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Début de série assez sympa, un scénar divertissant, un dessin excellent , mais si la couleur a sa "propre personnalité", est constitué de couleurs grises et beiges , presque uniquement ce qui confére une vrai cohérence à ce titre, cela confére un aspect terne, nuit au scénario selon moi....
Au bout d'une 10aines de pages, ce choix se revele selon moi limité, avec des couleurs plus flashy cet album aurait eveillé en moi un interet plus puissant..
Excellent album, pour une excellente série....
Décidement Mr Dufaux est en grande forme en ce moment...
Dans ce tome 3, une affaire est entiérement résolu, mais le lien avec les premier tome est continu, dufaux posséde un talent peu commun pour éclaircir certaines situations, faire évoluer sa série, tout en renforçant les mysteres, affirmant les relations et psychologies..
Bref, ce mélange d'histoire, d'intrigue, de manipulations, de mystére etc.. est tout bonnement excellent, renforcé par un dessin trés trés bon...
Le style de ce premier tome est nouveau, mais oser l'innovation tout en gardant la ligne de la série originelle, il fallait oser! : Le légataire est la suite du tome 1 du décalogue, tout comme les Fleury-Nadal-Ninon est la suite du tome 8.. une pieuvre à 3 têtes en quelque sorte! mais le procédé reste très ingénieux : on peut tout à fait lire chaque série sans même avoir lu les 2 autres, l'histoire tient tout de même debout. Je reste admirative face à ces trois séries : l'unicité à travers la globalité, voilà ce que m'inspire le légataire. C'est très fort et bien pensé! les dessins restent beaux, le scénario presque haletant, l'intrigue et le doute nous tiennent jusqu'au l'avant dernière planche, un travail de maître!
Excellente nouveauté !
Le support en lui meme est deja tres soigné, la couverture attirante.
L'histoire quand a elle est la fois classique et originale: avec une ambiance de guerre imminente entre un pays de l'est soumis a la dictature et un pays de l'ouest plus civilisé, qui rappelle la guerre froide, mais avec suffisemment d'humour, de rebondissement, et cette petite touche d'imaginaire ( references au long metrages animés japonais) qui crée un monde bien a elle.
J'ai adoré le deroulement, le dessin au crayon tres bien maitrisé; et le fait de pouvoir suivre une histoire regulierement et ce pour un prix modique.
Allez y !!!!
Un bon thriller, le meilleur des deux derniers qui m'ennuyaient un peu : c'est dans cet épisode-là où on découvre presque tous, et l'on comprend mieux.
Pas de regret, pour vous rassurer !
Voici une transcription très réussie des romans SAS. Le dessin est agréable et prometteur et est supporté par un scénario de qualité. Bravo pour cette adaptation et vivement la suite
Le dessin est beau, le seul problème (quand même de poids) c'est que le scénario d'Agatha Christie est trop dense pour tenir en 46 pages, et je pense que sans avoir lu le roman avant, on ne peut pas comprendre la BD.
Probablement l'album le plus sombre de la série. Il nous montre la transformation douloureuse de Peter en Peter Pan. Dans cette version revisitée par Loisel, c'est donc à partir de ce tome que l'histoire originale de Barry est réellement commence. On retrouve tous les éléments d'origine : Naissance du héros original, animosité et combat avec Crochet, arrivé des autres enfants sur l'ile etc. Mais on note aussi la variante de Loisel avec l'arrivée du personnage de Jack. Un album très riche et un tournant dans la série. Place au dénouement en 2 actes !
Numero enorme tout simplement, on retrouve enfin Dent de Sabre que l'on avait perdu de vue depuis un bon moment, il fait equipe avec Mystique : ils veulent assassiner le senateur Kelly.
Chez les Xmen Bishop reintegre l'equipe ( apres le catastrophique crossover Max Secu ), Malicia a quelques problemes avec ces pouvoirs depuis qu'elle absordé l'energie d'une Skrull. Cable, Fauve, Gambit et Colossus se charge de proteger Kelly contre Colosse, Crapaud et ci. Le premier mort est Pyro qui se sacrifie pour sauver Kelly !!! mais ce dernier va quand même mourrir.
On assiste aussi à un combat entre Bishop et Creed puis Malicia et Mystique ( tres bon combat ) Moira va etre la victime de ce conflit. Claremont nous fait ENFIN un bon scenario parce que bon ces episodes avec le Neo sont assez terne dans l'ensemble. Un tome indispensable.
Plein de bonnes idées, un dessin sympa avec un decoupage dynamique mais il manque quelque chose pour que ce soit réellement passionnant, assez déçu dans l'ensemble, surement dut au manque flagrant de charisme des personnages.
Deux jeunes, Stanislas (Stan) et Mohamet (M'hamet) sortent des épreuves du bacs et fêtent cela en allant à la Boum des Forestières (2 soeurs). En un rien de temps l'"affaire" est conclue avec les 2 soeurs. Malheureusement le frangin des deux belles (Jean-Pierre), garant de l'esprit de famille, mais surtout profondemment raciste ne l'entend pas de cette oreille et engage , soutenu par 3 de ces camarades une poursuite de nos deux compères. Les rosser sévèrement devient sont seul but. Les périples de Stan et M'hamet les emmèront dans le midi, non sans perturber la vie de Mr Carigon.
Amusant parfois grâce notamment aux mésaventures de Mr Carigon, ce livre traite avant du racisme primaire façon "Dupont la joie" et rappelle les atouts de 2 jeunes atouts, linsoucience.
Le graphisme particulier, séduit au bout du compte
Un 2ème tome qui vaut le détour rien que pour le voyage dans l'Opikanoba, que Loisel, par un style géniale (les effets de brouillard), réussi à créer cet endroit magique, lugubre et engoissant. Du 100% Loisel quand on connait son travail sur "La quête de l'oiseau du temps"! Dès les 1er tomes, Loisel nous raconte sa version de "Peter pan" sur plusieurs niveaux de lecture. Celui du pure fantastique et imaginaire enfantin proche du conte initial. Il y a également le récit du réel avec un voyage intérieur effectué par son héros entre folie et schyzophrénie. Réel et imaginaire à la fois, il y a bien une partie éclairée et une autre très sombre... Celles-ci sont les cotés pile et face d'une même pièce.
C'est le 1er et c'est mon tome préféré de la série en terme de dessin. Certaines planches sont absolument superbes notamment celles représentant Londres au 18ème siècle. Loisel n'édulcore absolument pas l'histoire de Peter Pan comme peuvent le faire les américains aujourd'hui et il n'hésite pas à montrer la cruelle réalité de l'époque. C'est de cette dureté de la vie qu'est née cette histoire fantastique. Loisel a visiblement beaucoup mûri son histoire car tout y est. Original car ne reprenant pas totalement la version d'origine et profonde car plusieurs lectures sont possibles.
Le scénario n'est absolument pas original pour tout ceux (et ils sont nombreux) qui connaissent la très classique guerre de Troie. Les ajouts SF sont beaucoup moins pertinents que pour la série "Le fléau des dieux". Le scénario est pauvre et même mal raconté par moment. Les dessins sont vraiment très moyens et manque cruellement d'envergure.
