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La grosse erreur dans cette série, c'est d'avoir choisi pour héros le comte de Champignac sans respecter du tout le personnage créé par Franquin, pour faire passer des messages. Champignac est plus adapté à une série humoristique que dramatique et ici, il est fade et ennuyeux ce qui est un comble
Un album que j'ai détesté - et pas seulement pas aimé. La plpart du temps, je n'ai pas trouvé l'humour drôle, avec des gags qui traînent en longueur sur des pages et des pages, comme si l'auteur voulait absolument qu'on remarque que c'est drôle. Mais surtout, j'ai ressenti du mépris envers l'univers créé par Morris et surtout envers son héros qui passe pour un débile.
le dessin est parfait, le storyboard un peu touffu, mais on ne peut que regretter le parfum de complaisance à l'égard d'une bande de salauds qui ont trahi leur pays pour combattre pour le nazisme, on présente en héros, sauvant une femme violée par les russes, un déserteur allemand que les allemands veulent fusiller, bref c'est nauséabond; dommage, car cela aurait pu donner un bon album,
On retrouve l’énergie de l’histoire et des dessins, les personnages sympathiques avant que tout commence, donnant un nouveau jour à l’ensemble.
A cela près qu’on sait déjà quasi tout et qu’il y a donc peu de surprises, avec en plus quelques scènes qui se répètent…
Donc, c’est sympa de voir l’histoire sous un autre jour, la réaction des parents et la vie intime de Nathan, d’avoir quelques petites réponses sur comment ça a commencé, mais vu qu’on sait déjà quasi tout, c’est un peu banal dans l’ensemble…
Agréable mais dispensable.
Cette intégrale marque de nombreux changements dans la vie d’Invincible. Ces relations avec Cécil se corsent sérieusement, ce qui plongera Mark dans certaines phases de doute. Nous avons également un changement de costume à l’image de la couverture.
La relation entre Mark et Eve évolue enfin (peut-être mes moments préférés sur cette intégrale). Le développement d’Oliver prend également beaucoup de place et ses pouvoirs ne cessent de grandir.
Certaines planches sont absolument incroyables (mention spéciale pour les boucles pages sur Eve et Mark). Je prends toujours plaisir à découvrir les bonus qui nous en apprennent plus sur la construction de certains dessins.
J’aime toujours autant cette série et je m’empresse déjà d’aller lire la suite.
Love Story a été un film dramatique poignant des années 70 qui est un peu tombé en désuétude. L'amour est plus fort que tout mais sera quand même soumis aux épreuves de la vie. La mort en fait malheureusement partie.
Cette BD constitue un subtil mélodrame dont le thème est l'acceptation du deuil. Notre héros black voit partout son amie décédée dans un accident. Il va la voir apparaître comme une sorte de fantôme dans sa vie mais tout lui paraîtra si réelle. Il sait tout de même qu'il s'agit d'un mirage notamment quand il se confie à son psychiatre.
La fin est une réelle surprise qui vient tout chambouler bien que le procédé a déjà été utilisé dans certains films. J'avoue avoir bien apprécié cette mise en scène qui parait totalement crédible.
Le dessin sera pas vraiment le fort de cette œuvre mais il est totalement acceptable notamment dans ses plans parfois contemplatifs de la ville de New-York. L'auteur a choisi la carte de la simplicité et c'est tant mieux car pas de fioritures inutiles.
Au final, nous avons une proposition qui peut paraître assez touchante pour peu qu'on soit sensible à ce thème pas très joyeux.
C’est une ode à la vie, sur fond de culture indienne , c’est sympa mais pas extraordinaire . C’est vrai que je n’ai pas lu souvent d’histoire qui sont un hymne à l'existence à travers le regard de la mort, c’est original de ce point de vue . Plusieurs destins se croisent, les croyances hindous et la réalité, la mort, la vie et ses souvenirs , le tout sublimé par des couleurs chaudes aux nuances de violet, qui accentuent l'aspect poétique, chimérique et abstrait . Le dessin est quant à lui, assez inégal avec de temps à autres de gros ratés . Le trait "croquis" est bien évidemment volontaire, mais n'en reste pas moins trop approximatif avec des erreurs d'échelle et de position (voir illustrations) . Certaines planches sont agréables à observer , cependant trop peu nombreuses et pas non plus exceptionnelles .
"Laila Starr" reste un récit original, bien écrit sur un sujet philosophique cotoyant le fantastique et la réalité dans une culture indienne très agréable à découvrir .
Voilà une lecture bien plaisante.
Certes c'est ultra référencé, mais pour ma part je suis entré facilement dans cet album et j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre les aventures de ces petites frappes bien attachantes.
Le dessin "à l'ancienne" est tout aussi agréable le et nous plonge réellementd ans les années 60... une belle découverte.
Belle édition soignée.
Un grand bravo au auteurs.
Pour le premier cycle (T1@5) :
Mon commentaire est pour les 5 premiers albums que j'ai eu la chance d'attraper en coffret.
Les dessins passent très bien. Il y a quelques fois des planches sur 2 pages qui sont vraiment sympas.
Au niveau du scenar, c'est sur que c'est quand meme chouette. Il y a beaucoup d'actions, les découvertes des planètes sont bien intéressantes. Il n'y a aucun liens entre les 5 histoires sauf que tout le monde a fui la Terre pour la meme raison, les conquérants, et on ne sait pas grand choses à ce sujet... peut-être dans le 2e cycle...
Ce qui est dommage je trouve, c'est que, du fait qu'il y ait un album par histoire sans suite, pas de continuités, les histoires sont trop vite conclues, avec un rythme bien trop rapides, sans prendre le temps de creuser des moments qui auraient mérités plus d'attention, ou trop vite gérés, à la limite du bâclage... Alors ca n'a manqué à aucun des 5 albums : A la fin, je suis resté sur ma faim... bien dommage !!
Bien hâte quand même de lire le 2e cycle, le coffret arrive le mois prochains, en espérant avoir plus de viande autour de l'os.
Merci à vous messieurs de rendre hommage à un magnifique peuple qui a été massacré par les visages pales et les visages sombres unis dans la haine du peau rouge.
Ce 21ème tome de la saga Orcs & Gobelins est le premier à être directement lié à la période des guerres d’Arran. J’avais donc hâte de voir dans quelle mesure le récit allait faire écho aux événements du crossover.
Nous faisons la connaissance d’Orak, un semi-orc à la peau rouge. Ce dernier mène une vie paisible jusqu'au jour où la guerre va venir bouleverser son quotidien et le replonger dans son passé qu’il aurait préféré oublier.
Cette lecture m’a transporté en terre d’Arran du début à la fin du récit. L’écriture des personnages tout comme le scénario sont de grande qualité. Les dessins d’Alina Yerafieieva m’ont scotché par leur beauté et le voyage qu’ils entraînent. Les grandeurs des paysages alimentent cette sensation de voyager dans un sublime univers de fantasy. J’espère vraiment revoir cette dessinatrice sur de futurs albums de la saga.
En résumé, j’ai refermé la BD en étant conquis par ma lecture. C’est un vrai coup de cœur !
Parfois, je regrette de ne pas avoir effectué plus de voyages dans ma vie. Quand on est jeune, on peut parfois tout abandonner (son travail, sa famille, son petit ami) et partir comme l'autrice Maëlle Bompas pendant trois mois à la découverte du Japon. On va voyager à travers elle sur la planète Japon.
