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Un premier tome ou l'on decouvre une terre devastée,plongée dans le chaos ( un peu comme dans jeremiah ou ken ). On suit les aventures de Juju qui rencontre une mysterieuse fille dangereuse. Dans ce premier tome on decouvre juste les personnages, l'intrigue n'est pas reellement revelé. Niveau dessin c'est tres soigné et tres beau.
J'avais adoré la série "Le tueur" et comme beaucouo j'attendais beaucoup du fameux duo Matz/Jacamon. Un 1er tome de Cyclope qui s'avère en fait une pure mise en situation. On est donc sur sa faim évidemment. Mais cela manque aussi d'originalité, car le coté "jeu de la mort -real TV" est vieux d'au moins 20 ans (Le film avec Hoffman, "Running man", "Marche où crêve"). Ici, on a des mercenaires mandaté par l'ONU et à la solde d'une compagnie privé qui compte bien faire des gros bénefs via la rediffusion Tv. C'est une Star ac trash en fait !!! bah c'est trop "réaliste" avec la vie d'aujourd'hui pour être vraiment visionnaire... Et la psychologie du héros est forcément moins poussé que celle du tueurs. On s'attache moins... A suivre donc !
Un bel album. Le scénario d'espionnage n'est pas vraiment super compliqué, mais la Bd s'avère envoutante surtout grâce à la magnifique mise en image de Boucq. Résultat, on ne décroche pas du début à la fin.
Je suis d'accord avec les avis précédents sur cette série. Le scénario de venageance à travers les siècles pourrait être original mais il est faible car sous exploité. Le découpage est en effet chaotique et c'est parfois illisible. Cependant, je n'arrive pas à me défaire de cette série surtout à cause de la beauté des dessins, vraiment envoutant !
Après un agréable moment de rêveries dans le tome 2, notre mystérieux chevalier et ses compagnons continuent ici la quête entamée dans le premier tome. L’épilogue de cette série se déroule à Montroy la belle, balancé entre un monastère où un manuscrit sur Merlin fortement convoité s’achève et un château dirigé par Neyrelle, l’aînée des trois sœurs, dont Blanche vola le cœur de notre mystérieux chevalier dans le passé.
Comme dans les deux tomes précédents les dialogues d’antan et les merveilleux dessins détaillistes et lumineux ont toujours le mérite de dépayser le lecteur en le plongeant au beau milieu de cette fresque moyenâgeuse !
Par contre, si d’autres ont apparemment été largués dans un des tomes précédents au niveau du scénario, moi c’est ce troisième tome assez copieux qui m’a quelque peu perdu. Ce n’est pas qu’on ne comprend pas l’histoire, mais il y a comme une brume (certainement voulue) qui entoure l’histoire et qui, une fois arrivé à la fin du tome incite à le relire afin d’éclairer ces zones d’ombre.
C’est donc légèrement mitigé par le scénario, mais toujours envoûté par le dessin et les dialogues que j’ai conclu cette série.
C’est avec Ethan Ringler, âgé de 17 ans, que le lecteur débarque à New York à la recherche des origines indiennes de la mère d’Ethan. Refusant l’aide financière de son grand-père notre jeune ami tente de ce débrouiller seul en cherchant des petits boulots. Doté d’une bonne dose de courage et de culot il grimpera vite sur le marché de l’emploi, passant de barman à garde du corps et finalement agent fédéral.
Ce premier tome forme une excellente mise en place des personnages et de l’ambiance de l’époque. Filippe, qui avait également scénarisé l’excellent « Livre de Jack/Sam » se lance ici dans un bon western où l’on dégaine avant de parler, avec des saloons où la bagarre fait partie des divertissements et où les indiens … se font bouffer par les blancs.
Le dessin de Mezzomo (Luka, Le Roi Vert) livre des personnages bien caractéristiques dans un décor crédible qui laisse présager une bonne documentation sur l’époque.
Pour une mise en place, ce premier tome nous livre déjà une intrigue accrocheuse, pleine d’aventures d’un jeune homme aux origines indiennes qui a tout pour survivre aux dangers qui le guettent et pour plaire au lecteur qui s’empressera d’aller lire la suite de la destiné de Tecumska.
Keiko Ichiguchi est une mangaka qui réside en Italie depuis plus de 10 ans et c’est donc imbibée de l’Europe qu’elle s’attaque à un récit sur fond de deuxième guerre mondiale. Avec Osamu Tezuka comme référence dans le genre avec l’excellente «Histoire des 3 Adolf», la barre fut placée très haut pour les autres mangakas voulant s’attaquer à la grande guerre.
Tout comme Tezuka qui basa son histoire sur l’amitié impossible entre un Juif allemand et son ami qui se retrouve parmi les Jeunesses hitlériennes pendant le conflit, Ichiguchi signe ici un drame sentimental basé sur l'histoire d’amour impossible entre Alex, enrôlé dans les Jeunesses hitlériennes, et Elen, jeune Allemande qui s’oppose au régime d’Hitler depuis que sa meilleure amie, Rosa, une juive, fut déportée.
Néanmoins, Ichiguchi parvient à se distinguer de l’œuvre de Tezuka en racontant son histoire d'un point de vue totalement allemand, tout en s’approfondissant sur le mouvement estudiantin allemand de la Rose Blanche, qui s'opposa au nazisme.
Autre différence avec « l’Histoire des 3 Adolf » qui est un manga seinen (pour adultes), est que « 1945 » est plutôt un « shojo » (manga pour filles) dont le scénario est beaucoup plus léger et dont le dessin idéalise les personnages dépourvus de toute laideur (blonds aux yeux bleues) afin de plaire aux filles.
Cette légèreté du scénario peut déranger durant les scènes de guerre au front et interroger le lecteur sur le fait que nos trois protagonistes se retrouvent où qu’ils soient en Allemagne, voir même à Stalingrad (le monde est petit n’est-ce pas !). D’un autre côté, avec le mouvement estudiantin de la résistance au nazisme, on prend plaisir à s’interroger sur les raisons de la guerre sur fond d’une histoire d’amour « shojo ».
Il faut enfin souligner que « 1945 » fut le premier manga prépublié en ligne en Europe (sur le site du quotidien belge lalibre.be) suite à l’initiative de Kana qui a développé un moteur de lecture en ligne de manga, le Kanabox.
Finalement je peux également me réjouir d’avoir reçu ma première dédicace d’un auteur manga, qui a en plus a eu l’originalité de dédicacer en kimono dans un magasin spécialisé du centre de Bruxelles que je tiens à remercier. Espérons que les autres mangakas suivront !
Encore une couverture magnifique. Suite des aventures de cette superbe tueuse. 2 styles de dessins differents mais tout les 2 tres bons, j'ai un faible pour le coup de crayon de Meglia :ok: . Un tome 4 sans temps mort avec l'affrontement final contre une horde de ninja. Cette serie est de mieux en mieux. Elektra redevient sans pitié J'adore.
Un dessin vraiment bon : avec des superbes scenes d'action tres dynamique. Niveau histoire c'est pas original du tout mais le recit est sans temps mort on a pas le temps de s'ennuyer. Le melange action/humour est parfait. Lecture agreable.
c'est sympa mais sans plus, toute la partie dans le monde des morts ma vraiment gavé : j'ai trouvé sa peu interressant. Mais le debut est vraiment bon et la fin aussi donc au final l'album est assez sympa. Quand au dessin de Romita jr il est toujours aussi bon.
Un conte philosphique qui parle du quotidien, de l'amour, de l'amitié, de la technologie et du bonheur. Kaï et Phiphy sont particulièrement attachants. On ne sait plus parfois si l'on est dans la réalité ou dans le rêve. L'auteur révèle les sentiments, les attentes, les déconvenues avec subtilité et délicatesse. Le dessin est par ailleurs splendide, en particulier celui des machines mécaniques qui sont époustouflantes.
Bref, c'est un seinen empli de poésie, de vérité et même de tendresse. Un titre à lire !
Lola Cordova est un 'One shot' percutant. Ses graphismes sont beaux et le montage est original. Idem pour le scénario. La fin est très bien ficelée. Le train de l'action est haletant si bien que l'on peine à se reposer quelques instants avant que Lola ne s'encourt vers d'autres pérégrinations plus saugrenues les unes que les autres. On se demande d'ailleurs qui des auteurs ou de l'héroïne prend des substances illicites...
Pourtant, malgré toutes ces qualités, une impression de léger malaise hante mon esprit à la fin de cette lecture. Serait-ce le thème de la protistution qui diminue inconsciemment la portées des actes et des réflexions de l'héroïne, l'abus de son corps comme 'contrepartie' lui permettant d'arriver à ses fins, la langage peu châtié de cette dernière ou simplement le farfelu de la trame de l'histoire?!?!?
Peu importe, on a là entre les mains un BD qui possède du caractère, et qui ose s'affirmer haut et fort, à sa manière, dans un univers axé vers "l'anti-pudibonderie" (hum hum désolé pour ce néologisme). Ici, ce sont vos carcans idéologiques qui vont en prendre un coup, peut-être même exploser en mille morceaux si vous adhérez corps et âme à la cause de Lola.
