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C'est beau, c'est passionnant... C'est de la Grande BD
Vivement la suite ! C'est que l'on s'attache au Scorpion et à ses compagnons !
Certes c est mimi, les dessins sont jolies, le scénar tiens la route, mais je ne comprends pas trop l engouement pour cette série, en bref j ai eté un peu déçu car tous ces bons avis sur cette bd m'ont fait m'attendre à mieux.
Je sais qu'il y a des grands fans de cette série...
Personnellement, j'ai craqué !
Après trois tomes au scénarii quasi similaires, j'ai décroché... et c'est très rare j'ai même réussi l'exploit de tenir jusqu'à la fin des Technopères !
Reste le dessin qui, il faut le reconnaitre est vraiment sympa.
C'est définitif plus de Jodo pour moi.
C'est drôle, c'est triste... C'est la vie !!
Larcenet réussi l'exploit de nous faire vibrer sur le thème de la Vie Ordinaire !
Cette BD arrachera un sourire et/ou une larme aux plus endurcis.
Une BD incontournable à lire de 7 à 77 ans.
Tout simplement une TRES GRANDE BD qui fait partie des incontournables !
Le premier cycle est parfait. Quant au second (L'Ami Javin), il est encore un peu tôt pour se positionner... Surtout connaissant le sens du rebondissement propre à cette saga.
Toujours est-il qu'il sera difficile de faire aussi bien !
Dernier commentaire... Au rythme actuel des parutions j'espère ne pas être grabataire lorsque sortira le dernier tome !!
J'adore !
Un dessin impécable au profit d'un très bon scénario.
Pour moi c'est une série Indispensable, on s'attache aux personnages et on se laisse absorbé par l'atmosphère de la BD.
Heureusement cette série se termine...
Quelle souffrance !
Un dessin original m'aura accroché et finalement après chaque album la volonté de terminé la collection... Mais après celui la, même si la série avait continué j'aurai arrêté les frais...
Il faut se rendre à l'évidence, j'ai vraiment un souci avec les scénarios de Jodorowski.
Le scénario n'emballe pas totalement, mais cette BD se laisse bien lire et est desservie par un dessin très correct.
Dans la même lancée que le 1er tome. Un album sympa, violent, mais emprunt d'une touche d'humour. Les dessins et les couleurs colent bien au récit et à l'atmosphère. L'action est bien présente, on a même droit à une incursion de mammouths. Cette BD est une bonne surprise.
Si la base du récit n'est pas trop original (on pourrait le résumer ainsi: emmener une cargaison d'armes à un point donné avant les autres pour toucher une prime), le décor dans lequel se déroule le récit est, lui, sympa: dans un avenir proche et glacial, une immense route traverse la terre au niveau du cerlce polaire. En outre, le personnage principal, caractériel, est haut en couleur, doté d'un language disons "coloré". Ce premier tome a une suite.
Bon volume qui voit se dérouler la première guere spaciale de l'histoire avec une alliance improbable à la clef. Les personnages sont bien et leur personnalité très poussée. Il est intéressant de voir les choix qu'ils font en cas de difficulté et leurs motivations. Cependant on ne sait toujours pas vraiment où nous emmène la série.
Bon album où les personnages commencent tous à "grandir" et à omprendre ce que l'on avait remarqué depuis longtemps. L'histoire évolue bien et les personnages aussi. On sent que la fin approche et les évènements devraient s'accélérer dans pas longtemps.
IRON MAN Scénariste : DENNIS O'NEIL Dessins : LUKE MAC DONNEL
Un épisode complétement idiot et qui plus est trés laid dans lequel TONY STARK est enlevé par L'AIM dans un sous-marin. Il est aidé par LE CHEVALIER DE LA LUNE.
L'ARAIGNEE Scénariste : DENNIS O'NEIL Dessins : JOHN ROMITA JR
Un épisode à peine mieux (tiens, tiens même scénariste) L'ARAIGNEE va en mer aider des marins embétés par NAMOR. Pour battre NAMOR c'est simple, l'attraper au filet (de toile d'araignée) l'envoyer bouler dans une cheminée de bateau et vous avez du hareng saur !!!!! Navrant !
DAREDEVIL Scénar+Déssins : FRANK MILLER
Heureusement que TETE A CORNES est là ! Surtout MILLER qui revisite le cas DU TIREUR pour en faire un véritable fou obnubilé par DAREDEVIL. La fin est magnifique : laisser mourir un psychopate ou le sauver car c'est un être humain ? DD hésite !!!
ROM Scénar : BILL MANTLO Dessins ; SAL BUSCEMA
Fin de l'affrontement entre ROM, NAMOR et les SPECTRES. ATLANTIS en sort quasi détruit mais sauvé. A noter le magnifique traitement du cas de SYBILL.
Le dessin n'est pas engageant (la couverture encore moins d'ailleurs) ça n'est pas trop mal, l'histoire aurait mérité d'être développé sur quelques volumes.
Ennuyeux. Dans le flot d'album qui parait (ca me gene pas mais faut que la qualité suive..), difficile de se faire une place avec une histoire guere passionnante.
Bref, je me suis pas du tout interessé au developpement de cet album, j 'ai du mis reprendre a plusieur fois pour le finir.. et il y a des problemes pour reconnaitre les perso
A eviter
Je n'aime pas le N&B et pourtant je dois reconnaitre que ce comics est fabuleusement réalisé à ce niveau. L'univers est parfaitement retranscri et les personnages sont atypiques.
Un tome marqué par la venue d'un nouveau coloriste. Déjà, j'avais moyennement apprécié la précédente et là c'est encore pire. On imagine bien les impératifs commerciaux derrières, ceux consistant à sortir des tomes de plus en plus vite. Je plein le dessinateur, qui ne voit pas son travail aussi bien mis en valeur comme dans les 1er tomes. Ensuite, si on apprend pas grand chose, la lecture reste plaisante, sans être très marquante. A noter des scènes d'action délirantes (les héros se sortent de situations embarrassantes de manière complètement irréalistes), montrant la paresse de l'auteur (car on sait qu'il a du talent et de l'imagination...).
Après chaque lecture, j'ai tout le temps cette impression de retrouver le tome d'avant avec seulement une info où deux supplémentaires (entre coupées des scènes d'actions habituelles et des longs blabla similaires). D'ailleurs, je serais bien incapable de discerner chaque tome, tellement ils se ressemblent. Ici, une fois le grimoire (objet de l'intrigue des 3 derniers tomes) en la possession de Weltman, les auteurs relancent l'histoire avec un autre livre, le "livre de plomb"... Passionnant ! A ce rythme, il est fort probable qu'une fois ce livre en la possession de Weltman, il manquera plus que le "DVD d'or" pour enfin déjouer les Stryges... Tout ça pour dire que même si cette série est toujours plaisante à lire, on ne peut être dupe des procédés rallongeant artificiellement l'intrigue. On peut aimer le suspens, c'est une qualité. Mais ici c'est un gimmick trop récurrent dont on ne voit pas la fin. De plus, ce que la série a gagné commercialement, elle l'a perdu en qualité (les dessins et la mise en couleurs font mauvaises figures par rapport aux 1er tomes).
