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Boujour je comence a m'interesser a votre site que j'ai decouvert par le net par hasard j'ai plusieurs Buck Danny et j'aime bien une question sur les cotes et les informations par ex:j'ai les mysteres de Midway de 1966 il n'a aucune cote pourquoi et ce livre vous le donnez avecje crois 54 ou 58 pages et le mien en a 62 d'avance merci de me repondre et de m'apprendre Adrien
Cette réédition compile "la véritable histoire du soldat inconnu" et "la bascule à Charlot" (histoire déjà parue dans le recueil "Mouh Mouh" aussi je crois...)
c'est du Tardi totalement libre, comme à l'époque de Polonius, même si le dessin est ici beaucoup plus proche de Ici même ou des Adèle (plusieurs des personnages dessinés ici se retrouveront d'ailleurs dans la suite de son oeuvre)
ça part dans tous les sens, c'est absurde (dans la "véritable histoire", c'est un auteur de polars populaires qui se retrouve confronté aux personnages maléfiquesqu'il a lui-même créés!), érotique et sanglant, et ça fait souvent sourire!
bonne réédition (même si l'on m'a dit que certains exemplaires se re-rentraient très mal dans le coffret après ouverture! moi je n'ai pas trop ce problème, ça passe!)
Incontestablement, c’est l’un des meilleurs titres de Clamp. On entre de plein pied dans un monde fantastique au bord de la révolte, au bord du chaos. Un monde qui depuis 300 ans subit le règne terrible et cruel de Taishaku-ten qui a trahi l'Empereur du Ciel.
Les personnages sont charismatiques et les auteurs mettent en avant la personnalité et les aspirations de chacun. On s'attache même à ceux qui de prime abord peuvent rebuter, comme Taishaku-ten.
Yasha-O est le type même du guerrier sombre et solitaire, qui porte un lourd fardeau sur les épaules. Comme personne, les filles de Clamp savent mêler fantastique et violence des sentiments qu'ils soient cachés ou non. C'est l'un des shojo les plus romantiques que j'ai lus. L'intrigue est prenante et tient en haleine jusqu'au bout. On sait qu'Ashura est destiné a tuer Yasha et on se demande comment celà va se terminer.
Les relations entre les personnages sont suggérées ou montrées avec raffinement et force. Chaque regard, chaque mot expriment des sentiments à fleur de peau.
Les desseins sont très beaux par ailleurs.
Un troisième volet riche en évènements.
Cornaro et les membres de la [i]Fraternal Compania[/i] n’ont-ils pas présumé des désirs de Ruzante ? Le « double » de celui-ci s’avère étrange et étonne les immortels lorsqu’il rencontre le jeune comédien. Angelo ressort de cette rencontre bouleversé et plein de ressentiment contre Cornaro et ses pairs. Il retrouve mystérieusement Maria. Non loin, le frère prieur Calvacante et le commissaire-enquêteur Jonzac remontent la piste de la [i]Fraternal Compania[/i], un chemin qui sent le soufre et qui date de plusieurs siècles. Une piste qui mène l’un vers le cadavre d’un noyé, l’autre au château d’un certain Alexandre de la Gentilhommière Dans l’ombre, des puissances invisibles se combattent. Le dernier des masques ne semble-t-il pas aussi différent que Ruzante peut l’être par rapport à ses compagnons ? Que cherche-t-il et qui est-il ?
Mosdi nous offre un beau scénario qui épaissit le mystère tout en révélant certaines choses. Il donne envie de connaître la suite de l'histoire.
Le dessin de Paturaud est toujours très beau. J'ai trouvé qu'il avait su donné de la maturité à Ruzante qui, de fait, a perdu son innocence vis à vis de la [i]Fraternal Compania[/i] et de ses actes. J'aime particulièrement le rendu des scènes où apparaît Sabazius, les gris de cette sorte d'entre-deux-mondes. Je note également que les couleurs semblent plus terreuses, comme si la boue remuée par les personnages déteignait sur l'environnement.
Enfin, lacouverture m'a fait forte impression :ok: .
bon je n'arrive plus à modifier mon avis et à rectifier la note qui n'est évidemment pas celle que je voulais mettre. Ce message pour corriger l'erreur donc. Sorry. Administrateur? youhou?
Cette série humoristique met en scène un tueur à gage dont les bourdes ou les idées inventives donnent prétexte à autant de gags. Assez sympathique mais toutefois assez peu originale. Les gags sont en effets très (trop) souvent prévisibles. J'aime le dessin, propre et dynamique. Que ceux qui n'aiment pas l'humour noir s'abstiennent...
Excellente série nous venant de la péninsule ibérique. Quino me fait vraiment mourir de rire avec ses réflexions à la fois profondes et naïves. Le dessin est très simple mais supporte bien les petites histoires de Mafalda. Je rapprocherais cette série des excellentissimes Calvin et Hobbes. Beaucoup de plaisir donc. Je n'ai qu'un regret : que les histoires ne durent que 4 ou 5 cases.
[tome 1] à [tome X]
Manga où est lié a la foi aventure, humour et fantastique (un tout petit peu d'mour aussi...).
Le personnage principal (Ueki) dispose de 11 pouvoir dont celui de recycler les déchets, ces derniers lui ont été donné par son aspirant-dieu (M'sieur Kobayashi) qui la remarquer pour son sens aigüe de la justice. Mais à chaque fois qu'il blesse quelqu'un avec un pouvoir, Ueki perd un autre pouvoir
Ueki se retrouve entraîné dans un tournoi ayant pour but de savoir comment évoluerait le monde s'il était confié a un collégien ayant un projet. Dans ce tournoi se retrouve plusieurs autre jeunes possédants eux aussi des pouvoirs dont le jeune Robert Highdown qui, contrairement à Ueki, ne recherche pas la justice mais plutôt son contraire ! Ueki se donne comme tâche d'anéantir Robert...
A la fin de chaque combat contre une personne du tournoi, le vainqueur gagne un autre pouvoir et le perdant est disqualifier. A la fin du tournoi, le vainqueur disposera du don vierge, sorte de pouvoir absolu.
Personnellement je trouve que ce manga sort un peu de l'ordinaire même s'il suit (à la base) le même style d'histoire que Naruto ou Hunter X Hunter...
S'il n'est pas à posséder (ce que je trouve dommage) il est au moins a lire, ce qui vous donnera surement l'envi de le possédé
C'est un bon album qui nou est offert là. Tout d'abord à propos de l'intrigue de cet aventure ça reste un classique du genre mais bien maîtrisé. L'histoire est intéressante et prenante même si il n'y a pas énormément de suspense. En effet la première page fait totalement voler en éclat tout le suspense qu'il aurait pu y avoir. A la place on en apprend davantage sur un des membre de l'EO-6 et on se laisse porter tout au long de l'histoire pour découvrir comment on en arrive à la première planche et au dénouement.
Ensuite il y a ce qui est le plus important pour moi l'intrigue de fond. En relisant toute la série on se rend compte qu'elle avance beaucoup. Certains éléments à priori anodins sont révélés mais celà peut avoir finalement sont importance.
Bref on est très pris par l'histoire. a savoir aussi que tout n'est pas dans les textes mais aussi dans le dessin. Le lecteur doit interpréter certaines scènes, certaines ambiances pour profiter pleinement de cet album.
