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Voici un tirage de t^te exceptionnel que tout amateur de la série Okko ne peut se priver d'avoir tant il est magnifique.
Voici pour moi, le meilleur album 2005 en ce qui concerne la qualité du dessin; En outre quand on sait que c'est son premier album nulle on ne risque pas de se tromper en prédisant un avenir exceptionnel à HUB.
Il est clair qu'encore une fois Frank Pé nous éblouit par la qualité sans faille de son dessin. Voici un des maîtres les plus complets de la BD franco-belge actuelle.
La poésie dégagée par les dessins de Frank Pé vous laissera tout simplement sans voix. Ne rater pas cet album à aucun prix.
Vraiment un des plus beaux tirage de tête qui vous permettra de rentrer avoir profondeur dans la splendeur de l'environnement créé par Frank Pé.
Tout simplement époustoufflant; on ne compte que peu de BD de cette qualité chaque année et la je vous avoue que je suis resté bouche-baie devant une telle merveille. Vivement le troisième tome.
Second tome des aventures de Marada et dernier paru en France à ma connaissance.
Cela fait bientôt 20 ans et je trouve toujours autant dommage que Delcourt n'ai jamais publié la suite.
Existe-t-elle seulement ?
Trouve-t-on une V.O. ?
Vraiment une excellente BD dans ce style mythologie fantastique.
Je trouve le style de Bolton vraiment excellent et le scénario concocté par Claremont est très prenant.
Effectivement, ce tirage de tête met en valeur de façon extraordinaire les qualités de graphiste de Frank Pé. Indispensable à tout grand collectionneur.
Une atmosphère à la fois étrange et remplie de poésie; un dessin superbe retransmettent au lecteur les émotions dont transpire cette BD; Voici une BD à lire sans tarder.
Voici une oeuvre indispensable pour tout amateur de nos félins familiers;
Frank Pé nous donne à la fois des lessons de dessin et nous fait rentrer dans son monde de poésie.
Très bonne bande dessinnée comme les 3 premiers tomes; Le dessin d'Aouamri est superbe et permet de retranscrire de façon superbe les athmosphères de ses BD. J'espère qu'Aouamri veillera à ce que cette série puisse encore nous faire rêver pendant longtemps.
Très bonne bande dessinnée comme les 3 premiers tomes; Le dessin d'Aouamri est superbe et permet de retranscrire de façon superbe les athmosphères de ses BD. J'espère qu'Aouamri veillera à ce que cette série puisse encore nous faire rêver pendant longtemps.
Très bonne bande dessinnée comme les 3 premiers tomes; Le dessin d'Aouamri est superbe et permet de retranscrire de façon superbe les athmosphères de ses BD. J'espère qu'Aouamri veillera à ce que cette série puisse encore nous faire rêver pendant longtemps.
Rarement une reprise d'une série excellente aura été aussi mauvaise; On se demande si les éditions Soleil n'ont pas tout simplement voulu coulé cette série vu l'infidelité d'Aouamri parti travailler chez Dargaud. Il tout à fait regrettable de bacler ainsi une série qui continuait à avoir un bel avenir devant elle avant cette reprise lamentable au niveau dessin et peu convaincante au niveau scénario.
Superbe série magistralement dessinnée par un des meilleurs dessinateurs réalistes de l'école franco-belge. Tous les personnages sont dessinés avec le plus grand soin Grenson ne se contentant pas de bien dessiner son héros. En outre la couverture en couleurs directes du Tome 2 que j'ai eu l'occasion de voir lors d'une exposition est tout simplement magnifique.
Arnaud fait preuve d'une dextérité au dessin rare pour un débutant; Même si le scénario se doit d'encore progresser la qualité du dessin y est déjà et rend ce premier tome très agréable à lire.
Ouais, c'est pas le pire de la série, il faut bien le reconnaître. De l'action à la lanfeust (mais sans Hébus, une fois n'est pas coutume), assez prévisible donc, une zezette qui traîne, quelques références à peine voilées (Bush en chef militaire), une citation pompée (Arleston aurait pu mettre sa source...) et une "surprise" qui vaut ce qu'elle vaut, tout dépend de son exploitation dans les tomes suivants. On espère tout de même que ce (mini) coup de théâtre relancera quelque peu un interêt qui avait tendance à s'émousser sérieusement. Le dessin de tarquin est, quand à lui, très bon, les singes blancs sont réussis...
Une série qui suit son train-train avec des tomes assez inégaux en interêt.
Mais bon, soyons honnête, j'ai passé un bon moment en lisant cet album et on ne lui en demande pas beaucoup plus...
Je viens de lire cet album et j'ai franchement adoré!
Ce 3ème tome est de loin le meilleur de la série, on sent un net progrès de Dim D dans la maitrise de sa technique. Le graphisme est, en effet, de toute beauté, les effets de lumière, la couleur, les décors, l'achitecture des constructions, bref c'est une réussite à condition évidemment d'aimer le genre. Je peux parfaitement comprendre que cela en rebute quelque uns, mais personnellement, je trouve tout cela magnifique (les gardes pourpres...).
Un petit mot à propos de la couverture qui me parait très réussie avec une mise en perpective et des couleurs très habillement choisies.
Le scénario prend également son envol. Après 2 tomes qui paraissaient pompés sur Tolkien et son célèbre seigneur des anneaux, on arrive ici à une référence qui, même si les renvois à Tolkien sont encore présents, est à chercher plus clairement du côté de la bible. Les références christiques sont assez nombreuses (le discours sur la colline, les baptêmes dans l'eau, l'arrêt du prophète, Samson et Dalila etc...).
Istin nous propose ici une synthèse très interessante entre les mythes celtes et les fondements bibliques à l'origine de la civilisation européenne (gréco-latine, plus exactement).
Un série qui prend son envol et s'améliore au fil des tomes, espérons que les vents seront favorables pour la suite.
Une de mes meilleures surprises de l'année, en tout cas.
L'histoire avance bien.. devient trés interessante.
Le dessin est a son sommet, encore mieux que dans aldebaran.., les couleurs itou
Bref, un trés bon album
Passons sur le dessin qui est vraiment particulier.... surtout au niveau des visages...
Le scénario n'a dans ce tome rien de bien palpitant. Une jeune chanteuse tombe amoureuse, elle semble completement bete la pauvre fille et elle suit partout l'appolon en question...
Bref un premier tome extrement decevant, la niaiserie de l'heroine ne contribue pas n'ont plus a la qualité de l'album
Par rapport aux deux tomes précédents, on a l’impression que ce troisième tome est un peu moins utile au récit et que l’histoire stagne un peu, mais ce moment de répit fait tout de même du bien suite au scénario (historiquement) fort chargé de cette série.
Au dessin on retrouve toujours Gine (période Christique) et Wachs (période Vatican), qui n’ont dessiné que quelques planches dans ce tome, Falque (période contemporaine) qui c’est un peu plus appliqué et Juillard (couverture), avec cette fois-ci Jean-Charles Kraehn en dessinateur guest-star. On remarque également que le dessin de Falque (qui comportait le plus de lacunes) a légèrement progressé.
Les rouleaux de la Mer Morte, le Testament du Fou et les notes de Francis commencent à délivrer leurs secrets. Tout semble converger vers la loge première, une loge qui fût jadis présidée par Hugues de Payns.
Le côté polar prend le dessus dans ce troisième tome toujours aussi passionnant.
