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Sans commentaire puisque vive la censure!!!!!
Intrigué? On l'est au début,Graphisme pas mauvais mais le scénario se dégrade rapidement et tombe vite dans la lassitude et les poncifs, dommage...
Claremont aux scenario et Yu aux dessins ( de magnifique dessins, il s'est bien amélioré depuis ces debuts sur Wolverine ). On fait un bon de 6 mois dans l'histoire, on decouvre ainsi de nouveaux persos ( ennemi et Xmen ) Thunderbird notamment, certains Xmen ont disparu de la circulation : Iceberg et Marrow entre autre, pour ce premier episode de Claremont on decouvre de nouveaux ennemis tres puissant dont le Boss est le Neo. Tres bon episode.
Thanos est un grand romantique : il offre la création à sa belle sur un plateau. Sa dernière tentative pour la séduire... ça passe ou ça casse. Et ça casse... !
Une grande saga cosmique comme seuls Starlin et Pérez ont le secret.
Je regrette beaucoup que l'éditeur n'ait pas inclus l'introduction (parue en France dans le RCM n° 31 : Thanos).
Mais l'histoire du gant ne s'arrête pas là... (cf La guerre du pouvoir et Croisade cosmique)
Iron Man : plein de guest star pour le retour de Tony Stark ( J.Jamesson, Norman Osborn, Psylocke, Foggy Nelson, les FF ... ) bon scenario de busiek qui alterne probleme juridique/Economique de Stark et combats High tech avec Iron Man, niveau dessin Chen est à la hauteur.
Avengers : Le dessin de Perez est une veritable merveille, son style est ultra fin et tres detaillé, ces planches sont remplis de details en tout genre, le prologue est magistralement mis en scene : une case par vengeurs, on retrouve tout les vengeurs pour une mission commune. Du tres lourd.
A la base je suis pas fan des dessins de Davis ( surtout ces Xmen ) mais là je doit avouer qu'il s'en sort tres bien, en plus des bon dessins on a un scenario efficace de Lobdell qui emene les FF à Paris pour une aventure pleine d'action et d'humour. Tres bon debut.
Cap : Cap se retrouve au japon face à Lady Deathstrike, Waid nous pond le minimum en matiere de scenario, c'est assez simpliste et sans réel interet, niveau dessin j'aime pas trop Garney mais je doit reconnaitre qu'il rend les mouvement de Cap tres fluide. Peut mieux faire
Enfin le retour de Myamoto et le moins que l'on puisse dire c'est que ce tome tient vraiment toute ces promesses. On assiste au debut d'un epoustouflant combat. Un tome bien meilleur que les 3/4 derniers.
Numero qui explique la creation de l'univers Reborn ( univers crée par Franklin le fils de Red Richards ), en plus des heros de l'univers reborn on trouve un autre Hulk et Spiderman. Le final debouche sur un duel de duel Thor/ Fatalis. Aux dessins on retrouve l'espagnol Larroca qui nous livre un merveilleux album.
C'est beau mais l'histoire est peu interresante malgré tout le charisme de Psylocke
Le western à la sauce Giraud, renouvelé, modernisé, avec ce héros incontournable qui a peuplé mon enfance de rêves d'indiens ! c'est du grand art, félicitations ! on en redemande bien évidemment ! Moi, je préconiserait une rencontre avec Corto Maltèse pour un nouveau cycle !
Le monde de Dorison est peuplé de chaos, de néant vertigineux et de noirceur du désespoir. Sanctuaire tout comme Prophet n'échappe pas aux lamentations rétrogrades de ce scénariste bio dégradable. Alors si vous avez aimé Sanctuaire, vous m'expliquerez le rôle des différents personnages et le but de cette chevauchée sous marine parce que je n'ai rien compris : qui est qui ! qui fait quoi, c'est un enchevêtrement bordélique de relations ambigües entre des monstres du Loch Ness et des humains incontrôlables ! Les dessins interessants ne masquent pas l'insoutenable légereté d'une histoire à dormir debout ! décevant !
Un final assez decevant dans son ensemble, dommage car les 2 premiers tomes sont vraiment bon mais j'ai trouvé la fin assez bancal.
Un premier tome tres prometteur, le dessin est de toute beauté avec des design assez terrible je trouve, le scenario est assez bien ficelé aussi. vivement la suite.
Les mutants perdent leurs pouvoirs ( le même theme que le film Xmen 3 finalement ), Raney est aux dessins et se debrouille vraiment bien, le deuxieme dessinateur est Brooth qui a un style à la Churchill ( en moins bien tout de même ). Aucun Xmen ne reagit pareil à la perte de ces pouvoirs : certains sont heureux : Angel, Malicia et Marrow surtout d'autre vont mourrir si il ne les retrouve pas : Wolverine. Le final contre le maitre de l'evolution est vraiment bien foutu surtout l'attaque de Logan desespéré. Tres bon numero apres un tome 50 catastrophique.
Derniere numero de la saga reborn avec un maxi crossover qui regroupe un tres grand nombre de heros : Vengeurs, FF, Inhumains, Panthere Noire, Namor et même Fatalis contre Galactus et ces Herauts. Action et Bon dessins aux programmes, vraiment sympa.
Après avoir lu presque tous les romans du cycle d'Elric et découvert qu'il existait une bd relatant l'histoire d'Elric avant son règle sur le trône de Melniboné, je me suis dépêché de ce nouvel ouvrage.
Bilan :
Comme les romans le sont parfois, l'histoire est très flou pour ne pas dire par moment incompréhensible. Mais si on relis le tome, on comprend tout de même ce qu'il se passe. Si vous ne connaissez pas l'univers d'Elric, je vous conseil de lire d'abord au moins les 2 premier tomes, histoire de vous mettre dans le bain et de ne pas trop être perdu lorsque vous lirez cet album.
Au niveau du dessin, j'aime beaucoup. C'est un style qui rappelle un peu les mangas.
Bref, un album interressant pour les fans d'Elric.
Des intrigues, de la jalousie, une histoire de vengeance, des personnages avec un background d'une réelle profondeur et ... encore des gladiateurs.
Tous les ingrédients du succès sont une nouvelle fois au rendez-vous pour ce tome cinq.
Le tout servi par des graphismes d'une grande qualité. Certes, les couleurs peuvent paraître un peu ternes de prime abord, mais en fait leur sobriété facilite l'immersion totale du lecteur dans un univers qui se veut avant tout réaliste (bon d'accord, il y a de temps en temps un dieu ou deux qui se balade, à moins que ce ne soit que le fruit du délire Néronien, là encore plusieurs
interprétations semblent possibles)
C'est bien simple une fois ce cinquième tome refermé, une seule envie, une seule question nous travaille : savoir quand se laissera dévorer le sixième tome de cette grande saga.
