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Serie toujours aussi ageable à lire, de bon graphisme et une histoire interressante. Dans ce tome on a le droit a un bon combat entre Yonggi et Jun : 2 styles s'affrontre ( toujours tres reussi visuellement ces combats ), un sympa flashback qui nous montre la rencontre entre Yonggi et Gihoon. On retrouve le terrible Harata qui avait atomisé Gihoon dans les premiers tome ( il a l'air toujours aussi dangereux. On retrouve aussi le docteur qui est donc un combattant dans la ligue et qui est pres à tout les coups bas pour "motiver" ces adversaires. Bon tome au final.
J'ai bien aimé ce tome 1, le dessin est plutot agreable, les scenes d'avions sont elles parfaitement reussi. Pour le moment aucun rapport entre les 2 histoires ( un peu deroutant quand même ), les detectives sont un peu stereotypé mais assez drole et sympa à suivre. Un bon premier tome grace aux nombreuses scenes d'avion car pour le reste c'est classique.
Sympa sans plus ce premier tome, deja Moise c'est pas une partie de l'histoire qui me passionne des masses, j'ai trouvé le dessins moyen surtout pour les scenes de batailles qui manque de lisibilité, pour le scenario c'est pas passionnant sa va un peu vite, et les 4 freres et soeur manque clairement de charisme et sont un peu trop stereotypé pour le moment, j'espere que la suite sera mieux.
L'histoire avance doucement, pas de revelations dans ce tome qui est surtout basé sur la metamorphose d'un jeune homme, niveau dessin on a encore droit à une scene d'anthologie : un duel entre une moto et un skateur. L'histoire reste donc tres obscur dans ce tome mais c'est toujours interressant.
Enorme que ce 1er tome absolument fabuleux. Pour moi, LE chef d'oeuvre incontestable de la SF "adulte" en Bd (il ya d'autres série presque aussi bien (aldébaran, Le cycle de cyann, etc.) mais qui n'atteingnent pas une telle profondeur...) . On est plus trop dans le domaine strictement bd mais de l'Art universel. Les dessins sont merveilleux (et pour ne pas employer d'autres qualificatifs), l'histoire est très originale encore..en 2005...et même pourra-t-on dire qu'elle est visionnaire sur beaucoup de points. Les personnages ont tous leur propre vécu si bien qu'on pourrait faire un tome consacré uniquement sur le passé de chaque personnage (certains comme le duo sfar/trondheim ont franchi le pas avec beaucoup moins de matière...), ce qui ajoute beaucoup de profondeur. Reste cette mélancolie poétique qui nous poursuit longtemps après la lecture... Que dire de cette violence, de cet univers dictatorial littéralement oppressant et qui n'est pourtant pas dénué aussi bien d'humour que d'amour. Les autres tomes sont un ton en dessous je trouve et rentre beaucoup plus dans l'abstraction des sentiments et des émotions.
Urasawa continue a nous mener par le bout du nez en développant de nouveaux personnages secondaires comme Dieu et Shogun. Le mystère s'étoffe et les rebondissements s'enchaînent.
L'énigme devient plus complexe qu’elle ne laissait présager, nos certitudes fondent comme neige au soleil et comme dans série haletante d'Urasawa "Monster" on devient prisonnier du talent de narrateur d'Urasawa.
On est assurément pas encore au bout de nos surprises.
Cet intégral regroupe les épisodes 114 à 126 des New X-men.
Dans l'ensemble, je trouve ce comic grandiose. Selon moi, il rejoint et même transcende la Saga du Phénix noir en terme d'ambiance, noire mais très adulte. Toute l'histoire est basée sur la nouvelle méchante de la série: Cassandra Nova. Et pour une méchante, c'est une méchante. Non seulement orgueilleuse et sadique, elle prend un plaisir certain à humilier psychologiquement ses adversaires (en l'occurence les X-men) lors de chacun de ses combats.
Le seul bémol à cet intégral, c'est l'inégalité entre les différents épisodes. Les numéros 114, 115 et 116 sont sublimes, tant au scénario avec Grant Morrisson qu'au dessin avec Frank Quitely, tandis que des épisodes, comme celui de Hong-Kong où l'on découvre Xorn, sont très fouillis.
Le deuxième tome de cette série primée à Angoulême développe les bases posées dans le premier tome. Le récit est moins confus et les passages entre les différentes périodes sont plus fluides.
Le passé resurgit sporadiquement, levant lentement le voile sur les origines de cette histoire qui va changer la face du monde. Le rythme s'accélère, le dessin se dynamise, les suspects se multiplient et le lecteur se régale, dévorant chaque pièce du puzzle dévoilée habilement par le maître Urasawa.
Excellent !
Y a pas à dire Miller est un genie, son DD n'a pas prix une ride, sans aucun doute la meilleur periode de DD.
La famille entière d'un des clients de Kenji a disparu, Donkey, un de ses camarades d'enfance c’est bizarrement suicidé et chaque fois cet étrange symbole qui revient. Un symbole qu’ils ont inventé quand ils étaient petits, eux, … les sauveurs de la planète.
Sacré Naoki Urasawa, après la sublime série « Monster », il revient jouer avec ses millions de lecteurs avec « 20th century boys », qui vient également se classer dans le top 5 des meilleures ventes au Japon. Dès le début il nous présente ses personnages comme les sauveurs du monde, ensuite il va habilement mêler trois périodes différentes (le passé, le présent et le futur des personnages). Le jeu peux commencer : de quoi et de qui nous ont-ils sauvé ? Et c’est là que le talent de Naoki Urasawa va nous scotcher à cette nouvelle série, en distillant les indices et les surprises, en jouant avec le temps et la curiosité du lecteur.
Naoki Urasawa nous présente un premier tome déjà fort chargé, voir légèrement confus, mais lui seul sait où l’histoire va et personne ne décrochera avant de connaître la fin !
Il est maître-nageur et nage dans le bonheur avec Maya, une sage-femme qu’il aime. Leur couple rayonne, ils se complètent, se croisent le matin car elle travaille la nuit et lui le jour. Puis arrive la pluie, d’abord quelques gouttes, puis un vrai déluge. Au milieu de se déluge, leur couple part à la dérive car lentement cette pluie va les mettre à nu, lavant petit à petit toute trace d’amour.
Cette histoire est loin d’être passionnante ou captivante, c’est très contemplatif, très intime comme récit. On le referme avec une sensation étrange, comme si on venait de remonter à la surface après avoir passé un moment intime sous l’eau, un moment flou sans trop de paroles.
Les couleurs renforcent cette sensation d’intimité, les cadrages sont très rapprochés, parfois trop et l’on a alors du mal à déchiffrer ces gros-plans. D’un autre côté ces gros-plans légèrement vagues s’accordent parfaitement au récit lent et rêveur.
Excellent en effet. Avec une intrigue simple à la Usual suspect (dont le scénariste est fan dixit le dossier de presse), on a tout de même une très subtile description de personnages cassés par leur vie mafieuse mais surtout par leur vie personnelle respective.. On retrouve, dans ce 1er tome, le coté "état d'âme" de bandits façon "Le tueur" du duo Jacamon/Matz. Les dessins sont sobres, beaux et très efficace. Un vrai plaisir de lecture. A lire absolument pour les fans du genre.
Un 2ème tome aussi bon que le premier. Que dire si ce n'est que c'est une série que je trouve de plus en plus indispensable au fil de ma découverte de cette série.
J'avais bien aimé le 1, beaucoup moins le 2... Mais là, je n'ai pas du tout aimé. Le mode narratif est très différent et on se croirait dans un album de Mills et Ledroit avant l'heure.... la beauté en moins... Les auteurs se sont un peu envoyé en l'air. Certains apprécieront, d'autres pas du tout.
