Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 27/11/2024 à 11:28:48 en 0.4436 sec
Il n'y a qu'un seul mot : "MAGNIFIQUE"...A lire de toute urgence !!!!
C'est une très bonne histoire qui nous est racontée dans ce numéro spécial post crisis. Le personnage de Superman n'est pas si invulnérable que ça et on a de quoi réfléchir sur le bien fondé d'avoir une seule personne avec autant de pouvoir que lui. De plus la fin est surprenante et j'étais loin de soupçonner celà. Bref ça me donne une grande envie de lire le Batman / Superman 7 ainsi que le prochain numéro de Superman.
Fin de House of M qui, il faut le dire, a largement été à la hauteur de mes espérences. De plus cette fin extrèmement bien trouvée avec ses conséquences importantes pour l'avenir des mutants est la cerise sur le gateau. Bref c'est une très bonne histoire à ne pas rater selon moi.
Cette aventure de nos deux compère est plutôt bonne et même meilleure que les précédentes depuis "Du glucose pour Noémie". L'histoire tiens davantage la route et le côté fantastique n'est pas génant et même plutôt intéressant. Spip est plus drôle mais c'est pas encore ça, ses répliques manquent encore de finesse et de naturel. On passe un bon moment et on reste accroché jusqu'au bout.
Une histoire sympathique, avec de jolis dessins, mais j'attends la suite...
ATTENTION !!! Si j'ai eu une inquiétude en lisant en preview dans Bodoï la première partie du "peuple des endormis". Je ne retrouvais peut-être pas ce que j'attendais d'un Tronchet. Je viens de relire l'ensemble et j'en ressors tout content.
Il ne faut pas, à mon avis, s'en tenir à ce que pourrait laisser présager un premier tier assez sombre il est vrai. Il s'agit juste d'une mise en place d'une époque et de personnages. Les deux autres tiers nécessitent cette mise en bouche. On y retrouve notre Tronchet dans ce qu'il a de meilleur : humour (mesquineries du quotidien), tendresse (un enfant sans attache qui se laisse porter par les évènements) et grandeur relative (comme dit Tronchet un des personnages est "une espèce de Raymond Calbuth du XVIIème siècle).
Après "ma vie en l'air" qui me laissa plus ou moins sur ma faim... Je pense que les amateurs de Tronchet auraient tort de rester sur l'impression que peuvent laisser les premières pages... La suite est excellente et cette BD pourrait bien être une des bonnes surprises de l'année, un peu comme le fût "Là-bas" il n'y a pas si longtemps.
La cloche du gouverneur peut donc sonner DOONG DOONG DOONG
Les albums 8 et 9 sont agréables à lire. Les chassés croisés entre nos deux héros et Scala cette tueuse au service de l'argent maintiennent un bon suspence. L'univers des puissants est bien décrit mais la fin reste sans surprise.
X-MEN : Réédition de l'épisode diffusé dans STRANGE 29
ARAIGNEE / OISEAU MOQUEUR Scénar : STEVE GRANT Dessins : JIMMY JAMES
Un MARVEL TEAM UP, fait inhabituel plutot diffusé dans SPECIAL STRANGE habituellement. L'intringue nous fait découvrir OISEAU MOQUEUR ex-agent du SHIEL qui tente de contacter NICK FURY, pour le tuer d'aprés DELANDAN un super agent qui demande l'aide de l'ARAIGNEE. Les dessins du TISSEUR sont sympa, le reste moyen et l'intrigue se laisse lire jusqu'à un dénouement dramatique qui augure du pauvre sort que MARVEL réservera à OISEAU MOQUEUR.
ET SI... Scénar : PETER GILLIS Dessins : PAT BRODERICK
Une question intelligente ET SI BEN PARKER n'était pas mort pour un traitement scénaristique et visuel ridicule !!!! (L'ARAIGNEE agent des super héros !!!)
Il semble s'instaurer une constante : la narration de G. Mardon est exceptionnelle. Une manière bien à lui d'amener les choses. Le dessin classique convient parfaitement au scénario et l'ambiance qui doit s'en dégager.
L'année scolaire d'un enfant ressentie par cet enfant, avec en toile de fond la relation de ses parents qui se détériore... L'auteur ne juge pas, l'enfant plus :
Injustice ou non ? sa mère toujours à ses côtés semble payer les premiers pots cassés aux yeux de l'enfant - mais est-elle réellement avec lui ou n'est-elle qu'une présence. Quand au père dont on ne voit jamais le visage et n'est pratiquement jamais là (sauf à la fête d'école), il parait comme une sorte de divinité aux yeux de l'enfant (un super héros - qui serait venu dans un improbable passé défendre son fils à la sortie de l'école). C'est terrible ça, non ? Pas un pour relever l'autre et l'enfant dans toute son innocence au milieu du champ de tir...
Une excellente BD.
Mon avis est relativement mitigé. Pas grand chose à redire sur le dessin, il me plaît bien. Le déroulement du roman me semble suivi (lu il y a une dizaine d'année).
Maintenant, le problème d'une succession d'actes de bravoure et d'explosions est bien réel même si moins présent dans la seconde partie... Certes, il y en a dans le roman, mais ce qui fait la force de ce roman, c'est le charisme des personnages, or un seul me rappelle au bon vieux temps, c'est Nollet... Là, la crédibilité du scénario en souffre terriblement, j'ai bien du mal à croire en cette croisade et encore plus en ses motivations...
C'était un pari difficile qu'a tenté Beuzelin, et rien que pour cela, je lui tire mon chapeau. J'espère qu'il réessayera avec d'autres Fajardie, peut-être que "la théorie du 1%" se prête mieux à une adaptation BD...
je n'ai pas accroché. Peut-être ne serait-ce parce que je ne me retrouve pas dans le personnage principal et sa relation à descendance... je n'ai pas trouvé le train du rythme et pas trouvé grand intérêt au // avec l'univers (les lecteurs comrendront...).
Sans doute en attendais-je trop..., c'est une BD sympa, mais sans plus.
Silvestri est en très grande forme et cela se voit dans cet album. Le dessin est sublime et les couleurs toujours très appropriées.