Il était quand même temps que ça se finisse... Ce tome ressemblant plus à épisode de Dragon Ball Z qu'à la guerre intergalactique des 1er tomes. Ils annoncent une nouveau cycle qui s'annonce encore farfelue. Sans moi, et pourtant j'avais adoré les 1er tomes.
Très bonne reprise par Taymans qui réussit à recréer l'univers complet de Sibylline. Dans le TT, limité à 300 exemplaires+50HC il y a 4 pages d'études de personnages, l'album complet en crayonné et en couleur + l'histoire "l'aéro camelot" de Macherot + une sérigraphie
J'ai d'abord été irrémédiablement attiré par la fabuleuse couverture. Celle ci prend d'ailleurs tout son sens à la fin de ce 1er tome. Après, l'histoire et les dessins s'avèrent pour l'instant ultra réaliste et ce très bon 1er tome est un album de mise en place. But complétement atteint car l'histoire prend bien le temps de présenter les différents personnages dont certains ont des attitudes bien étranges et laisse augurer pas mal de rebondissements par la suite. A la fin, on est cependant partagé entre le sentiment de trop peu révélé et le fait qu'une bonne série se doit de prendre le soin de ne pas rester à la surface en développant un minimum l'environnement et les personnages. Une bonne entrée en matière devant faire ses preuves et concrétiser un bon potentiel dès le second tome.
Même constatation que les premiers tomes, la couleur des encres n'égale pas celle des dernières parutions. Ça enlève au plaisir.
Harry Dickdon mène l'enquête sur une île où les insulaires se font hypnotiser par un savant fou.
Bonifay, ce génie de la sensibilité et de la naïveté nous remet ça avec ce conte noir de Noël. Zoo demeure cependant son opus.
Une histoire de rédemption, de foi..et de folie bien placée. De toute façon, ne faut-il pas être un peu fou pour croire au Père Noël???
Mais...comment peut-on être aussi cons? C'est vraiment la question que l'on se pose à la lumière de Lune de guerre. Le dessin y est magistral;un des plus beaux que j'ai vu dernièrement. Il sert admirablement bien cette histoire de fous où on se demande effectivement qui est le plus fou. J'ai bien aimé papy. J'aime toujours lorsqu'on place un vieux croulant dans une histoire. Dommage qu'il doive y passer aussi durement. À offrir en cadeau.
Le dessin sert à merveille le scénario. C'est glauque, violent et assez divertissant. Sombre mais efficace! Qui voudrait voir débarquer pareille gang de déjantés?
Les dessins sont extraordinairement beaux. On y retrouve l'art des éditions EC Comics. Des visages d'hommes et de femmes de rêve. Le problème réside cependant dans le fait que les personnages se ressemblent tous et qu'on vient malheureusement à s'y perdre. Je n'ai pas terminé l'album, trop agacée par cette situation.Je ne m'y retrouvais plus, et ça, je n'aime pas. Dommage car l'histoire n'était pas si mal mais ne me donnait pas l'envie de décortiquer les planches pour essayer de comprendre qui était qui.
Le problème avec les premiers tomes, c'est que l'encre est diluée; on dirait seretrouver avec de vieux albums bd.Il y a une nette amélioration avec la continuation de la série.
Harry Dickson se retrouve face à un fantôme venu de l'Égypte antique. Divertissant!
L'atmosphère est trèsbien dépeintepar les couleurs sombres et délavées si propre à Christophe Gauthier et ses dessins quasi gothiques.
On suit l'enquête de ces membres de cirque...disons assez spéciaux.
Un bon divertissement qui a la qualité de représenter l'art dans toute sa splendeur.
On frise le chef d'oeuvre à tous points.
- Imagination sans limite pour ce conte fantastique qui nous fait voyager aux travers de destinations mysterieuses en compagnies de personnages hétéroclites et attachants.
- Soucis du détail dans les dessins du premier au dernier plan
- Dialogues ciselés et qui tombent justes.
- Constance dans ces qualités du premier au dernier album.
Bravo à Ayroles et Masbou
Voilà bien un exemple de la politique marketing de soleil ,le scénarion est vide
même pas un dragon.
La geste qui devait permettre à de jeunes dessinateurs de se faire connaître, viens de passer outre et voila Briones pour un deuxième Opus de son cru avec un dessin beaucoup plus grossier qu'au tome 2 .
Et des hymnes oubliés en chant oubliés , on se croirait dans un mauvais héroic fantasy, et c'en est bien un!!!!!!!!
A tous les amateurs de la série, ne faites pas un dépense que vous regreteriez
attendez le 5 les dessins de Christian Paty valent le coup, reste à espérer que ange stoppera sa boulimie créative afin de se concentrer sur la qualité des scénars.
L'impression laissée par le t. 1 est confirmée.
Quatre nouveaux chapitres pour quatre histoires où humains et yokai cohabitent encore une fois. D'abord le récit d'une mystérieuse femme fantôme en kimono, puis celle d'une danse autour du pilier sacré protecteur d'une famille, ensuite celui d'un jardin miniature où vit l'âme jamais rassasiée d'un cannibale, enfin une étrange histoire derrière un paravent avec jeux et paris.
Nous retrouvons des personnages du premier volume, en particulier la cousine de Ritsu, Tsukasa qui a un rôle non négligeable dans les 2 premiers récits, mais aussi les moineaux Ojiro et Oguro, sans compter l'ami Aoarashi.
La qualité demeure présente tant au niveau de la narration que du dessin.
Vraiment un bon manga
Une vraie réussite,très beaux graphiques et tout...
L'histoire est très sympa:suspence,amour,secrets.
Ce livre est vraiment très bien.
Le principal protagoniste est un cyborg, mi-homme, mi-robot, que l’on retrouve
dans un univers totalement burlesque et décalé, comme ce scénariste les aime
bien. Des orgies, où des femmes s’adonnent aux plaisirs charnels, ponctuent
d’épiques moments de bataille, le tout dans des décors exubérants. Anibal Cinq
est une bête de sexe qui ne rechigne pas à donner de sa personne. La couleur
est moins criarde que dans la première édition… Bref, une intégrale à
redécouvrir avec des croquis de Bess en préface ! Cette série reste de loin la
moins intéressante de ce binôme en comparaison avec Le Lama blanc ou Juan
Solo.
Dans son journal, Joe Matt dévoile une partie de sa vie pour le moins
tourmentée et peu ordinaire. Il utilise la bande dessinée comme thérapie pour
échapper à ses vieux démons qui le hantent encore : son éducation religieuse
qu’il a mal supporté, la relation tumultueuse avec sa famille, un penchant très
prononcé pour la radinerie, une vie sentimentale chahutée durant son
adolescence, une relation amoureuse chaotique avec Trish et enfin une
obsession maladive pour la pornographie.
Son style graphique, assez sobre et minimaliste, sert avant tout la narration.
Le lecteur finit par ne plus attacher d’importance aux diverses variations du
dessin puisque, à chaque histoire, l’auteur change de découpage et parfois
même de sens de lecture. N’est-ce pas là une manière pour lui de nous
montrer qu’il maîtrise le médium à la manière de Robert Crumb, son mentor ?