Contrairement a beaucoup, je reste un peu sur ma faim avec cette soit disante merveille de Bd. Après un très bon début d'histoire, qui le laissait présager un chef d'oeuvre, le scénario révèle beaucoup trop de similitudes avec l'univers de H.P. LOVECRAFT pour être très original à mon goût. Pour tout ceux qui sont familiers de l'écrivain de... Providence, ils trouveront même que c'est un manque de classe de ne pas avoir trop évoqué Le maître dans le making of de fin d'album. Au lieu de ça, on a le droit a une évocation du genre "western fantastique", qui n'est pas vraiment la source première d'inspiration de l'auteur mais un simple décorum pour détourner l'attention d'une transposition parfaite des éléments qui ont fait le succès de Lovecraft. Reste que cette Bd se lit avec ENORMEMENT de plaisir. Les dessins sont magnifiques, les personnages bien en place (bien que parfois un peu trop manichéens) et les notes d'humour passe très bien.
Excellent premier tome.
Outre le dessin extrémement accrocheur, le scénario est trés puissant... permet des developpements trés interessant, et ouvre des perspectives rejouissantes..
Bref, album à avoir lu obligatoirement, pour une série beaucoup trop méconnue..
J'ai du feuilleter ça.... bien obligé..
Pour être honnete, j'ai jamais lu du "sfar", et aprés cela, je pense que ça va continuer.. et qu'il est abusif de proclamer son énorme talent partout...
2: BD pour amateurs (et critiques de Libé)
Album pour amateur uniquement..
Il faut accrocher au "dessin".. Ensuite, le scenario peut etre mal accepté contrairement a l'avis géneral..
Vraiment excellent. L'histoire est bien mennée, rythmée à souhait et le parallèle avec Peter pan saute aux yeux mais il s'agit là d'une version plus dure et futuriste (mais qui sait peut être plus proche de nous qu'on ne le croit) que celle que l'on connait. J'ai été vraiment intrigué par ce monde et ces personnages ainsi que les possibilitées offerte quand à l'évolution de l'histoire. Une chose est sûr c'est qu'on ne sait pas trop où l'on va et toutes les suprises sont possibles.
Concernant le dessin c'est vraiment un travail de qualité et la mise en couleur est bien choisie. Elle joue d'ailleur un rôle important dans la perception de l'intrigue je pense.
Cet album est vraiment excellent, il n'y a rien a jetter. Tout est axé sur la vie privée de super héroïnes et de leur quotidien. Certe c'est un sujet déjà traité dans les comics tels que superman ou batman mais dans ces comics le quotée vie privée n'est accessoire. Ici tout y est traité plus en profondeur avec un côté plus réaliste et des situations qui sonnes vraiment juste.
Même les sentiments et les réactions des personnages sont bien traités au point que leur côté super héroines s'efface pour ne laisser que le côté star face à leur fan. en fait c'est beaucoup ça, des personnes ayant une fortes expositions médiatiques avec toutes les dérives que celà implique.
L'histoire est bien menée bien que certains points paraissent assez obscur et auraient eu besoin d'être davantages développés. Mais celà reste réussi et assez prenant. Le dessin quand à lui est vraiment agréable .
Durant toute la première partie de ce volume on fait un peu plus connaissance avec la bande de Creed mais surtout avec leurs pouvoir car en ce qui concerne leurs motivations on apprend pas grand chose et c'est bien dommage. Cette partie est surtout orientée action et permet d'ouvrir officiellement les hostillités.
La fin est bien plus intéressante avec tout d'abord une petite histoire avec un faux Black cat plus orientée humour. Enfin la partie finale fait entrée le Black cat dans le conflit entre chronos et les apôtres des étoiles. Celà n'est qu'un début mais j'ai hâte de connaitre la suite et d'en apprendre plus sur les personnages et notament les chronos numbers.
Mon dieu que c'est lourd et indigeste. Ce volume consste en une succession de combat sans réels intérêt et l'intrigue n'avance pas. Il n'y a pas de suspense, même la grosse révélation sur les Miroku se voit à 30 Km tellement elle est énorme et saute aux yeux.
Quand je pense qu'au Japon la série en est à 33 volumes toujours en cours ça ne m'étonne pas vue le vide de chaque volume mais à 6,95€ ça commence à faire cher le vide. Certes il y a quand même des volumes moins vides que d'autres mais c'est quand même plutôt léger. Plus ça va plus j'envisage d'arrêter la série ou de la poursuivre en occase.
Le première enquête de ce volume est certe sympathique mais hélas pas vraiment passionante. L'intrigue est assez complexe et perd beaucoup à la traduction. La seconde par contre est tout de même meilleure est plus solide. Ebn ce qui concerne la troisième à par le coup de la coheincidence vraiment trop énorme, elle commence plutôt bien et en plus elle concerne les hommes en noir. Quel dommage qu'elle soit condamné à tourner court comme les précédentes pour maintenir artificiellement la série à coup de ralonge de plus en plus lourde.
Cette excellente série se termine de manière forte et triste mais avec quand même une lueur d'espoir. Cette fin tant attendue était évidente on ne pouvait que s'attendre à ça mais on avait tout de même l'espoir que les choses évoluent différament.
C'est un volume rapide, très rapide même mais également très fort en émotion vis à vis des personnages et de leurs choix. Il est très intéressant de voir ce qui les pousse à agir comme ils le font et la réfléxion que celà entraine est la bienvenue.
Au final voilà une excellente série à lire et à relire.
Globalement la trame de l'histoire est respectée par rapport à l'animé malgrès le fait que l'on ne revient pas sur le passé des frères Elrich. En effet Ed et Al sont de retour dans leur village natal ce qui devrait être pour eux l'occasion de se remémorer leur passé et pour le lecteur d'en apprendre plus sur eux sans que celà tombe comme un cheveux sur la soupe mais l'auteur n'en a pas profiter.
L'ambiance est bonne l'humour est bien introduit et permet d'atténuer certains moments sombres et la personnalité des deux frères joue énormément.
On passe un très bon moment et la suite se fait déjà attendre.
Cette série commence d'une façon des plus classique. en effet ce shonen a toutes les charactéristiques de ses prédécesseurs à savoir un jeune garçon un peu (en fait énormément) naïf et tout une batterie de personnages secondaire charactéristiques comme le faux méchant qui au final devient un peu sympathique (mais juste un peu car il a une réputation à tenir) entre autre. Bref l'originalité de viens ni de l'intrigue ni des personnages mais plutôt du milieu dans lequel se déroule l'histoire.
Il n'était pas évident de faire une série sur le milieu de la boulangerie mais les auteurs ont réussi à faire un début assez prometteur avec un peu d'humour (un peu plus aurait été encore mieux mais bon), un côté instructif bienvenue et une bonne ambiance qui nous permet d'accrocher à l'histoire.
Bref voici un début de série très prometteur mais reste à voir l'évolution.
Un deuxième tome plus laborieux selon moi. La narration est plus chaotique et avance par à coup seulement. Il ne se passe pas grand chose de passionnant. L'univers ne me parait pas suffisament approfondi. Je suis un peu déçu car j'avais plutôt apprécié le tome 1.
Plusieurs petites histoires composent cet album, dont le style graphique varie de l'une a l'autre. Chacune d'entre elles est rondement menée et efficace, tant au niveau du message porté que du traitement...
Tous ceux qui connaissent le travail de Corben y retrouveront leurs petits... du coup, c'est peut être un peu trop "corbénien", l'effet surprise est absent de l'album, mais pas en tout cas le plaisir de lecture !