Palsembleu, lisez, appréciez ou non, mais lisez que diable!
A ne pas mettre en toutes les mains, surtout les plus jeunes mais à découvrir quand même !!!
Des iPods aux Rolling Stones et aux Beatles, en passant par Mission Impossible, les Mp3 et Supercalifragilisticespialidocious, voilà une sélection des références aux technologies et divertissements récents (et beaucoup moins récents) qui ont servi de trame de fond à cette aventure de Waha et de son clan de Trolls.
Christophe "Arleston" Pelinq, Jean-Louis Mourier et Claude Guth nous signent leur septième album de suite de cette série en tant qu'équipe, le premier ayant été colorié par Yves Lencot, et continuent de faire un ravage dans les ventes au détail, ce qui ne constitue pas en tant que soit un signe de qualité, mais constitue un signe indéniable de popularité. Cette fois-ci, avec l'aide de Miquejag Hoeure et Pölma Kärtnez, ils ont tout pour faire un carton!
En bref, ce tome 8 de la série, dont la lecture ne nécessite pas vraiment la lecture des tomes précédents, bien qu'il soit préférable d'avoir au moins lu les quatre premiers afin d'être convenablement introduit aux personnages, constitue une histoire complète ayant une bonne saveur humoristique, un tantinet de coquinerie et un dessin de qualité de la part de Mourier, truffé de clins d'oeil et de jeux de mots amusants!
Toujours dans le même ton que le premier tome, Jean-David Morvan, José-Luis Munuera et Christian Lerolle (des Color Twins) nous offrent un deuxième coup d'oeil à un moment dans la jeunesse de l'héroïne de la série Sillage. Munuera, el maistro de l'heure aux commandes du dessin des dernières aventures de la série Spirou et Fantasio, signe pour nous un nouvel opus graphique qui saura plaire aux lecteurs de tous les âges.
Une autre lecture sans prétentions, tout à fait divertissante qui comprend des moments de tendresse, d'humour, de suspence et d'action, le tout dans un cadre de science-fiction permettant une diversité faunique à la fois étrange et marrante. Je conseille la lecture du premier tome de la série avant d'entamer celui-ci afin de ne rien perdre au niveau des relations entre les personnages (et des superbes dessins de José-Luis!)
C'est le tout premier tome pour lequel il m'a été donné d'apprécier le dessin de Ludolullabi, Ludovic Moulière de son vrai nom, et ce fut sans aucun doute un régal. Le rendu du dessin, à forte inspiration Manga est d'une pure réussite, et à l'aide du scénario de Nicolas Tackian, captive le lecteur dès les premières pages.
J'ai bien apprécié le ton général de la BD, et comme j'ai souvent tendance à le faire, je comparerais facilement au film [i]"Rules of Engagement"[/i] avec Samuel L. Jackson, paru en 2000. Évidemment, je ne gâche rien à la lecture de ce livre pour personne, car le déroulement de l'histoire est très différent de celui du film, mais une fois lu le livre et vu le film, vous comprendrez. ;)
En dernier lieu, il ne faudrait surtout pas oublier de souligner le travail aux couleurs de Sébastien Lamirand, qui, au cours des derniers mois, a vu paraître plusieurs titres sur lesquels il a bossé et qui semble se faire une place d'importance au sein de l'organisation Soleil.
Bref, une bonne lecture, qui peut tout aussi bien se lire sans avoir auparavant apprécié les autres tomes de la série Universe ou de la série mère.
bah moi j ai lu !!! j adore, les dessins et le styles sont terribles , les couleurs sont d une beauté a tomber sur le cul . l atmosphere et la luminosité rendue par les couleurs est vraiment impressionnante! l histoire est tout a fait le style que j aime , il y a du western et du fantastique mélé a une enquete terriblement halletante .... j suis mega fan ! yeahhh ! bravo rico!!!
Nous sommes au début du XIXe siècle, en Angleterre, au coeur d'une université secrète et sélecte de la couronne britannique. A travers le destin de cinq jeunes hommes et femmes que tout oppose et qui vont pourtant constituer l'une des équipes les plus efficaces de cette société secrète. Denis-Pierre Filippi met en scène ses personnages en les définissant par leurs spécialités respectives - deux cerveaux, une femme d'action, un voleur et un séducteur. Le Dessin quand à lui est bon avec des décors et instruments à la Jules Verne, petit bémôl concernant la couleur qui à mon gout reste relativement sombre. Le décor est planté on attendra la suite pour voir ce que vaudra réellement cette série. A suivre...
Le résumé
Il ne supportait plus la guerre, ses tranchées, ses gaz pourris… Il a déserté et se planque dans une masure abandonnée. L’armistice va être signé dans quelques heures, ce serait trop bête qu’il soit le dernier mort de cette sale guerre. Pourtant, quand il aperçoit deux soldats qui se dirigent vers lui, il tire et en tue un. Puis, il se précipite sur le second… et saute sur une mine. Il revient à lui dans le brouillard, et tombe sur son voisin, Monsieur Lespinasse, attablé et buvant un verre. Erreur, bien sûr : c’est la Mort qui a pris les traits de son voisin, et lui annonce tout à trac qu’il est passé de vie à trépas. Pourtant, la Mort est écœurée elle aussi par toute cette boucherie. D’où sa surprenante initiative : remonter le temps et revenir neuf mois en arrière, afin de modifier le cours de l'Histoire
L'avis
Dumontheil explore le mythe des héros :
Comment naissent-ils ?
Comment meurent-ils ?
Comment vivre avec le statut de héros entre gloire et oubli ?
Un dessin un peu flou, presque une esquisse met en relief les personnages et leurs attitudes, le tout dans une atmosphère sombre, voir glauque par moment, propice à soutenir le scénario.
Un peu de courage, la prise en main de l’album est un peu difficile, mais ensuite le lecteur est pris par un récit qui voyage en absurdie entre la stupidité de la guerre (et celle des généraux, ministres et autres dirigeants), la révolte de l’ange de la Mort, la souffrance des victimes de la guerre, les errances d’un héros malgré lui, le tout colorisé à l’humour.
Un album tout simplement excellent. Bien sûr, il ne faut pas être réfractaire au genre, qui mélange allègrement les codes du western, du fantastique ésotérique (l'ordre des templiers, créatures étranges), le gore, l'humour. Mais c'est bien ce mélange fort réussi qui fait de cet album mon gros coup de coeur de cette rentrée. Le dessin est superbe, avec une mise en couleur parfaitement adaptée, et des tons et lumières magnifiques. Le scénario est inventif, parfois drôle, parfois terrifiant ou révoltant. On s'attache rapidement aux personnages (surtout au shérif), et on attend avec une impatience difficilement contenable le deuxième et dernier tome de cette série à découvrir d'urgence.
Pour ne rien gâcher, l'album est vendu avec en bonus 6 pages de making of à la fin de l'album, ainsi qu'un ex-libris, le tout enveloppé dans une enveloppe en papier. Bravo !
On retrouve un peu l'ambiance de "l'amerzone" et le coup de patte de Sokal : nous sommes dans son monde. Cela à un tel point que j'ai été surpris que ce ne soit pas lui le dessinateur.
Mon grand plaisir dans cet album a été de retrouver le monde du Sokal que j'aimais (qu'il m'excuse, mais je trouvais sa production récente de Canardo en chute libre au niveau qualité...) et ce même, j'insiste sur ce point, s'il n'est pas le dessinateur.
Pour ce qui concerne le scénario, ce premier tome pose l'intrigue et met en place les personnages principaux, mais ne se suffit pas à lui-même pour que l'on puisse dès à présent se prononcer sur le niveau de la série. J'attends avec impatience la suite.
Album incontournable de la série....qui, s'il restait des doutes quant à la qualité d'Aldébaran, mouche sans conteste les derniers récalcitrants...! Un bémole sur le dessin trop statique à mon goût.
L'esthétique, les personnages, les couleurs, le cadrage je ne dirais rien qu'un mot: fantastique. Mais si il n'y avait pas de senario alors oui cela aurait pu être un bide mais là non il y a du suspence, de l'horreur, de l'humour, des références, des scènes de déjà-vu qui font des clins d'oeil au cinoche ce qui n'est pas pour me déplaire bien au contraire. Et comme le dit son auteur il s'est attaché à montrer les détails et ça j'adore, ce n'est pas du n'importe quoi.
L'histoire de cette jeune femme qui arrive à Providence faire l'inventaire d'une personne morte dans d'étranges manières, et qui va, au fur et à mesure, s'immisser dans la vie de ce petit village pour arriver à ces fins. Vivement le denouement avec le second tome.
j'avais vu les planches originales lors d'une expo du festival de Darnetal...
les planches étaient colorées pleines de matière et ce qui est surprenant c'est que l'album n'a pas du tout perdu toutes ces qualités...
je suis donc entrée avec plaisir dans le monde coloré de Toto. J'ai découvert une ambiance de légende australienne assez bien rendue et agréable , plutôt plaisante à lire même pour un adulte. L'entraide , l'amitié et le courage d'affronter ses peurs sont les thémes de cette histoire: assez simple dans une histoire pour un jeune public mais c'est pas gnangana pour un sous!