Bon, ben , comme on dit d'habitude, vivement le prochain tome (et nécessairement les dix suivants...)
Ce deuxième opus confirme la bonne impression ressentie dès la lecture du tome 1.
L’intrigue est bien construite et on suit avec plaisir cette nouvelle enquête au sein de la télé-réalité. Berlion aborde intelligemment un univers où seuls comptent l’audience et donc le succès. Le personnage de Tony Corso commence à gagner en épaisseur puisque Berlion nous laisse entrevoir quelques bribes de son histoire. On notera cependant que les retrouvailles avec Madgid semblent un peu artificielles. Outre l'intrigue, les dialogues méritent eux aussi le détour avec quelques répliques des plus réussies.
Coté dessins, j'aime le traitement graphique de cette série. Berlion reste simple avec des planches agréables et soignées qui permettent une lecture aisée.
Une BD de facture classique mais divertissante. Objectif atteint !
Marseille, un polar, il n’en fallait pas beaucoup plus pour me décider à lire cette bande dessinée.
Premier tome d’une trilogie, cet album nous plonge dans les cotés les plus obscurs de la cité phocéenne. Pour le moment, le scénario est un peu touffu. Drogue, sexe, meurtre, trafiquants et flics ripoux constituent les principaux ingrédients de cette histoire. Le décor se met en place avec au beau milieu de tout cela un zonard qui fera les frais d’événements qui le dépassent complètement. Ceci n’est tout de même pas parfait car on a du mal à cerner les tenants et aboutissants de la petite «tambouille» mitonnée par les caïds locaux. Gageons que des éclaircissements nous serons fournis dans les deux prochains tomes.
Coté dessins, les planches réalisées par Olivier Thomas sont sur la même longueur d’onde que le récit : sombres à souhait. Les ambiances glauques sont ainsi bien représentées, notamment grâce au travail du coloriste (et scénariste) qui accentue cette noirceur. Un travail propre et efficace.
Avec « Sans Pitié », on délaisse quelque peu le Marseille lisse façon Pagnol pour se rapprocher des descriptions de la « French Connexion ». A suivre…
Après « Les Coulisses du Pouvoirs » et ses affaires de corruption au niveau européen, Jean Yves Delitte s'attaque en solo aux turpitudes touchant l'ex-bloc de l'Est.
Avec « Les Nouveaux Tsars », l'auteur nous livre une histoire prenante et crédible car inspirée en majorité de faits d'actualité. Ce tome installe comme il se doit l'intrigue et les personnages. On se rend très vite compte de la densité du scénario politico-économique concocté par Delitte. Pensez donc personnages politiques russes de premier plan corrompus, faisant collusion avec des militaires désabusés en quête d'argent, le tout en tractations avec la rébellion tchétchène. Si l'on ajoute à cela une enquête menée par des membres du FSB (ex-KGB) sur les exactions présumées, les prochains tomes s'annoncent passionnants.
Au niveau graphique, Jean-Yves Delitte nous gratifie d'un dessin classique comme je les aime. Le trait est sobre et la mise en couleur fait ressortir l'atmosphère grise et froide de l'hivers russe. Seul bémol, mineur cependant, les personnages sont assez similaires d'une série à l'autre.
En bref, une bonne série pour amoureux du genre.
Je suis vraiment ravi de mon achat. Pour un coup d'essai, un éditeur et deux auteurs que je ne connaissais pas, c'est une très bonne surprise.
Coté scénario, Mathieu Gabella installe avec brio son histoire à la fin du 19ème siècle. J’essaierai de ne pas trop m'y étendre afin de ne pas éventer les intrigues déroutantes (car il y en a plusieurs) imaginées par l'auteur. Les éléments de cette enquête fantastique, tout comme les divers protagonistes, sont introduits à point nommé. Pas de rebondissements tirés par les cheveux. C'est fluide et parfaitement maîtrisé jusqu'à la dernière page insoupçonnable.
Quant au dessin, Anthony Audibert possède un style très particulier qui peut surprendre. Ses personnages sont plutôt anguleux, mais tout compte fait cela participe activement à l'ambiance recherchée. Les découpages et la mise en couleur sont efficaces : les différences de tons permettent une distinction aisée entre le présent, les flash-back et les périodes de "stases". On notera aussi des clins d’œil envers certains personnages connus. Plaisant.
Un récit divertissant et original que je vous conseille vivement.
Avec « Luna Almaden », la collection Aire Libre s'enrichit d'un bon petit polar mené par Clarke et Denis Lapière.
L'idée de départ est intéressante puisqu'il s'agit de nous faire vivre les aventures de Luna, une jeune aveugle, en positionnant la narration suivant sa perception du monde. Le défit était attrayant car il ne doit pas être aisé d'imaginer les ressentis et sensations d'une non voyante. Le challenge me semble réussit. Au fil de l'histoire, le lecteur entre peu à peu dans la peau de Luna, aidé il est vrai par quelques cases noires simulant la cécité et intelligemment distillées.
Le scénario élaboré par Denis Lapière est simple mais bien ficelé. Bien qu'il s'agisse d'un polar, le parti pris du scénariste n'est pas de brouiller les pistes. Le système narratif fait que le lecteur sait Luna innocente d'emblée. La véritable question réside dans la manière dont la machination va se dénouer tant les apparences chargent la jeune femme aux yeux des principaux protagonistes. Les tenants et les aboutissants nous seront dévoilés sans rebondissements scénaristiques artificiels. Logiquement, simplement.
Pour les dessins, Clarke adopte ici un style plus réaliste qu'à son habitude. Le trait est vif et sans fioritures. La trouvaille des cases noircies participe à l'ambiance générale de cette bande dessinée. Les couleurs des planches sont peut-être un peu froides, mais cela n'est guère dérangeant. Une mention particulière doit être donnée à la couverture très réussie et intrigante.
Voilà une histoire très plaisante à lire, mais qui se parcourt peut-être un peu rapidement.
J'éprouve toujours un peu de nostalgie à la lecture d'un "Jérôme K. Jérôme Bloche". La nostalgie d'une bonne bande dessinée classique "à la papa" avec son héros sympa, limite ringard, telle que j'en lisais lorsque j'étais plus jeune.
Dans ce nouvel épisode, Jérôme et Babette quittent la capitale pour "Un petit coin de paradis" à la montagne. Malgré un contexte a priori bucolique, son instinct d'enquêteur permettra à Jérôme de dénouer une situation qui aurait pu devenir dramatique pour certains personnages secondaires de l'intrigue. N'allez cependant pas imaginer que le scénario imaginé par Dodier recèle un suspense insoutenable puisque dès le départ le lecteur connaît la coupable. Néanmoins, le scénariste maîtrise suffisamment son récit pour maintenir notre intérêt de bout en bout avec en prime quelques traits d'humour discrets mais habiles.
Les dessins de Dodier sont clairs et agréables à parcourir. Son style semi-réaliste donne un charme particulier à cette série, d'autant qu'il ne nuit nullement à l'expressivité des personnages.
