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Excellent, ça sonne mieux.
Pas trop difficile à comprendre juste du deuxième degré dans la plus pure tradition de la ligne claire des années 70 version actuel.
J'ai passé un trés bon moment de rigolade avec cette critique situasioniste de la soap société.
Vivement le tome 2, bravo mr Giardino.
Donc à lire d'urgence.
Ambiance finement travaillé et scénario appliqué. La collaboration entre
Corben et Strnad donne ici des merveilles. Un objet particulièrement
interressant à poséder, ou ne serait ce qu'à consulter.
Avis sur la série
Scénario captivant où interviennent de jeunes artistes aprentis dans un monde en bouleversement. Dessin raffiné et esthétique. Personnages attachants.
Dômage que l'auteur soit, parait-il, décédé prématurément: il n'y aura pas de suite à ces 3 merveilleux albums.
Bonne lecture
free reader
Au premier regard un dessin assez moyen mais en faite apres lecture je le trouve plutot bon : assez special ( un peu caricatural ) avec un heros qui ressemble au rappeur Redman. Au scenario on trouve le tres bon Azzarello : ici il est en petite forme : un scenario ultra classique et sans surprise ( un peu dans l'idée de l'excellent une poignée de dollars ) mais c'est tres violent et l'ambiance urbaine est bien retranscrit. Sympa à lire quand même.
Un dessin de tout premier ordre, de superbe couleur et un scenario à la hauteur. On est dans un tres bon road movie : des mechants dans la pure tradition polar, le seul probleme c'est d'accepter que Alain soit aider aussi facilement, le debut est pas terrible mais des que les gros bras entrent en action l'histoire s'etoffe.
Le tome 1 était vraiment bon ( les autres un peu moins ) ce tome 5 rehausse un peu le niveau : on enchaine les gags et les bastons sans temps mort. Quelques petite surprise sympa dans ce tome. Serie pas tres original mais tres distrayante.
La collection Rombaldi des aventures de l'inestimable Gaston est de qualité. Très belle reliure, incrustation des personnages dans le cuir de la couverture et dorure du plus bel effet! Le contenu contient des inédits qui ne le sont peut-être plus maintenant, mais qu'ils l'étaient en 1984! Très belle présentation générale, bien agréable à feuilleter. Dans mes moments de déprime comme tout le monde, je prends l'album et invariablement je ris! Que peut-on demander de plus à une BD?
Un mauvais pastiche ? Non, c'est pour de vrai. Bon, ben on doit s'y faire, Astérix c'est terminé, depuis bien lontemps d'ailleurs... Quel naïf ai-je encore fait sur ce coup là.
mauvais dessin, bon senar, pour amateur seulement voir plus
c'est vraiment un bon scénario de Corbeyran ! Jusqu'à la fin on n'a aucune idée de ce qui provoque ce phénomène de "rétrécissement de la terre" et je dirais même que l'on l'oublie tellement les relations entre les villageois sont prenantes. On pourrait dire que c'est une BD sur le phénomène d'inexistance de relation de voisinage "vraies" tant que l'on ne vit pas proches les uns des autres, très proches, ... Une belle étude sur le comportement humain je trouve...
Les dessins sont très agréables, le trait est appuyé et précis, pas de place pour le flou ou l'à peu près...
Très bonne BD à mon goût...
Les dessins de Templesmith (pour les deux premiers chapitres uniquement) sont toujours aussi bons , et colle parfaitement a l'univers glauque de silent hill...
cependant l'histoire en elle meme reste assez difficile a suivre et on se retrouve vite perdu au milieux des zombies et autres monstre.
a conseiller vivement a tout les fans de gore et du jeu video!! reste neanmoins moins bon que l'exellent "30 jours de nuit"
D’un côté la ravissante Nävis qui vit toute seule dans une épave stellaire au milieu de la jungle. De l’autre côté, le peuple Hottard, victime de problèmes de surpopulation, veux prendre possession de cette planète apparemment vierge de toute civilisation et surtout habitable. Nävis fera tout pour sauver sa terre des mains du madjestoet Heiliig qui dirige l’arrimage de sa planète.
Tout d’abord on pourrait se poser des questions sur les capacités de combat et autres de la petite Nävis, abandonnée de tous depuis longtemps sur une planète lointaine. Mais comment ne pas s’attacher à cette ravissante petite humaine qui se voit confronter à une lutte inégale face à une horde de Hottards ? C’est évidemment bien vu des auteurs et tout comme dans le Livre de la Jungle on finit par mettre ses préjugés de côté et à suivre les aventures de ce petit bout d’être humain qui a survécu seul au milieu de la jungle.
Face à ce côté plus enfantin et cette jungle aux couleurs vives et chatoyantes on retrouve la froideur du peuple Hottard et des vaisseaux spatiaux sans pour autant tomber dans le manichéisme car les envahisseurs ont également reçus un côté humain et des raisons compréhensibles à leurs actes. Les auteurs équilibrent ainsi habilement l’apparence infantile, la légèreté et la fraîcheur avec un fond plus sérieux teinté de science-fiction.
La narration et le graphisme aéré rendent la lecture facile et agréable. Le dessin (de la jungle aux vaisseaux) est irréprochable et les personnages typés et attachants. Bref, très sympa.
Mary Carpenter se fait arrêter par le shérif Stuborn lors d’un hold-up et écope de 5 ans de prison. Joseph, son mari qui avait réussi à fuir de justesse, avait promis de revenir chercher Mary. Quand Mary est libérée et quelle apprend que Joseph mène la vie douce avec Dolorès, une jolie brunette qui vit au Mexique avec ses trois frères, elle compte bien lui faire la peau et récupérer son butin.
Ceux qui aiment les westerns et qui savent apprécier quand une femme y joue les premiers rôles vont particulièrement apprécier cet album. Après Calamity Jane et Comanche, ce sont Mary et Dolorès qui font la loi au far west. La scène finale avec des planches sur deux pages est la cerise sur le gâteau que ces deux dames pleines de caractère nous offrent.
Le scénario est bien ficelé, l’humour excellent et le dessin est totalement adapté au western, même s’il est un peu moins abouti que dans l’autre excellent western «Wayne Redlake» des mêmes auteurs.
Le Mexique, la ruée vers l’or, des fusillades et une partie de poker qui se termine avec deux dames et un valet : vraiment tout y est pour combler les amateurs de western !
Dernier volume du premier cycle, ce tome 15 nous montre l'affrontement entre Euntae et Chonchu. Le jeune garçon est prêt à se sacrifier pour tuer l’homme qu’il s’est juré d’abattre depuis son enfance. Pour Chonchu, c’est l’heure d’agir enfin selon sa propre volonté. Un combat titanesque entre les deux immortels s’engage.
Peu de dialogue et beaucoup d'actions dans ce volume qui à la dernire page nous laisse dans un suspens horrible, aussi affamés que précedemment de connaître le fin mot de l'histoire. Une fin de cycle assez frustrante. Si le graphisme est toujours splendide et particulièrement dans les scènes de combat, l'action pure et brute ne peut pas remplacer l'évolution de l'intrigue générale. C'est un peu dommage sur ce point là. Par ailleurs, la fin en queue de poisson du cycle m'a beaucoup frustrée et je réclame la suite ! mais qui sait quand elle viendra ?
Rien il ne se passe rien d'intéressant, et ces superman qui volent...
Autant le tapis volant de shérazade passait, c'était dans l'esprit potion magique mais là...
Je considére le dessin est très bien mais ce n´est pas suffisant pour s´améliorer le reste.
ASTERIX sans Goscinny cést impensable!!! MERCI
Considero que el dibujo está muy bien pero eso no es suficiente como para mejorar el resto del album.