Le dessin est assez particuliers mais les couleurs un peu brutes collent bien à l'ensemble. Ma seule véritable gene c'est l'impression d'un Toto qui devient bossu par moments.
un jolie trouvaille à faire découvrir aux petits... et aux grands enfants!
J'espere que la suite est à la hauteur
ce qui il y a de plus sympathique dans ce collectif c'est la couverture que je trouve tendre et drole ...et le dos mérite lui aussi le détour!
pour le reste je suis plus mitigée: certains auteurs ont du mal à rendre ces fables vivantes... à leur décharge il n'est pas simple de mettre en BD le texte intégral! Voir des bulles avec des "dit [le personnage] "
la fable qui s'en tire le moins bien c'est la première: "l'éléphant et le singe de jupiter" je pense qu'il doit me manquer des clées de compréhension...
reste que l'on découvre certains fables pas très connues que certaines trouvent un p'tit coup de jeunes... et l'on regrette que certaines ne durent que 4 pages (encore une contrainte?)
un collectif interessant mais qui n'a pas su assez me séduire pour passer le cap de l'achat
agréable petit format carré souple... et sympatique histoire. Rien de bien grave juste une bluette mais une bluette (certes pas tjs simple) qui met du baume au coeur et qui ne manque pas de poésie... par ex les embouteillages sont presentés sous forme de bancs de poissons.
Le dessin est un peu trop carré pour moi (je trouve les épaules trop anguleuses) mais reste très sympathique lui aussi.
un agréable moment.
Cela faisait un certain temps que je souhaitais lire cette BD, j'ai été déçu.
Il s'agit comme le laisse penser son abord extérieur effectivement d'une belle BD (format, papier ...). Le dessin renforce cette idée, notamment car il parvient à bien faire respirer une certaine ambiance malsaine. Mais de par sa spécificité, il risque de rebuter certains lecteurs (ce qui ne pose pas en soi un véritable problème, car il reste important de ne pas formater la BD).
Au niveau scénario, il s'agit en fait d'un enchaînement de courtes histoires (voir d'époques) dans une même maison, mais de mon point de vue, il est difficile de trouver un véritable lien entre ces histoires qui soit intéressant. Je pense que le principale pêché de ce scénario tient du fait que si l'auteur connait toutes les clefs de son scénario, il n'en va pas nécessairement de même pour le lecteur qui a du mal à s'y retrouver.
Bon petit polar.
Le dessin est adapté au scénario et dépeint bien une certaine idée que l'on peut avoir des années 1920. L'ambiance grissaille générale renforce le côté roman noir.
Le scénario reprend le roman de Léo Mallet. Crédible et typique du roman noir de cette époque, les amateurs apprécieront. Il est cependant dommage que la fin soit difficilement adaptable en BD et donc que l'on finisse la lecture sur une fausse note. Néanmoins, ce type de roman se lit plus pour la retranscription d'une ambiance que pour son issu, donc l'ensemble est de qualité.
La suite de la série devrait être de la même veine, à conseiller aux amateurs de ce type de BD.
Très bonne Bd, très ancrée dans la réalité du sud de la france...des dessins sympa...C'est dur d'attendre la suite !!!
Quel début de série pour ces deux auteurs! Déja avec Mygala, aussi sur un scénario de Jean-François Di Giorgio, on avait eu droit à un aperçu du talent de Frédéric Genêt. Grâce à ce nouvel album de ce duo, nous sommes agréablement servis! Le dessin, captivant dès le premier coup d'oeil, donne immédiatement envie de s'installer confortablement afin d'apprécier l'aventure de Takeo.
Via leurs personnages, aisément reconnaissables d'une case à l'autre, les auteurs nous entraînent dans une aventure dans laquelle on décèle plusieurs trames d'histoire, aucune desquelles ne sont éclaircies avant la fin de l'album, et ce je présume, afin d'étirer le mystère sur un cycle de plusieurs albums. Les scènes d'action ou de combats illustrent de façon magnifique la rapidité d'action du personnage principal, un peu à la façon dont sont présentés les combats dans le film Bourne Identity avec Matt Damon.
En résumé, un excellent dessin soutenu de façon remarquable par une scénario solide qui nous laisse dans une position d'attente après une agréable lecture. De grâce Soleil, veuillez donc poursuivre cette excellente série!
Et bien disons qu'à la lecture de cet album, mon impression personnelle n'est pas bien définie dans le sens où, comme cela a été dit avant moi, mêler l'absurde au tragique reste déroutant à première vue pour une personne n'ayant connu cette époque noire que par ouï-dire.
Toutefois, je trouve que la tolérance et la compassion sont les maîtres-mots des saveurs qui me restent à la bouche à la suite de cette lecture. Le principe d'autodétermination est ici également intiment lié à celui de la réflexion, de la volonté personnelle et du passage à l'acte. Quant à mes neurones, ils reviennent sur terre au même titre que les deux protagonistes, Zelig et Zelig senior lors d'un final qui permet au lecteur de retrouver les balises d'une lecture plus conventionnelle.
Ici prônent l'esthétisme, les notions de différence et de tolérance sur celles d'un monde en mal de repères que je vous les laisse imaginer. Ici prime grandeur, et non décadence.
Une lecture à réserver à un public averti et prompt à continuer sa propre réflexion sur le thème abordé par l'album.
Je suis tout simplement bluffé. Mes yeux sont encore écarquillés devant l'écran de l'ordi alors que j'ai posé le petit bijour de Mister Herenguel y'a 10 bonnes minutes.
Les raisons ? Il suffit de l'ouvrir pour comprendre la première des qualités. Même si s'immerger lors d'une lecture complète de l'album reste la meilleure manière de réaliser l'ampleur de la réussite : des graphismes à couper le souffle...
Côté scénario, chapeau! Plus de 60 pages de surprises, de découvertes, de faux-fuyants, de pistes lancées. Bien mijoté, l'action reste ciblée sur un petit groupe de protagonistes. Le suspens monte encore d'un cran lorsque l'héroïne annonce les raisons de sa présence au shériff. Les deux dernières pages, quant à elles, font planer un frisson d'horreur et lancent merveilleusement, plus haut encore, l'intrigue
Je n'y connais rien en histoire bretonne (c'est bien bretonne non ?) mais le scénario est sympa et se laisse découvrir avec envie. Loin d'être un album exceptionnel, un chef-d'oeuvre comme certains aiment à appeler ces BDs assez rares, celle-ci est toutefois de bonne qualité si vous n'êtes pas en quête de cases de type dynamique et de scénario hyper détaillé (cela ne veut pas dire un scénario non travaillé non plus, ne me faites pas dire ce que je nai pas dit!). Personnellement, cela ne m'a pas rebuté, loin s'en faut. Ces rythmes de lecture et d'action calmes s'associent à merveille à la plénitude de tout marin quittant le plancher des vaches pour la haute mer. Pour peu que vous ayez le pied marin et appréciez les histoires de pirates, vous ne serez pas déçus par cet opus.
Certains éléments du scénario nous sont donnés de but en blanc et il est nécessaire de les accepter tels quels. A un seul moment j'ai ressenti un goût de trop peu (post première case page 32), sinon rien de dérangeant non plus et une fois l'ouverture d'esprit nécessaire réalisée, vous passerez un bon moment d'autant que certaines pistes sont volontairement laissées ouvertes pour conserver le suspens.
Ah oui, il s'agit du premier album dans lequel je trouve deux fautes d'orthographes : page 5 case & page 23 case 6. Rhédibitoire mais quand même ...
Ceci-dit, on a à faire à un album réussi qui donne envie de connaître la suite, ce qui n'est pas donné à tous ! A lire donc pour se détendre et passer un bon moment sans se prendre la tête.
Une BD sympa sur le thème des "premiers amours - baisers"... (du "cathé" à l'adolescence qui dure dans le temps !). Le sujet est un classique, mais trop souvent abordé de façon fleur bleue ou commerciale... Là ce n'est manifestement pas le cas. Je retrouve un peu de la jeunesse de "Jean Claude Tergal" pour les amateurs de Tronchet et de "l'âge ingrat" de Chauzy", bref un côté trés loose que nous avons tous à des degrès différents parfaitement maîtrisé. Le tout à la sauce Germanique laquelle reste trés proche de la notre en fin de compte.
Le dessin sans être génial s'accomode pas mal du tout aux déboires de notre "héros - ado" : dans un style indé (on est produit par les requins marteaux ou pas...) sans être pour autant brouillon.
A conseiller à tous ceux pour lesquels ce type de BD est toujours un moment de détente et de sourire tranquille voir connaisseur.