De manière générale, j'ai plutôt bien aimé cette découverte du pays au soleil levant même si j'avoue avoir préféré d'autres BD du même acabit comme par exemple « Le projet Jules Verne » également par une autre jeune globe-trotteuse.
Sur la forme, cela fait vraiment petit carnet de voyage. Mais on passe vite d'une illustration à l'autre sans véritable fil conducteur. Certes, il y a des chapitres qui sont divisés en étape sur les différentes îles composant l'archipel de ce pays maritime mais bon. En même temps, cela nous procure une certaine richesse de découverte. Il y avait sans doute mieux à proposer quant à cette mise en forme.
Sur le fond, il y a deux choses qui m'ont vraiment interpellé et qui mérite qu'on s'y penche.
A un moment donné, elle fait la rencontre de jeunes entrepreneurs qui lui livrent leur version de l'entreprise qui s'apparente presque à une domination des salariés. Pour améliorer leur condition de travail, ils n'ont pas trouvé mieux que d'offrir un dortoir afin qu'ils puissent faire des heures supplémentaires c'est à dire travailler plus. Or, plus tu travailles, moins tu es productif : ils n'ont rien compris ! Elle dit à juste titre qu'ils ont en tant que jeunes la responsabilité de construire quelque chose de plus respectueux des gens. Bravo pour cette analyse que je partage entièrement.
La seconde affirmation ne recueillera pas forcément mon assentiment. L'autrice nous explique que le président Truman avait prévenu le Japon qu'il allait larguer une bombe d'une puissance terrifiante mais ces derniers ne l'ont pas écouté et l'irréparable s'est produit sur Hiroshima puis Nagasaki. Je n'avais jamais entendu parler de cette version même dans des ouvrages spécialisés sur cette question comme « La bombe ». Cela se termine d'ailleurs par la réflexion d'une indonésienne qui indique que cela a permis d'arrêter la guerre et les exactions japonaises dans les pays conquis par le Japon (tortures, esclavages sexuels et exécutions arbitraires).
Le reste sera quand même fort léger entre petites anecdotes et recettes de cuisine. Cela nous permet quand même de découvrir le Japon avec deux grands absents : Tokyo et le Mont Fuji. Il faut quand même le faire !
Excellent livre ! Le scénario et les dessins sont parfaits ! L'ambiance y est. On voit bien que dès qu'un album ne s'arrête pas à la quarantaine de pages, traditionnelle, l'histoire en devient plus touffue et donc plus intéressante. Bravo !
« Captain america, la menace de Solaar » incarne à la perfection l'efficacité des années 70.
Les scénario sont simples mais fonctionnent à merveille : un nouveau super criminel flamboyant aux pouvoirs « solaires », une crise avec le Faucon qui se détache de son partenaire pour retourner flirter avec le monde glauque des voyous de Harlem, avant une réconciliation sur fond de passion amoureuse « historique » retrouvée.
Tous les ingrédients sont combinés à merveille et Englehart confirme son statut de maitre du comics.
Quant au style si particulier de Buscema, il est tout bonnement inoubliable !
Plus d'informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/04/captain-america-la-menace-solaar-steve.html
Après tant d’années d’attente pour la réédition de ce run de Bendis en Maleev, j’ai enfin pu lire le premier volume. Bendis est excellent lorsqu’il s’agit d’écrire des récits à l’ambiance polar et c’est ce que nous avons ici. J’aime le fait que l’histoire traite plus de Matt Murdock que de Daredevil. Les dessins de Maleev sont très réussis. Ils sont loin de ce qu’on pourrait qualifier de « mainstream », néanmoins, ils collent parfaitement à l’ambiance que je recherche lorsque je lis du Daredevil. Certains passages de ce premier numéro m’ont vraiment plus et j’ai hâte de lire la suite tout en espérant que la qualité continuera d’augmenter.
En résumé, je suis convaincu par ce premier volume. J’espère que la suite saura justifier le statut de « run indispensable » sur le personnage.
cela aurait pu être sympa, ca débute bien mais après les pages mystères même si j'aime le dessin, c'est plat. une course poursuite sans intérêt et un dénouement que l'on connait des le départ de Pacôme. des révélations sympas mais dans l'ensemble comme pour le tome 2 une grosse déception
Un bon album avec des scènes intéressantes.
Ce n'est pas la meilleure série de Western mais comme elle se clôt en 7 tomes, je lui donne un avis favorable (même si certains tomes présentes des longueurs).
En prenant un peu de recul, le principal défaut de cet album est la lenteur à l’allumage. Il faut une dizaine planches avant que Van Hamme prenne un peu d’aise avec cet univers qui, il faut bien l’admettre, est assez hermétique. Et même alors, l’impression d’ensemble est celle d’un album sans grand enjeu, maladroit, poussif, aux ficelles grosses comme des câbles et où le scénariste avance avec de gros sabots bruyants. Tout juste peut-on dire que considérant le matériel d’origine et la gageure que représente cette entreprise, Van Hamme limite la casse.
(Chronique complète sur lesamisdespirou.com)
Opus inégaux mais toujours bien rythmés et intéressants, je reste sur ma faim (fin). Dommage de ne pas avoir plus de réponses aux questions en suspens ! Le tome 2 est un pur chef d’œuvre. 4/5 pour l’ensemble de la série.
C’est amusant et très drôle à lire. Belle imagination pour faire les transpositions films -> BD ! Après ça ne mérite pas non plus plus de 3,5/5 pour la série complète, il ne faut pas exagérer, même pour un fan absolu de SW comme moi.
Typiquement le genre de série qui a l’époque de la sortie devait être une tuerie et une révolution et qui maintenant est toujours très bien, mais à laquelle on voit des « défauts » propres à l’époque (narration/rythme perfectibles).
C’est extrêmement beau, prenant, mais pas toujours compréhensible (enfin, c’est du fantastique alors je suppose que c’est normal).
4/5 pour la série complète (5/5 sur cet album, le meilleur pour moi) : j’adore ces histoires, ces ambiances ! C’est toujours des décors magnifiques, on voyage, on découvre beaucoup de scenarii plutôt bien vus, avec suspenses, retournements de situations et cliffhangers. La série est excellente pendant très longtemps mais aux alentours de l’an 2000, ça devient un peu ringard, bien que toujours sincère et touchante.
Une petite madeleine de Proust pour moi qui lisait les albums chez mes parents étant petit et qui le relit avec mon regard actuel de temps en temps.
C’est bieng. Oui, mais pas emballant. L’histoire est bien racontée et plutôt drôle, après ce n’est pas offensant de dire que ce n’est pas un chef d’œuvre, mais une œuvre intéressante et divertissante, sans coup d’éclat. Les dessins sont atypiques et parfois confusants (visages).
Pas sans intérêt mais presque. Si, on y apprend beaucoup de choses ! Culturellement, c’est un bel objet. En terme de divertissement, non. C’est laborieux à lire, pas entraînant pour un sou. Quel dommage, j’adore ces auteurs.
J’étais sceptique avant la lecture, je ne suis pas un fan absolu des récits en mer. Mais là, c’est un coup de maître ! Le roman est vivant avec ces dessins somptueux, et je pense même qu’il prend une dimension supplémentaire pour le surpasser !