Asterix sin Goscinny es impensable. GRACIAS
La position d’Amerigo au sein de la maffia vacille de plus en plus. L’apparition du petit Diego qui s’amuse à mettre de l’huile sur le feu ne risque pas d’atténuer cette guerre des gangs. Et si en plus ils commencent à s’en prendre à son frère Franck, qui avait déjà les nerfs à vif à cause des relations houleuses entre les membres de sa famille, ça risque de mal se terminer pour Amerigo.
En plus, pour c’est deux sœurs, la vie n’est pas beaucoup plus rose : Catarina a perdu sa popularité depuis que le cinéma est devenu parlant, mais également son argent à cause du crash boursier, quant à Carmela, qui cherche un emploi, peut-elle éviter de se retrouver à nouveau dans le milieu ?
J’ai trouvé le scénario de ce neuvième tome un peu plus confus et moins original que les précédents. Quant au dessin, il est toujours aussi agréable, même si le passage où Carmela est hantée par ses anciennes victimes dénote qualitativement du reste, surtout au niveau des couleurs.
histoire classique de HF , eternel trio present , le scenario est sans surprise . dialogues arrachant de temps en temps un sourire . bestiaire parfois interessant ( particulierement le tome 3) . qq scenes sexy pas mal foutues . qq cases gore .Le dessin est moyen mais finalement pas deplaisant . . bref au debut je m'accroche pour pas poser le tome 1 et passer à autre chose , au 2è tome l'histoire commence à mieux convaincre mes neurones , pour franchement m'interesser au tome 3 ( le meilleur tome) .
la transition de nielsen à verhaeghe au dessin se fait sans mal à partir du tome 4 qui maintient un bon suivi de l'histoire . bon ben m'en vais acquerir le 5 . après fouillage de la BEL ...pas de tome 5 . re fouilage des forums et je tombe sur un post de TARVEL qui confirme effectivement que la serie est arretee faute de ventes suffisantes .
bon , les 4 tomes peuvent donc se lire sans laisser un souvenir imperissable , mais la serie aurait mérité 2 tomes sup afin de terminer l'histoire , même si on se doute bien comment elle aurait fini
Voici le trente troisième album d'une des séries les plus lues en France qu'est Astérix. Uderzo c'est le moins que l'on puisse dire à fait tres fort. Des les premieres pages c'est tres déroutant , est-ce un mauvais rêves ? L'auteur mélange un peu tout les genres et surtout casse les frontieres qu'il s'était fixé avec Goscinny.
Uderzo dépeint la société actuelle avec une lecture à plusieurs niveaux propres aux albums d'Asterix digne de ce nom, mais le message est assez confus, regle t-il ses comptes avec le monde la Bd ou est-ce une crtique de tout ce qui se passe dans le monde sur le plan politique internationale...?
Le dessin quant à lui est une prouesse artistique de Uderzo qui à 78 ans continu avec brio à nous en mettre plein la vue. Les couleurs "flashent" un peu mais c'est de bonne guerre.
Le point négatif de l'album c'est que les personnages que sont asterix et Obélix sont un peu relayés au second plan.
Pardon pour ce jeu de mot facile, mais cette fois le ciel lui est vraiment tombé sur la tête. Uderzo n'a jamais été un scénariste génial mais là on touche le fond. Pas drole, pas d'histoire....J'ai bien peur que notre Astérix soit mort. A moins qu'un clone de Goscinny nous revienne.......
Un premier tome ou on apprend pas grand chose, on decouvre à peine les personnages : des pirates de l'air dans un univers Steampunk, le sort personnage qui sort du lot dans ce premier tome est le colonel qui à l'air d'etre le mechant de la serie. De jolie attaque de Zeppelin. Un permier tome sympa mais qui donne trop peu d'element sur l'histoire.
Le tome debute par un super duel entre Marlene l'escrimeuse et Sando. L'aventure continu pour Mun Su qui s'allie avec Wonsul. Les relations entre les differents personnages sont vraiment bien traité : Mun Su/Sando, Mun Su/Ajite, Sando/Ajite ( celle là est la plus interressante ). Le passé de Mun Su ressurgit dans ce tome, et une nouvelle quete est au programme. Un tome vraiment tres bon dans la lignée de cette excellente serie.
Les Vengeurs c'est fini bonjour les New Avengers. Bon l'histoire qui amene la separation est pas superbe ( petage de plomb d'un vengeur ), plusieurs mais pas assez à mon gouts, 1 vengeur vraiment populaire au tapis ( dommage c'est pas Iron Man ). La nouvelle equipe promet beaucoup avec Wolverine ( qu'on a pas encore vu ) Spiderman , Luke Cage et Sentry. L'histoire commence tres bien avec un "ptit" probleme dans la prison haute securité pour super vilain. L'histoire avec Captain America est plutot bonne aussi. La nouvelle serie Young Avengers à l'air vraiment sympa. Par contre les 4 fantastique c'est toujours aussi mauvais.
Un dessin sympa mais un scenario un peu faible je trouve. Bon deja je sais pas pourquoi la serie s'appelle Batman/Catwoman, Batman on le voit 2 fois dans toute l'histoire. Le scenario aurait pu etre mieux mais une moral à 2 balles est presente tout au long de l'album, le recit n'est donc pas assez sombre, le decoupage et le dessin rattrape le niveau.
Pour commencer un mot sur les couleurs : 3 albums 3 coloriste differents :confused:, je prefere d'ailleurs les couleurs de ce tome 3. Niveau histoire c'est le meilleur tome, on est enfin au coeur du conflit, on suit donc nos 3 amis aux parcours different, celui de Tillois est bien sur le plus interressant : trouffion dans les tranchées : sa peur est tres bien retrancrit d'ailleurs, on ne connait toujours son lien avec les ptites bebetes. Le final promet un tres bon quatrieme tome :ok:
Isaac Sofer est un peintre qui adore peindre les scènes navales car il est fasciné par la marine. Il a une petite vie pleine d’amour et de bonheur avec sa fiancée Alice, mais quand le docteur Henry Demelin lui propose de le suivre afin de rencontrer son capitaine, il n’hésite pas un instant. C’est pourtant un peu malgré lui qu’il se retrouvera parmi les troupes de Jean le pirate en direction pour les Amériques.
Bon, c’est vrai que Christophe Blain nous raconte avec perfection cette aventure de pirate sur fond d’histoire d’amour. Isaac, ainsi que les autres personnages, sont très attachants et le lecteur n’a aucun mal à se lier aux personnages.
Le style de dessin fait un peu penser à Sfar et nous embarque de façon caricaturale dans cette aventure poétique. Par contre, si l’histoire est bien racontée, elle ne m’a pas passionnée pour autant et même ennuyée par moment. C’est un peu trop poétique et manque d’aventure ou d’humour pour moi, même si la réflexion « tu veux devenir impuissant ou quoi » m’a bien fait rire. Bref, c’est poétique, bien raconté sans être palpitant pour autant. Vu les critiques, j’en attendais peut-être trop ?
Le Western Fantastique est un sujet déjà traîté chez Vents d'Ouest. Oui, la Piste des Ombres de Tiburce Oger a déjà ouvert la voie avec beaucoup de réussite.
Et voici donc qu'ils remettent le couvert avec cette mini-série qui sera développée en seulement deux tomes.
Le résultat est vraiment à la hauteur. Le scénario est mené avec beaucoup de cohérence et d'intelligence. Le sujet traité est, certes, pas forcément très original (la Kabale) mais on rentre dans le récit avec beaucoup d'interêt. Si on devine certains aboutissants, on est totalement intrigué par d'autres et je vous avoue que j'attends la suite avec beaucoup d'impatience. Les personnages ne manquent pas d'humour et certains d'entre eux sont même parfois émouvant (je pense surtout à la petite Simone).
Je remarque de plus en plus que le Western et le fantastique sont deux genres qui se marient très bien ensemble et cette bd confirme tout à fait mon propos.
