Les avis de la bedetheque

Ce que j'aime dans cette BD c'est la mythologie. La destinée presque tragique de ce héros accompagne le lecteur dans la découverte d'aventures extraordinaires qui relient à la fois le moyen age et la science fiction. C'est un sacré succès.

J'avias beaucoup aimé le premier tome malgré la piètre attention que je porte et BD animalière mais celui là continue une série fantastique. Bravo.

Il fut un temps où je lisais pas mal de bd historiques. Puis, je dois avouer que je me suis un peu lassé. Je pense que cette lassitude est venue à cause du coté parfois trop encyclopédique de ce genre de récit.

Pourtant, en feuilletant Le Ruistre, ma curiosité a été interpelée par plusieurs points. Tout d'abord, nous sommes, ici, plongés en plein Moyen-âge, certes, mais dans une période indéterminée. Ensuite, notre héros est un vrai méchant, le genre de gars qu'il faut mieux éviter de côtoyer. Un autre élément qui m'a frappé c'est l'emploi du vieux francais. C'est à la fois très curieux et intéressant même si parfois cela vous oblige à une concentration plus soutenue.

D'un point de vue scénaristique, Jean François Kraehn (Gil St André) nous offre une histoire plutôt bien écrite. Les personnages sont décrits avec beaucoup de crédibilité. Cela les rends parfois attachant ou parfois répugnant à l'image du héros qui, au fil de l'histoire et contre toute attente, se révèle plus humain.
Ceci-dit, ce sentiment est peut-être dû au fait qu'on s'habitue tout simplement à sa malveillance. Mais une chose est sûre, on n'est pas insensible à sa destinée.

Graphiquement, le dessin de l'auteur est irréprochable. Il faut dire que le dessinateur n'est pas un débutant dans le métier. De ce fait, son traît est d'une grande précision à l'image des décors qui sont remarquablement dessinés.

Le Ruistre est une série historique que je conseille pour sa qualité et surtout pour son originalité.
A suivre !

Pour l'instant, probablement le meilleur de la série qui n'a d'autres buts que raconter encore plus de conneries. ça remplit parfaitement son objectif de délire bien futile.

Scénario anecdotique qui se laisse toute fois lire avec un énorme plaisir comme d'habitude. C'est série reste le top pour atteindre son objectif, à savoir divertir.

C'est très pipi caca mais c'est quand même efficace...

Un personnage attachant (philippe), avec son coté décalé durant cette période sombre. Une fille séduisante (Rosa), et les vapeurs du vin espagnol. Les conditions idéales pour que notre "héros" se questionne et nous questionne sur le "sens de la vie". Des airs de ressemblance avec le combat ordinaire.

A quand la suiiiiiiiiiiiiiiiiite ???????????????????????

Et bien, voici une nouvelle série qui, à mon avis, ne va pas passer inapercue. Séduit par le dessin, j'ai acheté le premier tome sans hésiter. Le résultat est à la hauteur de mes espérances, que demander de plus !?

Le scénario de Sylvain Runberg est vraiment bien foutu. Après une petite introduction nous dévoilant un peu le passé de notre héros, nous voilà plongé dans l'espace intersidéral, au milieu d'une multitude de races extra-terrestes tout aussi interessantes les unes que les autres. Sans fioritures, on nous fait participer à l'entrainement d'une équipe de négociateurs qui ont pour mission de régler certains problèmes délicats. L'histoire est dense et beaucoup de tiroirs sont encore à ouvrir, ce qui nous permet d'imaginer une suite palpitante.
Sans crier au chef-d'oeuvre, le scénariste nous fait partager une aventure riche, interessante et dépaysante, ce qui n'est pas à négliger !

Le dessin de Serge Pellé ne passe pas inaperçu. Je trouve que son style est raffiné et expréssif. C'est d'ailleurs cela qui m'a convaincu d'acheter cet album.
Les couleurs, quant à elles, me font un peu penser à celles que l'on retrouve dans les albums de Gimenez ( Le Quatrième Pouvoir, ect... ).

Orbital est une réussite, c'est indéniable.
Si vous aimez la S-F, vous ne serez pas déçu. C'est à suivre !

C'est très bon mais pas irréprochable. L'intrigue suit trop de personnages à la fois, de manière quasi simultanée, et à divers endroits. Ajoutez à cela, des personnages qui se ressemblent et le tout devient de plus en plus confus à mesure que l'histoire se complique. Reste de superbes dessins collant bien à l'histoire avec notamment de superbes gros plans peu orthodoxe. On sent que le scénario veut nous emmener de plus en plus vers le fantastique. Une série à relire pour bien comprendre, ce qui n'est pas plus mal...

j'ai mis "5/10 : Pas mal" car je pense qu'il faut habiter la région, comme moi, pour apprécier cette BD. Bien entendu, on peut tous s'émouvoir devant tant d'injustice mais les références permanentes à la région (les lieux, le RC Lens et ses anciennes gloires, ...) fait que l'on ne pourra pas autant accrocher à mon sens si on n'est pas d'ici...
Le dessin est agréable, le scénario catastrophique bien sûr... Je plaisante... ;) C'est bien écrit, clair, ...
Alors, pas de méprise : je trouve la BD très intéressante mais probablement pas très "plaisante" pour les non Chti. En tant que Chti : 10/10 !

Mais où vont s'arrêter ces artiste de l'humour ? Sur cet album je ne dirai que ceci AHAHAHAHAH ENCORE! le trait est plus travaillé et même si le scénario n'est pas la qualité principale , il reste néanmoins efficace pour une franche partie de rigolade! N'hesitez plus l'humour Bédéiste a un nom RATAFIA.Au fait il n'est pas indispensable de résumé à chaque fois l'histoire cela n'a pour moi aucun intérêt puisque c'est déjà fait par des professionels .Bonne lecture!

Enfin, il n'en fallait pas plus pour retrouver le goût de la vie et dire non à la drogue! Cette BD est tout simplement abracadabrantesque, drôlissime , hilarante et je vais arrêter là pour les qualificatifs à 2 euros. Bon les jeux de mot , les desinns faussement naïfs et des couleurs vives font de cette B.D un chef d'oeuvre de l'humour comme il en existe peu dans le monde la B.D. L'absurde est de retour saisissez-le! ne le laissez pas s'envoler. Riez mes amis Ratafia vous redonnera toujours le sourire!

Pourquoi donc ne connaitrons nous jamais la suite ?

Un recit qui mele aventure, espionnage , action, surnaturel et sentiment. C'est vraiment agreable à lire avec un intrigue solide, des personnages attachant et avec du caractere. On suit donc les aventures de la famille Cazenac, sa commence en pleine premiere guerre mondiale en france pour se terminer en Russie. Le dessin de Staelner est comme toujours tres agreable. Bon premier cycle, j'espere que la suite sera à la hauteur.