Obsédé et fier de l’être
Son insatiable penchant pour la masturbation, son goût affirmé pour les films
pornographiques et les moments de détente dans les peep-show ont
transformé Joe Matt en cas clinique intéressant : un érotomane primaire
incurable ! Le comble de son histoire est qu’il révèle certains travers des
hommes en général et des auteurs de bande dessinée en particulier. Vivre en
couple ne lui réussit guère plus que le célibat forcé. Et pourtant, une relation
amoureuse tumultueuse avec Trish l’éloigne progressivement de son
obsession… Pour combien de temps ?
La famille « Matt »
L’autre thème principal de son journal : la famille. Il dresse un tableau assez
sombre de ses proches, une sorte de croisement entre les Adams et les
Simpsons. Malgré tout, il reste attaché à eux et ne les renie à aucun moment.
Qui aime bien, caricature bien ! Sa mère est omniprésente dans ses critiques
acerbes de la religion. En effet, la bigoterie de celle-ci et les années passées
dans les écoles catholiques l’ont rendu athée et anticlérical. Il explique aussi
qu’une partie de ses frustrations sexuelles provient de son éducation prônant
l’abstinence avant le mariage.
Strip-tease est un recueil noir et blanc à lire sans modération les jours de
spleen pour se changer les idées… Un récit parfois obscène mais si juste qu’il
nous pousse à réfléchir sur certains maux de notre société.
Giuseppe Bergman revient dans nos bonnes librairies pour nous offrir une de ses
nouvelles aventures. L’eau, encore elle, enfante cet héros moderne — qui
ressemble à Alain Delon, icône de Visconti — afin qu’il nous transporte dans l’une
de ses balades, pas celle de Corto mais la sienne, avec son lot de femmes et de
personnages tordus. Bergman est désabusé : le sauvage et l’inconnu qui, de nos
jours, ont été banni des aventures humaines l’ont obligé à prendre la mer, le
dernier espace de liberté. Il veut vivre le grand frisson, loin des villes et de la
modernité.
Manara confronte son personnage à celui d’Homère — archétype du roi
vagabond errant et expiant ses fautes. En effet, Ulysse, non celui de Joyce, mais
celui qui est en chacun de nous croise la voile de Bergman, héros fellinien dans
toute sa splendeur, pour vivre une partie de son Odyssée. Bien entendu, la
présence féminine, volupté et luxure, hante ses deux hommes : Pénélope attend
le retour de son mari et Giuseppe ne fait que des rencontres pour le moins
agréable. Que serait une bande dessinée de Manara sans ses femmes
plantureuses au regard coquin et aux tenues d’Eve, une véritable invitation au
voyage ! Il reste un maître inégalé dans la représentation de la nudité : la
vulgarité n’est jamais présente dans ses histoires car il connaît et aime les
femmes.
Cette série, initialement chez Casterman, est reprise par les Humanoïdes
Associés. L’odyssée de Giuseppe Bergman sort en couleur sans que le trait de
Manara ne soit dénaturé et apporte une nouvelle dimension à son travail. Les
autres aventures seront rééditées en plusieurs tomes, ce qui n’empêche pas de
les relire en noir et blanc.
L’Odéon de Londres vient de brûler… Un pasteur qui se promène en pleine nuit
aux abords d’un cottage est attaqué par des inconnus… Des motards hantent une
route de campagne… Une femme alitée dans un sinistre lit d’hôpital ne survit que
grâce à des appareils sophistiqués…
Rodolphe nous invite à suivre les pérégrinations d’un homme, co-auteur de
Gothic — une pièce de théâtre qui semble sortir de l’ordinaire — dans un bien
étrange univers où la réalité et le fantasme se croisent en permanence. A la
lecture de ce nouvel opus, le lecteur se retrouve plongé dans l’imaginaire de
Poe, une sorte de maison Usher, en plein milieu de la forêt.
Le dessin de Marcelé est admirable, croisement de Muñoz (le pasteur), de Miller
(la pluie) et de Comès (la forêt et les convives de la soirée du Baron)… Son trait
délicat et plein d’âme nous donne envie de lire l’album en noir et blanc, tant la
maîtrise des contrastes est parfaite.
L’intrigue connaît sont point d’orgue avec une soirée hors du temps, dans une
demeure bourgeoise perdue au milieu de nulle part, qui se transforme en orgie,
ultime moment de la décadence de l’homme, à la manière de Schnitzler. Pendant
ce temps, la police enquête sur une affaire criminelle, l’incendie d’un lieu de
spectacle, mais sait-elle ce qui se passe vraiment ?
De ce combat entre le Bien — réel ou supposé — et le Mal — quel est son
véritable visage ? — le lecteur ne peut que retenir son souffle et attendre la suite
avec impatience.
Le rideau a brûlé mais le spectacle continue…
Si vous aimez les histoires de piraterie de Pratt et de Stevenson alors n’hésitez
pas un instant et lisez cet album ! Pas de chance, n’est-ce pas ?
Un dessin épuré, dans la lignée de Mignola, servit par un découpage dynamique
et fluide, tient en haleine le lecteur de la première planche à la dernière case.
Les dialogues précis et incisifs accompagnent parfaitement l’action. Les
déconvenues successives, et parfois comiques — les trois héros se retrouvent
nues une partie de l’histoire — que vivent les protagonistes de Pas de chance
donnent un rythme soutenu à la narration de Riche. Les flash-back nous
expliquent l’histoire de la statuette maudite et l’importance que recèle des
tatouages sur les torses de certaines personnes qui ont participé au pillage d’un
lieu de culte animiste sur une île lointaine. Il faut déchiffrer le rébus, tel est le but
de nos amis. Mais la route est parsemée d’embûches et de mauvaises
rencontres… Car la vérité a plusieurs torses et encore faut-il les retrouver !
L’histoire est simple mais efficace, tous les ingrédients de l’aventure sont réunis :
des méchants peu recommandables, une équipée loufoque, un objet maudit, des
indigènes hostiles et la mer… Riche confirme son talent de conteur avec cette
seconde partie publiée dans une collection qui remet en avant le voyage et
l’exotisme, les mondes oniriques et les histoires surréalistes. Tohu Bohu, un gage
de qualité pour des albums en noir et blanc hauts en couleur !
On reste sur sa fin tant la chute est brutale. Et pourtant…
Pour sauver l'orphelinat menacé de destruction par Ross, le père de Raïmon, Kotobuki s'introduit dans sa résidence. Elle découvre un stock d'armes à feu et comprend alors que Ross vend ce matériel au pays voisin qui est en pleine guerre civile. Elle tombe de haut quand la belle Fia, l'adjointe de Ross, lui dévoile que l'armée est au courant de tout ce trafic et qu'on a greffé une bombe dans le crâne de Raïmon pour le dissuader de s'approcher des frontières et de trahir sa patrie.
On en apprend donc plus sur le passé de Raïmon et ses rapports avec l'armée. On découvre que c'est un garçon très doué. Une petite soirée chez un bellâtre permet à Kotobuki de s'interroger sur sa féminité et sur la grande patience que Raïmon a avec elle.
Le dernier chapitre annonce des évènements intéressants dans cette forêt étrange que les héros doivent traverser.
Enfin, il est toujours question des ailes bien sûr mais aussi de ce garçon qui apparaît sans cesse à Kotobuki et que Raïmon semble connaître lui aussi.
