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Je ne connaissais pas cet auteur (son premier album seul, si j'ai bien compris).
Les dessins sont superbes ,reste que je trouve le style et l'histoires hésitants .
J'ai l'impression que l'auteur ne savait pas s'il devait faire une histoire avec beaucoup d'humour ou beaucoup de sérieux. L'histoire en elle même n'est pas toujours limpide, surtour au début.
Peut être aussi dois je le relire.... Je suis quasiment sûr que le prochain album, s'il y a, sera nettement plus abouti. En tout cas, il doit continuer sur cette voie.
On se retrouve environs 8 ans après la fin du premier cycle qui coïncidait avec le début de la prohibition. Et on se rend vite compte que cette fameuse prohibition a eu le mérite de donner des ailes aux petits truands que Chauvel avait décrits dans le premiers cycle.
Les premières organisations criminelles à grande échelle se forment et c’est ainsi que les Lucky Luciano, Franck Costello, Al Capone, Bugsy Siegel, Meyer Lansky, Vito et autres se regroupent afin de former le Big Seven.
L’alcool coule à flot, notre fidèle serviteur aux cheveux couleur brique est derrière le bar, le crime organisé roule sur l’or et quand il y a un pépin le groupe des sept se retrouve chez Moe et le sang finit par couler.
Le scénario reste historiquement fidèle et le dessin colle de mieux en mieux à cette excellente histoire du crime organisé new-yorkais.
Je viens de finir la lecture de ce Manga : je partage bien évidemment les avis postés antérieurement. Je voulais simplement insister sur un fait : l'alpinisme est au delà d'un sport, une passion humaine ou plutôt surhumaine très inexplorée par le monde des médias. Le sommet des dieux rend un hommage poignant à la montagne et à son environnement. Les dessins à couper le souffle donne à l'ensemble de l'oeuvre une dimension si réaliste que j'ai bien failli arrêté de respirer à moins de 300 mètres d'altitude (relevé effectué sur mon canapé !). Je verrai bien une adaptation cinématographique de ce manga. Bon, c'est pas tout ça, mais je vais aller chercher mon piolet, j'ai mon chat sauvage qui n'arrive pas à descendre du toit de ma maison.
Vraiment un chef d'œuvre d'humour absurde. Ça commence par une histoire de
yaourt, et ça part tout de suite en vrille. 2 personnages attachants, avec des
mimiques à hurler de rire, nous entraînent entre philosophie pure et grosse
déconnade. Un sommet du non-sens !
Je suis prof ....... et oui ....... et j'ai adoré. L'humour est l'une des choses les plus dur à faire passer en BD. Et bien Mr Sattouf y arrive très bien. Il se caricature lui même, et n'a pas besoin de le faire pour les élèves qui sont des caricatures par eux-même.
Il n'a fait "qu'observer", mais il a l'oeil. Un regard lucide sur les ados des années 2000. Enfin, ceux qui sont plein aux as.
Merci donc à ces ados et à leurs profs de m'avoir autant fait marrer .... et pis merci Msieur Sattouf, bien vu.
Une série terminée en deux tomes, c'est bien, c'est court. J'ai bien aimé l'univers de cette série.
Les dessins sont très particuliers, ils m'ont fait penser à ceux de la Caste de Méta-Barons de Gimenez. Je trouve que les couleurs s'en rapporchent beaucoup. C'est vrai que les dessins ne sont pas très précis et les personnages tirent parfois une sale tête, mais bon, ça passe.
Un agréable moment, je conseille cette série aux fan de Gimenez.
Scotché !!! Excellente surprise, un superbe scénario plein d'imagination et de poésie, parfaitement agencé.
Ce premier tome ouvre de multiples possibilités pour l'avenir de cette série. Les personnages ont des personnalités bien marquées ce qui rajoute au plaisir de la lecture.
Juste un bémol pour le dessin qui n'est sans doute pas "génial" mais tient néanmoins largement la route.
Un signe de qualité : je n'ai qu'une hâte, acquérir la suite...
Il ne faut pas exagerer ,ce n'est pas non plus une M..de, ce n'est pas le meilleur des asterix mais quand meme il y a pire , le dessin est quand meme la, bon le senar est un peu gros mais on sourit,
Des dessins superbes notament dans les scènes d'action et un personnage vraiment attachant. Un bon polar. Mais ce n'est pas, pour moi, une bd culte comme elle pourrait l'être pour d'autres, visiblement. Le scénario n'est pas, selon moi, assez original pour sortir de la masse des Bd.
Ce n'est pas mon album préféré de la quête car je trouve que les deux derniers par exemple lui sont bien supérieur. Sans doute en raison d'une parution par épisode et d'une contrainte de temps. Le tout me semble moins cohérent que les trois derniers. Mais bon c'est quand même admirablement bien dessinée et toujours cette touche louf'dingue dans une univers génial !
Un très bel exemplaire toilé contenu dans un beau coffret toilé que j'aurais à la noel et qui m'a coûté 90 euros quand il est estimé a 180€ ! On appel ça une chance de cocu ! Je suis donc aux anges ! Vivement noel... pour moi ! :D
Quasiment aussi bon que le premier ce qui était très difficilement réalisable. Mais pas impossible pour Blain, ce génie du dessin et de la narration. Les Potron Minet sont pour l'instant mes Donjons préférés sans compter les hors série Monsters. J'aime beaucoup le coté naif de Hyacinthe de cette époque. Blain arrive toujours a capter le coté touchant et fin de ses personnages (comme dans Isaac le pirate).
Bon je recommence. Je me suis gouré dans mon 1er avis. Celui là est également un de mes Monsters préféré et de loin ! Pourquoi ? Parceque le héros principal c'est Horous et que ce perso est absolument hilarant ! Les dessins sont très bons et met en avant le coté burlesque du personnage d'horous plutôt que le coté refroidissant de ses interventions drolatique ! Indispensable !
Zut !!! J'ai confondu "la nuit du tombeur" et "mon fils le tueur" ! On s'y retrouve plus dans cette série! lol
"Mon fils le tueur" est probablement une des meilleurs de la série Monsters. Le dessin de Blutch n'y est évidement pas pour rien dans ce constat élogieux. On assiste à l'arrivée de l'adorable Marvin (encore enfant) et de sa mère. Autant dire que ça charcle à tout bout de chant et pour notre plus grand plaisir ! Voila la principale attraction de ce tome vraiment très bon.
Ce tome nous présente une aventure d'Alcibiade qui n'est pas mon personnage préféré. C'est pourquoi, et c'est strictement personnel, ce n'est pas un de mes Donjons Monsters préféré. Mais celui ci reste encore d'un très bon niveau ! On le doit surtout à une intrigue pour le moins farfelue et originale et à l'intervention froide mais toujours hilarante d'Horous.
Probablement une des meilleurs de la série Monsters. Le dessin de Blutch n'y est évidement pas pour rien dans ce constat élogieux. On assiste à l'arrivée de l'adorable Marvin (encore enfant) et de sa mère. Autant dire que ça charcle à tout bout de chant et pour notre plus grand plaisir ! Voila la principale attraction de ce tome vraiment très bon.
