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L'effet de surprise passé ce tome 2 est un peu moins bon que le premier : les enquetes ne sont pas toutes tres bonne même si elles sont souvent drole. Cette serie a beaucoup de point commun avec Eiji en moins violent bien sur : un lyceen pervers mais competent, une jeune femme belle et intelligente et des seconds rôles amusant. Serie sympa mais sans plus.
Graphiquement c'est un pur bijoux , des personnages charismatiques, de jolies filles ( pas trop denudées ). L'histoire est vraiment prenante, ce tome 1 presente à peine les personnages on entre directement dans l'action. Un heros mysterieux et charismatique qui doit proteger une jeune lyceene, les ennemis sont nombreux, les combats tres violent ( notamment un passage ). Tres bonne histoire.
Excellent ! Je crois que je viens de découvrir le même plaisir qu’Obélix quand il croise ses pirates favoris dans un album d’Astérix. Moi, mes pirates favoris, ce sont ceux de Ratafia dorénavant !
L’album commence avec l’entrée en scène extraordinaire de ce petit marin excentrique qui s’annonce comme le nouveau capitaine du navire. Après avoir bluffé l’ancien capitaine Charles aux cartes, il parvient à bluffer l’équipage et le lecteur avec son audace.
Ce petit personnage mystérieux, qui n’est pas intéressé par les trésors mais plus par la littérature, la peinture et la sculpture, va changer la vie de cet équipage qui finira par danser en tutu et par abandonner des trésors.
Cette aventure de pirates humoristique est pourvue de dialogues bourrés de jeux de mots et de finesse. Un mélange d’humour, de finesse, de dérision, de poésie, de critique sociale (avec les fameux Dos Fixes) et de fraîcheur qui se retrouve dans les dialogues ainsi que dans le dessin.
Mélange d’absurdité et de subtilité pour un tome que je ne peux que conseiller !
Cinq types qui s’évadent de leur quotidien, de leurs femmes et de leurs enfants, pour passer quelques jours entre copains dans un chalet, c’est une histoire classique, mais des vacances entre mecs ça donne forcément des grands moments d’hilarité. C'est bien connu: Quand bobonne n’est plus là pour mettre le frein, alors on déconne comme des gamins !
Forcément on rigole en lisant cette tranche de vie et quand on me sert une tranche de vie, pour que ce soit parfait, j’ai un nom qui me traverse l’esprit : Davodeau ! C’est le roi des tranches de vie, des histoires simples, mais humaines ! Son dessin et sa narration s’y prêtent à la perfection et quand il y mêle une intrigue et que le sujet donne naissance à des scènes à mourir de rire on se retrouve en face d’un grand Davodeau.
Voici le premier album d’une série prévue en trois tomes, dont le scénario se situe entre "Le livre de Jack/Sam" et une des aventures de Blake et Mortimer. Si dans le "Le livre de Jack/Sam" tout le monde avait son propre livre retraçant sa vie, ici il n’y qu’un livre, mais dont le contenu à la faculté de s’adapter au lecteur.
Roman, notre jeune héros innocent et fan de Peter Pan, va se retrouver en possession de ce mystérieux livre des destins. A peine aura-t-il redécouvert son passé dans ce livre qui raconte la vie (passée et future) de celui qui le lit, qu’il se le fera dérober par deux étranges hommes en blancs.
La poursuite est lancée et comme Roman n’est apparemment pas le seul à vouloir reconquérir son futur, une aventure palpitante s’annonce à la suite de ce premier tome intrigant.
Matthew va découvrir que c’est souvent une fois privé d’une chose que l’on se rend compte de sa vraie valeur. Etant un homme vivant selon une logique implacable sans place pour l’aléatoire, il ne pourra croire que le meurtre violent de sa femme et de sa fille est dû au hasard. Cette étoile gravée au couteau sur le corps violé de sa fille doit avoir un sens et, tout comme le lecteur, Matthew fera tout pour vite apprendre la vérité.
Le scénario, mélange entre polar sombre et western violent, est excellent, les dialogues habiles et la voix off suit à la perfection la logique et le raisonnement calculé de notre héros, qui ressemble étrangement à Sean Connery. Le dessin de Marini est fabuleux et nous plonge au milieu de cette ville du fin fond de l’Amérique du XIXième siècle, là où les pires énergumènes du Far West font la loi.
D’abord quelques conseils afin de pouvoir acheter cet album :
1. Ne pas regarder la couverture, qui est pour ma part ignoble et n’incite pas du tout à l’achat !
2. Ne pas feuilleter l’album avant de l’acheter car les dessins risquent de vous exploser la rétine et de vous dégoûter.
Impossible de résumer ce one-shot, quoi que le terme one-shoot soit plus approprié pour ce trip qui vous défonce le cerveau et les yeux. Lola est une pute nymphomane aussi vulgaire que les dialogues de cet album, qui s’en sort toujours avec son cul, sur terre tout comme dans l’espace. Elle mettra 64 pages à baiser tout ce qui bouge, votre esprit inclus !
Une fois la BD refermée, ne sachant pas si on vient de percuter un OVNI ou si on sort d’un trip cosmique, on se demande s’il n’aurait pas mieux valu prendre l’aspirine avant la lecture.
Sex, drugs & trash, une BD à ne pas offrir aux enfants à Noël ou à leur communion ! C’est osé, difficile à digérer, mais comme après n’importe quel trip on finit par se dire ... et pourquoi pas une petite suite, ... allez rien qu’une petite ?
Une histoire complètement banale, la vie de tous les jours des locataires d’un immeuble de trois étages, mais tellement bien racontée qu’on prend vraiment plaisir à découvrir cette tranche de voyeurisme.
Tout comme dans le film "Sliver" avec Sharon Stone on va observer la vie de ces locataires, s’amuser de leurs interactions et apprécier surtout les non-dits ! Le dessin de Vanyda, fortement influencé par le dessin manga, se prête parfaitement à la simplicité de l’histoire. Un bon moment de lecture !
Après quelques apparitions furtives dans les deux tomes précédents, le Diable en personne s’installe aux commandes de ce troisième tome. Après avoir transporté Lincoln à New York, il espère en faire le plus grand truand de la ville, mais c’est bien évidemment sans compter sur le caractère contradictoire de Lincoln.
Après Dieu, c’est donc le diable qui va se casser les dents sur le caractère de Lincoln dans un troisième tome que j’ai autant apprécié que les deux premiers.
… et Dieu vit que ça allait mieux avec Lincoln …
Lincoln, en plus de trimballer sa mauvaise humeur et Dieu, doit maintenant également trimballer trois trouducs qui l’appellent chef ! C’est en cette charmante compagnie, qui a tout pour lui déplaire, que Lincoln va commettre des bonnes actions contre son goût.
