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j’ai vraiment été charmé par ce premier opus de ce que j’espère une longue série.
A mon avis, il y a deux manière de commencer une série: mettre dès le premier tome toute l’action et l’intrigue (au risque de voir l’intérêt retomber au fil des albums) ou bien poser patiemment tous les éléments pour construire une histoire complexe à rebonds. C’est le sens qu’ont visiblement choisi les auteurs et on ne peut qu’acquiesser. Le tome 1 place le contexte et le tome 2 apportera a mon avis son lot de révélation tant pour le jeune Astraban que sur cette mystérieuse guilde.
Le tome 1 est toutefois loin de n’être qu’un récit préliminaire sans saveur. On suit avec intérêt les déboires de plus en plus sinistres d’Astraban (je ne vous dévoilerai pas ce qui lui arrive) . On a ici l’image du passage à la vie adulte (et de la perte de l’innocence) du jeune homme qui va voir face aux évenements sa faconde se déliter des premières pages et faire face, en guise d’apprentissage dans la guilde, à des évenements plus tragiques les uns que les autres. Les auteurs ont vraiment réussi tant par le dessin que l’histoire à nous rendre ce héros particulièrement attachant.
Coté dessin, Martin donne réellement un cachet particulier à l’album. Les personnages sont très bien dessinés et leurs expressions très bien rendues (c’est l’essentiel pour moi!). Il n’y a rien a redire de ce coté là et on trouve bien une ambiance médiévale urbaine digne de Nightprowler.
Sur le public visé par cet album, il est vrai que certains passages sont assez violents mais il n’y a rien d’excessif et j’aime beaucoup ce mélange de candeur (incarnée par le héros) et d’obscurité (les autres protagonistes, les meurtres, etc.). Bref, la encore, rien a changer dans le style, tout est bon déjà.
Voila en conclusion, un très bon album a acheter de toute urgence et qui augure d'une très belle suite.
Un tome comme tout les autres : c'est à dire excellent. Notre duo se separe enfin c'est plutot Lin qui part toute seule pour tuer Anotsu comme une grande mais elle n'est pas au bout de ces surprises. Un fois de plus on assiste à un duel d'anthologie ou Manji doit faire face à 3 combattant en même temps. Surement un des meilleurs combats de la serie ou Manji fait preuve d'ingeniosité pour vaincre ces adversaires. Violent et captivant.
Avis sur numero 5/6. Le numero 5 est avant tout un tome de transition ou nos heros font une pause dans leur quete ainsi Mark est confronté aux fantomes d'un homme. Le tome 6 est nettement plus interressant : on s'interresse au passé douloureux d'Abel. On voyage dans les rêves de nos jeune heros et on retrouve le gros mechant de l'histoire abscent depuis le tome 3. Toujours aussi agreable à lire.
Bon sa pue l'arnaque : je sais même pas si l'histoire fait 30 pages ( et la covuerture est particulierement moche ) mais bon c'est un spectaculaire combat entre le Fleau et Gambit. La fin est surprenante. Dommage que ce soit aussi court :(
Retour de McFarlane au dessin et 2 scenariste Miller et Morrison. 2 histoires au programme : la premiere celle de miller ne s'inscrit pas dans la continuité. L'episode de Miller est assez moyen finalement : je ne vois pas trop la patte miller sa aurait pu etre ecrit par Crisse que j'aurais pas vu la difference ( bon j'exagere un peu ). Le 2 eme episode est bien meilleur c'est la suite du combat entre Spawn et "l'ange", les clochards aide Spawn dans ce merveilleux fight mais une fois de plus le combat est trop rapide : hop en 4 planches c'est torché :( .
Dessin juste correct ( par moment certains perso ressemble à ceux d'Urosawa mais sa dure pas :) ). Ce premier tome est peu convaincant, l'intrigue est tres basique et loin d'etre captivante, pourtant l'idée est sympa : une lyceenne veut remonter le clan de Yakusa de son defunt pere. Ce premier tome est plutot ennuyeux et malgré le ton humoristique : pas drole du tout. Dommage car les personnages sont plutot attachant. Je lirais quand même le tome 2 pour voir si sa evolue.
Serie sympa avec des dessins detaillé et agreable ( surtout pour les personnages car les decors sont un peu leger par contre ). On suit une equipe de sauvetage qui doit faire equipe avec un cyborg doté d'une intelligence et qui agit par lui même. L'idée de base est plutot sympa, c'est ryhtmé avec une bonne dose d'action mais le gros probleme que j'ai trouvé c'est les personnages tous plus stereotypé et peu attachant.
très émouvant!
C'est avec plaisir que j'ai lu cette bd, qui se ressent avant tout. Une histoire émouvante, des dessins non sans rappeler un certain Gibrat (?), des personnages attachants, expressifs et émouvants, enfin et surtout, une fin, déchirante, et quele fin ! Le seul petit bémol, c'est que certains passages (surtout en fin d'ouvrages) tassent un peu l'histoire, mais à par cela, le sourire du clown, est un ouvrage essentie et nécessaire.
Ce dernier rendez-vous annuel avec le duo d'humoristes Blesteau-Godard nous permet de profiter d'un tout nouvel opus des mésaventures de la famille de Toupet, ce petit garnement aux airs de chérubin dont on peut lire les aventures depuis bientôt 17 ans. Même si le petit bonhomme approche doucement de la maturité en terme d'années d'édition, ce nouveau tome continue dans la même lancée que les albums précédents, et c'est toujours dans ses couches que nous retrouvons le centre d'attention de cette famille étendue.
Agrémentées d'une palette de couleurs classique assurée par le Studio Léonardo, le trait assuré et régulier d'Albert Blesteau continue d'offrir un rendu tout aussi charmant des personnages que n'en sont les gags scénarisés par Christian Godard. Sans offrir de moments de rire aux larmes, cet album contient plusieurs gags sympathiques qui assurent une lecture agréable et amusante du tome.
En bref, un petit album d'humour gentil qui saura surtout plaire aux jeunes, mais qui pourra aussi amuser les lecteurs de tous les âges!
C'est le sujet qui m'a intéressé dans cette série : la cryptozoologie, ou l'étude des animaux bizarres ou légendaires. Le personnage principal, Russel Chase est un cryptozoologue donc, typé Indiana Jones, qui cherche à vérifier ou prouver l'existence d'animaux légendaires. Si le premier tome l'a amené à prouver que le loup marsupial thylacine n'était pas éteint, ce second tome l'amène à chasser le yéti...