On retrouve le dessin particulier de l'auteure avec ces visages allongés, ces grandes mains et ces casques de cheveux déjà rencontrés dans "Model". L'histoire par contre, toujours dans le registre du fantastique, est assez différente puisqu'il s'agit d'abord d'une quête. Par ailleurs, alors que "Model" était surtout un huis-clos entre 4 ou 5 personnages, "Arcana" dispose déjà d'un certain nombre d'intervenants (l'étrange Yulen, Sword/Seïre, Kargo, l'empereur, Kéret et son compagnon) et d'autres surgiront.
La quête d'Inas, qui est aussi celle par extension de l'empereur et du royaume, se double de celle de 2 personnages mystérieux, Kéret et son compagnon encapuchonné, qui veulent récupérer le cristallin dans un but inconnu.
Forêt interdite, territoire des elfes, animaux et peuples inconnus sont au programme de ce parcours initiatique.
La série commence bien et on a envie de connaître la suite.
Yukio est un ado qui mene une vie banale d'ado et qui se cherche comme beaucoup d'ados (ça fait beaucoup d'ados tout ça et surtout ça commence comme beaucoup de mangas.... mais détrompez vous !
Yukio va aider Beck, un chien rapiécé de partout, à se sortir d'un mauvais pas contre des enfants farceurs et fait ainsi la rencontre de Ryusuké, le maitre du chien.
Guitariste hors pair et look à faire tomber les filles, Ryusuke va impressioner Yukio et surtout lui faire découvrir une nouvelle passion, la musique ! Et pas n'importe quelle musique... le Rock!
Fan de musique et fou de rock je n'avais jamais trouvé de bd traitant ainsi de la musique (au passage lisez le dernier trolls de troy !).
J'ai acheté le 1er volume de Beck par hasard grâce à la couv', un gamin avec une guitare, et en feuilletant j'y ai vu de superbes images de mecs jouant de la gratte avec du vrai matos de marque !
J'en suis maintenant au volume 8 (le 9 est sorti ce mois-ci !) et je suis carrément emballé !!!
Notre ado va commencer à apprendre la guitare et sentir la sensation d'ivresse intense que peut offrir la musique !
Il va decouvrir quelques réferences du rock comme les Beatles (je suis fan ), Jimi Hendrix ou les Pink Flyod ! On parle aussi de groupes plus récents dans cette histoire, Nirvana et les Rage Against The Machine par exemple.
On voit des Gibson, des Telecaster et autres guitares qui font rêver pas mal de musicos...
Yukio va donc s'efforcer d'apprendre la guitare avec un prof fan des Beatles et suivre la vie de Ryusuké qui lui veut créer son propre groupe avec son batteur, son bassiste et son chanteur !
On découvre alors le monde de la musique avec tous les groupes qui rivalisent dans les café-concert pour essayer de sortir du lot.
On retrouve le groupe en répétition dans des locaux rikiki avec pas toujours une ambiance au top (on sent que c'est du vécu pour l'auteur, j'en suis sur !).
On voit les démarches du groupe pour se faire connaitre, essayer de produire un album etc..
On voit Yukio rentrer pour la 1ere fois dans une boutique de musique et acheter sa 1ère guitare... et on le voit avoir mal aux doigts et recommencer 50 fois le meme riff pour le jouer à la perfection !!!
Tout sent le vécu et pour ceux qui comme moi joue de la guitare vous allez vous voir dans les cases
Et surtout on voit le groupe jouer sur scène et on est à fond avec eux !
Tout ça c'est de l'émotion plein les pages et plein la tronche !
Les dessins :
Super point fort de cette bd !
Les dessins lors des concerts ou des répet' sont géniaux, les guitares et le matériel musical sont dessinés à la perfection et on arrive à entendre les solos ou les chants sortir des pages de tous les tomes !!!
Pour conclure :
Bref je suis sur que les musicos bédéphiles seront fous de ce manga !
Une histoire musicale ! Avec des références rock !
La création et l'ascension du groupe de rock !
La découverte du monde musicale à travers les yeux d'un gamin qui va rentrer dans le son à fond les ballons !
Pfff trés sceptique sur ce tome..
Outre les trés fastidieuses explications sur le domaine de l'agro alimentaire..
Le scénario et l'intrigue sont trés peu crédible et réussie finalement.
Le dessin et la couverture... decevant
L'approche psychologique faiblarde.
Et surtout dans cet album, la tentative de relier l'histoire avec un element mythologique parfaitement ridicule.
A eviter rien que pour le coté didactique trés ennuyeux
Cet album concerne mon domaine professionnel, donc ne m'a pas paru rebarbatif, mais pour certains , les explications peuvent l'être.
Bref, un album qui remonte le niveau de la série qui avait un peu chuté..
Trés bon one-shot également.
Pour etre honnete, cette serie est exactement ce que je recherche en terme de dessin et de couleur... Hormis le tome 3, les qualités graphique m'ont toutes séduite...
Cet album est un trés bon album.. que je conseille vivement (malheureusement, les 2 suivants seront nettement moins bon..)
Trés bon album..
Bon, dans cette série, les liens "hyper tirés par les cheveux" entre une histoire moderne, et une mythologie greque est parfois assez pathetique, et marketing..
Mais, il y a de trés bon one-shot.
Celui-ci en est un...
Bref histoire trés interessante, intrigue et psychologie bien travaillé, dessin au diapason..
Bref excellent album.
Je trouve la chronique bien sevére au sujet de cet album.
Certes le dessin est neutre, il est pas emballant, mais pas rebutant non plus..
Le scénario, quant a lui, est vraiment accrocheur.. Certes le debut peut paraitre un peu lent, mais il est essentiel pour le choc qui va arriver aprés..
Il me semble qu'il est aussi indispensable a lancer la série..
Bref, le scénar est trés interessant, l'album est trés bien construit,et je dois avouer que cet album est un "coup de coeur" du moment.
J'espere que la suite, va assurer aprés les révelations finales...
Bref, un tome de lancement trés complet, ca avance assez vite finalement, mais introduit bien tout le contexte
Bref, je conseille vivement..
Aussi bon que "Le dérisoire". Encore une fois il faut tout ressentir. Un album tout en émotion, absolument superbe de part les dessins et surtout les couleurs. Le format de luxe et relativement grand est très appréciable également. L'histoire possède un véritable message humaniste. Il faut vraiment la lire absolument !!
Très bon premier tome mais j'en attendais quand même plus vu la réputation que cette série peut avoir. Les dessins de ségur sont beaux mais je n'accroche pas avec les couleurs pastels. C'est un parti prix du dessinateur qui est original mais que je ne trouve pas efficace. Le manque de contraste est évident. L'histoire est sympa sans plus (une quête..) et surtout l'univers est riche et bien détaillée. Cela manque aussi un peu de sentiments et de profondeurs.
Que dire du dessin ? On peut difficilement faire mieux. Il y a une recherche d'innovation et d'inventivité dans chaque case. Quelle exigence ! Le scénario, je le trouve moins interessant. L'idée de départ d'un coup d'état burlesque laisse un peu sur ma fin. Mais que dire des personnages ? Ils sont tous aussi fabuleux qu'attachants. Turf pousse le burlesque avec une vrai tendresse pour ses personnages. Un premier tome mythique comme la série. A posséder absolument évidemment.
Ca y 'est c'est reparti, Jack Bauer est de retour pour de nouvelles aventures rocambolesques et des rebondissements à ne plus en finir...Euh Lanfeust pardon, bien qu'en lisant cet opus on sent de plus en plus le prémaché, maché, remaché, le manque d'inspiration dont la série "spin-off" comme ils disent outre-atlantique, fait preuve.