Les dialogues sont toujours aussi savoureux et l’apparition (également sous sa forme humaine) de Satan ne fait qu’améliorer la situation. De plus, Lincoln a légèrement évolué depuis le premier tome et commence à se sentir impliqué dans ce qu’il fait.
… et puis Dieu créa Lincoln et il vit que ce n’était pas bien du tout !
Lincoln, fils d’une pute et d’un spermatozoïde aléatoire, n’est pas née sous une bonne étoile et il en veut à tout le monde d’avoir une vie de chien. C’est sans but et sans joie, mais non dépourvu d’un esprit affûté, qu’il vagabonde à travers le pays.
Et c’est là que Dieu décide d’intervenir afin de faire découvrir le bonheur à Lincoln. Ayant pris une forme humaine, Dieu devient le compagnon de route de Lincoln, au grand bonheur du lecteur qui ne peut que se réjouir des dialogues exquis qui s’en suivent.
Un scénario très original, des dialogues savoureux, une histoire soutenue, le tout arrosé de cynisme et d’humour : bref une série qui a tout pour plaire ! D’ailleurs, ceux qui apprécient devraient également apprécier la série Ratafia et vice-versa.
Les paroles non réfléchies de Fukamachi concernant la dernière partie de l’ascension folle de Habu vont-elles pousser Habu à faire plus que n’était déjà possible?
Fukamachi frôle la mort, Habu s’éloigne vers le sommet pour l’épilogue de cette magnifique série qui aura au minimum eu le mérite de passionner l’habitant d’un plat pays comme le mien pour l’alpinisme.
Le sommet du neuvième art avait déjà été atteint par Taniguchi dans d’autres séries et voici un nouveau sommet qu’il franchit en compagnie du lecteur et de Habu Jôji!
Le mystère de l’appareil photo du célèbre alpiniste disparu George Mallory, déjà partiellement élucidé dans le tome précédent, donne l’impression de se terminer un peu facilement dans ce tome lorsque Fukamachi se voit remettre l’appareil par Habu.
Le côté polar terminé, le lecteur se retrouve seul avec Habu Jôji, Fukamachi et la face sud de l’Everest pour une ascension quasi impossible. Les Dieux nous laisseront-ils franchir le sommet du monde? La réponse doit impérativement se trouver dans le tome suivant!
S’il y a une chose qu’un japonais ne supporte pas, c’est qu’on lui pique son appareil photo!
Fukamachi retourne donc au Népal, bien décidé de retrouver le mystérieux appareil photo et le mythique grimpeur japonais Habu Jôji, ainsi que son sherpa.
Ce troisième tome s’éloigne donc de la montagne pour plus se diriger vers le polar avec l’enlèvement de Ryôko comme ultime rebondissement. Taniguchi laisse de côté l’alpinisme pour mieux se consacrer aux sentiments des personnages principaux, tout en s’intéressant à la culture népalaise.
Afin de retrouver l'appareil photo de l'alpiniste Mallory disparu sur l'Everest dans les années 20, Fukamashi va d’abord tenter de retracer la vie de celui qui a retrouvé cet appareil : le mystérieux alpiniste japonais Habu Jôji !
Interrogeant tous ceux qui auraient été en contact avec Habu, il découvrira vite la parallèle qui le lie à un autre alpiniste japonais légendaire : Hase Tsuneo.
A l’aide de paysages de montagne impressionnant Taniguchi parvient à décrire avec suspens le combat de ces deux héros face aux sommets du monde et dissipe tout doucement la brume qui entoure le passé de Habu Jôji. Fabuleux !
Un récit sur l’alpinisme. Voilà un sujet qui à la base me passionne autant que le bilboquet ! Et pourtant une fois l’album refermé … heureusement que j’habite en Belgique et qu’il n’y a pas de montagnes dans les parages sinon, ce n’est pas l’envie d’en escalader une qui me manque.
A travers l’histoire d’Habu, Taniguchi nous fait découvrir l’alpinisme et à travers un dessin manga au sommet de son art il nous fait grimper sur le toit du monde. A cet extraordinaire combat de l’homme sur la montagne il mêle une histoire de détective via le photographe Fukamachi qui est bien décidé à élucider un des premiers mystères de l’Himalaya.
Vu la passion que Taniguchi parvient à libérer en moi pour l’alpinisme avec ce premier des cinq tomes, j’en viens presque à redouter qu’il écrive un jour un récit sur le tricot, de peur de me retrouver avec des caleçons en laine, faits maison ! Passionnant !
Voici une histoire classique et prévisible à la trame identique au premier tome : une histoire d’amour sur arrière-plan de guerre en Macédoine.
L’histoire d’amour est cependant différente que dans le premier tome et décrit l’amour fou du lieutenant Alban Méric pour le jeune grec Manolis. On prend également plaisir à retrouver les endroits et les personnages du premier tome et à revivre certains événements à travers le regard d’une autre personne.
Même si l’intrigue se dévoile lentement dans ce deuxième tome, il faut néanmoins souligner que le fait de jouer avec le regard des différents personnages sur les mêmes événements est loin d’être aussi habilement développé que dans la magistral "Berceuse Assassine".
Loin d’être passionnant, cet agréable récit commence tout de même à chatouiller la curiosité du lecteur.
Ce premier tome raconte en toute simplicité l’histoire d’amour de la chanteuse de cabaret Dora Mars, qui accepte d’aller distraire les troupes pendant la guerre en Macédoine afin de retrouver le pilote de l’armée française Armel Flamant, qui ne répond pas à ces lettres.
Comme le titre le laisse présager, ce récit se concentre surtout sur le personnage de Dora Mars, ses sentiments, ses espoirs et ses désillusions. Si cette vision est parfaitement servie par le dessin et les couleurs de Cyril Bonin, le lecteur s’apercevra très vite qu’il doit également se concentrer sur ce que Dora ne raconte pas en détail, car c’est bien autour de Dora Mars qu’il a dû se passer quelque chose.
Deux homes semblent toutefois en savoir plus et le lecteur devra se plonger dans les tomes suivants afin de regrouper tous les éléments nécessaires afin d’élucider le secret qui lie ces cinq destins.
Une nouvelle série d’action où, Narvalo, à la tête d'un commando de mercenaires, est chargé de protéger une plate-forme en pleine mer du Nord : le Zeeland.
Le problème principal de cette nouvelle série est que les mercenaires ne sont pas du tout crédibles avec un Narvalo pas costaud du tout, se faisant facilement avoir par le premier venu et à la tête d’une troupe qui ne l’écoute même pas !
Même si le scénario est plutôt original, cette aventure au rythme soutenu est malheureusement, par moment, également pourvue de dialogues pas trop recherchés.