C'est hallucinant, le dessin à 25 ans et il n'a pas pris une ride, Swolfs est vraiment un des meilleurs dessinateur de sa génération. Niveau dessin c'est donc du tres haut niveau avec notamment la fussillade final avec le fameux duel digne des meilleurs western. Le scenario est ultra classique Durango arrive dans une ville ou les mechants font la loi et il va regler les problemes, c'est un bel hommage au western spaghetti, Durango tel le Clint Eastwood de la trilogie des Dollars est un heros sans faille. Fan de western cet album est fait pour vous.

Bon je commence par le seul point " negatif" l'histoire en elle même n'est pas des plus originals, mais la violence et l'humour sont là pour rattraper le niveau et c'est totalement jouissif. C'est dynamique et sans temps mort, l'action s'enchaine avec des dialogues percutant et savoureux, les repliquent assassines fussent. Niveau dessin on sent une réel maitrise des scenes, sa mitraille dans tout les sens. Excellent premier tome. Les couvertures originales à la fin de l'album sont magnifique.

Un des meilleurs "episodes" depuis le debut, l'action se deroule tout juste avant le tome 1 et pendant la terrible bataille de Sekigahara, on assiste ainsi à une surprenante rencontre entre Sasaki et Takezo qui vont etre allié pendant un combat tres violent à leur coté on trouve le nouveau compagnon de Kojiro. Un excellent tome ou Inoue fait preuve d'un incroyable maitrise tant au niveau du dessin que du scenario qui apres 18 tomes et toujours aussi passionnant.

Les premieres pages sont une fois de plus magnifique avec un rouge vif dominant, le duel Spawn Cygor a lieu, l'identité de ce dernier est aussi devoilé, pour le spawn 30 on retrouve les gosses rencontré par Spawn en Alabama qui essaye de retrouver Spawn et qui ne vont pas etre déçu du voyage. Cyan est par la suite enlevé par Violator et une nouvelle confrontation entre Spawn et Violator va avoir lieu.

Un second tome qui confirme ma bonne impression du premier, l'enquete laisse sa place à une vendetta du heros. Le noir et blanc renforce l'ambiance on se croirait en plein polar des années 50. Agréable à default d'etre original. La voix off présente tout au long apporte un petit plus sympathique. Niveau dessin le trait de Vervisch est sans faille. Au final un ptit dyptique sympathique

Bon le dernier scenario de qualité de Crisse date donc de 2002 ( sa commence à faire long ). Le passé du personnage le plus charismatique de kookaburra, j'ai nommé Dragan Preko. L'histoire est bien ficelé avec des personnages interressant, en plus de Dragan on trouve donc des mechants : pirates de l'espace au look terrible, un sniper de l'alliance et les amis de Dragan, tout ce petit monde se trouve sur la planete des glaces ( dans le meme genre que celle de Star Wars ), la fin est bien foutu avec un denoument inatendu. Niveau dessin rien à dire Mitric assure vraiment et s'en sort à merveille pour les scenes d'action.

Bon le dernier scenario de qualité de Crisse date donc de 2002 ( s

On assiste au duel entre Sasaki et Denshichiro ( le futur adversaire de Musashi ), on decouvre alors que ce Denshichiro etait à l'epoque un lache et qu'il etait peu sur de lui, Sasaki va tuer sans pitié ces adversaires. Ito et Sasaki font desormais route ensemble à la recherche de combattant contre qui se mesurer. Ce Sasaki est un personnage vraiment dur à cerner.

Une couverture vraiment magnifique, dommage que le dessin à l'interieur ne soit pas de la même qualité ( mais sa reste agréable ), niveau histoire c'est un bon gros tome d'introduction avec présentation des 3 personnages important de l'histoire et notamment de la belle Marie qui prend une toute autre ampleur avec la derniere planche. C'est bien ficelé mais trop peu d'element sont donné dans ce premier tome.

Un deuxiemen tome qui confirme ma bonne impression du premier tome, c'est un peu mieux, bon niveau dessin c'est tout de même assez inegale et par moment les tetes surtout asphodele ne ressemble vraiment à rien. L'histoire devient plus interressante avec notre belle heroine accusé de meurtre à tort, on suit donc la belle qui à des ptits tracas puis tout s'enchaine dans les 10 dernieres pages et à la maniere de la serie 24 termine sur un terrible cliffhanger qui donne vraiment envie de connaitre la suite. Au final pour le moment je trouve cette serie beaucoup plus interressante que la serie Asphodele.

Bon je donne mon avis sur le crossover entier, alors niveau dessin sa va du tres bon avec Madureira notamment au tres mauvais ( l'episode avec Hulk et Cable ) niveau histoire sa touche donc tout l'univers marvel, certains passages font remplissage et ne servent à rien mais dans l'ensemble c'est plutot bien foutu notamment avec l'identié inatendu de Onslaught, certains passages sont carrement enorme : la baston final surtout ou Fatalis vient donner un coup de main est vraiment culte, la fin avec la "mort" des Vengeurs et des FF est quand à elle inatendu. Un bon crossover dans son ensemble.

Un premier tome vraiment interressant avec un dessin de qualité ( tres detaillé ) et un scenario surprenant et captivant, l'intrigue est rudement bien mené.

On continue à s'interresser à la vie de Sasaki qui à desormais 17 ans, son vieux pere ne veut toujours pas lui enseigner l'art du sabre au desespoir de Kojiro. Ito refait son apparition et va prendre Sasaki sous son aile. Un recit toujours captivant mais la presence de Musashi manque tout de même un peu.

McFarlane aux scenario et aux dessins, il revolutionne le dessin de la serie avec spiderman qui prend une toute autre envergure (les yeux, les
mouvements tres fluide /musculature/la texture de la toile qui est une reussite visuelle ). L'univers devient sombre limite glauque, ici pas les blagues habituel de Parker quand il se bat c'est violent et sans humour, la mise en scene et le decoupage est aussi parfaite, en fait le seul probleme c'est le scenario d'une pauvreté acablante, l'histoire peine à etre interressante, dommage McFarlane est vraiment capable de mieux.

La grande rencontre entre Spawn et Al à enfin lieu et elle remplit largement toutes mes attentes, McFarlane a vraiment bien du penser à comment gerer ce passage important, comme prévu il vont donc s'allier pour aneantir Wynn. Un episode indispensable.

On retrouve notre cher Lincoln flic et bedonnant ( je l'ai d'ailleurs pas reconnu tout de suite ), le recit est toujours aussi drole mais je l'ai trouvé un poil moins bon que les autres, enfin sa reste bon tout de même. Le diable aurait merité une presence un peu plus importante.