Un tome agréable à lire
Iron : Retour de Chen aux dessins, Episode bourré d'action avec l'identité secrete de Iron Man mise en danger. Toujours tres sympa cette serie.
Avengers : Episode qui met surtout en avant les problemes des vengeurs à etre une equipe soudé ainsi Thor a des problemes perso ( cf sa serie ), Oeil de Faucon aimerait bien etre le leader, Vision n'est toujours pas operationnel et Warbird a été viré. On rencontre 2 nouveaux personnages ( peut etre des futurs vengeurs ) : Silver Claw et Triathlon .
Un second tome tout aussi bon avec un Wolverine bestial charger de tuer Xavier, Millar maitrise bien le personnage, le passage avec ces tortionnaires de l'arme X est vraiment excellent, on assiste au premier affrontement entre les Xmen et les mauvais mutant avec Vif argent à leur tete. Le dessin de Kubert est toujours aussi efficace.
JLA : Rrrrhhhhhaaaa mais elle n'avance pas cette histoire. On a un "combat" entre la ligue et le syndicat du crime d'Amerik mais la ligue se fait laminer sans s'être vraiment défendue et un nouveau danger qui arrive. C'est tout rien de plus en fait on en est pas tellement plus loin que le premier épisode... sauf que là on en est au 5 ème. Mais quand celà deviendra-t-il intéressant ?
Flash : On assiste à l'union des criminels de Keystone et au retour de la femme de Flash mais tout est présenté de façon à faire un lien avec la saga crise d'identitée qui s'annonce. C'est plutôt bien présentée et on passe un bon moment.
Teen Titan : fin de "Titan de demain" et autant dire que ça décoiffe. 2 épisodes où on voit l'avenir des Titans et ce n'est pas joyeux bien au contraire. On y apprend aussi que tout est lié à cette fameuse crise qui s'annonce mais quelle peut elle bien être. Franchement c'est la meilleure série du mag suivit de prêt par Flash.
New X-Men : académy X : Fantôme est une histoire pas trop trop mal mais globalement cette série est centrée sur les relations entre ados mutant. Les aventures qui surviennent ne sont là que pour donner une petite dose d'action. Bon ça donne une petite dose de légèreté au mag et c'est pas mauvais.
Uncanny X-Men : Golgotha est une très bonne histoire qui met les membres de l'équipe de Havok devant leur plus grandes peur et leurs sentiments cachés. tout se voit dévoilé auprès des autres membres ce qui crée des tentions. L'essentielle de l'histoire est centré sur les relations entre les mutants plutôt que sur l'action et celà rend l'histoire plus intéressante.
C'est officliel : Peter Parker prend enfin son idépendence pour vivre dans le même appart que le fils de l'"ex"?-Bouffon Vert ce qui laisse présager des moment dur pour Peter quand l'ex-Bouffon Vert n'aura plus rien d'ex. Globalement cette intégrale est toujours d'un haut niveau (à part pour la mise en couleure évidament). On s'ennuit pas une seconde et ça se lit rapidement tellement c'est prenant.
Un volume agréable à lire comme le reste de la série, on est pris dans l'histoire sans que cette dernière ne soit passionnante. Au vue de la qualité de la série pour le moment le prix est quand même trop élevé par rapport à la qualité globale de la série mais ce n'est pas mauvais et ça évolue bien.
C'est pas le meilleur volume de la série mais il est nécessaire. On y voit la fin de la troupe du Faucon, ce qui va marquer Guts pour de bon. On y voit une fois de plus à quel point Guts est résistant et persévérant mais ça ne suffit pas toujours et ce volume en est la preuve.
Un bon volume mais la suite devrait être bien meilleure.
Wolverine fait equipe avec Spidey et l'homme taupe contre des ennemis inedit : Carver un morlock surpuissant : un recit qui privilegie l'action et tres bien mis en scene par Churchill. Sympa mais le combat final aurait mérité plus de planches.
Suite des aventures de jeune Franklin et de sa nounou, les FF affrontent les Technet ( adversaire au look vraiment sympa ) , episode assez moyen dans l'ensemble, enfin Jane montre une determination hors norme pour proteger son fils.
Cap : Arrivé de Andy Kubert aux dessins, il nous gratifie deja de magnifique planche ( notamment une pleine page avec Cap qui frappe le Skrull ) niveau scenario c'est assez bon avec Cap aidé par les vengeurs et les FF qui luttent contre les Skrull, la conference de presse de Cap est un grand moment.
Iron : Changemen dessinateur ( un clone de chen ), le dessin reste correct tout de même. Episode sympa ou la veuve noire est en mission pour le Shield et elle a besoin de l'aide de Tony.
Avengers : Suite des aventures contre l'escadron supreme, l'ambiance au sein des vengeurs est pas top avec des problemes d'autorité pour Oeil de Faucon mais c'est surtout Warbird qui pose probleme. Episode au niveau des precedents : toujours bon.
Tres bon episode des FF avec plein de Guest : Iron Fist, Cage, Miss Hulk qui assistent à un combat d'entrainement entre Jane et Iron Fist. Namor intervient pour draguer Jane, de leur coté Red et Ben rentre de suede, un episode centré sur Jane assez amusant.
Cap : En attendant l'arrivé de Kubert aux dessins on se tape un dessinateur de merde qui gache ce tres bon episode ou un Skrull a pris l'apparence de Cap et qui va mettre une sacrée pagaille.
ET hop un numero carrement inutile, je vais même pas resumer tellement sa sert à rien. Il y a aussi le prologue du catastrophique crossover Maximum Security. Et une fois n'est pas coutume c'est l'episode de Cable qui releve le niveau de ce mag.
Mais que voilà un petit album bien sympathique !
En résumé, nous sommes à la fin d'une enquête policière et le dénouement se répète sans cesse. Je dois dire que le résultat est plutôt réussi. Beaucoup d'humour et une agréable atmosphère qui semble sortir tout droit d'un roman de Conan Doyle, voilà l'ambiance générale de cet album.
Lewis Trondheim nous prouve encore une fois qu'il a beaucoup de talent. Malgrès ces 22 pages, cette bd se révèle tout à fait convaincante.
Le dessin de Frank Le Gall (Théodore Poussin) est très réussi . Son trait classique colle très bien au scénario.
Les Aventures de la fin de l'épisode vous fera passer un moment agréable . De plus, comme tous les albums de la collection "Patte de mouche", cette bd est peu onéreuse donc cela ne risque pas de vous ruinez.
Une excellente série avec des dessins magnifiques, des personnages hauts en couleurs et totalement originaux...Chaque case est à observer avec minutie car les décors et les "figurants" valent le détour et sont travaillés avec autant de précision que les personnages principaux...C'est pour moi une oeuvre indispensable d'une bonne collection de BD!!!
Je viens de découvrir cette série avec un peu de retard ( 2 ans quand même!!!) mais c'est vraiment un excellente surprise, je dirais même que c'est une véritable bombe !!!Les dessins sont tout bonnement superbes, le scénario même si je l'accorde surfe sur la mode tient tout à fait la route .Le graphisme est résolument moderne, les scènes d'action se vivent comme au cinéma bref du grand art, vivement la suite ,c'est pour demain...
