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Le cycle pour ma part qu'il ne faut pas rater (tome 9 et 10). Dufaux nous
emmène dans l'histoire d'un des monuments de Venise, donnant sur la place
Saint Marc, l'horloge. Un mystère tourne autour, on tente d'assassiner le
réparateur de celle-ci pour des raisons sombres datant de sa conception.
Giacomo se retrouve évidemment dans la partie pour enquêter et c'est un réel
plaisir, surtout que l'histoire a coïncidé avec la réparation fin des années 90 de
cette horloge. Le dossier que nous offre le tome 10 est vraiment très
intéressant car Dufaux a profité de cette réfection pour bien se renseigner sur le
mécanisme la faisant fonctionner. Quand la BD sert l'histoire et rencontre
l'Histoire de Venise...
Cycle en 5 volumes (du tome 4 au tome 8), on se laisse emporter par cette
nouvelle aventure de Giacomo et on prend plaisir à découvrir un personnage
truculent qu'on avait déjà pu observer dans les tomes précédents : Parmeno, le
valet de Giacomo. Le Parmeno qui sert de défouloir à son maître qui ne lui paye
pas ses gages se voit devenir Duc de Totto, héritier d'un des plus riches
personnages de Venise, les Fosca. Il n'en faut pas plus pour que Giacomo
enquête, sentant son valet pris dans un piège, certes soyeux, mais néanmoins
dangereux pour sa vie. Une sombre machination qui prendra suite dans le tome
6 avec la bague des Fosca qui avait été remise à Parmeno. Le tome 7, Angélina
permet d'en découvrir plus sur ce personnage entraperçu dans chaque tome de
Giacomo et qui se trouvait au service de San Vere. Le tome 8, la non-belle voit
se clore les péripécies dans lesquelles s'étaient mises la belle Angélina.
D'autres personnages apparaissent, plus savoureux les uns que les autres
même si le personnage principal avec Giacomo, j'ai nommé Venise, nous
emmène à travers ses ruelles et canaux, c'est tout simplement sublime
Probablement l'un des meilleurs tomes de la série, Dufaux et Griffo nous
plongent dans la Venise des jeux de cartes et d'argents où la sérennissime voit
d'un mauvais oeil un anglais qui ruine les familles les plus en vue et illustre que
compte la ville. Il faut y mettre fin, et de façon définitive. C'est Giacomo qui
s'en chargera. On retrouve notre héros plus malheureux que jamais suite à la
perte d'un être cher qui nous est compté dans le premier cycle de 2 volumes.
Giacomo jouera avec l'argent de la sérennissime mais aussi avec sa vie dnas
une aventure prenante servie par un Griffo de plus en plus à l'aise avec notre
héros et cette vilel de Venise, plus envoûtante que jamais. Une très bonen
histoire
Je ne connaissais pas Yslaire (et pour cause, ça n'a pas l'air d'être un auteur prolifique) et j'ai donc acheté cet album un peu au petit bonheur la chance. J'avais quand même vérifié les critiques sur ce site, c'est vrai :o)
J'ai été bien inspiré car cela m'a permis de découvrir une superbe BD !
Le scénario est perturbant à souhaits et enrobé d'un bien épais mystère. On s'identifie sans mal à l'héroïne qui essaie de décrypter les messages qu'elle reçoit. Bien sûr, elle possède des clés que nous n'avons pas et ne nous les révèle qu'au fur et à mesure. Mais cette rétention d'information n'est pas ressenti par le lecteur comme un "truc" facile pour faire durer le suspense. En effet, on sent une vraie douleur derrière ce silence, de réels sentiments refoulés. Tout un paradoxe pour une "héroïne" psychanaliste !
Bref, le rythme est bon, les évocations du siècle écoulés sont propices à la réflexion et l'histoire (dans tous les sens du terme) accroche.
Ce scénario de qualité est servi par un dessin et une forme superbes, ce qui ne gâche évidemment rien.
Je parle de forme parce que celle-ci est atypique. En effet, la BD se parcourt presqu'exclusivement verticalement, les cases occupant toute la largeur de la page. Est-ce là une évocation de la "plongée" dans l'histoire et dans le subconscient ou ais-je une trop grande tendance à voir des métaphores partout ? La forme étonne également car il s'agit souvent d'une succession d'images anciennes dont on ne comprend pas (encore) le sens. Cela pourrait être lassant à la longue, mais sur un seul album, ça passe très bien (et on dévie heureusement un peu de ce style novateur mais figé dans l'album suivant)
Au niveau du dessin, la BD alterne entre la représentation de l'environnement de l'héroïne (luminosité blafarde, c'est la vision d'une presque centenaire quand même !) et les images historiques contenues dans les emails reçus par l'héroïne.
Le style utilisé pour ces dernières est non seulement superbe, mais aussi crédible : il est facile de s'y plonger comme dans une photo, non que le style graphique soit particulièrement réaliste, mais il retranscrit une atmosphère authentique.
Un dernier mot, comme toujours, sur la couverture : celle-ci est également une réussite. Elle retranscrit bien le contraste ancien/moderne avec la combinaison d'un trait de crayon "nostalgique" et d'un layout résolument contemporain.
Au final, nous avons là une BD indispensable qui pousse imédiatement à l'acquisition du deuxième volume.
Orca : Orca est une histoire en trois partie plus accès sur le côté polar lié au personnage de Batman que sur son côté super héro. Ici on a en plus une histoire très "sociale" accès sur l'injustice, l'ingégalité et la pauvreté face à une élite riche, puissante et corrompu à quelques rare exception. Bref une très bonne histoire même si il n'y a que peu de suspense concernant la véritable identitée d'Orca.
Une fois encore le scénario est bien maîtrisé, le rythme est bon et les révélations nombreuses, entrainant de nombreuses nouvelles questions. Les différents personnages cachent encore pas mal de secrets et le double jeux est de rigueur de tous côtés. Bref voilà un album qui sait susciter l'intérêt et donne envie de connaitre la suite.
Un intégrale à se procurer d'urgence pour tout fan de la série qui se respecte notamment pour les explications en avant propos. Une série fabuleuse, qui a la relecture est toujours aussi savoureuse. A posséder absolument !!! (et en en 1ère édition :D )
Un tome queje n'ai pas relu depuis longtemps mais si mes souvenirs sont bons, il est essentiellement centré sur la "Femme piège", belle et bien mystérieuse. Un tome tout en subtilité et en poésie mélancolique tout aussi noir que le 1er tome. Moins violent mais tout aussi désespéré, cet album n'a rien à voir avec la "Foire aux immortels" où "Froid équateur" si ce n'est le personnage de Nikopol. Bilal aborde une narration moins classique et on sent qu'il expérimente a tout les niveau. Cet album marque donc un grand tournant dans sa carrière et annonce, selon moi, la quadralogie (Bilal prévoit un tome suplémentaire) du Monstre. Un chef d'oeuvre biensûr.
Un 4ème tome bien meilleur que le 3ème selon moi. On retrouve plus d'action, il y a des rencontres assez interressantes, inattendues et complétement comiques dans leur façon de se dérouler bien que tragique dans le fond (par ex l'enlèvement d'Isaac et Jacques par des voleurs. L'attaque de l'amant d'Alice par les bandits est épique). Le personnage de Jacques prends beaucoup d'importance et annonce le tome suivant. Les dessins sont magnifiques car la façon de Christophe Blain de cadrer ses personnages dans un environnement donné est magnifique (les scènes dans le bar sont admirablement dessinées). On retrouve également dans son dessin un comique de situation comme la façon de dessiner les mouvements rapides des différents personnages. Un chef d'oeuvre d'humour et de subtilité en tout genre.