Suite et fin de la missions avec les dinos ou notre heros s'en sort une fois de plus avec les honneurs. On retrouve ensuite la vie tranquille de Kei mais de nouveaux ennemis font leur entrer et ils ont l'air pas tres gentil :) encore un excellent tome mais malheureusement sa ce lit trop vite :(

Avis des numeros 34 à 36 avec 3 histoires au programmes : la meilleur etant celle avec Wolverine, drole et rafraichisante apres les terribles evenements survenu auparavant. On a aussi une histoire sympathique avec la torche des FF. Ce mag se maintient à un tres haut niveau.

Stan lee reinvente Catwoman, bein le jour ou il a decidé sa il aurait mieux fait de rester coucher. C'est vraiment pas terrible, notre catwoman n'a plus rien à voir avec l'original elle ressemble plutot à Spiderman, les dialogues sont nian nian et les personnages qui gravitent autour de Catwoman sont tous plus inutile les uns que les autres, reste le dessin impeccable et magistral de Bachalo qui sauve cette histoire de la catastrophe. Enfin y manque quand même un scenario.

Comment Cothias, auteur génial des 7 vies de l'épervier, entre autres, a-t-il pu commettre cette daube? Aucun poncif ne nous est épargné, le scénario est d'une indigence crasse et les dialogues sont totalement inintéressants. Le genre de BD qu'on regrette d'avoir acheté. C'est le début d'un cycle?
Ce sera sans moi...

Etant un passioné des civilisations precolombiennes, j'attendais ce premier tome avec impatience, et je dois dire que je ne suis pas décu. Si la solidité historique est incritiquable dans le sens ou il s'agit belle est bien d'une fiction, et que toutes les libertés peuvent etre alors prises, le scenario est fluide et dépeint un tableau assez réaliste en revanche des rivalités internes entre les tribus avant le débarquement espagnol. Les auteurs ont eu le bon gout de ne pas tomber dans le manichéisme de base. Les deux centre du pouvoirs rivaux apparaissent autant detestable l'une que l'autre. Les vraies victimes étant dès lors plus les populations locales ( en référence au massacre des premières pages). La violence et la dureté du scenario impose toutefois un public averti, certaines scenes étént très dures psychologiquement. Le personnage principal est l'archétype meme de l'anti-héros déterminé et revanchard et provocateur, ce qui ce qui en dit long sur ce sentiment de mépris et d' humiliation ethnique que la population dominante a du exercer... (le second personnage n'apparaissant plus que pour souligner les défauts du premier, a mon avis). Il en dit toutefois peut etre trop peu sur la maladie, sur ce qu'en pense les matadores, sur le passé des personnages ( el capitan a l'air assez travaillé pour le peu qui en est dit). Ce qui ne peut laisser présager une suite sans interets ni rebondissements...
Le dessin est magnifique: les teintes servant a bien différencier les deux mondes (des espagnols au couleurs brunes et rouge, et des indiens aux couleurs vives), les décors tropicaux sont splendides, avec toutefois un vert de fond un peu trop vif pour certaines situations et quelques esquisses qui semblent inachevées. L'ensemble reste cependant très agréable a lire et intéréssant car le dépaysement est bien présent. Un tres bon premier album donc, a recommander aus fans de civilisations precolombiennes, ainsi que pour l'interet principal de ce premier tome: celui de casser les images toute faite de la colonisation espagnole qui reste évoquée par de multiples references ( débarquement, construction de villes). Attirant et attrayant. A suivre....

Très bonne suite et fin, on a attendu et on la eu en espérance avoir une autre enquête, pour l'ensemble des deux tome bravo

Petite correction, le tome 4 ne sera pas le dernier tome :) ^^ !

Le tome 5 : le lion des mers, terminera la série... tu auras donc la joie de revoir la jolie dread bientot dans le dernier tome :D !

Reprenant l'intrigue là où se terminait le premier tome, les auteurs invitent leurs lecteurs à poursuivre de façon parallèle les aventures de Floyd Whitman sur deux périodes de temps distinctes, mais étroitement liées. La première permet de retourner en arrière dans les années 70, en plein guerre froide entre les États-Unis d'Amérique et l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques, afin de découvir l'origine les intervenants, toujours présents et activement impliqués dans la deuxième époque, soit en 2003, au lendemain des élections présidentielles.

Avec un coup de crayon convaincant, Hughes Labiano illustre ce nouveau tome d'espionnage imaginé et scénarisé par Stephen Desberg. Vu la complexité de la trame formant l'enchaînement des faits et événements de l'histoire, et compte tenu de sa présentation selon un découpage pouvant parfois porter à la confusion, il est fortement conseillé au lecteur désirant aborder cet album de relire la première partie de cette aventure afin de se rafraîchir la mémoire avec toutes les précisions divulguées antérieurement au niveau des complots et des relations entre les protagonistes. En ce qui concerne le développement de l'histoire en tant que telle, celle-ci continue son cours avec une évolution lente et précise, telle une bonne partie d'échecs entre deux stratèges habiles.

En résumé, cet album est toujours aussi intéressant que la première partie, et plaira tout aussi bien aux amateurs d'intrigues d'espionnage à la Gorky Park!

Dans toute série il y a des hauts et des bas c'est assez normal et dans celle ci maintenant on a bien vue les bas (on pouvait pas les manquer de toute façon même si on l'avait voulu) et il serait enfin temps de passer aux hauts. Ce n'est hélas pas encore dans ce volume que le niveau va s'élever car à part avoir une situation style "oh des méchants ben on va foncer dans le tas... Zut ça marche pas ben faut trouver autre chose... Pffff va encore falloir réfléchir dur dur d'être un héro" on a pas grand chose d'autre. C'est niais au possible, pas vraiment drôile et même si l'intrigue a un bon potentien ce dernier est soit mal développé soit tellement dillué dans l'action 100% testostéronne qu'elle en disparait. Bref on s'ennui, on s'ennui au point que même moi n'ayant jamais abandonnée de série je songe sérieusement à arrêter les frais car avec 1 tomes sur 4 ou 5 à peu près pottable ça fait très peu même trop peu.

Volume très important pour l'intrigue qui voit le premier face à face entre Guts et les God hand ainsi que l'explication de la haine de Guts envers Griffith (que l'on voit dans les trois premiers tomes). L'intrigue est toujours extrêmement bien développée et les rapports entre les personnages sont toujours plus complexes. Bref un excellent moment.