Après l’apprentissage d’Alan dans le premier tome, le voici qui débarque en France pour participer à la grande guerre. Première constatation: la guerre c’est bien plus relax que l’apprentissage: d’abord deux mois de congé car les armes et véhicules se sont perdus en chemin et puis un ennemi qui reste invisible.
Arrivé après le levé du rideau sur cette guerre, le peloton d’Alan croise le Continent d’Ouest en Est sans rencontrer l’ennemi et surtout sans vraiment connaître son but et sa destination finale. Cette petite balade absurde et désorganisée d’après-guerre montre comment des soldats parviennent à mourir au “combat” sans même rencontrer l’ennemi, comment Alan prend plaisir à voyager à travers l’Europe sur le compte du gouvernement américain et comment on parvient à se faire décorer malgré l’inactivité, l’ennui et l’absence de combat.
Un récit déroutant sur un peloton qui changea le cours de la guerre sans même y participer. Par contre pour suivre un cours de géographie c’est raté, car, comme tout bon américain, le type est incapable de nommer un nom de ville dans toute l’Europe qu’il a traversé.
On suit ici les sauts de mémoire d’un vétéran de la guerre: Alan Ingram Cope. Scrutant sa mémoire parfois défaillante, cet ancien G.I. nous raconte la préparation à la guerre et la formation du soldat Alan sur son sol natal avant de partir à la guerre.
Rien d’extraordinaire ne se passe, c’est tout simplement le récit honnête d’un type qui se voit former au combat avec quelques anecdotes comme toute personne ayant fait son service militaire pourrait vous raconter. Et pourtant on prend un réel plaisir à lire cette pré-aventure d’un type comme les autres qui un jour va partir au combat.
Bienvenue dans le monde cauchemardesque et bourré d’imagination des enfants et en particulier dans celui de la courageuse petite Courtney Crumrin.
Développant son propre monde à l’insu de ses parents, la petite Courtney se découvre lentement une passion pour la sorcellerie et les créatures fantastiques et va se lier d’amitié avec son oncle, qui n’a peut-être pas très bonne réputation dans le cartier mais semble en savoir beaucoup sur les créatures de la nuit.
Un récit accrocheur ou le lecteur se lie d’amitié avec cette petite apprentie sorcière rejetée de tous et rejetant le monde réel au profit de son propre monde bien étrange.
Nostradamus, voulant confier ses fameux secrets décide de donner la tâche de sauver son œuvre aux futurs descendants de trois naufragés qu’il guérit de la peste. Et miracle, les trois descendants, chacun muni d’une opale, se retrouvent et semblent en plus avoir tous les atouts nécessaires pour affronter les dangers qui les guettent. Voilà déjà un beau pied de nez aux chefs de personnel qui essaient de recruter le personnel adéquat de la part de ce cher Nostradamus.
Unis par la dette de leurs parents, nos trois compères (la jeune et belle corsaire Walaya du Martray, un mercenaire suédois Éric Gustavson et un officier proche du cardinal Joachim Pratentis) vont donc devoir affronter les forces du cardinal Richelieu ainsi que la mystérieuse loge "Ars Magna" afin de préserver on ne sait pas trop quoi.
Ce tome d’introduction lance cette nouvelle aventure de Cobeyran dans un contexte historique sans rien dévoiler sur l’intrigue. Bref un premier tome bien commercial qui ne fait pas avancer le schmilblick, mais se laisse lire facilement. Je ne sais pas ce que Nostradamus a prédit pour cette série, mais ce premier tome est à lire sans trop réfléchir !
La trame de ce second tome est identique au premier tome.
On retrouve à nouveau l’agent Graves distribuant aux victimes des valises contenants une arme, 100 cartouches, le nom, l’adresse et les preuves qui accablent ceux qui leur on fait du tort et surtout une garantie d’immunité pour le crime à commettre.
Mais les histoires sont plus recherchées que dans le premier tome de cette série dont le scénario fait penser aux "Enchaînés". On en apprend également plus sur l'agent Graves et lentement le voile se lève sur les mystérieux “Minutemen”.
Les dialogues sont toujours aussi bons et le dessin de Risso irréprochable!
Excellent polar.
Dans ce premier tome, on découvre deux histoires différentes, mais au scénario identique. A chaque fois, le personnage central reçoit une valise du mystérieux agent Graves. Dans cette valise : une arme, 100 cartouches, le nom et l’adresse de la personne qui est la cause de tous leurs malheurs et surtout une garantie d’immunité pour le crime à commettre.
Au niveau scénario, impossible de ne pas faire le lien avec "Les Enchaînés", autre excellente série où les personnages reçoivent également une mallette, une arme et les données des personnes à tuer.
La première histoire, plus classique, se déroule au milieu des gangs. La deuxième est plus raffinée et meilleure, mais malheureusement beaucoup plus courte.
Un comics sans super-héros et un très bon polar à l’histoire très dynamique et aux dialogues excellents.
Un deuxième tome plus mystérieux mais tout aussi captivant et envoûtant que le premier. Deux histoires parallèles s’entremêlent et nous entraînent dans un univers à la limite du rêve et du cauchemar.
Le lecteur, en refermant ce deuxième tome, comme à la sortie d’un rêve, ne comprend pas tout ce qui c’est passé, tout en se rendant compte que nos héros se sont rendus à la ville glauque et que le cauchemar des Duards est terminé.
Un grand récit pour un moment de rêverie plein d’aventures. Le réveil peut néanmoins paraître brutal face à l’incompréhension partielle de ce qu’on vient de rêvasser.
L’histoire commence par un mystérieux chevalier qui se trouve deux compagnons de voyage au bout d’une corde : l’Anicet à la limite de la pendaison et Mariotte, prise au piège les jambes en l’air et le cul à l’air (voir couverture).
Bourgeon nous propulse directement au Moyen-âge grâce à un dessin merveilleux, plein de détails et pourvu d’un jeu de lumière somptueux. Grâce à un vocabulaire et une conjugaison adaptés, auxquels il faut certes d’abord s’habituer, il parvient à nous décaler du monde où nous vivons pour nous plonger dans cette ambiance d’antan et nous servir des dialogues poétiques et chantants.
Les personnages, diamétralement opposés se fondent et se complètent magistralement dans cette aventure qui passe du chevaleresque à l’heroïc fantasy avec maestro. Bref, un excellent premier tome d’une série typique Bourgeon.
Quand le docteur Raoul Faurissier, activiste déjanté de "l'Élan National Français", retrouve sa femme au lit avec un jeune immigré nommé Karim, il n’a plus qu’une chose en tête : la vengeance !
Il s’en suit une cavale pleine de rebondissements à travers toute la France avec d’un côté, Raoul Faurissier et sa bande de fachos et de l’autre Karim le tombeur et Alexandre le fils d’ouvrier italien immigré, vouant une admiration sans borne à Karim.