4 ans que nous attendions ce tome …
Certes pendant ce temps, les fans de la série l’ont mis en avant la série sur les principaux forums du net dédiés aux BD, et ainsi nous n’avons pas vu le temps passer. Après tant de spéculations, de trouvailles sur les origines supposées de la série, n’allions nous pas être déçus par l’arrivée de ce nouveau tome ? Algésiras avait-elle surmonté la pression que nous lui avions infligée ?
Le tome 4 était enfin entre mes mains … Dès que je vis la couverture, je sentis que ce tome allait enfin nous donner des réponses. Aribal qui joue avec le feu, Paul effondré à ces pieds, la série semblait basculer … mais je n’étais pas au bout de mes surprises …
La première scène est magnifique, telle que j’imagine l’univers des candélabres fait d’ombres et de lumières tamisée. Nadine Thomas éclaire magnifiquement cette scène et ses couleurs seront à la hauteur de l’album tout au long de ce tome 4.
Le dessin d’Algésiras s’est encore amélioré dans ce tome, elle maîtrise de mieux en mieux son sujet et découpe très habillement son récit.
Sur ces deux aspects, le tome 4 est le meilleur de la série.
Concernant le scénario … là le lecteur n’est pas déçu ! Il manquait une touche intimiste au récit, et Algésiras nous la livre enfin dans ce quatrième opus. La scène des planches 14 à 16 est déjà entrée dans la légende de la série mais ce n’est pas là seule … toutes les scènes font brûler les personnages et mettent à nu leurs sentiments.
Certes il reste énormément de questions en attente, mais le tome 5 arrivera bientôt.
Pour conclure (provisoirement), le tome 4 est à mon avis le meilleur de la série (mais j’avais déjà dit cela des tomes précédents ;) ) et Algésiras nous démontre une nouvelle fois qu’elle n’avait aucune raison de douter de son talent.
bonne Bande Dessinée d'une legende actuelle réunionaise.
Une magnifique série faites par deux jeunes allemands. Un véritable chef d'oeuvre. L'histoire est intéressante, et les dessins et couleurs sont splendides. Un vrai régal
Bon ben encore une déception ... certe l'histoire est interressante, les dessin agréable mais le tout ne prend pas vraiment.
Superman est ici confronté à sa mort. Pitch certe prométteur mais l'intrigue s'éssoufle trés rapidement et il n'y a que le tourment qui donne de l'intêret à cette histoire.
Sympa, sans plus.
Une méchante météorite contenant un méchant virus se crash en afrique et contamine les gentils africains. Heureusement que les super gentils de la JLA arrivent à la rescousse, avec Green Lantern qui peut matèrialiser un microscope géant et Batman créer un anti virus avec son kit de Le Petit Chimiste.
Passez votre chemin ... le scénar est d'une qualité inversement proportionnel à la qualité graphique de Ross.
Une sublime croute ... mais alors trés sublime ... heureusement que chaque page dessinée par Ross en met pleins la vue, ça aide à tenir.
Je vous ai dis que j'avais trouvé ça beau ?
Déçu ... non pas que ce volume soit mauvais, mais comme je m'attendais à un polar, je fus légèrement disappointed.
Il faut juste savoir que cela se passe dans l'univers de Dc tout de même.
L'hisoire est agréable et les planches de McKean dans les bayous sont superbes.
Bien, sans plus.
Postulat de départ bien simple … un peu trop même. Si vous avez vu 28 Days Later, l’excellent, de ce cher Dany Boyle, et bien vous connaissez le début.
Au moins vous ne serez pas perdu. Remarquez nous ne le sommes à aucun instant avec cette histoire d’une linéarité absolu … c’est comme le Nutella. On sait ce que c’est, on sait quel goût ça a … mais on aime ça et on est prêt en manger un bon gros pot familial à la cuillère à soupe.
Rien de bien révolutionnaire, mais ça fonctionne et ça se lit très facilement … et ça serait même agréable dit-donc.
Reste à savoir à quelle sauce la suite sera servie … si elle est servie.
Album bien plus proche de la bd européenne que du comics (bien que les super héros y tiennent une « petite » place) Yossel nous projette dans l’enfer des Ghettos polonais pendant la WWII.
Yossel est une projection qu’à fait Kubert Sr sur ce qu’il aurait pu lui arriver si sa famille n’avait pu déserter à temps la pologne.
La mise en image de cette histoire touchante est bien loin des productions classiques, avec un enchaînement de croquis comme seul support visuel. Le tout est parfaitement bien intégré et se lit très agréablement.
Une bien beau livre (papier épais et petit format typé comics) et une histoire que beaucoup ont déjà raconté mais pas avec ce talent ... loin du remplissage communautaire Maussien.
Grosse déconvenue ... moi qui pensait me retrouver avec les origines de Wolvie (comme on dit dans le milieu :mrgreen: ) ... et bien ce sont des origines et non les origines.
Avec ma grosse culture Marvelienne digne de celui qui n'a vu que les films, et bien j'ai du mal à faire le rapprochement avec mon Wolverine à moi (celui qui a un squelette en adamantium et qui est le fruit d'expèriences militaires).
Reste le récit, bien foutu et agréable et le dessin de Kubert Jr toujours aussi plaisant (vu dans 1602).
Un album à consomer sans modération ... qui pose des bases mais pas forcément celles auquelles je m'attendais.
Tome 2 de la série déja culte, si Powell empreinte toujours autant le visuel Mignolesque (avec moins de talent mais plus de maitrise technique), il n'a pas encore trouver (à mon avis) un rythme de narration interressant.
Le problème avec The Goon, c'est que les histoires sont trés inégales et que les récits vraiment interressant ne sont pas plus mis en valeurs ... noyé dans un gros bordel qui ne prête que trop rarement à sourire (ça arricve ... mais sur 150 pages, c'est légeos).
The Goon c'est sympa, parfois frais et souvent inutile ... en gros indispensable pour certains.
Recis venant s'insérer dans le cycle Dark Victory (temporellement tout du moins), Catwoman à Rome narre tout simplement la quête identitaire de Selyna Kyle aka Catwoman.
Le duo Loeb & Sale fonctionne toujours et nous livres ici un récit agréable et plutôt bien ficelé (même si Loeb recycle toujours autant ses intrigues).
Suite direct du Long Halloween, je dois dire que le style de Loeb et Sale sied parfaitement à l'homme masqué de Gotham.
La trait de Sale est certe assez rude mais cela à tendance à renforcer la noirceur et la puissance de certaines planches (bien que je dois dire que d'autre ne me plaisent pas des masses) et Loeb maitrise trés bien les chassés/croisés des différents intervenants.
Un trés bon run sur Batman !!!
Hé bien ... je dois dire que la fin de cet arc est vraiment trés réussis. La tension monte crescendo pour une fin de toute beauté.
Du trés bon Batman et du trés bon Loeb.
Surement le meilleur arc sur Batman que j'ai lu :) .
Comme quoi tout n'est pas rose et bleu ciel au pays d'Alex Ross.
Voici une excellente série signée chez vertigo avec un Ross en forme (comme d'habitude en gros :) ).
Ce récit retrace quelques-unes des grandes bléssures que les Usa se sont infligées, au fur et à mesure de leur si courte existance, avec un cynisme édifiant.
De superbes planches, parfois assez chocs, et une mise en situation de l'Oncle Sam trés interressante (même si on peut reprocher quelques facillitées narratives).
Une bd trés plaisante.
On est pas passé loin de l'excellence ... pourquoi Miller se perd dans un n'importe quoi incompréhensible (sur 3 chapitres sur 7 tout de même) ...