Tome un peu moins intense mais tout aussi interressant.
Dans une société où SIDA rime avec mort, voici un roman graphique qui fait réfléchir.
Lorsqu'il apprend qu'il est porteur du VIH, notre héros doit faire face à la musique. Un peu cliché (père qui n'accepte pas l'homosexualité de son fiston, amoureux qui s'éloigne, morts d'amis sidéens ici et là), cette bd n'en demeure pas moins réaliste dans son contexte.
L'émotion y est intense; j'ai eu de la difficulté à la terminer sans broncher car la fin y est triste et belle, noire et radieuse...Il y a toujours de la vie dans la mort et le message passe même s'il semble parfois souligné au trait noir.
Pour ceux qui aiment lire des bd différentes à l'occasion et qui se préoccupent de la différenciation sociale.
Rien de neuf à l'horizon, toujours la même mission, des combats toujours aussi bon. On en apprend un peu plus sur le passé des volts. La fin approche.
Une histoire sans surprise mais toujours divertissante, c'est pas tres original mais c'est bien traité. Le classique tournoi d'art martiaux va bientot pointer son nez. Les 2 heros se separent pour partir s'entrainer chacun de leur coté. De beaux combats et des perso charismatique. Sympa.
génial !!!!!!
le magnifique dessin de springer avec un super scénar !!!
alors là, j'ai deniché une pépite, un phénoméne:
c'est le pire album que j'ai tenu entre mes mains (je l'ai emprunté à une médiathéque, je précise). Quand je pense que ce genre de truc, peut avoir la même appellation BD qu'un Thorgal ou autre, je frémis...
le dessin n'est pas catastrophique, pas bon, non plus... mais alors, (je commente après 22 pages lues) le scenario est du plus horrible possible, je me demande comment, même jeune, on peut pondre une telle daube... les dialogues sont vraiment le must : "cool", "c'est bidon" et "fait chier" une fois par page en moyenne...
La psychologie des personnages est tout simplement horrible (pour l'anectdote j'ai cet âge-là).. et les femmes de 25 ans ne se pâment en disant "qu'il est bôooooo johnny depp" (c'est à 12 ans ça..)
bref, je me demande comment on peut laisser sortir ce genre de truc, (ca mérite un licenciement immédiat ça )
Pour finir, l'ensemble est à l'image du titre (voir bien pire): "fred et sophie"...
L'album finit, le sentiment est encore pire, c'est tellement mauvais que ça en est énervant, et la, je suis en colére.....
Un premier tome tres dynamique, pas de temps mort. Un dessin plutot bon avec notamment une superbe course poursuite en moto :ok: qui est une vrai reussite. Niveau histoire ce premier tome nous presente les differents personnages, on apprend pas grand chose : ce sont des etres superieurs ( avec un pouvoir inconnu pour le moment ) qui sont poursuivi par le gouvernement. Un premier tome prometteur.
La meilleure façon de découvrir Hausman Illustrateur...cet album à d' ailleur reçu la " Pomme d' Or" à la BIB, exposition internationnale de Bratislava des illustrateurs du monde entier.Imprimés sur des papiers de très grande qualité, et grâce au grand format, les illustration d' Hausman sont idéalement mises en valeur ! La richesse du dessin n' a d' égal que les couleurs ( Hausman utilise l' aquarelle ).
Feuilleter le " Bestiaire Insolite " est une extraordinaire façon de découvrir un monde animal que l' on croit bien connaître !
Le réel côtoie le fabuleux et l'étrange n' en paraît que plus vrais. Le lecteur est plongé dans une autre réalité. C' est beau et affreux, c' est tendre et cruel,c' est magique !
Les Albums d' Hausman dans la collection terre entière ont par ailleurs reçus de nombreux Prix et sont tous à découvrir.Ils sont malheureusement épuisés depuis longtemps et ceux qui ont la chance d' en posséder y tiennent.Ce sont des trésors.
Quelques titres de la série:
- La Forêt Secrète
- Les Contes de Perrault
- Les Fables de Lafontaine T1 et 2
- Le Roman de Renart
Un bon tome qui nous amène doucement vers le dénouement. Maiana continue sa confession après avoir subi la question. Cette fois-ci elle affronte Cortés, le "teutl" suprême des "dieux blancs" venus de la mer. Comme toujours, elle use de ses charmes pour survivre tout en restant fidèle à elle-même et à ses espoirs. Elle devient dans ce tome la fameuse et très controversée doña Mariana. Mitton nous offre une vision toute autre de la marche des conquistadors sur Tenochtitlan, moins glorieuse que dans les livres des auteurs de l'époque.
J'attends impatiemment le dernier tome et le dénouement. Quand sera-t-il du fameux trésor ?
Comme pour le t. 2, un avis mitigé sur ce troisième volet. L’enthousiasme du premier tome me semble retombé. L’histoire me paraît aller dans tout les sens. L'apprentissage de Grégoire semble nous mener un peu n'importe où à n'importe quel moment. L'intrigue d'origine me paraît bien lointaine.
Pas très amatrice du dessin, il ne sauve pas l'album.
Un peu déçue encore.
Toppi est au sommet de son art, les dessins sortent tout droit de l’univers des Milles et nuit au point qu’on a l’impression qu’ils sont d’époque et ont garder une âme sauvage orientale. Après quelques pages, vous êtes transporté quelque part au milieu des dunes de sable le regard perdu dans la nuit étoilée et écoutez incrédule une histoire ancestrale...
Shéhérazade narré par un maître italien du graphisme amène ici un monument incontournable de la bande dessinée...
J'ai beaucoup adoré cette BD, on début elle me paraissais bizarre, et assez mélangée mais j'ai finalement adoré !
Je vais bientot allez macheter le tome 2 ! J'ai mis du temps à lire le 1 pour apprecier les dessins magnifiques ;) mais finalement quand jy suis arriver au bout je suis rester sur ma faim!
Un peu comme l'ami Sckizo, l'idée ma parraissait bonne. Les différents styles graphique présentés dans ce collectif ne m'ont pas choqué, j'ai plus été déçu par la rapidité avec laquelle les contes sont torchés (3-4 planches en général) mais aussi et surtout, SURTOUT, par la qualité médiocre de la traduction. Une floppée d'erreurs de français, de répétitions et de tournure gnan-gnan dans les dialogues qui nuisent vraiment à la lecture. A lire en VO ?
Proposition de titre :
Le portrait ovale ou comment anéantir une nouvelle de Poe en 2 étapes.
Etape 1 : Un dessin laborieux.
Disons-le tout net : même si tout le monde n'apprécie pas, Bilal est un grand dessinateur. Il est donc logique en soi que des dessinateurs s'inspirent de son travail pour affiner leur propre style et parvenir ainsi à une forme d'indépendance. Pascal Somon n'est pas de ceux-là. Nous avons en face de nous un dessinateur tellement accaparé par ses traits éparses de pastel blanc sensés donner une note nonchalante MAIS artistique à l'ensemble, qu'il en oublie ses proportions, perspectives et mises en scène. Le résultat est mauvais. Je vous invite à le constater par vous même sur la planche de preview...
Etape 2 : Un dessin inutile.
Un bon écrivain n'a pas besoin de support visuel pour donner à son oeuvre un goût de réel, d'authenticité, ou même pour situer l'action. Tout cela est compris dans sa plume.