L'intrigue est dense ! Il arrive souvent qu'on doivent revenir en arrière de quelques pages pour continuer à bien suivre la trame de l'histoire qui se passe dans un laps de temps rapproché mais à différents endroits du globe. Des dialogues et dessins très réalistes pour une bd pourtant fantastique (cad un bon contraste !), le tout se passant dans une période trouble de l'histoire humaine. Le premier tome place l'intrigue de manière très alléchante et on est forcé d'attendre la suite avec grande impatience. Certains avis négatifs ont été emis sur le fait qu'on a du mal à discerner les différents protagonistes. Ce n'est pas faux. Faut juste faire un effort de concentration. C'est donc une Bd exigente qui passionnera sans aucun doute les fans de séries comme Le Triangle secret/ INRI. On en a pour son argent question dialogue et intrigue ! Vivement la suite donc qui se fait attendre...
Un dessin typé manga que j'adore, des couleurs magnifique et un scenario bien ficelé par l'auteur de l'excellent De Sang Froid. Une histoire divertissante avec des personnages drole et attachant, c'est sans temps mort et les scenes d'action sont efficace. Bon premier tome.
la bédé au service de l'histoire. Davodeau nous livre une chronique sociale tirée de sa propre expérience. Passionnant à lire pour tout féru d'histoire sociale. Egalement un regard décalé sur les évolutions sociales et politiques entre 1935 et 1985.
J'ai enchainé les tome 3,4,5,6,7. L'histoire s'ameliore vraiment, les 2 premiers tomes etaient sympa grace au concept mais le "mechant" de l'histoire etait d'un ridicule ce qui rendait le tout un peu decevant. On suit donc nos 3 heros dans de nouvelle sessions de jeu, le deuxieme ennemi est tout aussi ridicule que le premier, mais l'action est un peu plus presente. La 3 eme session de jeu est elle par contre vraiment excellente : des ennemis tous plus violent et dangereux les uns que les autres. On a le droit à un veritable carnage en regle, des morts violente et toutes differentes les unes que les autres. La serie devient reellement interressante. Un ptit mot sur les dessins entre chaque chapitre : de jolies demoisselles peu habillé : un regal pour les yeux.
Mauvais,mauvais mauvais malgré un dessin sympa dans le même style que Romita JR, l'histoire est loin d'etre aussi bien que le dessin. Deja en couverture on nous met Wolverine, bravo il est present dans 3 pages ( sa pue l'arnaque ) l'histoire est une sucession de combat ridicule contre des monstres ridicule. Je suis pas fan de Hulk à la base et c'est pas avec des recits comme sa que je vais aimer.
Tout d'abord le dessin est sympa et les couleurs s'adaptent bien à l'histoire et aux personnages. L'agencement des cases et la voix off donnent un côté original à l'ensemble, même si c'est sans doute un peu trop poussé par moment.
Maintenant le problème tourne un peu au niveau du scénario, où allons nous ? Il y a des pistes amusantes voires même intéressantes, les personnages ont une certaine fraîcheur, certes, mais certains passages ont un arrière goût de "star académy" (pour entretenir cette fraîcheur peut-être) car on se présente, se représente et se représente encore... on est déguisée (ée car monde pour ainsi dire exclusivement féminin)... on est dotées de particularismes.... Le tome 2 ne fait pas beaucoup plus avancer le schmilblick, on se retrouve presque aussi avancé qu'à la fin du tome 1.
Bref un léger doute m'assaille quand à la suite... faut voir.
Je trouve cet album un peu en dessous des précédents. On a du mal à rentrer dans l'histoire qui est particulièrement obscure.
Ca laisse une impression d'inachevé.
Sinon, le cadre du Cuba de juste après la baie des cochons est plutôt bien, surtout avec une pincée bien arrosée de vaudou...
6 ans depuis le premier tome ! Espérons que le suivant se fera moins attendre, bien que l'histoire se clôture à la fin de ce tome.
Le livre lui-même est très beau, avec la couv vernie par endroit seulement de l'anniversaire Série B.
J'adore le dessin de Cassegrain qui rend très bien sur les jolies filles, comme sur le gros barbare et le (très) gros dragon ! Les couleurs ont changé par rapport au tome 1, mais c'est assez réussi.
Le scénario est excellent, tout ça enveloppé dans un humour "léger".
J'en veux encore !
C'est sûr que les oeuvres sur les mystères de l'église sont très à la mode. Cet album n'échappe pas à la règle !
Ceci dit, je le trouve très bien réalisé.
Les dessins sont très bien, surtout la fille!
Le scénario : les services secrets du Vatican sont commandés par un cardinal sicilien qui fait appel à un parrain de ses (anciens) amis pour recruter un agent de sécurité. Son rôle sera de protéger la (charmante) investigatrice qui fait les enquêtes. Celle-ci est moins dure que Lara Croft mais pas moins sportive !
La belle et le barbouze partent en mission sur le terrain !
Le ton général est assez humoristique (parfois limite lourd, le sicilien!) avec des allusions à James Bond, etc...
C'est un début prometteur qui s'arrête malheureusement juste quand les choses sérieuses commencent....
Si on pouvait regretter la platitude du scénarion du 1er tome, celui-ci amène un rebondissement quand même assez inattendu ! le traître n'était pas où on le croyait ! Ce tome voit aussi l'entrée en scène du gros méchant, qui s'annonce bien.
Je dirais que ça s'améliore, c'est bon signe pour la suite.
C'est le début d'un nouveau cycle de fantasy qui s'annonce assez classique.
J'aime bien le dessin, clair et plutôt réussi. Le design du monde est sympa, avec cette idée de territoires flottants bien représentés.
Ceci dit, le scénar est d'un banal à tomber, jugez-en vous même : C'est bientôt la fin du monde. Les héros apprennent qu'ils sont désignés par une antique prophétie dans un livre caché pour sauver le monde....jamais entendu ça, n'est-ce pas ?
Les personnages sont assez bien même si c'est un peu carricatural et ciblé pré-ado...
Bon, c'est un début! voyons la suite....
Chroniques hospitalières ou plutôt rapport avec la mort, avec son attente, les incertitudes quelle peut engendrer...
C. Masson raconte ici plusieurs petites annecdotes où il exprime le blindage dont le milieu hospitalier, notamment dans ces services où la mort est moniprésente, doit s'équiper. Prendre de la distance face aux événements (la visite du 1er de l'an - d'où le titre - exprime parfaitement ce décalage entre les propos tenus et les pensées du médecin), certes, mais aussi ponctuellement se prendre une terrible claque d'impuissance face à la maladie. Il évoque aussi les relations soignant/patient qui sortent pour une raison x ou y de ce seul cadre.
Point particulièrement fort de cette BD, l'évocation, voir un soupçon de prise de position sur l'euthanasie qui est bien un problème de "terrain".
Une BD qui comme "soupe froide" n'a rien de bien léger, mais qui est une belle évocation de ce monde vu de l'intérieur.
Ce cinquième tome conclut le premier cycle de cette série qui s’amuse à retracer chronologiquement les origines du crime organisé américain, en reprenant dans chaque tome une anecdote qui a marqué le début de ‘carrière’ de futurs grands noms du crime comme Al Capone, Frank Costello, Lucky Luciano, Arnold Rothstein, Bugsy Siegel, Meyer Lansky, etc.
Ce tome-ci se concentre sur la juteuse combine du loto mise au point par Frank Costello, sous le parrainage d’Arnold Rothstein, et aboutira sur une date historique qui marquera le début d’une nouvelle ère pour le crime organisé et d’une nouvelle époque pour cette série: le 28 octobre 1919 et le vote de la prohibition !
Le dessin de Le Saëc est assez classique (simple, clair et efficace) et s’améliore de tome en tome au bénéfice de la lisibilité. Le scénario reste proche du documentaire avec en appendice les sources utilisées pour chaque scène et démontre le boulot colossal effectué par Chauvel.