Par contre le reste est de trés haute volée, la narration est excellente et Sienkievicz toujours aussi inventif et expressif.
Une grande bd pour laquelle il faudra perséverer parfois, au risque de ne rien comprendre sur l'instant (mais il y a des résumés réguliers) ... mais la fin vous donnera toute satisfaction.
1984 est une année importante pour nos mutants préférés, riche en changements et en coup dur on a la de très bonnes histoires riches, rythmées et passionnantes. Ce pendant on pourrant tout de même regretter l'abasence des "guerres secrètes" et de l'aventures de Kitty pride à l'académie du Massachusetts (sous contrôle du club des damné et d'Emma frost la reine blache) quèi me semblent intéressant. celà crée un trou dans l'histoire et est à l'origine de certains boulversements de la vie de certains membres des X-men mais l'absence de ces aventures ne gène pas la compréhensiobn car il est facile d'accepter les évènements en questions et leurs conséquences sans les avoirs suivis.
Tome 9 et 10 :
Le combat entre les "chronos numbers" et les "apôtres de l'étoile" prend fin sans avoir servi à grand chose à part cerner un peu mieux la folie de Creed Diskens. Par contrre le tome 10 est plus riche en rebondissement avec un Black cat qui fini en bien mauvaise posture même si apparemment ça ne l'inquiète pas plus que ça.
Deux bons volumes au final.
Voilà un volume qui me réconcilie un peu avec cette série que je commancée à trouver ennuyante. D'abord le fin de l'histoire sur la vénus de milo sans acun intérêt, qui pourtant avait bien commencée dommage. Ensuite une petite histoire qui nous fait dire qu'on en a pas tout à fait fini avec le Mugenjo et ses mystère. Mais la dernière est la plus prometteuse cependant attendons la suite avant de nous réjouir car tout est possible, que ce soit en bien ou en mal (mais ce ne serait pas la première qui aurait bien commencée et se serait mal terminée).
Un second tome encore meilleur que le premier, tant niveau dessin que scenario. Des passages vraiment original : le parcours du balle dans le crane d'un monstre : scene magistral. L'action est omnipresente, Jerry est toujours attachant, bon le scenario est assez light quand même mais la tchache de Mail fait le reste. Le final de l'album est excellent.
Ce recit fait suite au Spiderman HS 18, qui voyait la naissance du fils de Carnage : Toxin. On suit donc ce dernier qui à decider de devenir un "super heros", l'histoire se situe pendant la periode de la massive evasion de super vilain dans les new avengers. Le recit est surtout axé sur la relation entre Pat le flic et son symbiote : Toxin. Pat essaye de garder le control de son corps mais sa s'avere plus difficile qu'il l'avait prévu. En plus de devoir controler Toxin, il doit s'occuper d'un terrible mechant. Histoire assez captivante et dessin plutot agreable, le meilleur spiderman de cette collection pour moi.
Avis sur les tomes 3/4 : 3 mini histoire au programme, une premiere vraiment glauque avec un tueur d'enfant sanguinaire, une seconde qui voit Spawn se battre (à l'ancienne methode : sans utiliser ces pouvoirs ) contre Overkill un cyborg surpuissant. La troisieme histoire est assez space puisque pas de Spawn et que c'est Kincaid le tueur d'enfant le narrateur, on suit ce dernier en enfer. Serie vraiment original et accrocheuse.
Premier tome assez sympathique et plutot accrocheur. Niveau dessin c'est vraiment correct même si c'est assez inegale, le fond noir apporte une ambiance plutot sombre à l'histoire et assez sympa. Un meurtre etrange, un massacre de sorcier, une assemblée secrete de sorcier, ce premier tome pose les jalons de l'histoire tout en suivant le quotidien d'Asphodele, personnage qui manque de charisme tout de même. Meilleur que la serie mere. Mais la suite devra meilleur tout de même.
Un excellent album, mais mon impression est un chouille moins bonne que pour les deux premiers. Il y a ici un peu moins d'aventure, c'est un peu plus statique. La fin est un peu bizarre avec la rencontre avec Olga. Cette rencontre s'avère finalement qu'une anecdote dans la rocambolesque histoire d'Isaac et pourtant elle donne le nom de l'album. Je vois plus cet album comme une transition, prétexte à ramener le héros dans la capitale (Le tome suivant). Reste l'atmosphère incomparable de la série, les traits de caractères des différents personnages, tous très attachants et au final le talent exceptionnel de l'auteur.
Toujours aussi passionnant, on est litteralement tenu en haleine par ce recit. Ce tome sera un des plus important avec une enorme révélation.
Avis sur les tomes 5 et 6. Pour le tome 5 c'est bien simple : c'est un combat non stop merveilleusement mis en scene par le dessin virtuose de Inoue. Le tome 6 est nettement plus calme avec le retour de Matahachi qui commence une nouvelle vie sous une nouvelle identité : changement radical d'etat d'esprit chez ce personnage. On retrouve Musashi meurtri apres sa defaite, il decouvre la peur et veut s'entrainer pour pouvoir vaincre Inshun, le jeune Jotaro a quand à lui disparu. Un tome 6 qui s'arrete un peu plus sur la psychologie des personnages. Tres bon comme toujours.
Tres tres déçu, dur de faire mieux que le tres bon kochka, niveau dessin c'est irreprochable mais niveau histoire j'ai trouvé sa un peu ennuyeux, pas de reel fil conducteur, j'ai eu du mal à me passionner à cette histoire avec ces personnages sans consistance.
L'originalité de ce manga est que les histoires sont en 4 cases. Les personnages ont des traits de caractère bien définis et c'est ce qui vient alimenter l'humour de ces petites histoires. Il y a une continuité et les personnages apparaissent au fur et à mesure. Azumanga Daioh n'est peut-être pas une "grande oeuvre" mais c'est un manga très agréable à lire.
Atalante m'avait semblé intéressant et Cañari, paru dans la même collection "Mythologic Fantasy" promettait de me dépayser, mes connaissances de la mythologie d'Amérique centrale étant tout à fait nulles.
En fait, cette nouvelle série est pour moi un relative déception. En effet, l'intrigue ne décole pas vraiment lors de ce premier tome. On est face à la n-ème histoire du type "j'ai perdu mon frère, je le cherche et il m'arrive des aventures".
Il y a quelques erreurs grossières aussi : à un moment, Cañari propose à sa soeur d'aller à la rivière pour utiliser l'eau comme lubrifiant pour retirer un bracelet, alors même qu'à cet instant précis, elles sont toutes les deux dans une grotte avec de l'eau jusqu'au genou !
Un mot encore sur les quelques notes d'humour : elles sont plutôt drôles mais il y a des répétitions un peu lourdes.
Au niveau du dessin, mon coeur balance. D'un côté les décors sont très souvent admirables : le travail de texture et de luminosité est tout simplement remarquable. Il y a bien là aussi quelques erreurs, mais elles sont rares et minimes (je pense par exemple à la police utilisée pour le nom du bar, au début. Il clache complètement avec le reste)
Le problème, c'est que les personnages ne s'y intègrent pas vraiment : ils sont réalisés entièrement en graphisme vectoriel, avec peu de nuances (voire aucune) au niveau cu coloriage, alors que le décors est lui léché et textué. De plus, et c'est vraiement perturbant, la plupart du temps, ces personnages sont dessinés sans pied ! C'est comme s'ils étaint montés sur cure-dents. Et n'allez pas croire que c'est uniquement quand ils marchent dans l'herbe (on pourrait alors supposer que les pieds sont cachés par la végétation).