Le rythme ralentit quelque peu lors de ce cinquième volume, après deux tomes furieux. Ainsi les auteurs optent cette fois pour des histoires courtes et indépendantes comme pour les deux premiers tomes. « Frère tigre » est une nouvelle issue d’une légende coréenne, à la morale un peu simplette mais tendre ; elle traite de la valeur de la vérité dans les relations interpersonnelles en montrant le lien unissant une mère à ses deux fils, dont l’un changé en tigre. « Le lombric dansant » est consacré au personnage de l’écuyer et à son estime de soi, souvent mise à mal par un Mun-Su caustique (et le mot est faible). « Nonge » traite habilement de la prostitution et de l’exploitation des filles coréennes de familles pauvres (pratique révolue en Corée, on l’espère), là encore en puisant dans l’Histoire coréenne et les traces qu’elle a laissé dans la culture populaire. « Neige fondue », à défaut d’être la plus originale, est la seule qui fasse avancer la trame principale, puisque Mun-Su et Ajite vont être amenés à se croiser. On le voit bien, les enjeux dramatiques sont plus faibles que dans les tomes précédents, mais l’introduction d’histoires indépendantes sous la forme de contes permet de faire une pause bienvenue. Les dessins sont bien sûr au niveau, même si les planches créatives et soignées se font plus rares. Sans doute un des tomes les plus faibles.
Ce quatrième volume se consacre uniquement à l’épisode de « la fleur de l’enfer », qui représentait déjà la quasi-totalité du volume précédent. Mun-Su et son Sando luttent contre un gouverneur produisant du pavot en grandes quantités pour l’Occident. Il s’avère que celle-ci est une ancienne camarade d’armes de Mun-Su, tout comme certains de ses sbires. On assiste ici à un déchaînement d’action et de combats : Sando croise le fer avec Wonsul sur les toits de la cité, l’occasion de quelques scènes du niveau d’un Matrix ; Mun-Su se charge de Wonhyo, gouverneur, magicienne réputée et aux ordres de Mun-Su alors qu’il était général des armées de Jushin. Au premier coup d’œil on est un peu déçu par la surenchère de violence qui fait penser à la production de manga moyenne à destination d’un public jeune et masculin. En y regardant de plus près, la profondeur des personnages compense aisément cette trame en apparence simpliste : Sando y apparaît plus sensible que jamais, Wonsul dévoile sa personnalité entière et sa pureté est un contraste avec le cynisme et la force de Mun-Su, Wonhyo reste un mystère et fait penser à certains monstres de la mythologie grecque comme Scylla. C’est encore une belle réussite, la présence en filigrane d’Ajite laisse espérer de nouvelles révélations pour les tomes à venir.
Un classique du genre.
Après un tome en grande partie déconnecté de l’histoire de Mun-Su, ce sixième volume se recentre sur le cœur du manga. Mun-Su est sur les traces d’un forgeron très particulier afin de faire reforger son mahai, source de ses pouvoirs et preuve de son statut d’Angyo Onshi. Nos trois compagnons se rendent donc dans la région des sept pics, zone froide et montagnarde que l’on a du mal à situer (Chine, Mandchourie, Nord de la Corée) ? Mun-Su se voit donner pour mission de démêler les déconvenues amoureuses de la fille du gouverneur. Nous sommes gratifiés d’un scénario assez fin, creusant la psychologie déviante de la jeune princesse. Cet épisode cadre également mieux la série, d’un point de vue historique du moins, puisque une invasion occidentale se prépare. Un tome plus sombre, funèbre même, notamment par le dessin et les planches plus noircies qu’à l’accoutumée, et les scènes mélancoliques des rêveries de la princesse Pyong Gan, aux tendances neurasthéniques. A noter la très belle couverture de Yang Kyung-Il, nettement supérieure aux précédentes.
Suite à la mise en place des différentes périodes, des personnages et de l’intrigue dans le premier tome, ce deuxième tome semble plus vif et plus incisif que le précédent.
Didier se rapproche dangereusement du tombeau du Christ, sous l’œil attentif du Vatican et du mystérieux Hertz. Des organisations secrètes le suivent de près afin de préserver ce terrible secret vieux de 2000 ans. Tout semble converger vers la Champagne où se trouve une statue d'un chevalier Cathare.
La solution se rapproche, l’étau se ressert et la tension monte. Le Vatican guette, les Gardiens du Sang agissent, Hertz cache son jeu et le lecteur s’enfonce de plus en plus dans cette fiction qui s’amuse à bousculer sa réalité.
Côté dessin on retrouve Gine pour la période christique, Wachs pour la période Vatican, Falque pour la période contemporaine, André Juillard pour la couverture, Paul pour la colorisation et cette fois Eric Stalner en dessinateur ‘guest-star’ à la place de Gilles Chaillet.
Dès le premier tome de cette série qui devrait en compter sept, Convard nous plonge dans l’univers (peu connu) de la Franc-Maçonnerie. Didier et Francis, initiés le même jour à la franc-maçonnerie, travaillent depuis plusieurs années à l’élucidation des mystères des manuscrits de la Mer Morte, à travers la restauration de parchemins anciens découverts à Qumran et traitant des origines du christianisme.
L’idée de base du scénario (osé) consiste à faire croire que l'église trompe depuis 2000 ans toute la communauté sur la véritable identité du Christ et que cette supercherie est gardée secrète depuis la nuit des temps. C’est donc au fondement même de l’église que s’attaquent Didier et Francis à travers leurs recherches, propulsant le lecteur dans une aventure historique qui s’annonce extrêmement périlleuse.
L’histoire se déroule parallèlement sur plusieurs périodes (christique, médiévale, contemporaine, etc.), sous forme de flash-back. Ce qui constitue l’originalité de cette série est que Convard a fait dessiner chaque époque clef de l'ère chrétienne par un dessinateur différent. On retrouve ainsi Christian Gine pour la période christique, Pierre Wachs pour la période Vatican, Denis Falque pour la période contemporaine et Gilles Chaillet en dessinateur ‘guest-star’ pour la période moyenâgeuse. De plus on retrouve André Juillard pour la couverture dans cette méga production.
Le fait d’attribuer les différentes périodes à des dessinateurs différents à le mérite de pouvoir repérer plus facilement les changements de périodes et offre au lecteur une certaine clarté graphique qui fait plaisir au milieu d’une histoire assez compliqué. De plus, cette alternance de styles ne se fait pas au détriment de la cohérence de l’histoire puisqu’un seul scénariste et un seul coloriste assurent l'harmonie de l’ensemble.
Il faut cependant avouer que graphiquement cette série n’arrive pas à la cheville du «Troisième Testament» avec surtout le dessin contemporain de Falque assez raide, approximatif et parfois mal proportionné.
Le développement de l’aspect historique et en particulier de la Franc-Maçonnerie pourrait, au premier abord, effrayer les néophytes en la matière, mais le côté polar de l’histoire est extrêmement bien développé et devrait vite faire passer la pilule. Le lecteur se retrouvera alors au milieu de secrets bien gardés, de mystérieuses organisations comme les Templiers et les Franc-Maçons, de luttes de pouvoir au sein même de l’Eglise et du Vatican afin de lever le voile sur un mensonge vieux de 2000 ans.
J'ai trouvé sa drole et rafraichissant par rapport à mes lecture habituel. Je n'es pas lu les oeuvres precedentes de Akamatsu donc je peux pas comparer. Mais ce tome 1 presente un heros sympathique et attachant et une galerie de second role sympa. Deja l'idée de depart est plutot original : un jeune magicien de 10 ans devient profresseur dans un college pour fille, les situations droles s'enchaine tout au long de l'album. Sympa.