Attention, car ce premier cycle, d’abord publié en petit format de 30 pages a depuis été réédité en grand format de 46 pages. Cette réédition contient des notes additionnelles, ainsi que de petits récits additionnels sous forme d’introduction et/ou d’épilogue.
Personnellement, je ne pense pas que cette BD pouvait laisser présager une telle qualité pour la suite de la production de Thompson.
Donc juste pour prévenir, si vous avez apprécié BLANKETS qui est je pense une excellente BD (dessin et scénario), vous n'apprécierez pas nécessairement ADIEU CHUNKY RICE qui l'a précédé. Cette BD n'étant qu'une BD "indé" de plus sans grand intérêt. Elle ne sort pas du lot.
Tout d'abord, je dirais, avec ironie, que si en quittant ce monde, vous devriez emporter une seule bd avec vous, je pense que "Les Mystères du meurtre" serait celle qui conviendrait le mieux. Vous auriez ainsi une vision plus que réaliste de ce qu'est le paradis.
Neil Gaiman aurait-il goûté à cette vue de l'au-delà ? Je crois que cette question est intéressante, car on ne peut que s'émerveiller devant l'application avec laquelle l'auteur nous décrit sa vision de l'eden.
Le scénario est d'une perfection presque insolente. Dès le début du récit, on est captivé par cette aventure surréaliste qui vous plonge dans une atmosphère aux limites de l'onirisme. Concevoir une histoire sur le soi-disant premier homicide de l'univers avant même que l'humanité apparaisse, il fallait oser. L'auteur l'a fait, et franchement, ce récit est divin.
Un ange, Raguel (la vengeance du seigneur) est chargé d'enquêter sur le meurtre d'un de ces congénères. Les investigations de ce Sherlock Holmes céleste sont menées tambour battant et j'ai trouvé le dénouement très convaincant.
La fin de l'album est tellement surprenante que j'ai dû me reprendre à deux fois pour être sûr d'avoir compris.
Au niveau du dessin, et bien celui de P. Graig Russell est fidèle à l'esprit des comics américains. Son trait est fluide et aéré.
Sa vision graphique du paradis est très jolie. Il la représente comme une grande cité suspendue dans le néant. Son regard sur ce monde mystique est très poétique et je crois aussi que c'est comme cela que Neil Gaiman l'avait imaginé car n'oublions pas que cette bd est avant tout une adaptation d'une nouvelle du scénariste.
"Les Mystères du meurtre" est un one-shot qui vous fera découvrir d'autres horizons et qui vous séduira par la qualité de son scénario.
Cet album est franchement à lire et donc à conseiller !
Bon album prenante et au dessin superbe mais un peu obscure pour quelqu'un ne connaissant pas le passif de Hulk. Il aurait été plus judicieux à mon avis de commencer l'histoire plus tôt afin que les lecteurs découvrant le personnage puisse mieux comprendre l'intrigue de fond. Mais à part celà cet album est un bon moment de lecture qui accroche bien le lecteur.
Cette série culte ne laisse pas vraiment indifférent. On aime ou on aime pas et personnellement j'adore. J'aime beaucoup le personnage de Ryo, drôle et attachant. Une chose est sûre : on ne décroche pas une seconde de ce premier volume.
Pour cette édition ultime la censure n'est pas de mise mais par contre Panini aurait pu faire attention et ne pas faire de fautes. De plus la mise en couleur de certaines planches n'est pas vraiment très recherchée alors autant les laisser en N&B. Par contre le véritable point positif réside dans le nombre de page : plus de 200 page de pure bonheur.
Bref une histoire solide et une valeur sûr dans une présentation qui laisse à désirer. Mais ça vaut le coup de commencer la série pour ceux qui ne l'on pas encore faite.
Keiko Ichiguchi connaît bien l’Europe – elle vit en Italie depuis 10 ans – et s’attaque ici à un récit sur fond de deuxième guerre mondiale. Elle pousse même le défi plus loin en choisissant pour cadre l’Allemagne. On pense alors à la célèbre [i]Histoire des 3 Adolf[/i] du maître Osamu Tezuka. Mais la mangaka a choisi de traiter son récit d’un point de vue strictement allemand, tout en mettant en avant un mouvement de résistance estudiantin, inspiré de celui de la Rose Blanche (die Weiße Rose). Ichiguchi nous offre l’histoire d’un amour impossible, d’un amour que la guerre et la haine interdisent et conduisent à une fin tragique : l’amour qui lie Helen la jeune opposante à Alec le jeune SS. Commencé à l’automne 1939 à Ollendorf, le récit se termine le 29 janvier 1945 dans la même ville, après un long passage à Stalingrad. On est très vite touché par l’authenticité des personnages. Que ce soit la douce Helen, bouleversée par la disparition de son amie Rosa, juive, emmenée par les nazis ; Maximilian, son frère, l’étudiant engagé et résistant ; ou Alec, l’orphelin qui voue une grande haine aux Juifs.
Comme tout bon shojo, [i]1945[/i] présente des personnages graphiquement idéalisés, tous beaux, jeunes, sveltes, aux visages presque angéliques. Cela peut déranger surtout quand on aperçoit des monceaux de cadavres enfouis sous la neige près de Stalingrad ou qu’on voit tout à coup un vieux russe dont les rides paraissent alors presque incongrues. Cependant ce traitement graphique ne nuit pas au récit en lui-même, il l’esthétise.Par ailleurs, le plus important me semble être le message que l’auteure veut faire passer et l’accent qu’elle met sur des valeurs chères aux Japonais : courage, persévérance et foi en un idéal. Enfin, je conseille, soit avant (de préférence) soit après, de lire les deux pages intitulées « Keiko Ichiguchi, le manga universel » à la fin de l’ouvrage.
Une bd qui prouve que Night Shyamalan n'a pas inventé grand chose avec son film "The village". Ici, On a en plus des dessins très fins de Vicomte, des couleurs colant parfaitement à l'action (ahhh ce marécage !!!). Un scénario simple (pas prise de tête) mais original et surtout un univers literrallement envoutant. Tout en connaissant la trame, il m'arrive de relire souvent ce premier cycle qui reste bien mystérieux à mes yeux. Ma préférence va aux deux premiers tomes et l'entrée dans un univers à part. Les deux derniers du cycle étant, selon moi, un poil en dessous.
Ah Davodeau, le roi de la tranche de vie, nous sert ici trois belles tranches avec Vincent, Abel et Rose.
Vincent, est un ingénieur assez naïf, devenu délinquant et qui a eu la mauvaise idée d’essayer de doubler ses complices. Abel est un vieil homme, rusé et au passé chargé qui va s’immerger dans les problèmes de Vincent tout en retrouvant un fantôme du passé. Rose est une jeune fille sans attaches qui traverse la France en autostop et finira par se joindre aux deux autres comparses.
Tout comme dans « l’Autoroute du Soleil », il s’agit ici d’un road movie, d’une poursuite le long des autoroutes françaises, avec une organisation qui compte bien faire la peau à Vincent. Une histoire à rebondissements, cohérente, qui calmement va vers son dénouement.
Le dessin de Davodeau est égal à lui-même, avec de nombreuses cases silencieuses et des visages très expressifs qui justifient l’absence de texte. Par contre, le dessin de Davodeau est pour une fois en couleurs et dans un format Long Courrier. Et c’est tout aussi bien.