Coeur de canard, lorsque je l'ai lu, je me suis dit, tiens j'en reprendrai bien un verre ! Enfin une série burlesque, inventive qui raconte des histoires extraordinaires ! C'est très drôle, les personnages secondaires sont hilarants ! personellement, ce sont les lapins brasseurs que je préfère ! allez, une petite tournée s'il vous plait ! un donjon parade avec une paille monster dans un grand verre de poltron minet !
La déesse noire est déjà le cinquième tome de cette superbe série, et il paraît a priori normal, à ce stade de la création, que le scénario et l'histoire s'essoufflent un peu. Delaby, est certes moins performant, mais il peut toujours compter sur un Dufaux, qui manie la plume avec une exemplarité notoire. Je pense qu'il est inutile de dresser des bilans désastreux et accablants si tôt (cf Karpzov), car en fan de Murena, je garde confiance, et je fais le pari que les ultimes opus nous réservent d'énormes surprises. En attendant, je ne me lasse pas de lire et relire les tomes qui figurent en bonne et due forme dans ma bibliothèque.
Merci en tous les cas, de nous satisfaire...
Un numéro moyen :
Marvel Knights est toujours aussi bas aussi bien au dessin qu'au scénario nullissime
Amazing remonte, il y a de l'action mais ça reste encore trop centré sur les Vengeurs :(
S-M breakout n'est finalement pas si bien, mettant en scène des vilains pas très connus, donc histoireu n peu dur à suivre poru ceux qui ne connaissent pas trop marvel :(
MTU remonte enfin grâce à un dessin bien meilleur et une intrigue qui avance enfin : enfin la guerre de titanus
Cet album commence très fort ! Une petite préface de Seth où il nous explique les principaux défauts de son album et son graphisme peu léché … Il faut dire que l’auteur n’y a consacré que ses moments perdus. On s’attend donc à découvrir un album approximatif et finalement qui sera vite oublié … Mais, car il y a un mais, Seth nous a trompé ! Il s’agit probablement de l’un des meilleurs albums parus cette année ! Un one-shot tel que je les aime, qui se lit d’une traite et dont on cherche frénétiquement à connaître la page suivante.
Cet album nous relate les aventures du plus grand collectionneur de Comics au monde, et je crois que tous ceux qui liront cet album pourront transposer cette histoire à leur propre passion dévorante pour la BD, certes à une plus petite échelle mais les fondamentaux de nos propres démons sur la recherche de tel ou tel album sont présents. Seth s’y prend de main de maître pour décrire notre univers de lecteurs/collectionneurs de BD.
La narration, par épisodes et interviews, est un assemblage de briques permettant la construction d’une histoire particulièrement précise et prenante. Seth nous explique dans la préface qu’il cherchait à réaliser un récit dont la globalité était meilleure que chaque épisode pris individuellement et effectivement il est parvenu à le réaliser. Les personnages secondaires (autres collectionneurs, libraires, etc …) sont parfaitement utilisés et leurs interventions améliorent la compréhension de ce petit bijou. Si vous rêviez de découvrir les arcanes du monde des collectionneurs, des ventes aux enchères, des courses pour acquérir tel album introuvable, Seth exaucera vos vœux (je ne connaissais qu’un seul autre album sur ce thème : Comixland qui était amusant à lire).
Graphiquement, poussé par Seth qui avait expliqué que son trait n’était pas extraordinaire pour cet album, j’ai voulu faire d’autant plus attention à cet aspect. Et j’avoue avoir particulièrement apprécié cet album que j’ai trouvé vif et réussit. A aucun moment je n’ai pensé qu’il avait été réalisé avec une volonté d’aller vite et de ne pas revenir dessus. Le découpage est également particulièrement braillant et adapté au récit.
Pour terminer, il faut également parler de l’objet. Car le Seuil nous propose là une BD originale et d’une qualité que nous n’avions connu ces dernières années que pour les publications de Chris War. S’il ne fallait collectionner cet album que pour une raison, ce serait celle là ;)
Quelques mois seulement après la parution de Cañari, son premier titre en langue française chez Soleil, Carlos Meglia voit sa réalisation Superman: Infinite City, conçue pour l'éditeur DC Comics, se faire offrir une traduction en français pour se joindre aux autres parutions régulières du catalogue de Panini Comics. Avec Mike Kennedy à la barre du scénario, son co-équipier de Star Wars: Underworld - The Yavin Vassilika, ils livrent une aventure amusante dans laquelle tout est permis!
Publiée sous forme d'une histoire complète de 96, cette aventure du super héros créé par Jerry Siegel et Joe Shuster en 1933 apporte une nouvelle dimension aux aventures du personnage, et ce, dans les deux sens du terme! En effet, en plus de faire voyager Clark Kent et Lois Lane à travers un portail multidimensionnel pour les amener dans la cité infinie entre les mondes, une nouvelle page de l'histoire de Jor-El, le père naturel du protagoniste, est présentée aux lecteurs.
En bref, cette bande dessinée offre un traitement fort différent de ce qui a été lu jusqu'à présent dans les séries Action Comics, Superman et The Adventures of Superman, et permet un bon moment de divertissement tout en accordant une nouvelle opportunité d'apprécier l'excellent dessin angulaire de Carlos Meglia!
Cette adaptation de Stevenson est une réussite d’autant plus que Pratt en avait
déjà dessiné une précédemment dans l’excellente collection noire chez Les
Humanos. Ce roman d’aventure permet d’explorer au plus profond les
sentiments humains sans pour autant mettre en avant l’aspect épique. Après
tout, ce livre était à l’origine destiné aux enfants même si de nos jours il a
intégré la littérature adulte.
Le dessin et la couleur de Faure nous plongent dans la peinture maritime du
XVIIIe siècle. Son graphisme est précis, il transmet de l’émotion au lecteur. La
couleur directe ajoute bien évidemment de la vie à cette histoire fondatrice du
genre. Le scénariste donne le rythme et ses dialogues sont ciselés à la
perfection.
Pour les amateurs de Michel Faure, le même éditeur publie les fils de l’aigle et
l’ombre de l’ours. Deux autres séries en couleur directe qui méritent notre
attention. Une bande dessinée essentielle qu’il faut lire absolument !
Vagabondage exquis…
Un vent hispanique souffle sur le monde de la bande dessinée depuis quelques
temps et il n’est point désagréable… Sont-ce les héritiers de Breccia, Munoz,
Pellejo ou Palacios ? Pas encore, mais la rigueur du dessin est là, la qualité
graphique indéniable et leur manière de raconter totalement latine bousculent les
codes de la bande dessinée franco-belge. Les auteurs se sont inspirés de Picasso
(scène d’amour) et de Mattotti — un autre grand du 9e art ! L’histoire est fluide,
le drame se profile assez rapidement mais le tout ne se met en place qu’au
dernier moment pour finir tragiquement. Il faut lire cet album car en dire plus
c’est lever le voile sur une intrigue finement construite, où chaque chose est à sa
place. Un récit qui ne laissera pas indifférent les amateurs du genre.
La lance !