Bref, Arleston était très bon il y a dix ans en ce qui concerne l'héroic fantasy. Maintenant c'est beaucoup moins bon et au final, on se rend compte que c'est systématiquement la même chose.
Evidemment ce tome est meilleur que le précédent, il ne m'aura fallu que deux jours pour le terminer pour trois pour le tome 4. En ce sens il y a progrès, mais les rebondissements à n'en plus finir, au lieu d'aider un scénario assez morne, ne finit en fait qu'à créer une série à rallonge qui s'épuise de plus en plus.
Ca reste toujours agréable à lire, les dessins sont toujours soignés et beaux mais bon, il serait intéressant d'évoluer un peu.
Malgré tout je ne peux pas dire que j'aie passé un mauvais moment, l'album se laisse lire et même si le fil rouge m'échappe de plus en plus, je me suis surpris à m'attacher à la chèvre et à la poule présente depuis un bon nombre d'albums. C'est un peu con mais on s'en fout, si les péripéties et moults danger entraînaient un sentiment de déjà vu chez moi, je trouvais malgré tout une certaine réjouissance à voir ces deux éléments du décors s'en sortir relativement bien à chaque fois. Etonnant d'ailleurs quand on voit avec quelle facilité Arleston se débarrasse des personnages secondaires, en témoigne l'hippo des deux premiers tomes dont j'ai oublié le nom. Bref, je ne serais pas étonné de voir ces deux personnages pour le moins décallés avoir un rôle clé dans le reste de cette "histoire"... enfin, ça nous changerait du train train habituel....
Ne lisez pas le blog de Frantico pour le dessin ou le scénario, vous seriez déçu. Il s'agit juste d'anecdotes quotidiennes de la vie dudit Frantico qui se suivent au jour le jour. C'est souvent amusant (fin ou lourd selon les passages(certes plus souvent lourd)).
Mon expérience avec la lecture de ce pavé me permet d'oser la sugestion suivante : à consommer avec parcimonie, par petites touches, ... pour résumer, la BD idéale pour la grande halte quotidienne aux WC en lecture de fond!!! Ce n'est pas péjoratif, j'essaye juste de me mettre au niveau de la BD.
Des dessins un peu grossier et trop caricaturaux à mon gouts par contre les combats sont assez reussit visuellement grace aux accéléré. Niveau histoire c'est complement dejanté le heros est narcoleptique et cinglé : il tue un chien parce que ce dernier aboie, il passe son temps à pisser de partout, niveau histoire sa vole pas bien haut : une succession de combat pas toujours neccessaire. C'est divertissant mais la suite devra etre mieux.
Un one shot ultra efficace, comme le dit la 4 eme de couverture c'est un mixte entre Fight club et Battle royal. Le dessin est dynamique, les scenes d'action sont une vrai reussite. L'histoire est rondement menée et assez surprenante. Vraiment un excellent titre que je recommande.
Clairement un des meilleur thorgal, un tome qui fait la part belle à la magnifique Kriss de Valnor ( tout simplement le personnage le plus interressant de la serie, la plus charismatique et la plus imprevisible ). Un tome plein de surprise, depuis la cycle de Qa c'est vraiment le meilleur album, le scenario est tres efficace, quelque scenes memorable ( ah la scene du bain :) ) et une fin vraiment excellente, voila un tome qui me fait aimer la serie.
Dessin,couleurs et scenario irreprochable, un hit en puissance.
Ce tome commence de maniere interressante avec le point de vue de la fille, l'histoire avance bien : des révélations, de l'action et toujours un peu d'humour. Niveau dessin c'est aussi bon que dans le premier. En tous cas le cliffhanger final donne envie de connaitre la suite.
Je suis vraiment fan du dessin et des couleurs que je trouve somptueuse, niveau histoire sa avance bien et sa devient encore plus interressant, plusieurs intrigue se mettent en place, de nouveaux personnages charismatique font leur apparition, j'ai trouvé ce tome un peu plus calme que le premier, un peu moins d'action et un peu plus d'humour.En tout cas le scenario est tres bien ficelé et le livre aussitot fermé donne envie de connaitre la suite rapidement.
Les 2 premiers tomes m'avait moyennement convaincu, j'avais du mal à comprendre ce que je lisait, ce tome 3 m'acheve, je nage, je doit etre bete car je comprend rien à la serie, rien à redire au niveau des dessins qui sont vraiment excellent mais niveau histoire j'ai sa pas interressant du tout.
Bien aimé ce tome 2, le 1 m'avait laissé un peu sur ma faim. Ce tome 2 cloture tres bien ce cycle. Niveau dessin c'est vraiment tres bon, la NB m'a assez plu mais j'ai trouvé que sa rendait les scenes d'actions un peu moins dynamique. Pour ce qui est de l'histoire les personnages s'etoffent, difficile de cerner la personnalité de Okko quand même ( je comprend pas trop pourquoi il laisse Tikku se faire torturer alors qu'il aurait pu intervenir à n'importe quelle moment ) ce qui est bien c'est que chaque perso à un rôle à jouer. J'attend le second cycle avec impatience.
Derrière cette couverture assez sobre et intrigante se cache une véritable bombe au niveau scénario et graphisme. Si la couverture est orange, le contenu est bien noir: noir, dérangeant, glauque, malsain, envoûtant et parfois morbide.
Après « Lola Cordova », « Le roi des Mouches » est mon deuxième trip sur papier de l’année 2005 : sexe, drogues et rock’n’roll. Mais à l’instar de « Lola Cordova », dont le trip interplanétaire se situe en pleine fiction, ce trip se situe dans la réalité de notre monde et cela, même si on a du mal à localiser l’endroit. Les maisons, les vêtements, le style de la BD et le culte du déguisement font penser aux Etats-Unis, alors que les voitures et la monnaie utilisée font penser à l’Europe.
Sélectionné pour le prix du scénario à Angoulême 2006, cet album est composé de petites histoires qui peuvent se lire séparément. Les différents personnages se croisent au fil des histoires afin de former un tout très cohérent et abouti. On suit les délires quotidiens de jeunes paumés, bordés par l’ennui, les plaisirs artificiels, le sexe et l’alcool. Coincés dans la banalité de leurs existences, ils cherchent à s’enfuir via l’alcool, la drogue, les anti-dépresseurs et le sexe.
La narration à l’humour très noir tranche comme une lame de rasoir. Le cadrage (face caméra) ajoute un côté malsain et dérangeant à l’histoire. Le dessin fait fort penser à la série « Black Hole », les traits sombres et beaucoup de couleurs, mais sans tomber dans le criard. Le tout crée une osmose envoûtante qui se dégage de ce microcosme de personnages désoeuvrés et dépourvus de toute morale.
Très fort !
Je commence par le point negatif : sa ce lit trop vite :( . 2 combats au programme de ce tome, celui entre Speck et Hanayama est ultra violent et une fois de plus dans la demesure absolu, les combats sont toujours des moment d'anthologie.
Une bd toute en émotion !!!! Des dessins tout en couleur. Une histoire suréaliste très poétique. Un must quand on aime ressentir des émotions et des sentiments à la lecture d'une histoire originale en BD.
Après une attente de près de de trois ans et demie depuis la fin de leur dernier cycle d'aventures financières, Jean Van Hamme et Philippe Francq nous offrent enfin le retour de Largo Winch dans la deuxième partie de ce diptyque où, comme toujours, les magouilles de ressources pécunières constituent la couche de fond des entreprises hasardeuses desquelles le héros milliardaire doit tenter d'en sortir vivant.