L'histoire, si elle évolue lentement, n'en est pas moins prenante. Espérons que la suite ne se fasse pas trop attendre... (normalement premier semestre 2007)
Un premier tome dense, assorti d'un dessin sortant vraiment de l'ordinaire.
C'est le genre de bd qu'il faut lire à tête (très) reposée mais qui dégage une ambiance glauque inimitable.
On progresse dans la vie de Gally lors de son passage sur Zalem, zone qui était restée dans l'ombre au cours du premier cycle.
Même s'il reste des passages plus techniques un peu plus ennuyeux, on en revient toutefois plus à ce qui a fait le succès de la première série, à savoir l'action.
Les scènes de combat sont absolument superbes et le dessin en général montre la maîtrise de Mr Kishiro.
A lire absolument... Mais après le premier cycle ;o)
Une série méconnue mais qui s'avère très distrayante à la lecture. Le dessin est très agréable et l'histoire, bien menée, laisse une grande place à la surprise, étant donné qu'on ne sait pas du tout où l'auteur va nous mener.
Confirmation de la qualité du tome un dans cette suite. J'espère juste que le tome 3 ne se fera pas trop attendre...
Je suis nettement moins enthousiaste sur cet album. Le dessin, très (trop?) classique est associé à un scénario que j'ai trouvé particulièrement ennuyeux.
Je ne suis pas un spécialiste du polar mais celui-ci m'a très nettement laissé sur ma faim.
Toujours aussi beau... Trichet manie le crayon avec dextérité pour nous offrir une nouvelle fois un album d'une grande qualité graphique.
Point de vue scénario, même si l'histoire est prenante et se laisse lire avec beaucoup de plaisir, on se demande toutefois quand quelques infos seront données sur l'étrange don affectant Jenna et Jim.
Cela reste toutefois une de mes séries préférées et j'espère que le tome 5 apportera son lot de surprises.
Décidément, cette série prend de plus en plus d'ampleur, parvenant même, à mon avis, à éclipser la série mère.
Le scénario ici conté est plus "humain". On ne peut s'empêcher de s'attacher à notre jeune héroïne, victime de toutes sortes de déboires mais qui peut compter sur des amis solides.
Le dessin est toujours aussi beau. Mention particulière pour la couverture, que je trouve absolument superbe.
NB : Dommage que Delcourt ne soit pas fichu de faire des coffrets avec cale qui permettent effectivement de caser les 4 tomes. Grrrr...
Tome 2 à la hauteur du premier, même si la poésie du premier a laissé place à beaucoup (trop?) d'action. Néanmoins, le dessin est toujours superbe, tout comme les décors. Un must.
J'ai été plutôt agréablement surpris par cet album. L'histoire est plaisante, l'humour sonne juste et le dessin, s'il souffre encore de certaines imperfections, est très réussi.
Une bd plus que probablement passée inaperçue parmi le flot des nouveautés et c'est vraiment dommage. A lire donc ;o)
Un très bon premier tome. Le dessin est très agréable et le scénario est plutôt bien ficelé. Le seul bémol vient des couleurs, l'album étant un peu trop orange à mon goût.
Mais que cela ne vous empêche pas de lire cette excellente bd.
De la grande BD, une narration parfaite pour une histoire particulièrement dure à traiter et un thème non moins dur. Un dessin teinté de belle insouciance, de naïveté qui porte parfaitement l'état d'esprit du narrateur à l'instant clé du récit - comme j'ai lu plus haut, il y a un avant et un après. Terrible sentiment de la tromperie, de l'abus de confiance et terrible sentiment de culpabilité en rapport à sa porpre naïveté. Ce moment est amené avec une grande finesse d'esprit, dans le sens où nous suivons le narrateur depuis sa petite enfance. La fin est, elle, particulièrement bien retranscrite au niveau du ressenti que l'on imaginer avoir à ces instants...
Spoiler :
Je trouve particulièrement fort cette analyse de l'enfant qui vit dans un milieu familial qu'il considère comme la norme - ce qui n'est pas le cas. Et cette découverte au rythme des années des travers de ce mode de vie jusqu'à son implosion... inéluctable
Sincèrement c'est une BD d'une "force" extrème. Tout y est dit sans l'être par le biais de pensées, de descriptions et de ressentis. Lecteur, j'ai eu le sentiment d'être très proche du regard d'Alfred, un regard extérieur qui suit une histoire et en ressent la douleur, la colère au plus profond de son être.
c'est une Très Très Grande BD - ne passez pas à côté :
Bon, je fais faire simple : du début à la fin... J'ADORE.
Dommage que ce soit fini... sur quoi vais-je me rabattre ?
Allez... il n'aurait pas un enfant caché le dernier Méta-Baron ?
Ou dans la lignée, n'y aurait-il pas un batard ou un roturier ?
A force de déléguer, forcement des choses vous échappent. Pourtant "le maitre" aurait du jeter un oeil sur ses planches avant que de les diffuser à ses fans. C'EST QUOI CE DESSIN ? C'EST QUOI CES COULEURS à ch.... ? Pourtant je l'attendais avec impatience cet album... Et même en l'ayant relu une bonne dixaine de fois, je le trouve toujours aussi... comment dire... raté, pour resté poli. N'y aurait-il pas du foutage de gueule ? Ou sont les dessins et les couleurs du premier (et je ne parle même pas des "lieutenant blueberry", chef d'oeuvre s'il en est, à par peut être un). Bref, Mr Rouge nous avait habitué à mieux. Quand à Smulkowski.... j'avoue ma méconnaissance de cette personne, mais une chose est sure ,nous n'avons pas la même perception visuelle des couleurs. De grace Mr Giraud... resaisissez vous.
un Chabouté pur cru niveau dessin - j'adore ce noir et blanc, ces visages, ces regards. J'ai bien apprécié l'ensemble, si effectivement la mise en scène du meurtre revient cycliquement (une sorte de maison de la famille "Bates" sous tous les angles), l'hypothése (je ne connais pas la vraie histoire et qui peut prétendre la connaître) est particulièrement bien amenée. J'ai passé un bon moment de lecture.
un pur moment de "jouissance", où l'on retrouve Rabaté dans ce qu'il a de meilleur : de "simples" relations humaines. Traité avec un humour corrosif, il décrit la montée annonciatrice de ce que l'on pressent comme une explosion finale à venir dans un vieux couple. Lui communiste à la sauce au vin rouge, elle grenouille de bénitier n'ont pas une seconde sans se chercher... détail, ils habitent chez leur fille qui vit avec un mielleux et leurs deux enfants. Leur maison est mitoyenne à celle du beauf "grande gueule". Bref, nous retrouvons l'ambiance des "pieds dedans". Le tout porté par le dessin de Prudhomme qui ne doit pas rebuter, car son trait s'accomode parfaitement à la narration. Merci messieurs !!!