Le dessin de Hérenguel est vraiment superbe. Il se dégage de son graphisme beaucoup de finesse et les couleurs chatoyantes de l'album viennent encore plus accentuer cet effet. Les personnages sont très expressifs et les décors sont élégants. Du beau travail !
Le comble du bonheur c'est que on a droit à un dossier en fin d'album + un ex-libris, le tout inséré dans une enveloppe et bien-sûr pour 12,5 € . La classe !
Vous aurez compris que je vous conseille vivement de lire Lune d'Argent sur Providence !
Avec ces 2 auteurs de la BD contemporaine à vocation d'étude sociologique (monsieur Jean, corps à corps) j'étais étonné par la couverture. En fait l'idée qui est à la base du scénario est très bonne et l'on retrouve quelques caractéristiques qui font la force des auteurs. Le dessin est lui sans surprise et même assez classique, mais ce n'est pas le plus important pour ce type de BD. Néanmoins il reste dommage que, selon moi, le scénario parte un peu en"live" sur la fin...
Cela n'en demeure pas moins un agréable moment de lecture, notamment pour les amateurs de ces 2 monsieurs de la BD.
Le chef d'oeuvre de bande dessiné par excellence et aucun avis dessus pour l'instant ? Quel gageur ! C'est simple, on peut difficilement faire plus beau au niveau dessin quand on aime le style Bilal biensur.... On touche le nirvana ! Et quand en plus, le sujet et le scénario est exceptionnellement bon ! On est au paradis... Bref, un must absolu !
Des centaines d’androïdes sont venus remplacer certains humains à des postes clefs de notre civilisation afin de mieux gérer « émotionnellement » les décisions prises à ses postes. Mais, les émotions de ces androïdes sont conçues tellement proches de celles des humains (afin de ne pas se faire repérer), qu’ils ont également été programmés afin de ne pas dépasser une certaine limite de liberté. Une fois cette barrière détruite, ils vont également vouloir réaliser leurs rêves ...
Du côté de l’histoire je trouve que ce sixième tome est un des meilleurs de la série avec un sujet qui traite d’un futur pas si éloigné que ça. La narration du talentueux Alcante est toujours aussi fluide et agréable.
Quant au dessin irréprochable de Henriet (John Doe, Golden Cup), c’est également un des meilleurs de la série. Il nous fait même le plaisir de dessiner un portrait d’Alcante dans la planche 40, avec les initiales de son vrai nom (Didier Swysen) et son année de naissance (1970).
Cathy Gatling arrive à Providence, New Hampshire afin d’y faire l’inventaire des biens du charpentier Spencer qui vient d’être assassiné. Il n’est pas le seul ces derniers temps et le maire compte bien mettre fin à cette fâcheuse tendance en trouvant le coupable de ces boucheries avant les élections.
Si le fait de mélanger le western à d’autres genres est plutôt à la mode (W.E.S.T. et Hauteville House), l’amateur de western qu’est Eric Hérenguel nous a produit ici un petit hybride western et fantastique proche de la perfection.
L’époque, 1880, est clairement western. L’histoire, elle, croise le fantastique en se frottant à la Kabbale. Et si d’après l’auteur il suffit de savoir dessiner des vaches, des fusils et des chapeaux pour illustrer un western, c’est bien plus loin qu’il nous entraîne à l’aide de décors succulents.
Les couleurs et les lumières printanières nous plantent dans un paysage qui hume la feuille morte légèrement humide. Ces planches automnales aux couleurs sublimes, pourraient aisément se retrouver dans un album de la collection Aire Libre de Dupuis, mais se retrouvent ici en arrière plan d’un western fantastique. Fabuleux.
Les personnages ont des tronches et des caractères bien marqués, nous livrant même quelques bonnes touches d’humour au passage.
Le récit est fluide, l’intrigue intéressante et les bonus agréables. Seul point négatif : le nouvel emballage marketing sous forme d’enveloppe inviolable qui vous empêchera de feuilleter librement ce tome en librairie. Mais bon, toute bonne surprise mérite bien un emballage spécial. Vivement la suite et la fin de l’histoire dans le tome 2.
Ary et Alex continuent leurs recherches afin de retrouver le « rouleau du Messie ». Ils tentent de retrouver les cinq savants qui ont jadis étudiés les manuscrits de Qumran, mais ceux-ci sont assassinés un à un de manière cruelle.
L’air de déjà vu qui apparaissait dans le premier tome se confirme ici. Des manuscrits mettant en cause le christianisme, une Eglise qui est prête à tuer pour préserver le secret et des courageux qui veulent percer le secret. Le mystère reste néanmoins complet et le récit fluide.
Le dessin de Gemine reste assez classique avec quelques planches très agréables chez le professeur Almond suite à la prise de champignons hallucinogènes. Avec en plus une petite touche d’originalité de Gemine avec l’apparition ludique et très discrète de Dark Vador dans une des cases de la planche 7.
A la demande du père d’Ary, ce dernier se rend à Tel-Aviv avec son ami d’enfance Alex afin de retrouver un vieux manuscrit découvert à Qumran en 1957. Ce manuscrit, appelé « le rouleau du Messie », pourrait vraisemblablement contenir des révélations remettant en cause le christianisme. La quête s’annonce périlleuse et la crucifixion guète ceux qui s’y intéressent de trop près.
Cette série, prévue en 4 tomes, est l’adaptation en BD du best-seller d’Eliette Abécassis. Du coup, l’interaction des personnages est souvent cassée par des textes où les personnages donnent des explications sur des parties du roman qui ne sont pas visualisées. Ca n’enlève pas trop à la fluidité du récit, mais nous éloigne de l’action et des personnages et on sent (sans avoir lu le livre) que des raccourcis ont été pris.
L’histoire, placée dans son cadre historique, a comme un petit air de déjà-vu avec une énième quête ésotérique de manuscrits mettant en péril le christianisme. Le manque d’action dans ce premier tome est compensé par une bonne mise en place de l’histoire et par les touches d’humour d’Alex.
Le dessin est assez classique et se prête bien au récit. Les paysages désertiques sont plutôt réussis avec un excellent choix des couleurs. A suivre.
Jeune médecin en traversée sur un "négrier" au XVIIIe siècle, le héros au minois si fin s'avère rapidemment au lecteur être une héroïne, mais le secret reste et il acquiers rapidement la légende d'un pirate terrifiant qui défend les esclaves. Ses hommes le craignent, mais il (elle) vient à dévoiler on ne peut plus intégralement tous ses charmes dans un cadre naturel de rêve sous le regard insoupçonné de l'un d'entre eux.
Très dômage qu'il n'y ait pas de suite, tant pour la qualité du scénario que pour les charmes irrésistibles de l'héroïne et de sa compagne soutenus par un dessin réaliste raffiné.
Excelente lecture.
free reader
Avis sur la série
Humour décapant dans toute cette série: une des plus comiques qui puisse exister: dans le premier album, atmosphère guerre des boutons entre une patrouille de filles scout les Libellules, et les petits gars de la comunale, le tout sur fond d'une intrigue entre la police secrète soviétique et les russes blanc vers les années 1930.
Dans le second et le troisième album, caricature désopilante des grands personnages de l'histoire que rencontrent les libellules (de Gaulle, Hitler, Churchill, Hesse..) , des populations en déroute et des envahisseurs.
Attention : cette série ne respecte aucun tabou, en particulier religieux, sexuels ou raciaux, mais on ne peut pas dire qu'il y ait de la discrimination, car tous en prennent pour leur grade dans le ridicule hilarant. Vu la façon dont se termine le troisième album, on comprend qu'il ait été demandé aux auteurs de ne pas poursuivre, car leur humour allant crescendo au long de la série, ils s'apprêtaient à franchir les limites de l'acceptable envers les dits tabous. Dômage, car les autres séries de ces auteurs ont une mayonaise humoristique loin d'être aussi explosive!