C'est beaucoup plus bateau et surtout ce n'est guère que prétexte pour lancer un sombre complot où se mêlent les triades, un miliardaire russe corrompu et tout ça de Hong kong au Tibet. Honnêtement, il y a bien un scénario mais assez confus et sans grand suspens.
Côté dessin, c'est "standard", narratif mais ni particulièrement réussi ni spécialement moche.
Bref, si le sujet est intéressant, l'album lui-même est assez fade. Bof.
Le titre resume à lui seul l'album, ce tome ne fait pas dans la dentelle, Shelton est determiné à se venger. La premiere à subir le courroux du vieux Wayne et la terrible Yoon dans une scene assez bien pensé ( et oui il est pas bete y change de flingue tout le temps notre vieux aventurier ). Ce tome est sans surprise mais terriblement efficace en effet on connait la fin ( shelton tuera le mechant quoiqu'il arrive ) mais c'est prenant et divertissant.
A vrai dire, ce sont les dessins qui m'ont attiré plutôt que le scénario. Ayant déjà lu la nouvelle de Gogol,je suis tout de même resté sur ma faim. Mais dans l'ensemble, cela reste une assez bonne bd. A lire! (PS: commencez peut-être par le livre, comme ça, pas de mauvaises surprises!)
Un tome plutot sympa ou on decouvre le passé de Shelton dans l'armée americaine au vietnam. Dans ce tome Shelton apparait beaucoup plus vulnerable et humain, l'histoire est une mené tambour battant par un Cailleteau qui s'en sort vraiment bien. J'ai bien aimé la fin qui promet un tome 5 explosif.
J'avais adoré le premier tome et ce second tome ne me déçoit pas du tout, on retrouve donc nos inspecteurs McKey et Vendrell, euh non Reyes et Kotchenko :), l'enquete sur le meurtre de la fille continu et en parrallele l'igs est toujours là et le parrain de la mafia est un peu dans la merde et menace Kotchenko, l'etau se resserre pour nos 2 flics. Si l'histoire en elle même est peut etre pas tres original c'est vraiment bien traité, ainsi on retrouve vraiment l'ambiance des meilleurs series policiere. Niveau dessin sa colel parfaitement à l'histoire. Vivement la suite.
Le nanard du siècle ! Dessin immonde, scénario débile, si vous aimez la bd evitez cette chose...
La conclusion est la.
Mais les déceptions se cumulent donnant un goût amère à cette fin.
Elle aurait mérité d'être plus étalé en effet a peine un quart du tome y est dédié ce qui est déjà un brin frustrant (le reste comportent deux nouvelles sympathique mais sans plus), la fin est bien dans l'optique que laisse le tome 2 mais on a du mal a l'apprécié.
Une fin un peu moi convenu aurai été appréciable.
En conclusion, un triptyque à lire d'une seul traite bon mais pas immuable.
Le tome de la confrontation, le commanditaire semble vouloir jouer avec les flammes en se rapprochant Gotô.
Pourquoi ce n'est pas très clair mais la personnalité commence a se révèle.
Peu de révélations mais le jeu s'intensifie...
Une série très agréable
La conclusion de cette enquête est rondement menée même si certains éléments sont un peu ahurissants.
On a le droit pendant presque tout le tome à un jeu du chat et de la souris entre le père et le meurtrier.
Reste les dernières pages que j'ai trouvé un peu niaises mais bon ça passe vu le bon niveau du reste.
Une courte série mais très bonne .
une nouvelle déception dans les reprises de Spirou et Fantasio. Le dessin est laid, il n'y a pas d'autre mot, minimaliste et vraiment baclé. L'histoire est compliquée, part dans tous les sens, et en même temps, elle est "téléphonée". Elle repose uniquement sur l'opposition entre Spirou et Fantasio, et ce n'était pas vraiment la peine de nous pondre un album complet pour si peu. Une grande déception donc...
Petit épisodes de Brubaker et Mc Daniel sans grand intéret visiblement là pour remplir la place restante après deux épisodes de la Supergirl de Krypton de Loeb et Turner visiblement plus réussis.
J'ai été ravi de voir cette bonne série qu'on avait cru abandonnée suite à la fin de l'éditeur Nucléa² a été reprise par Soleil. Ce troisième est dernier opus est une réussite et clôture de manière on ne peu plus satisfaisante cette série. Certes par moment on a l'impression qu'il y a eu certains raccourcis sur quelque petits point pour faire tenir la série sur 3 tomes mais rien de bien génant au final car ce sont des points assez secondaire dans l'histoire. au final on a une histoire bien ficellée, rythmée et sans temps mort du début à la fin.
Bref voilà une série réussie tant sur le plan scénaristique que graphique.
Que l'on aime ou non, la série XXe ciel.com ne vous laissera pas indifférent et ce fût pour moi un grand moment lorsque je l'ai découverte.
Mais je ne peux masquer ma déception à la lecture de ce tome 0, Introduction au XXe ciel.
D'abord il faut souligner que malgré son nom, il faut éviter de lire cette introduction avant les quatre autres albums car elle dévoile une partie de l'intrigue, ce qui est dommage.
Ensuite, et parce que j'attendais peut-être beaucoup d'explications de la part d'Yslaire sur la conception et la création de sa série (son site internet n'étant apparemment plus accessible), ce volume m'a paru un peu vide. Certes il brille par ses illustrations, véritables chefs d'oeuvres (j'ai même été tenté de découper certaines pages pour en faire des tableaux !) mais à côté de cela on ne retrouve que quelques extraits du fameux journal "le XXe ciel" qui m'auront laissé sur ma faim. Et les biographies des principaux protagonistes ne suffisent pas à éveiller un intérêt majeur, leur histoire étant déjà connue à travers les 4 tomes de la série (et justement, lire les biographies avant l'histoire, c'est se gâcher une excellente série).
Ce qui m'aura finalement le plus marqué, en dehors des graphismes, sont les extraits des échanges entre Yslaire et l'une des psychanalystes avec qui il aura travaillé sur ce projet.
Cela reste un très bon album, mais que je conseillerais uniquement à ceux qui ont vraiment apprécié la série.
Sur le plan visuel, cet album est une véritable claque ! N’étant pas particulièrement friand de comics, je ne connaissais pas l’éblouissant dessinateur qu’est Middleton mais ce fut un ravissement de découvrir son trait élégant et ses couleurs lumineuses. Si vous voulez avoir une idée de son talent, je ne saurais trop vous conseiller d’aller jeter un coup d’œil sur son site (http://joshuamiddleton.com/) où se trouve une généreuse galerie d’images. Je n’ai pas vu les comics originaux mais cet album qui les adapte au format de la BD européenne est une vraie réussite. Même si l’on ressent encore les influences du support de départ (vignettes pleine page ou sur deux pages).