En attente avec impatience de la suite.
La saison des sorcière : Cette histoire se déroulant dans l'univers d'House of M au final ne m'aura pas vraiment passionné que ce soit au niveau de l'intrigue ou au niveau des personnages.
Triangle amoureux: globalement c'est une bonne histoire avec une fin qui n'en est pas vraiment une et des questions en suspend mais il est intéressant de voir le comportement des X-Men face à la volonté de mystique de faire partie des X-Men.
Gloire est fortune : Bon début pour cette mini série qui a la fin du second épisode devient très intéressante.
Terre sauvage : Début intéressant mais il est un peu tôt pour savoir où l'on va et se faire vraiment une idée.
Chasse aux fantomes :Très bonne histoire dans l'univers d'House of M. L'histoire est assez complexe, passionante, le suspense est bien entretenu et jusqu'au dernier moment on ne sait pas ce qu'il en est. Bref un très bon moment.
Innocence perdue : Fin pas vraiment surprenante car on s'y attend depuis un moment mais globalement c'est une bonne série.
Origines et dénouements : Début très prometteur pour cette nouvelle histoire à suivre de près. Wolverine qui a retrouvé toute la mémoire on le voit bien à la fin de l'épisode ça ne fait pas que des heureux. A mon avis ça va saigner.
Ce volume nous permet de mieux cerner le personnage de Tatsuya et ses rapport avec son frère depuis l'enfance. Ce qui est bien c'est que rien n'est réellement expliqué mais tout est suggéré par des flash back. De plus les rapport entre Minami et Tatsuya sont en train d'évoluer ce qui complique les relations au sein du trio même si Tatsuya fait tout pour laisser le beau rôle a son frère.
Recueille de petites histoires dont la première est en rapport avec la série Captain Tsubasa. Elles sont plutôt pas mal mais je conseille d'acheter cet album d'occasion pour avoir un bon rapport qualité / prix.
La série a mal vieillit mais c'est quand même plaisant à lire, sûrement le côté nostalgiquede l'animé où on voyait de jeunes footballeur jouer des match 3 fois plus long qu'ils ne devaient durer et descendre des terrains 6 fois plus long qu'ils ne devaient l'être. A que de souvenir.
Franchement cette série est pas mal pour le côté nostalgique mais ce n'est pas du tout une priorité (d'ailleur le l'ai fait entièrement en occase).
Ce volume est plutôt sympa même si il ne raconte pas énormément de chose on y voit des personnages intéressants encore une fois lié au passé de nos héros (dingue ce que le monde est petit quand même). Les histoires communes et même toute cette histoire de main de dieu ainsi que tout ce qui s'est passé au Mugenjo semblent toutes liées à une intrigue plus importante et plus complexe où Ban et Ginji jouent un rôle essentiel à priori sans en être conscient. Plutôt pas mal je vais continuer encore un peu pour voir comment tout celà évolue.
Je viens enfin de dénicher cette édition de luxe de Tao Bang. Quel bel objet, la finition est soignée, les croquis présentant les personnages, le port et la mer sont très intéressants. L'histoire en couleur de cette première aventure clôture de façon admirable ce bijoux de 74 pages.
J'avais déjà beaucoup aimé les dessins de Supiot pour "Le dérisoire" et "Féroce". Je suis également un grand fan de Terry Gilliam et notamment de son adaptation cinéma du "Baron de Munchausen". Je dois dire que je n'ai pas du tout été déçu de cette adaptation BD qui ne reprend d’ailleurs pas le film. Les dessins sont à la hauteur du fabuleux talent du Supiot. Des petits traits crayonnés et des couleurs (semi) directes sont un enchantement pour les yeux. Les aventures du baron se déroulent dans ce 1er tome en Orient, laissant place à des paysages splendides et des couleurs vives et chaudes. La narration des aventures rocambolesques du baron est fluide (quoiqu'un peu rapide) permettant un total dépaysement et un réel plaisir de lecture. La BD donne une part prépondérante aux fabuleuses planches de Supiot et un peu moins aux paroles. C’est pourquoi le 1er tome est plutôt rapide à lire et je pense que l'ensemble sera bien plus dense après les 3 tomes. En attendant, toux ceux qui aiment une imagination débridée et sans limite devraient apprécier ce 1er tome. Je reste en attente de la suite avec ces débuts très prometteurs.
histoire déjà vu ( love hina), scénario mal batie et lourdeur dans l'histoire font de koikoi7 le manga à publier .
Le changement de narration se fait spontanément , ce qui rend le manga difficile à comprendre , et quand bien même on a compri , l'histore irréaliste rebutte les plus vaillants
Les tomes 7 et 8 nous en apprennent beaucoup sur l'enfance de Larry Max. Ses retrouvailles avec Gloria alias Kate Absynth représentent un moment fort. Hormis ces émotions, le scénario et les dessins restent assez conventionnels.
Encore un très bon one shot réalisé par le tandem constitué de Joël Callède et Denys.
Le scénario de ce polar fantastique n'est pas des plus original, mais en revanche il est diablement efficace. Hormis les passages mettant en scène le « Bon Samaritain », toute l'histoire de ce huis clos se déroule dans un parking à l'atmosphère oppressante. A l'instar des bons films d’horreur, Joël Callède prend le temps d'installer les éléments d'angoisse et de peur qui viendront apporter une crédibilité à son macabre récit. Tous les ingrédients sont réunis de façon à ce que les protagonistes sachent que la mort les attend au tournant !