Bonne lecture, si vous suportez d'être moqués au moins autant que les autres!
free reader
Pour une bd adapter d'un anime,Samurai Champloo s'en tire plutôt bien.On retrouve l'univers de l'anime,qui est trés bien représenter.
Seul bémol:le graphisme du manga n'est pas a la hauteur de Kenshin le vagabond,ou samurai depper kyo...
Connaissant déjà l'animé autant dire que le début de cette série n'a pas beaucoup de surprises à me révéler. Par contre il est intéressant de voir les différences entre la version animé et la version papier. En effet bien que le dessin soit moins réussi dans la version papier ce dernier reste tout de même efficace. De plus la série est davantages tournée vers l'humour par contre il est dommage de voir que certains raccourcis ont été pris. Par contre l'histoire devrait partir sur quelque chose de totalement différent de l'animé et je suis impatient d'en être à ce tournant.
Voilà une série qui reste tout de même à ne pas manquer.
Voilà un volume assez paradoxale. En effet il présente des éléments intéressants qui poue à suivre l'intrigue jusqu'au bout pour en savoir plus mais hélas ces éléments ne sont que survolés et manquent d'explication. Comme d'habitude la part majeure de ce volume est réservée aux combats ce qui est somme toute dommage car un moins grand nombre de combats mais mieux introduits améliorerée grandement la série.
Enfin on connait l'identité de silence et autant dire que c'est une sacrée surprise. Cette histoire est vraiment excellente de plus elle a l'avantage de faire le tour des différents personnages intervenant dans l'univers de Batman parfait pour un novice. L'histoire est bien construite le côté sombre de Batman est peut être un peu trop léger mais ça passe quand même. Le fait de partager les pensés, les doutes et le réfléxions de Batman tout au long de l'enquête fait que l'on est totalement immergé dans l'histoire et qu'il est difficile d'en décrocher.
Bref un très bon moment de lecture.
Je trouve toujours les dessins de Boucq très agréable à lire bien qu'ils ne soient pas spécialement superbes de prime abord. Dans cette série Beaucoup de planches sur le grand ouest américain sont pourtant superbes. L'histoire est bien violente et sauvage comme le monde qu'elle décrit. Bref, un très très bon western que j'ai beaucoup apprécié (le second tome est un peu en dessous je trouve).
Je ne l'ai lu que pour connaître la fin du 1er cycle, car pour moi c'est une série moyenne. J'ai trouvé le scénario un peu décousu et la conclusion trop rapide. On obtient bien des réponses, mais des tas d'éléments passent à la trappe, de même que plusieurs personnages. Côté dessin, il est bien sans le petit plus qui pourrait vraiment me le faire apprécier, mais je crois que mon impression a été biaisée par certaines couleurs assez laides comme le jaune de la peau des personnages d'origine asiatique qui était trop jaune (c'est un exemple).
Plutôt mitigé donc.
Andréas nous fait plonger dans son univers et il est difficile de s'en détacher, d'autant que le dessin nous hypnotise. Rork nous entraîne dans une histoire mystérieuse, magique, puissante, fantastique, déroutante parfois où les lieux et les époques différents se succèdent, tout comme les personnages surgissent comme venus de nulle part, mais celà ne gêne en rien car on y trouve une certaine fascination.
En bref, une excellente série !
On s'attend a suivre lors de la lecture de ce tome 2, la vie du marquis dans sa traque des damnées avec ses doutes, ses peurs, ses pêches...
Mais voila ce deuxième tome n'est pas axée uniquement sur Vol de galle, comme le dit lui même l'auteur cette deuxième partie lui a permis de développé certaines idées qu'il n'arrivait pas a intégré ni dans le premier ni dans le troisième.
Il est donc axé plus sur les démons qu'il traque que sur lui, ce qui est agréable c'est la diversité de caractère entre les deux démons mis au premier plan.
Guy davis étoffe son univers et surtout ceux qui le peuple en leur donnant du piquant.
Chose déjà présente dans l'ouvrage précèdent mais ici bien plus détaillé.
C'est un ouvrage clairement de transition, entre le début et la fin reste que certaines choses dites dans ce tome pourrait prendre bien de l'importance dans le suivant.
C'est la fin... Cela fait un certain temps qu'Uderzooooooooooo aurait du demander l'aide d'un jeune écrivain, mais là Asterix touche le fond. Impossible de redresser la barre. Domage. C'est la fin du mythe...
Excusez-moi mais je vais dénoter de la masse...
Si on s'arrête à l'analyse "ras des paquerettes", on ne peut pas apprécier cet album, c'est évident.
L'intention d'Uderzo est de pousser un coup de gueule envers le monde de l'édition (il ne faut d'ailleurs pas non plus attendre que les éditeurs accueillent bien cette BD)... en aucun cas il ne s'en prend au manga ou au comix... la preuve est qu'il lance quelques piques aussi envers la BD franco-belge... il dénonce purement et simplement le monde éditorial.
Son intention est tout a fait louable quand on voit ce que nous font certains éditeurs.
Après, la manière employée... j'ai eu du mal au début mais m'y suis parfaitement fait. Il employe simplement les mêmes méthodes de "bourrin" que les éditeurs... il "combat" à armes égales...
Cet aspect "bourrin" est tout à fait voulu de la part d'Uderzo, pourtant, même si peu s'en rendent compte, l'album cache plus de subtilité qu'il y en a l'air...
Si on ne lit qu'au premier degré, on pense ce que beaucoup disent ("c'est de la merde", "c'est nul" etc etc) mais si on creuse un peu, on s'aperçoit que l'album en dit plus long qu'il n'y paraît.
Uderzo, de par le fait qu'il est sa propre maison d'édition et de part sa notriété, est un des seuls auteurs à pouvoir balancer si ouvertement... il tire le signal d'alarme.
La fin (ce que bcq regrette aussi... je ne vais pas dire de quoi je parle pour ne pas gacher la lecture de ceux qui ne l'ont pas encore lu... mais vous vous souvenez de la fin si vous l'avez lu et vous comprendrez de quoi je parle)... donc la fin, permet de tout remettre à plat et Uderzo nous dit simplement : "J'ai fini de gueuler... tout peut reprendre comme avant mais n'oubliez pas ce que je vous ai dit".
Pour moi cet album est un signe de courage de la part d'Uderzo qui prend des risques (pas financiers ni de notoriété) en sachant parfaitement que son message pourra être mal interprété... et a priori, il l'est par la plupart qui ne voit dans cette BD qu'un "anti-manganisme" et un "anti-comixisme" flagrants... c'est bien dommage.
Mais je persiste et je signe (de mon pseudoi seulement !!!) cet album vaut le coup d'être lu... au 2nd voire au 3ème degré... et j'ajouterai que Monsieur Uderzo est un grand homme de la BD et qu'il le restera à jamais.
Pardonnez moi pour cette lamentable fautre de note .
Tres bon fac-similé qui ressemble beaucoup a l'ancienne édition (comme c'est dit dans le livre), l'histoire est toujours aussi bien: Tintin reporter du XX° part en Russie (enfin URSS) afin de faire un article , la bas un tres mauvais acceuil l'attend et tout de suite l'action est a son comble ...
Le deuxième tome est vraiment appocalyptique. Un mélange de l'attaque de Minas tirith du Seigneur des anneaux et des vieux films de guerre US. On a une grosse touche de gore 2nd degré façon Evil dead. Un must de Comics en somme...
Fin de la "mission" avec la jolie Pyong Gan. Et debut d'un nouvelle "mission" pour Mun Su. De nouveaux ultra puissant entre en scene, les personnages de Mun et Sando sont toujours aussi interressant notamment dans leur relation. Un tome de transition tres bon :ok:
Apres Yoh c'est au tour de Hao de se battre, on est pas decu de sa puissance, il extermine des Xlaw en 2 secondes. Et enfin des revelations sur le lien entre Hao et Yoh le meilleur tome depuis le debut pour moi.