Belle découverte due au bouche à oreille. Les dessins enfantins servent parfaitement une histoire plus sombre et surprenante !
Avis pour la série (3/5) : en elle même, elle est belle, magnifique même, mais pas toujours passionnante. C’est même assez laborieux des fois, car c’est un rythme et une narration très marqués années 70/80.
En revanche les 2 récits de jeunesse, plus tardifs, sont de petits bijoux de beauté et de poésie, d’élégance, et méritent 5/5.
Ça se laisse lire, c’est plutôt beau, assez intriguant, même si ça a pas mal vieilli. Pour les amateurs d’aventure.
Que c’est beau ! A lire uniquement pour les planches magnifiques, les histoires sont simplettes et datées, pour nous qui sommes maintenant habitués à de la SF actuelle.
À quand la suite ? Quel dommage que le Long Bec ait fait faillite! J’espère que Regric fera du financement participatif pour le second opus. Le premier était très agréable à lire, drôle, beau, et prenant!
Quel album ! On voit l’évolution du dessin, on y trouve des raretés et des albums réunis sympas à lire d’affilée … content de mon achat !
Quelle hype pour ça ? Alors oui graphiquement ça vaut le coup d’œil une fois, c’est sûr ! Le reste ? Laborieux … je n’ai pas fini, trop lourd, indigeste, pas de rythme.
J’ai du mal à comprendre la hype sur cet album. Oui c’est poétique, oui ça parvient des fois à être un peu drôle, mais au final, seule la fin m’a réellement plu.
La série entière est un indispensable pour tous les amoureux d’aventures et de ligne claire. Elle a un univers bien à elle, rondement amené. Les dessins, notamment des sites et paysages, sont somptueux. Quand aux scenarii, ils sont ciselés et fort bien rythmés, prenants et même envoûtants par moments.
Aucun tome n’est plus faible, la qualité est constante.
C’est incroyable qu’elle soit à ce point méconnue, elle mérite une exposition bien plus importante.
Faites immédiatement l’acquisition de la série complète ! :P
Série indispensable pour tout amoureux de ligne claire et d’aventures. Humour, rythme, ancrage de la petite histoire dans la grande, dessins, tout est parfaitement réussi ! Injustement méconnue, n’hésitez pas à la lire, vous ne le regretterez pas.
Bonnes filiations scenaristiques et visuelles, l’esprit est respecté ; mais si le Rayon U n’était déjà pas un chef d’œuvre (soyons réalistes), cette « suite » inutile et mercantile est carrément en dessous pour tout et se laisse lire, parfois laborieusement, sans évoquer quoi que ce soit comme sentiment.
Le format de cette BD est plutôt luxueux, c'est ce qui nous frappe au premier abord. C'est une BD en noir et blanc sur de grandes cases et de belles planches. On sera vite subjugué par la beauté de ces illustrations. Sur la forme, il n'y a rien à redire.
Cela raconte le parcours d'un jeune homme qui souhaite percer à Hollywood dans les années 30 et 40. C'est l'acteur célèbre Cary Grant qui va le guider dans ce milieu cinématographique.
Ce métis noir d'origine chinoise et amérindienne va essentiellement jouer des rôles ethniques dans les plus grands classiques du cinéma de cette âge d'or des productions hollywoodiennes : chef indien, révolutionnaire mexicain, dandy oriental. Son nom sera souvent oublié des génériques de fin.
Maximus Wyld n'a pas été une grande vedette mais il a été le premier à ouvrir la voie à d'autres qui se sont fait remarquer comme Eddie Murphy ou Will Smith. Il est vrai que je préfère nettement Morgan Freeman ou Denzel Washington.
On va revisiter d'une manière différente le mythe du rêve hollywoodien. On va découvrir ce qui se cache derrière et cela sera assez loin d'une vision réconfortante. La ségrégation faisait également rage dans le cinéma.
J'ai beaucoup aimé cette biographie car elle va au-delà de l'histoire de ce jeune homme qui va devenir acteur, à la fois guerrier, gangster ou dissident. Il est question du pouvoir des images. Il se rend compte que le film divertissement est un mirage assez séduisant mais qui ne reflète pas la réalité historique comme le massacre des peaux-rouges par l'homme blanc quand le western nous montre tout le contraire au point de soutenir le cow-boy.
C'est quand même un triste destin que de terminer condamné injustement pour espionnage à la solde des soviétiques dans le cadre du maccarthysme et de se voir disparaître de toutes les bobines de films tournés antérieurement comme pour effacer votre trace. C'est quand même tragique dans le fond.
Cette BD est assez intelligente dans le concept, dans la narration et dans la mise en forme. C'est indéniable. Et puis, elle semble réparer une injustice même s'il s'agit d'une fausse biographie. Cela rend un véritable hommage au talent et au courage des artistes noirs.
Je pense notamment à Hattie McDaniel qui jouait Mammy dans « Autant en emporte le vent » ce qui lui a valu l'oscar de la meilleure actrice dans un second rôle en 1940. Nous la retrouverons d'ailleurs dans cette présente œuvre comme d'autres protagonistes de cette grande époque du cinéma.
J'ai également bien aimé cette conclusion avec une Rita Hayworth, le sex-symbol féminin des années 40, qui ne l'a pas oublié malgré sa maladie d’Alzheimer à la fin de sa vie.
Je me prononce sur la série jusqu'au sixième tome. Sam est une jeune fille dégourdie, qui aime la mécanique automobile, mais qui a un tempérament rêveur : elle passe facilement de la réalité au rêve, et cela la met dans des situations cocasses. C'est frais, bien dessiné, original et bon enfant. Mais cet aller-retour constant du réel au fantastique finit par être répétitif, ennuyeux, et rend les scénarios quelque peu indigeste. Pour l'ensemble de la série, un 2,5/5 sans plus.
Encore un titre qui était sur ma liste depuis des années et qui vient enfin de rejoindre ma bibliothèque.
Ce n’est certes pas une lecture rigoureusement indispensable, mais c’est un album on ne peut plus réjouissant, à condition bien-sûr de ne pas être complètement allergique au genre pulp dans le sillage duquel « Lorna » se positionne clairement. On pourrait ne rien attendre d’une telle publication mais le récit s’avère beaucoup plus intéressant et complexe que la couverture le laisse imaginer. Et c’est surtout du grand Brüno côté dessin ! L’ensemble est absolument magnifique et se dévore avec un plaisir coupable.
Une petite pépite dans laquelle monsieur Pétrimaux a très certainement pioché quelques idées en faisant son « Il faut flinguer Ramirez »…
Un cycle qui s'achève et mon sentiment sur la série est très mitigé.
Je trouve que la "quête" est assez chaotique et protéiforme. On a du mal à retracer les points cruciaux tant il y peu de logique. Tout n'est pas à jeter, mais l'ensemble donne des sensations très hétérogènes. Tantôt captivant, tantôt très énigmatique le récit prend des directions inattendues et inutiles. On ne peut pas dire que la quête principale ait était captivante, tellement on en a pratiquement pas parlé pendant les 5 tomes. Les quêtes secondaires, elles, n'ont pas vraiment apporté grand chose à l'histoire dans son ensemble.
Une série destinée aux fans et qui ne se suffit pas à elle même.