J'ai eu l'occasion de découvrir G. Mardon dans l'album "corps à corps", lequel m'avait bluffé au niveau de l'organisation du scénario et des multiples trouvailles et surprises mises en place pour surprendre le lecteur. L'auteur parvient à ne jamais sombrer dans la facilité.
Dans cet album plus ancien de l'auteur, même si le thème n'est pas le même (belle polyvalence de l'auteur soit dit en passant), je me retrouve agréablement surpris par cet art d'amener petit à petit la fin. Une fin sans grande importance, il convient de préciser que ce n'est pas un polar ! Mais néanmoins une belle fin pour cette histoire qui aborde divers sujets sans s'y perdre (famille, marine, camaraderie, guerre, générations, ...)... C'est la vie d'un homme, quoi de plus simple et de plus beau quand c'est bien fait et c'est le cas.
Le dessin s'accomode très bien au récit.
Je recommande.
Le chat du rabbin est heureux, constamment cajolé par la fille du rabbin, Zlabya. Puis, en mangeant le perroquet il va acquérir la parole, mais également le mensonge. Faisant découvrir au lecteur bien des choses sur l’usage de la parole, il finira par conclure que "Ça vaut le coup de fermer sa gueule pour être heureux".
En tant que chat juif, et maintenant qu’il sait parler, il exprime son désir d’apprendre les textes saints et de passer sa bar-mitsva. Loin d’une leçon sur la Torah, le chat du rabbin va prendre un malin plaisir à titiller la culture juive de façon aiguisée et espiègle. Cette réflexion sur la religion et la société juive de la part d’un chat s’interrogeant lui-même sur son quotidien et les effets de l’usage de la parole sur celui-ci est d’une intelligence astucieuse.
Le dessin aux couleurs chaleureuses plonge le lecteur dans les décors d’Alger au XXe siècle.
Le Chat du Rabbin est un récit intelligent et subtil, débordant d’humour, de dérision et d’humanité.
vraiment mauvais! ca revenait deja dans les albums précédants mais la c'est vraiment le pompon. Y'en a plus que pour kim et rien que pour kim! Tout les mecs de cette planète sont amoureux fous d'elle (personnellement je trouve sa coiffure plus qu'affreuse), ils veulent tous coucher avec, cette bd devrait plutot s'appeler "Kim et les garcons". Les dialogues lors de ces passages sont on ne peut plus cucul la praline.
De plus ces révélations sur la mantrice tombent comme un pavé dans la mare alors que la série nous avait habitué a une évolution lente et faite uniquement sur l'observation. Mais franchement le coup du martien ca vaut zéro.
On devine surtout pas ce qu'il va arriver avec antarès... je parie que kim va tomber enceinte du martien et que ce sera gràce à la mantrisse locale que les deux types de chromosomes pourront se mettre ensemble.
Bref on est vraiment loin de l'excellent cycle d'aldébaran, mon seul espoir est que Léo lise ce message et réagisse dans le bon sens, car je suis pas le seul a penser de la sorte
Cet avant-dernier volume est plus sombre encore que les précédent. L'action se précipite, on sent que le dénouement est proche et en terminant la lecture le suspens est à son comble.
En effet, Yuri s'est rendue compte qu'Isaac n'est pas celui qu'elle croit, après qu'il ait tué ses parents. Elle va apprendre à ses dépents qu'Isaac ne pardonne pas qu'on se détourne de lui. Le drame se noue à cet instant crucial et influe sur Mine qui, elle, veut absolument protéger ceux qui lui sont proches quitte à devenir une meurtrière.
Un clone peut-il être parfait ? peut-on prévoir ses réactions ? Isaac réserve encore des suprises et seul Akiba semble pouvoir le vaincre ou l'arrêter.
Comme Akiba le dit, les hommes devront-ils se plier devant les ES ? Isaac détruira-t-il tout avant de tuer Mine et Akiba ?
Un excellent volume qui nous tient en haleine. Vivement la suite!
Oui, c'est un véritable chef-d'ouvre, tant par la qualité des textes que des images. Enfin un ouvrage qui parle de cette sublime pratique comme ce qu'elle est, un art, et avec des termes si justes
Cet album est une excellente surprise. Je m’attendais a une série destinée exclusivement aux plus jeunes mais il n’en est rien. Il s’agit des aventures de la petite Cédille et de ses amis, le tout raconté en strip humoristiques de 3 cases. Exercice techniquement difficile nécessitant une imagination prolifique et l’art de maîtriser la chute.
Les dessins sont doux et les personnages aussi expressifs qu’attachant. S’ajoute à cela une mise en couleur magnifique. La grande réussite de cet album c’est l'humour fin et très spirituel. Toutes les situations ne font pas mouche mais j'ai ris de bon coeur à maintes reprises.
Un album frais et sympathique à découvrir rapidement… en attendant le prochain tome.
Apres 2 tomes peu enthousiasmant tant au niveau dessins ( j'avais trouvé sa laid ) que de l'histoire ( peu passionnante ) Ce tome 3 est tout simplement excellent : on s'attarde sur les sentiments d'elektra ( a 2 doigts de ce suicider ) , l'histoire est vraiment bonne et les dessins des 2 dessinateurs parfaits. Et enfin on a des scenes d'action digne d'elektra.
On poursuit l'histoire sur les bras de la Vénus de Milo tout juste entamée dans le vol. précédent. On rencontre d'anciennes connaissances de Mido Ban et on peut se demander si cette nouvelle histoire n'est pas un tremplin pour raconter le passé de Ban.
Un bon volume.
ENFIN la fin du cycle qui commencait à trainer en longueur : long et rebarbatif. Dans ce final on apprend finalement pratiquement rien et la fin fait vraiment trop happy end : tout le monde il est gentil tout le monde il est beau. La suite devra etre plus convaincante.
Le tournoi commence enfin et malheureusement c'est loin d'etre passionnant, c'est due à l'apparition d'un nouveau personnage dans la bande de heros : Chocolate : personnage totalement ridicule et sans interet du même coup son combat est ennuyeux. Vivement les combats de Ren et Yoh
La final du tournoi commence : 3 matchs aux programmes : 2 doubles et 1 simple ( celui de la vipere ). On assiste a un match tres serré qui dure plus de la moitié de l'album entre Kaido " la vipere" et un redoutable adversaire. Le match de Ryoma sera dans le prochain tome. Serie divertissante.
c'est tres mauvais mais alors trés- s'il suffisait de faire une bd sur une guerre pr qu'elle soit bonne .... bref tant niveau scenar que dessin c'est une des pires bd que j'ai lu- certains vont aimer, voir adorer, un peu comme ces critiques professionnels de cinema qui ne peuvent crier au chef d'oeuvre que s'il s'agit d'un film slovaque en noir et blanc, ou il se passe rien- bref faut donner une opinion sincere et pas tenter de se demarquer culturellement
bref- j'ai trouvé le scenario totalement vide- court- ca se lit en 15mn et assez inintereessant- en fait y a pas vraiment d'histoire racontée -j'ai l'impression que les auteurs meublent avec des pages ou y a 2 lignes et de grands dessins- la repetition du gosse qui a soif est super lourde. Certes le contexte de cette bd ne peux laisser indifferent- mais au final ça devrait pas se faire à travers une bd, qui est trés mauvaise en plus......
ahhh Mary la noire.... comment ne pas aimer, voir adorer...
Emotion+aventure+"ce petit ailleur dont on rêve tous"+grande finesse psychologique+romance+exotisme= une BD culte qu'il est indispensable de lire... encore plus si vous vouley voyager à bas prix....
Je remercie chaleureusement les auteurs pour cette bd
lu seulement les 2 premier tomes, est je suis absolument séduit, la société decrite, le dessins , les couleurs, les personnages, bref l'ensemble est exvcellent , et trés coherent...
Bref, un pur moment de poesie, de rêve, et d'évasion vers un monde imaginaire..... J'espere avoir la suite rapidement et qu'elle soit du même accabit.....
De jolis dessin, voila tout ce que je retiens de cet album, un scenario peu emballant uniquement pour les fan de DD.
Après avoir terminé les 56 pages d' El Niño, j'avoue être resté muet. Il y a des séries comme ça qui vous laissent un "je ne sais quoi" d'indéfinissable mais qui vous procure un sentiment de bien-être et l'impression d'avoir participé une grande aventure.
Ici, pas de baguarres, ni de conte fantastique (quoique...!?) mais un réçit plein de vie et surtout imprégné d'humanité. Une multitude de questions se bousculent dans votre tête sur le sujet en lui-même et sur les énigmes qui s'épaississent à vue d'oeil. On partage avec Véra, l'héroïne, des moments très intîmes sur son passé, son présent et surtout son futur.
En deux mots, Elle s'est mise en tête de retrouver son frère jumeaux qu'elle n'a jamais connu. Ses recherches vont s'avérer plus complexes qu'il en paraît. Et de fait, la lecture se révèle plus intense au fûr et à mesure que l'on avance dans l'histoire. Les intrigues se multiplient et donnent le ton. On nous fait voyager un peu partout sur la planète et une reflexion naît dans mon esprit: en chacun de nous peut se cacher un aventurier(ière) surtout quand le but ultime de cette entreprise est de retrouver un proche.