Rien de nouveau chez les zombies, ce titre ne renouvelle pas le genre mais en bon fan de Romero je ne peut que apprecier. Bon c'est quand même moins bon que Walking Dead mais sa reste sympa, le dessin est assez special mais on s'y fait. Niveau histoire comme dans toute histoire de zombie sa decapite,eclate,decoupe enfin du sang qui gicle quoi :)
Un polar "hard boiled" avec un heros qui se fait justice soit même, un scenario efficace plein de rebondissement, le dessin est une reussite notamment pour les scenes d'action. Plus d'action que de reflexion mais c'est pas pour me deplaire.
Complètement débile...
Extrait des journeaux du groupe "Vers l'avenir" (Belgique)
Une aventure grotesque au titre prémonitoire.
Voici l'histoire. Deux groupes d'extra-terrestres rivaux, les gentils Tadsylwiens et les méchants Nagmas débarquent au pays d'Astérix avec la même intention : s'emparer de la fameuse arme fatale (lisez la potion magique) gauloise qui devrait permettre à l'un des deux peuples de s'assurer la maîtrise définitive de l'univers...
Sans commentaires...
Deja,je suis assez fan des histoires de pirates, marin etc... Mais, là, ça a pas tilté, déja je trouve les couleurs un peu trop ternes, fades... ensuite j'aime vraiment pas avoir l'impression de vide et pour moi cette album manque de consistance .. 46 pages avec 3 OU 4 double page de dessin integral (jolis c'est vrai..) c'est assez court. Bref, c'est vraiment dommage car la couv' "tape" bien, mais le reste suit pas... le personnage ne sont pas assez intéressant a mon gout... sinon un dessinateur pour tout et un pour les femmes c'est original (d'ailleurs elles sont mignones..)
Une série à dévorer. Les gags sont extraordinairement drôles. L'histoire (un peu trop à rallonge quand même) est de plus en plus loufoque. Les dessins de Masbou sont très beaux et la mise en image est très agréable. Les personnages sont attachants, même les "méchants"... C'est dire... Vivement la suite...
Je trouve que l'avis de la RTBF correspond parfaitement à mon ressenti : ""Un album qui dénature complètement l'univers d'Astérix et Obélix, les deux héros en sont réduits à faire de la figuration, tandis que deux hordes d'extraterrestres envahissent leur village. Visiblement à court d'idées, Uderzo signe un scénario débile truffé de décors dignes d'un parc d'attraction", estime la radio-télévision belge RTBF.
Uderzo qui répéte à envie depuis début Octobre qu'après lui la série sera finie car pour lui personne d'autre que lui ne pourrait conserver le vrai style "Astérix" surtout dans le scénario. Eh bien Mr Uderzo n'ayez pas cette crainte, vous venez de faire ce que vous redoutiez le plus.
J'espère simplement que cette BD ne sera pas la dernière de la série. Il serait dommage qu'une série, digne du patrimoine culturel européen, se termine comme ça: dans le mercantilisme, dans l'allégence à la culture américaine, dans le scénario vide de sens. Alors qu'elle était un des emblémes de la BD belges et de la culture francophone. Ce serait une triste épitaphes.
Allez Mr Uderzo un petit dernier, digne de vous et Mr Goscinny, histoire de finir en beauté comme le mérite Astérix et Obélix.
Je préfère le deuxième cycle, beaucoup plus abouti. Des dessins merveilleusement beau. Une grenouille insupportablement adorable. Un histoire sympa et de multiples gags bien couillons, font de ce conte, un chef d'oeuvre à lire et relire éternellement !
Le dessin magique de Blain ajouté à la belle naiveté touchante de Hyacinthe, le héros, fait de cette série une bien belle réussite très très agréable à lire. Pour passer un très bon moment.... Vivement la suite !!!!
Très bon comics, assez manichéen et violent de prime abord mais qui pourtant donne à réfléchir sur l'éternel question du mal sur terre. Et oui ! Pour tout croyant, pourquoi les hommes création de dieu subssent tant de malheur ? Est ce de son fait ? Le comic nous donne une réponse...
Désolé, je n'ai pas trop accroché. Je trouve tout cela bien caricatural surtout dans la psyché des perso. C'est un remake SF des 12 salopards ? Rien d'orginal je trouve. Peut que je changerais d'avis en lisant les suites...
Je suis tombé sur cette série cet été et j'ai jamais pu décroché. J'achetais le suivant à chaque fois avec une énorme envie de connaitre la suite de ce solitaire finalement extrémement attachant (heureusement que je ai connu cette bd vers la fin de la série !). Les monologues du tueur et les dessins sont fabuleux. On rentre très bien dans la psyché du personnage. La lecture est facile. Le plaisir de lecture est énorme. Culte !!!!
Une histoire touchante, comique mais pastrop, intelligente. Un plaisir de lecture incomparable. Tout semble naturel. Une série géniale ! Et pourtant, je n'aimais pas trop les dessins de Blain au départ mais j'ai fini par être conquis ! Je suis devenu un de ses (nombreux) incditionnels !
Franchement très très déçu... Tout l'esprit et l'univers d'asterix foutu en l'air... Pas de scénario, les mêmes Gimmicks des autres albums...
NUL, ça sonne bien.
Si j'ai bien compris la démlarche, il s'agit de transposer un scénario de soap opéra pour TV en BD, avec des pubs au milieu... Bon ben voilà, la médiocrité des soap opéra et retranscrite en BD, super...
J'avais acheté cette BD par principe parce que d'habitude Giardino sort du travail de qualité et que je pensais que je passerai un bon moment... échec sur toute la ligne, je ne suis même pas allé jusqu'au bout...
Même le dessin n'a rien d'enthousiasmant, et que dire des couleurs "flashy" si ce n'est "Arrrgh pitié plus jamais ça".
Donc NUL, absolument NUL. La médiocrité à l'état pur.
je crois que je faisais partie des rares qui appréciaient les derniers Asterix,mais,la ,catastrophe,le ciel lui est vraiment tombé sur la tete,
on a l'impression que le scrameustache et les teletubbies se sont invités chez les gaulois,ce qui passe admirablement dans Thorgal jure ici à chaque case,je me suis fait violence pour arriver au bout de cette vacuité scénaristique,achevé par la lourdeur de l'explication de l'anagramme (tsaldywienmachinchose),à pleurer!
Plus qu'un seul album, enfin !
Voilà une série culte (merci les premiers albums) qui n'en finit plus de lasser ses fans. Quel massacre et quel dommage.
Je n'achète plus les albums que pour avoir la série complète.
Vivement le 18ème opus pour ne plus en parler qu'avec regrets.
Je suis un admirateur de cette série qui a baigné ma jeunesse est qui m'étonne toujours autant quand je relis un album.
Certain n'aime pas l'un ou l'autre album, mais je suis certain qu’en ce qui concerne celui-ci, tous le monde sera d’accord il est NUL comme la note que je me suis permis de lui donner. J’ai honte pour l’auteur et que Goscinny lui pardonne il n’a certainement pas compris ce qu’il faisait.
rhaaaaaaa cette serie est geniale mais a quand la suite ???
Ethan, Bruce et Eléonore se rendent en Ecosse afin d'y retrouver les Larmes de Pourpre. Poursuivis par le colonel Redfield et Phaedra, ils se dirigent vers le château de Dunnottar où des spectres du passé les attendent. Pendant ce temps Elisabeth retrouve ses forces chez le mystérieux Alexander.
Première constatation : l’énorme progrès de Speltens au niveau du dessin par rapport aux deux premiers tomes.
Deuxième constatation : l’histoire a pris du volume avec l’arrivée de Bruce et ses entretiens étranges avec ses deux compatriotes, l’énigmatique Alexander qui devrait encore nous surprendre dans le futur, Eléonore et son passé qui remonte au 17ème siècle et l’union fragile entre le colonel Redfield et le maître maléfique du Domaine.