Ainsi pour un dessinateur qui choisit d'illustrer un texte, il faut, soit apporter de nouveaux éléments de compréhension (Tardi avec les romans de Céline), soit orienter le lecteur vers une autre interprétation (Sfar chez Bréal). Rien de tout cela ici. Les dessins ne sont là que pour combler les blancs. On passe d'ailleurs rapidement les dessins pour ne s'attarder que sur le texte, largement suffisant.
Ajoutez à cela la préface trompe-lecteur et vous aurez un chef-d'oeuvre d'inutilité.
Une bonne surprise, assurément. Un moment de lecture plaisant mais qui commence à tourner un peu en rond vers la moitié du livre.
Certains problèmes de mise en scène désamorce des gags pourtant alléchant.
Vivement le tome 2 pour voir où tout ça peut nous mener.
Pour exorciser sa peur et ses cauchemars récurrents à propos de son séjour forcé au collège, Riad Sattouf contacte le ministère de l'Education Nationale afin d'être autorisé à suivre une classe de 3ème du collège Charles-Henri (3ème collège de France) pendant 15 jours.
Son intention est louable : il veut dépeindre l'ambiance réelle d'une classe, loin de l'image tronquée que les médias donnent. De ce fait, le choix du collège Charles-Henri (3ème collège de France) n'est bien sûr pas anodin. Son principal argument : son éditeur, Hachette, gage de sérieux.
Avec ce ton de névrosé anxieux et suant bien à lui, Sattouf nous raconte sa mission de taupe chez les riches. Le résultat est terrible. Surenchère de marques, comportement malsain et paroles crue, mépris...Il ne fait pas bon vivre pour tout le monde à Charles-Henri (3ème collège de France).
Un livre tout à fait intéressant et drôle recommandé pour les gens comme moi qui détestait déjà cet univers avant de le connaître. Il vous convaincra que vous êtes dans le vrai.
L'auteur nous a ménagé une surprise et à quelques volumes de la fin voici un nouveau retournement de situation. Ce tome met Asagi en avant. Un Asagi dont la conduite et la démarche sont effectivement suicidaires. Là encore les sentiments de haine, de jalousie, d'amour sont au centre des réactions des personnages. Le triangle Sarasa, Shuri, Asagi nous réserve des surprises et des émotions. Par ailleurs Tatara n'en a pas fini avec ses propres troupes dont une partie voient d'un mauvais oeil son alliance avec le Roi Rouge destructeur de leur village de Byakko.
Le talent de Yumi Tamura est de nous tenir en haleine sans cesse, d'amener avec subtilité des rebondissements saisissants et de savoir donner une vie, une âme, des sentiments à chaque personnage en les mettant tour à tour sur le devant de la scène, sans jamais s'éloigner trop longtemps de l'intrigue principale.
Un manwha qui semble attirant (le titre m’a plu) mais dont le scénario m’a paru très brouillon. De plus le dessin m’a rapidement rebutée. Les petites têtes surmontant des corps aux troncs immenses ne m’ont pas paru très beaux, pas plus que les têtes particulièrement hideuses de certains personnages (des bandits, soit, mais bon…). Blasée ? peut-être.
Très très moyen.
Enfin ! Yuuna est sortie d’affaire. Il était temps, je me lassais des combats répétitifs, des ennemis ressurgis du passé, des coups secrets et de ces types qui sont quasiment morts mais tiennent encore debout. L’histoire va pouvoir se recentrer sur la recherche du corps de Kyo. Un nouveau personnage apparaît, un personnage assez cocasse de prime abord qui amène une bouffée de gaîté délirante dans la 2ème partie de ce tome. Maintenant que les Quatre Sacrés du Ciel sont à nouveau réunis, les choses vont peut-être un peu avancer. Cependant je ne m’attends pas à une évolution rapide de l’intrigue. Nous allons seulement vers de nouveaux combats, de nouvelles techniques plus ou moins cachées. J’espère juste qu’on aura d’agréables surprise côté adversaires, afin de trancher avec la routine.
De beau dessin, une histoire un peu compliqué : dans ce premier tome on nous presente un groupe de personne morte qui doive tuer un homme byzarre. Rien nous est expliqué dans ce tome 1 on entre directement dans l'action et c'est assez violent.
sans nul doute le meilleur démarrage de série que j'aie jamais lu avec le Tueur, tout simplement (plus marquant que l'esprit de Warren du même Brunschwig, par exemple...)
un crescendo de violence et de tension, des voyages entre présent et passé qui ne perdent pas le lecteur, des personnages ambigus ou des retournements de perspectives, c'est parfait à tout point de vue.
Un one shot composé d'une série de petites histoires dont les thème et personnage principaux sont la mort ou la tentation de mort.
Dans chaque récit, l'un des personnages au moins est tenté par la mort que ce soit volonté de se suicider, acte mortel d'épingler un papillon ou meurtre effectif. Il y a aussi la mort de l'amour, le goût du sang.
Chaque histoire à une saveur particulière et en lisant on se trouve transporté dans une sorte d'atmosphère étrange, vers une frontière invisible, un fil toujours sur le point de céder. Ebine nous fait ressentir le vide et le néant, ma peur de ceux-ci ou leur fascination.
Son trait délicat qui semble ne faire qu'effleurer le papier renforce cette impression d'étrange étrangeté. Les caractéristiques propres de chaque personnages sont difficiles à distinguer parfois mais celà renforce le sentiment de malaise qui me semble voulu par l'auteur. On ne sait quelquefois plus s'ils sont hommes ou femmes, vivants ou morts.
C'est un manga qui plaira ou déplaira complètement. Pour ma part, j'ai apprécié.
Un très beau recueil qui va au coeur de l'humain, qui dénude les sentiments avec sensibilité et sensualité, comme sait le faire Okazaki. Deux histoires courtes pour commencer qui ont quelque chose de troublant. L'une des hallucinations de Moeko, avec la fille-fleur, est particulièrement troublante. Ensuite, en trois tableaux, les jeux de Kaya et Kumi transpirent la sensualité, l'érotisme.
Le dessin d'Okazaki épouse parfaitement les atmosphères quasiment brumeuses de ces histoires.
Très bon.
Hilda suit Raulès blessé dans un labyrinthe des Enfers. Elle se rappelle des pans de sa vie antérieure et l'amour qui la lie au démon. Mais Asbar veille et se révèle enfin. Si les deux amants se sont retrouvés, la aprtie n'est pas pour autant terminée.
Un bon volume qui apporte des réponses et nous prépare un peu à la fn (encore 2 vol. pour clore la série). Le dessin reste élégant et assez "clampien".
Quelques révélations sur la Pierre du Démon (auxquelles on s’attendait un peu) et un grand nombre de flash-back dans ce volume (la moitié au moins). Chonchu est toujours confronté à Gum pour forger l’épée qui fera de lui le « sauveur » attendu par les Habaeks. Les autres intrigues (Ligue Patriotique, manigances d’Ulfasso) sont complètement oubliées dans ce volume. On sent que la fin de l’histoire approche mais je crains un dénouement particulièrement brusque.