L’Eglise, du moins certains de ses membres, veille sur le dogme. Une jeune
femme juive tente vainement de persuader un conservateur autrichien
d’accéder à l’une de ses pièces de musée. La lance de Longin pourrait servir à
une expertise ADN. Jésus aurait-il un frère ? La vierge Marie ne le serait-elle
pas en vérité ? Autant de questions qui poussent des hommes de foi à la
suivre pour la neutraliser. Le père Gabriel ne peut laisser une innocente
mourir : l’enjeu est de taille ! Tout commence en 1945…
Richez signe un sublime second tome, il est ardu de monter en puissance dans
ce type de narration et il vient de le réussir à merveille. Le dessin s’améliore,
ce qui n’est pas pour déplaire aux lecteurs. Une suite de très grande qualité
qui vous tiendra en haleine jusqu’au bout. Bravo messieurs.
Tarek
Tarek : Quelles sont vos influences pour l'écriture du Messager ?
Hervé Richez : Aussi bizarre que cela puisse paraître le Messager est à la base
une histoire humoristique qui a mal tourné. J'écris certes des histoires
réalistes mais mon coeur de métier est la BD de gags et d"humour en général.
J'avais écrit en 1996 une histoire humoristique de six pages que j'avais
envoyée à Spirou. Elle mettait en scène un « curé-agent spécial de la foi » qui
était envoyé par le Vatican partout où la religion catholique était en péril.
Cette histoire n'est à juste titre jamais parue car elle ne faisait rire que moi.
N'empêche, j'aimais ce personnage qui s'appelait alors Agnus Dei et je voulais
absolument continuer à le faire vivre. Je me suis donc dit qu'il fallait que je lui
trouve une trame solide pour bâtir ensuite des gags autour de cette trame. J'ai
trouvé l'histoire. J'ai appelé mon ami Alain Dodier pour la lui raconter et Alain
m'a conseillé d'en faire une histoire réaliste. Voilà comment est né Le
Messager. Donc, pour revenir et répondre à votre question, l'influence pour ce
thriller théologique c'est James Bond revisité façon cléricale...Je sais c'est
n'importe quoi car l'histoire du Messager n'a absolument rien de commun avec
celle de Bond mais ça vient de là et je n'y peux rien changer.
Tarek : Le scénario de cette série est très proche d'une narration
cinématographique. Avez-vous cette démarche dans votre écriture ?
HR : En terme de narration, ça tient surtout à mon ami Mig qui est un
incroyable metteur en scène. Ceci dit, il est vrai que je construis chaque
album en veillant à ce que les règles dramaturgiques soient rigoureusement
respectées. J'ai mes recettes de cuisine pour vérifier que l'album réponde à
cette exigence. Je fais notamment sur une grande feuille un descriptif
technique de l'album en plaçant avec des codes graphiques différents les
séquences, les noeuds dramatiques, les éléments de préparation et le
placement de leurs résolutions, les moments où le personnage change etc. Ce
graphique me permet de voir si l'album est équilibré et les éventuels endroits
à retravailler.
Tarek : La passerelle qui existe entre le profane et le spirituel vous permet-
elle de rendre votre récit plus ambigu ?
HR : Non pour la passerelle qui existe entre le profane et le spirituel. Par
contre, celle qui existe entre le profane et le sacré oui. La nuance est certes
faible mais le spirituel n'est plus forcément connecté aujourd'hui à une
religion, contrairement au sacré.
Et là je suis super content d'avoir inventé cette nuance car honnêtement je ne
savais pas trop quoi répondre...
Tarek : Quels sont vos projets ?
HR : Je bosse sur l'adaptation cinématographique du Messager avec Nicolas
Cuche comme coscénariste. Nicolas est un professionnel du cinéma et me fait
de la formation intensive car l'écriture d'un film tout en étant proche de celle
d'une BD a une plus grande exigence de rythme. On y est depuis quatre mois
et on vient de remettre ce qui devrait être (j'espère) la dernière version du
traitement de l'histoire. Le traitement étant la description romancée de
l'histoire. L'étape suivante étant celle de l'écriture du scénario du film si le
traitement donne satisfaction aux producteurs. Après, je me remets dare-
dare à de l'écriture humoristique en bouclant le tome 4 de l'Effaceur (une
excellente série chez Vents d'Ouest que je me dois de vous conseiller).
J'aimerai aussi travailler avec Stédo tout simplement parce que je suis un de
ces fans. Je lui ai soumis un projet et il faut juste qu'on trouve le temps de s'y
mettre.
D'abord la grande nouveauté, c'est le nouveau dessinateur. Boulet s'en sort plus que bien car les dessins sont plus précis et moins naifs que par trondheim. On peut juste regretter que la série change de dessinateur car le style du dessinateur faisait aussi la spécificité de la série par rapport aux 2 autres série classique et aux Monsters. C'est un peu dommage mais le rythme de sortie de cette série Zenith imposait ce changement. Après, l'histoire est dans la continuité du Tome 4. Je lui reproche également un caractère anecdotique dans l'intrigue qui ressemble plus à un Monsters qu'une longue quête épique. Faire 2 tomes sur un mariage, c'est un peu le feuilleton Dallas sur Terra Amatta. ça manque complétement de souffle épique. Il y a quelques bonnes blagues bien tordantes digne de la série mais globalement, même si ça reste très agréable à lire, la série tend à s'essoufler et perd l'originalité des 1er tomes. Les quelques suspens lancés en fin d'album semblent quand même assez superficiels.
D'abord la grande nouveauté, c'est le nouveau dessinateur. Boulet s'en sort plus que bien car les dessins sont plus précis et moins naifs que par trondheim. On peut juste regretter que la série change de dessinateur car le style du dessinateur faisait aussi la spécificité de la série par rapport aux 2 autres série classique et aux Monsters. C
Thor est donc vivant mais doit vivre dans le corps de Jack Olson mais sans ces souvenirs ( ce qui causse quelques petits quiproquos ), Thor s'habitue à peine à son " nouveau corps" qu'un nouvel ennemi le menace : Sedna. Le duo Jurgens/Romita fait des merveilles.
FF : Red et Ben en voyage en suede chez la belle Alyssa May, malheureusement pas de repos pour nos heros qui sont confronté à un nouvel adversaire : le Creuset ( le nom est assez ridicule je trouve ), C'est Red qui se bat contre lui et lissue est surprenante. Agreable.
Cap : La serie continue sur un bon rythme et s'ameliore au fil des episodes, mais Garney est toujours aussi mauvais. L'episode se termine sur un enorme cliffhanger à base de Skrull.
Tome sans temp mort bourré de combat contre les vampires et les ogres. On decouvre de nouveaux personnages mysterieux. Toujours agreable à lire.
Bon episode qui voit les Xmen affronter Domina, bourré d'action, mais le plus interressant c'est les interludes avec Mystique qui recrute une equipe avec notamment le retour du Crapaud, c'est pas du grand claremont ( l'intrigue reste assez banal et bancal même ) mais sa ce lit, Yu aux dessins assure enorment par contre. L'episode de Cable une fois n'est pas coutume est agreable.
Premier episode vraiment sympa, Xavier recrute ces Xmen : Colossus, le Fauve et Tornade, deja un affrontement contre les sentinelles, la derniere planche avec l'apparition de Wolverine est enorme. Millar au top de sa forme.