Les dessins de Denys viennent sans conteste renforcer l'ambiance glauque des lieux. Les cadrages choisis, la manière dont les inquiétudes et délires des personnages sont portés à l'image constituent de vrais points forts pour cette bande dessinée.
Un album très réussi.
Après avoir lu récemment « Les Coulisses du Pouvoir », cette nouvelle série était l'occasion de découvrir le travail récent du talentueux scénariste Philippe Richelle.
Premier tome d'un diptyque, "Les Associés" aborde le thème de la corruption et du blanchiment d’argent. Pour le moment, ce polar-économique ne révolutionne pas le genre et les mécanismes qui nous sont exposés relèvent plus de la magouille artisanale que de la haute finance internationale. Néanmoins, la narration est très bien construite. Les faits relatés sont très crédibles et intéressants, même s'il faut attendre les deux tiers de l'album pour que l'intrigue se fasse véritablement jour. Comme souvent le premier album sert de prologue à d'autres rebondissements que Philippe Richelle devraient développer lors dans les prochains volumes. On notera aussi un personnage principal attachant dans sa naïveté et dans la volonté qui est la sienne d'aspirer à des jours meilleurs pour lui et sa famille.
Coté dessins, la mission a été confiée à Pierre Wachs lequel avait déjà œuvré sur les séries « Le Triangle Secret » et « INRI ». Au niveau des décors, le rendu est des plus agréables. Le style réaliste de Pierre Wachs lui permet d'agrémenter ses cases de nombreux détails. Cette impression est d'ailleurs renforcée par un gros travail fourni sur le cadrage et le découpage des planches. En revanche, les personnages ne sont pas fameux. Ces derniers paraissent figés, même lors des rares scènes d'action du récit. De même, leurs visages sont un peu disgracieux. Pour finir, je saluerais la mise en page très réussie de la couverture, laquelle incite à se plonger dans cet album.
Une série à suivre, programmée en huit albums...
Après leur premier roman graphique "Superman : Paix sur Terre", Paul Dini et Alex Ross se sont de nouveau associés afin de nous livrer une autre superbe BD, "Batman : Guerre au Crime".
L'histoire concoctée par Dini comporte plusieurs niveaux de lecture. Bien sûr, il y a toujours la guerre totale menée par Batman contre le crime, une guerre qu'il ne pourra jamais gagner, mais au cours de laquelle il entend gagner assez de batailles pour faire la différence. Mais, il y a aussi une dimension introspective dans ce récit avec des messages distillés ça et là pour qui saura les noter. On y découvre à cette occasion un Batman plus humain, moins manichéen. Ce que le héros masqué ne peut résoudre par la force, Bruce Wayne le multimillionnaire y parviendra grâce à des investissements de grande envergure qui auront des conséquences plus essentielles.
De nouveau, le texte de Paul Dini est superbement illustré par les peintures extrêmement vives et réalistes du talentueux Alex Ross. Le grand format du livre nous donne aussi l'occasion d'apprécier pleinement l'excellence de son travail.
En conclusion, j'espère que Paul Dini et Alex Ross continueront leur collaboration pendant un bon bout de temps afin de nous gratifier d'autres ouvrages de cette qualité.
Autant le dire tout de suite, après la lecture de "Rire et Mourir", je ne suis pas aussi enthousiaste que la plupart des lecteurs.
Certes, l'histoire a le mérite de lever le voile sur les origines d'un des ennemis mortels de Batman, à savoir le Joker. Néanmoins, j'en attendais un peu plus, peut-être un peu trop. Plus de développements, et donc plus de profondeur, de la part d'un artiste aussi encensé qu'Alan Moore. En outre, lorsque le récit s'est terminé, il m'est resté une sensation étrange. Il ne faut pas être bien perspicace pour voir où l'auteur désirait nous mener : lequel des personnages est le plus fou des deux ? Cependant, compte tenu du passif extrêmement chargé entre Batman et le Joker, lorsque l'on se rappelle que le vilain de l'histoire vient de laisser la fille du commissaire Gordon handicapée à vie, une fin pareille est-elle bien crédible ?
De là à dire que l'histoire n'est pas à la hauteur, il y a une frontière que je ne franchirai pas. Toutefois, cet album est juste intéressant.
Mouarffff...
Je me suis un peu laissé avoir par le marketing promo fait autour du lancement du tome 3 (faux journal dépoque distribué à Forum, bien fichu).
J'ai acheté les tomes 1 et 2 et je suis pas radicalemnt emballé par les dessins. Le scénar est prenant mais avec une idée de background aussi sympa je suis déçu qu'on en reste à une course poursuite d'agent secret. Il y a des visions d'anticipation technologique bien dans le ton et aussi des foutages de gueule (poupée automate aussi douée que Terminator en 1860 et quelques).
Bref cette série a intéret d'être longue (elle en a les moyens) pour planter tout le décor et donner de la densité à d'autres personnages que cet énervant et stéréotypé James "Gaveroche" Bond.
Cet album se base sur des faits historiques exposés en quelques pages au début : Un des bourgmestres de Bruxelles, enthousiasté par le Paris Hausmannien, lance des travaux pharaoniques, qui vont paralyser la ville et ruiner les finances.
La Bande dessinée elle-même retrace cet épisode dans la ville parrallèle de Brüsel, en y ajoutant une bonne dose de dérision. On y voit un emballement urbanistique galvanisé par l'envie de "modernité" et de "progrès" générer un chaos imprescriptible et loufoque dont le personnage central peine à s'extirper finalement.
Cette BD est la satire de l'aveuglement, et permet de passer un moment agréable à sa lecture.
Le personnage principal de ce western est un notable de Washington pétri de certitudes. Un jour, sa femme et sa fille sont agressées et tuées. Le meurtrier signe son méfait d'une étoile. Incapable de comprendre la raison de ce crime, il décide de tout faire pour comprendre. Son enquête va le mener loin dans l'ouest, sur le chantier du chemin de fer où la loi et la civilisation ne sont pas encore arrivés, non loin des terres indiennes.
Le dessin de Marini, que je connais et apprécie déjà pour Gipsy, rapaces ou le scorpion, illustre à merveille les changements d'ambiance de l'hiver froid dans la ville de Washington jusqu'aux saloons glauques du Far West.