Un fait particulier de ces deux excellentes bandes dessinées est qu'on y apprend finalement une page de l'histoire d'un des personnages qui suit Largo depuis le début. En effet, l'origine de Freddy et de sa balafre faciale a droit à un traitement spécial de 7 ou 8 planches réparties entre les deux albums. De plus, a lieu l'introduction d'un nouveau personnage de soutien haut en couleurs qui saura, sans aucun doute, apporter du piment dans les prochaines aventures de notre héros!
En bref, une nouvelle histoire intriguante et entraînante, écrite par une main de maître, dessinée tout aussi remarquablement et mise en couleurs avec goût (par Marie-Paule Alluard), qui permet un très bon moment de lecture. Une série incontournable de la bande dessinée de la collection haut de gamme Repérages de chez Dupuis.
Une des meilleures aventures de nos deux compres, apparition légendaire des Schtroumpfs .
Génial !
Le sixième tome de cette série, qui a déjà connu trois changements de maquette pour les deux premiers tomes (ou est-ce plutôt les quatre premiers tomes?), continue dans la voie déjà bien amorcée de l'humour ironique, de caméos cinématographiques et de clins d'oeils aux autres personnages connus du monde de la bande dessinée. Les auteurs en profitent, encore une fois, pour critiquer à fond la caisse certains aspects culturels et idéalogiques de mes voisins du sud, cette fois-ci, en s'appuyant lourdement sur le phénomène de masse d'augmentation pondérale irrationnelle et démesurée qui les touche lourdement.
Ce style de dessin et de scénario répondent parfaitement à ce que l'on peut s'attendre au duo père-fils Jean et Simon Léturgie ainsi que du prolifique Yann Le Pennetier, toutefois il est important de spécifier que l'humour de cette équipe a une forte tendance vers les plaisanteries macabres, donc il faut avant tout apprécier le genre afin de pouvoir apprécier la série.
En résumé, cette dernière aventure policière de Mickey Spoon, Donald White et de la ravissante Courtney Balconi nous offre un menu bien garni de rires, de plomb et de clins d'oeils, notemment à Goscinny et Uderzo pour leurs personnages de Oumpah-Pah et Obélix!
Super-size me! ;)
A défaut d'avoir un scénario etoffé, cette BD est un pur chef d'oeuvre graphique et mérite que l'on si attarde juste pour le plaisir des yeux (Darrow à la folie des détails)
Une BD gaie et originale sur l'afrique des années 70
Hilarant!!!!
Et oui messieurs DAV et BENGRRR ont reussi un joli coup : un scénario simple et naïf néanmoins drôle et sympa, des gags tellement "débiles" qu'on en rigole beaucoup, et surtout le point fort de l'album : les couleurs, qui sont vives et chaleureuses et qui donnent de la valeur au dessin très expressif de DAV.
A la fin de l'album on a envi de refeuilleté les pages pour relires les moments particulièrement comiques (notamment le passage avec les hyènes ou avec le ver et la dinde au cerveau de poule) Bref, J'ADORE!!!!!
Un Deux Trois... Soleil! Vivement l'ECLIPSE!!!!!!!
Etant donné que «Qui a tué l’idiot» figure toujours sur la liste de mes BDs à lire absolument, cet album est la première œuvre de Nicolas Dumontheuil que j’ai lu.
A la lecture des premières planches c’est surtout l’absurdité et l’originalité du scénario qui m’a attiré. On se retrouve en compagnie de Simon Virjusse, dernier mort de la Première Guerre Mondiale avant l’armistice du 11 novembre. Seulement, la Mort en personne est écœurée par le carnage de cette guerre et décide de remonter le temps de 9 mois, tout en présentant un Simon Virjusse (ignorant tout de son futur) comme le dernier mort de cette guerre. La mort signe un pacte avec les autorités afin d’éviter tout meurtre jusqu’à l’armistice, propulsant Simon en véritable héros national et symbole de l’armistice qui arrivera dans 9 mois.
Un scénario complètement déjanté, une narration excellente et surtout un personnage de la Mort qui m’a totalement séduit. Cela m’a donc navré de voir ce personnage cocasse disparaître après quelques planches et abandonner Simon face à la société. C’est à ce moment que Dumontheuil prend plaisir à mettre en évidence la stupidité de la guerre, de ses dirigeants, l’absurdité de la société face à ses idoles et les péripéties de ce héros malgré lui.
C’est avec brio que Dumontheuil met à nu ces héros qui naissent malgré eux, qui ne parviennent pas à vivre avec leur nouveau statut qui s’avère souvent éphémère. Malgré un scénario absurde à la base Dumontheuil parvient donc à mettre à jour un phénomène de héros soudains, qui est de plus en plus fréquent de nos jours depuis le boum de la télé réalité.
Personnellement j’ai fort apprécié les passages qui incluent le personnage de la mort, le dialogue avec Jésus et les scènes au Paradis. Le reste, même si c’est très bien narré et abordé, m’a moins accroché pour une raison que j’ignore.
J’ai trouvé le dessin très agréable et je trouve qu’il sied parfaitement à ce récit très copieux (plus de 90 pages) et original.
Voici un dernier tome plein d’action qui clôture de façon originale et bien tournée cette série bien passionnante. Une fin assez réussie, mais une fin qui n'en est finalement pas une puisqu'une suite est annoncée avec «I.N.R.I.», afin d’élucider les questions laissées en suspend.
Une série qui avait démarrée avec des tomes historiquement chargés pour s’orienter vers l’enquête policière à partir du troisième tome. Un scénario assez solide (même si l’on peut se poser des questions sur la naïveté de la loge première et sur les écoutes téléphoniques), partant d’une idée très originale et dont le suspens monte crescendo vers ce dernier tome.
C’est vrai qu’on peut se dire qu’il y avait peut-être moyen de terminer la série en quatre tomes, mais étant donné la vitesse de parution des tomes (notamment grâce aux nombreux dessinateurs) et la qualité du suspens il ne faut pas trop se plaindre.
Ce qui dénote vis-à-vis du scénario, c’est la qualité graphique fort moyenne de cette série, surtout si on la compare au «Troisième testament». Mais personnellement, ce ne m’a pas trop dérangé et puis le dessin a quand même progressé (surtout Falque) de tome en tome.
Les révélations et les intrigues s’enchaînent à vive allure dans ce sixième et avant-dernier tome de cette série fort passionnante. Le tombeau du Christ est découvert, la loge première sort de l’ombre et le cardinal Montespa continue son ascension vers le pouvoir pontifical.
Le dessin des différents dessinateurs (Falque, Gine, Wachs, Juillard), qui se voient confier à tour de rôle une période de l’histoire du christianisme, reste dans la ligné des autres tomes : c'est-à-dire peu inspiré, mais personnellement pas trop dérangeant.
Il reste donc à deviner qui est le mystérieux "homme au chapeau" et de voir si le dénouement de cette série sera à la hauteur de cet excellent scénario lors du prochain tome. Palpitant.
Le scénario de ce cinquième tome reste parfait, l’étau se resserre et le dénouement semble proche. Difficile donc de s’arrêter de lire à la fin de se tome tant le suspens monte.
Au dessin, également une bonne surprise (enfin), car au lieu d’inviter un dessinateur guest-star comme dans les tomes précédents afin de venir compléter le trio de base (Wachs, Gine et Falque), c’est André Juillard (réalisateur des belles couvertures de cette série) qui vient dessiner les flash-back historiques de cet épisode. Et il faut bien avoué que, même si le maillon faible du trio de dessinateurs (Falque) a réalisé des progrès depuis le premier tome, l’apport de Juillard fait du bien au niveau du dessin.
Un des meilleurs albums de cette série.
Ce quatrième album permet de faire le point sur ce qu’on a déjà lu et d’en apprendre plus sur les origines des Gardiens du Sang et de la fameuse loge première aux membres énigmatiques.