Pendant 430 pages, le lecteur va se retrouver au milieu de cet incroyable road-movie, se retournant régulièrement pour voir si ce fou de Faurissier ne l’a pas rattrapé ! Les personnages sont tous très bien développés et c’est se liant d’amitié pour Karim et Alexandre que le lecteur va prendre part à cette fantastique course-poursuite.
Les rencontres que font Karim et Alexandre durant leur fuite ne sont pas toutes agréables, mais elles apportent toutes un plus à l’histoire. La narration est très fluide, tout s’emboîte parfaitement et on est vite happé par l’histoire.
Le dessin de Baru est plutôt spéciale mais colle parfaitement à l’histoire. Depuis sa première édition, une nouvelle édition en deux volumes et au format légèrement plus grand est parue dans la collection "Ecritures".
Excellent. Vous verrez ici un style qui est a ma connaissance unique dans le monde de la BD. Ca peut surprendre au debut, mais laissez vous emporter, cette vache la a quelque chose a dire...
best c la meilleure ac trolls dans la brume vraimen je suis fan vivement un
otre tome
cette bd est vraiment délirante les gags s'enchainent et de bon jeux de mot
a lire absolument
vraiment très bien jadore ils me font délirer c vraiment une détente de lire
cette bd vivement la suite
vraimen bien cette bd dessin et scénario assez énigmatique et intriguant on
accroche vite ou on accroche pas premiere bd allemande que je lis et je suis
pa dessus
vivement la suite...
Isabelle fait partie de ces histoires naives que l'on decouvre au detour d'une bibliotheque quand on a l'adolescence fragile et les sentiments a fleur de peau.
Une de ces histoires qui marque et qui fait rever, esperer.
Pas besoin de grandiloquence, cet album est pur comme les sentiments qu'il depeint.
pour ames sensibles :)
L'idée est très chouette, les dessins vraiment bien.
J'ai pris du plaisir à la lire.
Il y a du rythme, de l'humour et le thème abordé donne des frissons.
Alors, vision futuriste ou pas?
Et bien là, même pour les amateurs "à éviter à tout prix"...
Les dessins sont mauvais.
Je n'ai jamais esquissé un sourire.
Comme bien souvent dans cette collection la qualité est une donnée très variable et il est même assez singulier que "poisson pilote" édite la suite que certe je n'ai pas lu et ne compte pas acheter.
Bon quelques tuyaux, si le titre vous a donné du rêve ... je me permets de vous conseiller "les pauvres types de l'espace" de Bouzard dans la même collection (comme ça nous sommes quittes) où là, vous devriez trouver un certain humour peu commun...
Bonne histoire.
J'avais un peu l'appréhension que ce soit un livre écolo à tendance moralisatrice. Pas du tout, le fond sert à mettre en scène une bande de défenseurs des animaux un peu extrêmes, qui ont envie de faire de leur vie quelque chose de sincère et fort. En fait, Ce sont des personnages perdus ou vivant sur le fil du rasoir, et qui se réalisent dans leur action. Au-delà et sur ces personnages, se greffe un mystère qui prend une ampleur bien sérieuse que la lutte contre la vivisection. Le livre reste une présentation, L'histoire peut encore s'orienter d'une multitude de façon, même si elle est partie sur les chapeaux de roue. Espérons une suite sur cette lancée.
Excellente BD faisant voyager aux travers des mondes enchanteurs des légendes bretonnes.
Dessin très beau et scénario enlevé font de cette BD une jolie nouveauté pour la rentrée.
Les persos sont à la fois terribles et drôles, l'aventure est omniprésente.
Ce tome reste une présentation de la série comme un peu trop souvent. mais bon, ...
Cela donne envie de se plonger dans toute la série existante autour de ces contes et légendes.
Une série qui fait penser à [i][b]Monsieur Jean[/b][/i], dont l'ambiance est actuelle, pleine de fraîcheur. On suit les petits soucis et les bons moments d'une bande d'amis. Les personnages sont nombreux et on peut facilement s'identifier à l'un d'entre eux. On peut regretter de ne pas s'attacher plus à l'histoire de l'un ou l'autre des perso; ainsi que le fait que tous paraissent bien sympas (un peu "tout le mond est beau, tout le monde est gentil"). Ce sont les seuls petites choses qui me plaisent moins.
Niveau dessin, pas de problème à partir du moment où on s'est habitué aux nez que faits J-Ph. Peyraud.
Autre détail : dommage que les titres des 2 derniers albums aient complètement changé. j'aimais bien le lien entre le titre de la série et celui du tome : "Premières chaleurs... t. 1... du mois de mai", etc.
Un manga qui retrace le quotidien et les relations entre les personnages lors que chacune de leur rencontre, dans la rue, au lycée, au combini. Il y a beaucoup de poésie, de douceur, d'émotion dans ce titre. Tant les sentiments amoureux ou amicaux que les questionnements des personnages sur leur avenir professionnel interpellent le lecteur et le mettent face à des choses qu'il connaît ou a connu. On a vraiment envie de connaître l'évolution de Rikuo, Haru, Shinako.
Le dessin, très particulier, de Kei Toume donne encore de la profondeur à l'histoire, la transporte, la grave dans nos yeux, par son trait incisif.
Une très bonne surprise ; à découvrir.
Je croyais que nous avions affaire ici à 6 tomes alors qu'il n'en est rien. Les tomes de Fog viennent par deux.
Il est vrai que le dessin est assez rustre mais accomode très bien le Londres victorien. Les couleurs délavées également.
Je suis curieuse de lire les quatre autres tomes. Comme quoi, il n'y a pas seulement Sherlock qui peut enquêter et livrer de bonnes histoires...
Assez conventionnelle comme bd excepté le fait que ce tome situe l'action à Montréal, ville dans laquelle je vis. Le chauvinisme l'emporte alors sur la raison et j'ai bien aimé. Rien qui ne passera à l'histoire mais une bonne demi-heure de divertissement.