Dans la Corée médiévale, les Angyo Onshi étaient des envoyés de l’empereur qui circulaient à travers les terres afin de s’assurer de la bonne gestion des provinces. Ils étaient en quelque sorte des contremaîtres chargés de contrôler les actions des gouverneurs. Il s’agit bien sûr du thème central du manga, transposé dans un royaume asiatique imaginaire. Les légendes et le folklore coréen sont exploités de manière intéressante, enracinant fermement le manga dans l’Histoire tout en proposant des niveaux de lecture plus contemporains. Le nouvel Angyo Onshi est un jeune homme dénommé Mun-Su, il parcourt les restes du Jushin, empire qui s’est éteint dans des circonstances mystérieuses, avec Sando, son garde du corps, afin de rétablir la justice et de protéger les faibles.
A la lecture du troisième tome, on sent que le rythme et les enjeux vont prendre de l’ampleur. Celui-ci débute par l’introduction d’un nouveau personnage, l’écuyer de l’Angyo Onshi, qui brille par ses prestations comiques et son sens développé du ridicule. Les auteurs précisent à l’occasion d’un interlude que cette idée n’est pas une invention de leur part, puisque Mon-Ryong, angyo onshi de la légende de Chun-Yang (légende ayant inspiré ce présent manga), disposait d’un serviteur analogue. Le reste de ce tome est dévolu à une histoire beaucoup plus consistante, qui ne s’achèvera que dans le tome suivant. Mun-Su va cette fois s’aventurer dans une province abritant les restes de militaires hauts placés dans l’armée du Jushin et s’adonnant aux trafics de drogues et d’armes. Mun-Su y rencontre d’anciennes connaissances et c’est l’occasion pour les auteurs de nous laisser entrevoir son passé trouble. Ajite fait également son apparition et semble être un personnage complexe et ambivalent : pacifique, honnête et altruiste en apparence, ses valeurs morales sont en revanche beaucoup plus floues puisqu’il est également le commanditaire de la production de drogue dans la région.
Le scénario prend des accents de geste et il semble que le manga s’engage dans une histoire longue et épique, délaissant les récits courts et symboliques des premiers volumes. Le dessin reste superbe et offre quelques planches ahurissantes de dynamisme, de précision et de contraste. A lire et à relire.
Dans la Corée médiévale, les Angyo Onshi étaient des envoyés de l’empereur qui circulaient à travers les terres afin de s’assurer de la bonne gestion des provinces. Ils étaient en quelque sorte des contremaîtres chargés de contrôler les actions des gouverneurs. Il s’agit bien sûr du thème central du manga, transposé dans un royaume asiatique imaginaire. Les légendes et le folklore coréen sont exploités de manière intéressante, enracinant fermement le manga dans l’Histoire tout en proposant des niveaux de lecture plus contemporains.
Avec ce deuxième tome, l’univers du nouvel Angyon Onshi continue progressivement de prendre de l’épaisseur. A nouveau les auteurs nous livrent des histoires courtes et indépendantes, ce qui ne les empêche pas de nous gratifier de détails de la vie des personnages par petites touches, attisant notre curiosité. En premier lieu un siège mené par des brigands contre une cité de l’empire, où Mun-Su va intervenir pour éviter le massacre. Une démonstration d’intelligence militaire nous est offerte. La deuxième histoire est extrêmement différente puisqu’elle montre Mun-Su et Sendo en prise avec la nature et ses créatures mythiques. Emprunte de mélancolie et d’une atmophère oscillant entre l’horreur et l’animisme, elle s’inscrit probablement assez bien dans le corpus de mythes et légendes coréen. C’est ici l’occasion pour le dessinateur de monter son talent inégalable pour les scènes d’action, pleines de fureur et d’émotions. Enfin la dernière séquence, de loin la plus longue, aborde les thèmes de l’illusion, la perte des repères, l’usage des drogues. Le jeune Jun y est en prise avec ses drames personnels et explore sa relation avec son mentor. La brièveté des chapitres est sans doute regrettable. Bien que chaque histoire soit originale et pas dénuée d’intérêt, une trame générale conviendrait sans doute mieux à ce manga centré sur ses deux personnages principaux. On se consolera avec le dessin, d’une beauté toujours aussi renversante. A lire rien que pour le plaisir des yeux.
Extrait : « Cette plante peut te donner le bonheur éternel… Elle montre les choses telles qu’on veut les voir… Elle soigne celui qui est rongé par le désir… En le faisant vivre dans le monde de ses rêves… Alors ? Tu hésites ? Dans tes rêves… La douleur n’existe pas. »
Avis sur les 3 tomes.
J'ai retrouvé le dessin de Duval avec plaisir. Même si je trouve parfois les expressions de certains visages trop poussées (au point de ne presque plus les reconnaître, surtout dans la colère), son dessin est varié et fluide. Les grands espaces, les ambiances de saloon, de ville de chercheurs d'or, sont bien faits.
Le scénario quant à lui est sympathique, mais parfois je l'ai trouvé peu crédible (en gros les réactions des personnages sont vraiment bizarres voire illogiques). Cela dit, on passe un bon moment. Pour résumer, dans le 1, elle accompagne un convoi qui part vers l'ouest. Le 2 se passe dans une ville de chercheurs d'or dirigée par un petit empereur local. Et dans le 3, elle cherche à se venger d'un hors-la-loi recherché (toute seule comme une grande). Chose intéressante, autant dans le 1 elle prend des clichés, dans le 2 elle en prend un seul, et dans le 3 on oublie carrément son métier.
Petit clin d'oeil, j'ai même reconnu Lucky Luke à la fin du tome 3.
Je mets 5/10 car c'est plaisant mais sans casser 3 pattes à un canard !
On suit Isaac O'toole, flic honnête parmi une armée de flics véreux new-yorkais. Rien n'est jamais acquis, comme dans tout bon polar, les différents personnages sont rarement ce qu'ils paraissent, et à la fin de ce tome, on comprend plus trop ce qui se passe, sauf qu'il est encore plus dans la merde qu'avant.
Niveau dessin, c'est plutôt simpliste mais bien fait. L'action est bien retranscrite, les angles de vue intéressants, l'enchainement des cases est fluide, j'ai eu parfois quelques hésitations dans l'ordre des bulles à lire mais rien de grave.
"Qui mange qui ?" voilà comment on pourrait résumer cette histoire : c'est parfois cynique et cela posse de réelles questions aux petits lecteurs! L'aspect légende est un peu mis de côté mais il y a toujours une présentation de cette faune australienne si riche! Toto me donne souvent envie d'en savoir plus sur certaines de ces drôles de bêtes.
Un second tome encore meilleur : toujours plus d'action, toujours plus d'humour. Les pages ont couleur sont vraiment sympa, le dessin est vraiment bon, il a bien vieillit contrairement à beaucoup d'autre manga. Un savant melange d'action et d'humour. Indispensable comme manga.
...et la suite est à la hauteur! On perd un petit peu de la fraicheur de la nouveauté, mais on passe à nouveau un agréable moment. La peur de l'inconnu et de la différence sont cette fois ci au centre de l'histoire. On retrouve aussi un des thémes majeurs des contes de ce type: les visions, il ne faudrait pas y voir une allusion à la consommation de certaines subtances.
si vous n'avez pas encore dans votre bibliothéque cette série culte,honte a vous!
Akira reste et sera le manga incontesté,honte a ceux qui ne l'ont pas lu!!!
a lire absolument!l'histoire est magnifiquement apocaliptique et les graphismes époustouflants...dans le genre d'akira,presque aussi bien.Vivement la suite!