Cette série est vraiment paradoxalle. On en est à 52 tomes toujours en cours au Japon avec une intrigue qui n'avence qu'extrèmement lentement (à la vitesse où ça va on va surement dépasser largement les 100 volumes) mais les personnages sont toujours aussi drôle et attachant. Si on rajoute à celà le talent de Conan pour se mettre dans des situations impossibles c'est généralement très drôle. Après il y a les enquêtes à proprement parlé et ici elles sont plutôt de bonnes qualités et tiennent bien en haleine (mais l'humour joue aussi un rôle essentiel) ce qui fai que j'ai bien accroché et que j'attend le suivant pour connaitre la suite de la dernière enquête se situant dans le passé de Conan à l'époque où il était encore lycéen.

Bref un bon moment mais il faudrait quand même songer à conclure.

C'est avec un immense plaisir qu'on découvre la suite de cette série démarrée sur la chapeau de roue avec un tome 1 magnifique. Le second tome est "presque" tout aussi bon. Presque, car le mode de narration en flash back peut toute fois être contestable car il éventre le suspens concernant le sort du grand père dans ce tome. De plus, ça n'apporte strictement rien au récit. Les couleurs réalisées par informatique sont aussi contestables à certains moments par leurs choix et la clarté d'ensemble. Cependant, l'intrigue reste très bonne notamment avec un scénario qui prend des tournures imprévues car plus compliquées que prévues. De nombreux parrallèles avec l'obscurantisme religieux actuel peuvent être établis. Une série à suivre avec bonheur, vivement la suite évidemment.

Un album N&B qui nous permet d'apprécier encore plus la maestria du dessin de Christophe Blain. Décidément un génie...

Ah mon dieu, on ne sy retrouve plus du tout avec toutes les séquels de nos héros favoris.... ce n'est vraiment pas très bon. A un moment donné faut arreter ce qui n'est que purement commercial.

Je trouve que le scénario est plutôt sympa notamment parcequ'il s'attache pas mal à la présentation et la psychologie des personnages, bons où méchants, et de leurs relations entre eux. J'aime les dessins de Delitte surtout pour les décors et l'ambiance ultra réaliste mais il n'arrive toujours pas trop a différencier les visages de ses différents personnages comme dans "les nouveaux tsars" d'ailleurs. Il ne fait pas non plus de beaux visages pour les femmes (elles ont toujours un coté masculin très prononcé). Ceci m'a géné.Cette BD est un bon prologue pour le film car il s'attache à résoudre une petite affaire (certes, pas très ambitieuse) en lien direct avec l'affaire résolu dans le film.

J'ai acheté les trois d'un coup, donc j'ai pu lire en seul coup toute l'histoire.
C'est une bonne série très agréable à lire, il y a de très bonnes idées et les personnages sont assez attachants.
Je regrette juste la fin qui aurait mérité quelque développements supplémentaires, on regrette un peu de laissé tout ce beau monde la sans vraiment savoir ce qu'il vont devenir.
Les dessin sont très agréables et détaillés le changement de dessinateur ne m'a pas vraiment choqué.
Bon série à lire d’une seule traite.

Après Ultra dans le registre des super héroïnes, les frères Luna embrassent le fantastique et le moi que l'ont puisse dire c'est que c'est plutôt une réussite.
Malgré un panel de personnages assez stéréotypé (pour le moment), les idées présentent sont plutôt intéressante voir carrément culotté.
Je trouve que par moment le dessin est inférieure a celui d'ultra mais il reste très réussi.
Il est a espéré que la suite affine les caractères des personnages et que les bonnes idées présente ne s'éfronde pas.
Un bon début pour une série.

Alors que le cycle de Las Vegas semblait terminé après le huitième tome de la série, voilà que les auteurs reviennent avec une merveilleuse double surprise pour ce neuvième tome. En effet, non seulement est-il possible aux nombreux amateurs de cette excellente série d'apprécier à nouveau les aventures de Dottie, mais en plus, ce dernier opus est disponible sous deux formats! Le premier continue selon la maquette régulière des autres de la série avec le dessin de Philippe Berthet rehaussé de la mise en couleurs de Dominique David, tandis que le deuxième permet au lecteur de se régaler à la vue des planches en noir et blanc de Berthet avec, en bonus, huit dessins inédits en couleur insérés judicieusement entre les pages de l'album.

Ce neuvième tome scénarisé par Yann est un régal tant au niveau de l'aventure que par son esthétique visuelle. L'intrigue double, typique de cette série, est toujours au rendez-vous et le dessin de Philippe Berthet laisse supposer qu'il est au sommet de sa forme!

Donc, en résumé, quelle que soit la version choisie ou préférée de cet album, ce titre est l'un des excellents albums qui ont été offerts par Dargaud en fin d'année 2005, et plaira à tout amateur de polars et de dessinateurs talentueux!

Après le décès de son père, Marco aide sa mère à faire le rangement dans les objets personnels du défunt. Parmi ceux-ci se trouve un cahier de notes de deux cent pages dans lequel il peut lire des commentaires relatant la vie des souris et des hirondelles entourant la maison. Tous datés, ce commentaires font abstraction totale de Marco et de son frère. Cela ne fait qu'ajouter à la perplexité de celui-ci face à la mort, à l'incompréhension qu'il a envers la nature profonde de son propre père, et pour couronner le tout, Émilie veut un enfant!

Tout comme c'était le cas avec le dernier tome de cette série, Manu Larcenet offre à ses lecteurs une oeuvre touchante, émouvante et attendrissante. En lisant ces 62 nouvelles planches, en parcourant les scènes qui se succèdent merveilleusement, en lisant les textes pertinents et en remarquant les moments de silence bien choisis, il est impossible de se sentir inintéressé par le parcours des protagonistes, et une envie de prôner et de promouvoir le remarquable travail de l'auteur s'en suit indéniablement.

En bref, cet album est une nouveauté indispensable, à lire et à relire, qui vivement conseillé à un lectorat mature, et qui fait réfléchir à ce qui est précieux dans la vie.

Un album complètement éclaté où chaque planche nous amène sur un chemin tortueux. L'annexe écrite qui raconte les circonstances de la création de la bd aide beaucoup à saisir le contenu parfois franchement éreintant mentalement...Un cauchemar hallucinant!

On en ressort un peu échevelé; un one shot qui se démarque par son originalité, son côté très sombre et le malaise qui en découle. La poésie est omniprésente malgré le ton inhumain. Les couleurs délavées sont sublimes pour une anticipation très dérangeante...

Le point fort de cet album est le dessin qui vous replonge dans l'univers de Tillieux. Dommage que le scenario ne soit pas à la hauteur. Une incompréhension : on trouve dans l'album à 2 reprises une diatribe anti Sarkozy, limite nauséabonde (le ministre est qualifié de nabot...). On a le droit de ne pas apprécier Sarko, mais je ne vois pas ce que ces propos viennent faire dans une BD de ce genre. Pour ça il y Libé ou l'Huma, et je n'ai surement pas acheté cette BD pour y voir exposer des opinions politiques, qui plus est de cette manière.