Le dessin de Pavlovic est précis et efficace. L'héroïne est très symphatique (surtout physiquement ,hé hé !) et on ne s'ennuie pas un seul instant. Peut-être un petit reproche au niveau des couleurs qui sont parfois un peu sombres mais ceci est un détail mineur par rapport à la qualité des albums. Donc, je dis oui à cette superbe série surtout que la suite me semble très prometteuse. Alors, j'en redemande !
A suivre !
c'est un pur bijoux graphique et le scenario est vraiment à la hauteur, tout simplement une de mes meilleurs lecture de l'année. 60 pages de pur bonheur. Une jolie heroine mysterieuse, un sheriff depassé par les evenements, des seconds role sympa. Rien à enlever dans cet album. Merci pour ce bijoux.
Elle porte bien son nom cette série, c'est vraiment l'enfer à lire . . .
A lire absolument!
Vraiment surpris par cette BD, qui si elle va plaire aux fans de Okko, n'est pas sans rappeler la série "Chronique des Immortels". De part son perso d'abord, charismatique, énigmatique, il n'est pas du genre à parler pour ne rien dire, comme les combats d'ailleurs, pas de coup de katana en trop, tout est dans l'efficacité, ça tranche sec, ça coupe tout ce qui dépasse, ça saigne, du pur style "Samurai", et on en redemande!!
Mention spéciale pour le combat avec le lanceur de chaîne, avec un premier round faussement en faveur de l'ennemi, mais un second (round) renforçant avec un plaisir l'impression d'infini puissance de notre "Samurai"...avec la petite phrase qui va bien lorsqu'il lui plante son arme dans le ventre: "(...)seul tu ne vaux rien!" j'adore!!!
Et par le déroulement de l'histoire aussi, qui donne franchement envie d'en savoir plus sur ce mystérieux casse-tête que seule une petite fille a su ouvrir et semble bizarrement déchaîner la colère du grand Boss...
D'ailleurs en parlant du grand Boss, évoquons les ennemis, nous avions l'ennemi au masque doré dans "Chronique des Immortels", nous avons les mêmes dingues dans Samurai!!
Car autant le dire, notre héros ne serait rien si en face les ennemis n'étaient pas franchement flippants et eux mêmes dotés d'un charisme nous laissant penser d'un grand potentiel guerrier.
Autant vous prévenir, ils se promènent toujours par 3, avec chacun une dégaine de tueur psychopathe ne vivant que pour faire mal à son prochain! Le look de l'époque...façon visages cachés par des masques inquiétants et ténébreux genre bout de crâne avec des dents bien acérées, avec le grand chapeau qui va bien, et la kimono du moment. Côtés armes, ils ont de quoi faire bobo, équipés soit de double katanas, soit d'une lance, soit d'une sorte d'arme bien tranchante au bout d'une chaîne...
Vite une confrontation!....qui n'aura pas lieu dans ce premier tome, la dernière page annonçant par contre la couleur du second (tome).
Va y avoir bagarre ;-)
Venus de leur petite île, Bong-gu et sa maman cherchent le père de l'enfant, parti depuis des années travailler dans l'immense Séoul. Dans l'indifférence et la morosité générale ils mènent leur quête et découvre la grande ville. Ils font également des rencontres étonnantes dans cette grisaille qui ne semble jamais vouloir se lever.
Ce manwha est une invitation à la réflexion, d'une simplicité presque enfantine et qui peut dérouter de prime abord. Par ailleurs le graphisme en est très particulier. On l'aimera ou pas. Moi, il m'a plu et le fait que ce soit en couleurs pastels ajoute quelque chose de tendre et de chaud à cette histoire. On peut par contre être un peu débouté par les dessins de certains visages (lèvres de Bong-gu, goutte au nez, ...).
Une belle découverte pour ma part.
Vite acheté, vite lu, vite revendu. Même si l'animé reste un bon souvenir, comme pour beaucoup de personnes de ma génération, je trouve que cette série a mal vieillie. Au dela de l'histoire simpliste, c'est les dessins "tout moches" qui on mis un terme à mon intéret pour cette série.
C'est pas mal, mais vraiment pas exeptionnel. L'histoire n' d'intéret que pour les amateurs de la série, et le dessin même s'il sont superbe, sont parfois confus.
Pour moi Ikkyu est un chef d'œuvre. Tout en étant pur japonais, il s'adresse à l'homme total, & le touche. Il transcende l'époque & le pays. Il porte le rire & la tragédie, il montre l'homme tel qu'il est. À lire !
J'ai lu les deux tomes de cette histoire et malgré la rudesse du trait j'ai trouvé que l'histoire était très bien écrite. Les dialogues vont vites et le dessin est très en mouvement.
L'histoire se déroule chez les Incas où un jour le soleil vient à disparaitre. C'est alors qu'un berger manchot d'un petit village va tout mettre en oeuvre pour refaire apparaitre le soleil jusqu'à même aller à la rencontre de l'empereur à Kuzco. Va t il d'écouvrir l'étrange réalité qui fait que le Soleil ne veuille plus réapparaitre?
C'est une histoire sans grande prétention mais qui mérite tout de même que l'on s'y arrette.
Siloë et son père, l’ancien chercheur en physique nucléaire Sidney Mc Guffin, parviennent à échapper au mystérieux consortium qui la "soignait". Norman Hawking, le journaliste qui enquête sur les attentats meurtriers de New York, établit un lien entre les Psybombes, les caissons de relaxations vendus par le Consortium et les pouvoirs de Siloë.
Evoluant vers la schizophrénie, Siloë a du mal à maîtriser son pouvoir dévastateur et se retrouve traquée par des organisations voulant exploiter ses facultés. Le fait de donner un tel pouvoir à une petite fille crédule de dix ans ne rate pas son effet chez le lecteur qui ne peut qu’éprouver beaucoup de sympathie pour cette héroïne.
Durant cette course poursuite passionnante Le Tendre explore les dessous du monde SF qu’il a crée sans pour autant user de la SF pour aider nos héros à s’en sortir, ce qui accentue encore un peu plus la vulnérabilité de nos héros face à la dureté du monde qui les entoure.
Le dessin et les couleurs de Servain restent excellents pour un deuxième tome toujours aussi crédible, du même niveau que le premier tome et qui nous rapproche du dénouement prévu dans le tome suivant.
Siloë est une petite fille de dix ans qui fut exposé à des ultrasons avant sa naissance, durant une expérience scientifique qui coûta la vie à sa mère. Dotée de facultés télépathiques elle est "soignée" par un consortium puissant.
Au même moment, de violents attentas frappent New York : des passants, surnommés Psybombes, propagent des ondes mentales fulgurantes et meurtrières. Norman Hawking, journaliste et vétéran de l’espace, enquêtant sur les Psybombes, découvre l’existence de Siloë.
Tout en développant parallèlement les différents personnages, Le Tendre distille habilement son intrigue tout en touchant le lecteur avec des personnages émouvants et humains. De plus l’univers qu’il crée est tout à fait crédible, n’usant pas de la science-fiction pour faire rebondir le scénario de manière débile, mais seulement pour créer un environnement qui est en harmonie avec un scénario crédible.
Quant au dessin, Servain ne fait qu’accentuer la crédibilité de l’environnement créé par Le Tendre et nous livre en plus des couleurs sublimes.
Avec plus de 70 pages, Servain et Le Tendre nous livrent ici bien plus que la mise en place d’une série prévue en trois tomes. Bref, une agréable BD de science fiction, copieuse, cohérente et avec des personnages touchants ! Irréprochable !
En temps normal, j'apprécie ce que produit notre bon vieux Bouzard ("les pauvres types de l'espace", "Plageman", les autobiographies ...). Le dessin n'est jamais génial, mais soyons clair, en lisant du Bouzard, on ne cherche pas de l'art à l'état brut !!!
Par contre, pour la déconnade, usuellement, nous sommes servis et bien. Là, dans le cadre du club des 4, je suis plus septique. A mon avis l'idée de départ était bonne, reprendre la madeleine Proustienne de notre tendre jeunesse pouvait être sujet à une bonne et franche poilade, d'ailleurs la présentation des personnages au début m'a fait penser que le meilleur était à venir tant cette mise en bouche était bonne. Mais le résultat global est décevant, comme si Bouzard s'était bridé.
Je n'ai pas beaucoup rit... mais je maintiens que l'idée était bonne. Allez père Bouzard, fais nous une bonne surprise, ne te retiens plus, brise ta censure psychologique (n'oserais-tu pas t'attaquer à tes souvenirs d'enfance ?), lâche toi comme tu sais le faire si bien et ponds nous un tome 2 de bonne facture.
J'ai décidé cet été d'essayer l'héroïc fantasy... J'avais des préjugés qui dans la plupart des cas ont été (malheureusement) confirmés...