Il est très difficile de reconnaître les personnages; le premier tome sert à placer l'intrigue et les personnages mais est en même temps très complexe. On verra dans le tome suivant mais au risque de me faire tirer des tomates, je n'appuie pas les autres critiques dithyrambiques, je demeure neutre en attendant la suite...
un veritable chef d'oeuvre il ya tout dans ce manga!!!!!!!
series pour ce divertir certain volume arrive a
7 d'autres a 3.
alors la ! c'etait nul.1 volume heureusement pour mon argent moi je suis arrivé au bout mais ma soeur a decroche au 2 chapitre bref a evité a tout prix
tiens on se retrouve mais la je suis presque de ton avis.c'est un manga certes beaux mais niais et tchii me tape sur le systeme nerveux:HIDEKIIIIII!!!!!!!
de toute facon clamp n'a jamais etait mes auteurs preferer et meme loin de la.
bof c'est joli ,mignon mais c'est tout. je trouve que ce ne sert a rien de l'avoir dans sa collection .mais bon ca reste un manga maarant et interessant pour les plus petit!!!!!!!
un manga tres marrant avec de beau dessin sans oublier de l'action.
ce manga est pas mal mais j'ai preferer le film car il etait moins choquant pour moi.
la couverture est trop belle ce manga est interessant mais il ne fait pas partit de mes preferer
desole mais je me suis tromper de bouton bref j'augmante d'un point parce que balmung est bien dessiné.
c'est beau mais le probleme c'est que dans les manga de yuu watase ont retrouve toujours les meme base.un rival qui a la fin abandonne et l'heroine aime le brun. dans ce genre elle a deja fait mieux imadoki ou ayashi no ceres
il a 3 point sur 5 mais on a oublier de preciser c'est 1 pour chaque volume comme il yen a 3 vous avez le resultat.enfin je trouve par contre que les dessins sont beaux
Je viens de terminer le tome trois... Quelle fin! On en redemande à la seconde
où on se rend compte que l'album est terminé. Vite, il faut immédiatement que
je me procure le tome 4. L'histoire est fabuleuse. Loisel est maître de son art
et de son monde, où créatures, sirènes, pirates, indiens, enfants et imaginaire
se rencontre. Bravo!
Déception est le mot qui me viendrait à l'issue de cet album. J'avais aimé Bluehope du même auteur (je n'ai lu que les 2 premiers pour l'instant), mais là, je ne trouve pas ça bon au niveau scénario. Ca vise peut-être un public plus jeune, mais la psychologie des personnages est mauvaise, très peu fouillée, et d'une manière générale, on dirait les perso sortis tout droit de la série "1er baiser..". Bref, c'est pas bon. Les séquences fantastiques tombent à plat, on n'en voit pas l'utilité, la finalité... Bref, je n'ai même pas envie de connaître la suite, les questions en suspens me désintéressent complètement... Le dessin est plutôt pas mal, pas terrible non plus. On ne comprend rien aux scènes fantastiques (dessin et scenar finalement), dont la seule utilité semble être de meubler 3 ou 4 pages.. Les couleurs plutôt bien surtout dans l'orangé (elles sont très bien dans les 2 premières pages..). Bref, c'est décevant...
Mon coup de coeur de l'année derniére... Un scénario, ou plutot un concept que j'ai trouvé trés interessant, un bon developpement (malgré encore une fois une scene de poursuite sur 2 page completement inutile....).
Bref, une série extrémement prometteuse,cela dit, j'ai un peu peur que par la suite l'auteur ne maintienne pas le niveau......
Niveau dessin, c'est acceptable,plutot pas trop mal, avec de bonnes couleurs mais avec un bemol; un gros probléme dans le dessin du visage de l'heroine(cf la couverture par ex), avec un nez trés spécial....
Bref, esperons qu'entre toutes ses séries qui sortent mensuellement, Morvan ait pris le temps de bien travailler son scénar, et évite le baclage....
Sinon merci à lui pour cet album..
Tout simplement le meilleur manga que j'ai lu jusqu'a présent. Il ne faut pas être allergique à la violence, mais passé ce cap, on trouve une histoire fantastisque.
Un tome 3 encore meilleur que le precedent. L'action est omnipresente, le scenario est solide avec plein de surprise au rendez vous. Un City Hunter en pleine forme. INDISPENSABLE.
Une ptite histoire bien sympathique, dans l'esprit c'est un buffy un peu plus trash. Les dessins sont un peu caricaturaux mais sont parfait pour ce type de recit. Pour l'histoire c'est pas super original : une ado qui se transforme en loup garou. Action et humour sont au rendez-vous. J'espere qu'on aura le droit à une suite.
De nouveaux perso entre en scene tous avec des tetes de killer, le debut des hostilité va commencer, une chose est sure sa va saigner. Le debut de l'album est assez marrant avec les tests physique de Baki. Fan de baston c'est une serie pour vous sinon passez votre chemin. Moi j'adore en tout cas.
C'est d'un ennui... c'est long... il faut du courage pour aller au bout. Le dessin est absolument quelconque. Heureusement qu'il y a quelques râres touches d'humour pour éviter la nullité absolue. Je n'ai rien à rajouter, tout est dit.
Je viens de lire ce second tome, et franchement je le trouve très bon.
Le dessin est sublime (voir par exemple le paysage en toute dernière page. Whaaa..), l'histoire bien ficelée et moins brouillon que le premier tome (j'ai pas dit qu'il était pas bien, mais quand même un peu brouillon).
Bref, j'ai adoré. Ca vaut beaucoup plus que la très grande majorité des BDs qui sortent, souvent écrites par des gens plus connus.
Un album N&B absolument splendide.
Une folle épopée dans laquelle le héros malgré lui prend petit à petit conscience des destinées de peuples, de tout un monde dont il a dorénavant la responsabilité. L'illumination & la révélation sont rapidement apparues au petit chninkel, mais la route de la réussite est longue et parsemée d'embûches...
Agrémenté de graphismes sobres mais sompteux et doté d'un scénario dont Van Hamme a le secret, cet one-shot est une véritable réussite qu'il est impératif de connaître, ou de faire connaître.
Je n'ai pas mis 10/10 car la perfection n'est pas de ce monde. Mais l'appellation chef d'oeuvre (pour la note de 10/10) convient comme un gant à cet album tout bonnement époustouflant.
Comme quoi il n'est pas nécessaire de se surpasser pour produire de la qualité, il suffit seulement d'exprimer le meilleur de soi-même, et c'est en cela que Van Hamme & Rosinski excellent.
Merci messieurs pour ce pur plaisir de lecture.
Tout a été dit; le tome 2 a été fait en 1999. En 2005, peut-on espérer encore une suite?
Émotion, émotion et émotion. Une bd qui brille par les sensations qu'elle procure. Une vrai montagne russe. Chapeau!
Ces derniers temps, je ne trouve plus beaucoup de plaisir à lire de la BD franco-belge commerciale "adulte". Je trouve par contre beaucoup plus de qualité dans certaines séries dites pour "enfants", qui ne baissent pas de niveau. Celle-ci en est le parfait exemple. Je dirais même plus, elle bonifie avec les années et avec l'apport (pour un album) d'un nouveau scénariste. Captant l'essence de la série (l'amitié, l'école, une saine nostalgie pleine d'ambiance, etc...), Sergio Salma a réussi à la transcender pour y apporter un renouveau intéressant. En effet, outre une modernisation des dialogues, il relance tout à fait l'intrigue, en incorporant un nouveau personnage central (la fiancée de papa), qui ouvre assurément de nouvelles portes pour les futures aventures de Jojo. Contrairement à Cédric/Kid Paddle/Petit Spirou, voici une série qui évolue dans le bon sens. Enfin, que dire du graphisme au top de Geerts, qui illustre parfaitement cette histoire, tirant un profit maximum de l'utilisation de la couleur directe (nouvelle technique qu'il utilise depuis le précédent album). Une belle réussite, qui donne envie de lire la suite...