Très beau, lourdingue et infantilisant sur le thème cher aux auteurs de cet opus, avec une course poursuite à rallonge juste là pour meubler l’album en nombre de pages. Pas vilain mais beau gâchis.
Avis après 7 tomes.
Série manga très agréable : des combats bien scénarisés, de l'humour traditionnel japonais, et surtout l'histoire avance rapidement, chaque tome apportant un plus à l'univers.
Un dernier album qui est décevant par sa chute...
Une fin qui n'en est pas une...?
En tout cas, c'est une fin très surprenante (originale ?) où l'on ne prend pas en compte le sort de Nestor le héros !!!
Avis pour les tomes 4 et 5 qui forment le cycle indochinois.
Uchronie très sympa où Pécau se fait plaisir en utilisant les grandes figures historiques de l'époque : Malraux, De Gaulle, Capa, Bigeard, Mitterrand...
Le scénario fait le lien avec de nombreux univers souterrains : Jules Vernes, Lovecraft ainsi que des civilisations disparues : Thulé, Atlantide...
Quelle déception!Tout à fait d'accord avec la chronique,en pire,tant pour le dessin que pour le scénario
J'ai découvert cette série par hasard et longtemps après sa sortie, elle m'a littéralement emballé. Les dessins sont sublimes et le scénario passionnant. Une fois que vous avez commencé la série, vous êtes accroché et ne pouvez plus lâcher sa lecture. Cette histoire tout en sensibilité et en émotion, nous retrace l'histoire de 4 hommes se retournant sur leur passé pendant la seconde guerre mondiale. Elle montre bien à quel point ceux qui l'ont vécue sont marqués à vie. Vous sortez de cette lecture très remué. Je n'avais jamais rien lu de Maryse et Jean-François Charles et je suis impressionné par la qualité de ce binôme. N'hésitez pas à vous procurer cette série, vous ne le regretterez pas. Indispensable dans toute bonne bédéthèque.
Après la lecture de ce troisième volume, je reste globalement très mitigé sur cet event.
Je ne retiens rien de mémorable et j’ai presque l’impression que l’écriture de Zdarsky s’essouffle. L’arc principal de Devil’s Reign n’était pas désagréable, mais n’a rien proposé d’innovant. Finalement, rien ne change réellement à la fin du récit, ou les petits changements sont insignifiants. De plus, la résolution concernant les jumeaux Stromwyns est extrêmement décevante et expédiée en un rien de temps. Toute la partie sur le Docteur Octopus était inutile et en décalage complet avec le reste des événements. Parmi les tie-in, j’ai apprécié celui sur les X-Men et notamment Emma Frost que je trouve très charismatique.
Je garde malgré tout l’envie de savoir comment ce duo (Zdarsky et Checchetto) terminera ce run avec le combats des Daredevil face à La Main.
En qualité de juriste, on ne peut qu'être intéressé par un procès dont l'accusé est un simple animal à savoir une truie qui ne demande qu'à allaiter ses petits pourceaux. Elle est accusée officiellement d'avoir renversée le cheval du fils du comte. Il faut dire que ce dernier maltraitait sa monture ce qui peut expliquer aisément l'accident dont il a été victime mortellement.
Oui, au Moyen-Age, on jugeait les animaux pour assurer le spectacle auprès de la population avide de châtiment, ceci avec l'objectif de conserver l'ordre et de contenter les notables.
On se rendra compte que c'était également un moyen de tenir les femmes réduites au rang d'objet comme un avertissement en cas de rébellion. La femme du juge va d'ailleurs joué un rôle assez primordiale dans cette BD aux accents satyriques.
On ne peut que souligner l'absurdité d'une telle parodie de justice mais cela est à mettre en lien avec une critique à peine voilée de la justice aux mains des puissants qui rend des verdicts contre toute logique. Je n'ai pu mettre cela en parallèle avec ce qui se passe dans notre pays...
Le final est grandiose dans le message délivré. Oui, celui qui rend l'injustice finit un jour par en payer le prix dans le sang. A bon entendeur, salut !
J'ai été séduit par cette œuvre assez originale dans le concept qui nous pousse dans les derniers retranchements. On n'est pas prêt d'oublier ce récit et cette pauvre truie victime de la méchanceté humaine la plus abjecte. Evidemment, une pensée également pour cet avocat courageux qui va défier l'autorité au péril de sa vie.
5 histoires, 6 personnages, 5 dessinateurs pour mettre en image ces recits de vies et d'engagements incroyables des ces jeunes filles !
Nos politiques devraient en prendre de la graine.
Je ne suis pas très collectif (dans les Bd), mais là, bravo, grande réussite.
Pour fêter les 50 ans de la création des Schtroumpfs, le fils de Peyo ainsi que Luc Parthoens, l'un des scénaristes attitrés de la série,, ont concocté cette aventure mêlant aventure et magie pour le plus grand plaisir des amateurs. En plus des 28 planches de cette histoire, l'album recèle un lexique paru en 1971 dans le journal Spirou sur le langage Schtroumpfs. Sachant que cet opus n'a été publié qu'en nombre limité (50 000 exemplaires), vous comprendrez qu'il est indispensable de l'avoir pour tout fan qui se respecte !
Stella aime Marco, se plie en 4 pour lui, prend un boulot supplémentaire, lui paie ses heures de permis... Et affichent ensemble des sourires de façade auprès de leurs ami.e.s et familles. Mais rien ne va quand elle et lui se retrouvent au lit, Marco n'y arrive pas, ce qui met la patience de Stella à rude épreuve. C'est la rencontre avec Ludovica, pour qui Stella fait du babysitting, qui va réveiller des fantasmes insoupçonnés chez Marco. L'histoire est déjà écrite, on ne peut qu'assister à la descente en flammes du couple, qui était de toute façon promis à rester dysfonctionnelle.
Après son intéressant Padovaland, Miguel Vila (né en 1993) frappe fort avec son nouveau bouquin et ne fait pas dans la dentelle pour rentrer dans l'intimité de ses personnages, en particulier Marco qui est le noeud de l'histoire. Fleur de lait est un peu une extension de Padovaland, on retrouve cette même province italienne, morne, artificielle, sans avenir. Vila pousse plus loin la représentation des jeunes qui n'ont que des centres commerciaux et parcs pour tuer le temps, et la représentation des physiques imparfaits, loin des publicités dont les jeunes sont abreuvés.
Sa science du cadrage, et surtout des petites vignettes, de leur positionnement, du vide tout autour, etc... donne des compositions de page très chouettes et singulières. Les vignettes sont tour à tour contextuelles (très ware-ien), voyeuristes, ou dans le flow d'une conversation, et donnent parfaitement le rythme de la page. Je suis très fan de tout ça.
Une des forces de Fleur de lait est qu'il est très explicite dans son analyse, mais je crains que ça soit à double tranchant dans son appréciation, et que d'autres lecteur.ice.s trouvent que Vila en fait trop.