Mais là j'ai été agréablement surpris :
- Déjà je pense qu'il s'agit d'un type de BD qui nécessite un dessin de grande qualité. Dans le cas présent, c'est une réussite, le dessin est somptueux et la mise en couleur y est parfaitement adaptée.
- Ensuite, le monde décrit est crédible (tout en sachant que l'on baigne en H.F. ... restons les pieds sur terre !!!) et nous permet de "s'évader" voire de "voyager" ce qui est quand même assez sympa (re-merci au dessinateur et au coloriste pour ces moments).
- Les personnages sont intéressants, avec des personnalités que le lecteur peut bien ressentir.
- Le scénario est de qualité, tout s'enchaîne bien, sans incohérence. J'attends la suite avec impatience.
A mon avis, cette BD peut-être considérée comme "indispensable", car elle est de grande qualité et est accessible à un réfractaire à l'H.F. comme moi. Elle possède donc en quelque sorte un caractère universel.
Je la conseille à tous sans réserve.
Peut-être pour les amateurs, et encore... amateur de quoi ?
Le dessin ne me paraît pas extraordinaire, mais là il y a une question de goût.
Quand au scénario, la question est quel scénario ??? Peut-être ai-je déjà du mal avec l'héroïc Fantasy à la base, mais j'essaye de m'y mettre pour comprendre l'engouement relatif au phénomène et j'ai eu quelques bonnes surprises "l'enfant de l'orage" par exemple. Cependant, dans la cas présent je n'ai pour ainsi dire rien compris, à moins qu'il ne s'agisse d'un affligeant premier degré... mais alors là, où est l'histoire ??? Bref, l'ensemble me semble haché et sans intérêt.
Le second album s'est fait désirer... et a tenu toutes les promesses du premier. La grande Histoire rejoint la petite. Le scénario ne faiblit à aucune page et le dessin est absolument magnifique. Un très bon moment de lecture que nous offre Gibrat. Merci Monsieur Gibrat.
J'ai eu grand plaisir à le lire et à retrouver le magnifique dessin de Smudja.
L'auteur poursuit son histoire d'Henri de Toulouse-Lautrec dans le Montmartre de la fin du XIXè siècle. Un Lautrec accroc au Moulin Rouge, son terrain de jeu, à ses belles et aux spiritueux. Mais une nuit, notre peintre sauve une jeune femme dont il tombe bientôt amoureux. Et voilà dans cet album l'histoire de cette idylle aussi spendide qu'impossible. Et quoi un noble avec une fille de moindre vertu !
Un bon scénario, plaisant et agréable, avec de nombreux moments d'humour comme celui où Gauguin et Van Gogh racontent leur enfance.
Les dessins sont splendides et toujours plein de clins d'oeil à des oeuvres de l'époque, sans compter l'humour qui souvent s'en dégage. Les couleurs sont plus vives et plus lumineuses que celles du t. 1. La palette de Smudja réjoui l'oeil du lecteur.
A la fin, toujours l'album photo présentant les personnages intervenants dans l'album. Cette fois-ci les "photos" de Nadar, avec la galerie des perso enfants. Vraiment plein d'humour ;) .
Une grande réussite :D :ok:
Grandiose ! L'originalité vaut tant pour le scénario que pour le dessin. Même s'il est vrai que j'ai eu un peu de mal au prime à bord avec le crayonné, je me suis laissée embarquée dans l'histoire... et ne demande qu'à y retourner avec un deuxième album. Pour les amateurs de fantastique, voici un incontournable !
La série s'annonçait prometteuse avec le premier album. Sans parler d'originalité - l'ésotérisme étant plus que jamais sujet littéraire, cinématogrpahique, etc... - le scénario de "l'héritage" était bien construit. Hélas, l'intrigue de "Stigma Diabolicum" se révèle confuse, d'un intérêt bien relatif. Reste le crayonné sympa...
J'avais un peu peur au début de tomber dans les légendes bretonnes un peu trop faciles et surexploitées mais je dois avouer que les auteurs ont su, ici, renouveler le genre. Cette idée de monde caché sera, je pense, par la suite une véritable mine d'or pour la créativité des auteurs et une bonne source de nouvelles aventures pour les lecteurs. Le capitaine est très intriguant. Qui est-il vraiment ? Quel secret cache t-il ? On a vraiment envie de connaitre la suite de cette aventure. Les dessins sont beaux et touchants. La couv tap à l'oeil. Bref, très bonne BD !
Avis comptant sur les 2 albums...
Une histoire très touchante... mais qui n'a pas autant touchée mon homme. Est ce parce que je suis une femme et en plus une maman ? peut-être... parce que cette histoire de macho coureurs de jupons (tous les jupons! n'oublions pas les hommes ne portaient pas vraiment le pantalon à l'époque!) est finalement très féministe! étonnant au final de penser que la mythologie grecque ait pu pondre une telle histoire! Remercions surtout les auteurs d'avoir su faire une adaptation aussi subtile : c'est peut-être aussi pour ça que l'on y voit une ode à l'égalité des sexes ... C'est sensible, une belle réflexion qui ne frisse pas à la caricature. Le dessin aussi, même s'il exalte les corps, ne tombe pas dans la caricature : certains auraient mis des scénes plus "chaudes" ou des formes plus généreuses...
Même si au final il reste un gôut amer à la fin de ce diptyque (c'est à cause de la cruauté du mythe que les auteurs ont respecté), il faut le lire!!
On est bien loin du Atalante de Crisse!!!
Natsuki/Shiro et ses compagnons continuent de rendre visite aux différents seigneurs susceptibles de soutenir leur cause et d'éviter le massacre des 30 000 révoltés qui doit bientôt survenir. Des alliances se nouent, des promesses sont faites. La rencontre avec un nobele chrétien exilé peut beaucoup les aider. Mais le shogun reste méfiant et bien décidé à se débarasser du fameux "messager de Deus" ; pour celà il envoie le non moins célèbre ninja Jubei.
L'intérêt de ce manga qui a eu du mal à décoller, c'est la fresque historique qu'il offre. Natsuki et les autrs lycéens découvrent ce XVIIè siècle qu'ils ont étudié en cours et le lecteur les suit donc dans cette aventure, levant un pan de cette partie de l'histoire du Japon.
Un mieux dans ce volume plus "politique"
MAGNIFIQUE ! Un graphisme hors du commun : expressif et puissant, une
mise en couleur qui colle parfaitement à l'histoire, un découpage qui glisse
tout seul bref un chef d'oeuvre de la bande dessiné comtemporaine. On rentre
dedans comme dans un grand film sur écran géant. Merci Monsieur BLAIN
A BD difficile, critique difficile. Déjà l'idée : UNE CHRONIQUE DU QUOTIDIEN. Des personnes, sans affinités qui tombent sous le sens, s'entrecroisent, se rencontrent, font l'amour furtivement dans les W.C. d'un restaurant, se quittent,... Le dessin est relativement simple, mais sympa et vient parfaitement accompagner le scénario.
L'un des côtés intéressants de ces histoires qui se croisent, se lient et se délient, c'est cette capacité qu'a l'auteur à jouer avec nous : dans un premier temps parvenir à ce que tel ou tel personnage nous agace puis parvenir à nous faire découvrir une autre facette de cette même personne.
S'il n'y a pas de réèl scénario global, c'est qu'il s'agit de plusieurs mini-scénar qui s'entrechoquent les uns les autres sur une durée d'une semaine environ. Mais l'architecture de l'ensemble est construite avec intelligence et sensibilite : tout s'imbrique parfaitement et surprend même le lecteur à plusieurs reprises.
Petit plus, d'excellentes touches d'humour, toujours dans la finesse (le "bande de petits bâtards" est amené d'excellente manière). Alors, à conseiller à ceux qui aiment "Monsieur Jean", "Lapinot", ... voir Woody Allen...
c'est un tres bon manga qui raconte improbable entre une fille tres reserver qui ne se met pas du tout en valeur et un beau garcon qui est tres gentils.L'histoire est belle et montre que malgres la timidité on peut rencontrer le grand amour (et j'en connais un rayon).En tout cas l'auteur arrive tres bien a representer les vrais timide car elle ne change pas du jour au lendemain . kiriya devra insister pour arriver a la faire changer.
c'est sympa mais sans surprise. Histoire ultra classique du serial killer super intelligent et connaissance de la jeune femme flic. Au ciné ce serait une bonne serie B. La suite devra etre de meilleur qualité.
Lu, niveau dessin c'est sans surprise. Pour l'histoire on suit la progression de Karasawa dans le milieu du crime de Tokyo. Au programme de ce premier tome un presentation des personnages avec une galerie de second role. De l'action ( mutilation et torture) , un peu de sexe. Bon debut dans la lignée de Sanctuary.
Apres un tome 11 decevant, j'avais un peu peur de lire ce tome 12. Il est finalement largement meilleur que le 11 ( heureusement ). On a donc la fin du combat de Ryo ( et un flashback de son entrainement ), l'apparition de nouveaux perso qui ont l'air tres tres puissant. Bon tome.