Avis sur les 2 tomes
Des dessins et des couleurs tout simplement magnifique, j'ai un ptit faible pour Elya. Niveau histoire c'est de L'HF classique avec les differentes races : on leur a juste changé le nom ( ce qui sert à rien je trouve ) Sylve = Elfe, Oslan = Nains , Naadirs = hobbits. Comme dans tout recit de HF il y a une quete : ici sauvé le monde tout simplement :). Bien sur le groupe est composé d'un perso de chaque race : rien d'original donc MAIS c'est vraiment bien traité, l'histoire est dynamique, les scenes d'action sont vraiment efficace. Et le recit reserve quelque surprise avec la mort de personnage "important", les heros du recit sont vraiment attachant et les rapports qu'ils ont entre eux sont bien rendu notamment entre l'oslan et les Naadirs. Une excellente lecture donc.
Un dessin toujours de tres bonne qualité, un tome captivant qui melange révélations et action. L'enquete avance un peu plus mais pose de nouvelles questions ceci allié au probleme de Nigel avec la police donne un tome interressant à suivre. Vivement la suite qui devrait en révélé encore un peu plus.
Une excellente surprise...
Des personnages typés, avec un caractère bien trempé pour certains et une intrigue qui tient la route, bien qu'elle laisse de nombreuses questions en suspens.
Le tirage N&B est quant à lui extra, il permet de voir la finesse du dessin et le souci du détail.
Un tome 2 attendu avec une vive impatience !!!
Quelle fin de cycle inattendue! De plus, quelle intéressante introduction au prochain cycle d'aventures du Scorpion et de sa suite d'aventuriers! Enfin, quelle équipe ces Enrico Marini et Stephen Desberg!
Toujours au rendez-vous, le talent graphique d'Enrico Marini dessert de façon magnifique cette fresque historique d'aventures où le sacré et le profane baignent dans une marée de mesquineries trompeuses et de quête du pouvoir.
Une BD ensorcellante et impossible à déposer une fois entamée. Que dire de plus? Le sixième tome d'une série indispensable!
Après un an et demie d'absence, Serge LeTendre, Chantal Ta, TaDuc et Nadine Voillat sont de retour pour le plus grand plaisir des lecteurs afin de nous offrir le huitième tome de la grande saga de John Chinaman, un personnage d'origine chinoise qui évolue aux États-Unis du XIXe siècle, dans un cadre de western à saveur asiatique.
Nous retrouvons, en effet, Chinaman après plusieurs mois et plusieurs kilomètres de chevauchée, suite à son départ du village de Blue Hill, dans ce qui s'annonce être un nouveau cycle d'aventures avec de nouveaux personnages de soutien qui toujours le même point en commun: ils en sont à un stade où une aide fortuite leur serait tout à fait la bienvenue!
Le dessin de TaDuc, toujours aussi agréable à regarder, soutient encore une fois de façon excellente la trame de l'histoire scénarisée par Serge LeTendre et Chantal Ta. À suivre dans le prochain tome, cet album permet aux passionnés de séries telles que Comanche et Blueberry d'assouvir leur soif de bonnes séries western tout en découvrant une nouvelle façon de percevoir l'amérique de 1850.
À lire, à savourer et à prendre son mal en patience pour l'attente du 9e tome!
Contrairement à ma lecture précédente, la lecture de ce deuxième tome d'un tryptique de Frank Giroud m'a permis de me replonger dans une aventure tout aussi bien construite que dans son premier volet. Rien de nouveau dans ce tome-ci qui nous permet toutefois d'en apprendre un peu plus sur les démarches entreprises par le personnage principal qui cherche à mettre à jour des secrets enfouis depuis plus de 50 ans. Secrets qui, selon certains ravisseurs tirant des ficelles dans l'ombre, devraient demeurer cachés et inaccessibles à la curiosité de Valentin.
Frank Giroud, scénariste très prolifique ces dernières années, nous sert encore une fois un bon suspense où les détails et explications sont dévoilées au compte-goutte. Au crayon, nous retrouvons Milan Jovanović qui nous sert sa deuxième BD de ce qui devrait être une excellente carrière d'artiste. Son style ambivalent, tel que déjà mentionné dans la critique du premier album, convient parfaitement au scénario et on ressent un excellent travail de recherche de décors afin d'offrir au lecteur un cadre soutenu afin d'appuyer de véracité cette histoire captivante. Finalement, nous retrouvons aux couleurs Cerise qui se détache de son style habituel pour nous offrir une excellente gamme de couleurs très bien adaptée au thème de l'histoire et de l'environnement dans laquelle elle se déroule.
En résumé, ce deuxième tome poursuit la lancée du premier opus, et il est clair que les auteurs nous réservent le meilleur pour la fin!
Dans la même suite graphique que le premier tome, le dessinateur, dont le style semble très personnel, nous livre la deuxième partie de cette histoire à un tel point mystérieuse pour le lecteur qu'après avoir terminé la BD, on se sent dépourvu de compréhension de l'ensemble du récit.
Le fond du sujet est plutôt intéressant, et il aurait pu être magnifiquement présenté, par contre, la méthode choisie pour exprimer ne semble pas être à point, car malgré le dessin amusant, les personnages hauts en couleurs, et finalement la mise en couleurs tout à fait adaptée aux traits, l'ensemble a un fâcheux manque qui ne permet pas au lecteur de se sentir captivé par la lecture de la BD.
"Le hors la loi" et "Angel Face" sont les albums formant le cycle "Complot contre Grant".
Ce cycle fait parti des meilleurs sans atteindre l'atmosphère du cycle précédant.
Le cycle "Le trésor des confédérés" qui commence par "Chihuahua Pearl" puis continue avec "L'homme qui valait 500 000$" et termine avec "Balade pour un cercueil" est pour moi le meilleur.
Les albums ont une sale beauté accentuée par la lumière aveuglante et les tourbillons de poussières. Tous les ingrédients sont là pour une bonne "BD-western-spaghetti" : des sacs pleins d'or, une jolie fille, de méchants mexicains, un sac à gnôle et Mike toujours aussi crado.
Le dessin est très bon, et la restriction dans la palette de couleurs est géniale pour nous plonger dans l'atmosphère: chaleur écrasante en plein désert, nuit de pleine lune...Magnifique.
Une plongée dans les années sombres de l'Espagne.
Le dessin de Bilal sied parfaitement au scénario, et l'histoire, bien ficelée, comporte cependant quelques passages un peu longs.
L'album de trop.
Soit, il est plaisant à lire, mais après une histoire sur 4 albums plutot sympas, les albums suivants développent leur propre histoire, et exploite le fillon. L'impression qu'Arleston pousse le bouchon le plus loin possible, alors qu'un arrêt au tome 4 aurait laissé l'impression d'une série plutôt sympa. Un peu a la XIII, et les albums jusqu'au n°5.
Plaisant à partir de cet album, sans plus.
Prometteur.
Le lien entre "Laufest de Troy" et "Laufeust des Etoiles".
On pourrai repprocher a Arleston d'utiliser la filière "Lanfeust" jusqu'au bout, mais on a toujours autant de plaisir a se retrouver sur Troy.
Globalement bonne, l'histoire manque peut être un peu de profondeur pour un premier album, on se demande un peu où on va arriver.
Le seul gros reproche pour moi reste le dessin, qui même s'il est excellent, romps trop pour un fana de Lanfeust avec le dessin originel de Tarquin. Ca surprend au départ, puis on s'y fait, on se laisse mener par l'histoire grâce à du grand Arleston.
A lire, rien que pour redécouvrir Troy.
C'est une (re)découverte.
Fan de Lucky Luke gamin, me voilà a redécouvrir cette Bédé plus de 10 and après, au travers de cet album.
Ne faisons pas la fine bouche : les ingrédients principaux sont bien là, le ton est bon, sans cependant atteindre la gouaille de Goscinny, son don pour les histoires.