Une dernière remarque : la couverture est vraiment ratée ! Le décors est pixellisé à mort (comme une mauvaise compression jpeg) et on dirait de plus que la couverture est tachée. Et bien non, le taches brunes uniformes, c'est fait exprès, il semble.
Au final, on passera son chemin sans trop de regret, cet album ne valant que pour le travail des décors, à mon avis. Pour ma part, j'achèterai sans doute la suite, mais sans grande conviction.
Les 3 Petits Cochons
Dans une forêt pas comme les autres, « la forêt des contes », arrivent deux
loups pas comme les autres : l’un est hébreu, l’autre arabe. Un « comité de
jeunes lecteurs » les a choisis pour aller vivre des exploits dans un conte et
affronter… les célèbres trois petits cochons (encore eux !). Guidés par un
magicien cachottier et manipulés par un scénariste qui se joue d’eux, les deux
loups seront bien embarrassés quand ils devront manger les jolis porcs : leur
religion le leur interdit !
Avec humour et beaucoup de finesse, Tarek a concocté pour ce premier volume
de la nouvelle collection « Jeunesse » des éditions EP une fable délicieuse où le
second degré est roi : expressions animalières à double sens, jeux avec les
personnages, références à d’autres contes, clins d’œil contemporains (la sorcière
Bebeh !)… Quant au dessinateur Morinière, son travail est tout simplement d’une
belle efficacité. Comme l’indique le slogan de la collection, voilà « des récits
d’aventures classiques à lire au premier ou au second degré » ! Pari réussi :
cette fable sur la différence et la tolérance est à la fois sérieuse par son sujet et
pleine d’humour par son traitement.
Primaire, dès 7 ans.
Didier Quella-Guyot
Professeur de lettres
Article sur CNDP.FR
Comme pour le 1er tome, on est ici dans un album d'une grande finesse. On sent vraiment que Blain a beaucoup d'amour pour ses personnages qui ne sont jamais dépeint de manière négative. Ce tome permet a Blain de parler d'une de ses expéditions aux pôles. Il y a de la poésie, beaucoup d'humour (humour fin et subtile ) et une mise en image somptueuse (ahh ces successions de petites cases !!!)
Un album que je trouve légèrement en dessous des autres, notamment des fabuleux tome 2 et 3. L'histoire ressemble plus un Monsters par son caractère plutôt anecdotique que la suite d'une grande aventure. Mais bon, quand on aime la série donjon, ce tome reste quand même d'un trop haut niveau.
Hélas, je trouve que ce tome n'est vraiment pas bon du tout. On tourne en rond avec les personnages. Des faux rebondissements vraiment pas du tout interressant. Le scénario ne suit pas. L'histoire est peut être un peu courte.
Cette fin de cycle est à la hauteur de nos attentes. En effet l'histoire est toujours aussi drôle et pleine d'aventure. Il y a un bon équilibre entre l'humour et l'action ce qui fait qu'à aucun moment on ne s'ennui et une fois accroché on est vraiment pris dans l'aventure jusqu'au bout. Bref un très bon premier cycle.
On en est déjà au 7ème tome et c'est toujours aussi magnifique. Les personnages ne diminuent pas en intérêt et restent fidèles à eux même, l'histoire est prenante mais on aurait aimé qu'elle avance un peu plus vite notamment avec la rencontre du maitre d'arme. La poésie est toujours là et les joutes verbales sont d'une grande qualitée il n' a pas à dire Ayroles est un excellent dialoguiste.
Pour ce qui est des dessins c'est toujours superbe, un vrai régal pour les yeux.
Un premier tome tres prometteur sublimé par les superbes dessins de Ramos ( comme toujours ) et des couleurs magnifique ( notamment un tres zolie ton violet ). Niveau scenario ce premier episode à un coté du film Faculty avec un groupe d'etudiant qui decouvre des monstres dans leur ville. Niveau personnage c'est du classique avec le beau gosse populaire et sa copine, le ptit intello rejeté et la fille un peu byzarre. Ce premier tome pause de bonne base, les personnages sont attachant et l'intrigue captivante.
On a ici deux histoires. La première, The Darkness contre Hulk est plutôt sympatique mais hélas trop courte et on aurait aimé que la rencotre entre des deux hommes se poursuivent un peu plus longtemps. Il y a des éléments intéressants mais hélas pas suffisament développés. La seconde, Le théâtre d'ombres, est un début plutôt bon mais hélas on a pas la fin et il n'est pas dit qu'on l'ai un jour.
Hisstoire intéressante et sympathique bien qu'un peu trop confuse. On retrouve des personnages intéressants comme Spawn, Witchblade ou Savage Dragon dans des situations par mment assez drôle. Même si il y a beaucoup mieux on passe quand même un moment agréable.
Il s'agit de l'adaptation du film. Globalement l'histoire est bien faite malgrès certains points obscurs vers la fin. Les personnages sont intéressants mais on ne ressent pas vraiment le côté sombre de Bruce Wayne, on a plus l'impression qu'il s'agit d'un homme paumé et en colère mais c'est tout ce qui est fort dommage car le côté sombre de Batman est son principal intérêt.
Une ambiance orientale plaisante à souhait...
J'ai découvert cette série récemment, et je dois dire que je suis agréablement surpris. Les premiers tomes sont vraiment très agréables, et que dire de ce tome 7, qui m'a vraiment plu. L'ambiance orientale, suave et sucrée, confère à ce volume toute sa force, et cela est d'autant plus vrai grâce aux couleurs chaudes de J.J. Chagnaud. Le scénario est bien ficelé, et ce nouveau cycle démarre sur les chapeaux de roues, les dessins sont toujours aussi superbes, cependant, avec un léger manque d'originalité et d'authenticité, et c'est ce point d'après moi, qui plombe un peu ma note. Mais dans l'ensemble, cela reste un tome, à l'image de la série: Excellent!
Quelle déception !!!
Après avoir lu les précédents commentaires je pensais m'offrir une série aux petits oignons... Las...
... Dessins moyens, changement de dessinateur en cours de série : une amélioration mais jamais transcendant ni accrocheur.
... Scénario extremement faiblard, déjà vu et multiplication de clichés, zéro originalité : Honteux (tant pour l'auteur que l'éditeur).
... Série finie à la truelle : Si le début avait été accrocheur on pourrait rester sur sa fin, mais en fait on est soulagé que la fin soit baclée et que le dernier album serve uniquement à flinguer les protagonistes et à sapper le peu qu'il leur restait de crédibilité. De la daube.
XIII, c'est la Pléiade à coté !
Fuyez !
Indispensable tout simplement ! Une des meilleures bd que j'ai pu lire, une métaphore de notre société en quelques traits et en quelques bulles dans la lignée des Gaston ou des Mafalda pour le trait et le côté absurde mais avec la p'tite critique désabusée en plus sans toutefois tomber dans le manichéisme (logique quand on connait le contexte de parution du baron) . On ne peut qu'adorer le Baron Noir un des premiers anti-héros de la bd (tiens revoilà Gaston) , capitaliste "décomplexé" , et se moquer de la passivité des moutons !
Est-il vraiment nécessaire de donner un avis tant cet album est mauvais?
Il s'agit d'une de ces séries figurant au catalogue soleil qu'on ne retiendra plus d'ici quelques semaines.
Tout d'abord les dessins sont particulièrement médiocres, les traits sont gros et peu précis et lamise en couleur ne rattrape que très peu de choses.