En ce qui concerne le scénario de Joe Quesada (éditeur en chef de Marvel Comics), on se retrouve en plein dans l’univers des X-Men mais sans la débauche d’effets spéciaux à laquelle on pourrait s’attendre. L’action reste sobre et réaliste. L’héroïne est une adolescente en révolte, mal dans sa peau, et qui ne s’est jamais remise de l’assassinat de son père. Fragile et tout près de sombrer dans la drogue et la délinquance, sa vie va basculer en découvrant qu’elle est une mutante et a le pouvoir de figer le temps. Elle rencontrera une autre mutante, autre adolescente paumée qui se prostitue. (Pour les connaisseurs, il s’agit de X-23, clone de Wolverine, qui apparaît dans X-Men : Evolution). L’aspect psychologique des personnages est richement traité. Leurs destins amers s’entrecroisent au sein d’une histoire tragique qui ne peut laisser indifférent.
Un magnifique album à découvrir !
L'intrigue de ce second volume démontre parfaitement que Batman a trop tendence à prendre le pas sur Bruce Wayne faisant de lui un être seul. Finallement même si Bruce a décidé de combattre le crime pour venger la mort de ses parents, ses propres démons et sa culpabilité prennent le pas sur l'homme intelligent et réfléchit que peut être Bruce. La prise de conscience de cet état de fait développée dans ce volume laisse supposer certains changements dans la personnalité de Bruce Wayne.
L'intrigue du premier volume fait toujours ressortir le côté sombre et torturé de Batman mais elle nous monte également à quel point Bruce Wayne peut être mené assez facilement par le bout du nez. Celà renforce également le rôle de son majordome Alfred qui reste un garde fou aux éventuelles dérives que pourrait commettre Bruce Wayne ou Batman, toujours là avec ses conseils avisé. Ses interventions laissent vraiment à penser que Batman aurait depuis longtemps freanchit certaines limites sans sa présence.
L'histoire est passionnante et j'ai dévoré ces trois tomes sans voir le temps passer. L'intrigue avance bien avec des rebondissements très intéressants pour la suite même si certains étaient relativements prévisibles, ils ont tous été très bien introduit. De plus on a enfin les détails sur ce qui s'est passé entre Creed et Train dans le passé mais les a-t-on vraiment tous ? Rien n'est moins sûr, surtout la raison pour laquelle Creed s'est intéressé à Saya. Il reste encore pas mal de choses à développer surtout que deux nouveaux personnages viennent de faire leur apparition.
Bien que inégaux, les gags sont aux 3/4 très drôles. Tout tourne autour des paradoxes de la langue française, du calembour de hauts étages en quelque sorte. C'est du "Le chat" mais avec un effet visuel comique beaucoup plus recherché. Dommage qu'il n'y ait pas de suite !
Les dessins sont moins envoutants que ceux de Tillier mais ça reste quand même très correct. Le scénario est à l'image du titre, et se concentre beaucoup sur le personnage du dictateur. On ne comprend pas trop sa psychologie suicidaire et auto destructrice. C'est de le folie mais une folie pas vraiment interessante ou assez mal traitée de mon point de vue.
Une histoire originale servie par de somptueux dessins. Les dessins de Tillier sont le point fort de cette série. L'univers SF-Baroque et décadent n'est pas sans évoquer les décors mélancoliques et un rien rétro du Blade runner de Ridley Scott. Une ambiance de fin de monde envoutante. Par contre le scénario est a mon avis trop concentré sur l'histoire d'amour unique obséssion du héros. La voix off ralenti considérablement l'histoire et enlève beaucoup de fluidité et de plaisir de lecture. Ce sont selon moi, les deux point faibles qui empêchent cette série de devenir véritablement culte.
La transformation de l'enfant Alam en beau jeune, nous entraîne dans des situations comiques et, bien évidemment pour un shôjo, romanesques. Néanmoins, on a tout même l'impression que le scénario manque de précisions, qu'il est mal ficelé. Celà reste un premier tome sympathique sans être innovant pour le genre et le graphisme est plaisant.
Trés bonne série, dessin realiste et histoire émouvante. A déconseiller toutefois aux ames sensibles . . .
Alors en fait soleil prod n'a pas édité les 2 derniers volumes disponibles uniquement en anglais.
Mais comme je les ai lus, je finis ma critique du volume 1.
Cette série est donc composée de 6 parties, les 4 premières ont été traduites. Pas les 2 dernières.
Alors finalement, bien ou pas bien ?
Première chose, je suis bien content de l'avoir terminée, toutes les questions trouvent une réponse. Le dernier volume est de loin le plus surnaturel et étrange. Il faut suivre...
Les dessins sont de la même trempe tout au long de la série. Un style particulier mais qui reste très lié au scénario.
Cela reste pour moi une très bonne série, dont on s'attache rapidement et que l'on relit souvent.
Le téléphone sonne. Un homme décroche. Au bout du fil une voix. "Ils ont retrouvé la voiture". "Rejoins-moi".
A partir de là, les 2 protagonistes savent ce qu'ils leur restent à faire.
Cet album plonge le lecteur dans une atmosphère pesante grâce à ses dialogues, à son graphisme (vent, crachin, "gueules" des personnages) et à l'absence d'informations sur les protagonistes. On ne sait même pas leur nom. Le narrateur les désigne donc ainsi : "L'homme calme", "L'homme à la porte", etc.
L'auteur fait vraiment preuve d'une grande maîtrise aussi bien graphique que scénaristique.
Tous les dialogues ont leur importance et aucun n'est écrit par hasard. Un mot, ou une phrase, dit à un moment aura son importance ultérieurement. C'est du grand art.
Bravo GIPI. Pardon, bravo Monsieur GIPI.
C'est vraiment un grand auteur de BD. Malheureusement encore peu connu du grand public. Son prix à Angoulême réparera peut-être, en partie, cette injustice.
excellent album. Une tres bonne suite au décalogue (tome I, II et VIII).
Je suis tombé amoureux très tardivement de cette série. Ce 1er tome a tout ce que j'aime. Des dessins naifs efficaces très new school française (Blain, Sfar, Trondheim, David B etc.) qu'on aime où qu'on déteste mais qui ne laisse pas indifférents. En ce qui me concerne, j'adore, car ces dessins servent parfaitement les émotions et le scénario au contraire d'autres, certes plus stylisés, mais pompeux et tape à l'oeil. L'histoire est très originale dès le départ et concrétise ses belles promesses tout au long de l'album (ce qui n'est pas toujours le cas). Le coté anti-héros du personnage est très agréable. Finalement c'est peu conventionnel dans la BD et ce tout s'avère hilarant entre autres par des répliques peu politiquement correctes où un humour noir décapant. Toute la difficulté était de rendre sympathique ce héros et c'est parfaitement réussi. C'est culte !