Forgotten Blade est une petite pépite que l’on n’attendait pas et que seule le comic indé sait proposer. Écrite par le propre patron et fondateur d’un des derniers éditeurs de comics indépendant outre-atlantique déjà à l’œuvre sur Seven deadly sins, cette épopée fantastique semi SF est surtout l’occasion d’un énorme révélation graphique en la personne de Toni Fejzula. Entre la démesure architecturale d’un Druillet et la spontanéité d’un Olivier Pont, le serbe nous enivre dans un univers visuel unique où la magie et le fantastique adoptent l’esthétique de la haute science-fiction pour mieux troubler les lignes. La science du cadrage et la justesse des dessins permettent au dessinateur de coller des figures tantôt très classiques, tantôt estompées en des touches évocatrices et une colorisation très douce et incertaine. Le tout réussit l’incroyable pari de proposer des planches très lisibles correspondant à la thématique classique de l’odyssée punitive contre une Eglise inquisitoriale (registre action) et une dimension ésotérique avec des décors et magie géométriques. [...]
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2023/03/11/forgotten-blade/
Tout est vrai. C’est une affirmation bien péremptoire que voilà. Il faut parfois douter pour garder son esprit libre de toute contrainte ou propagande.
On commence par faire connaissance avec une corbeille, ces oiseaux noirs qui n’ont pas bonne presse. Visiblement, c’est le narrateur de ce récit où il n’y aura pas de dialogue mais juste des remarques et des observations sur le monde qui nous entoure.
C’est intéressant de partir du film d’Alfred Hitchcock à savoir « Les oiseaux ». Ce film m’avait beaucoup marqué durant ma jeunesse car il entraîne la peur. Il est vrai que les oiseaux sont généralement des animaux assez inoffensifs et on ne les voit pas attaquer massivement l’être humain. Mais bon, qui sait ce qui pourrait arriver dans certaines circonstances ?
J’ai été assez étonné de voir à un moment donné que le propos va se concentrer sur la thématique du terrorisme islamiste. En effet, notre narrateur après avoir été attaqué par une fille lui lançant une pierre, va suivre deux hommes pas très nettes qui se préparent à commette l’irréparable dans la capitale parisienne.
Cela devient progressivement assez lourd dans la narration pour nous expliquer le parcours de ces deux hommes qui basculent dans le terrorisme. J’ai pas du tout aimé cette rupture de rythme. Par ailleurs, cela apporte rien de plus que l’on ne sait déjà.
Le graphisme faisant dans le minimalisme, ce n’est pas de ce côté-là qu’on pourra trouver de la grâce et de l’élégance. Bref, l’ensemble est plutôt terne et basique.
Il y a un effet final pour tenter de rapprocher l’agression de la fille avec la tuerie d’un policier sur le trottoir par les deux terroristes. Je dirai que c’est assez maladroit non seulement dans l’approche mais dans la mise en forme.
Bref, c’est un titre qui ne m’a pas particulièrement marqué. Parfois, il peut y avoir des ratés et il faut l’accepter comme tel. Tout n’est pas que jubilation. Comme dit, tout n’est pas vrai !
C’est le genre de BD dont la thématique peut également vous parler dans l’hypothèse où vous avez des ambitions professionnelles à réaliser. Celles-ci se font très souvent au détriment de la vie de couple et plus largement de la vie de famille. Il faut choisir, soit le boulot, soit la femme et les enfants mais on ne peut pas tout avoir car c’est le facteur temps qui fait défaut.
On est très souvent prisonnier de nos propres vies. On est englué dans un quotidien qui ne nous plaît pas vraiment mais qu’on accepte pour ne pas perdre un boulot qui permet de gagner de l’argent et par conséquent de vivre plus ou moins correctement. L’ambition peut parfois conduire à la perte du bonheur et du bien-être.
C’est une BD chorale où l’on va suivre différents personnages qui s’entrecroisent. La particularité est qu’à force, on ne va plus que s’intéresser à deux ou trois d’entre eux qui ont auront vraiment une profonde interconnexion. Et ce n’est pas forcément ceux qui sont mis en avant dès le début de cette BD ce qui pourra dérouter le lecteur au passage. En même temps, je me dis qu’il y a un éparpillement assez inutile de personnages secondaires qui n’apportent rien à l’intrigue principale. Un recentrage aurait été louable.
La tendance actuelle de notre société est de donner un sens à sa vie et surtout un sens à son travail. A force d’accepter ce qui nous déplaît, cela a forcément une conséquence sur nos vies. Il est parfois difficile de suivre sa voie. Et puis, on se perd souvent dans ses priorités.
A noter également qu’il s’agit de la critique de ces grandes entreprises qui broient le personnel si les objectifs ne sont pas atteints. Chacun essaye de se protéger du grand ménage. Forcément, on y perd un peu son humanité et de sa compassion pour ceux qui doivent trancher dans le vif.
On ne pourra pas reprocher à cette œuvre assez réaliste un manque de profondeur psychologique, bien au contraire. Les personnages notamment féminins ont un caractère bien trempés dans ce conte social moderne.
On avance progressivement pur aboutir à un final qui fera dans l’émotion mais qui marquera surtout la moralité de cette BD comme quoi, il ne faut pas passer à côté des choses essentielles de la vie comme sa partenaire et ses enfants. A-t-on besoin d’une BD pour savoir cela ? Pas forcément mais cela peut parfois aider à y voir plus clair. On se pose évidemment les bonnes questions dans une réflexion qui demeure utile de temps en temps.
La qualité est présente dans le déroulé mais également sur l’aspect graphique qui est impeccable dans ses effets. La colorisation par exemple sera utilisé à bon escient. Il y a parfois un changement de technique avec de prises de risque pour remonter par exemple dans le passé. J’aime bien ce genre qui fait finalement dans l’efficacité au service d’une histoire.
Au final, nous avons un album qui donne à réfléchir car il est proche de nos vies et de nos préoccupations. Après tout, il faut rester maître de soi-même car on dispose du libre-arbitre. A nous de faire les choix de vie qui s’imposent pour que l’on soit heureux et ne pas se sentir prisonnier de notre propre vie.
un cycle mais pas une histoire complète... donc déçu de ne pas avoir de suite... Les tomes sont différents (dessins et scénario) en qualité, difficile donc d'avoir un avis sur l'intégral. La fin devient intéressante mais j'ai trouvé le tout globalement difficile à suivre...
Cette histoire requiert de laisser toute rationalité et cartésianisme au vestiaire. Cette "science-fiction" audacieuse sillonne des chemins escarpés pour nous amener en terrain philosophique de manière assez habile.
Manifestement l'œuvre appelle suite puisqu'un deuxième cycle est d'ores et déjà annoncé. Comme le dit Bourbix ce récit pourrait se terminer sur ce tome sans rien perdre de son attrait.
Et comme le stipule docteur fil gageons que le tome 3 se proposera à 25€.
Cet intégrale regroupe les trois premiers tomes de la série qui forment le cycle des aventures du journaliste Nestor Serge au Groënland.
L'Uchronie d'après guerre est intéressante, avec comme postulat qu'Hitler a été chassé du pouvoir par les allemands et que les alliés ont fait la paix/alliance avec les nazis pour contrer la déferlante communiste sur l'Europe...
A cela s'ajoute un côté fantastique, en mélangeant "croyances nazis", mythologie, extra-terrestre...
Un condensé de choses qui me passionnent avec bien entendu un rappel au grand Lovecraft !
Cependant, même si l'ensemble est de bonne facture, le scénario s'emmêle au tome 3, avec un final peu emballant....