Ce dix-huitième tome plaira aux amateurs d'histoire efficace et remplie de fraîcheur, à l'image de la série.
Après l'administration fiscale américaine, Stephen Desberg choisit maintenant les services secrets US comme théâtre de ses nouvelles intrigues.
Dans ce premier opus, il pose les bases de son histoire et nous présente Floyd, le personnage central. Globalement, il s'agit d'un récit d'espionnage à travers le monde sans originalité ébouriffante, mais efficace ! En scénariste expérimenté, Desberg nous entraîne dans deux époques différentes afin d'esquisser ses diverses intrigues. Les thèmes abordés sont bien choisis, notamment les suspicions quant à l'élection du Président des Etats-Unis, car cela mêle habilement fiction et réalité. Je pense que la vraie force du récit est là. Néanmoins, malgré le talent indéniable du scénariste, on ne parvient pas encore à se prendre d'amitié pour Floyd. Gageons que cela viendra par la suite.
Le graphisme de Hugues Labiano est expressif et restitue au mieux les ambiances des années 50-60. Son style semi-réaliste est reconnaissable à la façon très particulière qu'il a de dessiner ses personnages : on se croirait presque dans Mister George ! Ses cadrages sont bien sentis et donnent un petit coté cinématographique.
Un premier tome honnête au concept convainquant.
Encore un album acheté car la couverture a su accrocher mon regard. Pour être plus précis, c'est la ressemblance de l'un des personnages avec Al Pacino dans "Serpico" qui m'y a décidé. Eh bien, je ne le regrette pas du tout !
Michel Koeniguer signe là un album solide tant au niveau de l'intrigue qu'au niveau du dessin. Ici, point de héros manichéens. Les personnages principaux sont deux flics, limite crapules, qui font respecter l'ordre public selon des principes éthiques très discutables. Par moment, j'ai vraiment eu l'impression de retrouver les ambiances de films américains types polars. La narration est très bien menée avec des dialogues parfois stéréotypés, mais néanmoins efficaces.
Ce premier tome inaugure une nouvelle série qui sera certainement très plaisante.
Dans ce deuxième tome, l'intérêt suscité par le premier opus se confirme.
Partant d’un thème d'actualité (l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne), Jean Van Hamme nous livre une histoire classique, mais palpitante, avec en toile de fond une intrigue politico-diplomatique fomentée par des services secrets dont nous ne savons pas encore grand chose. A cette occasion, des flash-back habilement positionnés sur le passé de Suzan/Shania nous livrent les derniers secrets de la séduisante "Lady S". Vous l'aurez compris, sans être original, le scénariste donne ici dans l'efficace et cela suffit à divertir le lecteur que je suis.
Coté dessins, le style réaliste de Philippe Aymond colle bien au scénario. Son trait, clair et soigné, se range dans la catégorie des Francq, Vance ou Denayer que j'aime à retrouver en bande dessinée.
Au final, « À ta santé, Suzie ! » est un album agréable qui termine adroitement le premier cycle de cette série.
Voici donc la nouvelle production signée Jean Van Hamme ! Cette fois, ce remarquable auteur s'attaque au monde très feutré de la diplomatie avec en toile de fond un sujet au combien brûlant : l’adhésion de la Turquie à l’Europe…
Van Hamme lance ici sa première série dont le héros est une femme. Ce premier album nous permet de découvrir au moyen de flash backs le passé relativement trouble de Suzan/Shania, notre héroïne de charme. Certains ressorts du scénario, quoique classiques, posent les bases d'un nouvel univers bien construit.
Coté dessins, Jean Van Hamme collabore avec Philippe Aymond dont le trait réaliste et classique convient totalement à ce type d'histoire. En outre, cela reste en droite ligne de mes séries fétiches : «Alpha», « Largo Winch », « Wayne Shelton » et «XIII».
Après l’arrêt programmé de sa série phare « XIII », Van Hamme nous propose avec « Lady S » un nouveau récit d’espionnage que le public devrait suivre.
C'est cru , c'est violent, les dialogues percutent autant les dessins, bref à lire absolument!!!
Une oeuvre magique et pleine de poésie, propice à la réflexion sur l'après, cette série ne vous laissera certinement pas de marbre
Mr gimenez est sans conteste un des plus talentueux dessinateurs de bd, c'est tout bonnement magnifique bref un maître de la SF ce juan!
Côté scénar l'action est au rendez-vous, certes passer le premier tome on tombe dans une histoire à tiroir dont on ne sait pas vraiment ou elle va nous mener, mais vue la magie de l'univers, je veux bien m'y perdre encore longtemps!!!
UN scénario en béton comme sait si bein les faire jodorowski, des dessins en couleurs directes de manara d'une infinie beauté, de l'histoire, de la trahison, des complots meurtriers, de la luxure beaucoup de luxure, c'est dur mais dieu que c'est bon!!
Alors là, passez votre chemin, vous connaissez les blagues sur les blondes, et bien là rien d'originale puisqu'il s'agit de ces blagues au format bd!!
C'est creux, et n'a pour soleil evidemment qu'un but lucratif, et de ce côté là bien sûr ça marche!!!!va comprendre charles!
Certes le découpage de Ledroit n'était à l 'époque pas très au point, oui le scénario peut paraître mal abouti, mais il faut savoir que cette bd était prévue à l origine en 4 tomes, volontairement tronqué par soleil en trois, donc forcement le tome trois est assez brouillon, dommage, encore une série soleil qui paye le prix de ne pas toucher un public assez large, et comme d'habitude chez soleil c'est rédibitoire, qui paye le prix, les auteurs bien sur frustrés et les lecteurs....
Amateur de fendage de gueule cette bd est pour vous!! Là on pose le cerveau, on se détend et on passe un super moment de franche rigolade! Ceux qui n aiment pas le 10ème degré s abstenir!!
Je suis un peu déçu par ce tome, les blagues deviennent répétitive à la longue et on sent que les idées s'épuisent. dommage
C'est trop fort ! Comme l'a confirmé Tetsuya Tsutsui lui-même, son "dernier manga est un thriller biologique". Un excellentissime thriller biologique, croyez-moi !
Malgré que ce soit en noir et blanc — je ne m'en plains nullement ! —, cela éclabousse beaucoup d'hémoglobine dans chaque case qu'on peut très bien imaginer si l'on est amateur de film gore. La peur, et non la plus grande, se précipite sans crier gare...
Cela se lit vite, aussi vite qu'on arrive à la fin de la page et qu'on râle à la suite parce que la suspense n'est pas finie : on veut en savoir plus la suite avec impatience !
Un océan d'applaudissement pour Tetsuya Tsutsui.
Excellentissime !
Vraiment, cette sous-série fait beaucoup de tord à la cultissime série originale (De Chihuahua Pearl à Arizona Love).
Scenario très faible, dessin loin d'atteindre la qualité des "originaux"...