Un chef d'oeuvre qu'on lit et relit volontier.
Tant par la qualité et l'estétisme des dessins (en particulier l'envoûtante Circée), que par l'originalité de la relecture de l'odysssée où les Dieux sont transformés en extraterrestres à visage humain qui vivent dans le luxe et s'amusent du destin d'Ullysse en le trafiquant.
Histoire de 3 hyperdrogués de la période Hippie aux US
C'est très rigolo
Seulement, une fois, je l'ai prêté sans le savoir à un drogué: ça l'a rendu furax!
Médecin à l'OMS, Isabelle fantouri est un peu comme Tintin au féminin, pas comme journaliste, mais comme globe trotter redresseuse de tort. Elle est chouette, Isabelle Fantouri: on aimerait bien l'avoir comme copine. mais elle a son copain Laszslo, un original un peu inventeur fou sur les bords. Un bonne BD pour ADO ou pour se détendre en s'évadant.
Chouette collection où on voit suite à un cataclisme palanétaire des personnages hybrides entre hommes et animaux et la façon dont ils sont acceptés ou pas par les hommes qui pose de façon intéressante le problème du racisme
La série captivante raconte l'émancipation d'une jeune aventurière depuis son enfance, qui repart souvent de zéro et réussit dans les affaires. Un peu comme Sulitzer lui même? Tout ceci avec le dessin merveilleux de Franz qui a commis tant de chef d'oeuvres
L'empire des soleils noirs est un rare chef d'oeuvre de la science fiction associée au roman psychologique. Il en va se même pour un grand nombre d'albums de la série dont certains se suivent par cycles. Le dessinateur parvient à présenter des décors surprenants avec un trait d'une remarquable esthétique.
S'ils pouvaient à nouveau en sortir encore 30!
A lire et relire volontier. scénario pétillant. Dessin noir et blanc très esthétique. Perdrait sans doute à être mis en couleur
dans ce monde glauque, on n'y vivrait qu'en y étant obligé, on y survivrait encore moins, mais ça se lit bien et le dessin est excellent.
Une petite merveille qui montre la force de rêve dont on espérait qu'elle régnerait au début des années 1970... esthétique très Peace and love de l'époque en lutte avec une dictature
Scénario tout a fait original et captivant d'une colonie extraplanétaire laissée à la dérive où l'on voit de jeunes gens en contact avec une équipe de biologistes qui ont découvert un secret extraordinaire dont voudrait s'emparer le régime dictatorial qui les traque. Dessin très bon, décors originaux et estéthiques
Un petit bijoux. Histoire désopilante au second degrès de bout en bout où l'héroïne, pas désagréable du tout d'ailleurs, devient héroïne à son insu, se retrouvant par maladresse à Cuba où elle commet par maladresse et par hasard une série d'action qui la font rechercher comme dangereuse espionne Américaine et lui permettent chaque fois de se tirer des situations les plus tordues tandis que les gens qu'elle croise ou qui la recherche s'en prennent sans qu'elle l'ait voulu plein les gencives...
Dessin très bon. Scénario pas mal, mais pas suffisant pour que je le consulte autrement qu'à la bibliothèque vui le prix
A lire absolument si l'on accepte de s'éloigner du politiquement et moralement correct qui correspond pile à l'année 2005 dans certains milieux enFrance. Très intéressant au niveau étude de civilisations lointaines et anciennes. Situation effectivement très différentes de notre monde actuel: belle occasion de s'y plonger dans une BD si l'on a pas pour autant envie dans vivre toutes les situations. Parfois très intéressant discours philosophique du "vieux sage" Nichiren, ce qui ne l'empêche pas d'avoir juste après un comportement d'une trivialité pusillanime surprenante.
La suite de l'impressionnant premier tome est d'un niveau de qualité très comparable, quoique peut-être légèrement inférieur.
J'ai un peu grincé des dents au début de l'histoire car le scénario fait preuve de quelques lourdeurs. Les personages que l'on découvre au début du récit sont confrontés à un bug informatique et les explications qu'ils évoquent sont malheureusement à côté de la plaque sur un plan technique (c'est une faute d'autant plus grave que l'auteur place ces explications dans la bouche de scientifiques). Mais, ces petits énervements sont vites passés et la suite renoue avec l'intrigue passionnante du premier épisode.
La forme très originale du premier volume est ici assouplie et c'est un choix heureux. En effet, malgré son caractère novateur, la forme initiale était assez figée et risquait de lasser si elle avait été reprise telle quelle.
Les dessins sont toujours magnifiques. S'il fallait vraiement comparer avec le tome précédent, je dirais que le dernier est peut-être un tout petit meu moins abouti, mais ce serait vraiment chipoter.
A noter qu'on a droit dans ce volume à une très légère touche d'érotisme du plus bel effet, sans aucune trace de vulgarité dans le dessin (ça nous change agréablement de la BD Heroic Fantasy, style "Xena les poils sous les bras").
En bref, une suite réussie pour une série toujours captivante.
L'aventure est géniale, le trait de dessin permet de poser et de rebondir sur l'excentricté du scénario. Bravo à Velhman!
On prend beaucoup de plaisir à lire cette histoire. Super pêche, on voit une série qui redémarre. Quel plaisir.
Le combat continu et l'issue est incertaine, et finalement se termine sur une egalité ( d'ailleurs je l'ai pas trouvé tres clair ce combat, j'ai pas tout compris :( ) , pour une fois le combat n'est pas spectaculaire.Musashi gagne le respect de tout le monde. Autre lieu, autre perso, on retrouve Matahuchi sous sa nouvelle identité qui retrouve sa mere, la phrase final augure un futur duel interressant.
Un tome de transition on va dire, notre petit groupe se rend à Eldorardo à la recherche de l'auteur du comics qui raconte la même histoire qu'ils leur arrivent. Sans suit une ptite intrigue avec les habitants du villages ou on en apprend un peu plus sur le "mal". Toujours aussi sympa à lire en plus le dessin de Ramos ne gache rien. La derniere case laisse plein de possibilité avec un nouveau personnage qui entre en scene.
premier episode avec Capullo aux dessins, le moins que l'on puisse dire c'est que sa ne perd pas en qualité. L'histoire prend une tournure interressante avec l'ancien boss de Simmons qui est choissit par les anges pour devenir un tueur de Spawn, il herite donc d'une armure et de pouvoir : un look terrible. Un terrible combat entre Spawn et l'ange commence donc, ou Spawn commence par prendre une bonne branlée.