Personnellement, l'album se lit bien, l'humour est a mi chemin entre du Gerra et l'original, bref, un Lucky Luke nouveau, mais quand même dans la tradition.
La série raconte l'amour d'un jeune collégien à l'égard d'une fille "inaccessible"... jusqu'au jour où il rencontre une autre fille sortie d'un magnétoscope pour le conseiller dans sa démarche.
Vidéo Girl Aï est un chef d'oeuvre d'amour, de sentiments et d'émotions. Les personnages débordent de sensibilité...faites attention de ne pas mouiller le manga de vos larmes, s'il vous venait la bonne idée d'acheter la série!
Les Maîtres de l'Orge est une série très originale qui retrace l'histoire d'une marque de bière belge sur 150 ans! De la qualité du houblon aux chiffres d'affaires de la Stanford, Van Hamme nous raconte tous les aspects d'une entreprise familiale. Le dessin est classe et s'adapte bien aux différentes époques. Il n'y a pas de déséquilibre dans la qualité des différents tomes.
Très bonne BD.
La vengeance du Comte de Skarbek est une très bonne BD. Le dessin reste particulier avec la quasi inexistence d'encrage, les cases étant des mini tableaux dans un style différent de celui de Gibrat qui préfère les contours plus visibles. Mais la tonalité des couleurs s'adapte parfaitement aux différents lieux: le St Malo brumeux contraste avec une île du Nouveau Monde tenu par la flibuste et les boucaniers.
Le scénario de Sente est recherché, cependant les coups de théâtre sont assez mal répartis et bien trop nombreux pour une histoire en 2 tomes. Là où Dumas avait plus de 1500 pages pour placer des rebondissements, la BD, malgré la présence du dessin, ne peut pas être adapté à d'aussi nombreux retournements...le dernier d'ailleurs m'a un peu gaché mon plaisir. Il aurait fallu un tome de plus pour diluer le tout dans une histoire décrivant plus l'histoire de l'époque...comme le faisait Dumas, toute proportion gardée, la comparaison étant bien évidemment infaisable.
Cela reste une très bonne BD.
La qualité principale des B&M de E-P Jacobs était de nous plonger dans l'ambiance de l'époque. On peut dire que les auteurs y parviennent pleinement. L'histoire en pleine guerre froide est criant de réalisme de par le dessin des villes, des véhicules et des costumes. A partir de là, ajouter un scénario captivant et des dialogues aussi denses, et vous obtenez avec l'Affaire Francis Blake les deux meilleurs suites des aventures de B&M loin devant les plus récentes (L'étrange RDV et Les sarcophages du 6ième continent).
Que dire sinon : "vous avez aimé le rock'n roll, le vrai, dans les caves avec de la Kronenbourg et de la sueur" ? Alors cette BD est pour vous. Vous ressentirez ce qu'exprime Gipi : le rêve, l'évasion, l'utopie, l'amitié,... sans oublier le n'importe quoi, l'errance, le décalage avec la réalité... Sinon, vous serez sans doute moins réceptif.
Cette lecture a été pour moi un grand moment de rock - avec une intensité similaire à celle d'un concert.
TRES TRES SYMPA - Voilà une BD qui sans avoir un dessin génial, a de la répartie dans ses dialogues. Le scénario est plutôt simple: l'errance de 3 "djeun's" à base d'anecdotes qui se suivent avec en toile de fond un sujet un peu plus grave.
Mais pour moi, cette BD est "à lire absolument" pour son texte avec des joutes verbales d'excellence. Je pense aux meilleurs réparties d'Averell pour les classiques, de Jean Claude Tergal pour les amateurs et du père Plageman pour les connaisseurs... et j'en passe.
Un agréable moment de détente.
L'affaire Francis Blake enchantera certainement plus les amateurs des scénarios de Van Hamme que les fans d'effets spéciaux de E.P Jacobs! En effet ici pas de phénomènes physiques et d'innovations technologiques, mais plûtot une superbe aventure au sein des services de renseignement britannique. Mais le dessin et le suspense font honneur aux B&M de E-P Jacobs. Cette BD est fantastique.
La marque jaune est pour beaucoup le meilleur Blake et Mortimer réalisé par E.P Jacobs. Grâce notamment à l'ambiance, l'atmosphère pluvieuse d'un hiver londonien se dégageant tout le long de l'album est hyper réaliste, et les décors (bâtiments, voitures...) qui nous aident à nous plonger dans l'histoire. L'enquête de Blake et Mortimer sur l'enlèvement de personnalités scientifiques londoniennes nous tient en haleine sur plus de 60 pages.
C'est le B&M indispensable!
Quelle bonne idée de Casterman de sortir un conte de Noël juste avant les fêtes. Par contre si certaines planches apportent un côté féerique à ce one-shot, le lecteur retombe vite les pieds sur terre, dû à la noirceur du récit.
Les dessins sont splendides, avec beaucoup d’expressions sur les visages et des planches féeriques sur deux pages. L’histoire est quant à elle, assez sombre et donc en contradiction avec cette ambiance de Noël, mais cette noirceur est mélangée avec finesse aux fêtes de Noël.
Le scénario, basé sur l’origine d’un père Noël qui porte un lourd fardeau derrière sa barbe blanche, n’est pas neuf et fait fortement penser au scénario d’un autre excellent conte de Noël édité chez Soleil «Un pas vers les étoiles». Par contre, à l’instar de «Un pas vers les étoiles» qui avait un côté plus fantastique, ce conte si est plutôt réservé aux adultes dû à sa noirceur et son réalisme qui ont tendance à nous faire basculer vers l’effroi.
Personnellement j’aurais aimé encore une ou deux planches en plus vers la fin, même si cette fin ci colle parfaitement à ce surprenant conte de Noël qui aura sûrement le mérite de modifier fortement votre perception du père Noël.
Ce deuxième tome de l’univers de Kookaburra se concentre sur Taman Kha, depuis sa naissance sur la planète Lilith jusqu’à son intégration parmi l’élite des guerrières amazones. C’est durant cette période quelle développera ses capacités télépathiques et découvrira l’existence de son frère jumeau, dont le prénom constitue également le titre du prochain tome qui devrait conclure cette histoire dédiée à Taman Kha.
Ce tome nous plonge dans le monde des amazones et qui devrait laisser la plus acharnée des féministes rêveuse. Un monde où seules les femmes ont le droit de vivre en liberté, tandis que les hommes sont réduits à l’esclavage.
Au niveau du scénario, il faut apprécier l’apport d’Ange qui apporte plus de profondeur au scénario par rapport au tome précédent. Les relations entre les personnages sont plus développées, ainsi que des thèmes comme l’abandon d’un enfant, la séparation et d’une certaine manière l’esclavage à travers une critique de la société amazone. Ange parvient donc à livrer de l’action tout en développant l’aspect psychologique des personnages au sein d’une société très féminine mais réaliste.
Côté dessin Christian Paty nous offre, tout en s’inspirant parfaitement du dessin de Crisse, des traits plus ronds qui collent parfaitement à ce monde féminin et des visages pleins d’expressivité. La colorisation de Noël est également excellente, le tout résultant en un dessin fidèle à l’esprit de la série.
Par contre, ceux qui espéraient un one-shot dédié à Taman Kha seront déçus en apercevant les mots « à suivre » à la fin du premier tome de ce diptyque consacré à notre héroïne amazone.
Après leur combat contre Scar, Ed et Al retournent dans leur village natal, accompagnés du commandant Armstrong, afin de réparer leurs corps meurtris. Ils y retrouvent leur amie d'enfance, Winry ainsi que sa grand-mère, deux mécaniciennes réputées. Le repos est de courte durée et nos héros partent rapidement pour Central où ils comptent bien percer le secret de la pierre philosophale en fouillant dans la bibliothèque (brûlée hélas) et explorer le laboratoire n° 5.