L'histoire? Elle se lit en 8 minutes montre en main, un peu juste pour une bande dessinée achetée 12.90 €. Ce n'est pas captivant du tout, c'est super décousu, ça part dans tous les sens et on arrive pas du tout à cibler le héros. Il prend des décisions sans aucune logique et même quand ça le semble un peu il donne l'impression d'être névrosé et totalement disproportionné dans ses réactions.
Ceci n'est qu'un tome d'introduction et aurait probablement pu être très intéressant si le dessin n'avait pas donné l'air d'être bâclé, et si l'histoire n'était pas partie dans tous les sens dès le début sans prendre le temps de s'attacher à la présentation des personnages.
A éviter donc...
Excellente surprise me conçernant à propos de cet album.
Au premier coup d'oeil, un format peu standard. Chez Soleil c'est souvent signe de qualité. Première page : le coup de foudre, dessins superbes, trait dynamique. Ca y est je l'épouse. Bref, voilà un album qui m'a réconcilié avec le comics. L'histoire est prenante, le héros crâneur à souhait, les dessins exceptionnellement beaux, idem pour le coloriage.
Derrière la thématique policière de l'histoire on fait un tour d'horizon de best sellers du genre et on note les clins d'oeil subtilement dissimulés dans les cases. Ainsi, le Da Vinci code est clairement apperçu dans la bibliothèque du héros et c'est vrai que le complot au sein du vatican, basé sur une énigme historique se dessine petit à petit.
La dernière planche est géniale, elle nous laisse sur notre faim comme le font les séries telles 24h chrono ou Alias dont je suis particulièrement fan.
Bref du tout bon, à conseiller, d'autant plus que le tirage m'a semblé peu conséquent, ce qui peut s'avérer intéressant pour les éventuels collectionneurs.
Ca se profilait depuis quelques albums déjà, c'est désormais chose faite : la troisième partie du triptique qui a bercé mon enfance vient de mourir. A l'instar de Spirou et de Astérix, derniers du nom, j'ai éprouvé toutes les peines à terminer cet album.
Le dessin est naturellement moins bon, ainsi, j'ai le sentiment de voir des problèmes de proportion sur chaque page (surtout les mains, mais enlevez moi ces mains!). On excusera Tibet au passage, l'âge ne lui rendant probablement pas service. Il reste toujours pour moi un des grands messieurs de la bande dessinée.
Le scénario quant à lui est inexistant, je me suis ennuyé, je me suis endormi en le lisant au point que, les deux dernières pages, si souvent "nécessaires" et qu'on attendait avec la plus grande impatience il y a une vingtaine d'albums, ont attendu le lendemain matin pour être lues. Une bonne douche et l'histoire était déjà oubliée tant elle était plate et sans consistance. Je ne retrouve plus aucune idée intéressante qui puisse empêcher le déclin de la série. Et pourtant dieu sait si j'étais assidu. Au delà du ras-le-bol éprouvé par le côté intrépide et intergénérationel du héros (n'oublions pas qu'il a cinquante ans et qu'il n'a toujours pas pris la moindre ride, en dépit du temps qui évolue), c'est son manque de profondeur qui m'a frappé. Les méchants restent des méchants, sans profondeur, toujours intéressées par le gain, comme c'est le cas pour une cinquantaine d'albums de la série. La fin reste ainsi extrêmement monotone, les méchants sont bien ceux qu'on imaginait depuis la page 10 et la chute donne un sentiment de sur-réchauffé au point que ça en devient indigeste. Et comme c'est le cas pour la viande, quand on l'a cuite et recuite, il est grand temps de la jeter à la poubelle. Bref, une déception, attendue certes, mais qui donne le sentiment qu'une page de l'histoire de la bande dessinée est définitivement (mal)tournée, et c'est là que ça fait le plus mal.
Deux hommes se regardent, assis de chaque côté d’une table, face à face leurs regards pourraient s’embraser mais pour le moment ils conversent. Paul Klarheit d’un côté est persuadé d’avoir retrouvé la trace de son ami le plus intime dans cet hôpital. Un homme sans nom lui fait face, ses pensées se sont évanouies … il est amnésique. Il est disposé à écouter l’histoire de Paul qui peut être le sortira du brouillard.
Progressivement, Paul va lui raconter comment il croit l’avoir rencontré… Pour commencer Paul nous parle de son enfance, partagée avec son meilleur ami David, et cette terrible journée où lors d’une promenade à cheval, le feu s’est déclaré en forêt. Il chuta lourdement et se réveilla dans les bras d’un inconnu Julien Solédango et sa vie bascula.
Julien, un candélabres, était un être fantastique issu du feu, et en ce jour lui donna le plus mystérieux des cadeaux. Une source de feu qui semblait éternelle et qui lui redonna notamment l’usage de ses jambes. Cette source était si forte qu’elle permis à Paul de maîtriser le plus improbable des arts vu son état originel, la danse.
Paul s’aperçoit rapidement qu’il est le seul à pouvoir apercevoir Julien, mais ce qui l’a amené à venir voir cet homme amnésique est sa persuasion que cet homme ressemble étrangement à un peintre, Liam Lindhosrt, qui fut le seul à pourvoir peindre les … candélabres.
Pour une première série, Algésiras est entrée directement parmi les grands noms de la BD, son dessin est en parfaite adéquation avec le rythme de son histoire et elle a un talent particulier pour nous présenter les pensées les plus profondes de ses personnages. Nadine Thomas l’accompagne pour la mise en couleur en utilisant tout son talent pour nous faire partager le plus justement toutes les situations où la série nous compte l’histoire des candélabres, ces fantastiques être issus du feu.
Après avoir vu mourir son fils adoptif dans ses bras, Wayne Shelton revient dans un cinquième tome au titre peu original, mais de circonstance : «La vengeance».
Et, vous l’aurez compris, Hooker et sa bande de pirates vont devoir payer pour le meurtre de Tran, car même si Wayne prend le l’âge, il connaît tout le monde, se bat comme un petit jeune et est surtout aussi rancunier que rusé.
Bref, un nouveau tome bien divertissant et bien dessiné du James Bond pré-pensionné.
J'avais vu l'anime que j'avais trouvé pas trop mal, j'ai donc décidé de lire le livre...
Mais j'ai été un brin déçu...
Très bonne série. A conseiller fortement pour ceux qui aime les histoires mélant humour et romantisme (maladroit...)
L'histoire d'un étudiant, Keitaro, qui essaye déssepérément de passer le concours d'entrée à l'université de Tokyo, Todaï, afin d'y retrouver l'amour de son enfance.
Mais ne pouvant restait indéfiniment au crochet de ses parents, il désside d'aller habiter chez sa grand mère qui tient une pension... Mais, une fois arrivé il se retouve à la charge de cette pension occupé uniquement par des jeunes filles!!!!
Et là c'est une suite de gag plus marant les uns que les autres, car Keitaro est une véritable catastrophe naturelle avec les filles, surtout avec la belle Naru, qui désire aussi aller à Todaï!
Un plaisir à lire (et à re-lire) et à mettre dans toutes les mains.
Une série de Love Hina existe en DVD, elle est bien aussi, malgrè les nombreux écart avec le livre... Personnellement j'ai préféré la série en livre!
Tous simplement génial!!!
Humour, action, (sex?), voilà le Great Teacher!
Voici le guide pour devenir prof quand on est un ancien chef de bande!!!
Personnelement, je suis prof, mais je voudrai pas avoir à faire à des élèves comme ceux qu'Onizuka a dans cette série...
Il faut dire aussi que je plaindrai certain élèves d'avoir certain des collègues d'Onizuka comme prof!
Pour ceux qui ont suivi la série sur Canal+ en 2004/2005 (en DVD chez Kaze), ne vous inquétez pas, vous n'aurez pas une impression de déjà vu tous le long de la série en livre, car l'histoire de fond est la même, mais les leçons (épisodes) sont différentes!