Tome relativement calme avec le passé du vieux maitre de Otsu, Musashi qui doit vaincre sa peur de mourrir, il reussi en rencontrant le fantome de son pere. La revanche entre Ishun et Musashi peut donc commencer, mais leur garde est tellement parfaite que ni l'un ni l'autre ne peut attaquer, on a donc un statu quo tout au long de l'album mais la tension est presente. Encore un bon tome.
Histoire delirante avec Violator qui raconte son combat contre un Spawn il y a 800 ans, à 3 gosses ( ils les payent pour qu'ils l'ecoutent :) ). De leur coté Sam & Twitch continu leur enquete sur Spawn. Toujours agreable à lire.
Un premier tome plutot convaincant, un dessin vraiment accrocheur notamment de bonne scene de combats avec des ninjas, quand on voit les dessins on pourrait vraiment penser que c'est tout public ( d'ailleurs je l'ai trouver dans le rayon enfant ) mais l'histoire est assez sombre quand même : pas mal de mort et de sangs dans ce premier tome. Mis a part le heros difficile de savoir qui est du bon coté dans ce premier tome, d'ailleurs je trouve que "la descente au enfers" du heros est trop rapide, et je trouve que le heros est le perso le moins charismatique de l'histoire mis à part ce petit detail qui me chifonne c'est plutot sympa : de l'action et une bonne histoire. J'attend la suite.
Cette BD est un OVNI en provenance du Québec.
C'est original et tordu à souhait.
Le scénario est très simple. Un homme se promène dans un bâtiment. Il porte un costume noir et un chapeau melon. A la main, il tient une malette convoitée par certains. Pourquoi ?? On ne sait pas trop
L'originalité réside dans le mode de narration. Au départ, une case offrant au "héros" 2 issues. A la deuxième planche, la case unique se transforme en 2 cases. On suit alors le devenir du "héros" selon qu'il ait opté pour l'issue de droite ou pour l'issue de gauche. On a alors 2 histoires en parallèle. Ce principe se répète durant tout l'album. Les cases additionnelles s'ajoutent au-dessus, en-dessous, à droite ou à gauche selon les choix pris et les "obstacles" rencontrés par le "héros".
Malgré ces nombreuses histoires en parallèle, on arrive à suivre le fil de la BD. Mais la concentration est de rigueur.
BD époustouflante que l'on lit d'une traite pour connaître vite ce que va nous concocter l'auteur dans les pages suivantes. Malgré le fait que le même principe se répéte durant les 144 planches de l'album, l'auteur innove sans cesse et arrive à nous surprendre jusqu'à la fin.
Lisez, vous serez bluffés.
Ah, qu'il est fort ce duo Sfar-Trondheim. D'une voix-off aux mots simples et aux raisonnements primitifs, il nous livre un récit profond et sombre. L'histoire tragique de deux frères, Görk et Krag, soldats de la Géhenne et aveuglément dévoués au Grand Khan.
Une obéissance absolue aux ordres d'un supérieur qui par le passé à poussé des gens à ouvrir des robinets de chambres à gaz et qui dans ce tome surréaliste va pousser Görk à tuer son frère sans vraiment se poser trop de questions car son honneur et sa fierté de soldat sont en jeux. Une soumission absolue, un raisonnement absurde qui fait abstraction des liens fraternels qui les unis. Des actes dictés par des lois stupides qui conduisent à des démarches barbares et un Gork qui finira bourreau, mais également victime de ses actes.
La noirceur du récit se retrouve dans une colorisation sobre et triste. Je trouve le dessin de Bézian ("Ne touchez à rien"), sorti du contexte de cette histoire, plutôt mauvais. Un trait hachuré, une accumulation d'égratignures bâclées, c'est d'ailleurs le seul dessinateur dont j'ai gommé la dédicace tellement je trouvais le dessin mauvais.
Mais, bizarrement, ici ça passe. Peut-être parce que le dessin n'est qu'en arrière-plan de cette voix-off qui nous tient du début à la fin et que les éraflures de Bézian renforcent la noirceur du récit et la tristesse qui emplit le lecteur face à l'incompréhension, le gâchis et la bêtise de ces deux frères.
Bref, un excellent tome très sombre qui traite habilement de sujets profond (comme la mort et la religion) et dont graphiquement j'ai surtout apprécié le décalage entre le texte et l'image.
Livre assez mauvais et graphisme franchement débile.
Livre assez mauvais et graphisme franchement débile.
Sans peur Batman 11 et 12 :
Petite histoire sympathique qui vois apparaitre un nouveau joueur des plus mystérieux à Gotham. Globalement cette enquête est bien menée, l'intrigue se tient et on passe un bon moment mais elle ne vaut pas sitée brisée d'Azzarello.
Citée brisée - Batman 9 à 12 :
Les personnages, l'univers et l'intrigues sont vraiment très sombres ce qui colle parfaitement au personnage de Batman. L'intrigue est vraiment bien maitrisée du début à la fin et le suspense très bien entretenu. A aucun moment on ne se doute de la véritée sur cette triste histoire. De plus il s'agit d'une histoire où l'on nous montre bien que Batman tout super héro qu'il est n'est pas infaillible et que sont passé a beaucoup plus d'influence sur ses actions qu'on ne pourrait le croire, même si au fond celà ne me surprend pas.
Plus on avance dans la série et plus elle m'intéresse. En effet l'univers est intéressant, l'intrigue pred de plus en plus d'empleur et les personnages sont de plus en plus intéressant. L'évolution constante du tout promet encore de sacré bons moments. Au vue de la fin de ce troisième volume la suite va encore être passionnante.
Drôle et divertissant,
Vous avez déjà été dans une manifestation, alors cela vous rappellera de bons (ou surtout de mauvais) souvenirs.
Achdé caricature C.R.S. et manifestants en faisant ressortir leurs defauts. Et cela donne une BD pleine d'humour qui nous fait passer un bon moment. Cet humour est dû aux situations mais aussi au dessins très caricatural d'Achdé.
Pas grand chose à rajouter par rapport à ce qui a été dit avant. C'est un vrai chef d'oeuvre. Encore plus fort, plus beau et plus intense que le 1er tome. Les dessins sont merveilleux et l'histoire de plus en plus poignante avec de vrais personnages.