Bref, je pense que la série est maintenant bien installée et que si les deux jeunes auteurs belges continuent à progresser comme ils le font de tome en tome, les 3 tomes qui sont encore prévus pourraient nous surprendre.
Ce deuxième tome débute trois jours après la tuerie de Gorsvenor Castle, qui a coûté la vie au père d’Elisabeth. Sean est en prison en attendant d’être pendu, mais plusieurs partis vont tentés de le libérer. Des alliances se forment dans les faubourgs de Londres afin de retrouver Les Larmes de Pourpre.
Bon, il faut bien avoué que le scénario en début de tome est un peu faiblard avec l’évasion peu palpitante (et crédible) de Sean. Heureusement qu’un nouveau personnage nommé Bruce apparaît en cours de tome. Plus typé qu’Ethan et Elisabeth, il redonne un peu d’ampleur et de réplique au côté des bons.
Le dessin de Speltens a progressé avec encore quelques problèmes dans les scènes en mouvement (combats), mais je pense qu’il y a un hic au niveau de l’impression, car le texte donne une impression de flou.
Bref, mis à part les magnifiques et diaboliques Thana et Phaedra ce deuxième tome n’offre pas grand-chose de neuf.
le meilleur des jeremiah,mon préféré en tout cas,le scenar typique de jeremiah,avec ouverture magique,personnages hauts en couleur,(sacré tancrede),coup pourri qui foire forcément,scenes d'actions jamais égalées en BD,et nos deux héros qui traversent tout ça en spectateurs acteurs avertis,et une couv exceptionnelle,bref,HERMANN au sommet de son art(avant le grand saut vers la couleur directe)
une pure merveille dans l'abime de la rentrée !!!
on pouvait craindre le pire,un western matiné de fantastique,et pourtant
on rentre dans l'histoire aussi facilement que les personnages changent de monde dans l'album !Herenguel nous tient en haleine de la premiere a la derniere case,une histoire riche,des personnages attachants(dommage qu'ils meurent si vite...)un dessin dynamique,des couleurs exceptionnelles,un découpage et une lisibilité presque parfaits,allez,un bémol,un peu d'abus sur les retouches PC pour les contrejours,mais bon,qui dit mieux ce mois -ci?
de plus en plus decevant,des postures de navis la ou il faudrait de l'émotion,du défonçage de portes ouvertes sur la nature humaine,seul le dessin conserve encore de la finesse,à ranger à coté du dernier ric hochet,du dernier asterix,du dernier XIII ...
cet album est avant tout une émotion,il faut le parcourir comme on contemple un tableau ,se laisser penetrer par son ambiance inquietante,ses couleurs exceptionnelles,son trait précis et découpé,un pur bonheur
Jacob Kandahar a compris l’utilité des rayons et va pénétrer les rayons un à un en compagnie de ses compères Ardell et Hannah, afin de découvrir le message destiné aux habitants de la terre.
Bizarrement le premier rayon, ne donne qu’un pouvoir à ses amis, sans avoir d’effets apparents sur Jacob. A-t-il déjà reçu un pouvoir en devenant l’homme le plus intelligent du monde dans le passé ou cela cache-t-il quelque chose d’autre ? Voici déjà un mystère à élucider dans un des cycles suivants.
Inspiré des X-files, avec les interactions politiques, militaires et fantastiques, mais également du film « Contact » avec Jodie Foster, où le message venu d’ailleurs n’était pas sous forme de rayons, mais de sons, cette série tient le lecteur en haleine depuis 4 tomes (heureusement parus très rapidement). Dans ce tome, Jacob, devenu sensible à la lumière est transporté dans une mystérieuse cage, inspirée du film « Le silence des agneaux » : tiens, encore un film avec Jodie Foster.
Ce cinquième tome clos avec brio un premier cycle bourré de suspens, d’une série qui prévoit encore deux cycle supplémentaires.
Je ne suis pas trop amateur du genre science-fiction, mais cette série est vraiment ce que j’ai lu de mieux dans le genre avec Universal War One. Je ne serai sans doute jamais fan du genre, mais je le suis en tout cas de cette série. Je vous conseille d’ailleurs l’intégrale (tiens la couverture est pas mal) où les auteurs donnent des commentaires planche par planche sur les 5 tomes de ce premier cycle.
Jacob, l’homme le plus intelligent du monde, s’est isolé dans un refuge au Népal depuis son évasion de la base souterraine dans le tome précédent. Il continue néanmoins ses recherches par rapport aux rayons (apparus il y a déjà deux ans) et semble en avoir compris la signification. Il est malheureusement enlevé par Guru, le gourou d’une secte baptisée « la Croix divine » et qui est entièrement dédiée aux rayons. Guru a lui aussi découvert le code que dissimulent les rayons et compte bien l’utiliser afin de dominer le monde.
Après avoir plongé le lecteur dans un sous-sol dans le tome précédent, on se retrouve ici au beau milieu d’une secte sans en apprendre autant qu’on voudrait sur les rayons. Certains diront que les auteurs veulent allonger la série pour des raisons commerciales, mais si c’était vraiment les raisons commerciales qui primaient, ils auraient mieux fait de changer le nom de la série et les titres et les couvertures des albums. Non, le but qu’ils atteignent ici est de tenir le lecteur en haleine et ça marche à merveille.
Si dans des séries comme le Chant des Stryges Corbeyran s’amuse à laisser le lecteur sur sa faim en entrouvrant plusieurs portes afin de donner une nouvelles tournure à l’histoire, de faire le lien avec ses autres séries « Stryges » ou simplement afin d’envoyer le lecteur dans une impasse, Bollée, lui, s’amuse à chaque fois entrouvrir la même porte. A chaque fois, cette porte sur les rayons s’entrouvre pour se refermer en vitesse. Mais à chaque fois la porte s’entrouvre un peu plus longtemps pour se refermer tout aussi vite. Et c’est vrai qu’on à l’impression de chaque fois voir quasi la même chose à travers cette même porte, mais c’est le pied de savoir qu’au prochain regard on pourra regarder un peu plus longtemps et qu’on en saura un peu plus. La curiosité devient extrême et c’est clair que pour le prochain tome qui est sensé conclure le premier cycle, je compte bel et bien la défoncer cette porte afin de contempler ces rayons jusqu’à en comprendre leur nature et leur but.
Jacob, après un coma de 18 mois, se retrouve prisonnier d'une base souterraine secrète avec ses deux compères Ardell et Hannah. Il fera tout pour s’évader de cette base et échapper à son commandant, le névrosé Colonel Monday.
Ce troisième tome est inspiré du comics The Invisibles où l’on retrouve également une base et un commandant qui s’appelle Friday au lieu de Monday. Le lecteur se retrouve ici dans un autre monde, à priori loin des mystérieux rayons. Mais même si Jacob ne peut sortir de la base, il parviendra tout de même à élucider quelques mystères concernant les rayons et fera la rencontre d’un étrange vieillard aux pouvoirs télépathiques très utiles.
Si ce tome isole un peu le lecteur par rapport à son désir de suivre l’évolution et le mystère des rayons, il offre à Aymond une totale liberté d’expression au niveau du dessin. On sent qu’il a pris plaisir à créer se monde souterrain futuriste, loin de la réalité et des décors terrestres et le résultat est plutôt réussi.
Tres bonne BD!!Surpris par ce travail allemand trop peu présent en france, on en redemande avec bon
heur!
Le scenario de Corbeyran et de bonne facture les dessins son beau avec des fond ocres, brun, gris et bleu tres jolis.Un premier tome prometteur.Vivement le deux! Mais d'ou vient donc cette africaine?