Je trouve sa tellement laid qu'il ma été impossible de lire plus de 15 pages, on dirait que j'ai raté quelque chose de bien.

Aie Aie Aie, quand le commercial prend le pas sur l'artistique et bien voila le résultat. Le dessin est sympa ( même si je préfère le coup de crayon des nouveaux tsars ) et l'intrigue faible. Dommage l'idée était bonne et une idée ne suffit pas à faire un album,

Excellente suite au 1er tome d'Alim le tanneur. Exilé de l'empire fanatique où il vivait, Alim, accompagné de pépé et de Bul arrive dans une autre région très typée tibétaine, où il redécouvre une vie paisible, mais ses poursuivants ne sont pas loins et ne tardent pas à le retrouver...

le scénario est excellent et le dessin est toujours aussi réussi. C'est décidément une série à ne pas manquer !

Avec plusieurs séries récentes à grand succès se déroulant toutes lors de la période de la renaissance, Dargaud étoffe, une fois de plus, son catalogue d'une nouvelle série de qualité dont les événements ont eu lieu sur le vieux continent quelque 14 années seulement avant la fondation de la ville de Montréal (autrefois Ville-Marie) en Nouvelle-France.

En effet, les auteurs Éric Corbeyran et Nicolas Hamm permettent au lecteur d'effectuer un saut dans le passé et de se retouver en plein durant la guerre de 30 ans, afin de suivre l'évolution des trois descendants d'un trio de personnes ayant été secourues par Michel de Nostre-Dame, dit Nostradamus, et à qui ils ont fait le serment de protéger un secret. Illustrées avec un style de dessin réaliste, les planches de l'album travaillées par Grun offrent un réel spectacle visuel et guident le lecteur à travers une intrigue intéressante au développement lent.

En bref, un très bon nouveau titre qui plaira tout particulièrement aux amateurs du dessin de Jacques Lamontagne, artiste de la série Druides chez Soleil.

En 1561, Michel de Notre-Dame, mieux connu sous le nom de Nostradamus, sauve trois naufragés de la peste et, en échange, leur fait prêter un étrange serment. Soixante et sept ans plus tard, leurs héritiers, Joachim l'alchimiste et médecin personnel du Cardinal, Walaya l'aventurière depuis peu capitaine du navire de son père, et Érik le mercenaire, condamné à mort pour mutinuerie, se rencontrent de façon tout à fait fortuite et forment, bien malgré eux, la conjuration d'Opale. C'est ainsi que ces protagonistes en viennent à s'allier afin de découvrir l'origine des trois opales qui les lient, tout en fuyant la geste mystérieuse qui les traquent.

Les scénaristes Éric Corbeyran et Nicolas Hamm fournissent un deuxième scénario où l'omniprésence de faits et personnages mystérieux n'est interrompu par instants que par des scènes de combats adroits ou de poursuites haletantes. Grun, de son vrai nom Ludovic Dubois, semble parfaitement dans à l'aise à dessiner et mettre en couleurs cette aventure sur ce canevas historique et contribue avec brio à raconter un histoire passionnante au déroulement progressif.

En résumé, un deuxième tome tout aussi intéressant à lire que le premier opus. À conseiller plus particulièrement aux amateurs des séries axées sur les sciences occultes.

Après un excellent départ avec un premier tome riche en événements et en bouleversements, voici que Georges Bess présente la suite de l'histoire de Pema Ling, une jeune fille déguisée en garçon qui vit secrètement sous le prénom masculin Tilén parmi les moines tibétains, et qui bénéficie extraordinairement de l'enseignement d'un art de combat qui leur est réservé.

Malgré plusieurs années passées dans cet havre de paix et de méditation, le coeur courroucé de Péma Ling n'a toujours pas trouvé de paix intérieure, mais démontre plutôt un état de haine renfermée et ainsi, un désir de vengeance y loge, inébranlable. Cet état d'esprit l'amènera à commettre un acte irréfléchi aux conséquences malheureuses dont elle devra prendre responsabilité, et quitter le monastère en quête de plantes médicinales afin de tenter de racheter son geste gratuit.

En résumé, ce deuxième tome de la récente addition aux catalogue de la collection Repérages de Dupuis offre un moment de lecture sérieuse aux lecteurs préférant les séries aux scénarios historiques remplis de finesse. Le dessin de l'auteur est toujours aussi prenant et convient pertinemment au cadre de l'histoire.

génial !!! à lire absolument ! les intrigues, les dessins sont biens faits, les suspens aussi ! surtout à la fin de chaque tome, y a une coupure dans l'action, et on veut toujours acheter la suite ! si vous voulez de l'action, lisez ce manga.

On aurait aussi pu écrire sur cet album :
Le Tombeau s'inscrit dans la lignée des séries B déclinant la thématique des maisons hantées, en y apportant une bonne dose d'aventure. Bref, un pulp à l'ancienne ou un petit film dans le ton de "Indiana Jones et la Maison hantée".

En 1922, Lord Carnavon finança l'expédition égyptienne qui mit à jour la tombe de Toutankhamon. Alors que la malédiction de ces fouilles est bien connue, le nom de Mathias Fowler est totalement tombé dans l'oubli. Fowler, l'américain de l'équipe, avait toujours été obsédé par l'ancienne Egypte et lorsqu'il regagna les Etats-Unis, ce fut avec de nombreux artefacts dans ses bagages.
Fowler était tellement dévoré par son obsession qu'à sa mort, il se fit enterrer avec ses serviteurs dans les sous-sols de sa demeure, reproduisant ainsi le rite des pharaons et transformant sa résidence en une version moderne des tombes de la Vallée des Rois.
Près de 60 ans après la mort de Fowler, Jessica Parrish, archéologue et aventurière en puissance, est sollicitée par le nouveau propriétaire du lieux, le sénateur Cornélius, pour rassembler et conduire une équipe à l'intérieur de la maison, d'y récupérer les objets de l'expédition Toutankhamon, mais également de détruire les pièges qui ont déjà coûté la vie à deux hommes du sénateur. Mais l'équipée va rapidement tourner au drame et verser dans le fantastique.

Avec cet album, Nunzio DeFilippis et Christina Weir, lesquels sont déjà des auteurs reconnus aux Etats-Unis, nous offrent là une histoire dans le pur esprit des séries B. Une histoire entraînante, une narration fluide, des personnages humains et une intrigue à rebondissements, et ce qu'il faut d'informations pour tenir le lecteur collé à son siège, dans l'attente du dénouement final.
Malgré le foisonnement d'idées, le lecteur n'est jamais complètement submergé par les informations et si le découpage très cinématographique nous renvoit d'une scène à l'autre dans une débordement d'activité, cela ne nuit pas à la lecture.
Le travaille de Christopher Mitten au dessin n'est certe pas sans défauts, mais son trait fin et moderne arrive fort bien à donner vie à la vision des auteurs et réussit à rendre le récit limpide et dynamique.