Dans la grande tradition du dessin poilant rock'n'roll, cet album est carrément rafraîchissant. C'est délirant, les tronches des extra-terrestres sont à se tordre et les deux héroïne bien sexy et énervantes à souhait. De la vraie BD punk de divertissement avec la seule prétention de faire marrer, et j'ai marché à 200% Etant fan de Riff et de son trait d'enfer,je ne peux que vous recommander "Purée cosmique" (rien que le titre, tout est dit, héhé!). A lire en écoutant les ramones, les Cramps et un schouïllah d'Alice Cooper.
Dommage, le scénario laissait vraiment entrevoir une bd de qualité, mais lorsqu'on rentre dans l'intrigue en elle-même il reste une dizaine de pages à lire... L'essentiel de l'ouvrage est donc consacré à la description de ce paradis sur terre, lieu clos coupé du monde (ces fameux "gated city") et surprotégé. Mais nous restons dans une bande dessinée et ce n'est qu'un survol rapide qui n'abordera pas les raisons profondes qui ont conduit à la création de cités de ce genre.
De plus le lien entre ce contexte et l'intrigue est trop faible et il n'y a absolument aucune surprise dans le déroulement du scénario. Ce qui arrive dans ce paradis pourrait arriver n'importe où ailleurs... des jeunes désoeuvrés en quête d'idéal.
Au final une lecture qui ne me marquera pas, sinon pour le graphisme qui est plutôt attrayant et réaliste.
Plus je lis cette série et plus je l'apprécie. En effet chaque lecture permet de mieux comprendre certains éléments de l'histoire et celà n'en est que plus passionnant. Ce tome 3 ne fait pas exception à la règle. L'intrigue est solide, bien développée et nous fait un peu avancer dans le monde mystérieux des joueurs et des cartes le tout sur fond d'Histoire et d'espionnage avec la baie des cochon et une tentative d'assassina de Fidel Castro. Bref de quoi passer un excellent moment.
Si vous avez aimé Voleurs de chien, vous aimerez Matilda Clarck. Les graphismes de Laperla sont toujours aussi clairs et percutants. Ici, c'est l'ambiance qui prime et la personnalité des protagonistes. Il nous narre avec beaucoup de légèreté les déboires de Matilda, jeune femme, qui voit sa vie chamboulée par le décès d'un proche dont elle ignorait jusqu'à l'existence. Un scénario simple, efficace et... surprenant.
On regrettera peut-être le manque de variété dans le dessin de Laperla, ses personnages ressemblant parfois un peu trop à ceux qu'on trouve dans son album précédent. A noter la couverture glacée, nouvelle ligne de la collection Blandice, qui fait de cet album est un très bel objet. Une oeuvre à lire, qui ne révolutionne pas le genre, mais qui vous fait passer un moment très agréable...
Dommage... l'idée étais bonne, le scénario intéressant et le dessin est ce qu'il est, personnellement il me plaît, mais un tome ne suffisait pas à raconter tout ce qui l'a était. Résultat : des idées non exploitées, et beaucoup ... une désagréable impression de rester sur sa faim
Vous avez beaucoup aimé les 3 albums précédents ? Vous n'avez encore rien vu ! Le tome 4 est au minimum succulent. C'est le meilleur de la série. Si vous ne l'avez pas encore acquis courrez chez votre libraire, installez-vous et ... dégustez !!!
Sceptique au départ je dois avouer que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette nouvelle aventure de Spirou et Fantasio. Que ceux qui craignent que leurs héros favoris se perdent dans un style qui n'est pas le leur se rassurent.
C'est drôle, ça ne se prend pas trop au sérieux, ça respecte les personnalités des héros. Que vouloir de plus ? Les dialogues ne sont pas inoubliables mais ils auront le mérite de vous faire rire. Les dessins de Yoann et le scénario de Vehlmann se complètent vraiment très bien (après c'est une affaire de goût).
Un bon début pour cette série, en tout cas un album qui m'a donné envie de lire les suivants.
Le 7ème arrondissement de Paris est un lieu de pouvoir. L'Assemblée nationale y cotoie les ministères tandis que les Invalides immortalisent les gloires du passé militaire. En véritable voyageur des villes, Séra a arpenté le quartier pour en donner une vision inquiétante. Avec Stéphan Polonsky il a développé un thriller sur fond de machination qui ne manque pas de références à l'actualité. A l'heure où des taudis brûlent dans certains quartiers de Paris, Secteur 7 a comme cadre principal une maison délaissée par ses habitants et réinvestie par un jeune architecte qui n'est pas au bout de ses découvertes.
Cet album vaut vraiment le détour pour son univers graphique très particulier et délicieusement glauque et étouffant. Séra travaille avec la peinture, la gravure et la photo et il réussit à travers son approche des scènes à vous plonger dans une sensation de malaise grandissant au fur et à mesure de la lecture. Si vous n'aimez pas la couverture, n'ouvrez pas le livre. Dans le cas contraire attendez vous à passer de longues heures ébahies par le travail des couleurs et des textures. Seul petit bémol, la construction photographique des cases casse un peu le mouvement des personnages et la lecture en devient moins fluide. Mais peut-être est-ce volontaire, chaque case étant un tableau à contempler en soi.
Côté scénario, il faudra s'accrocher pour tirer ses propres conclusion de tout cet enchevêtrement un peu rapide. Si l'ambiance monte progressivement, le dénouvement est à mon sens un peu précipité et vous n'aurez pas toutes les réponses aux multiples questions que vous vous poserez. Mais c'est aussi un peu le plaisir qui se prolonge une fois la bd refermée...
Un album introductif qui se lit avec plaisir. Les dessins sont beaux surtout pour les décors et les couleurs. L'histoire, pourtant de Matz, n'est pas formidable et il y a un problème de narration notamment dans la gestion du temps et de l'espace. En espérant que cela s'améliore dans le tome 2...
A.I. : Intéligence Artificiel, et non le nom de la jolie fille sur la couverture...
J'avais lu les "Love Hina" du même auteur et je me suis régalé en lisant sont ancienne série "AI Non-Stop" (car à l'origine, cette série a été fini avant Love Hina au Japon)
Plein d'humour, un brin sexy... Les personnages créés artificiellement par un jeune génie en informatique se voient passé de l'autre coté de l'écran suite à une surtantion durant un orage.
Chacun des tomes est accompagné d'une série d'interview de l'autreur, qui annonce dans le dernier livre qu'il avait pensé à une suite, mais que faute de temps (car au japon, cette série apparait dans un hebdomaire), il n'a pas peu la réalisé... C'est franchement domage!!! Car il y aurait pu avoir un bonne suite quand on lit le dernier épisode.