Un dessin accrocheur, une idée de depart assez original : on suit les aventures de Zanjaro jeune samourai dans un japon qui vit en autarcie de nos jours. Ce shonen est un melange de naruto ( pour le jeune heros qui a ses convictions ) et de kenshin ( pour les combats au sabre ) Un premier tome qui nous presente les personnages : le heros, le gros mechant de l'histoire, des personnages qui vont surement devenir les compagnons du heros. Premier tome sympa.
L'effet de surprise passé ce tome 2 est un peu moins bon que le premier : les enquetes ne sont pas toutes tres bonne même si elles sont souvent drole. Cette serie a beaucoup de point commun avec Eiji en moins violent bien sur : un lyceen pervers mais competent, une jeune femme belle et intelligente et des seconds rôles amusant. Serie sympa mais sans plus.
Graphiquement c'est un pur bijoux , des personnages charismatiques, de jolies filles ( pas trop denudées ). L'histoire est vraiment prenante, ce tome 1 presente à peine les personnages on entre directement dans l'action. Un heros mysterieux et charismatique qui doit proteger une jeune lyceene, les ennemis sont nombreux, les combats tres violent ( notamment un passage ). Tres bonne histoire.
Excellent ! Je crois que je viens de découvrir le même plaisir qu’Obélix quand il croise ses pirates favoris dans un album d’Astérix. Moi, mes pirates favoris, ce sont ceux de Ratafia dorénavant !
L’album commence avec l’entrée en scène extraordinaire de ce petit marin excentrique qui s’annonce comme le nouveau capitaine du navire. Après avoir bluffé l’ancien capitaine Charles aux cartes, il parvient à bluffer l’équipage et le lecteur avec son audace.
Ce petit personnage mystérieux, qui n’est pas intéressé par les trésors mais plus par la littérature, la peinture et la sculpture, va changer la vie de cet équipage qui finira par danser en tutu et par abandonner des trésors.
Cette aventure de pirates humoristique est pourvue de dialogues bourrés de jeux de mots et de finesse. Un mélange d’humour, de finesse, de dérision, de poésie, de critique sociale (avec les fameux Dos Fixes) et de fraîcheur qui se retrouve dans les dialogues ainsi que dans le dessin.
Mélange d’absurdité et de subtilité pour un tome que je ne peux que conseiller !
Cinq types qui s’évadent de leur quotidien, de leurs femmes et de leurs enfants, pour passer quelques jours entre copains dans un chalet, c’est une histoire classique, mais des vacances entre mecs ça donne forcément des grands moments d’hilarité. C'est bien connu: Quand bobonne n’est plus là pour mettre le frein, alors on déconne comme des gamins !
Forcément on rigole en lisant cette tranche de vie et quand on me sert une tranche de vie, pour que ce soit parfait, j’ai un nom qui me traverse l’esprit : Davodeau ! C’est le roi des tranches de vie, des histoires simples, mais humaines ! Son dessin et sa narration s’y prêtent à la perfection et quand il y mêle une intrigue et que le sujet donne naissance à des scènes à mourir de rire on se retrouve en face d’un grand Davodeau.
Voici le premier album d’une série prévue en trois tomes, dont le scénario se situe entre "Le livre de Jack/Sam" et une des aventures de Blake et Mortimer. Si dans le "Le livre de Jack/Sam" tout le monde avait son propre livre retraçant sa vie, ici il n’y qu’un livre, mais dont le contenu à la faculté de s’adapter au lecteur.
Roman, notre jeune héros innocent et fan de Peter Pan, va se retrouver en possession de ce mystérieux livre des destins. A peine aura-t-il redécouvert son passé dans ce livre qui raconte la vie (passée et future) de celui qui le lit, qu’il se le fera dérober par deux étranges hommes en blancs.
La poursuite est lancée et comme Roman n’est apparemment pas le seul à vouloir reconquérir son futur, une aventure palpitante s’annonce à la suite de ce premier tome intrigant.
Matthew va découvrir que c’est souvent une fois privé d’une chose que l’on se rend compte de sa vraie valeur. Etant un homme vivant selon une logique implacable sans place pour l’aléatoire, il ne pourra croire que le meurtre violent de sa femme et de sa fille est dû au hasard. Cette étoile gravée au couteau sur le corps violé de sa fille doit avoir un sens et, tout comme le lecteur, Matthew fera tout pour vite apprendre la vérité.
Le scénario, mélange entre polar sombre et western violent, est excellent, les dialogues habiles et la voix off suit à la perfection la logique et le raisonnement calculé de notre héros, qui ressemble étrangement à Sean Connery. Le dessin de Marini est fabuleux et nous plonge au milieu de cette ville du fin fond de l’Amérique du XIXième siècle, là où les pires énergumènes du Far West font la loi.
D’abord quelques conseils afin de pouvoir acheter cet album :
1. Ne pas regarder la couverture, qui est pour ma part ignoble et n’incite pas du tout à l’achat !
2. Ne pas feuilleter l’album avant de l’acheter car les dessins risquent de vous exploser la rétine et de vous dégoûter.
Impossible de résumer ce one-shot, quoi que le terme one-shoot soit plus approprié pour ce trip qui vous défonce le cerveau et les yeux. Lola est une pute nymphomane aussi vulgaire que les dialogues de cet album, qui s’en sort toujours avec son cul, sur terre tout comme dans l’espace. Elle mettra 64 pages à baiser tout ce qui bouge, votre esprit inclus !
Une fois la BD refermée, ne sachant pas si on vient de percuter un OVNI ou si on sort d’un trip cosmique, on se demande s’il n’aurait pas mieux valu prendre l’aspirine avant la lecture.
Sex, drugs & trash, une BD à ne pas offrir aux enfants à Noël ou à leur communion ! C’est osé, difficile à digérer, mais comme après n’importe quel trip on finit par se dire ... et pourquoi pas une petite suite, ... allez rien qu’une petite ?
Une histoire complètement banale, la vie de tous les jours des locataires d’un immeuble de trois étages, mais tellement bien racontée qu’on prend vraiment plaisir à découvrir cette tranche de voyeurisme.
Tout comme dans le film "Sliver" avec Sharon Stone on va observer la vie de ces locataires, s’amuser de leurs interactions et apprécier surtout les non-dits ! Le dessin de Vanyda, fortement influencé par le dessin manga, se prête parfaitement à la simplicité de l’histoire. Un bon moment de lecture !
Après quelques apparitions furtives dans les deux tomes précédents, le Diable en personne s’installe aux commandes de ce troisième tome. Après avoir transporté Lincoln à New York, il espère en faire le plus grand truand de la ville, mais c’est bien évidemment sans compter sur le caractère contradictoire de Lincoln.
Après Dieu, c’est donc le diable qui va se casser les dents sur le caractère de Lincoln dans un troisième tome que j’ai autant apprécié que les deux premiers.
… et Dieu vit que ça allait mieux avec Lincoln …
Lincoln, en plus de trimballer sa mauvaise humeur et Dieu, doit maintenant également trimballer trois trouducs qui l’appellent chef ! C’est en cette charmante compagnie, qui a tout pour lui déplaire, que Lincoln va commettre des bonnes actions contre son goût.
Les dialogues sont toujours aussi savoureux et l’apparition (également sous sa forme humaine) de Satan ne fait qu’améliorer la situation. De plus, Lincoln a légèrement évolué depuis le premier tome et commence à se sentir impliqué dans ce qu’il fait.
… et puis Dieu créa Lincoln et il vit que ce n’était pas bien du tout !
Lincoln, fils d’une pute et d’un spermatozoïde aléatoire, n’est pas née sous une bonne étoile et il en veut à tout le monde d’avoir une vie de chien. C’est sans but et sans joie, mais non dépourvu d’un esprit affûté, qu’il vagabonde à travers le pays.
Et c’est là que Dieu décide d’intervenir afin de faire découvrir le bonheur à Lincoln. Ayant pris une forme humaine, Dieu devient le compagnon de route de Lincoln, au grand bonheur du lecteur qui ne peut que se réjouir des dialogues exquis qui s’en suivent.
Un scénario très original, des dialogues savoureux, une histoire soutenue, le tout arrosé de cynisme et d’humour : bref une série qui a tout pour plaire ! D’ailleurs, ceux qui apprécient devraient également apprécier la série Ratafia et vice-versa.
Les paroles non réfléchies de Fukamachi concernant la dernière partie de l’ascension folle de Habu vont-elles pousser Habu à faire plus que n’était déjà possible?
Fukamachi frôle la mort, Habu s’éloigne vers le sommet pour l’épilogue de cette magnifique série qui aura au minimum eu le mérite de passionner l’habitant d’un plat pays comme le mien pour l’alpinisme.
Le sommet du neuvième art avait déjà été atteint par Taniguchi dans d’autres séries et voici un nouveau sommet qu’il franchit en compagnie du lecteur et de Habu Jôji!