Le concours « Princess Dolls » commence sous les regards inquiets de Yann et Julien. Rubis sera-t-elle à la hauteur et parviendra-t-elle à déjouer les pièges de Camilla ? L’adversité semble lui donner des ailes et bien qu’elle reste assez nunuche, Rubis se débrouille. Le sweety gem n’est pas oublié et on apprend quelques éléments intéressants sur Joffrey et sa sœur.
Un bon tome, toujours frais, avec un peu plus d’épaisseur dans l’intrigue que les précédents. Un bon moment de lecture qui, s’il n’est pas transcendant, est bien divertissant. Un sunjung parfait pour les préados et jeunes ados.
Ce septième volume clôt la série avec humour et fraîcheur. Nous avions quitté Rainef épuisé et déboussolé après un combat avec son double psychique et son prédécesseur. On le retrouve amnésique et reparti dans sa ville natale, laissant un Yclipt perdu et angoissé au palais. Je n’en dis pas plus. Les 2-3 pages finales sont à l’image du héros et de la complicité qu’il a développé avec Yclipt. Les deux histoires bonus (Eris et Kiris) sont pleines d’humour. Un sunjung bien divertissant.
Un très bon tome. Plus que jamais Shaoud s’interroge sur ses sentiments et sur son destin. Doit-il suivre la voie que lui indique son état de sirène (épouser Arona) ou se laisser guider par son cœur (choisir Chaeyeon) ? mais ne doit-il pas avant tout faire payer à Eric le meurtre de son père ? L’histoire de K et Leyana semble se répéter à travers leur fils sans que les sirènes se rendent compte qu’elles ne vont que pousser Shaoud vers cette issue. Le ton est de plus en plus sérieux dans cette histoire revisitée de la Petite Sirène, bien qu’on retrouve quelquefois un peu de la légèreté du début lorsque les jumeaux entrent en scène.
bon démarrage pour cette défunte revue qui mélangeait inédits (le cross-over Conan/Rune de Windsor Smith est excellent) et grands classiques (ici deux épisodes plutot collectors de Thomas et Buscema dont le remake de Tower of the Elephant).
Ce numéro un par lui même est indispensable pour posséder l'intégralité du travail du premier dessinateur de notre cimmérien favori.
Et hop je viens de lire le tome 2, encore meilleur que le premier. Le dessin est toujours aussi impeccable et niveau histoire c'est un ton au dessus on retrouve donc notre heros qui continu sa dangereuse mission. Peu de details sont revelé sur son passé ( les rares sont toutefois tres interressant ). Quel plaisir de voir ces fameux pistolets en action . Ptit plus appreciable c'est une enquete en 1 album. Retour gagnant pour notre jeune cow boy
Report de plusieurs concerts, festivals ou autres évènements à tendance rock-électro. Le dessin n'est pas vraiment beau, mais très énergique et plein de bonnes idées comme le sont les vignettes habituelles de Charlie Hebdo pour lequel bosse Luz.
L'album est très amusant (le genre: comparaison d'un festival électro et d'un festival country), et bourré de petits détails qui montrent que Luz est calé niveau culture musicale (références à Lester Bangs etc...). Plein d'auto-parodie aussi: le genre "je me casse un genou à chaque fois que je danse", "comment je me suis retrouvé avec cette pillule dans la bouche???", ou "ce soir, promis, je bois pas"!
je conseille sans modération!
Bon chaque sport à son manga alors pourquoi pas le foot americain, et le moins que l'on puisse dire c'est que ce tome 1 est une reussite, bon on evite pas les clichés avec le jeune heros un peu naif et chetif mais le reste des personnages sont completement dejanté enfin surtout 1. A lire.
Bon graphiquement c'est pas super faut bien l'avouer mais c'est tellement drole, les gags sont un peu lourd ( mais meilleur que ceux d'arleston :) ) Suivre nos heros dans leur quete ( bein oui perdre son pucelage c'est une grande aventure quand même ) est genial. Un tres bon manga d'humour.
Un second tout aussi violent que le premier, une ligne directrice commence à apparaitre ( jusqu'ici le heros errait sans but reel). Les rapports Mu/Sando evolue de maniere interressante. Les combats sont toujours aussi grandiose surtout quand c'est la belle Sando. Un vrai Anti heros charismatique, des dessins superbe = une tres bonne serie.
La mission au Mugenjo continu, un peu moins de combats et un peu plus d'humour que dans le tome precedent, dommage Lady Poison est rhabillé :) , de nouveaux mechant tous plus balaise les uns que les autres. Une excellente serie.
J'ai longuement hésité entre 4 boules ou 4.5 puis j'ai souhaité modérer mon choix pour laisser la perspective d'albums encore meilleurs.
Tout d'abord ce qui frappe lorsque l'on prend cet album, c'est la qualité de la couverture. Graphiquement très imposante je trouve, la qualité du carton m'a également beaucoup plu (je connais pas le nom mais c'est celle qui laisse des méchantes traces de doigts si on ne s'est pas lavé les mains avant de prendre l'album).
Ensuite, on ouvre l'album et on se retrouve devant un graphisme (je m'exprime à titre d'amateur de BD et non de professionnel) travaillé par ordinateur je pense. Cela rajoute un peu d'analogie au manga (ce qui est assez agréable vu l'histoire de samouraï) tout en restant dans un graphisme "occidental" denué de couleurs flashs désagréables et dans un univers également "européen".
L'aspect sombre des graphismes se lie parfaitement au scénario qui est loin d'être rejouissant pour les héros. Bien sanguinolant sans verser dans l'excès facile, on a l'impression de ressentir chacune des blessures des protagonistes par un choix de couleur idéalement choisi.
En opposition à cet aspect sombre, on trouve des applats colorés plus vivement qui me font personnellement penser à l'impressionisme allemand par moment. On aime ou pas, moi je trouve que cela rajoute de la chaleur, de l'attachement au décor sans lequel on aurait pu trop facilement se distancer de l'action. Bref, un peu de chaleur dans ce monde cruel de brutes...
De ce côté là donc une belle réussite (pour moi on frôle un petit chef-doeuvre).
Du côté de l'histoire générale, la trame de fond est assez classique en ce sens que l'église et l'inquisition inspire le dérouilement de l'histoire.
Maintenant côté scénario, on aurait pu craindre le pire avec un début larmoyant mais très vite (après 7-8 planches), on tourne franchement dans le très bon pour aboutir à l'excellentissime bers les 3/4 de l'album. Beaucoup d'originalité et de mystères qui nous éclairent en partie sur la signification du titre de l'album.
De ce côté là donc on ne peut que se réjouir.
Du côté de l'animation, là je reste pantois devant la scéance d'entraînement. Ce n'est pas joli, c'est tout bonnement exceptionnel. Pour ceux qui apprécient Ninja Scroll (anime japonais de smaurais), ils retourveront le même bonheur.
Le reste de l'album est de très très bonne facture et le montage classique (a contrario des mangas) des cases nous fait apprécier la rapidité des actions comme on eut peut en rêver (cf. l'épisode de l'auberge) dans des combats de ce type. Pour le reste, je pense que le découpage est bien réalisé
Encore une fois, une belle réussite de ce côté-ci.
En conclusion, cet album reflète parfaitement les capacités archétypales de l'allemand: sobre mais diablement efficace et solide comme un roc!!!!
Et si vous hésitez encore, bon sang, découvrez la séance d'entraînement d'Andrej initiée en page 23 et cloturée en page 25.
personnellement, tel Jubeï, je jubile !!!!!