Au final, Le Tombeau est un très agréable divertissement, sans autre prétention que de faire passer un bon moment à ses lecteurs, à lire comme on regarde un bon petit film par un dimanche pluvieux.

Un tome 2 meilleur que le tome 1 notamment avec moins de voix off. Un humour noir hilarant et des dessins ne manquant pas d'un certain style.

Voilà ce que j'appelle une bonne BD! Même si je ne suis pas fan de ce dessin (il y a notamment de grosses erreurs dans la scène du restaurant!), je trouve le scénario largement à la hauteur. Le scénariste, Romuald Pistis, sait vous prendre par la main et vous promener où bon lui semble, à travers une histoire qu'on suit avec passion et dont on attend le dénouement dans le second tome impatiemment. L'idée de ce cambrioleur possédant un don d'ubiquité et recevant comme mission de dérober un diamant est assez géniale et on se laisse prendre dès le début par une narration cuisinée aux petits oignons et montée avec soin. Les décors dans le dessin sont remarquablement présentés mais les personnages semblent souvent assez raides. Mais c'est un premier tome et gageons que "Peter Rob" n'ira qu'en s'améliorant. A découvrir d'urgence!

Toujours aussi énorme. On est complètement immergé dans l'histoire. Plus rien n'existe autour. Les personnages sont déchirants de vérité. L'histoire n'hésite pas à sacrifier des protagonistes principaux, ce qui est rare. Donc tout plein de rebondissements imprévisibles. Un must !

Un bon polar. Le dessin n'est pas irréprochable et les couleurs par ordi sont hideuses. L'histoire est un peu trop (même beaucoup trop) pompée sur les dialogues tarantinesques. Un manque aussi de suspens évident car on suit les deux parties en présence (tueurs et enquêteurs) si ce n'est la fin qui laisse présagers de légères complications. A suivre...

J'avais pris une bonne claque avec le tome 1, alors là je sais pas, j'ai pris un énorme coup de boule. Scotché du début à la fin que j'ai été...avec un point d'orgue sur les pages qui sé déroulent en antarctique ou l'intensité dramatique et le dessin sont en parfaites adéquation. Du bonheur pur jus !

Quelle claque lors de ma première lecture ! C'est tout simplement superbe et passionant. Si il fallait choisir, j'aurais une petite préférence pour l'action qui se déroule au caraïbes, notamment en raison de personnages vraiment attachants. Et pour ne rien gacher ce n'est que le début d'une excelentissime série !

Tout est dit dans l'excellente chronique ci-dessus je rajouterai simplement que si vous êtes amateur de SteamPunk vous ne pouvez pas passer à côté de cette série. L'originalité içi c'est de revisiter les années trente en Amérique plutôt que l'époque de la révolution industrielle et l'époque victorienne qui sont en général celles sur lesquelles les séries où romans Steampunk se sont penchées. Les dessins sont absolument superbes et je vous invite à aller voir le site de Formosa qui vous donnera une idée de l'étendue de son talent.

Ce dernier tome de la série est tout simplement magnifique.
Je l'ai abordé avec un peu d'appréhension, ayant entendu des critiques plutôt négatives, et ayant moyennement aimé le tome 4 par rapport aux excellents tomes 1, 2 et 3.
Et bien "Un faune sur l'épaule" est vraiment réussi.
On retrouve la poésie propre à cette série, et l'auteur a réussi la prouesse de nous arrêter un instant sur ... des instants magiques, pour ré-apprécier ce qui nous entoure.
Vous l'aurez compris, ça a un air de "La première gorgée de bière" and co, mais en mieux. Avec de très beaux dessins, avec un scénario qui tient bien le coup, avec le petit nuage qui accompagne partout Broussaille.

Bref: lisez-le!

J'avoue ne pas comprendre las avis consternants précédents!!
d'abord le graphisme de P. BERTRAND (Linda aime l'art...) est éclairé, classe et colle parfaitement au scénario "luxurieux" de l'auteur.

Celui-ci n'est pas aussi lamentable que dépeint : caricatural, pamphlétique d'une jet-set qui fait rêver le quidam moyen... et dont l'envers du décor se révèle tout en monstruosité !
la chute de l'album est même bonne.

Un grand regret tout de même : l'album se lit trop rapidement, ce qui vu son prix, en fait un produit de luxe, un comble!!

Franchement c'est avec appréhension que cette bd est venue garnir la collection science fiction mediéval fantastique qui est mienne...

D'un style assez rébarbatif et gore au premier abord cette bd a failli ne pas passer les caisses de la librairie... Avec un scénario moins original que d'autres mais tellement riche c'est avec grand plaisir qu'on se lance dans la lecture, on s'immerge et découvre un monde détruit et reconstruit par d'autres formes de vies...

Le style est percuttant comme seule une peinture peut vous faire éprouver un tel effet...

Malgré quelques reproches (la critique est facile, l'art l'est moins) c'est n'empêche la bd qui a pris place le plus fréquemment à ma table de chevet...

Très gros reproche... y a pas la suite......

conclusion... : Géronimo, Ledroit... au boulot feignéants...

Du premier coup d'oeil, on songe tout de suite à un album assez bon, voir excellent. Bon. On ouvre l'album : impression confirmée, dessins magnifiques et plaisants. Jusqu'ici tout va bien. Cependant, c'est en entamant la lecture de l'album que cela coince. Les gags sont incipides et le scénariste semble persuadé qu'il faille passer par la vulgarité pour pouvoir atteindre l'humour du génialissime Maurice Tillieux. Premier point mort.

Passons les gags, côté scénario nous sommes bien loin d'une intrigue à la Gil Jourdan ou à la Félix, le scénariste ne parvient pas à tenir le lecteur en haleine et c'est, d'emblée, une mauvaise chose. En effet, les atmosphères que le scénariste souhaite créer reste mal exploitées. Ce scénario m'a laissé une mauvaise impression sur l'après-lecture et même, pendant la lecture en elle-même. Car je le confie volontier, c'est bien parce que j'aime finir ce que je commence que j'ai terminé la lecture des "Démons de Pertransac".

Les conversations entre maître Nian et son acolyte (censé, je dis bien censé, rappeller un Libellule ou un Allume-Gaz, du moins je le crois) sont parfois à la limite de l'incompréhensible. Bref, nous avons un album bien moyen, que le graphisme et le talent incroyable de Rodier sauve de justesse. Je le signale au passage, c'est bien par respect pour Yves Rodier et pour son dessin que j'ai achété cet album. J'espère qu'il ne passera pas toute sa carrière à dessiner Simon Nian, car c'est un auteur avec un potentiel énorme.