M. Giraud devrait éviter ce genre de spin off commerciaux...
Il existe un fameux documentaire N&B des années 60, « MEAT », qui explore sans fard les circuits et les détours d’un abattoir aux états unis. Sans aucun commentaire, sans aucune concession on voit la vie au quotidiens de ces dépeceurs, de l’abattage des bêtes aux luttes syndicales.
Moloch est dans la même veine. Travaillé à partir de photo prisent par l’auteur dans une usine métallurgique, ce livre presque angoissant relate le parcours d’une journée de l’auteur en repérage pour son livre. L’usine nous est présentée comme un monstre d’acier à la vie propre dont les dédalles sont autant de tentacules, des recoins sombres où sont tapies des serviteurs métalliques aux formes et aux fonctions étranges accompagnés de quelques humains dont on ne sait qui est le maître ou l’esclave. Tous accomplissent leur besognes et tendent vers un destin qui semble au delà de la compréhension humaine.
Moloch est un dieu cruel, qui exige des sacrifices.
Un livre aussi saisissant et moins moralisateur que « les mauvaises gens ».
Note moyenne pour une serie un album qui ne l'est pas du tout.. Je m'explique: le dessin est sublime, j'adorece trait et la colorisation est excellente.. bref du trés trés haut niveau 5/5 et un scénario vraiment faiblard...
Deja le fantastique est mal posé, ensuite l'intrigue et son deroulement plutot de marbre, la resolution de la situation n'en parlons pas.. bref une deception que le scenar soit trés loin du talent graphique de cet album..
Iron Man version House of M. Une chose est sûr, le personnage est méconnaissable. Tony Stark a vraiment un comportement surprenant et contraire à ce qu'il est habituellement. L'intrigue est bien contruite, les idées intéressantes bref c'est une bonne histoire.
Constitué de X-men deadly genesis #1qui est pour l'instant une histoire avec une bonne intrigue et de bons dessins, de New eXcalibur #1 qui n'a pas l'air aussi nul que le premier du nom (mais on ne sait jamais), de MadroX #5 qui (je n'ai pas lu les 4 premiers ) m'a eu l'air assez bon avec une histoire très chargée et très bien écrite, des dessins détaillés de façon résonnables, et enfin de X-factor #1 qui est pour l'instant une série où trop de choses se succédent sans liaisons, le dessin n'est pas assez détaillés et c'est vraiment bizarre.
Sachant que je n'avais lu que AXM 9, je signale quand même que c'est une bonne occasion de se mettre à ce mag avec 3 histoires qui commencent, il faut tout de moins quelques bases dans les comics et savoir les évenements de HofM pour pleinement savourer ce magazine.
Sentry : Fin de l'épisode qui voit Sentry rejoindre les Vengeurs. L'intrigue est sans réelle surprise et Sentry se laisse convaincre un peu rapidement de rejoindre les Vengeurs et de recommencer sa vie de super héro.
Rendez-vous : Histoire intéressante avec les 4 fantastiques qui prend une tournure à laquelle je ne m'attendais pas. Pas mal de questions se posent et la suite est difficilement prévisible. Voilà une bonne histoire.
House of M : Nous avons là l'histoire de Capitaine América version House of M et même si elle n'a rien d'exceptionnelle elle est globalement très intéressante. Un bon moment.
Bon l'essentiel des super héros se souviennent maintenant de la vérité et décident de passer à l'action. L'histoire est très bien rythmé, on ne s'ennui pas une seule seconde. De plus tous les super héros présents dans l'histoire sont remonté contre Magnéto et sa famille. Pour une fois ça risque de saigné et leur colère va à mon avis mettre fin à tous les freins qu'ils se mettaient volontairement pour ne pas tuer leurs adversaire. La fin promet d'être des plus passionante.
L'histoire est plutôt bonne, tous les ingrédients sont réunis à savoir l'action, l'humour et le côté aventure qui fait le charme de cette série. Cependant même si l'humour est présent il est quand même très en retrait et pas toujours très efficace mais ça reste un bon album.
Première mission réussie pour la section WATCH !
De l'action, du suspens, des rebondissements, bref tout ce qui fait un thriller digne de ce nom. J'aime la série B et je suis servi grâce à ces deux premiers tomes. Le dessin de Luca Erbetta peut parfois manquer de précision (sur des détails des décors) mais vu la cadence qu'il doit tenir pour cette collection Impact, c'est un exploit. J'attends la deuxième mission très impatiemment.
Dessins même pas finis. Une honte. J'aime beaucoup cette série, mais le dessin ne suit plus ! Tendance déjà amorcée dans le tome 9. Où sont passés les dessins des premiers tomes ? A 12 euros la BD, c'est se moquer du monde !
Comme c'est parti, vivement le stryges n°20 dessiné avec 3 coups de crayon car case et colorié en 16 couleurs...
Pour ceux qui ont aimé le roman du même nom de Fajardie... je vous recommande cette BD.
Pour tous les autres qui rêvent d'un Grand Soir, foncez ! C'est un véritable bonheur.
Une "bd" atypique, aussi bien sur le fond que sur la forme.
Un livre assez difficile à lire, il faut s'imprégner du texte ( qui contraste souvent avec l'image ) pour capter le rythme, tantôt lent, calme et posé, tantôt rapide, agité voire sauvage.
A feuilleter avant d'acheter !
Cette fois nous avons droit à une biographie de abraham stoker et des corrélations qu il y a entre sa vie et certains passages ce son roman. Le scénario est bien construit, et la vie de stoker très interessante. L ombre au tableau pour moi est le dessin,bien que je n accroche pas vraiment avec le style graphique de Séra,, un peu dans la lignée liberge en moins riche à mon goût, dommage!
Bon soyons clair, pour moi le seul interet de la bd est sans conteste l univers et la qualité graphique des dessins de reneaume et guenet! quel dommage que le premier tome soit aussi creux, car disons le bien, il n y a dans ce tome aucun scenar, et les dialogues sont inexistants, cela ne donne pas envie de lire la suite,donc pas tres bien joué de la part de tehy.
En général je laisse environ 10 pages à une bd pour me faire une idée, la j ai franchement eu du mal à aller jusqu'à dix, beaucoup de temps pour rentrer dans le scénario, bd qui pour moi ne merite pas vraiment l engouement qu elle suscite!
Et si on oubliait les précédents épisodes qui nous ont tant déçu ?
Et si on pardonnait Tibet et A.-P. Duchâteau pour de bon ?
Je vous assure que le dernier album, Le Trésor des Marolles, est beaucoup mieux, beaucoup moins médiocre qu'on ne pensait pourtant : Les dernières énigmes de Ric Hochet sont bonnes, voire très !
Comme l'on voit sur la couverture : La lumière s'est brusquement éteinte, le coup de feu a retenti... L'éclairage revenu... Stupeur ! Ric Hochet, sur le sol, est couvert de sang...
Qui a tiré sur notre journaliste ?
La saison de la sorcière : L'histoire évolue de manière plus satisfaisante mais c'est encore loin d'être passionnant. Je dirais que c'est même plutôt plat et ça manque de rythme.