Nävis n’est plus seule dans l’univers ! D’autres humains subsistent, naufragés sur une planète hostile et perdue. Et notre héroïne va découvrir ces derniers échantillons (représentatifs ?) de sa propre espèce en voie d’extinction... Et l’on reste navré pour elle de ses cruelles désillusions. Morvan a-t-il un compte à régler avec l’Humanité ? Car si l’on excepte le personnage si lumineux et attachant de Nävis, il semblerait que tous les Hommes ne soient que des pantins falots, méprisables, et qu’aucun d’entre eux ne soit digne de respect. Qu’aucun d’eux ne puisse se hisser à la hauteur de Nävis, à l’image des extra-terrestres aussi nobles qui ont gagné son amitié : le défunt Mackel-Loos, le fidèle Bobo, le paternel et exemplaire Snivel (un robot, pourtant !). Même le froid magister et l’inquiétant Atsukau font preuve de noblesse d’âme. Alors pourquoi Nävis ne rencontrerait-elle pas un Homme qui, pour une fois, illustrerait autre chose que les défauts et les bassesses d’une espèce à laquelle on n’ait pas honte d’appartenir ? Mais bon ! Espérons que Morvan nous réserve des lendemains moins déprimants et que son héroïne retrouve foi en la « Nature Humaine ». Elle mérite bien cela.
En ce qui concerne le travail de Buchet, il est tout simplement d’une qualité extraordinaire. Le dessin, les couleurs, le design des décors et des costumes (la planche 20, notamment, nous permet d’admirer les tenues et coiffures diverses de notre charmante héroïne), tout est parfait !
Si je met la note maximum c'est parce qu'avant tout Vlad est mon perso préféré mais c'est surtout que c'est merité. Un tome sans temps mort bourré de scene d'action superbement dessiné. Il m'en faut pas plus pour me satisfaire. Ce tome est un modele pour les scenes d'actions.
Enfin le premier combat de Yoh dans le tournoi et le moins que l'on puisse dire c'est que l'on est pas deçu, mais la surprise est grande quand on decouvre les pouvoir de Yoh et son equipe. En fait il n'y a pas de combat c'est juste une demonstration de force de Yoh et ses amis. Tres bon tome.
Un tome de transition avec plein de choses au programme : la conclusion de la mission de Mugenjo, une histoire sympa qui nous permet de mieux connaitre Shido et le debut d'une nouvelle mission qui s'avere une fois de plus perilleuse pour nos 2 amis et qui annonce des futurs revelations sur le passé de Ban.
Afin de déterminer l’origine et la nature des quatre rayons de lumière qui frappent la terre, un colloque scientifique, auquel participent Jacob Kandahar et Ardell Clayton, est organisé. Malgré ce colloque Jacob décide de continuer ses recherches en solo, ou faut-il dire «en trio», car il entraîne Ardell dans l’aventure et est bien décidé de retrouver le témoin clef de la première tuerie au Sénégal qu’est la journaliste Hannah Osternik.
Côté scénario les interrogations du premier tome sont confirmées, voir même amplifiées. Les scientifiques et les militaires vont, tels des enfants face à une nouvelle découverte, faire des expériences aux résultats souvent surprenants sur les rayons. L’intrigue demeure.
Jacob est de plus en plus antipathique, ce qui change des héros plus classiques auxquels les lecteurs aiment s’identifier. L’histoire ne donne pas l’impression d’évoluer, mais reste tout de même passionnante et pleine de rebondissement car l’auteur joue avec les zones d’ombres pour tenir le lecteur en haleine, un peu à l’image de Corbeyran dans le Chant des Stryges. Et il faut bien avouer qu’ici aussi, ça fonctionne totalement.
Encore un excellent album de cette superbe serie. Une fin de cycle plein de surprise ( c'est un ptit mot ) et qui tient toutes ces promesses. Le dessin est toujours au top ( encore une fois des superbes scenes d'actions ). Un scenario à la hauteur des precedents, le seul regret c'est de devoir attendre le tome 8, on aimerait le lire tout de suite.
Tout est très bon dans cette oeuvre ! Le scénario est de haut vol et le dessin noir et blanc avec ce style si épuré et pourtant tant évocateur est magnifique !
L'histoire ne vous lache pas. Quand on commence, on n'a qu'une seule envie : aller au bout !
Franchement indispensable !
Quatre rayons lumineux apparaissent simultanément aux U.S.A., au Groenland, au Sénégal et en Turquie. Leur origine apparemment extra-terrestre reste mystérieuse et ils semblent d’ailleurs accompagnés d’étranges phénomènes. Au Sénégal, l’armée nettoie le véritable carnage qui a eu lieu à l’aéroport.
Jacob Kandahar, l’homme le plus intelligent de la terre, et la journaliste Hannah Osternik vont se retrouver mêlés à cette histoire, que les militaires considèrent déjà comme une menace à l’échelle mondiale.
Ne vous fiez pas à la couverture hideuse et au titre plutôt primaire, qui ne sont qu’une grosse erreur marketing pour un produit dont le contenu mériterait de se vendre comme des petits pains.
Tout en développant les principaux protagonistes, c’est avec grande précision que Bollée nous met l’eau à la bouche en développant une intrigue captivante à l’échelle planétaire. Le résultat est une mise en place fluide de la série avec déjà pas mal d’action, dont une chasse en pleine jungle sur des monstres extra-terrestres qui fait fortement penser au film «Predator».
Le scénario de Bollée laisse beaucoup d’alternatives de développement à l’histoire, tout en livrant au lecteur quelques pièces d’un puzzle qui s’annonce passionnant.
Le dessin aux superbes couleurs d’Aymond n’est pas spectaculaire, mais sert efficacement le récit, un peu à la manière de Leo.
L’échiquier est mis en place pour une partie en 5 tomes qui s’annonce passionnante.
Une BD qui nous plonge dans le côté obscur de la politique, et du pouvoir de l'argent.Ici le permis de tuer est porté par pas mal de monde.
Le scénario est assez haletant avec pas mal de scènes d'actions et au final on veux une suite.
Petit bémol au niveau des placements des bulles, qui ne permet pas une fluidité dans la lecture et le découpage parfois aussi un peu difficile à suivre.
Espérons que le tome deux pèche moins de ce côté
Sinon si vous aimez la BD d'action, vous serez servi...
un véritable chef d'oeuvre (tome1 et 2).
Une histoire toute simple sur l'amitié, superbement racontée, l'émotion passe très bien. Le tout dans un monde entre 2 époques (que je situerais entre les années 1900 et le futur proche) réinventé par les auteurs, qui reste néanmoins
parfaitement crédible.
Le dessin est original et somptueux, notamment concernant les "décors". Les couleurs sont parfaitement adaptées.
Un grand moment de BD.
bon voila prenez cet avis comme celui d'un fan absolu de patrick cothias et de son oeuvre alors pour moi les sept vies de l'epervier et ses sequelles sont l'oeuvre bd incontournable, un peu comme si on parlait des miserables en litterature. moi objectif? peut être pas mais en tout cas essayez un jour et vous vous laisserez entrainer dans le theatre de leonard langue agile!
j'ai achete le tome 1 car fan de tout ce qui touche l'atlantide et mû et apres avoir lu l'avis precedent, alors je dirai que c'est bien mais que l'on attend la suite pour voir si on tombe dans une bête histoire de gueguerre ou si l'auteur cache vraiment bien son jeu.... en attendant le premier tome vaut le coup d'oeil!
Un one shot superbe ! Le dessin naif est remarquablement mis en image. Les couleurs sont Vvraiment éclatantes. L'histoire nous entraine, presque d'une manière anecdotique, dans le monde de la mafia russe. Un histoire d'amour traité finement. Je recommande vivement !
Voilà, je viens d'acheter ce dernier album de Trondheim, simplement parce que je suis fan de cet auteur.
C'est très loin de Donjon, forcément, mais ça ressemble énormément à Mister O.