Bon dessin, (7/10 ) Mais alors coté scénario j'ai vraiment eu du mal, 1 a comprendre certains passage, 2 a finir l'album et renseignement pris autour de moi je ne suis pas le seul , en attente du tome 2 pour peut être apprécier le tome 1

Très , Très bonne BD, Très bon dessin , drôles , scénario un petit peu faible, lecture un peu trop rapide, mais la lecture se fais avec le sourire ( je dirais même qu'il y a une petite ressemblance humoristique avec Baker Street ) il existe un tirage Limité chez Folle Image superbe

Reprenant un peu le concept biblique de la lutte entre le bien et le mal menée entre les anges et les démons depuis la nuit des temps, cet album diffère toutefois à plusieurs niveaux, déjà au niveau des camps occupés par lesdits personnages, mais aussi par la nature de l'enjeu du combat. En effet, les anges ne demandent qu'à débarraser Outrelieu de tous les impurs que sont les êtres autres que les leurs, et pour en arriver à leurs fins, terrassent constamment les petits démons et les emprisonnent dans des camps de labeur, alors que ceux-ci aspirent simplement à vivre en paix dans ce monde parallèle à celui des humains.

Avec pour protagoniste un petit diabolitin cracheur de feu nommé Karma, le lecteur est témoin de l'exil forcé de celui-ci dans le monde des humains et de sa découverte des ses semblables, tous attendant le moment propice afin de retourner à Outremonde et d'y reprendre la lutte contre les vilains anges qui les ont assaillis. Et c'est ainsi, avec un style de dessin naïf dans une série axée jeunesse, que l'on retrouve l'artiste-peintre Fabrizio Borrini après quelques 20 années de retrait du milieu de la bande dessinée.

En résumé, un titre jeunesse avec un petit diabolitain sympatique et charmant qui n'est pas trop mauvais...

Poison est un sombre roman noir sans concessions ni faux-semblants. Laurent Astier plonge le lecteur au coeur de la part d'ombre des grandes villes d'aujourd'hui. Le jeu des couleurs, succession d'aplats aux teintes primaires - du bleu, du jaune, du rouge - renforce le côté très cru du récit, servi par un trait aiguisé qui emprunte à la fois aux mangas et aux comics américains. Ces 94 planches se dévorent d'un trait, et Claire-Clara s'impose déjà comme une héroïne dont les motivations empreintes de mystère n'ont pas fini de titiller la curiosité du lecteur... (Source: Dossier de presse Dargaud)

Tel que si bien décrit dans le dossier de presse de la maison d'édition, ce polar noir se lit d'un trait, seulement il demande au lecteur effort pour s'habituer à la mise en couleurs quadrichromique avant de mordre à pleines dents dans l'histoire. Construit à la Quentin Tarantino, ce tome est découpé en plusieurs chapitres au fil temporel décousu, mais toutefois clairement indiqués, ce qui amène le lecteur à commencer par découvrir Clara dans son rôle actuel, avant d'effectuer un retour en arrière afin d'être témoins de ses débuts en tant que Claire.

En bref, ce tome est un album typique où il ne faut pas se fier aux apparences et l'aborder avec un esprit ouvert pour découvrir ce monde sombre et noir des ruelles de Lyon. Un polar à conseiller!

Sympathique. Je trouve que les gags sont un peu inégaux. Certains sont bons mais d'tres nettement plus moyen.

Ouh là là mais quel évènement, c'est incroyable, une vraie tempête.... dans un verre d'eau. Non mais faut pas rigoler on nous annonce ça comme un évènement exceptionnel et finalement il ne se passe pas grand chose de terrible et qui n'aboutit pas à grand chose (sauf peut être pour Robin mais c'est à voir). Même ce qui est l'occasion de faire une véritable révolution au sein de la JLA retombe tout à coup sans être exploitée bref dire que crise d'identitée est un évènement incontournable est une publicité mensongère.

Ceci dit c'est une histoire classique plutôt bonne mais il y a un manque de développement allucinant de certains points essentiels et un manque évident de prise de risque sur l'avenir de la JLA. Bref méfions nous pour les futurs "grands évènements" à venir.

C'est une bonne petite histoire, bien ficelée loin de Gotham city. Il est dommage que Batman n'ai pas ce côté sombre, qui pour moi est indispensable à une histoire de grande qualité. En tout cas on passe un moment agréable.

Long halloween :

Hou là là c'est du solide, du lourd bref du Batman sombre, dur avec une intrigue solide et parfaitement développée, une intrigue qui voit la naissance de Pile ou face, bref une excelente intrigue. C'est l'une des meilleures histoire que j'ai lu jusqu'à présent. Il n'y a pas à dire Loeb et Sale forment un excellent duo qui à bien compris qui est Batman.

1964 est une année difficile pour Peter Parker alias Spiderman. en effet ce dernier est plus malchanceux que jamais et confronté à des épreuves particulièrement pénible, tant sur le plan personnel que sur le plan super héroique. Mais 1964 est une année excellente pour nous qui avons le plaisir de dévorer les aventures de Spiderman comme quoi le malheur des uns fait parfois le bonheur des autres.

A la fin de l'intégrale une question se pose : mais que va nous réserver l'année 1965 ? Et bien si vous voulez bien m'excuser je m'en vais chercher la réponse à cette question.

Malgré un dessin particulier qui peu à priori bloquer certains, cet album est véritablement. L'histoire, très sombre et dure, confronte Batman à ce qu'il y a de plus sombre en lui face un un tueur pas tout à fait comme les autres. Le dessin fait remarquablement ressortir cettes ambiance sombre et oppressante nécessaire pour exploiter pleinement le potentiel de cette histoire.

L'histoire prend de plus en plus de distance par rapport à l'animé sur certains évènements ce qui est une très bonne chose. L'histoire reste tout aussi passionnante et les personnages égaux à eux même. L'humour est toujours autant présent et il apporte beaucoup à la série. Bref c'est toujours un plaisir de lire chaque tome. Vivement la suite.

Un bon album qui nous permet de voir l'évolution du personnage de Koga de l'enfant utopiste à l'adulte des deux premières pages du tome 1 (et l'évolution est encore loin d'être finie à mon avis). Globalement c'est plutôt bien fait même si certaines scènes sont un peu supperflue mais globalement ça reste bien. Le dessin est toujours impécable rien à tredire c'est vraiment le point fort de la série. Seul bémol c'est la disparition du Zetman (au point que l'on fini par se demander pourquoi la série ne s'appelle pas Koga). Cependant ce sentiment est surement due (au moins en partie) aux peux de tomes sortis et à la longue attente entre deux volumes. En effet des parutions plus proches auraient, à mon vis moins fait ressortir cette disparition, temporaire, du Zetman de l'histoire. Espéron qu'on le retrouvera quand même dans le prochain volume.