Mouai...............
Je m'attendais à la BD de la décennie, vue son incroyable popularité.
Qu'elle déception!!!!!
Un très bon album, un peu supérieur au premier dans lequel l'histoire se mettait en place.
Nous suivons bien sûr l'inénarrable Pixie, le drôle Ael et la mignonne Elvynn dans leur quête pour empêcher Ael de rêver. Mais le scénariste n'oublie pas les intrigues du père d'Ael ou celle d'Ankou. Il introduit également de nouveaux personnages, en particulier plusieurs ravissantes mais dangeureuses jeunes femmes.
M. Mariolle nous a bien sûr ménagé quelques excellents moments de délires et d'humour, bien retranscrits par Aurore. Et c'est avec plaisir qu'on retrouve dans cette série un style manga.
Les dessins d'Aurore sont toujours aussi beaux et cette fois-ci elle nous offre quelques verts luxuriants et des couleurs colorées et gaies ce qui tranche avec les couleurs plus sombres du 1er tome. J'aime particulièrement les vêtements qu'elle crée pour les jeunes femmes de cet album et le côté très vivace de son dessin.
Un seul petit chagrin : M. Mariolle, vous êtes cruel avec le lecteur, en lui donnant à lire une fin qui ne peut que donner une furieuse envie d'avoir le t. 3 rapidement !!!
Avec cet album, retour dans l'univers du Pays des Merveilles, librement adapté des romans de Lewis Caroll, et cette fois-ci dans le royaume de Coeur où règne une reine magnifique qui semble être au centre des évènements qui adviennent à Alice. Avec Twyst et le Chat, la jeune fille cherche à combler les parties perdues du livre récupéré par la Reine de Pique. Beaucoup d'évènements et de révélations dans ce tome ; ainsi qu'une fin qui donne envie de connaître la suite.
De beaux dessins également même si les couleurs semblent parfois un peu saturées.
Un trs bon moment de lecture.
Sur l'histoire, pas grand chose à en dire puisque c'est une pièce de Molière. Côté dessin et mise en scène, d'aucun peuvent ne pas apprécier la décoration minimaliste. Je trouve pour ma part que celà fait justement très théâtre. La pièce dans laquelle se déroule toute l'action se trouve à l'étage d'une maison bourgeoise. C'est une antichambre où on reçoit, il n'y a donc pas beaucoup de meubles d'où le côté très dépouillé. Par ailleurs le plancher donne vraiment l'impression qu'on se trouve sur les planches du théâtre. Pour le dessin, il n'est pas mal.
Bref, j'ai apprécié.
Dumontheuil a un univers très...LSD! Ce n'est vraiment pas un artiste qui pourra plaire à la majorité car ses histoires assez déjantées, demeurent tout ce qu'il y a de plus éclatées.
Ici, si ce n'était de la fin étrange, j'aurais poussé un peu plus la note. Pour ceux qui aiment lire des trucs originaux, farfelus, mais qui passent quand même un message sociétaire.
"Qui a tué l'idiot?" demeure pour moi sa meilleure oeuvre.
Tout le reste est à venir et j'attends impatiemment la suite.
Tetsurô et Maetel poursuivent leur voyage vers la planète où on donne des corps robotisés gratuitement. Chaque planète où le train s'arrête est l'occasion d'une aventure et d'une réflexion sur l'homme, sur la technologie ou sur les préjugés et les sentiments (ou leur absence).
Toutes ces aventures et la leçon qui en est retirée alimentent les doutes de Tetsurô sur l'utilité d'avoir un corps robotisé.
Ce qui me plaît le plus dans cette série, ce sont les réflexions diverses qu'elle nous offre.
en un mot excellent.
humour sentiment super personnages action au rendez vous a ne pas rater.
Love hina, série culte??laissez moi rire.C'est sur que si votre sex appeal ou vos envie cochone prennent le dessus alors la n'esitez pas!!!moi je trouve sa grotesque et d'un tres mauvais gout!!!enfin comme on dit chacun ses gouts.
PS:allez plutot voir des trucs style naruto inu-yasha ou encore saiyuki.
franchement j'ai lu ce manga et c'est vraiment pas terrible.certes les personnages sont beaux mais c'est tout le but de cette histoire est de montrer des filles denudé. le personnage principale tombe est voit une fille nu on le frappe on le critique et ces repartit pour un tour.
Ce mangas est trop fort!humour, amour et tristesse se mari!!!!G vu l'animé avant de le lire et serieux profités en sa vaut le coup!!!On se marre tout le temp mais sa nous fait réfléchir kan meme.KYOU je te trouve tro bô!!!
PS:Ceux qui ne l'aime pa ne sont pa obligé de le dénigrer de cette façon!
je ne suis absolument pas d'accord avec l'avis son goku ! je trouve que fruits basket est une serie culte a lire imperativement.elle est marrante rempli de bon sentiment (ce qui manque)avec des personnages trop craquant mais elle peut aussi etre triste et sombre.
quand j'ai envie de me detendre et de rigoler je prends cette series sinon pour l'action je prend inu yasha et naruto. BREF A NE PAS RATER!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Comme tout le monde j'ai du mal avec le dessin, pourtant la couverture est super belle dommage que le reste ne soit pas dans le même style. Niveau histoire c'est sympa, Elektra en irak pourquoi pas. La fin est plutot surprenante.
Ce tôme propose l'affrontement entre les Huns et les Romains, entre Attila et Flavia....
Les graphismes sont toujours aussi splendides, un point qu'il est toujours essentiel de souligner. Le scénario quand à lui ne se livre pas encore entièrement et laisse des incertitudes pour le tome suivant.
On adore Attila dont l'obsessionnelle bravoure guerrière (identique à celle de Végéta dans l'anime Dragon Ball) lui forge un caractère de plus en plus destructeur. Ce seul personnage donne toute son ampleur à cette série décidément bien menée !!!
Non franchement, je cherche mais je ne vois pas de points négatifs.
Il s'agit là d'une série incontournable dans le genre!!!
Tellement beau au niveau dessin mais tellement vide au niveau scenario.
C'est dans l'esprit de " New Mutants", ptit one shot sympa avec Jubilé en vedette. Pas de super mechants dans cette album, on s'occupe plus des problemes d'ado de jubilé. Sympa à lire en plus le dessin est plutôt bon.
Des jolies filles à tres forte pointrine ( fort bien dessiné )qui se battent voila pour le scenario, c'est un peu pauvre quand même.