A travers un récit autobiographique, Graig Thompson nous décrit la complexité de ses premiers amours d’adolescent. Dû à son éducation très catholique il se retrouve face à cet amour comme face à une pleine enneigé. Seul, face à une surface immaculée qu’il foulera d’abord en essayant de ne pas trop s’enfoncer, sans laisser trop de traces et s’arrêtant à chaque craquement sous ses pas. Puis finalement, il se couchera dans cette neige, laissant une trace temporaire dans la neige, mais éternelle dans son cœur et son esprit.
Mais cet album n’est pas seulement une belle histoire d’amour, c’est également l’aperçu d’une Amérique profonde puritaine et intolérante face à l'homosexualité, à l'avortement et au sexe. C’est vrai qu’on pourrait reprocher à cet ouvrage les nombreux passages faisant référence à la Bible et à la religion, mais peut-on reprocher à Graig Thompson d’être né dans un pays où l’on parle même de Dieu sur les billets de banque (in God we trust)?
C’est cet environnement ultra catholique, qui explique les hésitations de Graig face à l’amour et sa culpabilité face au sexe. C’est cependant grâce à cette aventure amoureuse qu’il parviendra à relativiser les contraintes morales, mais c’est surtout grâce à cette éducation ultra catholique et à un père autoritaire que Graig Thompson va se réfugier dans le dessin et ça, on peut difficilement s’en plaindre.
Le dessin est très doux, parfois détaillé mais se limitant chaque fois strictement à ce qui est nécessaire à l’histoire. Le décor enneigé est couvert par la chaleur d’une histoire d’amour, qui finira par fondre au même moment que la neige au soleil. La narration est fluide et les non-dits omniprésents.
Bref, même si la vie de Graig Thompson n’avait rien d’extraordinaire, c’est avec brio qu’il partage les moments forts de son enfance et de son adolescence, son premier amour, ses relations familiales et ses convictions religieuses.
Et après lecture, on peut facilement excuser le fait que l’auteur ait apparemment oublié de parler de sa sœur dans ce récit autobiographique, et que Raina serait inspirée de deux filles et non d’une.
le premier tome est tout simplement extraordinaire. le scénario est déroutant, envoutant, mystérieux et bien consu. le tome deux, malheureusement, est quelque peu moins bon, mais n'en reste pas moins une excellante BD. les graphismes sont superbes, la trame de fon toujours aussi captivante; on peu cependant lui reprocher d'etre tombé dans des solutions de facilité, mais qui pourrait aussi servire d'autre dessins. le seul gros reproche que j'ai a faire an scénario du second volume doit etre strictement personnel, mais je le trouve tout de meme dommageable : dans le 1, on constate qu'une créature proche du diable a pris en chasse le héros; le second, des la couverture, présente la confrontation de ces deux personnage; dommage que l'ecrivain ne soit pas allé plus avant dans ce qu'il laissait présager a la fin du 1, et qui était pour le moins.... interressant :
les dernieres image du livre présente le héro désemparé, cherchant aide et explication, et se croyant abandonné de dieu; la toute derniere image présente la créature en chasse avec la note "comme il se trompait...". voila une idée pour le moins interressante : dieu = le diable ? l'aide qu'il attend, et qu'il crois (mais il se trompe) ne pas recevoir, viendra t'elle du diable ? qu'est ce qu'elle chasse ? le hero, ou juste sa piste ? obszerve t'elle de loin, protege t'elle qu'est t'elle ? le dieu en ces lieu, ou le dieu dans le sens la créature la plus dangereuse ? autre chose ? vraiment dommage que ce tome 2 ne pousse pas au dela cette interressante perspéctive; mais, qui sait ? le trois, peut etre ?
tout a fait d accord avec ivantilleul
c pas aussi bien que berceuse mais cela se laisse lire agreablement
le pb c est que M.Giroud a peut etre trop de projets en meme temps...................
Le héros tergiverse dans le Moscou des pauvres, j'ai des papiers, j'ai plus de papier, j'ai des faux papiers, j'en ai plus, j'en retrouve, bref moyen moyen, idem pour le dessin.
Il est bien dommage que cette histoire soit en deux tome, le contenu du premier tome (celui ci en l'occurence)est un peu frustre et pauvre.
C'est une bonne B.D. très contemplative sur la bouffe. Et c'est vrai, qu'il donne envie de déguster les plats, de se poser à l'aise dans un estaminet et de voir les gens vivre leur repas.
Sans doute le dernier albums de Louis Ferchot, et c'est heureux, peu de chose à raconter sur ce livret, bien moins heureux que Louis la guigne.
Très bon album alliant révélations et action. L'intrigue prend davantage d'ampleur car même si il y a certaines révélations les zones d'ombres sont encore très nombreuses et de nouvelles questions se posent. Le rythme s'accélère un peu et les problèmes personnels de notre cher avocat ajoutent un petit plus à l'histoire.
Vivement la suite.
Sûrement le meilleur des deux monster sortie, sans doute parce ce que ce dernier s'attache plus au personnage de Tony Stark et moins à celui de Iron Man. En effet ici peu de combat entre super héro et super vilain mais plutôt un combat tournée vers la politique, une intrigue très solide et bien développée.
A lire.
L'histoire devient plus prenante même si la série reste difficile à suivre avec le dessin très particulier de Frank Miller et les couleurs. Ceci dit on devient plus curieux de savoir la suite et la façon dont va se terminer cette histoire.
Plutôt un bon début de série malgrès le fait que l'auteur ait un peut trop forcé sur l'utilisation du sexe dans le premier tome. Le second est beaucoup mieux et rend vraiment la série intéressante sans être exceptionnelle. L'intrigue est plutôt bien ficelée et elle peut réserver des choses bien plus intéressante que le contenu des deux premiers tomes ou alors.... En tout cas il y a matière à améliorer la suite.
Je lirais la suite sans l'attendre impatiament.
Zzzzzzzz hum ? hein ? Pardon, je m'étais endormis sûrement un des effets secondaire du dernier Yongbi. En effet ce volume est vide, mis à part une révélation sur son passé dans les lances noires que l'on voit arriver à des kilomètres et sans aucune surprise. Pour le reste c'est des combats sans texte sur des planches très sombres donc plutôt moyen pour voir ce qu'il se passe. En tout cas c'est un volume vite lu... mais bien trop vite pour 6,95€.
C'est bien beau de faire une série de 23 volumes mais il faudrait un peu de contenu que diable.
Très bonne BD, tres divertissante, tres agréable, avec bien entendu des situations cocasses, vive les 4as.
Bonne lecture a tous
Voila donc le dernier tome du premier cycle de Chonchu!
Tome que j’espérais riche en révélations, il n'en est rien vu que ce volume est pratiquement entièrement dédié au combat entre Chonchu et Euntae.
Combat qui malheureusement sombre dans le combat de tanks alors que justement Chonchu avait réussi jusqu'a maintenant a évité cette écueil...
On se retrouve donc avec un duel qui me reste coincé au milieu de la gorge par le coté surenchère et dont le cliffhanger ne m'a pas du tout convaincu.
Finalement j'en vient a me dire que la pause des auteurs n'est a priori pas une mauvaise chose et il reste a espère que lorsqu'il reprendront leur série, la suite soit meilleur...
Un bon premier tome pour ce thriller médiéval celtique qui met aux prises une tradition druidique sur le déclin et des moines chrétiens dont la religion est en passe de s'imposer. Cette enquête prend des airs du "nom de la rose", influence clairement revendiquée par les auteurs, et l'on assiste ici à la mise en place de l'intrigue qui devrait s'étaler sur 3 à 5 tomes.
Le dessin du canadien Lamontagne, dont c'est ici la première BD, est très clairement une réussite, malgré certains visages un peu figés et une mise en couleur informatique qui ne plaira pas à tous. Mais l'ensemble graphique, certains décors en particulier, sont de toute beauté.