Chef d'oeuvre absolu _indissociable du tome 1_ de Riyoko Ikeda, bien que le dessin soit assez marqué par les années 70, l'histoire est restée un "must".
Histoire du destin croisé de deux jeunes femmes (Marie Antoinette et Oscar) qui n'ont pu choisir leur vie, dans une période troublée de notre Histoire.
A ne manquer sous aucun pretexte!
Troisième volet de la série La Rose de Versailles, il s'agit en réalité d'un Gaiden plutôt que d'une suite.
Les petites histoires sont centrées sur le personnage de Loulou de la Rolancy, nièce d'Oscar de Jarjayes.
Ce livre est destiné à un public plus jeune que les deux premiers volumes.
Mais, ce manga reste indispensable à tout vrai fan de la Rose de Versailles!
Une fois encore Derib nous livre une magnifique fresque des différents problèmes de la jeunesse actuelle. Alcool, drogue, prise de risques, rackett, racisme, tout (ou presque) y passe.
Epaulé par des professionnels du milieu (éducateurs sociaux, profs, médiateurs, etc.), il nous a pondu une BD qui sort du lot de par son réalisme (imaginez que bien des lieux sont réels et que certains protagonistes existent vraiment, même s'ils n'ont pas vécu cette histoire).
À lire de toute urgence avant de faire n'importe quoi. ;)
Un livre bouleversant sur le SIDA.
Un peu fleur bleue au premier abord, il est en fait très complet et très percutant lorsque l'on comprend réellement le sujet central du livre.
La fin est limite terrifiante.
Une fois de plus, Derib nous livre une BD avec de beaux dessins, réalistes et caractéristiques de cet auteur de talent (p. ex: les plis au coins des yeux).
Ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais simplement une très bonen BD, qui a en plus le mérite d'informer, de sensibiliser.
Vous programmez? Vous jouez? Vous faites du traitement de texte? Vous naviguez? Vous avez un vieil ordinateur à la cave (ou au galetas, ça va aussi)? Vous possédez une bête machine à calculer? Une chose se rapprochant de la pascaline? Un boulier?
Alors ce livre est fait pour vous!
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la vie des g33ks (geeks = informaticiens plus ou moins expérimentés, mais passionnés), surtout ceux de la trentaine!
À dévorer sans modération. Plusieurs fois, même.
Y a-t-il encore un superlatif, une éloge ou toute autre sorte de compliment qui n'ait pas été formulé au sujet des Rubrique-à-Brac??
Gotlib y expose le monde dans toute sa splendeur, à travers des yeux d'enfants plus ou moins grands, et toujours avec ce soucis de la vérité et du clin d'oeil au lecteur (ou aux collègues).
Vous ne l'avez pas lu? Il n'est pas trop tard pour combler cette lacune!!
Vraiment une bonne BD, avec enfin des personnages dont le physique n'est pas parfait, avec des dessins sans prétentions mais touchants.
L'histoire est novatrice, ça change de la soupe réchauffée que nous offrent bien trop de livres du genre.
Un régal!
J'attendais beaucoup de cette production en commun du couple Tronchet-Sibran, mais je suis déçu et je n'arrive même pas à bien définir pourquoi.
J'ai un sentiment d'inachevé, peut-être que le dessin de Didier Tronchet n'est pas adapté pour cette histoire (contrairement, de mon point de vue, à "Là-bas"), peut-être que le roman d'Anne Sibran (certes, je ne l'ai pas lu) est trop condensé et ne parvient pas à s'épanouir sous cette forme.
C'est sans doute là le principal problème : la trop grande complicité entre la romancière et le dessinateur (puissent-ils m'excuser). Je m'explique : eux maîtrisent parfaitement le roman, la plupart des lecteurs de la BD, non... Trop de choses sont sous-entendues (voire survolées) et rendent la BD particulièrement difficile à suivre, voire hachée. Peut-être qu'en 2 tomes l'histoire aurait pu prendre toute sa dimension...
C'est dommage.
Agréable lecture d'été: succession de quiproquos et de situations absurdes entre un capitaine joueur épicurien (pas toujours fin) et des pirates traditionnels. Plaira particulièrement aux amateurs de jeux de mots. Décevra ceux qui apprécient un beau graphisme (pauvre Titien) et un scénario plus fouillé.
le dessin d'Hermann me plait vraiment beaucoup et son fils semble être une valeur montante dans le scénario. Bref, ce livre m'a donné beaucoup de plaisir, plus que The Girl From Ipanema. Les couleurs apportent également une touche exceptionnelle à l'histoire. On pourrait appeler ça l'"Hermann touch" ! Je ne suis pas d'accord avec Yvan quand il dit que les "femmes d'Hermann" ne sont pas sensuelles... Certes, elles ne symbolisent pas le top model des années 2000 mais elles sont très féminines, très "généreuses" et en même temps représentent la grande majorité des femmes. La femme d'Hermann est la femme que l'on rencontre dans la rue...
cette BD me laisse un peu sur ma faim... J'aime toujours autant le style d'Hermann mais ce que je n'ai pas trop apprécié ce sont les trop présents pavés qui pourraient être de la voix off dans un film... Il y en a vraiment beaucoup...
Cependant, le scénario est bon. Aurait-il fallu faire 2 tomes histoire de faire moins de pavés de "commentaires" ?
Mon avis sera sur toute la série jusqu'au 9eme tome (dernier paru quoi ! :)).
J'ai bien aimé la premiere saison (on peut dire 8/10 si il existait un volume saison 1 intégrale) mais la deuxieme, surtout le tome 8, c'est décevant, avec des situations loufoques tellement elles sont improbables, personnellement je pense que les persos principaux si ils n'etaient pas juste les héros pour continuer le récit seraient déja réduit en tas d'humus depuis belle lurette !
J'espere que la situation va se redresser dans le tome suivant, et qu'ils auront de nouveaux une "valeur utile" qui puisse logiquement les laisser en vie. Enfin le 9 est moins ridicule (bon j'admets que "ridicule" c'est un peu fort quand meme mais bon c'est l'idée ;) ) que le 8 c'est déja ca de pris.
On pourrais résumer ces 2 tomes à ces simples mots : à mourrir de rire. Oui c'est même ce qui caractérise le mieux cette série. Les personnages sont de plus en plus drôle, surtout Hiruma qui est le plus souvent à l'origine des scènes comiques. Outre l'élève moche, faible se faisant toujours marché dessus qui devient un être extraordinaire (recette très très classique mais qui marche toujours) qu'est Seena c'est plutôt son entourage qui est le plus intéressant. Les match sont également plaisant malgrès la surenchère d'actions spectaculaires.
Un bon volume où l'on en apprend davantage sur le passé de Yongbi quand il était dans les fameuses lances noires. Cependant cet album nous fait nous poser de nombreuses question et notamment : comment le Yongbi des lances noires froid, cruel et implacable a-t-il pu devenir le comique déguelasse de cette histoire.
La première partie est plutôt bonne même si elle aurait mérité davantage de développement le comportements de chacuns des personnages et des plus intéressant et les quiproquos et diverse réactions assez drôle. La seconde partie de ce roman est plutôt décevante et totalement surréaliste. Elle aurait largement pu laissez la place à un plus grand développement de la première histoire.