Donc à conseiller fortement, aussi bien en livre qu'en anime!
Etant moi-même prof, je m'attendais à tous en commançant à lire cette série... et je la trouve pas trop mal.
Il est vrai que parfois la caricature est un brin exagéré, mais il y a quand même certain que je trouve franchement réaliste pour les avoirs rencontrés!
Je n'ai pour l'instant lu que les 5 premiers tomes, mais il ne sont vraiment pas tristes cette bande de profs!
Du prof sexy, du vieux prof, de la prof qui n'arrive pas à penser à autre chose qu'à son boulot ou au contraire du prof plus fénéant que ses élèves, il y a de tous dans ce lycée!
Comme dis l'auteur, pour tous, élèves ou profs!
La seule personne qui ne pourrait pas aimer cette série, c'est la soeur Marie-Thérèse elle-même!!!
C'est vraiment une soeur comme on en verra... jamais.
Buvans eu minimum un litre de rouge par jour accompagné de 5 ou 6 pétards, Marie-Thèrése anime son couvant, au désespoire des autres soeurs et surtout de la mère supérieur!
Contre les jeunes, contres les vieux, contres les c..., contres les femmes enseinte!
Mais pour l'amour (si qu'elle qu'un veut d'elle...), la vie et surtout le bon vin!!!
Le 5ème tomes change un peu des précédents, car la soeur se retouve expédier en bourgogne... mais bon, il est bien quand même.
Cette auteur, Tsuka Hojo (Cat's eye, Angel heart...) est vraiment bien.
Il touve toujours des sujets hors du commun...
Avec Family Compo, bienvenue dans le monde des travestis, des personnes qui changent de sexe... le tous fortement soupoudré d'humour!!!
Un jeune lycéen se retrouve orphelin et découvre qu'il a un oncle du côté de sa mère...
Le 1er problème : son oncle est devenu une femme (à s'y tromper!!!) qui s'est marié avec un homme qui est en réalité une femme (il faut bien suivre !)
Le 2ème problème : Ce couple a un enfant, qui actuellement est une fille, mais est-ce réelement une fille? A-t-elle aussi changé de sexe comme ses parents?
Gag en cascade, histoire d'amour complèxe... cette série est un régale!
Le problème actuel est de la trouver! (Sur Ebay...)
Superbe! Je ne les ai pas lu, je les ai dévorrer !!!
Les 10 livres en 2 jours...
Je me rappel bien de la série quand j'étais petit, mais je trouve le série en livre aussi bien voir mieux. Car comme le note le traducteur ou l'auteur à la fin de ce premier volume, contrairement au épisode TV qui n'ont pas de fin, les livres ont une fin (et quel fin !)
De plus, il y a certain bon passage d'humour, surtout avec les collègues de Toshio (Quentin à la télé), qui ne sont pas dans la série TV.
Pour finir, si vous arrivez à mettre la main sur cette série, (qui devient rare à trouver), vous aurez surment plaisir à la lire...
Lu aprés des critiques extrement élogieuse, j'ai pas pris la claque attendue....
L'album est interessant, mais j'ai été assez deçu...
Le scénar est plutot bon, mais n'a rien d'exceptionnel non plus.... les connaissances et capacités physique de lola sont pas assez exploité a mon sens....
J'ai trouvé les dessins désagréables.... pour moi, les dessins interdisent a cet album d'etre une vrai réussite... Outre le trait, vraiment hasadeux et brouillon..(c'est plus facile de dessiner un beau corps, qu'un beau visage..) , les couleurs parfois discutables...
Les cadrages apparaissent vite genant...
Bref, une bonne bd, desservie par une mise en image d'un moindre niveau
Commencons par deux bemols:
Principalement les couleurs qui sont fades, ternes et sans saveurs, ce qui attenue l'impression générale de l'album (pourtant un vert bienclair sur la pelouse est superbe au cimetiere..)
Parfois les dialogues apparaissent simpliste "style oui-oui"..., a retravailler
Sinon excellent album, certes le contexte a changer, mais cela reste trés bon, les devellopements futurs semblent prometteurs, le scénar se tient trés bien, bref, je conseille vivement
Cette histoire de Batman associée à Tarzan est vraiment bien traitée. Elle met en parallèle ces deux héros à la fois si semblable mais pourtant si différents. Tous deux assurent la justice dans deux jungles différentes : Batman dans sa jungle urbaine et Tarzan dans sa jungle en Afrique. Tous deux ont une conception différente de la justice. En effet là où Batman refuse de tuer son adversaire, Tarzan, lui, n'hésite pas une seule seconde. Bref ce parallèle entre ces deux personnages sombre et ayant une très forte personnalitée est vraiment intéressant et bien mis en valeur par le scénario de Ron MARTZ. C'est vraiment un plasir que de suivre cette histoire captivante mais hélas trop rapide à lire.
Cet album est globalement réussi est intéressant à lire. En effet le personnage de Nävis est confronté à un deuil dont elle n'arrive pas à se remettre, tout son hunivers s'écroule et même ses amis Bobo et Snivel n'arrivent pas à lui remonter le moral. Cependant Bobo et Snivel arrivent à trouver une planète habité par des humains à partir des éléments collectés lors de leur dernière aventure. A partir de là Nävis va essayer de se reconstruire un monde autour des autres Humain qu'elle idéalise avant de se rendre compte de la terrible réalitée. Le seul petit point qui me gène c'est que Nävis prend plutôt "bien" ce qu'elle apprend sur ces humains et finalement c'est ce qui la marque le moins alors qu'au contraire ça aurait du être un coup supplémentaire. Reste à voir comment elle va évoluer par la suite.
Cet album ne m'a pas vraiment passionné notamment à cause d'un manque de développement de certains passages mais surtout à cause d'une intrigue très convenue, sans surprise, des personnages sans personnalitée bref un tout bien ennuyant. Globalement le rythme est plutôt bon mais à part 2-3 idées intéressantes pas vraiment développées l'ensemble est plutôt construit sur du vide et autre remplissage. Le final est plutôt rapide avec un sentiment de "tout ça pour ça ?!" qui m'a fait me demander si au final j'aurais pas mieux fait de m'acheter autre chose.
Le dessin reste égal à lui même bien fait et attrayant mais c'est le seul vrai point positif de cet album.
Premier volume d'un second cycle à priori aussi bon que le premier, cet albumnous permet de faire connaissance avec un autre groupe de héro plutôt sympathique. Ce second cycle est tout aussi frais et drôle que le premier, sans prise de tête. Il devrait ravir les plus jeunes comme les moins jeunes.
Ako et le capitaine des secouristes Nimura se retrouvent enfin au village où ils vont pouvoir trouver le carburant nécessaire à leur hélicoptère et les médicaments pour soigner Teru.
Minetaro Mochizuki continue de développer la psychologie des personnages en situation de peur extrême et ce concentre dans ce tome sur le capitaine Nimura et Ako.
Ako, sur qui repose le sort de Teru, va prendre ses responsabilités dans ce tome et également reculer la frontière de son humanité face aux événements, en s'abaissant au meurtre d'un villageois. Le capitaine Nimura, jusque là présenté comme l'égoïste suprême en situation de survie, va aider et montrer une certaine reconnaissance vis-à-vis d'Ako.
Un tome qui donne des indices concernant l'origine du cataclysme tout en continuant de développer les réactions des êtres humains dans de telles situations.