Le scénario d'Istin et de Jigourel mise sur un respect de la réalité historique et du contexte religieux de l'époque. Difficile, pour l'instant de savoir où va nous mener cette intrigue, mais tous les éléments sont réunis pour nous offrir un tome 2 qui devrait pencher d'avantage vers l'action.
Après un "Légendes de la table ronde", pas vraiment convaincant et un "Sang du dragon" manquant d'originalité, cet album s'affirme comme un des meilleurs de la collection Soleil Celtic.
Grand fan d'Alan Moore devant l'éternel, forcement j'ai craqué quand j'ai vu cette anthologie.
Moins fan de l'univers DC (a quelque exceptions près) par contre, je dois avoué que j'avais un brin peur.
Moore narre ici donc des histoires avec les personnages de DC, pour moi à la lecture de ce recueil, il est évident qu'il n'est vraiment génial que lorsqu'il crée ces Bd de A à Z.
Néanmoins, ces histoires sont plutôt bonnes et ont l'avantage de présenté des personnages que l'on ne voient pas souvent pour ne pas dire plus du tout.
Et la on sent que Alan Moore est vraiment attaché a ces personnage qui ont du en partie bercé sont enfance et qu'il leur rend un vibrant hommage.
Ce n'est sûrement pas les meilleures histoires qu'il est écrit mais la part de nostalgie que l'on éprouve (même moi qui n'en ai que très peu lu étant jeune) et les très bonnes idées rend cet ouvrage agréable à lire et c'est bien suffisant.
Je viens de finir le deuxième tome et comme je l'espérait le rythme s'accélère, l’urgence se fait sentir, les révélations s'enchaînent pour nous menez au meurtrier.
Ce tome se termine par un face a face,on sent que le troisième tome va tourné autour du duel psychologie qui s'est instauré entre le père et le meurtrier ce qui augure un excellent troisième tome.
Une courte série à lire dans le registre policier et dramatique.
Plutôt que d'ensencer des séries déjà amplement commentées, je préfère laisser un avis sur un petit poucet au milieu des sorties...
Ici, pour autant que l'on aime l'ambiance chevaleresque, on est face à un début d'histoire sympathique, même si, comme tout premier tome, il sert surtout à poser l'ambiance et à présenter les personnages.
S'il y a bien quelques petites imperfections au dessin, j'ai été séduit par la mise en couleur. L'histoire se déroule sans temps mort, ce qui nous fait passer un assez agréable moment.
Je vous invite donc à lire cette bd et j'attends avec impatience la suite...
Album plutôt dispensable, un huit clos qui a des airs de blague interne. Banale histoire de réglement de compte.
Sans intérêt, les auteurs se contredisent même en anticipant sur le petit SPIROU.
Il était normal que le bretonnant FOuRNIER nous ponde un album se déroulant chez lui. Message typique des années 70 dans tant la forme que sur le fond, la charge est moins lourde que dans KODO LE TYRAN. Agréable.
Excellent scénario qui ré-invente encore une fois le super-héros ! Un super héros qui abandonne ses pouvoirs pour entrer en politique ! A ne pas manquer !
Un chef d'oeuvre, Franquin n'a jamais aussi bien dessiné, mieux qu'avec Gaston. Toutes les années 50 dans un seul album.
Franchement, Gos se moque du monde, humaniser à ce point des extra-terrestres..... Il aurait mieux fait de sortir ça dans une série destinée aux enfants. A fuir.
(désolé mauvaise manip,alors je finis mon avis:sans manga pas d'anime,donc on peut applaudire ce manga,si attendu.
Moi je suis désolé,mais je trouve les dessins plutôt original,et je préfere le manga a l'anime.Aprés tout,sans mang
Quand vous coupez les ponts avec un terrible passé et qu'il vous revient à la face, il arrive un moment où il faut vous rendre à l'évidence et l'affronter, c'est un peu près ce qui arrive à Tom, le rôle principal de ce film - non - de cette BD...
Le scénario est trés bien mené, simple mais efficace. Les personnages sont relativement hauts en couleurs : les mafieux sont des mafieux dans la plus pure tradition ... l'homme acculé dans ses derniers retranchements devient un fauve ....
Le dessin en noir et blanc, assez brouillon, colle bien au côté "noir - sordide" de l'histoire.
Plus de 250 pages, un long et agréable moment de BD. Amateurs de polars, romans noirs, ... vous êtes servis.
Scénario extrème mais qui peut-être envisageable... Des jeunes sans repères (pas dans le sens usuel du terme (début novembre 2005...)), fortunés à perte de vue, sans grand contact réel avec des parents qui vivent isolé ou en groupe dans leur bulle (sorte de paradis aseptisé pour milliardaires). Une farce déjà de mauvais goût au démarrage tourne au massacre...
Tout fonctionne par description, le dessin est classique et les dialoques basiques. Il en ressort des personnages sans personnalité, ce qui est peut-être recherché, mais néanmoins trop plats pour que le lecteur s'attache ou s'identifie, même si ce n'est pas nécessairement le but.
Bref, je pense que l'idée n'a pas été assez poussée, c'est dommage. Il reste une BD classique, agréable à lire, mais sans plus.
Mais quel magazine a donc fait une bonne critique pour cette BD... Quel naïf j'ai été...
JAMAIS DROLE - TOUT JUSTE UNE CERTAINE VULGARITE DE BON ALOI - MAIS VRAIMENT JAMAIS DROLE, AU MIEUX LOURD (TRES LOURD).
Suite de mauvais plagiats, dessins quelconques. La médiocrité à l'état pur.
excellente BD ! pleine d'humour et de fraicheur ! Un Don Quichotte du XXème siècle dans la province, l'histoire d'un vieil homme qui a force de lire des histoire de chevalier errant, se prend pour un chevalier...une histoire pleine de décalages, le dessin sert avec splendeur un scénario très bien écrit..
Un One Shot merveilleux, voici enfin une belle découverte !!!
Merci a vous les auteurs !!!!
Beau voyage !
Chauvel continue de sauter successivement du milieu mafieux italien au milieu mafieux juif, au gré des personnages centraux. Après avoir abordé le gangstérisme juif dans le deuxième tome, ce quatrième tome va se concentrer sur deux des cerveaux de cette mafia juive : Meyer Lansky et Arnold Rothstein.
En 1917, un parasite de salon, nommé Leland Turner aura la malchance de croiser ces deux futurs "grands" de la mafia américaine et commettra surtout l’erreur de remporter un pari face à Arnold Rothstein.
De leur côté, Meyer Lansky et Benny Siegel, dit Bugsy, le futur créateur de Las Vegas, forment la bande de Grand Street, et font leur premier coup.
Le dessin de Le Saec sans être exceptionnel, reste sobre, clair et efficace et colle parfaitement bien à cette série.
Chauvel continue de nous conter avec brio l’histoire de la pègre new-yorkaise en suivant les débuts de grands noms du crime organisé. Tout en suivant l’évolution chronologique de la maffia new-yorkaise, Chauvel parvient à se concentrer sur une anecdote particulière pour chaque tome : ici il s’agit du pari entre Leland Turner et Arnold Rothstein.
Un troisème tome qui termine en beauté cette belle série. Les dessins sont toujours aussi beaux et expressifs. Peu de dialogues mais un grand plaisir de lecture. Les couleurs sont volontairement dans une palette limitée ce qui donne de la finesse et renforce le dessin. Le point négatif serait la description caricaturale de l'assureur Trusquin. Une fin en final twist.