D'une manière générale il s'agit d'un bon album avec des styles graphiques pour chaque mini histoires différents mais intéressants. Il est également important de noter que chaque style va parfaitement avec la petite histoire qu'il raconte. Même si au feuilletage on peut ne pas accrocher à un style une fois en pleine lecture plus de problème tellement il s'accorde bien avec les propos traités.
D'une manière générale il s'agit d'un bon album.
la série storm est ma série préférée.
lorsque j'étais plus jeune j'ai découvert storm grâce à mon cousin qui en possaidait quelques uns.
J'ai toujours cherché à me procurer la série complète.
Quelques années plus tard j'ai enfin rassemblé tous les ouvrages parus en FRANCE.
Il est a noter que glénat ne les as édités qu'une seule fois d'où la difficultée pour se les procurer (voire même souvent le prix affiché par les vendeur) et de plus l'éditeur français s'est arrêtée au numéro 14 alors qu'elle a continuée en angleterre(j'ai jamais compris pourquoi et eux non plus d'ailleurs suite à un mail que je leur avait envoyé) à quand la parution du numéro 15!!!!!
Scénario :
Cette nouvelle série de Giroud raconte l'histoire de chaque protagoniste de ce "quintett" (ensemble de musicien) et de voir que chacun à ses propres désirs, ses problèmes et sa propre vision des choses.
L'histoire de Dora Mars montre à quel point l'amour peut provoquer des folies et prendre des risques insensés.
Le dessin de Bonin est précis et ne surcharge pas l'histoire. Le dessinateur de Fog s'améliore encore du point de vue graphique et les couleurs utilisées sont lumineuses et transcrivent bien le climat de Grèce.
Giroud nous plonge dans une Grèce dans la première guerre mondiale, période de cette terrible guerre que peu connaisse et qui pourtant eu aussi ces morts.
Ce Tome 1 est une touche fraîche de romantisme qui nous rappelle l'insouciance des premiers amours.
J'ai acheté les 2 premiers et ca ce lit tout seul. Ca m'a fait redécourvrir le théatre. C'est vrai tres réussi, ca se lit tout seul. Je ne suis pas du tout decu de mon achat, et je pense que je vais me laissé tenter par le Le mdecin malgré lui... :p
Je trouve que c'est idée génial pour donner une seconde jeunesse a ces pieces de theatre.
Bravo M. Léturgie ;)
Apres un premier tome prometteur, l'histoire s'enlise un peu, dans ce tome pas d'action au programme, on a seulement le droit à des quiproquos amoureux ( j'ai pas tout compris d'ailleurs ). Sympa mais y manque un peu de punch.
Avis sur les tome 3,4,5 : L'histoire avance reellement avec l'apparition de plein de nouveaux personnage et le debut de Shaman Fight. La grande reussite des personnage est leur look : chaque personnage à un look bien classe. Notre petit heros progresse de facon tres rapide dans ces tomes et les combats s'enchaine pour notre plus grand plaisir. Shonen vraiment sympa.
Pourquoi est-ce que Xavier Dorison n'a-t-il pas participé au scénario du deuxième tome?
Pourquoi est-ce que le deuxième tome est sorti en 2003 et depuis, que dalle?
Tant de pourquoi pour une bd qui n'a ni l'intérêt, ni l'action de Sanctuaire. Pourtant, j'aimerais bien que le troisième tome pointe son nez pour voir que le héros va réaliser son destin de prophète, que la terre sera sauvée et que je pourrai passer à autre chose...
Pas compliqué de resumé ce tome : c'est une succession de combat ou chaque "gentil" se bat contre un mechant.
Un melange de Starship Troopers et de premiere guerre mondiale, de tres beau dessin, une mise en couleur impeccable. Niveau histoire c'est le classique premier tome de presentation mais on ne s'ennuit pas, l'histoire etant assez captivante.
Première évaluation..., le terme "trés bon" est exactement celui qui convient. Clarifions d'entrée de jeu l'affaire, il ne s'agit pas de lire cette BD pour le dessin, ni même le scénario... Mais pour les dialogues.
Sous forme d'histoires minimalistes en 6 cases (voir 5, la première étant une constante de départ "Et hop, Francis se promène à la campagne"), Francis fait ce que moultes d'entre nous souhaiteraient bien pouvoir faire, mais voilà, nous sommes humain (avec une âme) et Francis est un animal (sans âme). Et nous savons tous que notre comportement sur cette bonne vieille terre conditionne le futur de notre âme... Donc Francis le fait pour nous.
Francis est sans limite (et en BD, sans limite c'est sans limite) : il trompe, rejette, abuse, utilise ... les siens sans aucune morale et quand il est mort, il ressuscite, alors pourquoi se priver !!! Do it again and let us go.
A ne pas lire en public (dans le bus bondé par exemple, c'est l'expérience qui parle), vous risquez de ne pas maîtriser un fou rire qui pourrait bien vous prendre par surprise...
bonjour est ce que cet album vaut quelque chose?????Merci!!
C'est beau, c'est même tres tres beau mais niveau histoire c'est vide tres tres vide.
Aprés la lecture de ce tome 1, j'ai l'impression d'être un autiste: tout le monde trouve cela genial ou/et beau ou/et emouvant, et bien moi rien de tout cela....
Je suis pourtant du genre à m'émouvoir devant une belle histoire, mais là je trouve cela ininteressant, plat , il ne se passe rien et surtout la psychologie des personnages simpliste à mon sens... Je passe sur la scéne "hot" qui dure 4 pages, et qui même dans les pires films du genres semblerait ridicule...
Bref, il ne se passe rien, les caractéres semblent ridicules, seule à la derniére bulle, l'arrivée de la guerre semble augurer un peu plus d'interêt pour la suite que je ne lirais pas evidement......
Et c'est reparti pour un autre tour! Après le triangle secret, on recommence à nouveau une série qui pose des pistes mais qui ne donne réponses qu'en petites miettes. Assez soutenu et complexe, on évolue et retrouve la saga où elle terminait dans le tome 7 du Triangle Secret.
Cependant, seul bémol, on aura à attendre jusqu'en 2007 pour avoir le dénouement final et ça, c'est s'ils décident pas de pousser le bouchon encore un peu plus. Toute bonne chose a une fin mais dans le cas présent, on ne semble jamais l'atteindre.
Va-t-il oui ou non ressusciter pour de bon le Christ qu'on en finisse et passe à autre chose?
On demeure cependant. tels de bons et loyaux franc-maçons, fidèles à la série!
On retrouve le côté humour et sensible de Marjane avec ce deuxième opus après la merveilleuse série Persepolis. Oui, il est vrai que si on ne connait pas et qu'on en a pas entendu parlé ou vanter le mérite, l'album ne laisse aucunement présager du bonheur qu'il contient.
Le dessin est naïf mais comme dans Persepolis. tellement percutant.
Un autre one shot pour adulte qui mérite le détour. Du grand art à l'Iranienne!
Cet album reprend les anciens titres du Renaud illustré, déjà publié précédemment chez Delcourt en 86, auxquels se sont rajoutés quelques titres du dernier album. Ce genre d'exercice est tjours délicat et forcément inégal (certaines chansons sont mises en image sans paroles, d'autres simplement reproduites et illustrées). J'ai rarement accroché et cet opus-ci confirme la règle selon laquelle la rencontre des arts ne va pas de soi...