Pour faire simple, la lecture de cette série est indispensable pour tout amateur
d'histoire ayant pour cadre l'Urbs. Bref, si toi aimer histoires avec Rome dedans, toi vite acheter MURENA !
Voilà une nouvelle série de SF qui a attiré mon attention. L'histoire commence avec l'embauche dans les rangs des agents de la confédération galactique des premiers humains, qui ont rejoint l'alliance assez récemment. Il y a un petit côté Valérian mais en plus sérieux.
Côté dessin, ça fait penser à la caste des métabarons, ou a du Bilal par moment. C'est un premier tome de mise en place des personnages et de l'univers où il se passe quand même pas mal de choses. On attend la suite.
Un nouveau western dessiné par Vatine, après Adios Palomita et 500 fusils. C'est toujours aussi superbe. Même si je suis un inconditionnel de son style, j'adore le découpage des cases à la Sergio Leone. L'histoire est très sympa et tou à fait dans la lignée des 2 albums précédents. En plus, c'est une histoire complète!
Superbe tome 1 pour cette nouvelle série! Je trouve le dessin très réussi, on peut admirer les images de guerriers somptueuses, mais aussi des paysages et un casage bien fait. Tout l'album est en sépia, au lieu d'être colorisé normalement : étonnant mais adéquat.
Côté histoire, on voit la mise en place d'un univers fouillé, alliant légendes, intrigues de cour, cartes géographiques et...dragons! Ca fait penser à du Tolkien avec moins de fantastique mais on sent une profondeur prometteuse : à suivre !
Oyez oyez !!! Amateurs de bds qui ne ressemble pas à la bd, foncez vous aurez votre compte d'image de synthèse à deux francs, le tout saupoudré d'un scénario qui ne vaut guère plus!!! Mediterranéens, cessez de prendre le lectorat pour des c...!!!
Alors là, quelle surprise rien qu'en apaercevant la couverture, le grand maître delaby nous fait une erreur de symetrie dans le visage de la déesse!!!! Damn c est impossible, avide de corriger cet affront je m'empresse d ouvrir ce tome 5, et catastrophe les erreurs sont foules, yeux décalés(un souvent trop bas), idem parfois pour la bouche qui n'est pas à sa place!!Bref des erreurs de débutant qui suffisent normalement pour ce voir refusé la publication!!! Mr Delaby aurait -il baclé cette bd faute de temps, peut-être, peut-être aussi ne la considère t-il plu que comme un gagne pain!!!Bien dommage! En tout cas le scénario de dufaux est toujours aussi bon et tant mieux, car elle nous laisse sur notre faim cette déesse noire....
J'ai adoré cette BD, parce que je suis concerné par certains aspects de la collectionnite aiguë... donc quelque peu concerné et bien au courant des ficelles du métier ... de collectionneur !!!
Donc si vous êtes dans ce cas et que vous appréciez la BD indépendante, n'hésitez pas, il s'agit d'un chef d'oeuvre... De plus la BD est superbe : format spécifique, couverture ... un objet de collection.
Maintenant, j'émets une réserve : si vous n'entrez pas dans cette catégorie, il n'est pas évident que vous apprécierez pleinement cette BD ...
Au sein de la collection Aire Libre de chez Dupuis, il est fréquent de tomber sur des oeuvres très personnelles, dans lesquelles les auteurs laissent aller leur inspiration créatrice vers de nouveaux horizons. Parfois, le résultat obtenu grâce à des explorations de style, de méthode de mise en couleurs, ou simplement de changement dans l'approche générale, donne de résultats superbes et d'une richesse inégalée. Toutefois, cette forme de réussite n'est malheureusement pas à la portée de toutes les réalisations, et quelques échecs sombrent dans l'oubli peu de temps après leur publication.
Malgré le thème intéressant du carnet de voyages dans la belle province du Québec, il est navrant de constater que cet album réalisé par Edmond Baudoin se retrouve dans la deuxième catégorie. Doté d'une couverture des plus intéressantes, construite à partir de la première case de la troisième planche, et d'une curieuse mise en scène qui se prolonge sur les 7 à 8 premières pages, cet album fait rapidement sentir à son lecteur qu'il a été construit afin de faire plaisir aux amis de l'auteur, et une sensation de détachement et de désintéressement s'en suit inévitablement. De plus, l'auteur ayant été professeur de dessin, il est normal de s'attendre à ce qu'un artiste se permettant d'enseigner et de juger le travail d'autrui, ait cherché à s'appliquer graphiquement, malheureusement, il est loin d'en être le cas.
En bref, dénudée d'intérêt, cette bande dessinée réalisée maladroitement ne conviendra ni aux amateurs de belles oeuvres graphiques, ni aux lecteurs attirés par des histoires prenantes.
Ce manga est un pur chef d'oeuvre !!
C'est un manga que l'on devore à une vitesse allucinante.Etant fan de mangas, je peux vous dire que celui ci est incontournable.Meme pour ceux qui n'aiment pas le basket, le manga est si divertissant et drole que ne pas aimer est totalement impossible et je ne mens pas.
Quelques soient vos gouts, ce manga fera son effet et vous ne pourrez en decrochez.
Le must du must!!
Plus d'un an après avoir quitté Shandy, on entre dans le vif du sujet. Shandy intègre la cavalerie dans la "Grande Armée". On retrouve les trois personnages principaux du Tome 1, même ceux laissés pour mort reviennent.
Le pseudo-complot se transforme en jalousie, avec un héros qui se déjoue désormais seul de tous les pièges. Bref un retour à un scénario banal.
Le travail de Dominique Bertail, dans ce deuxième tome, est dans la continuité du premier. Avec une amélioration au niveau des couleurs beaucoup moins synthétiques. La disposition de certaines planches sont très originales et intéressantes, avec notemment des cases immenses qui permettent de réaliser l'immensité qu'était l'armée Napoléonienne.
Super! c'est beau!! Je le trouve très bien. J'ai déja lu le tome 1 et 2. Alexia est déja entré dans le monde de Yorthopia! Alexia n'a jamais peur les démons parce qu'elle est une exorciste! Hin Hin!...Je attends beaucoup le tome 4.