Triangle amoureux : Nouvelle histoire pas non plus des plus passionnante. Les problème de libido des X-Men ça va 5 minutes mais pas de quoi faire une histoire là dessus. Un nouveau personnage apparait mais il me semble bizarre et je ne le vois pas trop du côté des X-Men.
Soir de Bal et l'école est finie : 2 petites histoires sympa avec les nouveaux mutant mais ça manque d'intrigue consistante et ne renverse pas vraiment les relations entre les divers personnages.
London Calling : le titre d’un des meilleurs albums rock de tous les temps, par les mythiques « The Clash ». Le ton est donné : nostalgie ! Le nouvel opus de Sylvain Runberg – décidément prolifique, et ce n’est pas fini ! – est mis en image par Phicil servant un dessin très dépouillé, mais efficace. Quant à l’histoire, on pense immédiatement à « L’Auberge Espagnole » et les heurts et malheurs d’un étudiant Erasmus. Ici, c’est un peu différent en ce sens que l’Erasmus est un flash back, et c’est plutôt le souvenir de celui-ci qui motive Thibaut de revenir à Londres pour s’y installer. Mais cela ne se passera pas comme il l’espérait. London Calling a du mal a véritablement accrocher le lecteur : Runberg nous propose une soundtrack (Sonic Youth, New Model Army, Blur, Nirvana,…) mais a un peu de mal à assurer le contenu. Cependant, ce n’est que le premier tome sur neuf, et encore beaucoup de choses peuvent se passer. Surtout que dans les premières pages, nous voyons Thibaut complètement hagard, perdu, dans les couloirs de l’armée. Essaye-t-il de se faire réformer comme il le suggérait précédemment, où bien a-t-il véritablement pété un plomb à cause d’une expérience complètement déstabilisante vécue à Londres ? C’est une ouverture à une dramatisation du récit, et donc je lui accorde très largement le bénéfice du doute. Et je m’en vais réécouter Sonic Youth et Blur, tiens ! 3/5.
Pascal Rabaté, nous raconte l’histoire d’Emile, un petit vieux de la campagne Angevine, qui reçoit un électrochoc à la mort d’un de ses copains. Il décide alors de vivre sa vie à fond, en vrai jeune homme fougeux et innocent.
Tranche de vie inhabituelle en BD, mais on se délecte de ce revirement de situation accompagné de tous ces bons moments… Moi, quand je serai vieux, je veux être Emile!
On reconnaît le trait inimitable de Rabaté, mais cette fois-ci, c’est plus léger moins sombre, très différent, la couleur y est pour beaucoup.
Jamais je n'ai eu un esprit silencieux lorsque j'ai fermé le dernier tome à la plage : La fin est superbe, mais dure !... voire beaucoup plus violent, dynamique que ses précédents !
Cette fois c'est la guerre du Moi et L'Autre... sans oublier le professeur Wakao... le père de l'Autre et... Megu...
J'espère qu'il y aura un deuxième cycle...
Excellent demarrage
Je connaissais Christophe Bec grace a Careme, (road movie humaniste tres réussi que je recommande d'ailleurs) et j'avais envie de voir ses autres domaines.
Je suis totalement séduit. La finesse du dessin, sa capacité a captiver malgré le denuement de certaines cases (absence de fonds) fait passer tout de suite a l'essentiel et renforce l'action et la fluidité. Attention ceci n'est pas vrai pour toutes les cases ! Certaines sont riches et complexes, Notemment les paysages naturels, magnifiques. Les personnages ont un charisme réussi ( notemment l'homme qui garde la porte de la scierie), meme si je l'avoue le personnage principal me parait un peu plat... Mais bon patience, certaines situations étant néanmoins prometteuses...
Donc une bon début, un univers prenant a écouter avec la BO de Wolf d'Ennio Morricone pour un effet total garanti !!
Un régal de "politiquement incorrect" impossible à publier aujourd'hui...
Bien rythmés, le texte et les situations nous replongent dans les années 80. Très bon. Bonne lecture.
Plebiscite pour cette bd vraiment sensationnelle. Peu de polars en ce moment attirent mon attention, mais Nero semble ne pas s'identifier aux archétypes des autres polars ennuyeux et barbants. Du suspens, du réalisme, du caractère, de la noirceur, tous les ingrédients pour avoir un très bon polar entre les mains.
Chasse aux fantôme : Très bon début d'histoire racontant le passé de Logan version House of M. Il est tout de même recommander de lire la revue House of M pour bien comprendre le contexte des évènements. L'intrigue est bien développée, tout s'introduit de manière naturel et on en apprend davantage sur les récents évènements d'avant la défection de Wolverine du Shield version "Magneto c'est le big boss".
Innocence perdue : L'histoire est toujours à la hauteur avec le personnage de X-23 toujours aussi froid mais montrant des traces d'humanité due sûrement à ce que lui a enseigné sa "mère" même si son éducation est loin d'être parfaite. En tout cas de grands changements s'annoncent pour X-23.
Un bon album à lire mais moins bon que les précédents. En effet il y a quand même pas mal de grossent ficèlent scénaritique évidentes qui non seulement réduisent l'intérêt de l'histoire mais en plus ont tendence à rendre les personnages de Spirou et Fantasio stupides. A noter que le véritable héro de l'album est Itoh Kata qui est non seulement le plus drôle mais c'est aussi le plus actif (en effet Spirou et Fantasion ne font ici guère plus qu'une petite promenade de santé). Globalement et malgrès ses défauts cet album reste quand un agréable moment.
Une belle couverture et un intérieur moins excitant. Récit distrayant dans lequel on sent la volonté de rendre hommage aux comédies romantiques américaines de l'après-guerre, mais le résultat est à mon goût trop léger et superficiel. La chronique de moeurs ne vole pas très haut et les clichés sont nombreux. En France ça aurait donné un album de Martin Veyron, ce qui aurait été plus roboratif et plus incisif.
Un polar correct, servi par un scénario relativement bien construit (le manque de dialogues est à déplorer car on se lasse vite de la "voix-off" qui rythme cet opus). Le graphisme de Loustal (je ne suis pas fan) n'est pas très adapté à la noirceur du récit. Ledit graphisme manque peut-être de caractère et de profondeur. C'est dommage, car il gâche ce one-shot, qui aurait pû être somptueux.
Pour une série qui a atteint de trés bons niveaux sur certains episodes, le dernier tome est trés en retrait...
Jessica Blandy tire sa reverence sur une histoire plutot quelconque, assez decevante (surtout quand on connait l'immense talent de son scenariste..)
Un tres bon premier tome
J'ai decouvert ce cycle par hasard et la couverture m'a tout de suite attiré.
Le dessin est tres fin, les couleurs habilement travaillées, avec une dominante des tons bruns et roux, ce qui donne un caractere particulier a l'ouvrage.
L'histoire est assez classique c'est vrai mais reste tres agreable a lire.