Quant au scénario, il décrit la longue quête d'un personnage qui n'est pas un héros jusqu'à une fin qui est tout à fait inattendue!
Histoire complète en deux tomes, à lire absolument.
WEST est décidément une série originale mélangeant Western et occultisme.
Ce tome nous emmène à Cuba, alors sous occupation US et s'intéresse évidemment à la Santeria, le vaudou local. L'équipe de l'énigmatique Morton Chapel, augmentée de la charmante docteur Willox va donc faire face à une rebellion indépendantiste, une répression militaire en passant par des zombies, des malédictions, de la magie noire et quelques agents doubles. J'ai trouvé l'intrigue un peu confuse mais je suppose que le tome suivant apportera quelques éclaircissements.
Je viens de découvrir ce premier tome. Tout y est captivant, le mélange samouraI¨et chevalier européen (inquisition), les couleurs sombres comme la destinée des Delany, les motivations qui animent notre héros. cette histoire ressemble à une sorte de quête. J'espère que la suite sera à la hauteur de mes attentes.
Ce tome termine cette histoire en 3 volumes. Les mêmes éléments que les albums précédents s'y retrouvent, un bon tome.
Une enquête qui nous mène au Mexique, dans le monde des collectionneurs de météorites. L'histoire est agréable à lire, le dessin est correct. Une BD sympa, sans être passionnante.
Dans ce deuxième volet de la série « Cyclopes », les aventures de Douglas Pistoia continuent tambour battant. Entre scènes de conflit et tranches de vie du "Héros", Matz enfonce le clou de ce reality show au vitriol. Le scénariste peaufine ce qui ressemble à une vision cynique de la société de consommation dans laquelle les schémas comportementaux sont décidés au sein des conseils d'administration de multinationales.
Certains acteurs sont pourtant tentés de résister à ces plans bien établis. Puisant dans l'actualité récente, Matz dénonce également les dérives de la guerre médiatique et de la désinformation qui peut en découler. Pour ce faire, il introduit un nouveau personnage, journaliste fouineur, déterminé à faire la lumière sur les dessous troubles des relations entre les diverses instances dirigeantes. Il sera aidé en cela par une prise de conscience du héros, lequel n'est finalement pas aussi superficiel qu'il veut bien le laisser paraître. Leur entreprise réussira-t-elle ? Réponse peut-être au prochain album...
Coté dessins, j'apprécie réellement le trait efficace de Jacamon aussi bien pour les visages des protagonistes que pour les décors. La mise en page est une nouvelle fois impeccable, renforcée par les couleurs et jeux de lumières qui posent l'ambiance. Une réussite.
"Cyclopes" est donc la nouvelle série conçue par le tandem Jacamon/Matz. Inutile de préciser qu'après le très réussi "Le tueur", ces deux auteurs étaient attendus au tournant par leurs nombreux fans. Disons le immédiatement, "La Recrue" constitue un excellent premier opus de cette histoire prometteuse.
Une fois n'est pas coutume, je commencerai ma chronique par le dessin de cette album. Luc Jacamon nous démontre une nouvelle fois toute sa maîtrise : le découpage efficace des premières planches donne le ton de cet ouvrage de science fiction politique. Globalement, le trait est toujours aussi intéressant, dans un style fort et caractéristique. Une réussite. La colorisation informatique me semble plus sombre que celle de "Le tueur", vraisemblablement à l'image de ce futur guère engageant dépeint par le scénariste.
Concernant l'histoire, je n'ai pu m'empêcher de songer à "Reality Show" (Morvan/Porcel) en cours de lecture : une société privée chargée de maintenir l'ordre public, une diffusion télévisée des plus lucrative, un héros courageux mais encore un peu lisse... Néanmoins, Matz paraît traiter son sujet avec plus d'ambition car ce sont ici les dérives supposées de l'ONU en matière de sécurité mondiale qui sont montrées du doigt. Malgré quelques facilités scénaristiques, l'ensemble est de belle facture et laisse augurer une suite des plus réjouissante.
énorme ce manga , c'est celui d'une génération. Il est culte dans le monde entier et on le comprend à sa lecture. Après sa on réfléchis bien plus à l'environnement et à notre bestialité : qu'est qu'on ferait si un cataclysme touchait la terre?
la série a évolué , et à changé de cap entre les 1er tomes axés sur zet et les derniers où zet a disparu au proffit de koga . Le manga perd ainsi toute sa magie et sa fantasy pour devenir réaliste , dommage que l'auteur n'ait pas continué mais ait changé de style en cours de route
Un deuxième tome aussi réussi si ce n'est plus que le premier.
Bon j'ai toujours du mal avec leur semi-effet de vitesse... mais a part ça le dessin est bon.
Par contre on apprend pas grand chose dans ce tome mais la tension monte bien.
Un survival horror avec des idées completement barré qui promet de très très bon moment.
Je trouve que le 13° tome, Prophétie est baclé. Par contre, il y a de très jolie dessin mais sa ce lit tros vite. Manque de dialogue et d'histoire.
Le personnage est attachant, enfin un privé qui n'a pas le type GI ! Les amoureux de bagarres seront décus. Les dessins et les couleurs servent bien cette histoire, une enquête incertaine sur un tueur en série lugubre comme le lieux de ses crimes. J'espère que la suite va confirmer cette bonne impression.
Un dernier tome un peu décevant par manque de rebondissements, d'action et surtout de suspens. Le seul atout de ce tome (et voulu comme tel) est de se dérouler en Egypte.
j'ai bien aimé , sa reprend toute la série des dragon ball sous forme de pastiche , c'est très drôle et sympa à lire. Les histoires sont marrante en majorité et permettent de passer un moment amusant.
Nekomanjin reprend depuis le debut dbz avec l'enfance de sangoku , l'arrivé ensuite des guerriers de l'espace etc
c'est une bonne série ,l'histoire est assez bonne et nouvelle. Par contre la fin est trop rapide on passe sous silence des détailes intéréssant. je conseil çà parceque ona aps grand chose comme manga de rock assez adulte ( à part beck)
audiard, verneuil, simenon, grangier ..... une histoire et un dessin du tonerre
Napoléon doit se retourner dans tombe, nous aussi dans les rayons bd
décidément le dessin de sera est toujours ausssi bon, le texte est tout bon !!!