J'ai beaucoup aimé cette BD qui nous conte les aventures d'un tueur hors norme dont se sont servis divers gouvernements. J'ai adoré la puissance qui se dégage de cette œuvre aux personnages plus que charismatiques. Mon Dieu, quel duel au sommet ! Ce jeu de go tient toutes ses promesses !
Le contexte de ce récit se situe peu après la prise d'otages des athlètes israéliens lors des Jeux Olympiques de Munich en 1972 par des membres d'une organisation de libération de la Palestine. La riposte du Mossad israélien a été impitoyable dans sa riposte avec l'aide des agences américaines. Cependant, le choc pétrolier de 1973 va rabattre les cartes en faveur des pays producteurs de pétrole qui sont majoritairement arabes.
L'auteur Pat Perna m'avait largement séduit sur des titres comme « Kersten » ou « la part de l'ombre ». Avec ce titre, il va encore plus loin même s'il s'agit d'une adaptation d'un roman de l'auteur américain à succès Trévanian. C'est franchement réussi dans l'écriture du scénario pourtant complexe.
Au niveau graphique, les personnages ne manquent pas d'épaisseur et de maîtrise. Que dire également de ces paysages qui sont plutôt réussis ? Bref, il y a une réelle maîtrise également qui fait la joie du lecteur. Même les couleurs employés flattent l’œil, c'est dire ! Certaines cases sont tout simplement splendides.
En conclusion, une passionnante histoire d'espionnage très bien réalisée. Je recommande cette œuvre passionnante et visuellement aboutie.
Avec « Frontier », Guillaume Singelin a réalisé en solo une œuvre exceptionnelle qui rappelle la prouesse de son complice Mathieu Bablet en 2016 avec « Shangri La ».
Visuellement, c’est dément. Sans frime, sans poudre aux yeux, sans effets informatiques artificiels. Un univers graphique inimitable et particulièrement efficient dans ce contexte d'exploration du système solaire, reconnaissable au premier coup d’œil pour qui a lu et aimé P.T.S.D, son précédent opus et BD déjà exceptionnelle elle aussi.
Guillaume Singelin a le don de créer des ambiances incroyables juste avec son trait et les innombrables détails qui vivent dans ses cases. Et ce n’est pas que du remplissage, loin de là. Ce fourmillement d’objets en tous genres qui trainent un peu partout, crée un bazar familier et chaleureux qui réchauffe considérablement les planches et rend compte de l’étroitesse des coursives et de la fragilité des stations orbitales, faites de bric et broc, exigües, malpropres, constamment réparées avec les moyens du bord. Tout ce bordel agit comme un marqueur humain dans la froideur spatiale. Cela favorise une grande proximité avec le lecteur et participe à son immersion.
Ce style, fait de partis pris forts et assumés, est unique. Et je contre par avance ceux qui ne manqueront pas de le critiquer : les personnages, avec leurs bouilles de cartoon, entre Dragon Ball et Mafalda (visages enfantins, pas de nez, pieds minuscules…), ne plairont pas à tout le monde, c’est une évidence, mais ils sont la signature d’un auteur accompli, génial et singulier qui n’a pas à prouver qu’il « sait » dessiner.
Auteur dont le scenario est en parfaite adéquation avec son mode d'illustration. A la fois intimiste et foisonnant, le récit brille par sa simplicité et sa cohérence. Les protagonistes ont chacun leurs raisons d’agir, et de chacune de leurs actions découle une conséquence. C’est sobre, universel, authentique.
Il ne faut pas attendre de « Frontier » un space-opera jodorowskien en Cinémascope… Toute la dimension SF, formidablement mise en scène, est toujours soutenue par des valeurs humanistes de liberté et d’émancipation. Sans jamais que de la pyrotechnie ou un jargon pseudoscientifique ne vienne ternir le propos. Il s'agit juste de trois personnes qui, s’étant rencontrées par hasard, vont tenter de vivre leurs vies selon leurs convictions. Ce n’est que ça mais c’est tout ça.
5 étoiles parce que Guillaume Singelin m’a offert précisément ce que j’attends d’une BD : du rêve, de l’évasion, de la réflexion, de la surprise, de l’émotion, de la beauté, sans jamais savoir à quoi m’attendre en tournant la page. Merci !
Je finirai en tirant mon chapeau au label 619 et à l’éditeur, qui après « Hoka Hey », nous gratifient d’un nouveau bijou à la maquette soignée (superbe couverture et titre en relief argent sur jaune) pour un prix, encore une fois, très abordable. Re-merci !
bien que n'étant absolument pas fan de Superman, j'ai grandement apprécié « Superman, man of steel, volume 1 » en raison de la présence de mon artiste de comics préféré : John Byrne.
Maitre du scénario épique, Byrne est également un dessinateur hors pair, parfait pour magnifier la puissance élégante et incarner la rassurante assurance d'un super héros comme Superman.
Peu importe si les traits de ces personnages, surtout masculins, se ressemblent, Byrne nous emporte dans son monde, si créatif et excitant.
En comparaison, Wolfman et Ordway ne font pas le poids et affaiblissent cette intégrale brillante dans laquelle on croise Darkseid, Batman, les Titans, Mentallo, Phantom Stranger, Bloodsport et autres Démon.
Devant pareil génie, Monsieur Byrne, on ne peut que s'incliner !
Plus d’informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/04/superman-man-of-steel-volume-1-john.html
Un scénario quelque peu répétitif : républiques bananières en sursis, guérilléros en guerre et femme fatale au programme. Les dessins sont quelque peu moyens : on a connu Vance plus inspiré. Assez décevant au final !
L'histoire est assez classique : trafic de minerai radioactif pour une puissance étrangère, affrontement entre trafiquants et policiers sous couverture. Le dessin est assez moyen : ce sont les débuts de William Vance (Bien que le tome ait été publié tardivement). Un honnête album malgré tout !
Druig est devenu le nouvel Eternel Prime. Il cherche un moyen d'affirmer sa position au sein de la société des Eternels. Quand il voit que les mutants ont conquis Mars et la Mort, il juge tel Uranos en son temps que les Mutants sont des déviants et font preuve d'une déviation extrême!
Les Eternels votent et la majorité va vers la guerre envers la mutanité!
Les Avengers veulent sauver des vies.
Une solution acquise entre certains Mutants, Eternels et Avengers pourrait résoudre tout cela.
Cet album est une sorte d'ancien testament Marvel. Gillen se sert de l'Humainté et surtout de 6 humains pour donner une palette des avis humains qui pourraient exister. La Terre (la machine), comme dans la série Eternels, continue, elle aussi, de donner ses avis ainsi que ceux des protagonistes.
Cette histoire est un event et donne donc la part belle à l'action qui est monumentale. Cependant il couvre des thèmes comme la foi (bien sur) mais aussi la culpabilité, le jugement et un peu tout ce qui couvre une relation de créateur à création.
Si Valerio Schitti ne donne pas des pages en cinémascope, blockbusteresque comme auraient pu le livrer Brian Hitch du temps de Authority ou Ultimates, il s'en sort bien avec une expressivité certaines et une action bien maitrisée. Il reste bien des bémols ci et là mais il réussit bien sa partie. Weaver et Ferry sont un peu dans la facilité surtout Ferry qui est un peu une caricature de lui même mais sympathique. Guiu Vilanova est en dessous des autres avec un coté plus statique et moins fini sans que cela nuise.