« A Story of War » est le premier album important réalisé en 1982 par Alec Séverin (publié en 1985 par Michel Deligne). Ces 150 pages, dessinées en 9 jours, ont contribué à la légende de cet illustre auteur. Nombre de ses fidèles lecteurs ont découvert son œuvre grâce à cet ouvrage. Parmi eux, Malo Kerfriden, le décrit de la plus belle des façons dans une interview qu’il m’a accordé pour le site :
[quote][i]« A la fin des années 80, j’ai acheté par hasard l’album « Story of war » paru chez Michel Deligne. A l‘époque, je découvrais Joe Kubert, Alex Toth, Bernet, Berny Wrighston etc… J’ai au départ pensé que ce récit était une réédition d’un comics d’histoire de guerre des années 50. Le relâchement, l’aisance et la spontanéité du dessin m’ont véritablement fasciné, ainsi que le ton de l’album (qui lui n’était pas du tout « années 50 »). Séverin a un ton extrêmement dur et désabusé dans ses premiers albums. Par la suite, je me suis procuré « Gratin » paru aussi chez Michel Deligne et « Lisette », publié chez Delcourt. Je me souviens aussi d’un article dans « Les cahiers de la bande dessinée »… Bref, j’ai compris ma méprise. »[/i][/quote]
Ce petit album (au format A5), publié en noir et blanc, nous relate les aventures d’un Soldat engagé sous la bannière étoilée. A l’issue d’une période d’entraînement, il découvrira les horreurs de la guerre et refusera de porter une arme au Front. Ce récit qui aurait pu se réduire à la simple histoire d’un soldat en temps de guerre est accompagné d’une magnifique histoire d’amour et d’un hymne à l’acceptation des différences. Alec Séverin l’agrémente d’un trait d’une remarquable précision malgré la rapidité sans précédent avec laquelle il a réalisé cet ouvrage. Son découpage est vivant et il ose des formes de cases non conventionnelles. Côté dessins, il joue sur les palettes de gris et de noir afin de restituer aux mieux les différentes ambiances du récit. Chaque chapitre se distingue par une utilisation appropriée des « couleurs » à sa disposition. « A story of war » pose les jalons de ses futures publications en y insérant, non sans son humour habituel, des fausses publicités entre les différents chapitres. Dès 19 ans, il marque son entrée parmi les auteurs complets de bande-dessinées.
Cet album est accompagné de deux mini récits tout aussi passionnants que l’histoire principale. Ils sont durs mais à l’image des histoires de guerre.
Dans le cadre du site sur son œuvre ([url]http://oeuvreseverin.free.fr[/url]), j’ai eu l’occasion de l’interroger sur la genèse de cet album. Avec cette discussion particulièrement poignante où Alec Séverin détaille pas à pas la réalisation, ce qu’il a voulu montrer de son mode de vie par rapport aux personnages et les différentes étapes qui ont permis la publication, j’ai réalisé à quel point cet album était fondateur dans son œuvre. Dans un premier temps, je m’étais arrêté à l’exploit de la réalisation graphique, mais la façon dont il a créé et découpé mentalement l’histoire est à mon sens aussi impressionnante. Mais je préfère vous laisser lire la façon dont il présente la chose dans cet extrait :
[quote][i]« Mentalement, le découpage est déjà également réalisé, plan par plan et quasiment case par case … Dès lors, le lendemain matin, j’ai démarré sur la 1ère image (qui n’est pas la première dans l’album, mais la première image qui se passe sur l’île) … Je savais qu’il y aurait beaucoup de pages à venir, mais pas exactement combien, car je ne connaissais pas le nombre exact de cases … Je n’ai pas eu le courage de les compter mentalement une par une (mais j’aurai pu)… Bref, je ne faisais pas de « mise en page », je dessinais très vite les cases (et leur contenu) au crayon les unes après les autres de manière quasi-définitive …
J’ai dessiné ainsi durant tout le premier jour et la nuit suivante (j’étais jeune…). J’ai dormi quelques heures … et ainsi de suite … Ce qui fait qu’au bout de 3 jours, l’histoire était terminée au crayon. (Elle ne faisait pas 150 pages, mais était complète en + ou – 90 ou 100 pages). Je suis allé faire photocopier tous ces crayonnés … ensuite j’ai dormi quelques heures ... après quoi, j’ai encré ces pages en 1 ou 2 jours …(avec de gros bouts de nuit) … Cela va vous paraître un peu curieux, mais pendant que j’encrais, je réfléchissais aux 2 autres petites histoires qui pourraient encadrer ce récit et je me les jouais mentalement, ce qui fait que, l’encrage fini, je me suis mis immédiatement sur le dessin de « la star » et de la troisième histoire (que j’avais déjà découpée mentalement à la case près) … pas mal des cases qui les constituent ont été directement dessinées à l’encre, sans crayonné, car l’échauffement des 5 jours précédents et le « style » utilisé (qui n’était pas très rigoureux), me le permettaient …
Les 2 historiettes étaient entièrement terminées à la fin du 6ème jour (à quelques heures près).
Comme la dernière était un peu plus sophistiquée, je me suis dit, avant de m’endormir, que je devais refaire des photocopies du grand récit et les passer au lavis … j’ai pensé à un prologue … (en forme de match d’entraînement de rugby …). Et le lendemain, je me suis attelé à mettre de l’encre diluée sur les cases (des photocopies). Tâche terminée le soir du 7ème jour de travail. J’étais un peu fatigué mais je me suis mis au travail sur le prologue qui, techniquement, est un assemblage de dessins que j’ai griffonnés, encrés et collés sur des cases (un peu à la manière d’un puzzle). Le lendemain, je me suis effondré et j’ai dormi durant + ou – 10 heures … Vers quelle heure de l’après midi du 8ème jour ai-je relu le tout … ? Mais alors, la longue histoire me semblait manquer un peu d’épaisseur et je me suis dis que quelques grandes images permettraient de petits souffles d’air frais … Alors, j’ai fait des hors textes en quelques heures (je me rappelle que c’était un plaisir incroyable de les dessiner, le trait glissait tout seul, je découpais de la trame mécanique (grisée) et j’encrais autour, j’ai encore un peu allongé une séquence assez dure sans lavis … volontairement, pour rendre le côté âpre la scène).
Je me suis endormi et, le 9ème jour, j’ai tout relu … j’ai décidé de faire quelques fausses pubs délirantes au 2ème degré … Ce qui, je l’espérais, détendrait un peu l’atmosphère … J’ai été dormir … l’ouvrage était terminé à la fin du 9ème jour. Le 10ème jour, mes planches sous le bras, je prenais le train pour me rendre à la convention de la BD à Paris. Je n’ai réalisé les couvertures définitives que lorsque Michel Deligne m’a proposé d’éditer l’album, bien plus tard. »[/i][/quote]
Grafiquement, très décevant, cette suite sent le réchauffé, marketing en tout genre.
666, était une série précurseur dans le genre, ce qui en faisiat l'originalité.
6666, n'est qu'une suite, et le tome 2, est pire que tou. on a l'impression, que les dessins sont baclés, le scénariste nous ressucite tout les vieux persos de sa première série. Bof
Bon dessin de Vatine et belle mise en couleur. Après, l'histoire reste vraiment à la surface.