Ma femme, fan de Renaud n'a pas vraiment accroché, non plus.
Thelma et Louise à la poursuite de l'épice dans un univers digne de mad max sont sur un bateau. Si l'une d'elles tombe à l'eau, on verra ses p'tits lolos.
Pour le reste, pas grand chose...
Bel album avec un dessin très spécifique et très fouillé. L'univers qui y est décrit est très bien imaginé et fait cohabiter poésie des dessins avec finesse du scénario, très prenant. Le tout réussit à rester cohérent. Une belle inventivité!
Decevant
La couverture paraissait alléchante et effectivement pour le dessin d'Yves Rodier ( un jeune dessinateur prometteur ) c'est assez reussi. Ca ressemble à du Tillieux ( l' album est préfacé par ça fille )même si c' est moins lisible ( normal Tillieux est imbattable). Mais pour les textes Corteggiani nous avait abitué a bien mieux. Une enquête confuse, des dialogues non rythmés et un dénouement qui ne surprend pas. Bref, une BD très moyenne au niveau du scénario. En ésperant que le tome 2 annocé sur la 4ème de couverture " Les démons de Pertranssac " sera plus rythmé et moins confu...
Ce tome est une agréable surprise, car après avoir critiqué les deux premiers, je n'ai pas de critique à formuler à l'encontre de ce dernier volume. En effet, l'éditeur a fait attention à ne couper ni les dialogues ni les cases. De plus l'histoire se met en place et l'on comprend bien mieux les éléments mis en place dans les volumes précédents. En plus, quelle surprise de lire à la fin de ce volume une explication géo-polotique de cette série, une explication sur les concepts montrés dans la série et la liste des personnages et leurs liens.
Il me semble que ces dernières pages auraient été la bienvenue dès le volume numéro 1. Donc un conseil, si vous attaquez cette série et bien achetez les 3 volumes d'un coup et commencez par les dernières pages d'explications afin de mieux apprécier cette série.
Et selon les dires de l'auteur, cette série est pour l'instant terminée...laissant ainsi une porte ouverte.
Ma deuxième incursion dans l'univers de Marjane Satrapi après Poulet aux prunes (comme quoi, Angougou, ça ouvre les horizons). Récit plus en apparence léger dont on peut se demander ici s'il aurait le même retentissement dans un contexte plus occidental.
Certes, entrer dans le cercle fermé des conversations entre femmes iraniennes dont les hommes sont exclus, procure un certain plaisir voyeuriste, alimenté par les textes crus et les anecdotes souvent sexuelles (et dramatiquement drôles) des membres du cénacle, mais le sujet de fond en perd un peu de son importance. On perçoit que les fameuses broderies sont un enjeu bien plus important que l'évocation qui en est faite dans ce récit. On en ressort amusé, sensibilisé, mais aussi un tantinet fataliste (du moins en ce qiu me concerne).
Un album peut-être plus féminin, aussi, et en soi, c'est déjà assez rare que pour être souligné.
Quel album!!!
Une énigme que l'on suit avec passion, du suspense jusqu'a la dernière page avec un dénouement totalement inattendu. Bref A.D. Duchâteau nous offre un de ses meilleurs scénario : rythmé et incisif.
Quant au dessin dessin de Tibet il est toujours aussi lisible et efficace. Le seul petit bémol : les décors qui, comme dans une partie des albums de la série ne sont pas très présent. En résumé cette B.D. est indispensable à tous ceux qui sont fan des grands classiques franco-belge...
Là tout de suite, je reste mitigé sur la qualité de l'ouvrage à la lecture de ce second opus.
Les 4 premières planches sont de la même trampe que le premier tôme, à savoir d'excellente facture. On y apprend l'élément déclencheur du scénario du second opus.
Ensuite, comment dirais-je, c'est à ce moment-là que les Romains s'empoignèrent...
Les explications sur le "Pourquoi et Comment" étalées sur 18 planches sont pour ainsi dire ... conventionnelles dans le sens où voilà, les faits sont exposés, on suit l'argumentation du scénariste mais rien de transcendant n'emporte le lecteur. On aime ou on aime pas. Moi je ne les trouve pas exceptionnelles. En tous les cas, rien avoir avec la défense d'une thèse théologico-politique, ni même avec un simple article de géopolitique. Enfin bref, du tristement banal.
Ces explications sont également entrecoupées par les scènes d'action qui mènent dorénavant le héros principal, Jalna et son serviteur au lieu de rendez-vous de ce dernier. Mais également par les décisions prises par d'autres protagonistes, eux-mêmes liés au scénario par leur filiation théologico-politique et explicitée dans le "Pourquoi et Comment".
Bref je ne vais pas m'éterniser sur le scénario, il est somme toute middle.
Mais si le scénario pèche un peu, l'animation prend corps et retrouve de la vigueur. Ici, plus de personnages statiques, on vit l'action au plus près de personnages et des héros.
Point positif également, ce sont les graphismes. Là où le dessinateur alternaient belle gueule et tronche de cake, dorénavant on a droit à plus de stabilité dans dessin du perso même sur plusieurs cases consécutives.
Puis y'a pas à dire, l'univers est particulièrement bien représenté.
Choisir un décor post-apocalyptique et réussir à le transposer avec sa touche personnelle, une touche somme toute très réussie, donne un sentiment de réel ancrage à la BD. Moi perso, j'apprécie grandement et j'en redemande.
En conclusion, ce tôme 2 n'est pas une grande réussite (peut-être en partie à cause de la grande qualité du premier album) ni un échec toutefois, et on a la certitude que le tôme 3 ne pourra que venir améliorer cette série qui promet de révéler encore bien d'autres surprises!
Le lecteur se retrouve plongé dans un New-York dévasté dont seuls les gratte-ciels subsistent. Et pour cause, ceux-ci sont habités par des clans, isolés les uns des autres. Mais un danger se rapproche, chaque soir les villages haut-perchés subissent les attaques dévastatrices et meurtrières de pillards. Qui sont-ils, comment apparaissent-ils ? Le village de Jana, Jeltro & leurs deux enfants sera-t-il la cible de ces redoutables meurtriers sanguinaires ?
Outre la présentation des personnages et la mise en place du scénario, ce premier Tôme révèle un rythme haletant, pour ne pas dire frénétique, et une intrigue parsemée de catastrophes, de morts et de suspicions plus machiavéliques les une que les autres.
Figée sur un même gratte-ciel, l'action n'en est que plus haletante car l'auteur utilise savament les notions d'espace (promiscuité, ompossibilité de fuir) et de temps. Mais qu'arrive-t-il à Jalna dans ses rêves, dans sa vie?
Mon Dieu! Mais que se passe-t-il ?
La démesure des lieux, l'incompréhension des populations et la relative faiblesse de celles-ci retranscrivent à merveille la tension palpable dans les communautés claniques. L'atmosphère oppressante est d'ailleurs agrémentée par un savant mélange de mysticisme pseudo religieux justifiant les comportements étranges et le sort injuste ... je n'en dis pas plus.
La fin du premier album renvoie donc au début, qui à son tour permet d'en comprendre ... la fin (du premier tôme) ... qui n'est en fait qu'un début (de l'histoire)...
M'avez-vous suivi ? Non?
Ok, je recommence.