8 volumes et toujours pas vraiment d'évolution dans l'histoire. C'est bien joli ce voyage dans l'espace mais l'intrigue est bien faible, Tetsuro ne change pas malgré tous les signes lui montrant qu'avoir un crops robotisé n'est pas la panacée. Finalement le personnage le plus intéressant est Maetel et les différentes réflexions humanistes permettent d'avaler la pilule.
Rien de bien nouveau dans ce titre et une histoire brodée autour d'un fantasme : la poupée d'amour. Sans être désagréable ni mauvais, ce shojo dégouline de mièvrerie et l'auteure réutilise les mêmes styréotypes et ingrédients que d'habitude. Heureusement que l'humour est là pour agrémenter un peu le tout.
L'action se calme. Après la fin des combats du tome 1, le scénariste nous entraîne dans le passé pour comprendre pourquoi Yusuké est le cible des vampires.
C'est intéressant et on se rend vite compte que tous les vampires ne se comportent pas de la même manière : sang et messager du Yato sont au coeur de leur vie et de leurs actes. On apprend aussi quelques petites choses sur la secte et qui est en réalité la belle Kikuri.
Un bon volume donc.
Dans ce volume Ehren Fürst apprend de la bouche d'Himul le sage l'histoire de Rieno et par là de la malédiction qui pèse sur Fantasma depuis que la reine précédente est morte. Il découvre également la véritable nature de Rieno et le moyen de l'éliminer. Mais le temps est compté.
Le vol. 8 est un tome charnière qui permet de comprendre les véritables enjeux de l'histoire et de ce qui se passe dans le royaume de Fantasma. Le tome étant centré sur Rieno et sa mère, les autres personnages n'apparaissent quasiment pas.
Pas grand chose à en dire de plus.
Une histoire sans grande originalité mais plutôt amusante étant donné les caractères très marqués des personnages principaux et parce qu'on sent que l'auteure a utilisé des éléments puisés dans divers contes (Cendrillon est le plus flagrant). L'intrigue devient un peu confuse vers le milieu de l'album quand on apprend vaguement comment la princesse Vellotte a rencontré Jenin. On ne sait pas trop d'où il sort ni pourquoi il passe par là tout à coup.
Le dessin n'est pas sans rappeler celui de Demon's Diary en particulier au niveau des visages et de l'utilisation des trames (nombreuses). Par contre, peu de cases dans chaque page, çà fait un peu vide parfois.
Ce n'est pas génial mais çà se lit bien
Un sunjung qui commence de façon bien gaie et amusante. L'histoire n'a certes rien d'original, mais le ton est plaisant et agréable. Les situations comiques sont nombreuses et on sourit souvent à voir la tête des perso dépités ou complètements idiots. Le dessin est clair, dynamique, très "fille" et évidemment assez stéréotypé : jolie héroïne bien sûr (et là, en l'occurrence encore plus) et beaux gosses, l'un qui se la joue, l'autre plus réservé.
Le titre promet quelques bons moments de rires pour la suite.
On en finit enfin avec la soporifique affaire des bras de la Vénus de Milo. Ouf ! Ceci dit cette fin est plutôt pas mal faite. Suivent deux petites aventures d'un intérêt médiocre puis l'ouverture d'une nouvelle mission qui, elle, s'annonce intéressante : un jeu de cartes aux images de nos récupérateurs, héhé, simple coïncidence ou ... ?
Bref, la nouvelle histoire promet beaucoup et donne l'impression qu'on aura droit à un joli rassemblement un peu comme dans le Mugenjo. Espérons que çà ne s'enlise pas !
Donc un tome mitigé mais se terminant sur un bon point
Depuis quelques temps, spirou et fantasio sont repris à toutes les sauces. Ici, je me demandais comment ils seraient. bref déception. Le dessin ne me plait pas du tout, trop grossier à mon gout. L'histoire remonte un peu le niveau, même si elle est un peu trop délirante, et manque de sérieux. On est loin du temps de zorglub, et des aventures contre le Z.
Le jour de sa sortie, je me suis précipiter à 7 heure du matin pour aller acheter le nouvel Astérix. Quel déception de voir nos héros dans une si navrante aventure.
Les dessins, ne sont pas superbes, avec cette grosse boule dorée (sans compter le découpage des planches), mais le scénario, lui, est catastrophique.
Je pense qu les gens qui lisent Astérix, l'aiment, parce que ça se passent du temps gaulois, avec des romains, des baffes et de la potion.
si l'on veut un héros avec des OVNI et extra-terrestres, on achètent une BD, qui s'y prète....... Hélas, ici, ce n'est pas le cas. Quel gachis.
Une série pleine de génie de poésie au travers d'un monde imaginaire qui entrainera les plus jeunes comme les plus grands. Je lisais ces BD à 10/11 ans et je redécouvre cet extraordinaire monde avec beaucoup de plaisir.
Les premiers tomes (chefs d'oeuvres) sont bien mieux que les derniers à mon avis personnel. La suite est très agréable mais moins originales on retrouve un peu le même esprit, mais en moins créatif.
Et si cette série vous plaît, essayez les autres BD de Fred notamment l'histoire du conteur électrique ou le Corbac aux baskets c'est aussi génial et d'une finesse exquisement délectatoire si vous me permettez cette barbarité...! C'est également beaucoup plus drôle, et le type de public visé est explicitement plus âgé.
Voila une serie ou j'ai du mal à comprendre l'engoument, d'une part je trouve les dessins tres laid même si c'est un style particulier, et d'autre part j'ai du mal à trouver sa drole. Sfar et Trondheim sont clairement 2 auteurs que j'aime vraiment pas.
Sympa même si c'est pas toujours tres drole, faut aimer quoi, perso je suis pas fan.
C'est sympa, mais il y a beaucoup mieux dans le même genre.
Avis sur numero 1/2 : le dessin de Mac Farlane est tout simplement genial, il a crée un super heros, un univers glauque morbide et en même plein temps plein d'humour, Spawn et sa superbe cape rouge est un anti heros torturé, qui se pose plein de question sur ces pouvoirs, sa nouvelle vie et sur son passé. Ces 2 premiers numeros posent les jalons d'une serie culte. Le savant melange de violence et d'humour ( grace au dialogue entre Sam & Twitch, et le violator completement dejanté ) est savoureux. Le combat entre Spawn et violator est un must, les retrouvailles entre Spawn et sa femme sont emouvante. Rien à dire ces 2 premiers numeros sont culte.
Niveau dessin c'est juste correct, on est bien loin de Lee et Miller mais Kordey s'en sort pas trop mal dans un style plus BD que comics. Niveau histoire je m'attendais à quelque chose de pas terrible mais finalement c'est plutot bien ficelé, ce crossover à le merite d'etre original, Tarzan n'etant pas un personnage tres à la mode. On commence l'aventure dans l'ambiance urbaine de Gotham mais on va vite se retrouver dans la jungle de tout les dangers. Une fois de plus Batman assure et son duo avec Tarzan fonctionne plutot bien : les 2 ont une vision de la "justice" differente. On a de beau combat : contre un gorille, des crocos, on a une splendide princesse egyptienne, le seule bemol est pour le mechant de l'histoire : un voleur de tresor sans envergure comparé au mechant habituel de l'univers de Batou.
Sa commence de façon tres calme avec la rencontre entre le couple Manji/Lin et Shira et sa bande. Le debut est donc concentrer sur les presentations. Tout ce beau monde s'organise pour attraper Anotsu. C'est un peu raté et sa va se terminer dans un veritable bain de sang avec un Shira sanguinaire et sans pitié. Au final Manji se fait un nouvel ennemi, le personnage de Lin s'approfondi de plus en plus et ce titre est de mieux en mieux.