Série intemporelle dans le style de la ligne claire belge, la patrouille des castor est un vrai classique pour adolescents au même titre que Bob Morane ou le Club des 5 dans le domaine des romans. Les aventures sont passionnantes et souvent un rappel de valeurs liées au scoutisme ce qui est la moindre des choses. Contrairement à la bande dessinée américaine ou aux BD dites éducatives les valeurs ne sont pas assenées lourdement et de manière intolérante. Les cinq héros sont en effet respectueux des autres cultures et de leurs amis d'autres pays Inde, Afrique... Si les histoires des albums les plus anciens sont datées, les comportements eux n'ont pas pris une ride et on peut se reconnaitre sans difficulté dans ces jeunes aventuriers qui existent encore dans les patrouilles de 2006 même si cette jeunesse honete, proche de la nature et qui ne rechigne pas à l'effort n'a pas la cote auprès des médias (peut être parce qu'elle ne cède pas aux sirènex des marchands?). En tout cas cette série sensible et réaliste mérite d'être lue.
Un second tome que je trouve un peu moins bon que le 1er. On a beaucoup de flash back dont on ne voit pas encore la finalité au terme de ce tome. L'histoire se positionne de plus en plus dans le fantastique et cela devient de moins en moins crédible.
Un tome 2 qui, s'il n'est pas transcendant en terme d'histoire, permet encore plus d'apprécier le style fabuleux de Fabien Lacaf. La mise en couleurs directes est plus contrastée. On a un véritable plaisir des yeux et des impressions. Reste que la fin est un peu décevante avec un tout petit rebondissement.
Cette bd, c'est d'abord les magnifiques dessins de Lacaf. On peut voir le crayonné ce qui n'est pas sans charme. Puis il y a une superbe mise en couleurs directes. L'histoire est interressante dans le sens où elle nous fait découvrir une région sauvage et austère que sont les hautes alpes. Après, il y a un mystère pas vraiment original mais suffisament efficace pour apprécier la lecture de ce tome 1.
Excellente bd qui renouvèle très bien le mythe des vampires. Rien n'est dévoilé jusqu'à la fin et tout reste plus ou moins mystérieux. On est pas ici dans les clichés de ce genre d'histoire de vampires et l'histoire est très bien racontée avec un bon rythme. Les dessins sont efficaces avec de bon choix de cadrages. Ce 1er tome laisse présager, pour les tomes suivants, une prépondérance d'un personnage secondaire (le médecin français) au pouvoir bien étranges.
Excellent second tome. Celui-ci est encore plus noir que le 1er. L'intrigue n'est toujours pas révélée et il est difficile d'attendre encore un an pour connaitre la suite. On sent vraiment que les auteurs connaissent bien leur environnement (Marseille et la tradition de la pègre du coin). Le dessinateur est vraiment excellent et je ne saurai trop recommander la lecture de cette trilogie.
Le scénario ne laisse rien à redire, le monde créé est original, tient très bien la route, on voit surgir des créatures assez curieuses au fil du récit : tout ceci plonge le lecteur dans l'histoire très vite et sans difficulté. Le dessin est de très bonne qualité, précis, incisif et esthétique. Les couleurs sont très bonne également.
Bref : une histoire à lire sans modération, de très bonne qualité.
Sensas, parfait, super dessin , trés droles,les 4 tmes sont execellent
Après avoir sensiblement touché ses lecteurs avec la parution récente du troisième tome du Combat ordinaire, voilà que Manu Larcenet met à la disposition du public le troisième opus de sa collection d'aventures rocambolesques, dans lequel on retrouve de nouveau un personnage historique ayant été sorti de son cadre normal et à qui sont prêtés des réflexions typiquement larcenesques.
Pour l'occasion, c'est Attila le Hun qui se retrouve sous les feux du projecteur, et dans une histoire très différente de celle présentée en 1954, dans le film portant le même nom réalisé par Pietro Francisci! En effet, les hordes de barbares commandées par Attila le sanguinaire à son apogée ne s'apprêtent pas à marcher sur Rome et faire face aux redoutables troupes romaines de l'empereur Valentiniano, mais simplement à attaquer quelques paysans paisibles de la Beauce! Avec pour coéquipier Daniel Casanave, qui se distance de son style de dessin personnel afin de donner un rendu ressemblant aux travaux l'auteur, Manu Larcenet livre une histoire qui, contrairement aux épisodes précédents traitant respectivement de Freud et de Van Gogh, tombe malheureusement à plat vers le dernier tiers de l'album, pour terminer sur ce qui semblerait être un manque total d'inspiration. Quelle tristesse! Alors que les premières pages offraient quelques moments humoristiques bien agréables, les textes songés se font de plus en plus rares, et la fin laisse chez le lecteur un incontournable sentiment de déception.
En bref, ceci est un album bien moyen de Manu Larcenet dans lequel on trouve quelques moments drôles, ainsi que certaines bonnes idées, mais dont l'ensemble n'arrive pas à satisfaire pleinement.
Miss Pas Touche, c'est le surnom de Blanche que lui ont attribué les filles au Pompadour. Dans la ville de Paris de l'avant-guerre, les lecteurs ont droit à une étonnante découverte des moeurs plus que particuliers de certains des réguliers, ainsi que des pensionnaires de cet établissement qui semble abriter les mystérieux assassins de sa soeur Agathe. Dépourvue de travail et de logis suite au "suicide" de cette dernière, Blanche traque le tueur grâce à quelques indices jusqu'à Pompadour où elle réussit à se faire engager pour se charger que quelques clients aux goûts un peu spéciaux... Tout en cherchant à démasquer le meurtrier, bien sûr!
Malgré un style de dessin qui, à prime abord, n'attire pas l'oeil du lecteur scrupuleux, et qui semble décidément être la marque de commerce de la collection Poisson Pilote, il ne suffit que de quelques pages pour que celui-ci se sente aspiré par le récit original composé par Hubert Boulard et cesse d'analyser le dessin en tant que tel. En effet, un délicieux équilibre de drame, de légèreté et de suspense permet un moment de lecture captivant et divertissant. Les planches, signées Kerascoët, représentent en fait le travail d'un couple de dessinateurs, Marie Pommepuy la dessinatrice, et Sébastien Cosset, en charge des décors. Complétées par la mise en couleurs quadrichromique de Hubert, celles-ci constituent un support adéquat pour présenter ce récit intéressant.
En bref, ce premier tome d'une histoire qui devrait être composée de deux albums, est une belle surprise et se dénote de façon agréable des autres parutions de ce printemps!
Un chef d'oueuvre d'humour en une dizaine de sketches désopilant où la chute totalement inattendue place les personnages dans des situations complètement décalées. Quelques caricatures hilarantes de notre société. Pour ceux qui ont vécu la fin des années 1970, on reconnait dans le premier sketche plusieurs personnages politiques dont certains sévissent encore 30 ans après.
Dessin en général agréable et efficace.
Free Reader
Voilà 3 BD très agréables à lire, le scénario est simple (ce qui n'est pas nécessairement péjoratif) et la narration sympa. Le dessin et les couleurs collent parfaitement au tribulation de notre "Blaireau" et de son groupe de jazz.