Nouvelle equipe artistique sur les FF : Claremont ( monsieur blabla chez Xmen ) et Larroca. Les FF s'allie à Silver Surfer et l'homme taupe pour combattre Terminus. Tres bon episode avec Larroca qui maitrise vraiment tout les personnages, le debut est tres drole avec un one man show de la chose. Premier episode convaincant de la part de ce nouveau duo.
Cap : Meilleur episode depuis le debut : Cap doit faire face à une incroyable popularité, un episode assez drole grace à Oeil de faucon notamment qui a toujours le mot pour rire, niveau dessin c'est moyen par contre.
Celle-là, je l'avoue, on dirait qu'il l'a faite parce qu'il devait en pondre une. On repassera! Très inégale par rapport à certaines autres.
Dur dur dur la vie de klaniste. Le dessin y est original, au trait de crayon, ce qu'on ne voit pas souvent dernièrement. Les couleurs y sont vraiment sombres, représentatives de la profondeur et de l'horreur racontées par l'histoire.
Comment des gens normaux peuvent-ils être aussi intolérants? Un beau sujet d'étude sociologique. La finale est tout ce qu'il y a de plus violente. Comment pourrait-il en être autrement avec un tel sujet? On est loin des pâquerettes rose bonbon dans le champ. Pour que jamais l'histoire ne meure...
Tristesse, attente, désespoir. amour...Un one shot qui sort des entiers battus pour raconter une histoire d'amour qui n'aurait pas dû exister, n'eût été la situation empreinte de tristesse dans laquelle la protagoniste se trouve.
Les guerres font toujours des ravages; ici, deux personnes en seront à jamais meurtries. Profond et dérangeant!
Les styles de dessin choisis pour ces deux albums sont plaisant. Leur coté classique va bien au coté historique de la série. Concernant l'intrigue, cette dernière évolue bien, on apprend pas mal de choses mais il est hélas regrétable que l'on passe trop rapidement d'une époque à une autre même si celà se ressent un peu moins dans ces deux tomes que dans les deux premiers. Globalement ça reste une série sympathique et pas désagréable à suivre.
Bon album, drôle, léger et sympathique. Les personnages sont vraiment attachants et l'histoire plaiera surement à un public jeune ( enfin pas que je sois vieux mais plus jeune que moi). Je me suis bien amusé à lire cet album qui m'a fait rire par moment et sourire le reste du temps. De temps en temps un album léger et pas prise de tête ça fait vraiment du bien.
L'histoire évolue de manière très plaisante avec son lot de surprises et un suspense bien entretenu. A la fin de l'album on ne sait pas vraiment où l'on va ce qui laisse toutes les possibilitées ouvertes et beaucoup de questions restent en suspend. Cette série n'a rien de prévisible depuis le début et j'espère qu'elle le restera jusqu'au bout.
Ne connaissant pas l'univers dans lequel évolue Thor ni les vengeurs, suivre cette histoire n'a pas été très simple. Cependant c'est globalement très plaisant et on passe un bon moment. Le suspense est bien entretenu jusqu'à la fin les personnages collent parfaitement à l'image que l'on a d'eux. Bref c'est plutôt bon.
Pas d'episodes de Cable dans ce mag c'est forcement bon :)
Un face à face Logan/Deadpool le tout dessiné et scenarisé par Liefeld, c'est donc forcement bourrin avec plein de gros plan mais bon je suis fan de Liefeld. Du tout bon pour moi.
Apres un tome 7 un brin deçevant, ce tome 8 releve le niveau. Pour une fois Durango ne regle pas le probleme dans une petite ville, le scenario est donc assez original, l'histoire nous reserve son lot habituel de fusillades et de morts. Tres bon.
C'est un peu le tome des très grandes révélations qui annoncent le dénouement final. Tout est très bon saud peut être que c'est vraiment de plus en plus tiré par les cheveux. C'est pourquoi, ce n'est pas mon tome préféré de la série.
Du tout bon, tout comme le premier opus (juste un bémol que je précise comme étant purement perso concernant l'apparition des indicibles créatures, mais ce bémol ne devrait pas concerner les amateurs de Lovecraft et autres fondus de jeux de rôle...).
L'ambiance est toujours aussi prenante, voire même envoûtante et les dessins d'exception, un véritable travail d'artiste soucieux du moindre détail.
Vraiment je conseille, FREAKS AGENCY est une série BD à découvrir. J'attends le 3ème et dernier tome du premier cycle avec impatience
Bon, c'est intéressant de pouvoir comparer le travail des deux auteurs. J'ai acheté "l'arrière-boutique" et pas le "magasin général" et je ne regrette pas d'avoir fait ce choix!
Je ne veux pas paraître rabas-joie, mais je trouve le scénario vraiment trop gentil!!
Certes, j'adore (et j'y retournerai un jour) le Québec des "cousins", mais ce monde rural est d'un banal!!! Je ne suis pas rentré dans l'histoire. C'est contemplatif, mais sans poésie, sans mystère... Bref, on s'ennuie.
C'est beau, c'est vrai, mais vite chiant...
A acheter pour la beauté des dessins et pour voir Loisel dessiner des voitures!!!
Un des plus mauvais spirou qui ait jamais vu le jour jusqu'ici... le dessin est affreu et n'a rien avoir avec l'esprit de Spirou... vivement le Spirou de Yann et Tarrin pour remonter la pente !
Dieu merci qu'il y ait , sur ce site, des gens qui ont les mêmes goûts que moi. Lorsque je suis en panne, je regarde leurs critiques et me trouve une bd à lire qui m'était passée inapperçue jusqu'à maintenant.
Effectivement, Un pas vers les étoiles a tout du scénario adulte "one shot" pour chavirer. La bouille, soit hyper sympa ou toute croche des protagonistes révèle déjà beaucoup les émotions qui habitent cet album. Lescouleurs sont sublimes.
La fin, magistrale nous laisse pantois et émus. Du grand art.Ça fait du bien entre une ou deux bd plus légères ou moins bien ficelées...
Pas la meilleure,mais ici encore une fois,on retrouvera la similarité entre Sherlock, Londres et même Jack L'éventreur.
On demeure dans la bd facile, d'action où une énigme a à être résolue. Harry Dickson, l'héritier spirituel de Sherlock Holmes mène l'enquête. Tout ressemble au héros de Conan Doyle. L'apprenti, la logeuse; même leur adresse est le 221 B baker street. Cependant on prend un certain plaisir à dévorer les pages qui nous amènent ici et là dans le surnaturel, l'étrange et la mystification. Sans réinventer le genre, on y passe de très beaux moments qui nous permettent de retrouver l'esprit qui nous habitait, enfant, lorsqu'on dévorait ce genre de bd. J'apprécie grandement la série...
Passionnée par les histoires de serial killers, me voilà ravie. L'ambiance est vraiment là! C'est noir à souhait et on sent la mise en oeuvre du tueur, qui comme tous les criminels de son espèce, passe toujours par une période noire ou les hésitations peuvent varier entre le suicide et le meurtre répété. le dessin est intimidant et la mise en couleur nous porte vers les profondeurs de holmes, pour le scénario j'attends de lire la suite bien que le style me plaise assez.C'est de plus un tueur que je ne connaissais pas. Bravo aux auteurs et pressez-vous de nous servir la suite....