Un bon volume qui donne plus d'éléments que l'animé mais qui ne revient pas vraiment sur le passé des deux alchimistes. Il est un instant fait allusion à leur père et à leur propre départ pour Central mais pas plus. Le lecteur fait enfin connaissance evec le village natal et avec Winry qui est égale à l'image qu'on en a dans l'animé.
Encore une fois, l'humour est présent et atténue les côtés sombres de l'histoire. Avec le retour à central, les recherches à la bibliohtèque (et l'intervention de l'inénarrable Sciezka) et la descente vers le labo n°5, nous entrons à nouveau dans les combats et les révélations sur la pierre philosophale.
On ne s'ennuie pas et on en redemande
Quand Happy décide de rejoindre son frère dans la jungle urbaine des villes américaines des années 50, il est encore loin de se douter qu'il va devoir se rendre complice du braquage d'une banque.
Cette histoire policière en 4 tomes est passionnante sans avoir besoin d'user abusivement de retournements de situation ou de coups de théâtre. Le dessin est parfaitement adapté à cette série pour accentuer l'humour du récit et des dialogues. Le scénario est limpide.
Tous les ingrédients sont là pour en faire une des meilleurs série policière de la BD.
Gally se réveille sur une Terre qu'elle ne connaît pas : Terre où le cerveau demeure le génie du corps humain, alors que les os et la chair ont depuis fort longtemps fait place aux structures en acier forgé. Fille adoptive d'un docteur plus compétent pour changer un bras mécanique que pour préscrire des anti-biotiques, Gally va petit à petit découvrir que sur cette Terre, il y a 2 mondes : la Décharge et Zalem. La Décharge est la ville-déchetterie de la cité suspendue,Zalem, où se côtoie putes, toxicomanes, trafiquants d'organes sous forme de cyborg, robot et humain à 100%. Mais pour Gally, il convient tout d'abord de découvrir son identité.
Gunnm est un manga cyber-punk d'une violence telle, que l'emploi du noir et blanc adoucit ici le climat d'horreur.
Mais Gunnm est surtout un des mangas les plus abouti qui nous soient parvenus en Europe, du point de vue du graphisme, de la mise en scènes des combats, de l'originalité du scénario...et de la sensibilité des personnages.
L'histoire est en 9 tomes.
Les T1 et T2 sont des chef d'oeuvre, les T3 et T4 sont les plus originaux, le T5 est un one shot parfait pour faire la transition avec le T6 qui est pour moi le meilleur de la série qui s'achève en beauté avec les T7, T8 et T9.
La série dans son ensemble mérite amplement la note maximale.
Espérons que le professeur Nova puisse récupérer le cerveau de Yukito Kishiro.
(Je ne vous conseille pas la série de luxe qui a beaucoup moins de charme que le format de poche...c’est un peu comme si les amateurs de BD lisait une série en format original sur planche A3 !)
POLAR AVEC EQUIPE DE CHOC ET TECHNIQUES DE POINTE EN FRANCE.
Le scénario est très bon et mérite l'attention, car cette série pourrai être dynamisée par cette qualité. Cependant le dessin est assez classique et encore perfectible. De plus la personnalité des personnages reste encore pour l'instant trop simpliste (voir par moment caricaturale...).
Néanmoins, je maintiens que cette série est à suivre avec intérêt, notament grâce à son scénario qui peut laisser présager le meilleur. A suivre...
Après avoir reçu le deuxième tome de cette série et m'être rendu compte que la lecture du premier volet était nécessaire à la comprehension de la suite, j'ai été me chercher le début de l'histoire d'Angeline.
Fuckin' Day ou Angeline... On peut voir grâce au dossier inclus en fin d'album que les auteurs étaient toujours incertains au sujet du nom qu'ils voulaient baptiser cette série où les scènes d'action se suivent les unes aux autres, avec très peu de répit pour l'héroïne. J'ai fait l'exercice, après lecture, à savoir quel titre j'accorderais à cette série et mon choix s'est aussi arrêté sur Angeline, car après tout, il y a plus que les événements d'une seule journée, et de plus, abstraction faite de la dérivée d'un "four-letter word" anglais dans le titre, le titre simple Angeline me semble beaucoup plus accrocheur que l'autre.
Ceci dit, la découverte de cette série m'a permis une lecture pleine de rebondissements d'après le scénario d'Adeline Blondieau et de Éric Summer. Après le cinéma et la télévision, c'est au monde de la BD d'accueillir cette jeune comédienne/écrivaine et ce producteur/réalisateur qui avaient notemment déjà travaillé ensemble sur la série télévisée "Sous le soleil".
Ce premier tome, dessiné par Sébastien Goethals avec une mise en couleurs de Olivier Astier permet d'apprécier le monde violent et très peu ordinaire de Angeline tout en présentant un côté plus maternel et sensible de Juliet Nash. Le montage/découpage ne laisse aucun doute quant aux antécédants cinématographiques des scénaristes et permettent une présentation vivante et très bien suivie autant au niveau des scènes d'action que des changements de scène.
Toutefois, je me questionne déjà, en voyant le changement d'artistes pour la réalisation du deuxième tome, à savoir si les auteurs prévoient changer d'équipe de travail à chaque album ou peut-être même les alterner afin d'accélérer la production? Cela reste à voir...
En bref, une lecture fort appréciée de ce premier tome d'une série qui offre tous les éléments nécessaires à se tailler une place de choix parmi les meilleurs vendeurs.
Après l'excellente mise en place offerte le premier tome, tout est en place pour la lecture du deuxième tome qui offre la conclusion de ce que j'espère être le premier cycle d'une série d'albums qui se voudra nombreuse.
Tout comme dans la présentation du premier tome, on sent la très grande influence du monde du cinéma dans les choix de découpage des cases et de la construction, par le fait même, des planches de cette aventure. Le rythme continue à une cadence tout aussi effrénée que dans la première partie, et ce, pour le plus grand plaisir du lecteur. D'ailleurs, j'encouragerais les auteurs à préparer une version de leur script qui pourrait être projettée sur le grand écran... avec Adeline Blondieau dans le rôle d'Angeline! (Vous n'avez pas remarqué une certaine ressemblance?)
Ceci dit, il y a tout de même un bémol dans la lecture de ce deuxième opus, soit le dessin de Serge Fino. Bon, il ne faut pas croire que son coup de patte ne soit pas à point, loin de là. D'ailleurs, il a déjà démontré à plusieurs reprises son talent dans d'autres albums, notemment, tout récemment, dans "Spartacus le gladiateur"
En fait, le minuscule reproche que je fais, c'est simplement de ne pas voir continué le cycle avec la même équipe d'artistes que pour la réalisation du premier tome. Le résultat est que le changement est un peu trop marqué entre les deux styles de dessin, donc il est remarqué. Toutefois, cela n'affecte aucunement l'histoire elle même, qui est tout aussi bien élaborée dans cette fin qu'à son début.
En résumé, ce premier cycle d'aventures d'Angeline est un vrai régal et une très bonne lecture tout à fait recommandée!
Tout comme lors des précédents albums, Raoul Cauvin nous permet de nous délecter à la lecture des gags des Psys. Peut-être est-ce dû à sa méthode de recherche d'inspiration, où il s'allonge jusqu'à ce qu'une bonne idée lui vienne? Quoi qu'il en soit, la liste d'invités hilares de notre cher docteur s'allonge toujours!
Ce treizième tome offre une possibilité d'une bonne lecture de détente fort appréciable, tout en permettant aux lecteurs de ce réconcilier de l'absence de Bédu au chapître de la descénarisation des albums de la série Clifton!