A chaque histoire, le quotidien de notre anti-héros et de ses potes est ébranlé : et vague la galère....
Une petite BD tranquille à lire. Je conseille vivement.
bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre, c'est souvent répétitif, mais ça détend...
Lu ce jour, excellente et intrigante BD.
Si effectivement le dessin n'est peut-être pas encore à maturité (notamment en ce qui concerne certaines expressions de visages), le scénario ou plutôt la mise en place des événements est particulièrement intèressante. On y retrouve certaines similitudes avec l'univers "Lynchéen" (si l'on enlève le souci d'esthétique du cinéaste) et particulièrement celui de "twin peaks", que de bons souvenirs...
Pour sûr, je vais guetter la suite.
Livre magique,magnifique,avec tout ce qu'il faut de suspence...
Brrrr...Je n'irais plus jamais dans la cave!
Ce livre est idéal pour rêver.
LA SUITE!!!LA SUITE!!!LASUITE!!!
Numero inutile et sans interet, le plus mauvais numero avec le 1.
Avis sur le crossover global :
Aux dessins on retrouve du beau monde : Kubert, Davis, Cruz , Liefeld ..., l'identité des 12 est enfin connu : Cyclope, Phenix, Tornade, Xavier, Magneto, Cable, Iceberg, Bishop, Mikhail Raspoutine, Sunfire, Polaris et le monolithe vivant. Parmis les cavaliers d'apocalypse on retrouve la copine à Bishop : Deathbird et bien sur Wolverine qui va se battre d'abord contre Cable puis contre Angel, Diablo et Kitty. Niveau histoire c'est vraiment bien foutu le seul probleme vient du final avec la " mort" de Cyclope, avant c'est limite incomprehensible comme combat.
Li Mubai se bat contre Wei Feng Xiang et sa terrible épée Destinée ( l'épée du film ), on assiste donc à un tres bon combat bien ficelé. C'est sur que c'est pas original du tout mais c'est vraiment divertissant.
Un numero tres important puisque c'est ici que Logan recupere son adamantium et pour sa il va devoir vaincre Hulk et Dent de Sabre. Un episode tout simplement enorme.
Un second tome dans la lignée du precedent, l'histoire avance à un rythme soutenu, le dessin est toujours aussi beau avec un trait tres fin et detaillé. Niveau histoire la propagation du virus est vraiment bien mis en scene, par contre je met un bemol pour la nature du virus qui me convaint moyennement.
Sans aucun doute un des meilleurs episode edité par panini, c'est de mieux en mieux : apres le retour de Xavier, Magneto War, voila le prologue aux 12 : il est tout simplement magistral avec un affrontement entre les Xmen entre eux assez surprenant et merveilleusement dessiné par Kubert.
La terrible opération qui changea à jamais Logan est merveilleusement mis en scene par Windsor-Smith, un decoupage vraiment bien pensé, un dessin tres fin et ultra detaillé, on entre pleinement dans cette douloureuse epreuve pour Wolverine. Un album indispensable pour les fans du mutants griffu.
Rien de bien original mais le coup de crayon de Tony Daniel vaut vraiment le detour. Niveau histoire le melange, humour, jolies filles et gros monstre fonctionne bien. Sympa sans plus.
Y commence à bien me plaire ce mega crossover ( plus que Onslaught en tout cas, le dernier maxi crossover marvel ). Niveau dessin je trouve que le trait de Coipel s'est affiné et il nous gratifie d'une magnifique scene d'action avec Wolverine. Niveau histoire la lecture des HS se revele interressante pour bien tout comprendre. Dans cet episode on retrouve un grand nombre de personnages interressant : Cage, Moon Knight, la Chatte noire et surtout Oeil de Faucon. L'histoire prend doucement forme mais y manque un peu d'action tout de même.
2 tres bon episode des Xmen avec le catastrophique story arc dans l'espace. Xavier devient à moitié cinglé ce qui entraine la séparation des Xmen : episode surprenant et bien foutu, on revoit brievement Bishop ( 20 numeros qu'on l'avait pas vu ) avec un nouveau look, enfin c'est toujours un personnage inutile.
Une excellente BD!
Sans apprécier tronchet outre mesure d'habitude, là, j'ai adoré. C'est drôle, c'est noir, c'est à la fois historique et actuel.
Lisez-le absolument..
Un bon policier bien noir.
C'est sans doute un modèle du genre, ce qui veut dire que même si c'est bien, on n'échappe pas à la prévisibilité du scénario. On ne sait pas ce qu'il va se passer avant que cela ne se passe (heureusement!), mais à chaque nouvel évènement, on n'est pas surpris.
Pas mal de violence, mais le côté noir est plus forcé que le côté violence. Cela rend le tout très lisible, sans étalage inutile de sang, sans le côté massacre à la tronconneuse.
Bref, intéressant, surtout pour répondre à la question: "C'est quoi un polar?"
Encore un tome consacré à Sasaki, je commence à saturer avec ce personnage et ces aventures, Musashi est beaucoup plus interressant, ce tome est centré sur le combat entre Kojiro et Koin. Surement le tome le moins interressant depuis le debut.
Une magnifique couverture de Kubert, un premier episode vraiment tres bon avec les Xmen qui rendent hommage à Joseph, sauf Logan qui s'entraine en salle des dangers pour tuer Magneto. La suite par contre est assez mauvaise.
Magneto est de retour et il est pas là pour jouer à la dinette, on assiste donc à un nouveaux combat face aux Xmen et un Logan dechainé face à celui qui l'a privé de son adamantium. On apprend enfin les origines de Joseph, ce cycle en 2 albums est vraiment bon avec 2 crack aux dessins : Kubert et Davis. Le final est surprenant avec un mort et Magneto qui sort " vainqueur " puisqu'il obtient l'ile de Genosha.
Tres bonne histoire.
Desormais on sait qui est vraiment Cog et on comprend le role de Bootsy qui est le pendant de Cog coté paradis. On decouvre la 3 eme force en presence apres l'enfer et le paradis : la mere nature ( nom tres ridicule au passage ). La mere nature veut se servir de Spawn ( comme tout le monde ), tres bon episode avec 3 magnifique double pages ou Capullo excelle vraiment, dans ce tome on retrouve les anges avec plaisirs enfin pas pour Bootsy. L'histoire avance doucement mais surement.
Jean-David Morvan, scénariste bien connu pour sa série Sillage et ses déclinaisons, et aussi plus récemment pour avoir repris avec José-Luis Munuera la série classique Spirou et Fantasio, offre à ses lecteurs une nouvelle série où le fantastique et l'étrange se côtoient pour former un tome des plus intrigants.