Le moins tome depuis le debut, la presence des Youngblood est superflu, ce groupe de super heros etant vraiment à chiez enfin on est obliger de faire avec et Spawn combat donc un de ces dernier : Chapel qui s'avere etre son tueur sans suit un combat violent. Episode tres moyen.
2 histoires dans ce tome dont une seconde sans interet qui ne s'inscrit pas dans la continuité, la premiere est quand à elle tres bonne avec un scenario de
Gaiman qui introduit un nouveaux perso : Angela un ange qui combat les Spawn à travers les âges.
Excellent album qui clôture admirablement ce second cycle. Les personnages sont de plus en plus intéressant et les situations auxquelles ils sont confrontés de plus en plus dangereuses et cruelles. Les personnages évoluent beaucoup dans ce cycle et la fin entraine une véritable révolution pour leur avenir ce qui promet des aventures vraiment palpitantes à venir. De plus rien ne leur est épargné et l'on ne tombe pas dans le "tout est bien qui fini bien" avec des méchants punis et des gentils qui s'en sortent miraculeusement sans une égratignure. Non la l'histoire est développée avec réalisme que ce soit en bien ou en mal avec la pertes de personnages assez attachant.
D'emblée on remarque le le trait a beaucoup évolué entre "Ceux qui ont des ailes" et "Fruits Basket" (de la même auteure). Le découpage est plus important et plus denses, les trames sont plus souvent utilisées dans "Ceux qui ont des ailes". Mais on retrouve déjà les caractéristiques des visages aux mentons et aux nez très pointus ainsi que le look de certains personnages (Dumas par exemple rappelle Ayame Soma de "Fruits Basket").
L'intrigue est posée dans ce premier volume. Kotobuki parcourt le pays pour trouver un travail, accompagnée de Raïmon. Tous deux font de nombreuses rencontres qui les amènent sur les traces de ces fameuses ailes exauçant tous les voeux. Chaque chapitre donne lieu à une nouvelle mini-aventure et l'avancée dans la recherche des ailes.
Le ton est plaisant, parfois badin, et on ne s'ennuie guère entre les questions amoureuses et les explosions ou autres acrobaties aériennes.
Un 3 eme tomes beaucoup plus captivant que les 2 premiers, normal c'est plus Van Hamme au scenario :) , c'est plein de rebondissement avec un scenario vraiment efficace qui laisse la part belle à l'action et ici pas de place pour les blabla inutile. Shelton a un contrat sur sa tete et sa va pas etre de tout repos. Efficace et distrayant. Serie qui est de mieux en mieux.
Epoustouflant ! J'ai lu les 5 tomes en 1 semaine. Je ne pouvais plus m'arrêter, j'avais besoin d'aller au bout, j'étais prise dans la fièvre qui animé Fukamachi et le sombre Habu.
Jamais je n'aurais pensé qu'un manga parlant de la montagne puisse tenir autant en haleine, éveiller autant de sensations et soit aussi intéressant et inoubliable. Comme les personnages, le lecteur se retrouve aggripé à la roche battue par les vents glaciaux. Fukamachi et Habu m'ont remué les entrailles. Si le premier est plus accessible dans ses sentiments, ses désirs, mon coeur est étreint par la force de caractère et la force plysique, crue, sans concession, du Loup Solitaire, Habu Joji. Il m'émerveille et me rappelle ces coeurs purs décrits pas Jospeh Kessel. Coeurs purs justement inaccessibles tout comme Habu dont la passion dévorante paraît incompréhensible.
Ce récit de dépassement de soi, de volonté, de lutte contre la nature hostile et pourtant familière m'a émue aux larmes. Par ailleurs, le dessin de Taniguchi sublime l'histoire, donne vie à la montagne, transporte. Inoubliable !!
Avis sur les tome 2/3. Histoire toujours interressante, un nouvel ennemi entre en scene, nos jeunes heros se decouvre des pouvoirs pour lutter contre les monstres, mais le mystere est toujours là. La derniere planche est assez bluffante avec la destruction de la ville malgré l'intervention des 4 jeunes. Toujours aussi efficace pis bon Ramos au dessins....
La couverture est vraiment splendide. L'histoire commence avec le massacre d'indigene par des mercenaires, 1 planche plus tard on se retrouve dans un marseille plus ou moins futuriste ou on suit une multitude de personnages : un couple de jeune, des gangsters, des flics qui enquetent sur les gangsters, "Bilou" que les gangsters recherchent. Pour le moment l'histoire est un peu flou mais le peu que l'on sait et vraiment bien traité et en plus le dessin est une reussite notamment le personnage de Bilou qui à un look terrible.
Premier tome vraiment interressant, un excellent recit d'espionnage dans une des periodes historique les plus interressantes, " la course poursuite" entre Benton et le francais est vraiment captivante. Niveau dessin c'est vraiment bon mais je trouve que le trait n'est pas toujours tres detaillé et de ce fait certaines planches ne sont pas toujours facile à comprendre au premier coup d'oeil.
35 pages pour elaborer un plan, on est bien chez Van Hamme, un peu longuet, heureusement la suite est vraiment mieux avec de l'action, des rebondissements et des surprise avec notamment la mort de plusieurs personnages. Les 20 dernieres pages rattrape le debut laborieux, Denayer maitrise tres bien les scenes d'action. Tome sympa.
C'est le combat final, dommage que le scenario ne soit pas à la hauteur des dessins sans faille, car niveau histoire c'est vraiment bordelique et incomprehensible
Ou est l'action des autres tomes ??? sa commence a devenir un peu trop calme, peu d'humour, peu d'action, Hojo manque t'il d'idée ??? ou est passé l'excellence des premiers tomes ?? Ce tome est clairement le plus mauvais depuis le debut. J'espere que la suite sera meilleur avec le retour de l'action parce que bon la sa vire un peu trop dans le melo :(
Le top du top :) toujours de l'action et de l'humour.
Encore une deception, mais ou est passée Duursema ??? ,niveau dessin c'est un peu juste, niveau scenario ce n'est pas toujours tres captivant malgré le fait que Mara est un personnage vraiment interressant : plein de charme et tres charismatique, l'histoire commence juste avant la mort de l'empereur, la main de l'empereur a une mission delicate à remplir, c'est bien traité mais sa manque de rythme et les persos mis a part Mara sont un peu terne.