L'originalité tient plus d
Si vous en avez assez de toutes ces séries d'HF standardisées, c'est le moment de vous plonger dans ces intégrales de Conan. A mon avis les critiques envers Soleil en ce qui concerne la colorisation ne sont pas justifiées. Ce lifting est il me semble dû à l'éditeur Dark Horse (je possède 3 tomes en VO). Soleil n'a fait qu'adapter cette série en français. Et c'est plutôt une bonne initiative. Bon, c'est vrai que cette colorisation est peut-être un peu poussive, trop lisse, trop plastique mais le tout est de bonne facture.
Avoir et lire les premières aventures du Cimmérien, voilà ce qui m'a poussé à me procurer cette édition intégrale. Suivres ces aventures, découvrir des cités de voleurs, des palais, des femmes diaboliques, des pièges, des monstres ou des dieux par milliers est un régal.
C'est une bonne intégrale que celle qui regroupe les premiers épisodes des fantastic four. Cependant j'ai moins accroché que pour les intégrales X-Men ou Spiderman, que ce soit au niveau des personnages qui m'intéressent moins ou au niveau des aventures. Par contre au niveaux méchant c'est globalement pas trop mal sauf pour Fatalis qui dépasse tout le monde et est un vrai méchant qu'on a plaisir à retrouver.
L'histoire est toujours agréable à lire et ne baisse pas en qualité. On se rend compte que Tat-chan quand il le veux, ce qui est très rare car il est très feignant, il peut arriver à être autre chose que le looser pour qui tout le monde le prend. Seul son frère se doute de son réel potentiel. Mais à mon avis ce rôle de looser il l'a pris pour valoriser davantage sont frère qui était toujours derrière lui en tout lorsqu'ils étaient petit. Cependant aujourd'hui il y a un conflit d'intérêt pour ce qui est de Asakura. Un nouveau personnage apparait en la personne d'Harada, plutôt du genre brute mais sympa quand même. A mon avis son rôle devrait évoluer de manière plus importante dans le prochain volume.
Lu aujourd'hui, du Jim Thompson en BD : du bien noir comme il faut, des personnages irrécupérables. Dans ce genre, cette BD est une belle réussite tant au niveau narration qu'au niveau dessin.
Je conseille aux amateurs.
Deux histoires toujours très droles mais je les trouvent un peu moins poussées que les précédentes (enfin pour la seconde il vaut mieux attendre sa fin dans le prochain volume). On passe tout de même un très bon moment et Ryo est impayable et même quand il décide d'être sérieux ça se retourne contre lui. En tout cas cette série est à ne pas manquée même si les volumes sont horriblement cher alors qu'un version classique aurait été bien suffisante.
Mini-récits présentant, comme le titre de l'album, le laisse présager, l'ultime vol de pilotes de chasse impliqués, selon leur nationalité et donc leur parti pris, dans la seconde guerre mondiale.
Ce livre est graphiquement très réussi. Une mention spéciale est attribuée à la première scène de combat en vol qui rend aisée l'immersion du lecteur très aisée. Les avions sont splendidement et scrupuleusement détaillés et fidèles aux modèles originaux. Encrage très fin et couleurs pâles et léchées donnent une dimension supplémentaires à ces courts récits. Très agréable lecture et découverte des cases.
Ensuite, arrive un brin de frustration lors du passage de récit d'un héros à un autre. En effet, l'histoire du Japonais constituait en soi une excellente approche. Cette multiplicité du point de vue oblige le scénariste à se décarcasser pour séduire et accrocher le lecteur. Ce qu'il fait à moitié.
On l'a tous compris, il ne s'agit pas là du point fort de l'album sans pour autant devenir une faiblesse majeure insoutenable.
La voix-off, on accroche ou pas. Personnellement, rien de tout cela ne me gêne. J'ai l'impression de découvrir ce livre dans un musée, le balladeur sur les oreilles. Si tant est que vous vous ennuyez pendant cette lecture, augmentez le volume de la musique ambiante, plus rien n'y paraîtra.
Côté "bonus", chouette cahier graphique additionnel et pages intérieures originales. Chacun aura sa dédicace. Ok, je l'avoue, toutes les esquisses sont identiques mais sachons rester simple dans nos désirs ...
Mini-récits présentant, comme le titre de l'album, le laisse présager, l'ultime vol de pilotes de chasse impliqués, selon leur nationalité et donc leur parti pris, dans la seconde guerre mondiale.
Ce livre est graphiquement très réussi. Une mention spéciale est attribuée à la première scène de combat en vol qui rend aisée l'immersion du lecteur très aisée. Les avions sont splendidement et scrupuleusement détaillés et fidèles aux modèles originaux. Encrage très fin et couleurs pâles et léchées donnent une dimension supplémentaires à ces courts récits. Très agréable lecture et découverte des cases.
Ensuite, arrive un brin de frustration lors du passage de récit d'un héros à un autre. En effet, l'histoire du Japonais constituait en soi une excellente approche. Cette multiplicité du point de vue oblige le scénariste à se décarcasser pour séduire et accrocher le lecteur. Ce qu'il fait à moitié.
On l'a tous compris, il ne s'agit pas là du point fort de l'album sans pour autant devenir une faiblesse majeure insoutenable.
La voix-off, on accroche ou pas. Personnellement, rien de tout cela ne me gêne. J'ai l'impression de découvrir ce livre dans un musée, le balladeur sur les oreilles. Si tant est que vous vous ennuyez pendant cette lecture, augmentez le volume de la musique ambiante, plus rien n'y paraîtra.
Côté "bonus", chouette cahier graphique additionnel et pages intérieures originales. Chacun aura sa dédicace. Ok, je l'avoue, toutes les esquisses sont identiques mais sachons rester simple dans nos désirs ...
Bien que ce tome 4 reste en deça du niveau des 3 premiers, l'ensemble de la série est magnifique et les dessins d'une beauté très attachante ! A lire absolument.
Avant la sortie du tome 10, j'ai voulu relire le vol 9. Le scénario et les personnages m'ont semblé un peu statiques. J'aime moins les ambiances dégagées par les couleurs de FAVRELLE. J'attends malgré tout "manipulations" avec une certaine impatience en espérant un vrai démarrage de la saison 2 car j'aime cette série.
La découverte sur le mystérieux donneur de Jun-Shi est surprenante : il sait enfin qui est l'"autre" dans sa tête... Au fil de l'histoire du troisième tome, ça va mal ! Il n'est presque plus lui-même ! La nervosité empire...
Heureusement sa copine n'y est pas présente sinon...
Toujours aussi chef d'oeuvre !
ASS contient de l'humour, de l'action et des idées d'une excentricité sans pareil, des dessins très réalistes et des couleurs flashies. Vivement conseillé!
Un comics à part dans ce qui se fait aujourd'hui.
Emouvant !
Vous avez aimé les deux tomes de Quartier Lointain ? Et peut-être Le Journal de mon père (que je n'ai ni acheté ni lu...) ? Hé ! Bien ! Un Ciel radieux est exactement ce qu'il vous faut ! Sans hésiter, même !
Vraiment Jirô Tanguchi est étonnant : Son histoire et ses dessins sont magnifiques, fort poétisés bien qu'en arrivant à la fin, elle a réussi à m'avoir les larmes aux yeux...