Sur un dessin de Pedro J. Colombo, le lecteur se retrouve rapidement pris par l'histoire étrange racontée, tout en se questionnant à plusieurs reprises pour tenter de comprendre la direction prise par les auteurs. Les planches se suivent ainsi, et procurent, malgré les quelques petites failles de dessin au point de vue des perspectives, un réel plaisir de lecture qui ne prend fin que pour donner une intense envie de poursuivre l'histoire dans le deuxième tome récemment paru.
En bref, ce premier album de Trois... et l'ange est très intéressant et plaira aux amateurs d'intrigues surnaturelles et ésotériques!
Voici la première parution directement en langue française pour cette équipe d'artistes qui avaient connu leurs débuts avec la publication de comics chez la société Image Comics, alors qu'ils réalisèrent les quelques derniers épisodes de la série Warlands: The Age of Ice, ainsi que le numéro spécial One-Shot intulé Warlands: Dark Tide Rising. Pour ce nouvel album, ils font équipe avec l'éditeur de journaux professionnels dans les domaines du jeu et scénariste à mi-temps Kurt McClung, qui écrit cette fable de demi-dragons après avoir été inspiré, lors de son dernier congé aux États-Unis, par l'atmosphère des politiques hégémoniques de l'actuel président.
En lisant cette bande dessinée, plutôt que d'avoir droit à une critique de la société américaine, - si l'on s'en tient aux sources inspiratrices de l'auteur - le lecteur pourra plutôt profiter d'une atmosphère qui s'apparenterait avec celle du monde de Donjons et Dragons. En effet, les protagonistes de l'histoire étant mi-hommes, mi-dragons, agrémentés de la présence d'elfes et d'ogres à travers le récit, le résultat du monde imaginé par Kurt McClung possède énormément d'éléments fantaisistes de l'univers bien connus pour ses jeux de rôle et ses adaptations électroniques. Ainsi, avec cet ensemble de personnages variés, acteurs d'un scénario captivant, le scénariste réussit à séduire son lectorat dès son premier scénario.
Associés à l'auteur dans cette aventure créatrice, les dessinateurs Mateo Guerrero et Aure Jimenez semblent bien confortables dans ce monde de créatures et de monstres divers, car leur interprétation de ces êtres donne un rendu tout à fait splendide, spécialement pour le dragon et les humains hybrides qui sont tout à fait réussis. Ainsi, avec les couleurs de Jose Maria Reyes Parra, le résultat final offert aux lecteurs est très invitant, et attise l'intérêt qui semble diminuer pour premiers tomes de séries nouvelles.
En bref, ce premier tome, qui demandera à être relu avant de pouvoir attaquer la suite, permet un moment de lecture agréable, et charmera sans aucun doute les amateurs des mondes de D&D.
Deuxième volet des aventures ce cet éminent savant est du même accabit que le premier tome: très propre, très politiquement correct.
C'est bien dessiné, quoique classique, et un brin figé (mais ça correspond un peu au style et à l'époque de l'intrigue).
le scénario est correct, et un peu gentillet.
C'est de la bonne BD à faire lire à nos enfants, sans violence, avec des bonnes intentions et une atmosphère très scherlock Holmes et très Jules Verne.
Pour nous adultes et Bdphages, c'est vraiment trop gentil...
je suis toujours friand de ce genre d'histoires à la Sherlock Holmes,et là , on est en plein dedans ! Le récit est complètement basé sur l'enquête autour de meurtres en série mystérieux. Un étudiant en médecine s'improvise apprenti-détective et utilise les techniques naissantes de la police scientifique et de la psychanalise (Freud, jamais cité néanmoins) pour progresser dans ses recherches, et c'est passionnant.
Les dialogues sont réussis, avec quelques très bons moments, et j'aime bien ce dessin "en pointes" (proche de celui du "Dr heraclius Gloss" par exemple).
Au rayon des petits reproches:
* le lettrage est il est vrai, parfois difficile à lire, mais ce n'est pas insurmontable (et puis, cela donne un petit côté "vieilles lettres" propice à l'époque décrite, finalement pas désagréable).
* le récit est quand même très linéaire, c'est l'enquête et seulement l'enquête (juste une petite incursion loufoque avec "l'avion" du pépé au début), mais bon, ça fait déjà 160 pages quand même, et la lecture est assez dense (rien à voir avec le "c'est plié en 10 mn", comme on a pu le lire ici au vu du petit format).
* l'utilisation fréquente et pas toujours justifiée des cases en noir et blanc
* plus gênant, pour moi, la fin m'a un peu déçu... par rapport à la "galipette finale" promise par l'auteur !
Bon, finalement, j'ai cité plus de reproches que de qualités, mais qu'on ne s'y trompe pas, le plaisir de lecture est bien présent, et je ne regrette pas du tout mon achat !!
Certes, j'ai trouvé les dessins vraiment très réussis mais la narration est chaotique. Le découpage est original mais peu efficace et je n'ai eu aucun plaisir de lecture. On a une succession de scènes passant sans transition d'un lieu à un autre avec divers personnages, si bien que l'histoire en devient très confuse. Finalement, l'histoire et le symbole mystérieux n'est qu'un Gimmick très facile. A la fin, il est noté "l'histoire continue"... Ce sera sans moi. Je sens que des albums comme ça, avec scénario creux mais alambiqué (exprès pour faire croire qu'il y a du fond), ils peuvent en faire beaucoup...
La on retrouve le génie de Fred : c'est en effet très drôle, moins fantastique que son philémon bien connu, le registre n'est pas vraiment le même mais c'est plein de vérités dites avec poésie et humour. Une des meilleures BD que j'ai lues incontestablement. Le style est en plus très particulier, vraiment propre à l'auteur.
Le première page avec un extrait de programme télé (selon Fred) donne le ton...
Mince je me suis gourré avec la note dans mon précédent post et je ne peux pas le modifier (je clique sur le lien 'modifier' mais rien ne se passe...)
L'ouvrage est superbe en soit, très luxueux, mais je dois avouer que les planches en elle-mêmes ne m'ont pas emballées. C'est imaginatif mais il n'y a pas le génie de Fred dans cette BD je trouve. On ne peut pas faire que des chefs d'oeuvre non plus !!!
Un album étonnant dans lequel Tome et Janry laissent apparaitre les prémices de ce que sera la révolution "Machine qui rêve". Petit à petit nos deux compères deviennent adultes, plus humains, le vernis craque . Tome et Janry auront eu 'immense mérite d'attribuer un dimension humaine à nos héros préférés. Ils ont leur défauts, leurs soucis, leurs problèmes, ils prennent du relief. Ce que Franquin pouvait dissimuler derrière son génie créatif est apporté chez Tome et Janry par plus de profondeur donnée aux personnages. Un album qu'il est nécéssaire d'avoir.
Enfin ils avaient osés tuer definitivement le père. Franquin était unique, génial indispensable, mais il n'est plus. A vouloir trop respecter on fini par ne plus créer. En l'occurence jusqu'à cet album, bien que le précedent laisse déjà entrevoir certains changements dans la psychologie des personnages,la série déperissait tranquillement, bien installée dans un train-train de bon alloi, pas de prise de risque pour ne pas trahir l'"esprit des personnages". Bref on n'avançait plus.