Franz nous livre plus qu’un western en nous servant une belle histoire humaine, basée sur des rencontres insolites, des drames et des liens d’amitié.
D’un côté on trouve un jeune cow-boy nommé LLogan Juball, qui accompagne deux familles dans la conquête de l’Ouest. Lors d’une attaque de leur convoi par des indiens, deux petites filles (Sharon et Lucia) se font kidnapper. L’aventure de Llogan, qui a décidé de les retrouver, peut commencer.
De l’autre côté, un guerrier Sioux nommé Salmon Leep décide de fuir sa tribu et de semer la terreur chez les blancs. Lorsque le chemin de ce guerrier torturé et sanguinaire croise celui de la petite Sharon, encore horrifiée par le massacre de sa famille, des liens humains et forts vont se créer.
La plupart des stéréotypes classiques du western (avec d’un côté les bons blancs et de l’autre les mauvais indiens) vont tombés lorsque ces deux êtres, qui n’ont en commun que leur souffrance, vont se rencontrer. Une belle histoire d’amitié nous est alors livrée au beau milieu d’un western rempli de Sioux, Crows, Pawnees, cow-boys et soldats.
Le dessin aux grands espaces de l’Ouest américain (qui sied parfaitement au format de cette collection Long Courrier) est très réussi, tout comme la fin de ce one-shot. Si je dois reprocher une chose à cet excellent western, c’est la narration, qui, je trouve, pourrait être légèrement améliorée.
Un dessin realiste et agreable, une histoire archi classique : des mercenaires font un coup d'etat dans un petit pays, une galerie de personnage classique : le politicien verux, le mechant sans pitié et son fidele lieutenant et bien sur un nick Fury au sommet de sa forme : desabusé, cynique mais toujours tres efficace. Un album tres sanglant et sympa à lire.
La première chose qui m'a attiré vers cette BD, au milieu des nombreuses autres, est son style graphique. Tous les dessins donnent l'impression d'être de métal, c'est magnifique. Les images sont sombres et très colorées à la fois... Etrange. Après l'avoir feuilleté, j'ai regardé la citation au dos de la BD résumant en quelque sorte l'histoire. Cette idée de vie parallèle m'a convaincu à l'acheter.
Après l'avoir lu, je n'étais pas déçu. Je suis resté plongé dans une ambiance oppressante et fantastique du début à la fin. Les sentiments et la personnalité de chaque personnage ressortent bien, et nous les suivons pas à pas au cours de la découverte de leur âme jumelle.
La seule chose qui m'a un peu gêné est que j'ai plusieurs questions sans réponses. J'espère les avoir dans le prochain tome.
En conclusion, si vous voulez une BD unique, tant au niveau graphique qu'au niveau du scénario, achetez-la.
Ce volume clôt la série et apporte un dénouement à la fois attendu et surprenant.
Isaac, bien décidé à en finir avec tout, use de son pouvoir psychique pour que les Tokyoites perdent les pédales et mettent la ville à feu et à sang.
Akiba, Mine et Sakaki savent qu'il faut agir et le seul moyen d'arrêter cette folie est de tuer Isaac.
Akiba part donc retrouver son frère et clône. Tout bascule alors très rapidement. L'action va très vite et nous sommes transportés vers un dénouement qui laisse en arrêt au milieu du volume. C'est tellement incroyable, tellement inconcevable, que la 2ème partie se lit presque dans un état d'hébétitude incrédule et les dernières pages arrivent vite. Cependant au fil de la lecture de cette 2ème partie et avec du recul, on se rend compte de la subtilité de l'auteure et de la façon dont elle joue adroitement avec nos nerfs et nos sentiments, comme si nous étions nous aussi des victimes d'un ES. C'est très bien fait.
La fin proposée par Fuyumi Soryo - si on prend un peu de recul - est attendue, inévitable, en germe dès le début de l'histoire. Pourtant elle surprend car les volumes précédents font naître une espérance qui efface tout le reste.
Le point final pourrait en décevoir certains, mais il est inévitable et l'auteure a su nous donner une note d'espoir à la dernière page.
Alors que la 5ème Hokage, Tsunade, retrouve le village de Konoha, elle doit guérir les blessés de la lutte contre les partisans d'Orochimaru : Sasuke, Lee, Kakashi, entre autres. A peine remis sur pied, Sasuke cherche le combat avec Naruto, mais Orochimaru n'a pas dit son dernier mot et envoie ses séides attirer le jeune ninja. Lee est confronté à sa faiblesse physique désormais évidente.
Un bon tome qui annonce une 2ème phase dans l'affaire Orochimaru. En fermant ce volume, on veut vraiment savoir ce qui va se passer après, si Sasuke va suivre la voie que lui montre insidieusement le 3ème des ninjas de la légende.
J'avoue que cette lecture m'a bien plue alors que je ne suis guère fan de cette série.
La première chose que l’on remarque en ouvrant ce premier tome c’est un dessin et un découpage très classique. Ensuite, dès qu’on commence à lire, on est vite pris par la narration fluide et captivante.
On se retrouve au milieu d’un thriller maritime avec une intrigue, certes classique, mélangeant complot et vengeance, mais sympathique et bien développée.
Les personnages sont prenants avec un Calec suspicieux, un armateur (Julien de Trichère) utilisant ses dernières forces afin de se débarrasser d’un lourd fardeau qui pèse sur ses vieilles épaules, cette culpabilité qui le ronge vis-à-vis de sa fille Hélène qu’il adore tant, un malfrat sans remords et sadique (René Floss) et une jolie secrétaire, fragile et maladroite, qui forme une victime idéale.
Même si le tout est assez prévisible, c’est extrêmement bien raconté et passionnant.
J'ai été impressionné par la justesse de ce scénario (hypothétique), de sa justesse et des nombreuses et complètes explications annexes qui font de ce pavé, une référence pour tout amateur de Jack the Ripper.
Le seul bémol reste le dessin quelques fois confus dans les traits des personnages ainsi que la taille de certaines bulles dans lesquelles l'écriture très petite nous oblige à rapprocher le livre près des yeux.
A partir du 3ème tomes, on atteint la perfection...
beaucoup d'humour et de jeux de mots dans cette BD ayant pour héroïne une jolie brune style "indiana jones".
cette BD est super dans le genre érotique. elle a fait des ravages dans les rangs du "clergé" à cause d'une des planches avec Jésus en croix.
Ce titre rassemble 7 courtes histoires, parmi les premières de cette auteure, 7 tranches de vie. Les thèmes sont ceux qu'on retrouve dans les oeuvres postérieures de Kei Toume : avenir, mal-être, associabilité, paranormal. Avec son ton corrosif non dénué d'ironie et son trait déjà incisif, la mangaka nous propose de suivre le quotidien d'adolescents, dont la routine est soudain brisée par une rencontre ou un évènement inattendus qui les amènent à se remettre en question, voire à partir à la dérive un temps.
Dans ces histoires des débuts, Kei Toume dévoile déjà son regard bien particulier sur une jeunesse qui se cherche sentimalement, professionnellement et humainement. Son dessin a beaucoup évolué depuis, mais on y trouve déjà son trait presque tranchant, auquel il est difficile de rester indifférent.
Un manga intéressant qui entraîne à la réflexion ou à la rétropesctive personnelle après lecture.
Je ne suis pas particulièrement attiré par les bd ayant pour thème l'aviation. Pourtant en feuilletant cet album, j'ai tout de suite été interpellé par le dessin de l'auteur.