Les proches de Didier Mosèle disparaissent mystérieusement et l’enquête policière reste prenante. Seul petit hic au niveau du scénario est le manque d’initiative de Hertz et Mosèle afin de sauver le Testament du Fou lors de l’incendie (mais c’est peut-être au niveau du découpage que le bât blesse lors de cette scène).
Au niveau dessin, c’est un Patrick Jusseaume peu inspiré qui vient s’ajouter au trio de base (Wachs, Gine et Falque). André Juillard est le seul à vraiment fournir un dessin de qualité et nous livre la couverture comme à son habitude. A la colorisation on retrouve toujours le fils du scénariste.
Bref, le scénario reste excellent alors que le dessin a tendance à tirer la note de cet album vers le bas.
L'éditeur soleil s'étant targué d'avoir mis sur pied une campagne de pub sans précédent pour la nouvelle série de Crisse , on s'attendait pour le moins à une très bonne histoire.... c'est raté , le scénario est creux , sans interêt. L'héroine à la plastique irréprochable est vraiment là pour le décor! Heureusement que le dessin et les couleurs viennent à la rescousse de ce 1er tome même si les dessins sont presque trop léchés à mon goût.
Le dessin est toujours aussi soigné et efficace , d'un dynamisme et d'une force étonnante mais j'aimerais surtout parler du scénario qui au fil des aventures de Blacksad devient de plus en plus elliptique et qui renoue ainsi avec les grands classiques du roman noir américain , je pense notamment au Grand Sommeil mais aussi à l'auteur plus contemporain qui à modernisé ce type de narration : James Ellroy. Amateurs du genre n'hésitez pas!
En général je n'aime pas tellement le western en bd mais là vraiment c'est très réussi , rien que la couverture est magnifique. Les couleurs choisies ( superbes ) par Herenguel donnent une atmosphére sereine qui va être rapidement balayée par les évenements terribles qui vont terrorisé la petite ville de Providence.
Le cocktail western + surnaturel fonctionne très bien. Chapeau ( de cowboy ) bas pour Monsieur Rico. Vivement la suite!
Je viens de relire , où plutôt d'essayer de relire , cet album afin de me rafraîchir la mémoire avant d'attaquer le 5eme tome qui vient de sortir mais vraiment c'est très mauvais, le scénario est confus et plus que tiré par les cheveux. Même le dessin de tarquin n'est pas convaincant.
Je suis collectionneur et j'aime compléter les séries que j'ai commencé mais en tout cas le dernier tome je l'acheterai d'occase!
Sortir le 2eme tome si tôt après le 1er m'avait un peu inquiété mais bonne surprise il est encore meilleur que le premier. Les dessins sont aussi beaux que dans le précédent et le scénario bien gagne en originalité et comprend de nombreux rebondissements. Quand on lit cet album on n'arrive pas à croire que c'est le même scénariste qui fait lanfeust des étoiles....
Si il y a une série qui m'a vraiment enthousiasmé cette année c'est bien celle-là. Hub avait déjà réussi à installé son univers très riche et complexe dès le 1er tome et là il poursuit son coup de maître. Le monde d'Okko s'étoffe encore et Hub fait la part belle au surnaturel. Les personnages principaux, eux , continuent à nous intriguer car plus nous avançons dans le récit plus ils semblent tous avoir un lourd passé et un parcours jalonné d'aventures.
Cet album en noir et blanc est magnifique et l'absence de couleurs n'enlève rien à la beauté et à la force du dessin. Bref respect total pour Hub.
Après avoir lu et obtenu à plusieurs reprises d'excellentes recommandations à propos de cet album, et malgré la pénurie qui semble avoir affligé l'Europe, privant ainsi nombreux lecteurs désirant découvrir cette nouveauté de 2005, j'ai réussi à mettre la main sur un exemplaire de l'édition originale augmentée de quelques pages de croquis à la toute fin de l'album.
Dans cette première bande dessinée que nous offre Romain Hugault, aidé de Régis Hautière au scénario, nous avons droit à quatre nouvelles relatant chacune l'histoire d'un pilote d'avion de chasse lors de missions stratégiques durant la deuxième guerre mondiale. Illustrant des aéronefs historiques dans le plus grand détail, tout comme s'il les avait concus lui-même, Romain a dessiné puis mis en couleur pour l'album des planches d'une très grande qualité qui est immédiatement percue lors du regard initial lorsqu'on feuillette les pages. Mais, ce n'est pas tout! Ces excellents dessins véhiculent ces quatre histoires courtes de façon très touchante et pleine d'humanité. En effet, quelle que soit la nationalité d'origine du personnage, la construction du scénario envoute le lecteur et le place dans une position où il ressent de la sympathie pour celui-ci, à un point tel qu'une émotion conflictuelle émerge à la lecture des deux dernières planches concluantes de l'album.
Je n'en dirai pas plus, autre qu'en résumé, ceci est un des albums indispensables de 2005 qui permettra à tout appréciateur du 9e Art, qui aime ou non les avions, de passer un délicieux moment de lecture.
Tout à fait similaire à Toupet, une autre série publiée chez Dupuis, mais créée par Christian Godard et Albert Blesteau, celle-ci met de nouveau au programme de lecture les aventures familiales dont le point focal est Cédric, l'enfant unique d'une famille augmentée du grand-père maternel de celui-ci.
Sur la thématique "Va ranger ta chambre!" bien présente dans ce tome, on retrouve les chroniques habituelles d'une intolérance réciproque entre le grand-père et son gendre, ainsi que les continuelles tentatives de Cédric pour charmer sa copine de classe Chen.
Parfois mignon, ce tome est loin de correspondre à la présentation de l'album dans le synopsis offert pour celui-ci sur le site de Dupuis, car les rires et les larmes ne se sont pas fait voir (ou entendre) du tout lors de la lecture, malgré quelques bonnes idées de Cauvin. En bref, de dernier effort est malheureusement un peu trop moyen par rapport au reste de la série.
Pour ceux qui aime Liberge vous allez être gaté, pour ceux qui ne le connaissent pas voici une bonne occasion de le faire! Le scénar est toujours aussi tordu mais nous en avons l 'habitude et puis ça ne fait pas de mal de réfléchir en lisant une bd, les graphismes sont toujours aussi beau avec une mise en couleur bien a lui Liberge nous entraine dans un univers parallèle, mais mes amis lecteurs ne vous emballez pas trop car il n y aura pas de suite et oui encore une fois Soleil n a pas daigner de nouvelles à un de ses auteurs, ca devient une habitude chez eux, en effet vous n etes jamais remercier de chez soleil on vous fait tout simplement comprendre en ne vous donnan plus de nouvelles que vous ne faites plus parti de l équipe, pas tres franc n est ce pas? Surtout que beaucoup d auteurs talentueux on subit ce triste sort, Fourquemin, Ledroit, Liberge.... Et oui chez soleil on ne pense que par alerston et gare à qui ne se plis pas à qui ne veut se plier à la tarquinisation de ses dessins, en autre du lisse du lisse et encore du... Je m arrete la car il y a trop à dire
Et c reparti, il était tellement attendu, mein gott comment ai je pu m en passer? et bien c encore une fois de la m.... Arleston devrait désormais s'abstenir car il n'a plus rien à dire depuis longtemps, pour palier un scenar bidon il nous bourre d action à deux balles et pif je cogne, comment allons nous en sortir? Je me le demande?Et la fin me direz vous? Quelle révélation ma foi, lanfeust est revenu dans présent si je puis dire avec du retard (on s en serait pas douter!) et damn what a surprise cixi à accoucher d un lanfeust bis, qu est qu on va en foutre y en avait deja assez d un seul! Vivement la suite qu on rigole
Rien à rajouter de la même trempe que le premier, pour les amateurs de peu d exigences
Un Léon post futuriste avec un héros qui a autant de charisme qu'une botte de radis, les dessins sont aproximatifs et très figés, tout ça manque de mouvement, et les couleurs sont pour ma part chiadées, encore du travail à l'ordi!! Mais que va devenir le travail de coloriste à la main, voué à disparaître? Vive les ordis, perso c pas un jeu vidéo que j ai envie d acheter mais une bd, un contact de l auteur avec sa feuille , une âme quoi! Autrement le scénar pourrait être interessant, à suivre tout de même
Des albums de plus en plus aboutis, notemment au niveau des dessins, on est loin des premiers albums de gorn! L'histoire est toujours aussi triste, un western comme vous n en avez sans doute jamais lu, aves une dose de fantastique, vivement la suite
Dans ce tome, Hyacinthe est de plus en plus mature et lucide. Ce tome pressent ce qu'il deviendrai par la suite. On retrouve donc un peu moins de naiveté des 2 premiers tomes mais cela reste tout de même une Bd amusante et touchante. A lire absolument. On attend la suite avec une grande impatience !!!