A lire absolument !
Alcante réussit une nouvelle fois son coup. Ce quatrième tome traitant de la luxure est certes légèrement en retrait comparé aux trois premiers, mais il n'en reste pas moins très bien mené tant le sujet pouvait rapidement déraper.
S'agissant d'une série grand public, il n'était pas envisageable de proposer un ouvrage trop « sex ». Néanmoins, le scénariste parvient à ses fins en nous proposant d'assister à une singulière expérience de cybersexe. Une nouvelle fois, les anciens du mythe s'imbriquent avec des données issues des technologies modernes qui, si elles sont mal mises en œuvre, desservent l'homme au lieu de lui être utiles. Les éléments s’enchaînent naturellement pour constituer une intrigue tout à fait honorable.
Coté dessins, le changement d'artiste ne nuit pas à la série ce qui est assez rare pour être souligné. Les illustrations réalisées par Pignault sont réussies et ses créatures de rêve gardent des proportions réalistes.
Pandora Box est donc une série que je vous recommande pour passer un bon moment sans prise de tête, mais avec toujours un brin de réflexion derrière. Aller, il vous reste encore quatre tomes pour vous y mettre…
Très bonne histoire, bien meilleure que la précédente. L'intrigue est bien trouvée, l'humour présent et le côté aventure toujours aussi important. L'histoire se tient du début à la fin, le rythme est très soutenu, bref rien à redire sur cet album. un très bon moment de détente.
Résurections et réunions : Petite pause dans les aventures des X-Men où les X-Men revenus à la vie font enfin leur retrouvailles avec leurs amis et équipiers. C'est globalement bon avec pas mal d'intérogation à la clef notamment en ce qui concerne les relations entre les différents personnages.
Mojo superstar : Les X-Men en miniature c'est plutôt frais etr marrant mais ça n'a rien d'exceptionnel. Un bon moment tout de même.
La saison de la sorcière : L'histoire la moins intéressante du crossover House of M. L'intrigue est confuse et la plupart des personnages présents manquent quand même de renommé (notamment Capitain Britain). Bref j'ai eu du mal à rentrer dedans.
Dans la lumière : Les élèves de l'institut Xavier face à la mort d'un de leur proffesseur tué lorsque Wolverine était sous le contrôle de l'Hydra. Le sujet est bien traité, c'est plutôt une bonne histoire.
Les fantastic four version house of M ça décoiffe et c'est vraiment très surprenant pas vraiment ce à quoi on s'attend au début mais c'est plutôt original et ça a le mérite de donner une histoire passionante à suivre. A noter que Fatalis est égal à lui même tout au long de l'album et que la fin est vraiment à la hauteur.
Vraiment très bon. L'histoire évolue de manière de plus en plus passionnante avec un Wolverine au sommet de sa forme et des personnages de plus en plus intéressants. Même si tout ça manque un peu d'action et que les zones d'ombres sont nombreuses c'est avec impatience que j'attend de pouvoir lire la suite.
Franchement la suite de ce thriller ultra-psychologique montre vraiment un grand intérêt à poursuivre sans le moindre du temps mort : je viens de finir le second en une heure sans interruption !
Cette fois, Jun devient violent sans s'en rendre compte : c'est l'autre, celui du donneur, qui prend sa place... Megu, sa copine, a peur, se pose des questions... Ses collègues n'osent plus s'approcher à lui depuis la fameuse bagarre... Heureusement le professeur Wakao va l'aider... Vraiment va-t-il l'aider ? Je ne sais pas encore, et le saurai au prochain tome...
Waouh !
Dire que c'est mon premier manga en forme de poche ! Quel plaisir de connaître l'excellent scénariste Keigo Higashimo, un bon écrivain du genre thriller-fantastique : Je sens que je vais me mettre à ses romans connus ou pas en France.
Les dessins de Motorou Mase sont superbement bien maîtrisés, à croire qu'il dessine sous forme cinématographique tel un storyboard. Normal, il est également réalisateur, donc il connait parfaitement la technique : J'aime beaucoup son description des plans fixes.
Pour moi, c'est plus qu'un chef d'oeuvre !
Superbe fable sur la nature et les danger qu'elle représente. Un petit album
très réussi que l'on referme à regret. Je le recommande.
Cette BD est un chef d'oeuvre tant au niveau de la cosmogonie qu'il développe que de la beauté des dessins.
Il est vrai qu'elle requiert plusieurs lectures mais le résultat est payant car la vision que Lidwine essaye de développer est époustouflante. Pour ceux qui voudraient en savoir plus : http://membres.lycos.fr/ephebir/
Quand on réalise le travail sur le monde du Dernier Loup d'Oz on comprend pourquoi l'auteur tarde à nous composer la suite de cet album, il ne s'agit pas moins que du chef d'oeuvre de sa vie.
2 premiers épisodes Scénar : LEN WEIN Dessins : JOHN BUSCEMA
THOR doit aller chercher un rubis sur le crâne d'un dragon pour qu'on lui dise où ODIN a disparu. Le problème est qu'ULIK le Troll a aussi besoin de cette pierre pour sauver son peuple. Aprés la baston de coutume, les deux ennemis s'allient pour aller sauver le Peuple TROLL d'un monstre qui menace de détruire leur royaume. Toute la grandeur de THOR est là où il sacrifie sa quête pour aider un peuple même honnis à se sauver.
1 épisode Scénar : LEN WEIN Dessins : TONY DE ZUNIGA
L'épisode faiblard de l'album. THOR embarque avec ses compagnons d'arme habituels et SIF dans un vaisseau spacial en forme de drakkar. Ils échouent sur une comète où ils retrouvent de trés vieilles connaissances de THOR : LES HOMMES DE PIERRE DE SATURNE à l'origine de la transformation du Dr BLAKE en THOR !
1 épisode Scénar : LEN WEIN Dessins : JOHN BUSCEMA
THOR et ses compagnons sont rejoints dans leur recherche d'ODIN par l'ENREGISTREUR robot chargé d'enregistrer tous les événements de l'univers et accessoirement ami de THOR. Ils rencontrent un vaisseau ville dont les habitants sont victimes d'un monstre se promenant dans les coursives de leur appareil et les faisant disparaitre un aprés l'autre. Superbe on se croirait presque dans ALIEN !
Un petit hors série ancien de Scénar : STAN LEE Dessins : JACK KIRBY
consacré à HEIMDALL le gardient des portes d'ASGARD. Plus que moyen.
X-MEN Réédition de l'épisode diffusé dans STRANGE 28
PHOTONIK Scénar + Dessins : CYRUS TOTA
TADDEUS et TOM POUCE sont enlevés par un WILCOX agent du FBI spécialement détaché pour arréter PHOTONIK. Il soupconne TADDEUS d'être PHOTONIK et commet un odieux chantage (pour un représentant de l'ordre) pour qu'il se découvre en vain. Les motivations de WILCOX et la raison de sa haine envers PHOTONIK sont les plus poignantes qui soient. Poignant.