Qu'apporte cet opus ? Un trait nouveau, des personnages adultes, (même le Spip... depressif) un regard ironique sur eux mêmes un rythme nouveau, rapide, haletant, c'est sombre, noir dans la ligne des meilleurs thrillers. Il est certain que le Marsupilami n'aurait pas eu sa place dans cet album à l'humour noir et second degré, mais il fait partie d'une époque révolue. C'est indéniablement l'album (avec Luna Fatale le précedent) qui m'aurait réconcilié avec une série que je fuyait depuis longtemps dénaturée qu'elle était par des scénarii sans saveurs ou presque. Pourquoi leur avoir retiré la série?
J'ai été déçu par le scénario, je m'attendais à mieux que ça. Il y a pas mal de sexe c'est un peu lourd ça fait 'crados' honnêtement il ne s'agit pas d'une BD érotique mais pourtant à plusieurs reprises on a des scènes de sexe dont on se demande ce qu'elle font là, d'autant que le dessin n'est pas le point fort à mon avis de cette BD. Ca casse l'esthétique et j'avoue que j'aime bien les albums 'esthétiques' ;-)
Le scénario m'a extirpé quelques sourires, sans plus. Ca ne vaut pas le chat du rabbin de Sfar, ç'a n'a pas la même finesse.
Bonne lecture néanmoins c'est bien sur assez distrayant !
Une très belle BD grâce aux dessin et à la mise en page des bulles qui est très esthétique, avec pas mal de finesse autant dans le scénario que le dessin qui n'est pas excessif et très juste j'ai envie de dire.
L'histoire est alors captivante, même si la fin de chaque album laisse un sentiment de frustration, témoin de la qualité des ouvrages. Achetez !
Note : une faute de typo page 9 : "je l'ai explusé"
Patrick Prugne, dessinateur de génie, réussit là un bd très originale, reprenant le thème de pinoccio.
Peu connu, elle mérite pourtant tout l'intérêt des lecteurs.
on retourne dans la magie de l'enfance et la féerie.
Sympa.
Pour sa première Bd, christophe Bon, réalise là un bon one shot.
L'histoire, dans un style de "souviens toi l'été dernier" est bien ficelé, même si elle aurait demandé un peu plus d'étayage, avec un deuxième tome.
Le dessin est précis, et dynamique.
Bref c'est une bonne Bd, qui est le début d'une caarière prometteuse.
Ce premier volet de Shandy est assez agréableaux premiers regards, alternant les planches plutôt sombres (reflétant bien l'atmosphère du XIXème siècle) et quelques planches aux couleurs vives. Des dessins de paysages magnifiques, et l'attention portée aux différents degrés de luminosités sont excellents. Cependant, l'expression donnée aux personnages n'est pas toujours aussi soignée et les scènes de combat laisse plutôt envisager un comics.
Le scénario de départ est très original, suivi d'une course-poursuite suite à un probable complot contre Bonaparte. Bref assez prenant, même si quelques passages laisse baisser le niveau d'attention du lecteur. Mais, la naïveté et autres défauts du personnage principal nous montre un héros hors du commun.
J'apprécie vraiment la qualité du dessin qui aide à se plonger dans l'ambience prenante de l'histoire. J'ai découvert très récemment et j'accroche pas mal je dois dire !
Une excellente série et un 1er tome réussi. Contrairement à ce qui a été dit avant, je trouve les dessins et la mise en couleur très réussie. La mise en couleur (directe, méthode, il est vrai, aproximative mais donnant de très fortes impresssions) est parfaite pour cet univers brumeux, enneigé ou on ne distingue pas tout. C'est du coté de l'histoire par contre que j'ai une réserve. L'univers est très intéressant et c'est de la bonne SF mais l'histoire part d'un postulat de départ véritablement énorme que je trouve vraiment léger. En effet, suite à une tentative des européens de maîtriser la météo, celle-ci s'est déréglée sur l'Europe qui vit désormais en autarcie suite à un embargo total des autres pays de la terre. On nage en plein délire et cette explication ne sert strictement à rien dans le récit et aurait pu être évitée (comme dans la série Jérémiah par exemple). Mais cela ne gache pas trop le plaisir de lire cette Bd.
Vient de sortir "Marius et Jeannette", comme ça la boucle des "contes de l'Estaque" est bouclée. J'ai apprécié la trilogie (si l'on peut s'exprimer ainsi) aussi bien au cinéma qu'en BD. La simplicité dans tous les sens du terme y est de mise, mais le fond lourd de sens.
Lu ce matin, BD qui fait partie de celles qui restent dans nos mémoires comme étant au-dessus de la masse.
Le trait de Le Floc'h est plein de simplicité et sans fioriture. C'est particulièrement beau.
L'histoire est prenante et émouvante. La psychologie des personnages dans ce contexte de guerre des tranchées me semble un élément fort intéressant de cette BD. La narration est subtile, l'ensemble bien amené.
Cette BD est un petit bijou (un grand ?) que je conseille vivement.
Je viens de le lire et je dois dire que c'est un bien bel ouvrage.
Tout d'abord d'un point de vue scénaristique où l'on peut déjà voir (alors que ce n’est que le premier volume) un excellent background de l'univers que nous propose l'auteur où l'on peut y voir pelle mêle cour d'intrigues, actions et personnages hauts en couleurs. D'ailleurs même si on l'a voit très peu, le personnage pour lequel j'ai flashé est la mystérieuse F'lar.
Secondo, Eric Bourgier nous prouve, après l'excellent Live War Heroes, ses talents de dessinateur et coloriste. Que ce soit dans les décors et dans les costumes, on se rend compte que l'artiste a su mettre en image un univers d'heroic fantasy plutôt réaliste et surtout sans en faire trop (contrairement à d'autres qui abuse des héros bodybuildés et des bimbos siliconées)
Je viens de (re) lire les 2 tomes et .... merde, elle est où la suite ?! et le
tome 3, il est où ?
Allez François, vite au travail !!
Sérieusement, chapeau bas ! le tome 1 était prometteur mais ce tome 2 va
scotcher tout le monde !
Graphiquement, c'est une réussite Les planches sont superbes, le dessin est
précis et fouillé (AH les décors !) les personnages ont pris en dynamique
BRAVO ! (c'était pour moi, le petit défaut du premier tome), les couleurs/
ambiances sont toujours adéquates et Splendides
Mais alors le scénario... Youaaah ! çà a pris en épaisseur ! Tout fonctionne, on
se laisse transporter par l'histoire et on veut en savoir plus, beaucoup plus !!