Le fait que Gillen écrive l'ensemble des ties ins compris dans ce volume aide fortement à l'unité globale de l'ensemble mais fait aussi que les ties ins servent vraiment à prolonger l'expérience et ne sont pas que des prétextes (le FCBD peut-être..).
Ce qui est intéressant est que les personnages autant que les groupes ou sociétés ne sont pas monolothiques. Il y a certes des consensus d'opinions mais on a pas une seule voix ou une voix modulaire façon Cnews comme on a pu le regretter chez certains grands architectes Marvel.
En bref, cet évent commence bien et se range pour ma part dans les meilleurs des events modernes (depuis les années 2000) pour l'instant.
Encore une histoire épatante : Scénario remplit de rebondissements, dialogues très drôles et dessins de haute tenue. Un classique de la série divinement écrit par Goscinny et les crayonnés lumineux d'Uderzo.
Je n'ai pas été emballé par cette série ; la mise en couleur et le dessin manquent de contraste et de précision à mon goût, surtout les visages. C'est aussi inutilement verbeux. Le point fort de la série, c'est la reconstitution assez crédible de l'époque, malgré un certain anachronisme féministe dans les scenarii. Agréable mais sans plus.
le comte de champignac....enfin PACOME qui s'attaque dans cette histoire a l'avortement et a la creation de la pillule contraceptive
oui pourquoi pas MAIS ça en fait quand même une histoire tres agreable a suivre et pas compliqué a lire avec un peu d'action et une poursuite assez agreable avec 2 agents du FBI, ha oui faut pas oublié que l'histoire se passe a BOSTON
sinon comme toujours comme dans les 2 premiers tomes ,jolies dessins,jolies decors et une aventure assez plaisantes a suivre
moi j' ai bien aimer
Un album en avance sur son temps où le problème de l'urbanisation à outrance est abordé. C'est frais, drôle et on a droit à des planches extraordinaires, même en double page. La re-colorisation de cet opus (Publié en 2022) apporte un plus considérable !
Le niveau est au dessus de l'album précédent : c'est imaginatif, extrêmement drôle et les dessins sont incroyables de précision. Il fait parti des albums qui j'ai adoré lire !
Un album bourré d'humour où l'on retrouve un personnage qui ressemble étrangement à Lino Ventura. Si le scénario tient sur une tête d'épingle, les dialogues font mouche ! Comme toujours les dessins d'Uderzo sont superbes.
Un album qui met en avant Gargamel, c'est rare. Et pour le coup, c'est très réussi. Les dessins sont excellents. Pas doute, la série de Peyo reste un must absolu !
Une fois encore, les scénaristes se calquent sur l'actualité et ça donne ce petit bijou : on se régale. C'est drôle, c'est sacrément bien pensé et les dessins sont de qualité !
Un album dédié au courage de la Schtroumpfette, qui s'avère être un personnage plus intéressant qu'elle ne l'était au départ de la série. Une intrigue bien construite aux dialogues savoureux. A lire et relire !
L'histoire en gaudriole! Il suffit de raconter la véritable histoire en créant des personnages caricaturaux. C'est ce que fait Pierre Place.
Nous voilà donc à l'époque de Charlemagne et de son frère Carloman, tous les deux un peu benêts, ainsi que les autres personnages (une mention spéciale à Roland) . Les répliques sont drôles, les situations cocasses, l'esprit Fluide Glacial et en plus cela ne ressemble à rien d'autre.
Un album qui n'apporte pas grand chose à la série si ce n'est de compiler les parties déjà parues dans d'autres albums. Il est vrai qu'il y a quelques planches inédites mais rien à part ça !
Polard fin dans le Paris fin de siècle. un chef d'entreprise est découvert mort sur son voilier en baie de Somme. Cet homme est-il réellement comme on pense? Le policier en charge de l'enquête vit aussi un drame? Que cache la beauté de la jeune femme modèle des peintres?
Il faut lire ce livre jusqu'à la fin pour découvrir l'entière vérité.
Le dessin en style Mucha aide à bien restitué l'ambiance fin XIXème début XXème. De ce point de vue c'est une belle réussite.
Pour l'histoire, j'ai trouvé tout cela un peu "ampoulé". Mais bon globalement ça fait le job. Du plaisir à lire.
Chant du signe pour Wilson qui trouve ici son plus béau travail sur la série. A ne pas louper et lire jusqu'à la fin !
On continue la série avec la mise en abîme des personnages. La force du scénario est de ne pas rendre manichéens les héros : les motivations changent au gré de la mission. La série y gagne en authenticité !
Un tome un peu de deçà du précédent mais l'ensemble encore une fois reste d'un niveau élevé. Les dessins de Wilson que ce soit au niveau de la mise en place des cadrages ou des panoramiques sont époustouflants !
Cela faisait longtemps que je me disais qu'il fallait lire cette œuvre. Je n'ai pas été déçu. Marjane Satrapi raconte sa jeunesse iranienne et le choc permanent entre sa personnalité et la mise en place d'une société religieuse à l'excès et étouffante.
Ce livre nous permet de toucher le choc que peut ressentir une personnalité sensible, qui plus est femme, dans cette société fermée.
Au-delà, la sensibilité de "l'héroine", son rapport aux autres, notamment sa famille, ses amis, apportent une grande dimension humaine à ce récit. De même le point de vue iranien sur la guerre Iran-Irak nous éclaire sur une autre perception de ce conflit, nous qui étions par la force des choses dans l'autre camp.
Enfin, à l'heure de la planète qui voit s'opposer des pouvoirs autocratiques très durs, religieux ou non à un monde, le notre, toujours un peu impérialiste mais où on essaye de préserver les libertés individuelles, ce récit est très pédagogue et rend notre monde plus charmant.
Merci pour ce récit.
Wilson dorénavant rodé aux codes de la série fait avec cet album son plus bel ouvrage : c'est intense et les personnages ont de la maturité. Chef d'oeuvre en puissance !
Suite du précédent opus avec Quantrill. Les décors ainsi que les scènes d'action sont époustouflantes. Du très bon Blueberry. On en redemande !
Colin Wilson redonne du souffle à La Jeunesse de Blueberry. Une histoire épique d'un niveau excellent. Bravo aux auteurs qui ont su maintenir la saga à un si haut niveau !
Pour bien comprendre les histoires précédentes, il est indispensable d'avoir lu celui-ci. Les dessins sont de meilleur niveau. La série se rapproche qualitativement de son originale !
C'est pas mal, mais les dessins manquent un peu de relief. C'est limite comic book (Normal puisqu'il s'agit ici de format plus petit issu de poches). Les histoires restent de très bon niveau quand même.
La série dérivée de Blueberry avec des histoires complètes. J'avoue sincèrement être habitué à des cycles. Sans être mauvaises, ces intrigues sont loin d'avoir les mêmes qualités que la série originale !
Giraud est parvenu avec cet album a magnifier la série tout en mettant fin à toutes les intrigues. On aimerait avoir autant de séries de bandes dessinées aussi réussie que celle-ci. Superbe !
Un album qui joue sur les notions de temps. Giraud construit petit à petit le drame qui va se jouer en fin d'album. Pour une fois, le personnage de Blueberry est le spectateur et non plus le personnage principal !
