus s'ils sont hommes ou femmes, vivants ou morts.
C'est un manga qui plaira ou déplaira complètement. Pour ma part, j'ai apprécié.
Un très beau recueil qui va au coeur de l'humain, qui dénude les sentiments avec sensibilité et sensualité, comme sait le faire Okazaki. Deux histoires courtes pour commencer qui ont quelque chose de troublant. L'une des hallucinations de Moeko, avec la fille-fleur, est particulièrement troublante. Ensuite, en trois tableaux, les jeux de Kaya et Kumi transpirent la sensualité, l'érotisme.
Le dessin d'Okazaki épouse parfaitement les atmosphères quasiment brumeuses de ces histoires.
Très bon.
Hilda suit Raulès blessé dans un labyrinthe des Enfers. Elle se rappelle des pans de sa vie antérieure et l'amour qui la lie au démon. Mais Asbar veille et se révèle enfin. Si les deux amants se sont retrouvés, la aprtie n'est pas pour autant terminée.
Un bon volume qui apporte des réponses et nous prépare un peu à la fn (encore 2 vol. pour clore la série). Le dessin reste élégant et assez "clampien".
Quelques révélations sur la Pierre du Démon (auxquelles on s’attendait un peu) et un grand nombre de flash-back dans ce volume (la moitié au moins). Chonchu est toujours confronté à Gum pour forger l’épée qui fera de lui le « sauveur » attendu par les Habaeks. Les autres intrigues (Ligue Patriotique, manigances d’Ulfasso) sont complètement oubliées dans ce volume. On sent que la fin de l’histoire approche mais je crains un dénouement particulièrement brusque.
Le concours « Princess Dolls » commence sous les regards inquiets de Yann et Julien. Rubis sera-t-elle à la hauteur et parviendra-t-elle à déjouer les pièges de Camilla ? L’adversité semble lui donner des ailes et bien qu’elle reste assez nunuche, Rubis se débrouille. Le sweety gem n’est pas oublié et on apprend quelques éléments intéressants sur Joffrey et sa sœur.
Un bon tome, toujours frais, avec un peu plus d’épaisseur dans l’intrigue que les précédents. Un bon moment de lecture qui, s’il n’est pas transcendant, est bien divertissant. Un sunjung parfait pour les préados et jeunes ados.
Ce septième volume clôt la série avec humour et fraîcheur. Nous avions quitté Rainef épuisé et déboussolé après un combat avec son double psychique et son prédécesseur. On le retrouve amnésique et reparti dans sa ville natale, laissant un Yclipt perdu et angoissé au palais. Je n’en dis pas plus. Les 2-3 pages finales sont à l’image du héros et de la complicité qu’il a développé avec Yclipt. Les deux histoires bonus (Eris et Kiris) sont pleines d’humour. Un sunjung bien divertissant.
Un très bon tome. Plus que jamais Shaoud s’interroge sur ses sentiments et sur son destin. Doit-il suivre la voie que lui indique son état de sirène (épouser Arona) ou se laisser guider par son cœur (choisir Chaeyeon) ? mais ne doit-il pas avant tout faire payer à Eric le meurtre de son père ? L’histoire de K et Leyana semble se répéter à travers leur fils sans que les sirènes se rendent compte qu’elles ne vont que pousser Shaoud vers cette issue. Le ton est de plus en plus sérieux dans cette histoire revisitée de la Petite Sirène, bien qu’on retrouve quelquefois un peu de la légèreté du début lorsque les jumeaux entrent en scène.
bon démarrage pour cette défunte revue qui mélangeait inédits (le cross-over Conan/Rune de Windsor Smith est excellent) et grands classiques (ici deux épisodes plutot collectors de Thomas et Buscema dont le remake de Tower of the Elephant).
Ce numéro un par lui même est indispensable pour posséder l'intégralité du travail du premier dessinateur de notre cimmérien favori.