Je partage l'avis déjà donné, c'est vraiment complétement creux. Des dialogues d'une nullité afligeante. Pas d'histoire. Des images avec des personnages qui prennent des poses...

Très bonne série du début à la fin pleine d'humour, pas toujours très efficace mais ça marche bien dans la grande majorité des cas. Chaque volume est un vrai plaisir et les personnages sont drôles, attachant et très bien développés. J'ai quand même quelque doute sur la qualité de la traduction mais franchement c'est une série très agréable à lire.

Tomes 14 à 16

Trois bon volumes essentiellement orientés action. On sent que la fin approche et que l'on se trouve en plein dans l'ultime combat opposant les apôtres des étoiles à la ligue des nettoyeurs. On a une révélation importante dans le tome 15 mais à part ça c'est combats après combats. Ces derniers sont plutôt bien fait mais l'équipe de Train à moins de mal à renporter ces combats que l'on aurait pu croire.

Excellent one shot composé de deux petites histoires vraiment très bien faites avec des personnages attachants et des intrigues biens construites .

Un volume plutôt bion bien qu'essentiellement orienté sur le combat entre Kurotsuchi et Ichida ainsi que l'entrainement d'Ichigo pour maitrise le Bankai le reste nous apprend certains détails intéressant notamment sur le passé de certains capitaines et vice capitaines ce qui nous permet de mieux cerner leur comportement.

Très bon volume toujours aussi drôle et délirant avec un Azuma toujours aussi naif et c'est vraiment un pur bonheur. On voit également l'arrivé d'un nouveau personnage important à l'origine d'un défi fort compliqué pour Azuma dont les conséquences peuvent changer beaucoup de choses.

Toujours aussi bon mais un ton en dessous que le 1er tome. Le charme opère moins.

Je n'aime habituellement le N&B mais celui ci est de toute beauté et d'une précison superbe. C'est vraiment très bon.

Excellent second tome, plein de finesse et de tendresse avec des personnages confrontés aux malheurs et la dureté de la vie. Certains personnages sont parfaitement représentatifs d'une morale crapuleuse hélas bien réelle bien que difficile à imaginer pour la majorité qui ne la partage pas. Une série culte, d'un réalisme à couper le soufle, nous plongeant ainsi dans une immersion totale et en apnée.

Nouveau volume qui voit l'arrivé de nouveaux personnages et de nouveaux enjeux, même si ces derniers ne sont pas encore bien définis. L'histoire devient un peu plus complexe et toujours aussi prenante même si pour le moment on manque de détail. Bref une suite bien prometteuse mais qui est une pose dans l'aventure.

On s'enfonce dans la lourdeur des dialogues qui n'ont ni queue ni tête.. Ce n'est même pas poêtique. Bref, un second tome qui ne rattrape pas le 1er malgré un énorme potentiel scénaristique complétement sous exploité.

Des dessins magnfiques quoique très contestables dans la mise en scène qui manque singulièrement de panorama pour avoir une vision d'ensemble de cet univers. Il ya trop de visions rapprochées et de cadrages étriqués. L'histoire est interressante partant d'une très bonne idée. Après le déveoppement est catastrophique avec des dialogues abscons, de longues logorrhées qui ne veulent rien dire et qui n'amène à rien. c'est donc pour moi très très décevant...

Un excellent 1er tome compte tenu de toute la production d'héroic fantasy qu'on a pu voir ces 20 dernières années. Cela dit, c'est en deça de la suite et notamment les deux derniers tomes. Les 2 premiers tomes sont sans doute un peu moins fluides car publiés en épisodes.

Cette nouvelle série, construite à partir des volontés d'Amélie Sarn et Éric Corbeyran, désirant tous deux créer quelque chose de nouveau, de rafraîchissant, et surtout offrir l'occasion aux jeunes demoiselles de lire une bande dessinée de style franco-belge qui leur plairait autant que les séries manga asiatiques fort populaires qui leur sont consacrées. C'est ainsi que suite à une rencontre fortuite entre Nauriel et Éric Corbeyran lors du festival de Chambéry, ce nouveau projet est né, et aujourd'hui un premier épisode de 80 planches est disponible dans la collection Cosmo de Dargaud.

Grâce à leur amour combiné pour la création de séries jeunesse, Corbeyran - appuyé de son prix jeunesse du festival de Blois - et Amélie Sarn - auteure d'un nombre de livres pour la jeunesse et de l'adaptation du dessin animé de S. Chomet Les Triplettes de Belleville - livrent la délicieuse histoire de Nanami, une adolescente qui ne s'y retrouve pas vraiment dans le monde que les adultes lui proposent, explique Corbeyran. Le dessin de Magali Lacombe, agrémenté de touches d'art nouveau et d'une mise en couleurs riche et inspirée de Simon Champelovier, complète merveilleusement bien cette histoire fantastique pour livrer un premier tome invitant.

En résumé, le premier album de cette nouvelle série permet un bon moment de lecture avec une saveur de magie. Un très bon titre à conseiller pour toutes les adolescentes! À noter aussi, qu'en plus des 80 planches de l'histoire, 6 pages des croquis de Nauriel se trouvent en fin d'album!

Après [Treize étrange], Carabas. Panini et Dupuis, voici maintenant que Christopher est acceuilli chez Le Lombard qui lui donnent l'occasion de publier le premier de quatre tomes de la série Love Song. En effet, ces quatre tomes seront dédiés aux quatre protagonistes de la série, le premier portant principalement sur Manu, le prochain permettra de connaître Sam plus en profondeur et les deux suivants metteront Greg et «Boulette» sous les feux du projecteur.

Dans ce premier album, le lecteur a droit à une série d'anecdotes portant sur la vie de couple, l'angoisse précédant le mariage, l'adultère et autres sujets de la vie de tous les jours, toutes racontées sur un fond musical - la passion partagée par les quatre personnages - et avec plusieurs clins d'oeil aux Beatles. Quelques fois émouvants, mais principalement axés sur des échanges qui tournent en rond sans jamais rien accomplir, ces récits s'enchaînent les uns aux autres sans créer de sentiment d'intérêt chez le lecteur.

En résumé, cet album se veut touchant et profond, mais on en dégage plus une sensation d'inintérêt qu'autre chose!

La première série dans laquelle j'ai investi... il s'agit là de LA référence en matière d'Heroic Fantasy. Scénario de premier ordre, dessin original qui en vaut la peine et qui s'améliore dans les albums suivants. Bref, à acheter sans délai pour tout qui porte un quelconque intérêt au monde de la BD.