Le mystère de l’appareil photo du célèbre alpiniste disparu George Mallory, déjà partiellement élucidé dans le tome précédent, donne l’impression de se terminer un peu facilement dans ce tome lorsque Fukamachi se voit remettre l’appareil par Habu.
Le côté polar terminé, le lecteur se retrouve seul avec Habu Jôji, Fukamachi et la face sud de l’Everest pour une ascension quasi impossible. Les Dieux nous laisseront-ils franchir le sommet du monde? La réponse doit impérativement se trouver dans le tome suivant!
S’il y a une chose qu’un japonais ne supporte pas, c’est qu’on lui pique son appareil photo!
Fukamachi retourne donc au Népal, bien décidé de retrouver le mystérieux appareil photo et le mythique grimpeur japonais Habu Jôji, ainsi que son sherpa.
Ce troisième tome s’éloigne donc de la montagne pour plus se diriger vers le polar avec l’enlèvement de Ryôko comme ultime rebondissement. Taniguchi laisse de côté l’alpinisme pour mieux se consacrer aux sentiments des personnages principaux, tout en s’intéressant à la culture népalaise.
Afin de retrouver l'appareil photo de l'alpiniste Mallory disparu sur l'Everest dans les années 20, Fukamashi va d’abord tenter de retracer la vie de celui qui a retrouvé cet appareil : le mystérieux alpiniste japonais Habu Jôji !
Interrogeant tous ceux qui auraient été en contact avec Habu, il découvrira vite la parallèle qui le lie à un autre alpiniste japonais légendaire : Hase Tsuneo.
A l’aide de paysages de montagne impressionnant Taniguchi parvient à décrire avec suspens le combat de ces deux héros face aux sommets du monde et dissipe tout doucement la brume qui entoure le passé de Habu Jôji. Fabuleux !
Un récit sur l’alpinisme. Voilà un sujet qui à la base me passionne autant que le bilboquet ! Et pourtant une fois l’album refermé … heureusement que j’habite en Belgique et qu’il n’y a pas de montagnes dans les parages sinon, ce n’est pas l’envie d’en escalader une qui me manque.
A travers l’histoire d’Habu, Taniguchi nous fait découvrir l’alpinisme et à travers un dessin manga au sommet de son art il nous fait grimper sur le toit du monde. A cet extraordinaire combat de l’homme sur la montagne il mêle une histoire de détective via le photographe Fukamachi qui est bien décidé à élucider un des premiers mystères de l’Himalaya.
Vu la passion que Taniguchi parvient à libérer en moi pour l’alpinisme avec ce premier des cinq tomes, j’en viens presque à redouter qu’il écrive un jour un récit sur le tricot, de peur de me retrouver avec des caleçons en laine, faits maison ! Passionnant !
Voici une histoire classique et prévisible à la trame identique au premier tome : une histoire d’amour sur arrière-plan de guerre en Macédoine.
L’histoire d’amour est cependant différente que dans le premier tome et décrit l’amour fou du lieutenant Alban Méric pour le jeune grec Manolis. On prend également plaisir à retrouver les endroits et les personnages du premier tome et à revivre certains événements à travers le regard d’une autre personne.
Même si l’intrigue se dévoile lentement dans ce deuxième tome, il faut néanmoins souligner que le fait de jouer avec le regard des différents personnages sur les mêmes événements est loin d’être aussi habilement développé que dans la magistral "Berceuse Assassine".
Loin d’être passionnant, cet agréable récit commence tout de même à chatouiller la curiosité du lecteur.
Ce premier tome raconte en toute simplicité l’histoire d’amour de la chanteuse de cabaret Dora Mars, qui accepte d’aller distraire les troupes pendant la guerre en Macédoine afin de retrouver le pilote de l’armée française Armel Flamant, qui ne répond pas à ces lettres.
Comme le titre le laisse présager, ce récit se concentre surtout sur le personnage de Dora Mars, ses sentiments, ses espoirs et ses désillusions. Si cette vision est parfaitement servie par le dessin et les couleurs de Cyril Bonin, le lecteur s’apercevra très vite qu’il doit également se concentrer sur ce que Dora ne raconte pas en détail, car c’est bien autour de Dora Mars qu’il a dû se passer quelque chose.
Deux homes semblent toutefois en savoir plus et le lecteur devra se plonger dans les tomes suivants afin de regrouper tous les éléments nécessaires afin d’élucider le secret qui lie ces cinq destins.
Une nouvelle série d’action où, Narvalo, à la tête d'un commando de mercenaires, est chargé de protéger une plate-forme en pleine mer du Nord : le Zeeland.
Le problème principal de cette nouvelle série est que les mercenaires ne sont pas du tout crédibles avec un Narvalo pas costaud du tout, se faisant facilement avoir par le premier venu et à la tête d’une troupe qui ne l’écoute même pas !
Même si le scénario est plutôt original, cette aventure au rythme soutenu est malheureusement, par moment, également pourvue de dialogues pas trop recherchés.
Après l’apprentissage d’Alan dans le premier tome, le voici qui débarque en France pour participer à la grande guerre. Première constatation: la guerre c’est bien plus relax que l’apprentissage: d’abord deux mois de congé car les armes et véhicules se sont perdus en chemin et puis un ennemi qui reste invisible.
Arrivé après le levé du rideau sur cette guerre, le peloton d’Alan croise le Continent d’Ouest en Est sans rencontrer l’ennemi et surtout sans vraiment connaître son but et sa destination finale. Cette petite balade absurde et désorganisée d’après-guerre montre comment des soldats parviennent à mourir au “combat” sans même rencontrer l’ennemi, comment Alan prend plaisir à voyager à travers l’Europe sur le compte du gouvernement américain et comment on parvient à se faire décorer malgré l’inactivité, l’ennui et l’absence de combat.
Un récit déroutant sur un peloton qui changea le cours de la guerre sans même y participer. Par contre pour suivre un cours de géographie c’est raté, car, comme tout bon américain, le type est incapable de nommer un nom de ville dans toute l’Europe qu’il a traversé.
On suit ici les sauts de mémoire d’un vétéran de la guerre: Alan Ingram Cope. Scrutant sa mémoire parfois défaillante, cet ancien G.I. nous raconte la préparation à la guerre et la formation du soldat Alan sur son sol natal avant de partir à la guerre.
Rien d’extraordinaire ne se passe, c’est tout simplement le récit honnête d’un type qui se voit former au combat avec quelques anecdotes comme toute personne ayant fait son service militaire pourrait vous raconter. Et pourtant on prend un réel plaisir à lire cette pré-aventure d’un type comme les autres qui un jour va partir au combat.
Bienvenue dans le monde cauchemardesque et bourré d’imagination des enfants et en particulier dans celui de la courageuse petite Courtney Crumrin.
Développant son propre monde à l’insu de ses parents, la petite Courtney se découvre lentement une passion pour la sorcellerie et les créatures fantastiques et va se lier d’amitié avec son oncle, qui n’a peut-être pas très bonne réputation dans le cartier mais semble en savoir beaucoup sur les créatures de la nuit.
Un récit accrocheur ou le lecteur se lie d’amitié avec cette petite apprentie sorcière rejetée de tous et rejetant le monde réel au profit de son propre monde bien étrange.
Nostradamus, voulant confier ses fameux secrets décide de donner la tâche de sauver son œuvre aux futurs descendants de trois naufragés qu’il guérit de la peste. Et miracle, les trois descendants, chacun muni d’une opale, se retrouvent et semblent en plus avoir tous les atouts nécessaires pour affronter les dangers qui les guettent. Voilà déjà un beau pied de nez aux chefs de personnel qui essaient de recruter le personnel adéquat de la part de ce cher Nostradamus.
Unis par la dette de leurs parents, nos trois compères (la jeune et belle corsaire Walaya du Martray, un mercenaire suédois Éric Gustavson et un officier proche du cardinal Joachim Pratentis) vont donc devoir affronter les forces du cardinal Richelieu ainsi que la mystérieuse loge "Ars Magna" afin de préserver on ne sait pas trop quoi.
Ce tome d’introduction lance cette nouvelle aventure de Cobeyran dans un contexte historique sans rien dévoiler sur l’intrigue. Bref un premier tome bien commercial qui ne fait pas avancer le schmilblick, mais se laisse lire facilement. Je ne sais pas ce que Nostradamus a prédit pour cette série, mais ce premier tome est à lire sans trop réfléchir !
La trame de ce second tome est identique au premier tome.
On retrouve à nouveau l’agent Graves distribuant aux victimes des valises contenants une arme, 100 cartouches, le nom, l’adresse et les preuves qui accablent ceux qui leur on fait du tort et surtout une garantie d’immunité pour le crime à commettre.
Mais les histoires sont plus recherchées que dans le premier tome de cette série dont le scénario fait penser aux "Enchaînés". On en apprend également plus sur l'agent Graves et lentement le voile se lève sur les mystérieux “Minutemen”.
Les dialogues sont toujours aussi bons et le dessin de Risso irréprochable!
Excellent polar.