ET SI Scénar : STEVE GRANT Dessins : CARMINE INFANTINO
Fin de l'épisode Et si certains étaient devenus des super vilains. SPIDER WOMAN n'aurait rien connu de ses origines et CAPTAIN MARVEL serait resté l'espion au service des KREES qu'il était au départ. Scénar comme dessin : BOFF
Ce n'est pas du tout désagréable à lire, c'est moins drôle même si j'ai ricané un petit peu... Je dirai pour ce dernier album un remake de tous épisodes précédents...
Ce n'est pas non plus un album à éviter si l'on veut continuer à collectionner.
LA GUERRE DES ETOILES : Scénar : DAVID MICHELINE Dessins : WALT SIMONSON
Un excellent épisode où LEIA / CHIK et les deux robots font partie d'une expédition de recherche pour trouver un nouvel abri à la flotte rebelle. La planète qu'ils explorent est celle des HOOJLS des petites créatures poilues trés mignones qui se révèlent être télépathes et qui sont représentés par leur porte parole PLIF qui deviendra un personnage récurent de la série.
LA GUERRE DES ETOILES Scénar : CHRIS CLAREMONT Dessins : M. VOSBURG
Fin de l'annual 1979 où LUKE et ses amis renversent le règne de MAJESTIX reine des S'KYTRI, les hommes volants. La meilleure partie de l'annual mais cela ne vole pas trés haut !
MIKROS Scénar+Dessin : JEAN MITTON
SALTARELLA attaque la DST à PARIS pour délivrer ses amis français. LE MAITRE PSI tente par tous les moyens de la capturer pour qu'elle le sauve d'une maladie. Trés bien dessiné mais un peu trop répétitif.
DAZZLER Scénar : F. FINGEROTH Dessins : FRANCK SPRINGER
On nage en plein soap. DAZZLER chante à un concert de charité devant tous les super héros. Son père et sa mère sont dans la salle en même temps. Amour, gloire et beauté ? On tire presque une larme mais les dessins de certains sup héros sont à pleurer ... de rire.
IRON MAN Scénar : PETER GILLIS & RALPH MACCIO Dessins : JERRY BINGHAN
Suite des aventures de TETE DE FER au WAKANDA où il aide LA PANTHERE NOIRE a faire face à un coup d'état orchestré par son vieil ennemi revenu d'entre les morts ERIK KILLMANGER. L'histoire manque d'épaisseur par rapport au dessin. Un tel exotisme aurait mérité un "run" plus long.
L'ARAIGNEE Scénar : DANNY O'NEIL Dessins : JOHN ROMITA JR
Une intrigue plus que classique où L'ARAIGNEE fait face à son patron MR DOCKERY qui s'avére être une belle ordure (ex ennemi de SPIDERWOMAN) mais le + de cet épisode est l'apparition de MME WEB une extra lucide qui sait que PETER PARKER est L'ARAIGNEE !
DAREDEVIL Scénar + Dessins : FRANK MILLER
Attention Chef d'Oeuvre ! Pour moi c'est à compter de cet épisode que MILLER marque sa patte sur la sérié. En effet, il complète les origines de DAREDEVIL (temps entre l'apparition de ses pouvoirs et la mort de son père) en lui invintant une petite amie de fac : ELEKTRA !!!! qui fait ici sa toute première apparition !!!
ROM Scénar : BILL MANTLO Dessins : SAL BUSCEMA
Autre bijou : ROM et NAMOR lutte face à un monstre qui attaque ATLANTIS. Le moins que l'on puisse dire c'est que ça déménage ! Rien de nous est caché des massacres du monstre !!!
Première confrontation entre Spiderman et Venom, un indispensable pour les fans de Venom. Bercé par le trait de Todd McFarlane cet album reprend les amazing Spiderman 300, 316 et 317.
L'histoire est nulle et sans interet; le dessin n'en parlons même pas.
Marniquet a fait de belles choses mais la il devait être malade ce jour la.
A éviter de toute urgence !!
Spiderman version House of M c'est excellent et on est vraiment surpris de la tournure des évènements. En effet Peter Parker a enfin une vie de rêve où tout ce qui lui était arrivé de mauvais n'a jamais existé mais décidément il semble accro au malheur car il arrive à s'en créer de nouveau. L'histoire est très bien construite, pleine de suspense avec des personnages intéressants. Un grand moment.
Cette histoire est pas trop mal. En effet l'intrigue est plutôt plaisante mais on met un peu trop de temps avant d'en arriver au sujet si bien que la fin tourne vite court et manque d'explication (même si on devine l'essentiel). C'est agréable à lire mais pas extraordinaire.
après avoir relu les tomes 1 et 2 pour enchainer sur ce tome 3 dans les meilleures conditions (ben oui, je fais toujours ça... ;) ), je suis toujours autant emballé par le scénario et le dessin.
L'histoire ne pèse pas du tout, le scénario est fluide et on n'a pas l'impression d'être tenu en haleine juste pour le plaisir de produire des tomes. L'histoire reste pleine de suspens mais avance suffisamment vite pour ne pas "décourager" le lecteur.
Le dessin, lui, est vraiment superbe à mon goût...
Et puis, je l'ai déjà écrit à propos du tome 1 mais je tiens à nouveau à mettre en avant cette façon de marier l'historique avec des inventions futuristes pour l'époque. Les armées de la guerre de sécession avec des blindés, des espèces d'ailes mécaniques pour permettre aux personnes de voler, des machines à capturer les âmes, ... On ne bascule pas pour autant dans la science fiction, ça non ! Et c'est tant mieux, je n'aime pas la science fiction ;)
Un premier tome divertissant et prenant! Avec un excellent découpage, des
personnages attachants, le tout servi par un dessin très sympa. On a hâte de
lire la suite!
Un nouveauté qui commence à cent à l'heure ! Excellent surprise que cette BD au dessin nerveux et très agréable et au scénario bien écrit : on ne s'ennuit pas un instant ! Les fans de films des années 80 du genre de Kabal ou encore des mondes magiques ou rien n'est ce qu'il semble être, seront ravis.
Quel dommage que l'impression soit un peu floue et que les couleurs en ressortent ternies. Mais j'ai tellement aimé que je pense racheter une prochaine édition si l'impression est de meilleure qualité.
Vivement la suite, chapeau bas !
Polar d'excellente facture chaque intervenant donnant le meilleur :
Tout d'abord au scénario : Crippa, je trouve son scénario bien plus intéressant et bien ficellé que son autre série en cours "100 âmes". La narration est particulièrement agréable et les personnages sont bien en place et crédibles.
Cette narration est servie par le dessinateur Mutti au sommet de son art et on est bien plus proche du chef d'oeuvre "break point" que de la série "section financière" dont le dessin est d'un classisisme sans intérêt ou de la tentative de "S.A.S." digne d'un S.A.S.. Le dessin est là un atout terrible pour cette BD.
Enfin la mise en couleur amène sa couche de glauque à l'ensemble.
Dieu sait que j'ai actuellement du mal avec les séries, mais celle là démarre sous les meilleurs auspices... Je conseille vivement.