La lecture du premier tome de cette histoire prévue en trois tomes nous permet de découvrir la mise en place des personnages par l'auteur Frank Giroud. Tout comme on peut l'espérer de cet auteur prolifique, l'histoire nous est racontée petit à petit, avec une très forte attention aux détails, sur un découpage qui nous permet de passer du présent au passé tout aussi aisément que si nous avions vécu l'aventure nous même.
Le coup de crayon de ce nouvel auteur d'ex-Yougoslavie, Milan Jovanović, peut sembler reboutant au premier coup d'oeil, mais à force de lire l'album, on se met à apprécier la nature ambivalente de son art dans lequel on perçoit à la fois une simplicité du trait ainsi qu'une élaboration soigneuse des détails des décors qui servent de mise en place des personnages. L'ensemble, aussi surprenant soit-il, constitue une présentation de cases éloquentes qui permettent une lecture dans laquelle on se sent immédiatement plonger, pour n'en ressortir que pour tendre le bras afin de passer au tome 2!
En résumé, une lecture qui m'a agréablement surpris, et je ne vais pas tarder à lire la deuxième partie!
hauteville house entraine le lecteur dans une aventure de SF a l'ambiance steampunk avec d'innombrable machine à vapeur.hommage a victor hugo avec le perso de Gavroche.Tres bon dessin au trait précis et heroïque de Gioux.ce second tome et tout aussi dépaysant et surprenant que le premier.
Une tres bonne serie a lire au plus vite et a surveiller.
ultime tome d'une serie granduose.Bien plus qu'un simple manga sur le toit du monde, LE SOMMET DES DIEUX est un remarquable ouvrage sur le tempérament humain, sa resistance et sa miserable vie face a se qu'il ne pourra jamais dompté: la force de la nature.
les relations entre l'homme et la montagne sont magnifiquement represantées.
Un pure CHEF D'OEUVRE dont le seul sommet qu'il vous faudra gravir serat de passé chez votre libraire.
La célèbre mercenaire, Carmen Mc Callum vient de réussir un nouveau coup flambant : la première évasion d’une cryodétenue qui se nomme Naoko. Mais qui peut bien être le commanditaire d’une telle évasion, dont les moyens semblent disproportionnés par rapport au crime commis par Naoko ?
On se retrouve en 2053 et le décor futuriste planté par Fred Duval est très réaliste, avec des caméras de télévision volantes afin de suivre l’action en direct et la cryogénisation pour les détenus en préventive afin de solutionné la surpopulation des prisons.
Une histoire bourrée d’action, qui explose dès la couverture et ne se réduit donc pas à la mise en place de la série. Des personnages bien choisis, des mercenaires, des aborigènes, la maffia japonaise, des journalistes sans scrupules, bref de la dynamite sur un fond d’intrigues.
Le personnage de Carmen est un peu trop stéréotypé, mais ça passe. La découpe est dynamique, tout comme la colorisation. Seul petit reproche au niveau dessin sont les têtes parfois bizarres et les corps légèrement difformes.
Dynamique et divertissant !
J'avais depuis un bon moment laché les X-men car les histoires que j'ai pu lire récemment étaient dénuées d'intérêt. Trop de personnages, donc pas de psychologie, des combats. Et bon ça me fait suer ce genre de comics.
Mais là, suite aux avis élogieux glanés ici et là, je me suis lancé. Autant dire que c'est une divine surprise. Le scénar se rapproche de par la volonté de Morrison du style des films, donc on a droit à une psychologie sur les personnages, un ton d'histoire beaucoup plus sombre et réaliste, avec le questionnement inévitable du bien et du mal. Cyclope notamment n'est plus aussi lisse qu'auparavant, ainsi que jean, xavier, hank. Le grand vilain de l'histoire est génial et inattendu au possible. Les dessins sont à la hauteur, hormis Kordey sur certains épisodes qui est beaucoup plus fouillis au niveau du trait et donc dénote du reste. Dommage, mais le tout est vraiment indispensable.
c'est de L'HF archi classique, rien de bien original mais assez distrayant finalement, le melange action/humour est bien dosé je trouve. Je lirais donc la suite même si je n'es pas été super emballé par l'histoire.
Des dessins parfait pour ce genre d'histoire, drole et violent j'ai adoré.
Un dessin agréable, de beaux monstres, des personnages soigné, des scenes d'action bien détaillé, niveau dessin rien à repprocher donc mais niveau histoire le debut peine à passionner le lecteur, j'ai eu du mal les 2 tiers du manga. Des enquetes torché en 3 pages qui amene une scene de baston bien violente. Le dernier tier est un peu plus interressant en posant des questions sur Kyoko. Tome 1 assez moyen j'espere que la suite sera mieux. Car des flics qui combattent des monstres c'est tres original tout sa.
Un dessin tres classique mais soigné, surtout pour les scenes d'action tres dynamique et au decoupage parfait. Niveau histoire c'est assez classique avec un groupe d'ado confronté à un pouvoir et des ennemis. Le pouvoir de ces ados et assez original ( un bras ou jambe bionique on va dire ), en gros ces ados sont des armes vivante qui suscite des convoitises. Ce tome 1 est assez violent, sa bastonne dure, les personnalité des differents personnages sont bien differente : le heros posé et refléchi, celui qui tape avant de parler et le timide. Tome 1 sympathique.
Un second tome qui a forcément moins la fraicheur du 1er et n'arrive pas a se renouveler assez selon moi. Même ambiance, même caractères de personnages. C'est un peu décevant quand on aime être surpris.
Vraiment un excellent comics. L'anti héros parfait bien bourrin mais sensible un peu malgré lui. Une histoire interessante, des personnages secondaires vraiment excellents (ahh kevin !!!). Que du tout bon !
Franchement, on est loin ici des niaiseries actuelles style Lanfeust et compagnie...Voila ce que devrait être une bonne bd HF qui ne se prend pas au sérieux... Avec ce second tome, Loisel et Le tendre continuent de nous faire visiter un univers très riche si bien qu'on en connaît pas les limites. Avec le recul, ils auraient pu faire beaucoup plus de tomes tout aussi intéressants. ça nous laisse un peu sur notre faim et c'est pourquoi on les relis toujours et encore avec autant de plaisir. Et puis quel superbe exemplaire que ce petit format en EO ! La qualité du papier est moins bonne, mais bon, ça fait plus typique...
Biensûr faut aimer le style très particulier de Ledroit. Ses dessins sont magnifiques mais sa mise en image est parfois très confuse (« Sha » par exemple est assez bordélique je trouve). Ici, l'histoire de Vampire renouvèle vraiment le genre par un univers très riche et originale. On est pas non plus dans un manichéisme primaire. Vraiment une bonne surprise pour moi. J'ai hâte de lire la suite...
Ce deuxième tome est hymne à l'aventure et au burlesque poussé à son paroxysme et avec un immense talent ! Franchement, les dessins de Masbou sont à tombés par terre. Ils sont magnifiques et très précis. L'histoire d'Ayroles est de plus en plus rocambolesque et recelle de trouvailles toutes plus géniales les unes des autres. Que dire de plus si ce n'est que cette série est INDISPENSABLE !
Il ya du bon et du moins dans tout ça. Mais idéeal pour découvrir les comics !!!
Canales s essouflerait il? Sans doute, il faut dire qu apres la surprise du premier tome et la beauté du second , difficile de faire mieux, le scenario est donc moins abouti on s ennuit un peu car l histoire ne nous immerge pas réellement, d autres part je trouve que les dessins de guarnido on perdu en intensite, blacksad s arrondi et a perdu son profil nerveux et angoisse de detective, dommage car il en perd en charisme, voyons la suite....