Du Taniguchi dans le texte et le dessin, je découvre l'auteur depuis peu et tout est au moins bon, celui ci en fait partie
Il était temps que cela finisse, où est l'esprit se l'incal !!!
Une série qui reste fidèle à ses origines, toujours du plaisir à feulleter l'ouvrage, les énigmes sont bien ficelées.
pas une oeuvre inoubliable, ce n'st pas le meilleur de la série
Entre da vinci code et INRI, il est temps de s'arréter !!!
Quel gachis
Le tome 2 s'emballe un peu et l'on a du mal à tout suivre...On y retrouve un peu de Predator et de jungle du Vietnam. Le 3 va nous permettre certainement de stabiliser le vaisseau et de mieux percevoir les rôles du colonel, de Jasper et consort ! Vivement la suite donc
LA GUERRE DES ETOILES : Scénar : David MICHELINE Dessins : WALTER SIMONSON
LANDO CALRISSIAN retourne sur BESTINE (la station orbitale lui appartenant dans le film L'EMPIRE CONTRE ATTAQUE) pour la découvrir abandonnée où seul erre son cyborg LOBOT complétement déréglé ! Un épisode un peu hors série où l'on est content de revoir des endroits du film comme BESTINE et la fameuse machine qui a congelé HAN SOLO !
POWER MAN & HELLSTROM Scnénar : JM DE MATTEIS / Dessins : BOB HALL
Un MARVEL TEAM UP placé là en attente d'une nouvelle série. C'est assez frais et sympa où nos deux héros asseez antogonistes luttent face à un démon nommé SATANIK.
MIKROS Scénar + dessins : JEAN MITTON
PRISCILLA fait du stop seul et sans le sou dans le Sud de la France et est prise en charge par le MAITRE PSI. Un épisode de transition sympa à lire mais sans un seul sup héros !!!
DAZZLER Scénar : DANNY FINGEROTH Dessins : FRANK SPRINGER
Lors d'une ballade ANGEL et DAZZLER sont attaqués par les éléments féminins des MAUVAIS MUTANTS : MYSTIQUE, MALICIA et DESTINEE. Quel désastre ! ANGEL est réduit à l'état de lavette qui en fin de compte préféra se terrer pour fuir les MAUVAISES MUTANTES !!!! Honte au scénariste !!! Le personnage de MALICIA est ici la crétine de base et cela ne va pas aller en s'arrangeant dans cette série !
Renaud Dillies à un style bien à lui: de loin on pourrait dire que c'est dans la même famille que Lewis Trondheim mais de près, la seule ressemblance réside dans le fait que les personnages sont des animaux. Sa méthode narrative, non dénuée de dérision, mélange la description "technique" des personnages destinée aux lecteurs, des idées graphiques tout à fait originales (voir - Spoiler ! - le monde qui s'écroule au propre et au figuré autours de Scipion quand il découvre que sa compagne le trompe) et des récitatifs sous forme d'enluminures, voire même de fronstispices (allez voir au dico, béotiens ! ;-)) . Ce mélange est propre à Dillies, et cela donne une dimension tout à fait particulière à ses albums.
Après le désopilant Mister PLumb, lapin (pardon ! plombier !) de son état, "Mélodie au Crépuscule" est beaucoup plus intimiste, avec quelques points communs avec Betty Blues. Scipion, bel échassier voyageant beaucoup (surtout dans sa tête) se retrouve sans amour, trompé par sa belle qui s'envoie en l'air avec un pachiderme. Voilà de quoi le mettre l'esprit sous une chape de plomb (et rebelotte pour la représentation graphique de cet état !). C'est la musique qui le sauvera, grâce aux encouragements de Tchavolo, gitan de passage et vaguement musicien lui aussi, et le voilà parti pour une belle petite aventure. Mais comme on l'a dit, Scipion voyage surtout dans sa tête, et je me garderai de "spoiler" l'album davantage, qui est à découvrir absolument ! Seule petite déception (sinon je mettais 10/10): la fin en... queue de poisson. Mais comme le poisson intervient lui aussi on peut y voir une des multiples métaphores graphiques du génial Renaud Dillies.
Cap sur Angoulème ?
Excellente B.D. du bon, bien fait, de l'humour, de la médiocrité bref le commun des mortels !!!
Pas mal du tout pour un début !!! le dessin est beau et l'histoire est envoutante
etes vous sur de la cote de ce N°1 ?????????
polovox
bonjour ;
Je vien de m'inscrire . et je ne trouve pas les cotations des numéros "spéciaux" en effet je possede le numéro N° 15 avec 2 erreurs d'origine sur la tranche : 1 - la tranche est jaune au lieu de blanc et 2- c'est le numéro N°14 qui est indiqué au lieu du N° 15
pouvez vous m'aider a savoir sa cote .
Merci d'avance a bientot
Polovox
L'affrontement Sasuke/Naruto a commencé. L'auteur nous offre un flash-back sur l'enfance de Sasuke, son clan et ce qui s'est passé avec son frère Itachi : pourquoi celui-ci a massacré leurs parents et les autres membres du clan, pourquoi Sasuke veut à tout prix devenir plus fort et tuer son frère, et comment il compte utiliser Naruto pour modifier les pouvoirs de son oeil.
Un tome plutôt bon qui permet enfin de comprendre vraiment la relation Itachi/Sasuke.
Voilà une BD se SF qui nous plonge très vite dans le vif du sujet sans sacrifier au crédible et sans tomber dans des blablas abscons. Les dessins, les personnages les couleurs, nous accrochent et nous emmènent vers l'improbable "destinage".
Une des BD les plus prometteuses de ces dernières années !!
L'auteur utilise habilement les faits divers du début du siècle, la littérature et les references "fantastiques" pour batir une histoire passionnante de bout en bout. Comme le souligne une des precedentes critiques la fin de ce premier tome peut conduire à tout et n'importe quoi (dans le bon sens du terme), on en salive d'impatience...
Ajoutez à celà des dialogues savoureux et un dessin fouillé et original et vous obtenez un des titres incontournables de cette année.