Chéri-Bibi s'évade de Cayenne où il était confiné, accusé à tord d'un double meurtre dont celui du père de Cécily, celle qui maintient son coeur en émoi depuis le premier jour où il l'a aperçue.
Il réapparaît quatre ans plus tard mais la fatalité s'acharnant sur lui, il est accusé de tous les maux et décide de capituler, se rendant à la justice dans l'espoir d'être guillotiné. Le tribunal n'optera pas pour cette sentence mais décidera de le renvoyer ... à Cayenne.
Le scénario se construit dans l'alternance de séquences au temps présent et de retours vers le passé sans que la fluidité de la lecture n'en soit jamais entachée.
Coté graphisme, Marc Antoine Boidin a créé de vraies "gueules" et la mise en couleur est superbe.
A ne surtout pas laisser passer !!!
Cet album est un véritable petit bijoux qu'il convient de savourer pleinement du début à la fin sans intéruption. En effet les auteur on su retranscrire avec brio la vie d'un petit village du Quebec. Chaque planche est un petit régal narrant la vie quotidienne des gens de ce petit village avec leurs joies et leurs peines. Tout est savament dosé notamment au niveau des dialogue où aucun mot n'est superflut avec des planches muettes bien plus efficace pour faire ressortir tout une palette de sentiments qu'avec un long discours.
Bref un album à ne manquer sous aucun prétexte.
Très bon album que voilà. Tout d'abord il est bon de préciser qu'il s'agit d'une histoire complète en dehors de l'intrigue de fond et peut dont se lire tel quel. L'intrigue est bien construite, le suspense est très présent, les personnes sont intéressant bien que classique dans ce genre d'histoire et les révélations arrivent au bon moment sans que ça face cliché. Le seul point qui me fait me poser des questions c'est le comportement de Capricorne qui reste tout au long de l'album (sauf à un moment vers la fin) un simple spectateur alors qu'une tragédie prévisible dans une certaine mesure est en train de se dérouler sous ses yeux. Par rapport aux albums précédent ça me semble sonner relativement faux mais peut être aura-t-on une explication dans les prochains.
Voilà encore une année riche en aventures, rebondissements, tourments et changement pour ce pauvre Peter Parker qui n'a décidément pas beaucoup de chance. Peter doit affronter beaucoup de coup dur tant sur le plan personnel que sur le plan super héroique mais quoiqu'il arrive il fait face et finit pas s'en sortir sans trop de casse. Pour avoir commencé l'intégrale suivante ça ne se calme pas au contraire.
Moi j'ai trouvé que Black Cat était un très bon manga mais petit bémol, les personnages principaux sont un peu flous, on ne connait rien du tout d'eux a part qu'ils sont Sweepers...Bon d'accord on en apprend plus après mais pas vraiment sur Sven.
Enfin bref, c'est mon avis. Je le conseille quand même absoluement car c'est un très bon manga.
Les scénarios sont bien fait, passionants, pleins de rebondissements et avec des personnages en constante évolution. Quand on voit tout le chemin parcourus depuis la première intégrale on s'apperçois qu'il y a eu beaucup de changements et que tout c'est passé progressivement et tout naturellement. Bref encore une excellente année que cette année 1985. Vivement la suite.
Le flash back sur le passé des frères Elric continue de plus belle. Il est agréable que le manga prend de plus en plus ses distances avec l'animé même si sur certains points c'est encore très ressemblant. On apprend pas mal de choses sur le passé de nos deux héros et notament sur la façon dont Edward devient alchimiste d'état. En tout cas vivement la suite.
Très bon volume qui voit l'intrigue se complexifier et la gestion des réactions des divers personnages est vraiment quasi parfaite. On apprend pas mal de chose avec en prime un petit flash back expliquant certaines choses concernant Rukia et certaines allusions présentes dans les volumes précédents.
A ce jour mon tome préféré de la série. On assiste a une fabuleuse bataille galactique avec des stratégies ingénieuses. Grandiose !
Alors là j'ai vraiment adoré cette BD: les dessins sont géniaux, le scénario
fidèle à Van Hamme et les couleurs rendent bien l'ambiance Western. Et puis
j'ai toujours bien aimé les histoires qui racontent l'aventure d'un homme à qui
il arrive plein de choses, d'expériences inatendues et qui évolue le long de
l'histoire. C'est dommage qu'il n'y en ait pas plus en bande-dessinee.
Après 2 excellents premiers tomes, celui ci nous raconte la vengeance fomentée par l'héroine Flavia. L'histoire présente une intrigue peu originale (le traquenard est un peu tiré par les cheveux) et comporte surtout de très longs dialogues explicatifs. Reste les dessins et couleurs magnifiques de Gajic (quoique parfois confus dans ce tome notamment avec les Leviathans) et la révélation finale qui relance tout.
J'étais assez mitigé après avoir lu cette BD. On rentre bien dans l'histoire et le
scénario n'est pas mal fait, mais le dessin est souvent maladroit, et même si
l'histoire est bien ficelée elle manque malgré tout d'intéret. Donc une BD non
indispensable mais qui fera plaisir à certains. Je dois quand meme dire que j'ai
acheté la BD connaissant le fils du dessinateur. Sinon je ne pense pas que je
l'aurais fait. Mais la couverture est tout de même attirante et certaines scènes
assez sensuelles...
Un second tome encore tout en rebondissements multiples qui a force nous fait légèrement perdre le fil. Mais bon, les dessins SF mélange de futur-anachronique et le caractère ultra violent de cette série font qu'elle demeure très atypique dans le monde de la BD.
Là c'est du lourd encore, cette serie est une vrai réussite. Thor est donc mort mais ramené à la vie par un nouveau personnage : Marnot. Thor retourne donc sur terre ( mais une ptite surprise l'attend pour vaincre le destructeur ( qui a facilement battu les vengeurs ).
En serie complementaire on a un ptit crossover vengeurs/escadron supreme assez anecdotique.
Iron : fin de l'aventure contre Firebrand, c'est un ton en dessous des premiers episodes je trouve, sa reste agréable tout de même.
Vengeurs : Encore un tres bon episode ou Perez fait des merveilles, c'est la premiere mission du nouveau line up, une simple mission de sauvetage qui se transforme en face à face avec l'escadron supreme. Busiek gere à merveille tout les persos : Oeil de faucon est parfait dans son role de raleur invétéré, Wanda est troublé par Wonder Man, Warbird cache ces problemes ( alcool et perte de pouvoir ) et Cap reste fidele à lui même. Du tres bon vengeurs.
Iron Man : Nouvelle saga avec une nouvelle femme dans la vie de Tony : la petillante Rumiko. Episode sympa.
Vengeurs : Tres tres bon episode avec Cap, Thor, Iron Man.... qui decident de la nouvelle equipe des vengeurs, le nouveaux line up sera donc composé de Cap leader incontesté ( sauf par oeil de faucon ), Iron Man, Thor, Oeil de Faucon, Vision, Sorciere Rouge et Warbird ( j'adore ce perso :) ) en reserve on retrouve 2 ptits nouveaux : Justice et Firestar.
Cet album est franchement excellent. La série est toujours aussi drôle et les réactions de Kuroyanagi sont vraiment bien trouvées et collent parfaitement à la situation. Bref on passe un excellent moment hélas bien trop court.