Soyez attentifs à la mise en situation, aux quelques premières cases, elles éclairent sur la suite des événements, mais ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Eclairer ne veut pas dire expliquer.
Le mystère demeure entier. Des cendres renaît le phoenix...
Les graphismes sont quant à eux fins, détaillés mais parfois pas du meilleur goût, surtout en ce qui concerne les visages des sujets. Certaines cases seront très réussies, et les suivantes à contrario totalement loupées à mon sens.
Dans le même ordre d'idée, la gestuelle des personnages laisse présumer à la BD un aspect assez statique. Toutefois, et l'auteur y parvient à merveille, l'utilisation de couleur (à dominante rouge pour l'action réelle et verdâtre-noirâtre pour l'action imaginée) renvoie l'image d'un feu omniprésent et ... omnipotent. A ces personnages relativement figés donc s'oppose une action rythmée et le mouvement incessant du feu, des flammes et de la fumée.
De cette réelle contradiction, l'on peut affirmer, sans aucun doute, que Bajram a fait naître une BD angoissante à l'univers oppressant ... et au mystère tout entier.
Une série à mon sens incontournable ou, à tout le moins, à découvrir en librairie pour se faire un avis propre...
Lanfeust, que ce soit dans le cycle sur Troy ou que ce soit dans les étoiles, est toujours un bonheur à voir évoluer. Doit-on reprocher à Arleston et Tarquin de se faire plaisir ?
Je comprends que certains critiques se voulant hautement qualifiés et au dessus de toutes choses soient un peu déconcertés lorsque le tandem Arleston/Tarquin se réserve toute une page pour placer le jeu de mots sur le "Tahiti douche". Il est vrai que cela surprend un peu. Mais pour cela, ils méritent le respect, non seulement pour leur ingéniosité, mais aussi pour leur audace.
J'espère que cela continuera ainsi.
Voilà un deuxième tome de toute beauté dans lequel l'histoire de nos deux compères pleine d'humanité navigue. Leur aventure les relie encore plus. Ils ont l'air d'être complices depuis toujours, leurs regards échangés en disent plus long qu'un discours. Carême a sûrement pour la première fois de sa vie, faite du rejet des autres, un réel ami.
Ce deuxième tome renforce cette aventure humaine et nous donne, malgré ce que l'on redoute, une note d'espoir. Courez l'acheter car passer à côté de Carême sans le regarder serait une erreur.
C'est beau un auteur dans la pleine maturité de son talent et de sa vie.
Cet album est un exemple parfait d'un art mis au service d'une histoire simple, humaine et touchante.
Il démontre aussi qu'on peut vivre et partager sa mid-life crisis autrement qu'en se regardant le nombril et en s'interrogeant sur sa capacité à être génial en permanence.
Indispensable pour tout amateur d'héroic fantaisy. Les premiers pas d'un des plus grand mythe du genre..........
Indispensable pour tout amateur d'héroic fantaisy. Les premiers pas d'un des plus grand mythe du genre..........
Indispensable pour tout amateur d'héroic fantaisy. Les premiers pas d'un des plus grand mythe du genre..........
Un tome 2 qui monte en intensité et s'arrête au seuil d'un évenement important... que l'on découvrira dans le tome 3!
Vous connaissez l'effet Papillon dans la théorie du chaos? Un battement d'aile de papillon à un endroit de la planète peut théoriquement déclencher un ouragan aux antipodes. En gros, le grain de sable imprévu qui fait tout basculer. On peut donc anticiper un grain de sable dans le T3 et c'est là que c'est intéressant: on arrive pas à l'identifier dans les 2 premiers tomes. La mécanique de la prévision mathématique semble bien rodé. Alors suspense...
Le cycle touche à sa fin. J'ai bien apprécié ce tome, plus historique peut-être que les autres, et moins sexe et sang. On y voit Cortes beaucoup moins flamboyant que dans l'histoire officielle
Nouvel opus de la série Kookaburra universe, avec un retour du sniper Dragan Preko mais avec un graphisme complètement différent signé Ludolullabi, très fortement teinté Manga. Si le dessin est japonisant, l'intrigue pourrait l'être aussi. Ca fait aussi penser à la guerre éternelle. C'est l'histoire d'un guerre menée de manière aveugle, où les forces de l'alliance vont massacrer une planète avant de tomber sur un "os" très inattendu...
Ce 5eme tome conclu très vite une intrigue qui se noue sur les 4 tomes précédents. On a un peu l'impression que l'auteur veut en finir avec la série...
Reste que l'ensemble du cycle est de qualité avec une imagination très féconde, qui rehausse cette fin un peu vite amenée.
une série pas comme les autres, passionnante mais parfois longue (il y a deja plus de 45 tomes!!). On aurait envie d'en savoir plus sur l'intrique principale qui n'avance pas : va t'il retrouver les hommes en noir qui l'ont fait rajeunir et trouver un antidote pour regrandir?
Chaque tome (j'ai lu les 20 premiers tomes), est constitué d'environ trois petites enquêtes de meutres ou autres.
Enfin, c'est un manga à lire, au moins les premiers tomes...
C'est le premier Spirou avec fournier à la manoeuvre. On peut dire sans risques que l'essai est réussi même si la transition a été facilitée par le parrainage de Franquin et son intervention dans certaines cases. Pour ce nouveau cycle, on retrouve d'emblée les personnages-clé de la série: Champignac, Marsu, Zorglub, Zantafio, le Maire de Champignac. Ajoutez-y une trame criminelle et une petite dose d'ésotérisme et vous obtenez une bonne histoire, seulement gâchée par une intervention orale malheureuse du marsupilami, mal amenée et incongrue. Au final, on trouve déjà une marque "fournier" qui trouvera son apogée dans l'Ankou.
La seconde histoire de l'album est touchante, très dans l'esprit des "noëls du journal de spirou".
La troisième histoire, sorte de bande annonce de l'album suivant, si elle part d'une bonne, est, selon moi, confuse.
Trop de personnages, une complexité mal définie et finalement, tout ça pour ça? La trame de base n'est pas mauvaise en soi; un professeur du British Museum vole une stèle qui paraîtrait-il est une porte vers un vaisseau extra-terrestre. Ça débloque cependant en cours de route. Contentez-vous de regarder Raël à la télé...
Un peu ambigüe face à ces deux albums. Je trouve qu'il y a trop de personnages secondaires et que cela fige un peu l'histoire dans une complexité non-nécessaire. On se laisse cependant entraîner après le premier tome et on a réellement envie de savoir ce qui lie Flee(Volunteer) aux vampires. J'espère qu'on aura plus de gras autour de l'os lors de la sortie des tomes subséquents sinon je crois que mon intérêt ira malheureusement en décroissant.
Une performance atypique dans le paysage des auteurs de bédé, celle d'un médecin qui a choisi le crayon pour témoigner de la misère des SDF au quotidien et de leur volonté de conserver leur dignité à travers une soupe chaude. Ni versant ni dans le message moralisateur, ni dans la dénonciation militante, le monologue introspectif du vagabond nous accompagne bien après la dernière page. Et si un jour c'était moi...
Spin off de la série Kid Paddle, cette série basée sur un personnage de jeu vidéo fictif ne décolle pas. A peine quelques sourires sont-ils esquissés à la lecture de certains gags. Finalement, je préfère le barbare à dose homéopathique dans la série mère.