Avis sur les 2 tomes : Dessins magnifique tres detaillé ( jolie femme :) ), scene d'action dynamique et ptite histoire sympathique : un groupe de "terroriste" avec la belle guerriere ( un coté Trinity quand elle se bat ), un gros bourrin, un informaticien... et notre jeune heros surdoué au milieu de tout ce beau monde, sa ce laisse lire de façon agreable mais sa manque un peu de peps et la fin laisse à desirer pour une serie terminer.
Grosse deception pour moi, comparer aux serie clone wars et Jedi, cette serie a bien du mal, tout d'abord un dessin et des couleurs tres tres moyen ( et je suis gentil ) et un scenario pas terrible malgré le retour de Palpatine, en fait j'ai du mal avec les personnages de la premiere trilogie en bd, je les trouve peu charismatique mis à part Han Solo, le couple Skywalker est tout simplement ridicule. C'est simple Luke est le jedi le plus ridicule pour moi. Grosse deception donc vivement le retour de Vos en BD.
Sympa mais rien de revolutionnaire, de bon dessins tout de même.
Voici le cinquième tome de cette série en 10 volumes de Minetaro Mochizuki. Ce manga avait commencé à paraître en France en 1998 (et oui déjà) sous la jaquette Manga Player mais, à partir du sixième tome, il est passé chez Pika Edition, qui publie maintenant l'intégralité de cette série.
On se retrouve donc au milieu de cette excellente série où Minetaro Mochizuki continue de développer brillamment les réactions de l’être humain dans un monde post apocalyptique et sans repères.
Ako et le capitaine des secouristes Nimura partent à la recherche d'un village afin d'y trouver des médicaments et du carburant, mais ils vont faire des rencontres terrifiantes et bizarres, dont un garçon au crâne recouvert de cicatrices qui n'a qu'un mot en bouche : Dragon ...
Malgré un dessin parfois défaillant pendant les scènes de combats rapprochés, cette série continue de lever le voile sur l'âme humaine au milieu d'une ambiance angoissante et sombre.
J'ai du mal à comprendre l'engoument pour cette serie, bon les dessins sont sympa, le scenario assez original mais c'est un peu mou et j'ai eu un peu de mal à etre captivé, j'espere que la suite est mieux.
Le dessin de Bennett est sans faille et tres agreable. On suit un trio sympathique : Logan, Jubilé et Magneto ( toujours aussi charismatique ) dans un monde alternatif ou les Sentinels font la loi. Le recit est porté par les relations entre Wolverine et Magneto qui monte une mission de sauvetage pour sauver la fille de Magneto. De tres bon combats dans un futur apocalytique. Bon recit.
On suit toujours les aventures de Naruto, oups pardon, de Tae. C'est toujours aussi sympa bon il a vraiment beaucoup de points commun avec notamment le tournoi d'art martiaux present dans tout bon shonen. Le melange action/humour est toujours aussi detonnant et efficace, les personnages sont attachant notamment notre cancre préféré au potentiel caché. La fin est assez prometteuse et donne envie de connaitre la suite, sa devrait se demarquer de Naruto par la suite.
Ako et Teru avancent péniblement sous ce ciel toujours aussi noir à la recherche de survivants, mais surtout à la recherche d'une explication à l'apocalypse qui règne sur le monde depuis leur accident de train.
Tout comme dans «Gen d'Hiroshima», un autre manga post apocalyptique, on retrouve les personnages errants au beau milieu de la désolation et le désarroi. Mais, à l'instar de «Gen d'Hiroshima» qui avait tendance à exagérer la bonté ou la méchanceté des personnages, Minetaro Mochizuki excelle dans le réalisme avec lequel il développe la psychologie humaine en situation de stress et face à l'inconnu. «Dragon Head» va au cœur de la peur et au plus profond des instincts primitifs de l'homme.
Teru et Ako vont ainsi rencontrer une équipe de secouristes déserteurs, dont le capitaine illustre parfaitement cet égoïsme et cet instinct de survie qui refont surface dans des situations extrêmes. D'autre part, Teru, qui incarne le semblant d'humanité qui peut subsister chez l'être humain dans de telles situations va également s'abaisser à commettre un meurtre sauvage, montrant bien qu’en situation de stress extrême toute la bonne volonté du monde ne suffit plus à canaliser nos instinct de prédateurs.
De l'action, de l'humour, une hitoire simple mais efficace, ceux qui sont fans d'heroic fantasy à la trolls de troy aimeront cette série. En plus, elle a l'avantage de n'être qu'en deux tomes, le troisième étant une nouvelle aventure. Fini les histoires an huit tomes.....
Je suis surpris par l'intérêt que semble susciter cette série.
J'ai lu les 3 premiers tomes. Certes, l'histoire n'est pas désagréable à lire, mais je ne peux pas dire que j'ai été enthousiasmé. Le dessin ne m'ayant pas emballé non plus, voilà les raisons de mon sentiment mitigé.
Il faut néanmoins reconnaître l'originalité de l'idée de départ.
Finalement le dessin est pas si mal ( ma preference va quand même au tome 1 avec l'excellent Bonin ) , n'ayant pas relu les 2 premiers tomes avant j'ai pas toujours fait tout les rapprochements qu'il fallait. Dans l'ensemble sa ce lit quand même comme un one shot. Niveau scenario c'est une fois de plus assez classique : une ptite histoire d'amour impossible entre une grec et un francais. J'ai bien aimé ce personnage : Cohen, le plus attachant pour le moment. J'ai hate de connaitre la suite et enfin savoir qui sont les personnages du debut
Un tome 3 qui conclu merveilleusement ce tres tres bon polar qui arrive a être vraiment original d'une part grace au dialogue à la Tarantino c'est à dire qui n'apporte rien au recit mais qui sont vraiment savoureux ( le tres bon passage avec Kim Bassinger ) d'autre part il y a pas beaucoup d'histoire ou les personnages principaux meurt au milieu du recit. Un scenario efficace,un nouveaux duo qui fonctionne à merveille, tres complementaire et un brin comique, un decoupage parfait pour le dessin tres soigné de Wilson ( de tres belles fussillades ). Un titre INDISPENSABLE pour les amateurs de vrai polar.
Premier tome qui est surtout là pour presenter les personnages et la mission ( impossible bien sur ). On a donc un aventurier sans peur qui approche de la cinquantaine, une tres jolie femme, un ptit comique , un cascadeur ... enfin une equipe complete. Il y a tout de même un brin d'action mais c'est un peu ennuyeux comme souvent avec Van Hamme : plein de dialogue soulant et sans réel interet. Tome juste correct heureusement les suivants sont beaucoup mieux.
Tome 4 convaincant qui conclu de belle maniere ce cycle. Sa commence avec un long flashback interressant sur le passé de De Boers et sur le fameux diamant. Un savant melange d'action, d'humour, de jolies filles et de suspens. Serie vraiment agreable à lire. Un mot sur le dessin de Meynet toujours au top.
Chaque fois que Uderzo a essayé de rattraper un scénario par des effets spéciaux, ce fut catastrophique. Nous avions déjà eu droit à une séquence grotesque dans ‘Le grand fossé’ avec des Romains tour à tour géants puis nains. La ‘Traviata’ est un autre exemple ou l’auteur fait du remplissage avec un Astérix fou, bondissant et finalement sauvé des eaux par (clin d’œil ?) Oum le dauphin.
Et maintenant, que dire d’un album presque sans humour ou l’entièreté du scénario est basé sur des soucoupes volantes et des petits hommes verts ?
Bref l’album que l’on aurait souhaité ne jamais voir publié.