Excellent tome tout comme le 1er. Même recette. Quel plaisir de lecture !!! On décroche pas du début à la fin et on saute sur le 3ème tome aussitôt celui ci fini. Une grande Bd dont l'atout principal et de décrire superbement, et d'une manière captivante, la psychologie de son personnage principal.
Certes, c'est une énième histoire sur Jack l'éventreur... Donc rien d'original. Sauf qu'il y a de très beaux dessins et des personnages que je trouve relativement interessants. Le genre de Bd sans prétention à lire pour le plaisir quand on aime le genre.
On commence à bien rentrer dans le scénar, l'histoire se déroule sous nos pieds, de belles batailles en perspective, et un style toujours très pictural!
Malgré un début un peu long l histoire devient vite interessante, les graphismes sont inabhituels et ca fait du bien de sortir des sentiers battus enfin un artiste! Chez Nickel la couleur directe est de mise et tout comme Ledroit cela ne renforce que le talent du dessinateur. A suivre avec interêt...
Toujours dans la veine de la trame générale des tomes précédents, les deux auteurs semblent avoir abandonné pour de bon le principe des scénarios courts et indépendants qui étaient tous plus ou moins des versions révisées pour adolescents de contes et légendes coréens. Après une très belle couverture colorée à souhaits et quelques planches en couleur et papier glacé pour introduire ce tome (où le dessinateur semble avoir recours à l’infographie, et ce pour la première fois semble-t-il), on découvre plusieurs histoires, toutes en relation avec la quête de Mun-Su.
Le manga s’ouvre sur « combattant perdu », histoire la plus réussie de ce tome, qui raconte les errances de Sando et les conflits qui la traversent. C’est surtout un combat virevoltant entre Sando et Lucida Von Marlène, où le Yang Kyung-Il se fait plaisir et oppose deux styles totalement opposés tant par le vêtement que par le style de combat : l’élégance et l’escrime de Lucida contre le Wu Xia tourbillonnant de Sando, dans la veine des films de chevalerie chinois ressuscités récemment par Tsui Hark et son « Il était une fois en Chine » aux duels aériens et cablés. Si le dessinateur excelle pour les pirouettes de Sando et ses postures incroyables, Lucida semble guindée et rigide, et sa démarche quelque peu stéréotypée.
Puis ce huitième volume embraye sur « Une équipe mal assortie », dépeignant le retour de Wonsul et « La Légende de Hongil Dong » où Mun-Su accompagné de Wonsul va s’opposer à la bande des Walbin, déjà entraperçue précédemment. Pirates saignant le royaume de Kimhe, plus riche des provinces de l’ancien royaume de Jushin, ils semblent dirigés par Kewil Hyang, ancien amour de Mun-Su. Le manga prend un tournant différent depuis quelques centaines de pages, délaissant la poésie des mythes coréens des premiers volumes pour embrasser ceux des superhéros bardés de pouvoirs magiques, acteurs classiques des shônens. Cette évolution sera regrettée par certains, accueillie positivement par d’autres. Si l’originalité de la série est sacrifiée, on ne peut que trouver ça regrettable, même si pour l’instant la qualité du manga est intacte. Graphiquement c’est une nouvelle fois la preuve du génie inégalable de Yang Kyung-Il, le combat entre Lucida et Sando étant traversé par la grâce et tout simplement sublime. Ensuite il y a ces cadrages et ces angles souvent originaux, la composition des cases et ces personnages en sortant librement, de manière toujours intelligente et appropriée. C’est un vrai film qui se construit, il faut le voir pour le croire.
ça reste d'un bon niveau notamment grace aux dessins et les couleurs superbes. Cependant, les rebondissements sont un peu "téléphonés" et relèvent plus de l'exercice de style scénaristique 1000 fois vus, notamment au cinéma. On a malgré tout un approfondissement de l'histoire grace a un flash back interessant. Ce qui est un peu décevant est la narration de l'histoire de différents points de vue donnant une inévitable impression de répétition. La narration en forme de compte rendu de procés (avec voix off) est aussi un peu statique.
Je ne l'ai pas encore acheté mais je l'ai lu dans le rayon et franchement, j'ai été agréablement surprise par cette nouvelle série... Les personnages sont attachant, drôle et interessant. L'histoire est bien tissé dès le premier tome.
Encore un très bon Shojo qui mérite d'avoir sa place dans notre mangathèque!
D'ailleur cette aprèm je cours l'acheter!! Ainsi que sont deuxième tome!
Tel que magistralement introduit par les éditions du Lombard, nous avons récemment eu droit à la renaissance de Cubitus, Sémaphore et Sénéchal dans cette reprise de Momo, euh... pardon, Pierre Aucaigne, Michel Rodrigue, et de Marcy Henrotin.
Pour le plus grand délice des admirateurs enthousiastes de l'une des mascottes les plus connues des éditions du Lombard, de nouvelles planches et histoires courtes de ce héros au léger embonpoint ont été réalisées par Michel Rodrigue, qui a aussi récemment repris les aventures de Clifton, sur de bonnes idées humoristiques d'un expert de l'humour... et des planches, je nomme Pierre Aucaigne! Principalement connu pour son personnage de scène "Momo", Pierre tentait depuis plusieurs années de percer dans le monde de la BD, et c'est lorsque Lombard a contacté Rodrigue pour une éventuelle reprise de Cubitus que celui-ci a aussitôt pensé à son ami de longue date pour lui assurer le soutient humoristique de la série.
Cette équipe nous offre un bon rendu, tout à fait respectueux de l'institution qui leur a été léguée ainsi que du style du créateur Dupa, avec une touche de modernisme à laquelle les lecteurs n'avaient pas vraiment eu droit dans les derniers albums de M. Dupanloup, ainsi qu'une histoire courte à la saveur de Mister Potter! :)
On ne peut qu'être frappé par le rendu du dessin du duo Didier Chrispeels, alias Crisse, et Frédéric Besson dans le premier album de cette nouvelle série fantastique. En effet, les crayonnés de Crisse retravaillés à l'ordinateur par Besson auxquels sont finalement ajoutées les couleurs et les ambiances lumineuses donnent un résultat époustouflant!
C'est cet argument visuel qui, je crois, risque d'assurer de bonnes ventes à ce premier album, dont les classements d'IPSOS annoncent déjà près de 10,000 albums vendus dans les cinq premières semaines de parution, et ce seulement dans les librairies participantes!