Après, je ne sais franchement pas quoi en penser : génie ou barbouillage de gamin de CM2? Le dessin est dépouillé, simplifié au maximum mais toutes les expressions sont là. Génie de la simplification à l'extrême ou auteur fainéant qui n'a pas envie de se fouler? L'histoire, sans paroles, s'adresse-t-elle à des enfants de moins de 10 ans ou à des amateurs avertis? Ca tourne pas mal en rond, ça se répète beaucoup, mais le dernier gag vient tout remettre en cause. J'ai souri à certains gags, trouvé d'autres insipides et été surpris par la fin.
Bref, j'ai l'impression de me trouver devant cet ovni de la bd comme un néophyte devant une oeuvre d'art moderne. Je n'ai ni adoré, ni détesté, je ne sais tout simplement pas quoi en penser.
J'ai mis 2/10 non pas parce que c'est mauvais mais parce que, comme le dit la légende "pour amateur uniquement". Je doute fort qu'un lecteur qui se contente de lire Astérix et Tintin puisse apprécier. Sinon, à mettre entre toutes les mains, même celles des plus jeunes.
Personnellement, voici une de mes bds favorites. A travers cette série, j'ai découvert une intrigue vraiment passionnante.
Plantons le décors: Imaginez-vous sur une planète hostile. Devant vous, un ennemi invisible et vraiment pas recommandable. Si cela vous fait penser au film-culte "Planète interdit", détrompez-vous car, ici, la bête est d'un genre tout à fait different et franchement, j'ai trouvé celle-ci beaucoup plus vicieuse et inquietante.
Le scénario de Richard Marazano est oppressant à souhaits.
Plus on avance dans l'histoire, plus on constate qu'une lente descente aux enfers est au rendez-vous. Notre curiosité étant ainsi titillée, on frissonne album après album.
A travers son dessin, Christophe Bec a réussi à developper un climat réaliste et glauque qui donne beaucoup d'intensité à l'histoire. Il est clair que la comparaison avec le premier opus d'Alien est inévitable tant l'ambiance est similaire.
En résumé, cette série, aux références cinématographiques, est assez spéciale au premier abord mais celle-ci est vraiment fascinante.
Et si vous êtes fan de science-fiction, vous devez possèder Zéro Absolu dans votre bédéthèque, c'est indispensable !
Annoncée dans le catalogue Soleil 1999, cette bd a finalement aboutit aux éditions Carabas qui ont eu le courage de croire en cette histoire (d'après l'auteur!).
Richard Marazano, qui est avant tout un scénariste, nous prouve, ici, qu'il sait aussi dessiner. Son traît est assez proche de celui de Christophe Bec (Sanctuaire). D'ailleurs, le climat de ce one-shot me fait un peu penser à Zéro absolu (Soleil), qui avait dejà été réalisée par la même équipe.
Le scénario tient très bien la route. Les personnages ont du relief et la narration est fluide et agréable.
Une aventure galactique que je vous recommande mais qui est malheureusement méconnue du grand public.
Cette série a le défaut de présenter des albums très inégaux.
"Le Dieu qui souffre" met en place les personnages ou plutôt le personnage du professeur Ariane, avec qui on cheminera sur plusieurs décades.
Les albums semblent indépendants à première vue puisqu'ils traitent tous de thèmes différents. Il y a cependant un fil copnducteur;la volonté du professeur Ariane à comprendre l'irrationnel sur Terre. Serait-il un élu? Choisi par qui et pourquoi?
Au cours des 4 albums, plusieurs années passent et le scientifique se rapproche toujours un peu plus de son but, but inconnu même de lui.
Le deuxième album est le plus fort et mériterait une note de 8.5, tellement j'ai apprécié l'originalité du scénario. On ne peut malheureusement pas en dire autant du tome un et du troisième qui s'essouflent très rapidement.
Une série en dents de scie qui ne passera pas à l'histoire.
Il faut lire le dossier Veuve Blanche à la fin de la bd pour essayer de comprendre ce qui s'y passe parce qu'il est évident que le lecteur peut avoir l'impression de s'être fait complètement floué lorsqu'il tourne la dernière page.
Tout se déroule bien jusque là et on attend un dénouement qui n'arrive pas...ou qui complique l'exercice puisque rien n'est résolu. Du moins en apparence.
En lisant le dossier, j'ai compris où l'artiste voulait en venir. Je présume qu'il s'est fait plaisir avant de penser au plaisir du lecteur. Prenez cet album comme un exercie de style plus que comme un polar car il ne suit en rien les codes réguliers.
Une fin vraiment décevante, trop hachée, trop d'éléments sont dévoilés sur les
dix dernières pages. De plus que sera le prochain cycle étant donné, encore
des rebondissements. Je trouve également que les magnifiques illustrations de
malfin et mises en couleurs de Schelle ont été massacrées à l'impression, en
effet aucun trait n'est lisse tout est dentelé, les couleurs font sales (problème
de trame ?).
On retrouve le lieutenant Preko Dragan et le sergent O’Hara en pleine aventure sur la planète Dakoï où ils tentent de délivrer le dernier chevalier-sorcier. Ce chevalier-sorcier est le seul à pouvoir déchiffrer un mystérieux message reçu par la Terre. Dans sa quête, Dragan tombe sur une Amazone nommée «Taman-Kha» qui poursuit le même objectif que lui sur cette étrange planète.
Si on prend plaisir à suivre les aventures du sniper Dragan sur Dakoï, grâce à une narration fluide, des dialogues humoristiques et un dessin soigné et haut en couleurs, on découvre également avec grand intérêt l’intrigue principale concernant le fameux message et des enfants-dieux aux curieux pouvoirs.
L’ambiance de cette série est bien plantée et, sans être grand amateur du genre science fiction, je vais m’empresser d’aller découvrir le deuxième tome.
Après avoir lu le huitième tome de «Trolls de Troy» et le quatrième tome de «Lanfeust des Etoiles», c’est avec une énorme appréhension que j’ai découvert la sortie de cette nouvelle série d’ARLESTON. J’ai d’abord résisté aux assauts commerciaux de Soleil, puis voyant les avis plutôt positifs j’ai craqué et j’ai acheté ce premier tome.
Puis en commencent la lecture, j’ai retrouvé un univers typique Lanfeust et j’ai juré. Puis j’ai découvert un dessin et des personnages typiques Soleil, produit par un des dessinateurs clones de la batterie Soleil et j’ai encore juré. Ensuite j’ai commencé à me lier aux trois nouveaux personnages (Granite, Calista et Narvath), à leurs caractères et à leur complémentarité (pas à leur look Soleil).
Le vaisseau de nos trois héros fait naufrage sur une mystérieuse planète où ils sont directement capturés par une tribu qui parle la même langue, sauf qu’elle remplace les "c" par les "f", ce qui rend la lecture carrément insupportable (je jure encore une fois). Soleil m’avait déjà fait le coup de remplacer systématiquement le "c" par "kl" dans l’excellent "Kuklos", mais là au moins c’était afin de correspondre à la réalité. Ici, c’est juste pour emmerder le lecteur je crois.
Heureusement, nos trois vedettes Soleil parviennent à s’échapper de cette tribu à la prononciation irritante (j’ai rarement été tant soulagé de m’être évadé d’un endroit). J’ai continué la lecture, commencé à apprécier le dessin dynamique de Floch et accroché au scénario bien ficelé d’Arleston.
Bon d’accord, il y a encore des passages à l’humour assez puéril, mais ils ne sont pas trop fréquent et feront sûrement plaisir à une certaine tranche d’âge du large public que vise cette série. La narration d’Arleston est fluide, le scénario est excellent (même si la recette n’est pas nouvelle), sans temps morts et c’est finalement avec un sentiment positif que j’ai refermé ce nouveau pari box-office de Soleil.