Zalozabal a encore frappé ! J’avais découvert cet auteur hors normes avec l’excellente série « Du Grunge en génétique », avec Bayeto au scénario. Cette fois, il se lance seul dans une série de science fiction déjantée avec ce style inimitable qui l’identifie immédiatement : corps déformés aux membres disproportionnés,muscles saillants, décors torturés… On aime ou pas. Moi, j’adore. Les couleurs sont magnifiques, la mise en page brillante. L’histoire se déroule en 2018, sur une terre ravagée par les catastrophes naturelles et humaines. Un monde où se débattent des personnages meurtris par la vie : Doug, policier recherché par plusieurs gangs pour rembourser des dettes de jeu, et Laura, danseuse dans un bar sordide, qui doit s’occuper seule de son fils Andy, atteint de la « peste baveuse ». Cette nouvelle maladie étrange est au cœur de ce premier tome envoûtant auquel on espère une suite très prochaine.
Ce tome 2 est aussi sensationnel que le premier. Meilleur même. Les couleurs sont extraordinaires, avec un travail sur les reflets particulièrement soigné. Certaines planches sont de purs chefs-d’œuvre : découpage irréprochable, design inventif, action… sanglante ! L’histoire est violente, certes, mais non dénuée d’humour. Comme en témoigne la planche finale. On y apprend, entre autres, les circonstances de la mort des auteurs eux-mêmes, Zalozabal et Bayeto. Une façon de laisser entendre que cette série est terminée ? Dommage, j’aurais dégusté avec plaisir un tome 3…
Quel choc ! Au-delà de son titre, cette BD de science-fiction est effectivement une révélation. Le dessin est particulièrement original. Dérangeant, diront certains puristes. Car Zalozabal fait voler en éclats les canons du dessin académique. Son héroïne a un visage anguleux, un cou interminable, un corps élastique à la taille de guêpe, mais tout fonctionne : Umma est terriblement sexy. Les couleurs sont magnifiques. Le scénario est captivant. Peut-être un peu trop complexe quand même. Mais là aussi, ça fonctionne. On croise des personnages délirants, des monstres impitoyables. Umma se retrouve aux prises avec une multinationale de la génétique, une église totalitaire, une secte mystérieuse, la mafia russe, et j’en passe. Bref ! On s’amuse beaucoup. Un régal !
Actioner souvent bien bourrin, The Creech narre les histoires d'une grosse bébête créer par l'homme via quelques manipulations génomiques.
Des histoires certe un peu simplette mais qui ne promettait pas plus de chose ... Capullo, en toute modéstie, signe une mini série (avortée je crois ... sur 6 épisodes, 4 ont étés produits) efficace et fichtrement bien dessiné (publié chez Image ... so).
Ambiance bien huileuse et craspec, dessin magnifique (il a tout de même tenu le cap pendant un bon bout de temps sur la série régulière de Spawn - le Spawn avec les ailes d'ange c'est lui !!!) et scénar de série B ... un petit comics comme il fait bon d'en lire parfois ...
Le scénario emprunte aux contes traditionnels japonais et chinois. Celui qui en a lu ne sera donc guère étonné par le récit, son développement et son épilogue. L'intérêt réside donc essentiellement dans l'histoire de l'okiya et le mystère de son origine dévoilé à la fin de l'album. Comme dans les contes auxquels la BD s'apparente, la vérité a évidemment un goût doux-amer.
En cherchant à percer le mystère de l'okiya et de ses splendides occupantes, Yasunari remonte le temps à travers les récits des hommes qu'il rencontre et qui ont vécu une expérience semblable à la sienne.
Les conflits intérieurs découlant des questions d'honneur sont montrés mais finalement relégués en arrière-plan. Les autres sentiments : honte, jalousie, colère, vengeance etc sont traités de la même façon.
Le dessin de Jung est beau, maîtrisé. Les scènes érotiques sont montrées crûment (étiquette "pour public averti" sur mon album) mais l'émotion ne passe pas ou trop peu, sauf peut-être pour la dernière scène de ce genre (planches 59-60). En effet, ces scènes manquent de cette sensualité pourtant présente dans [i]Kwaidan[/i] ou [i]La jeune fille et le vent[/i]. C'est vraiment dommange surtout si on se dit que les belles occupantes de l'okiya sont après tout des fleurs habiles dans ses jeux.
Un second tome tout aussi excellent que le 1er car le dénouement se faisait de plus en plus pressant et haletant. Mais ça accouche finalement d'une petite souris... Un peu décevant. Ils ont choisi la thèse réaliste pour clore ce dyptique.
apres les émeutes dans LA ( lire tome 2 ), IAN se retrouve seul et comprend que le massacre des robots sur les humains révoltés a un lien avec ses hallucinations et decouvre qu'il est le responsable de cette tuerie !
dans ce tome 3, notre héros est recherché par l'armée pour etre "détruit" car les humains ont perdu son controle et IAN se connecte malgré lui a tout matériel lié au réseau planétaire pour donner ses propres ordres aux robots, tv et autres...connectés au réseau !
ses anciens coéquipiers sont peu présent dans cet album et vont jouer les traitres par obligation pour aider le chef de l'armée a neutraliser IAN...
on se fait une meilleure idée de ce qu'est le nôme, sujet des hallucinations de IAN, et on decouvre alors une nouvelle ouverture pour le scenario...
l'action est toujours au rdv et je trouve la qualité des dessins améliorée, le scenario est tres ouvert et me toujopurs envie de lire la suite.... j'adore ! :-)
bref j'attend le tome 4 avec impatience....
Et bien je ne sais pas comment elle fait, mais l'auteur m'a encore fait plus rigoler que dans les volumes précédants. On se prend tellement d'affection pour les personnages que leurs situations burlesques vous font sourire (souvent) ou exploser de rire (parfois).
En fait, chaque histoire étant indépendante, certaines sont excellentes, d'autres le sont moins.
Le dessin reste identique, c-à-d fonctionnel mais pas exceptionnel. Il suffit cependant à faire passer toutes les émotions des différents protagonistes.
Recommandé pour ceux qui passent le cap du graphisme ! Un univers riche, tendre et pervers (surtout pervers) vous attend !
Une BD bien dans l'esprit de Franquin et de ses Héritiers (tome 4). Ca fait vraiment plaisir de retrouver Zantafio et Fantasio de nouveau face à face. Cette BD est une bonne surprise.
Un bonhomme qui s'improvise capitaine de bateau, de surcroît pirate et qui fait passer sa vision des choses avant l'or et les trésors... peut provoquer des situations très drôles surtout quand le dit capitaine est à la tête d'une joyeuse troupe de pirates qui ne rêvent que d'or et que l'ancien propriétaire veut récupérer son ancien bateau. Une BD qui se laisse lire et dont on attend le troisième tome avec impatience pour savoir où veut en venir ce capitaine si étrange qui repeint même son perroquet.
Une BD bien ficelée, le dessin est bon, le fil de l'histoire est classique.