On reste toujours dans la même intrigue avec des allers retours dans le passé et on revient dans le présent. Giraud joue avec les repères de la série pour mieux la transcender. Du grand art !
Suite du précédent opus. Giraud, avec l'expérience acquise sur d'autres productions met son talent au service de Blueberry et c'est simplement excellent !
On peut dire qu'avec cet album Giraud, d'une certaine façon relance la série. Sa mise en scène est à la fois classieuse et très respectueuse (Charlier n'est malheureusement plus là) et sa mise en images superbe. Un classique instantané !
Un album qui je trouve a des longueurs mais l'ensemble tient la route et les dessins de Giraud sont simplement à couper le souffle !
Encore un manga post-apocalyptique assez plébiscité. Il a été élu meilleur manga par le prestigieux prix Kono Manga ga Sugoi en 2019 dans la catégorie masculine. Voilà pour la référence.
Alors que dire après lecture objective ? Ce n'est pas mal mais ce n'est pas révolutionnaire non plus. On se situe dans un entre-deux.
On va suivre deux histoires séparées qui vont se rejoindre à un moment donné mais pas encore dans ce premier tome qui pose le décor. D'ailleurs, les enjeux ne sont pas encore bien définis. Le récit prend d'ailleurs son temps pour distiller avec parcimonie quelques bribes d'informations.
Le thème du mystérieux cataclysme ayant ravagé le Japon a maintes fois été exploité. Bref, cela ne fera pas dans l'originalité malgré la présence d'une créature monstrueuse sous forme de volatile.
Non, c'est plutôt la mise en page avec un découpage assez habile qui est redoutable dans la lecture. On est pris par le récit qu'on ne quitte plus et c'est un bon point. C'est comme un road-movie dans un monde dévasté.
En résumé : un dessin alléchant et un scénario avec suffisamment d'action pour retenir en haleine. Bref, une lecture divertissement dont on espère qu'elle ne versera pas dans le n'importe quoi. A suivre par conséquent car il y a manifestement du potentiel.
Ok je suis pas un fan de manga. J'ai pas réussir à finir "Akira" et encore moins les "One piece". Je sais, je suis un vieux con. Et bien malgré tout j'ai beaucoup aimé le dessin de Gatignol qui emprunte allégrement aux codes du manga, de son mouvement, de son minimalisme et de ses cadrages. Il y a un vrai cachet visuel dans cet opus, une vraie curiosité qui est loin de la charte des donjons. Ce n'est pas grave. c'est vivant.
C'est du coté du scénario que je n'ai pas tout compris. C'est foutraque, ça part dans tous les sens. Les pistes sont multiples. Mais c'est aussi scato, sanglant. Et puis il y a (je spoile attention!) le retour de Sonia, transformée et vivante. Mais elle est devenue une Augrha ( celle de Dark Krystal) toute méchante et toute déglinguée de la tête. Il y a peut être aussi le retour de Bonnie Mallory, en grosse mémére désenchanté. C'est quoi ce choix de rendre débile des personnages auxquels on a été tant attachés durant leurs périodes donjonesques? Sérieux, ça craint de mettre son l'héritage au pilori. Alors, il y aussi les spectres des frérots qui se pointent, Marvin et toute sa famille, Orlawdow en reconversion déprimant. Et l'œuvre fait évoluer l'univers du donjon de manière optimale.
Alors oui la lecture est mouvementée, violente, noire, blasée, désabusée. Et en cela les auteurs savent y faire en construisant des histoires décharnées telles que celle-là. Mais mon plaisir à lire n'a pas eu lieu: Trop de chemins, trop de sens unique, trop de scénettes allant dans tous les sens et qui n'apportent que peu dans la structure narrative. Papsukal tente toutes les démarches et aucune ne fonctionne.
je comprends que l'on puisse aimer ce type de mouvement, cette vivacité. Peut être est-ce la des codes du manga que les auteurs maitrisent pour construire un hommage véritable. Mais, perso, je n'ai pas été fan.
Buck Danny Origines ou la série 'spin-off' destinée à nous relater la jeunesse du célèbre pilote de Charlier Hubinon. La première question qui m'est venu à l'esprit aura été: est-ce vraiment nécessaire de raconter les origines de Buck sans Tuckson ni Tumbler ?
D'un côté, je vois une mode opportuniste et lucrative destinée à surfer sur la nostalgie (comme à Hollywood) en lançant des séries dérivées, parfois au détriment de la qualité et/ou de tout respect envers les lecteurs.
D'un autre côté, l'idée est louable de donner plus de profondeur au personnage principal, qui demeurait mystérieux sur bien des aspects (raison de son célibat, relations familiales, sa passion pour l'aviation). Néanmoins, ce côté mystérieux, quant à ses origines, laissait aux lecteurs le soin d'imaginer eux-mêmes ces éléments.
Avec ce double album, nous aurons donc le droit à des explications/révélations à propos du père de Buck Danny, des moments d'émotion avec sa mère notamment au début et à la fin, sans oublier les scènes de bataille aérienne lors de l'épisode de Guadalcanal.
Guiseppe de Luca a repris le style d'Hubinon d'avant l'album 'Ciel de Corée' d'où un aspect très rétro qui se dégage. Yann a également singé le jargon et le style de dialogue de Charlier de cette époque avec par exemple: "Les avions des copains vont vous expédier danser le boogie-woogie avec les sirènes chez Neptune!".
En revanche, des erreurs historiques au niveau matériel (le radar FD-2) et avions seront également de sortie. Je pense surtout à des hydravions bombardiers japonais lourds et peu maniables attaquant des porte-avions américains !?! Ils auraient été abattus de loin bien avant d'avoir largués la moindre bombe.
Ce diptyque est au final sympathique à lire mais cela ne constitue en rien une obligation pour les fans de Buck Danny.
Comment construire une bd sans avoir d'histoire. Un happy end comme celui-ci. Tu veux sortir avec moi? Elle aurait répondu oui.
Album qui finit l'intrigue commencée dans l'opus précédent. A la fois magnifique hommage au film culte Vera Cruz, cette intrigue brille par son action soutenue er ses scènes de batailles spectaculaires.
Probablement l'une des meilleures histoires Post-Peyo. Non seulement les dessins de Ludo Borecki sont excellents (Il a d'ailleurs participé à la série d'animation pendant des années) mais le scénario mêle habilement humour et science-fiction. Une réussite !
Un album sympathique mais au scénario convenu et bon enfant avec une morale : si on veut faire le bien, il faut changer son comportement et sa manière d'être avec les autres. Excellents graphismes !
Un tome particulièrement puissant doté d'un très bon scénario ainsi que de magnifiques graphismes. Une deuxième partie sera incluse à la suite de ce premier volet !
4ème intégrale pour Invincible et je prends toujours le même plaisir à suivre cette série. J’ai rarement dévoré un comics comme ça !
Les intrigues progressent et les personnages évoluent. La menace Viltrumite prend de l’ampleur et Invincible comprend qu’il va devoir s’entraîner pour améliorer ses capacités. Les relations amoureuses de Mark sont également au centre du récit et contribuent à approfondir les personnages.
Le retour d’Allen l’alien me fait énormément plaisir puisqu’il s’agit d’un de mes personnages favoris.
J’ai hâte de poursuivre cette belle découverte avec la lecture de la 5ème intégrale.