Enfin une histoire originale et sympa. Il y a une bonne intrigue, des rebondissements, et les dessins sont biens. C'est une série qu'il faut commencer sans hésitation.
Un peu décevant à mon goût. On reprend le tome la prison de robertsonville, on change quelques petits détails, et hop le tour est joué. Sauf que là, c'est voyant, du coup, le Tome devient moyen.
Le volume 6 termine bien la première épopée. Les paysages et les couleurs sont splendides. Les actions s'enchainent et l'on sent poindre une suite avec peut-être un personnage important réincarné, le chacal. En attendant, quelle classe !
Les actions s'enchainent sur un scénarion assez simple. Certes les dessins manquent de profondeur, mais on s'attache malgré tout aux personnages. A suivre avec intérêt.
Ceux qui se plaignaient du manque de mouvement et de la stagnation des derniers tomes n'auront pas trop à se plaindre.
Les 2 derniers volumes nous ont largement préparés à la séparation des routes de Nana et d'Hachi. Encore une fois, dans ce t. 14, elles ne se croisent pas.
Hachi a décidé de donner une chance à sa relation avec Takumi et on la voit donc vivre cette vie qu'elle a choisi : celle de la fiancée, presque de l'épouse, presque toujours seule, à attendre son mari, à accepter ses absences tout en se doutant que ce n'est pas toujours pour le boulot.
Parfaite dans son rôle, elle éprouve même un pincement au coeur quand Blast cartonne plus que Trapnest.
Du côté des membres de Blast, la tournée se poursuit. C'est l'occasion d'avoir un aperçu des fan et de la petite Misato Uehara dont on découvre bien vite qu'elle ne semble pas avoir de lien avec la Misato aux boucles blondes ^^ (pourtant il y a quelque chose de ce côté). On fait aussi connaissance avec une certaine Shion, fan de la première heure et très attirée par Yasu. Le même Yasu qui ne semble pas insensible au charme particulier de Myu, ce qui met Nana dans tout ses états. Quant à Nobu, il se rend compte qu'il ne peut pas toujours refuser les responsabilités quand il apprend que Yuri a voulu quitter son boulot (et là on découvre tout un système peu reluisant).
Côté Trapnest, Ren confesse à Reira qu'il désire Nana pour lui seul afin qu'elle ne regarde plus Yasu. D'autres révélations sont faites aussi sur l'époque où Yasu, Takumi, Reira et Ren commençait à chanter dans leur ville natale. Il y a aussi une scène montrant les problèmes de Ren avec la drogue (ça fait quelque chose quand même).
Misato boucles blondes refait son apparition mais ... autrement.
La fin semble enclencher la phase finale de la série, celle qui fera basculer le fragile équilibre.
Bref, un très bon volume
Encore quelques révélations et retour dans le passé.
Tohru reste déterminée à sauver Kyo et à lever la malédiction. Les paroles ambigues ne Shiguré ne sont pas pour la rassurer, pourtant il semble que les choses soient en marche. De son côté, en allant se recueillir sur la tombe de Kyoko, Kyo rencontre le grand-père de Tohru et apprend des choses sur celle qu'il aime.
Yuki apprend quelques secrets sur son frère Ayamé qui, sans étonner vraiment, nous montre que le serpent n'est pas si insensible que ça. Il fait également connaissance avec la petite amie de Kakéru, Natsuki unie à Tohru par un lien singulier.
Les secrets des personnages sont donc dévoilés petit à petit et on se prend à se dire que la malédiction finira bien par tomber toute seule (ou presque).
On retrouve également Kisa, Hiro et Momiji qui ont bien grandi. Il suffit de voir Momiji, il n'a plus rien, semble-t-il, du garçon turbulent qui courait dans tous les sens. Encore une fois, on se rend compte à quel point les perso ont évolué et mûri.
Côté relations amoureuses, tout le monde voit le lien entre Kyo et Tohru mais ceux-ci ne se décident pas. Quant à Yuki, on ne peut pas dire que se soit gagné avec Machi.
Encore un bon tome même si je regrette un peu l'absence de Hana et Uo.
Je l'ai trouvé tout aussi bon que les précédents et j'ai apprécié la façon dont il clôt la série en laissant une fin ouverte.
J'en retiendrai ceci : les personnages ont évolué, mûri. Malgré le résultat de la Coupe Hokuto, nul ne s'est laissé abattre. Le mot d'Akira "ici ce n'est pas la fin. Il n'y a pas de fin. Nous vivons pour faire le lien entre le passé et le futur. Moi, nous, eux" résume l'ensemble de l'oeuvre et l'évolution qui a eu lieu. On est loin de la passion exacerbée qui avait saisi Akira lorsqu'Hikaru l'avait battu en laissant joué Saï au début du manga. Le premier supplément ("Saï Fujiwara contre Akira Toya") m'apparaît alors comme un rappel de cet épisode et de ce qui a motivé Akira jusqu'ici.
Le second supplément (Shoji ! Oka!) donne un aperçu rapide de ce qui se passe après la Coupe Hokuto. On y voit le nouvel élan des jeunes inseï, leur passion, leur envie de jouer, de surpasser ou d'atteindre le niveau d'Akira et Hikaru. Le cycle continue. Les toutes dernières pages montrant Hikaru affrontant Akira dans le Tournoi des Jeunes Lions suggèrent que ces deux-là seront amenés à jouer bien des fois l'un contre l'autre, peu importe lequel gagnera.
Quant au coup divin, il reste mythique et ce n'est pas plus mal !
Alors que Blanco combat contre de mystérieux personnages masqués, lui et Icolo sont retouvés par la junte mais lui échappent de justesse. Recueillie par un groupe d'enfants résistants, Icolo se rend compte qu'eux aussi cherchent à réucpérer quelque chose : le "totem" qui ressemble à son "soleil". Ailleurs la junte met un plan à exécution.
L'aventure se poursuit donc sur fond de combat et de découvertes. Tout le monde semble chercher quelque chose, que ce soit le "soleil", le "presköm" ou le "totem". Icolo apprend aussi que la famille royale n'est pas si bien vue dans le "monde d'en bas". L'image qu'en ont les enfants qu'elle rencontre est en total décalage avec ce qu'elle a appris et croit faire pour son peuple.