QUI, QUOI, ... Je ne suis pas du genre à spoiler donc, allez lire Freaks Agency
! Tout de suite !! Achetez le! Offrez le !
quelle claque!cette histoire,qui a pour protagoniste blue bettle est simplement géniale.J'etais sceptique avant la lecture,mais je me suis laisser emporter dans cette hisstoire fabuleuse,meme si on en connait la malheureuse fin...
chapeau Blue Betlee,tu es l'un des heros qui ma le plus marqué.
Cet album cloture un cycle qui dans l'ensemble aura confirmé la bonne impression laissée par les cinq premiers tomes. Certes, le scenario devient plus manichéen, parfois caricatural, et peu paraître s'égarer en narrant deux aventures de front, mais le suspense est malgré les vieilles ficelles utilisées au rendez-vous. On se surprend même à ne tourner que très lentement les pages afin que le héros ne se fassent pas surprendre, suspense renforcé grâce à un dessin réaliste clair et agréable...
Trois ans d'une longue attente. Et je ne suis personnellement pas déçu, car c'est (encore pour moi) de la très grande qualité. Je suis juste surpris pas l'esprit et l'atmosphère qui anime ce tome. On a vraiment l'impression d'avoir raté des tomes clés entre le dernier et cette nouvelle histoire. Ceux ci seront , sans doute, traités dans des Donjons Monsters. Cela n'altère en rien la compréhension de l'histoire mais c'est surprenant. Cette histoire commence de la plus triste des manières avec l'enterrement de la femme de Hyacinthe. Cela marque un peu l'esprit de ce tome à savoir ultra glauque. Hyacinte devenu un riche comte (et le grand chef de la guilde des tueurs) tombe après la mort de sa femme dans une véritable dépression. Le récit consiste, en gros, à nous raconter sa convalescence (aidé par Alexandra la tueuse) et comment il va peu a peu refaire surface alors que tout s'écroule autour de lui. On a quand même un peu l'esprit des Donjons Crépuscules dans ce Potron Minet notamment avec tout cet univers qui s'écroule. Il est d'ailleurs un peu dommage d'avoir tuer l'innocence qui habitait les premiers tomes de cette série plutot charmante et qui en faisait sa particularité. Les aventure naives de la chemise de la nuit, assez touchantes, ont laissé place à une incroyable noirceur et profondeur dans ce tome. Mais bon, il est normal de faire évoluer ces personnages et nous sommes ici au niveau 84, contrairement au précédent qui était au niveau 97, sous entendu qu'il s'est passé beaucoup de chose entre ces deux tomes. Cela n'enlève en rien à la qualité de ce tome avec un Christophe Blain toujours aussi (sur)doué dans la narration (ahh j'adore toutes ces nombreuses petites cases bien typique de son style). Bon, finalement, encore une série passionnante qui me laisse dans une incroyable attente.
Quand j'ai découvert ce manga dans le bac de la bibliothèque j'ai pris sans une seconde d'hésitation !! Las !! Que je me suis ennuyé avec cette histoire, ce mélange de polar et de fantastique est pour ce qui me concerne totalement manqué !! L'histoire est inintéressante au possible ! Bref je ne conseille pas... restons sur le chef d'oeuvre qu'est Akira !!
J'ai beaucoup apprécié cet album, mais je vais avoir bien du mal à dire
pourquoi ! Les scenario tient dans les quatre lignes du quatrième de
couverture, le personnage principal est d'une banalité exemplaire, et pourtant,
on ne décole pas de cet album, qui mèle poésie, humour et mélacolie à
merveille, grâce à un superbe graphisme qui bien que sommaire fait passer
par tous les sentiments ces attachants personnages...
Excellent album plein d'humour,Averell et Ran tan plan deviennent sur-intelligent grace à une dragée spéciale,et ça donne des situations trops amusantes !
Rien que la couverture donne envie d'avoir l'album.
UN album très agréable à lire. Ceux qui ont apprécié Phénoménum du même Védrines ne seront pas déçu par le dessin et un scénario prenant mêlant aventures, fantastique et émotions. A lire !!
Très bonne reprise, très fidèle dans l'ensemble...
J'ai choisis de faire cette collection en achetant les Tomes collector à savoir:
Un tome + un épisode sur dvd + une boite de rangement = 10.95 euros.
L'offre est disponible pour chaque tome déja, juste une petite coquille à faire remarquer, le dépliant publicitaire du coffret 4 annonce que le coffret contient les épisodes 4 et 5 mais ne contient que l'épisode 5.
En tout cas un animé à l'ambiance très particulière, posée mais glaciale, un manga similaire où l'on ressent peut être moins ce malaise.
Ce tome est une succession de combat violent avec toujours, à mon grand regret, Kojiro en vedette qui va tuer un nombre impressionnant d'adversaire avant de se confronter à un adversaire à sa hauteur. Vivement le retour de Myamoto, la partie avec Kojiro commence à devenir longue.
Avis sur les numeros 66 à 69. Retour de Claremont au scenario et le moins que l'on puisse dire c'est que c'est une reussite, Logan se marie avec la vipere, mais l'evenement est bien sur le combat entre Creed ( qui a eu un squelette en adamantium on ne sait comment ) et Logan et Kitty pride. Tout ce beau monde va finalement s'allié contre un ennemi commun qui veut prendre le controle de Madripoor. Tres bonne saga.
Tout simplement sans interet et avec un dessin vraiment inegal.
Iron Man : c'est toujours une excellente serie, avec un tony Stark toujours aussi interressant, les dessin sont toujours au top
Avengers : Churchill a remplacé Liefeld ( qui s'est fait viré ) sur la serie, on perd pas au change, le trait de Churchill etant vraiment magnifique et detaillé, cet episode des vengeurs est calme et c'est le debut de l'amitié Thor/Iron Man. De nouveaux mechant entre en scene à la fin.
Dans la droite lignée des maîtres de l'orge, ce premier opus mèle une
ambiance et une intrigue des plus prenantes... Rien d'étonnant au vu du trait
réaliste - bien que quelque peu figé - du dessinateur, et de la connaissance du
sujet par le scénariste, lui même avocat. Ce tome est donc à recommander, et
annonce des suites réjouissantes...
Iron Man : c'est toujours une excellente serie, avec un tony Stark toujours aussi interressant, les dessin sont toujours au top
Avengers : Churchill a remplacé Liefeld ( qui s'est fait viré ) sur l
sa a tres mal vieillit, pour les vieux ou les gamin seulement :)
Numero tres moyen , l'episode des FF est assez mauvais sans grand interet. Pour Cap le nouveaux dessinateur est catastrophique mais on a droit à un face à face entre Furry et Clinton assez sympathique.
Premier crossover de l'univers Reborn avec tout les heros qui s'unissent pour eviter un catastrophe, le dessin de Churchill sauve le tout car le scenario est vraiment basique et qu'il n'y as même pas de combat spectaculaire, tres decevant au final.