J'ai voulu savoir si l'histoire était à la hauteur du graphisme et, ma foi, je dois reconnaître que je me suis pas ennuyé en lisant cette bd.
Le scénario nous présente quatre portraits de pilotes de chasse pendant la seconde guerre mondiale. A travers ces différentes histoires, on essaye de comprendre leurs motivations et leurs sentiments au moment de combattre l'ennemi.
J'ai trouvé le récit intéressant et même parfois émouvant. On remarque que les quatre chapitres qui constituent l'album ne sont pas vraiment isolés. Oui, il existe un lien entre chaque histoire et je dois dire que l'auteur nous a présenté cela avec beaucoup de subtilité.
Comme je l'ai dit plus haut, le dessin de Romain Hugault est très réussi. Son trait est subtil et ses avions sont à vous couper le souffle.
Le dernier Envol est un one-shot plutôt convaincant et très sympa à lire.
C'est à conseiller !
Une version couleur impressionnante. Savant mélange de fantaisy et de S-F,
l'histoire se lit sans perdre le moindre détail. Cette album est enrichi de "La
bète de Wolverton", Sympathique réçit fantastique.
Ici on a une scénarisation qui démontre bien le génie de Lovecraft. L'auteur ne rien montrer et c'est à nous de tout imaginer. Tout est dans le non dit et la suggestion. Un technique connue qui a fait le succès d'un Dorison par exemple.
L'auteur a visiblement choisi de retranscrire l'origine (historique) de Vlad Tepes alias Dracula. Le problème étant qu'il n'est pas le 1er à le faire et quand on s'intéresse de près à ce genre d'histoire, on connaît presque tout de cette légende ou ce personnage "historique". Ici, donc peu de surprise d'ou un ennui assez terrible... On a un univers romantico-gothique dont l'auteur a du se faire ENORMEMENT plaisir a retranscrire en images...Mais c'est un peu too much. De plus, le scénario est assez confus (et sans doute voulu comme tel) avec une fin très ouverte. Je n'ai pas trop accroché.
J'ai découvert Arleston avec Lanfeust et je me rappelle que j'étais vraiment sous le charme. Pour les naufragés d'Ythaq, après 3-4 pages lues, je pensais que cela n'allait pas du tout m'emballer. Mais j'avais tout faux. L'aventure de nos 3 héros nous captive et nous amène de page en page à leur cotés. Ils sont attachants, le scénario et vraiment super (il me rappelle un peu le scénario d'un jeux vidéo : Outcast). Les dessins sont d'un très bons niveaux. En bref, courrez l'acheter!
Destination finale pour le destin de Siméon Nevzorof et clôture magistrale de ce petit chef-d’œuvre du neuvième art.
C’est en Turquie que se termine le voyage plein de péripéties, d’arnaques, de violence, de misère, de sexe et de drogue de notre pseudo comte Siméon Nevzorof. Et quel voyage ! Le voyage d’un anti-héros qui va forcer son destin en période de révolution russe, synonyme de misère et de cruauté, en exploitant toutes les bassesses du genre humain.
Le dessin noir et blanc reste magistral et en harmonie avec l’ambiance malsaine du récit. Quant à la fin de l’histoire, elle est sublime, grandiose, ironique, voir dérisoire, mais bien à l’image de ce cafard de Siméon qui a proliféré lâchement sur la misère de la guerre et qui a su chaque fois tirer son épingle du jeu. Mais, peut-on reprocher quoi que ce soit à cet homme qui n’a fait qu’accomplir la destinée de celui qui est né sous le signe d’IBICUS ?
Siméon Nevzorof, fuyant les bolcheviks et lançant un commerce de peaux afin de redorer son blason et de combler sa destinée pleine de richesses, se retrouve séquestré par le contre-espionnage.
On retrouve un Siméon qui n’est plus du tout maître de sa destinée. Lui qui avait grandit sur les malheurs de la guerre, saisissant chaque opportunité à deux mains, se retrouve maintenant comme un pantin au milieu d’une guerre et d’un destin qu’il ne contrôle plus. Heureusement sa lâcheté et sa fourberie le sauveront à nouveau et c’est en tant que membre du contre espionnage qu’il parviendra à fuir pour Istanbul.
Même si l’histoire de ce troisième tome est un peu plus confuse et moins fascinante, le dessin et l’ambiance (dont le passage en prison) restent du grand art.
Mais, ça reste quand même dommage de voir Siméon réduit à un rôle de victime quand on connaît toutes les ressources de ce charognard. On se demande bien où il va et si la voyante tzigane avait bien raison quant au destin de Siméon, mais faisons confiance à Rabaté et ... Alexis Tolstoï.
On avait quitté un Siméon Nevzorof riche mais prêt à fuir vers le sud à la fin du premier tome. Un Siméon maître de sa destinée avec une perception originale et optimiste de la révolution russe.
Par contre, dans ce deuxième tome on va retrouver un Siméon légèrement victime de son destin, un Siméon à l’agonie qui devra même voler les vêtements d’un mort pour se vêtir. Et si c’est son destin (inculqué par une voyante tzigane) qui le guidait dans le premier tome on pourrait dire qu’ici c’est plutôt son instinct de survie qui va le guider, même s’il est toujours convaincu qu’une destinée pleine de richesses l’attend.
Le dessin est toujours aussi magistral. Un dessin noir et blanc qui nous plonge dans une ambiance malsaine et de misère. Des personnages étirés et des perspectives bizarres qui accentuent cette envie de fuir cette ambiance de misère et la fuite de Siméon. Du grand art.
C’est avec plaisir qu’on va suivre les hauts et les bas de notre pseudo comte Siméon Nevzorof, fuyant les bolcheviks. Et au plus haut il grimpe, au plus bas il tombe, mais comme le dit un sage proverbe : le plus important n’est pas la profondeur à laquelle on tombe, mais la hauteur à laquelle on rebondit. Et, tel le Phénix, Siméon renaît à chaque fois de ses cendres, prêt à accomplir la destinée de celui qui est né sous le signe de l’IBICUS.
C’est en achetant par hasard un livre à un demi euro que Rabaté est tombé amoureux et a décidé d’adapter en BD cette histoire écrite par un homonyme de Tolstoï. Et il faut bien avouer qu’après lecture de ce premier tome on peut difficilement lui en vouloir d’avoir adapté cette histoire.
On se retrouve à Petrograd en 1917 au début de la révolution russe. Tous les russes sont nerveux et inquiets, sauf un : Siméon Nevzorof ! Car Siméon va enfin pouvoir accomplir la destinée qu’une tzigane lui avait prédit il y a quatre an : vivre des aventures incroyables et devenir riche quand le reste du pays sera en guerre.
C’est stimulé (voir incité) par cette prédiction qu’il va scruter la misère qui commence à l’entourer, à l’affût de la moindre opportunité pour s’enrichir et tirer profit du malheur des autres. On va suivre les aventures et les rencontres de cet anti-héros, qui tel un charognard va lâchement profiter de la guerre qui l’entoure.
Une ambiance de guerre, de désolation et de misère qui est admirablement retransmise grâce à un dessin sublime en noir et blanc.
Un dessin somptueux, une perception de la révolution russe plus qu’originale avec un anti-héros qui perçoit l’arrivée de cette guerre comme un gigantesque casino qui s’avance vers lui et d’où il est certain de ressortir gagnant car une tzigane l’a lu dans ses mains : il est né sous le signe d’IBICUS.
Ce premier tome est un petit bijou !
Après un tome 1 de mise en bouche, j'avais trouvé le tome 2 un peu plat...mais voilà le tome 3 qui nous redonne gout au cycle.