Enfin un dessinateur qui a une patte, loin des critères soleilien( expession a moi) par le style et le scenario, cette bd nous entraine dans un monde religieux ou notre heros plus que naif et genereux va deambuler avec un humour des plus doux amer, une histoire magnifique et attendrissante? on ne peut que tomber sous le charme de ces petits personnages, mais l histoire a une fin et oui, car amis lecteur il n y aura pas de suite, en effet cette série prevue en dix tomes se voit stoppée dans sa lancée et nous laisse sur notre faim! Pourquoi me direz vous? les auteurs ont ils abandonnes leurs oeuvres? Négatif un capitaine ne quitte jamais son navire! Le sapeur n est autre que l éditeur lui meme, et oui c est le triste sort des bds qui ne rapportent pas assez et chez soleil on se fiche des quelques fans decues par une fin si abrupt!
Mais désormais le lecteur n est plus roi et la devise est MAKE MONEY MAKE MORE MONEY!!! Mes amis c est la fin des artistes en bd, vive le hamburger vive soleil et arleston avec ses scenarios pour attardes mentaux! Un chose est sur, Lanfeust et ses enfants ne sont pas pres de laisser leur place en tete de rayon pour des artistes bourrés de talent qui gagnent a etre connus
GNA gna gna ... et ca continue dans le scénario à deux francs, tout ce qu on apprends au fil des tomes c est qu il y en aura un autre après et apres ? Encore un autre bien sur! C est ca la magie lanfeust
Fan de Lanfeust de troy?: affirmatif!
Fan de Lanfeust des etoiles ?: Negatif!!!!!
Encore une série purement commerciale de la célèbre maison d éditions de la cote sud, et oui c est une specialité maintenant pour eux, en effet soleil mise sur les auteurs qui vendent et mettent les autres aux rebus, on se croirait dans une multinationale américaines, fort de leur marketeurs qui seront bientot plus nombreux que les dessinateurs! Et bien qu ils continuent ainsi , tant que les tomes se vendent il n y a pas de raison que cela change, enfin si, la qualité des bd changent et soleil nous prends de plus en plus pour des c..s!
A eviter sauf bien sur pour les fans qui ne peuvent se permettre d arrêter leur collection (il faut bien que les responsables commerciales continuent à s acheter leurs sacs Gucci pour se pavaner sur leur stand! Merci a vous chers lecteurs)
Fin du premier cycle, vraiment une super bd voir ma critique tome 1 on veut que cela continue mais attention au second cycle car changement de dessinateur.
Rien à dire, de la même trempe que l premier opus, les dessins sont de mieux en mieux. Voir ma critique du tome 1
Voici une bd qui ne laisse pas indifferend, tout d abord par les dessins d'aouamri qui sont splendides et dépeignent à merveille cet univers glauque et moyenageux, une époque rustre et barbare ou notre héroine au cheveux roux va subir bien des déboires! Attention toutefois aux âmes sensibles, en effet cette bd peut choquer par certaines scènes crues et difficiles surtout pour la gente féminine, on pourrait traiter l auteur Tarvel de mysogine aux vues des terribles déboires qui frappent succesivement l 'héroîne, queneni, je dirai qu au contraire cette bd nous montre la force le courage et l amour qui vit en chaque femme!! Une bd magnifique , un dépaysement assuré
Pour ceux qui ne connaissent pas Lauffray, c est tout simplement une pointure de l illustration, ses planches sont superbes , le découpage et la mise en scene sont très aboutis. De plus pour l avoir rencontrer je peux vous assurer qu il est fort attachant et généreux, ses travaux pour de grosses productions ciné ne lui ont pas donné la grosse tête. Ce premier tome de Prophet nous entraine rapidement dans un univers apocalyptique peuplés de démons, jack stanton le héros de cette bd n est autre que le responsable de cet enfer, lourd est donc le fardeau qui pese sur ses epaules... A lire absolument
Lu ça rapidement en livre de poche... deja que le dessin est faiblard, la c'est encore pire... Bref, j'ai pas pu finir..
Pour amateurs.
Ma note, correspond au commentaire "pour amateur uniquement".. c'est ici exactement le cas.. Sans pretendre que les amateurs de ce type de BD le sont par simple differenciation culturelle "elitiste", il faut aimer le genre qui n'est pas vraiment de la bd..
Ne parlons pas non plus des dessins, ce serait violent...
je ne dirais rien de plus concernant le dessin qui est toujours autant agréable et l'histoire a un dénouement plutôt innatendu. Ce second épisode est beaucoup plus speed que le premier qui servait surtout à mettre en place le décor et à présenter les personnages. Là, ça bouge !
Avec ce 3ème tome, on nage maintenant en plein fantastique post appocalypse, ce qui contraste énormément avec le 1er tome et n'est pas pour me déplaire. L'imaginaire de Lauffray est très bon et sa mise en image parfaite dans la description mai un peu confuse dans certaines scènes d'action qui gagneraient en clarté. Est ce que cette histoire méritait un 4 ème tome ? On a le sentiment à la fin de ce 3ème tome que tout est dit ou presque... La série se transforme d'un suspens mystérieux dans les 1er tomes vers un comics books dans le dernier. On attendra donc.
Un second tome qui répond à bien des questions posées dans l'excellent 1er tome. On quitte ici un univers réaliste vers du 100% fantastique. Encore une fois, j'usqu'ici tout va bien. Dessins superbes. Narration fluide et compréhensible. Agréable lecture. Le personnage est toujours aussi paumé. On ne comprends toujours pas sa destiné et le pourquoi il a été choisi. On a un anti héros par excellence. L'histoire n'est pas manichéenne primaire (le héros a beaucoup de chose a se reprocher). Bref, du très bon !
Deception..
Lu aprés avoir vu des commentaires trés positifs, je ne partage pas l'avis général...
Premier defaut; le dessin: on ne reconnait absolument pas les personnages, alors on est toujours obligé de revenir en arriére pour comprendre.
Aprés le scénario, outre le fait que l'histoire qui se developpe semble vraiment pas passionnante.. (même pas envie de lire la suite), trop peu d'elements sont donné sur les pouvoir de la fille, ce qui entraine une imcomprehension tout au long de l'album
Donc, difficile à comprendre + le manque d'interet qui donne pas envie de comprendre = un album raté...
Une bd trés moyenne... outre le "desordre" du schéma narratif, c'est surtout le charisme des personnages qui est trés discutable...
Pour ecrire des "tranches de vie" qui soient interessantes et originales , il faut beaucoup de talent, ici, il en manque beaucoup.... bref,c'est trés moyen
et le dessin pas folichon non plus n'arrange rien
ZUT! Je suis trés mécontent, j'ai rarement eut autant l'impression d'etre un pigeon qu'en acetant cette bd...
La quasi-totalité de l'album est du pur remplissage, sans aucun interet...
ex: 8 pages sans écrit, ou les deux personnages visitent la ville....
5 pages vides pour tenter de faire un gag sur l'administration (en plus copié des 12 travaux d'asterix..)
En plus, et surtout, on sent que l'auteur a trés peu travailler sur cet album, les évolutions sont tirés par les cheveux d'une facon hallucinante... ex: il voit une jeune fille, hop une page plus tard, ils sont mariés....
La qualité de la psychologie des perso est d'une faiblesse rare...
Bref LA bd à eviter..
Bonne BD, trés sensible (même si mettre une personne aussi obése, et gentille, ca emouvait toujours, donc ficelleun peu facile...), le dessin est acceptable... et beaucoup^de choses interessantes..