Ce tome est presque entierrement dedié à l'entrainement du heros. Une ptite reference sympa à Le Banner ( je sais pas si c'est propre à la version francaise ). Le tournoi commence dans ce tome et les adversaires de Yonggi sont tous plus fort les uns que les autres. Toujours divertissant.
Une idée de depart qui rappelle le film avec D. Whasington et A. Jolie : Bone Collector : c'est à dire un flic qui reste chez lui et une femme flic sur le terrain. Nos 2 inspecteurs sont donc sur les traces d'un serial killer : l'enquete est bien mené, les rapports entre les 2 flics sont interressant. Un bon debut de serie pour une serie policier sympathique.
Un tome vraiment pas terrible : 100 pages inutile avec une ptite histoire sans interets avec Horohoro et un ours : c'est bourré de cliché ( respecton la nature et patati et patata ... ) heureusement la suite devient plus interressante avec le debut d'un combat entre le ringard Ryu et Dracula.
Cet opus diffère totalement des deux premiers en cela qu'il met l'accent principalement sur l'Orbis et Flavia. On quitte donc la barbarie sauvage des Huns et de leur chef Attila pour se concentrer sur l'Orbis, ses complots politiques et la préparation de Flavia... je n'en dis pas plus.
Il n'est donc plus question ici de sauvages batailles, même si de sanguinolents sacrifices parsèment ça et là le scénario, mais bien de mise en place tacticienne. Le calme avant la bataille devrais-je dire.
Une fois de plus la qualité du scénario concocté par Valérie Mangin nous immerge totalement dans ce troisième tome avec un seul regret cependant, les gamineries du jeune empereur Valentinien III. On apprécie ou pas, personnellement, j'y vois là une baisse dans la qualité du récit.
Hormis ce fait, les graphismes sont toujours d'aussi belles factures, même si de temps à autres, selon le plan choisi, certains visages donnent l'impression de ne plus correspondre. Ce point ne m'avait pas heurté dans les deux premiers tomes, dans celui-ci j'en ai fait l'amère constat. Rien de scandaleux toutefois rassurez-vous.
Je dirais que cette cote plus faible s'explique par un fait entièrement imputable aux auteurs: Les deux premiers tomes d'excellente facture ont immergé le lecteur dans un monde cruel et barbare, dans lesquels le sang coule à flot tant dans les veines des Huns, que sur le corps des autres...
Replonger dans un album où la tactique prédomine sur l'action revient à priver le lecteur de ses instincts les plus primaires : celui du besoin d'être mauvais, celui d'endosser le rôle du tueur aux mains propres, du spectateur vicieux.
Oui si Valérie Mangin arrive à combler nos désirs de cruauté dans les deux premiers tomes, il est un fait que l'on en redemande à la fin du troisième opus. Mais pour nous faire patienter, la scénariste, par sa dernière planche, a réussi à faire vaciller nos quelques certitudes établies tuot au long des 2 tomes!
LA bataille risque d'être grandiose, vivement le tome 4!!!
Apres un tome 1 qui m'avait moyennement emballé, ce tome 2 me reconcilie avec Ryo :ok: , l'histoire devient vraiment tres bonne. Les differents personnages sont tous bien developpé, City hunter egal à lui même, de l'action, de l'humour et un peu de suspens = une tres bonne serie.
Sympa sans plus, des dessins pas terrible et une histoire tres moyenne poutant l'idée de base est sympa mais le heros est tellement debile que sa devient vite lourd et pas tres drole.
Lecture de mon premier DD, finalement c'est pas si mal, j'avais peur de pas aimé ( surement à cause du super film avec Ben Affleck ). J'ai donc decouvert l'univers de daredevil : c'est plutot sympa. L'histoire est assez sympa, Matt Murdock est un personnage vraiment tourmenté. Le dessin de Quesada est vraiment bon je trouve.
Ce tome 3 est clairement le meilleur tome depuis le debut, l'histoire devient reellement interressante avec l'apparition de nouveaux personnages ( l'ecuyer qui amene un peu d'humour, et surtout des gros mechant bien balaise ). Le passé de Mun Sun est un peu expliqué. Sando quand à elle est fidele à elle même c'est à dire parfaite :ok:
Bienvenue dans l'univers inimitable de Foerster !!!
Foerster, dont le talent n'est à mon avis pas assez reconnu, nous livre ici un de ses albums les plus réussi .Si son dessin peut en rebuter certains au premier abord, il sert par son originalité une histoire empreinte de fantastique, de peurs d'enfance et habités de personnages tourmentés ...On retrouve l'atmosphère noire des albums de fuide glacial (" LA RAISON DU PLUS MORT", "HANTONS SOUS LA PLUIE",etc ), un héros marin/aventurier qui rappelle "STARBUCK" (autre série de Foerster, superbe!!!) et un humour second degré très percutant .A noter les nombreuses références à d'autres contes ou mythes ...
Si Foerster avait un peu perdu sa marque de fabrique avec la série "SILEX FILES", il arrive avec "GUEULE DE BOIS" à un excellent compromis qui ravit ses puristes et rend accessible son oeuvre au plus grand nombre ...
Ce sera peut être le début du succès qu'il mérite ...(croisons les doigts) .
Si cet album arrive à vous convaincre essayez donc ensuite "STYX" paru chez Le Lombard en 1995 avec Andreas au scénario, vous ne serez pas décus ...
Manque cruellement de tout, un scenario ringard servit par un dessin pas terrible.
Le tome 2 poursuit dans la même lignée que son prédécesseur.
Le scénario est d'aussi grande qualité que le précédent. Certains voiles sont levés mais sans relâche l'intrigue se poursuit, offrant des voies pour le moins surprenantes.
La Déesse Kerka est ici au centre de l'album. Sa relation avec Attila se complexifie davantage, celles avec ses parents se clarifie. Les dés ont été jetés, mais par qui et pourquoi...
Les graphismes sont tout toujours aussi somptueux. Rien à redire de ce côté là.
Ce second opus relance une fois de plus l'action avec une fin très prometteuse. Au final même s'il ressort de ce volet une impression d'action plus lente, la guerre est belle et bien lancée, plus sanguinolante que jamais.
L'heure est aux choix stratégiques, voyons ce que recèle le tôme 3...
Et voilà l'album qui clot le premier cycle de la meilleure série du label série B de Delcourt, label lancé il y a 10 ans (on le saura, vu le matraquage marketing qu'il y a derrière !!). Cet album répond à de nombreuses questions qui restaient sans réponse jusqu'à présent. On comprend mieux ce qui a poussé le clone d'Harrison Banks à prendre la place de ce dernier, sans aucun scrupule : l'amour, toujours l'amour! Il y a énormément d'action dans cet album, on ne s'ennuie jamais à sa lecture. Ca traînait en longueur, depuis 2 ou 3 albums, mais là pas de temps mort, que du bon ! Mais je tire surtout mon chapeau au dessinateur et aux coloristes qui ont réalisé un travail magnifique. J'aime beaucoup le passage où Harrison et celle qui cherche à l'éliminer depuis le début, pour nourrir son fils, se retrouvent dans un jeu obscène à la running man, et doivent éviter une multitude de pièges pour sauver leur peau. Les dessins sont très réussis, très rythmés. Une série dépaysante, dont je comprends le succès tant il est mérité.