Le mystère se lève, l'histoire devient compréhensible, bon tome donc...
Une mise en couleur un peu pale !
Un dessin un peu statique !
Mais un scénario qui nous captive !
Décidément j'adore cette série. En effet l'intrigue est de plus en plus prenante, les découvertes sont de plus en plus surprenantes et on sent bien que l'on est pas au bout de nos surprises.
Maintenant au niveau dessin j'aime assez le style de dessin de Ruiz Velasco malgrès le fait qu'il tranche vraiment par rapport à celui de Tello (un style plus proche aurait été le bienvenue). Au début on a du mal à reconnaitre certains personnages mais on finit pas s'y habituer. Personnellement j'ai une large préférence pour le dessin de Tello mais comme j'ai acheté la série pour son dessin je suis un peu de parti pris le travail de Ruiz Velasco étant de très bonne qualité. Par contre vue la complexité de l'intrigue et le changement de style de dessin une relecture de toute la série est indispensable.
Début de série assez intéressant avec une intrigue plutôt bonne mais un dessin assez difficile qui m'a donné un peu de mal. J'ai d'ailleur eu assez de mal à accrocher. Maintenant il faut voir comment l'intrigue va évoluer mais il y a de quoi faire quelque chose de bon.
Très bon shonen qui évolue toujours de manière équilibré sachant doser révélations, humour et combat. En effet contrairement à certains shonen ce dernier évite, du moins pour le moment, de trop s'attarder sur les combats (certains pouvant tenir sur un ou deux volumes entiers) pour développer d'autres points et ainsi devenir assez riche et intéressant.
En espérant qu'il continue sur sa lancée.
Ce volume est toujours d'excellente qualité. En effet les personnages évoluent notamment Casca et Guts qui sont confrontés a leurs sentiments et leurs désirs. Bref la psychologie des personnages est d'une étonnante complexité. Chaque élément, chaque évènement joue ou jouera sûrement un rôle plus ou moins important dans la suite et on se prend a essayer de se rappeler le maximum de choses pour voir comment ils seront exploités par la suite.
Vraiment une série à ne pas manquer.
Bon début pour cette nouvelle série de Ken Akamatsu. L'humour est toujours très présent comme dans toutes ses séries. Ici il l'est moins que dans Love Hina mais plus que dans AI non stop. L'histoire manque un peu de consistance pour le moment mais ça devrait venir et j'entrevoie des possiilitées assez intéressante pour l'avenir. Bref je ne regrette pas de d'avoir commencé cette nouvelle série.
Un polar digne de ce nom!
En grand amateur de polar, j'ai bien évidemment accroché à la nouvelle série de Daoudi et de Bonifay. Le scénario reste très près de l'histoire de Léo Mallet, et l'univers de la pègre dans les années 20 est admirablement servi par un Daoudi, qui utilise avec maestria les tons beiges et les couleurs passées des cartes postales de ces années là...
Seul petit bémol, et cela a déjà été dit, le personnage de Jean manque un peu de charisme.
A part ce "détail", La vie est dégueulasse, doit figurer en bonne place, dans le coin polar d'une bibliothèque digne de ce nom!
Sous ses allures de simple histoire de caps et d'épées, le Scorpion dénonce, en fait, les dégâts que peut causer l'intrégrisme religieux. De plus, excepté dans des aventures maritimes, le XVIII sciècle est une époque peu exploitée en bd. Bon, c'est vrai que cette série reprend tous les pontifs de la bd commerciale c'est-à-dire réçit fluide et gros tirage mais je dois dire que la qualité est au rendez-vous alors pourquoi bouder son plaisir.
Le scénario de Desberg (Jimmy Tousseul, La 27eme Lettre, ect...) est une réussite, c'est indéniable. Aucunes fausses notes, la narration est efficace et l'ambiance est plutôt agréable. Le point fort du Scorpion, c'est les énigmes qui se multiplient. Oui, on se pose beaucoup de questions sur le passé de certains personnages, cela donne de la densité au réçit et nous oblige a être vigilant pour n'oublier aucuns points qui nous seraient éventuellement dévoilés.
Marini, quant à lui, confirme qu'il est est grand dessinateur. Son trait est limpide et régulier (Méjaï, la bohémienne, est superbe!) et les couleurs sont très belles et généreuses. Le seul défaut que l'on pourrait peut-être remarquer, c'est au niveau du format de la bd, je le trouve un peu restreind pour le dessin de Marini. Mais bon, voilà, quand même, une grand série en perspective. En espérant que les auteurs lui donneront une fin digne de ce nom. Cela permettra qu'elle ne perd pas toute crédibilité.
A suivre ....
Passez votre chemin, il n'y a rien à voir : c'est bête à pleurer, ça dépasse l'entendement, c'est laid, c'est le niveau zéro de tout ce qu'on peut imaginer. Je préfère encore les mangas de mon fils, ce n'est pas plus laid, mais au moins, là, il y a un semblant d'histoire...
les dessins sont superbes, l'univers de la BD est agréable et bien modelé. Le scénario est bien trouvé. Les personnages sont attachants, seul notre héro manque un peu caractère... Une bande déssinée à connaitre
Ce n'est pas du cinéma, mais c'est tout comme!
L'histoire se passe aux Etats-Unis, dans les années 35. Le pays sort de la crise de 29, et le spectre de la seconde guerre mondiale se profile à l'horizon. A Cleveland, ville gangrénée par le crime, la corruption, les gangs, la pègre locale, doit être nettoyée. C'est ainsi qu'apparaît Eliot Ness, chargé par le maire, d'apporter un peu plus de sécurité dans cette ville. Eliot Ness, devenu monstre sacré depuis l'arrestation d'Al Capone, à Chicago, se voit dès le début confronté à une affaire de crime. Torso, nom donné par la presse, derrière lequel se cache un nouveau profil de meurtrier: le tueur en série. Commence alors une enquête dangereuse où Eliot Ness et son équipe devront composer avec les intérêts politiques et une opinion publique terrorisée pour arrêter une vague de meurtres inexplicables, sans raison apparente...
On connaissait déjà Bending (co-scénariste et dessinateur) pour ses comics(Daredevill), mais Torso bat tous les records. Récompensé aux U.S.A de nombreuses fois, Torso sera bientôt adapté au cinéma. Cet ouvrage, merveilleusement dessiné et documenté, est un chef d'oeuvre en matière de polar.
L'ambiance des années 30 est parfaitement retranscrite. L'intrigue, solide et bien ficelée, ainsi que la noirceur des dessins, confèrent à ce volume un aspect cinématographique exceptionnel.
Du grand art donc!
Un album intermédiaire dans "l'oeuvre" de Tronchet qui marque une sorte de lien entre 2 époques. En effet cette BD nage dans l'humour décapant des albums qui ont fait connaître l'auteur "jean claude tergal" et "raymond calbuth" dans une moindre mesure, mais aussi les excellentissimes "damnés de la terre". Et, dans le même temps, laisse entrevoir une évolution qui consiste justement à trouver un exutoire à cet humour dans le cadre d'un scénario bien plus construit. On peut deviner le potentiel du futur auteur de "là bas" à travers une certaine vision de la poésie déjà présente dans cet album.
De plus cet album, évoque un sujet pas si anodin que cela, puisqu'il s'agit d'une charge, que dis-je d'une diatribe enragée contre l'ordre établi d'une sorte de pensée unique sur le consensus qui veut une joie, un bonheur de chaque instant pour chacun, ne serait-ce que par décence envers les autres...
= = = EXCELLENT = = =