L'histoire s'étoffe et reste assez touffue ; on ne cerne pas encore trop les objectifs de chaque groupe.
Plaisant à lire et amusant.
Centrale n'a pas le temps d'envoyer ses inspecteurs observer les hommes de l'est. Chacun d'eux reçoit l'ordre de faire un rapport d'inspection d'une personne désignée. Havoc doit donc observer les faits et gestes du colonel Mustang. Evidemment, c'est sensé être secret, mais les autres membres de la section sont sollicités par Havoc pour l'aider dans sa tâche. On suit donc quelques journées du Flame Alchemist avec les commentaires des membres de la section.
Le combat de l'armée contre Greed et les chimères se termine grâce aux interventions de King Bradley qui s'est révélé. Une réunion des homunculus fait apparaître un nouveau personnage : le "père" de ceux-ci. On quitte rapidement ce petit comité pour découvrir encore d'autres perso : en l'occurrence des individus venant de Xing, versés plus ou moins en elixirologie (alchimie) et recherchant la pierre philosophale. On retrouve également Barry le Boucher.
Si le début ce vol. est plutôt sérieux, la suite (avec Barry et les représentants de Xing) est plus comique. Ca donne l'impression d'une pause "amusement" avant le rendez-vous des protagnistes à Centrale.
Le combat contre les elfes est plutôt bien mené et bien trouvé.
Après l'éclipse mettant fin à l'Age d'Or, Guts n'est plus au sommet de sa gloire et de sa force. Il doit remonter chaque échelon un à un pour retrouver sa splendeur passée. Certes les elfes et les insectes ont l'air assez minables pris individuellement, mais leur force réside justement dans leur nombre et leur attaque commune.
Par ailleurs (sentimentalisme féminin peut-être ?) j'ai trouvé l'histoire de Rosine intéressante même si elle n'est pas forcément originale.
C'est gentil, quand on le feuillette comme ça en magasin ça a l'air plus intéressent et plus drôle qu'une fois qu'on le lit vraiment , mais bon ce n'est pas un nanar, a voir la suite
Paysages et personnages nous font rêver. Le tome 2 est à l'image du premier, superbe ! vivement la suite...
Les personnages sont toujours aussi attachants et le scénario nous emmène avec eux dans une aventure à la Jules VERNE sur fond d'histoire et d'espionnage. Aussi passionnant que les tomes précédents.
cette excellente série qui fonctionne par mission de deux tomes est vraiment sans temps mort ! très vite on s'attache aux personnages et on a envie d'en savoir plus... on attend donc avec impatience les prochaines missions qui paraitront très rapidement. le dessin d'Erbetta est efficace sans être génial , mais il sert très bien l'histoire et c'est ce qui est important.
la collection Impact démarre sur les chapeaux de roues avec WATCH qui va vite devenir incontournable...
Sans vouloir me répéter ( voir mon avis pour le tome 4 ), c'est une série magnifique, à découvrir d'urgence !!!
Je suis un peu surpris par l'avis posté par karpzvov à propos de cet album...Je ne pense pas que l'on puisse résumer " La bête" de cette façon, c'est un peu court...Certes l'histoire est traité de façon très CARTESIENNE ( et non pas quartésienne !!! ), mais même si on sait dès le début que le mystère aura une explication rationnelle ( c'est le dénouement pour chaque album de la série ), le fil du scénario nous en fait douter jusqu'à la dernière page ...De plus il y a autre chose que la simple chasse à la bête, il y a une profondeur des personnages ( de nombreuses questions entourent le marquis ), même secondaires et un aperçu du mode de vie du peuple montagnard à cette époque, leur obscurantisme ... etc...Surtout cette traque est symbolique, à travers elle chaque protagoniste cherche à expier une faute ou à chasser un démon intérieur ...bref...
Non, je pense vraiment que la série gagne s'épaissit et qu'elle deviendra un incontournable...Que dire du dessin de Mathieu BONHOMME, tout " bonnement" superbe, il a tout d'un grand !!!
A LIRE, LAISSEZ VOUS PORTER !!!
La couverture est accrocheuse et on s attend à vibrer dans ce tome, et pourtant que nenni, l'histoire est très linéaire, bête méchante, d'on on sait quasiment dès le début qu'il s'agit d'un ours,(et oui l'histoire est traité de façon très quartésienne) donc pas gentille la bête ,on la chasse et on la tue , voilà en gros le résumé de ce tome, dommage.
Pour ma part je trouve le scénario relativement plat et sans grande surprise, pas de rebondissement, rien de bien innovant donc. Le dessin est traite de façon très classique avec une mise en couleur très sommaire, qui parfois gache le trait qui se suffit largement à lui même.
La première histoire est pas trop mal mais elle me rappelle une histoire d'un des albums précédents mais en moins bon. Il n'y a pas vraiment de surprise, l'humour est limité mais ça reste assez plaisant quand même. Les petites histoires à la fin sont par contre plutôt drôle et sont très sympa.
Les dessins et les couleurs sont toujours aussi saisissants. Le scénario nous laisse entrevoir une parcelle de vérité, les actions s'enchainent bien, mais Harrison joue vraiment trop de malchance et la confrontation avec l'usurpateur, est un peu cousue de fil blanc... Mais pourtant cette série reste superbe.
L'impression d'univers glauque engagée par le N°3 se confirme ici. L'histoire frise un peu le chaos, même si un fil conducteur ténu reste visible. Les personnages se rejoignent ici pour livrer la grande bataille. Il s'agit peut-être de la sauvegarde du bien le plus précieux en dehors de la vie, la liberté. A suivre avec intérêt.
On surfe toujours dans ce bon vieux filon du triangle secret mais je dois dire que cette nouvelle série commence plutôt pas trop mal, la dimension historique est aténuée et le récit laisse plus de place à l'action
je suis d'accord avec certain, c'est une bonne Bd mais de la a tomber en extase
il ne faut pas exagérer , les dessin sont très beaux l'histoire tiens la route, mais des case sont vide , c'est lent ,c'est ..... ça ne ma pas trop plus
C'est gentil sans plus , la Bd et belle , ca ce lit bien , peut etre un peu vite, a confirmer