Voici une magnifique surprise. Cette BD est une véritable réussite.
Le scénario est travaillé, finement ciselé avec des retournements de situations, des allliances ... rompues etc etc. Transposer la lutte entre les Huns et les Romains dans un environnement intergalactique fonctionne à merveille.
Et dès l'apparition de la Déesse Kerka (seul point plus faible du libre à mon avis mais on oublie bien vite ce détail tant l'action est haletante), on entre dans le vif du sujet pour ne plus le lâcher tout le long de l'album.
Les graphismes sont tout bonnement beaux. Très beaux même.
Ce premier tome propose plus qu'une simple découverte des différents instigateurs de l'épopée.
Il s'agit là d'une guerre sans merci dont la première bataille meurtrière et sanglante vient de se terminer, pour en appeler d'autres encore bien plus dévastatrices...
L'histoire commence étrangement, on ne sais pas trop vers quoi ça nous entraine, même si on se doute un peu de ce dont il s'agit.
C'est bourré de références. J'ai plusieurs fois éclaté de rire.
Le dessin est efficace sans être parfait, mais l'histoire est tout à fait correcte, pour ce qui partait comme un spoof.
INDENIABLEMENT LE MEILLEUR CHAUZY.
A ses début, Chauzy flirta avec le roman noir chez futuropolis. Puis ayant grandi, il eu assez de recul pour taquiner l'autodérision ("parano", "l'âge ingrat"), où l'on sentait un certain vécu. Enfin, récemment Chauzy s'est lancé dans le policier dans un premier temps en demeurant fidèle à un certain sens de l'humour ("Clara"), mais cela de mon point de vue gâchait le potentiel qui se révèle enfin, le mélange des genres n'était pas parfait. Puis il s'est attaqué au polar pur et dur avec plusieurs collaborations avec "Jonquet".
Dans "rouge est ma couleur", il réalise avec Villard un somptueux polar. J'ai toujours considéré que bien souvent les meilleurs BD étaient celles en 1 tome (voir 2 ou 3 maximum... si nécessaire). Mais encore ne faut-il pas se rater dans cet exercice et c'est le cas. Le scénario tient parfaitement debout et s'enchaîne parfaitement. Côté dessin, il s'accomode parfaitement à cette ambiance sordide nord-parisienne (comme c'était déjà le cas pour "la vie de ma mère" avec Jonquet).
BREF, UN EXCELLENT POLAR EN BD - ce qui est assez râre pour mériter notre attention. Devrait plaire aux amateurs de genre.
MMMh Comme les graphismes sont somptueux! Une petite merveille. Mais que c'est beau!!!
Séra s'est surpassé pour cet album. On quitte vraiment le réalisme pour entrer de plein pied dans un graphisme particulier. Les couleurs de fond sont léchées et d'une douceur extrême tandis que les volumes, les personnages, les objets et les décors prennent vie par des contours noirs. Cet album semble avoir été réalisé en deux passes : la première par des aplats de couleurs puis la seconde par la mise en forme des volumes.
Le moins que l'on puisse dire c'est que le résultat est des plus détonant! On passe de planches sublimes en planches magnifiques. Ou alors, malheureusement, le lecteur est rebuté par ces dessins quelque peu et délaisse un petit bijou.
Le montage est assez agréable en cela qu'il diffère souvent au gré des pages, donc la lecture est dynamique, paradoxalement au cases qui sont assez statique et qui confère à l’ambiance déjà mystérieuse une dose supplémentaire d’angoisse.
Côté scénario, on commence par une situation tendue entre un fils et son père qui conduit ce dernier au bord ... du suicide. Mais au lieu de perdre la vie, c'est plutôt la tête que le héros va perdre tout le long de son périple.
Farman, héros malgré lui, va donc perdre ses repaires dans un nuage de fumée verte pour atterrir... nul ne le sait! Ni lui ni les protagonistes de l'aventure ne le savent. La seule certitude que Farman défend bec et ongle est celle d'avancer, de progresser dans ces lieux mystérieux et inconnus.
Au fur et à mesure des planches plus belles les unes que les autres, les questions s'amoncellent dans le cerveau du héros perdu ainsi que dans ceux de ces compagnons d’infortune.
Une mise en situation détonante pour une série prévue en trois albums.
Ne passez pas à côté d’un petit chef-d’œuvre…
Tout débute par la vision d'un pape, et quel pape! Prêt à tout pour une immortalité illusoire. Au point qu'il faille lui trouver un successeur, donc organiser un conclave ...
La trame de l'histoire est connue.
Le scénario de Jorodowski fonctionne à merveille et est bien mené. A l'intrigue principale viennent s'ajouter des complots, des traîtrises et des jeux de séduction. L'action est trépidante et le montage des cases est bien réalisé, classique mais très fonctionnel dans la réussite.
A l'image des corps dessinés superbement (trop superbement on en viendrait presque à regretter cette époque), nos âmes sont choquées par une telle débauche de luxure et de pouvoir. Les graphismes restent fidèles à Manara, on aime ou pas, mais quand on aime, on ne s'en lasse pas. Si bien que ... non je ne peux pas en parler sans lever un bout du voile ... si bien que la fin du Tome 1 révèle bien des surprises ... très surprenantes.
Bref, vous découvrirez dans ce Tome 1 la famille Borgia, ses opposants, des mœurs décidément bien d’une autre époque, encore quoique…
Une lecture à conseiller malgré l’attente d’un second tome pour s’assurer d’un très bon lancement de la série !
Un merveilleux potentiel totalement inexploité. On n'apprend rien sur cette
fabuleuse maison qu'un dépliant pour touristes ne nous montrerait. L'intrique est
sotte et plate et le dessin baclé sur de nombreuses planches. Un produit
purement commercial et un joli piège à gogos.
pas mal, pas mal ce tome 4.
l'album est très dense (beaucoup à lire), et il reste après la dernière page encore une petite pointe d'énigme, avec une fin disons ouverte, mais on apprend beaucoup de choses et les couleurs sont superbes. Sinon, je ne sais pas si c'est une légère lassitude de l'oeil ou du dessinateur, mais je trouve ses squelettes un tout petit peu moins bien dessinés sur le 4ème tome...
ça doit être moi, et c'est pas bien grave de toutes façons.