Au niveau du scénario, c'est un peu la même chose qu'avec la majorité des séries jeunesse de ces jours-ci: rares sont celles qui arrivent à captiver tous les lecteurs, et donc en lisant cet album, je m'étais préparé à une intrigue légère et peu captivante. Et donc, avec un tel "a priori", je n'ai pas éprouvé de déception et je dirais même que j'ai été amusé par les tangentes humoristiques de l'aventure, où l'on peut apprécier un petit clin d'oeil à Goscinny et Uderzo dans une scène pittoresque sur le Nil!
En bref, une lecture "Jeunesse" légère, à apprécier surtout pour le dessin dans laquelle on retrouve un élément de fantasie et d'humour à ne pas négliger.
En guise de changement tout à fait appréciable, les auteurs de cette série, qui a connu ses début en prépublication dans les pages de la revue hebdomadaire Tintin, nous offrent une nouvelle aventure de l'agent secret Sackville dans un environnement et un paysagement tout à fait nouveau: le Québec! ;)
Se déroulant en 1923, cette aventure, dont l'intrigue n'était malheureusement pas tout à fait à la hauteur de la plupart des autres albums de la série, permet toutefois de profiter du dessin classique de Francis Carin accompagné de nul autre que son fils David qui assure les décors et qui participe aux mises en couleurs aux cotés de Marie-Noëlle Bastin. C'est toujours un plaisir d'apprendre que l'art de la bande-dessinée se perpétue au sein d'une famille de créateurs!
Ce dix-neuvième album, riche en cases-clichés historiques, demeure une lecture intéressante pour les amateurs de la série et les aficionado(a)s des histoires d'espionnage.
Ce deuxième tome de cette série, qui devrait au moins se poursuivre dans un troisième dont le titre prévu serait "Les Fous de Bakou", a été construit dans un moule tout autre que le premier. En effet, les moments décélérés du premier tome laissent plus souvent leur place à des scènes d'action et de moments d'angoisse liés à la fuite du personnage principal.
Offrant la même qualité de lecture que dans le premier de la série, Jean-Yves Delitte, toujours aux rênes de la réalisation des albums de cette série, nous offre un deuxième opus tout aussi intéressant et captivant que son prologue.
À noter pour les bédéphiles et les collectionneurs, la première édition de ce deuxième tome à été livrée emballée dans une pochette à la thématique assortie à celle de l'album, et avec un bonus: une planche en noir et blanc du troisième tome sur papier 240g. Du beau travail de l'auteur et un beau cadeau en prime pour décorer les murs de votre salon... Que peut-on demander de plus? ;)
Dans ma lancée de lectures dont le cadre porte sur la "nouvelle" Mère-Patrie, et après avoir grandement apprécié les deux premiers tomes de "Secrets: Le Serpent sous la glace" de Giroud et Jovanovic, j'ai démarré cette nouvelle série de Jean-Yves Delitte, auteur qui pour l'occasion porte le triple chapeau d'artiste, car, en effet, il en assure à la fois le scénario, le dessin et les couleurs pour la réalisation.
Ce premier tome nous permet de découvrir les personnages principaux ainsi que plusieurs membres influents dans le cours du récit. Le développement se fait à deux vitesses, l'une lente et posée donnant l'occasion d'approfondir les personnalités des personnages, l'autre accélérée créant un support parfait pour illustrer des scènes d'action et/ou d'accidents spectaculaires.
Avec un style qui s'apparenterait bien avec celui de Giné, dans un cadre hivernal, froid et gris tel qu'on imagine facilement l'ambiance des grandes plaines nordiques de la Russie, Jean-Yves Delitte nous offre le premier tome d'une série dans laquelle les nouveaux princes de l'ombre tirent les ficelles d'un incroyable complot, et où quelques personnes honnêtes pourraient en payer le prix! La chasse est ouverte...
"Noritaka le roi de la baston" est l'histoire d'un adolescent qui va se révéler dans les sports de combat et ainsi essayer de conquérir une fille dont il est éperdument amoureux.
Si vous êtes fan de l'humour japonais pré-ado (blagues pipi-caca, situation de pétage de honte, entrainement de box thaï farfelu...), vous allez adorer cette série. Néanmoins si j'étais mort de rire à chaque numéro, j'ai arrêté la série à l'épisode 5, car une bonne partie des blagues des premiers tomes refaisaient leur apparition, ainsi que certaines situations. Je note donc la série jusqu'au tome 5 : histoire très marrante et dessin complétement décalé et bien adapté à la série.
C'est vraiment du très bon, même s'il m'a fallut relire certains passages pour bien comprendre toute l'intrigue, les protagonistes étant nombreux et les relations entre eux parfois complexes. Mais tout tient parfaitement la route, le dessin est excellent, la representation des EGM réussie et Carmen aaah!!! carmen... De la série B efficace, c'est le cas de le dire. La suite et fin de ce cycle se situera dans l'espace (la ceinture d'astéroide), si j'ai bien tout pigé. Un petit coucou à Nash et Travis s'ils croisent également dans les parages
ce mangas est MERVEILLEUX!!!!!
je l'ai connu a la télé et quand la serie c'est arrettée a la fin de la 1er saison , en me laissant totallement sur ma fin de 1 , j'ai hurlé en voyant que c'était fini et 2 je n'ai loupé aucune redifusion ^^
ce mangas est bourré de sensibilité , d'humour, de tendresse ect... j'ai hate de connaitre la suite j'en suis au mangas n°4 et dans la serie tv ça s'est arrété au tome 6. donc en resumé , je crois que c'est un des meilleur mangas que j'ai lu et c'est celui que je préfere!!!! LISEZ LE!!!!
Un Thorgal comme je les aime : c'est à dire sans SF avec des pistolets ridicule; niveau histoire c'est un peu copier coller des Archers ( mais bon c'est un des meilleurs album de la serie donc sa passe ). Une histoire sans surprise et divertissante
Ce tome 6 est encore une fois tres tres bon, quoique je l'ai trouvé un peu moins bon que les precedents : j'ai l'impression que c'est un tome de transition. Moins d'emotion et de violence, mais ils se vengent de fort belle maniere, ce tome 6 est plus centré sur Mario et ces deboires. Ambiance,scenario et dessin sont une fois de plus sans failles.
Faire pire que le tome 4 etant impossible, ce tome se laisse lire mais c'est vraiment decevant, une pseudo revelations, des gags pas droles, un scenario ( euh il y a un scenario ???? ) vivement le retour de Hebus.
Ecellent 1er tome superbement dessinée et bien écrit. La trame de l'histoire de vengeance nous est révélée trop rapidement. Cela en fait un point négatif car cela manque un peu de mystère. A lire !
J'avais lu d'autres bd sur la shoa et je les avais trouvé mauvaises. Le support bd rendait cette tragédie assez superficielle et peu approfondie. Ici, sans tomber dans le misérabilisme, et avec une énorme puissance, on a effectivement un grand témoignage sur les camps de la morts. Sur le plan de la construction, c'est admirable. On sent que cette bd a été pensée et peaufinée dans ses moindre détails. Franchement, Maus est vraiment à lire a tout prix, pour vraiment vivre le parcours d'un survivant (très malin, très débrouillard et très chanceux) d'Aushwitz et Dachau.
Un bon polar, très très classique dans sa trame, mais qui se laisse lire avec plaisir. Le suspens reste intacte et on saura qui est le tueur dans le tome 2 dixit l'auteur.
Assez énorme cette série. De la SF qui n'est pas du tout grandiloquente (cad avec multiples effets speciaux pompeux) si bien qu'il faut la classer plutôt dans le registre anticipation. Les personnages ne sont pas sans relief et l'histoire est très originale en gardant son mystère. On avancet très lentement dans la trame. Les dessins (sans effet de style) et dialogues (assez nombreux) sont plutôt old school.