Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 27/11/2024 à 11:42:25 en 0.4796 sec
Bon album qui voit le retour de Ryusuke dans le groupe Beck. Le volume est bon, on ne s'ennui pas même s'il reste quand même assez léger au final en terme de contenu. J'espère que la suite sera plus consistante car on ne sait pas trop où l'on va. A la fin de l'album un pari a été lancé dont on connait évidamment l'issu à l'avance. En tout cas j'attend la suite avec impatience.
Je mets un 7 car tout le monde n'aime pas Bec mais personnellement il fait partie de mes auteurs favoris tant j'ai adoré sanctuaire mais également Zéro absolu.
Bon évidemment, le scénario nous plonge comme les deux histoires précédentes dans un huis clos grandeur nature où l'atmosphère devient pesante et où les questions vont bon train. Tout ceci sur font de prophétie j'ai vraiment beaucoup aimé. Davantage que le temps des loups paru récemment et que j'ai parcouru beaucoup trop rapidement à mon goût.
Bref, bien que ça parte un peu sur les mêmes sentiers que sanctuaire voire du non moins excellent prophet, la série prévue en 5 tomes nous réserve probablement son lot de surprises et de rebondissements. En tout cas si la fin parvient à différer des séries déjà citées et que le final est aussi intéressant qu'inattendu je n'hésiterai pas à revoir ma cote.
A lire donc.
Voilà une bédé que j'ai achetée par curiosité, la couverture étant assez accrocheuse. Bien que méfiant à la vue du logo "vu sur france 3", je me suis quand même décidé à la lire sans préjugés.
Et au final je suis assez content, l'histoire ne mérite bien entendu pas le prix Pulitzer mais les répliques et le charisme des différents personnages sont vraiment drôles. Les dessins servent très bien l'histoire et la personnalité des deux héros. Leur relation me fait penser à Timon et Pumba dans ma très jeune époque, toute comparaison gardée bien entendu.
J'ai donc passé un très bon moment à la lecture de ce tome qui restera pour moi une bonne surprise, surtout par rapport à de nombreuses sorties attendues qui m'ont amplement déçu.
Dans le marasme actuel des séries sans queue ni tête qui n'ont pour objectif que de gonfler les marges bénéficiaires de certaines maisons d'édition, Dupuis et Soleil pour ne pas les citer, il est vraiment temps de faire une ovation aux éditions Delcourt qui nous gratifient une nouvelle fois d'un chef-d'oeuvre après les excellents Okko, Alim le tanneur, Chéri Bibi, le codex angélique ou encore le trône d'argile qui nous avaient offert d'excellents moments de lecture, devenus beaucoup trop rares dans le paysage bédéphilique actuel.
Pour en revenir à la Licorne, le scénario est vraiment original, le tout servi par un dessin impécable et somptueux ainsi que des couleurs parfaitement maitrisées et intelligemment choisies qui nous plongent directement dans une ambiance des plus accrocheuses. Ce premier tome est probablement un des plus intéressants qui m'ait été donné de lire et la fin de l'album ne fait que susciter davantage mon intérêt. Sur base d'une idée de départ très originale, mettant en scène des anciens personnages illustres de nos encyclopédies avec une bonne dose de fantastique, des méchantes bébettes qui en fin de compte ne sont pas si méchantes et une apparition de l'Eglise catholique à la base d'un complot aussi étrange que machiavélique. Bref, pour ne dire que ça l'année se termine très bien et c'est tant mieux.
A recommander de toute urgence.
Les histoires et les dessins de Frederik Peeters sont hors du commun. On ouvre la BD et là, on entre dans une autre dimension qu'il est à chaque fois difficile de quitter même une fois la lecture achevée. Cet auteur a un talent immense et nous fait frémir.
Cette bande dessinée est un véritable chef d'œuvre, un concentré de sensibilité et d'émotions… une réflexion profonde sur le sens de la vie. Le dessin est brut et donne toute sa force à l'histoire.
Criant de vérité. Criant de simplicité. La chronique d'une époque révolue ( ? ) qui parle à mes souvenirs d'enfance, racontée de façon subtile, avec une "goutte" de fantastique qui s'invite en fin d'album et qui fait qu'on se demande comment l'histoire va bien pouvoir se terminer.
Le dessin de Prudhomme sert le texte à merveille.
Un album in.dis.pen.sable !
Merveille de la BD.
Un livre qui plaira énormément à ceux qui, de près ou de loin, se sont intéressés à la narration. Et à beaucoup d'autres aussi. Mais pas à tout le monde. Un peu comme la première histoire de Tarek, finalement...
Le dessin, qui pourrait sembler brouillon au premier abord est en réalité très juste, très humain. Il colle parfaitement aux ambiances ainsi qu'à l'humeur, aux expressions de nos conteurs.
Reste que c'est sans conteste l'histoire qui rend ce one-shot véritablement unique. Une histoire qui parle d'histoires, bien sûr, mais qui parle surtout de nous, de nos relations les uns aux autres. Une histoire qui parle culture, de jugement et de justice. Subtilement, sans jamais trop se prendre au sérieux, sans jamais tomber dans l'évidence.
Voici une oeuvre à ne pas manquer et à offrir à tous ceux qui n'ont pas encore compris que la BD est, aussi, un art.
Ce deuxième volet confirme et renforce l'impression de manipulation de l'argent et de l'image. Le héro PISTOIA, commence à se poser des questions au moment où sa vie de couple commence à battre de l'aile. On bascule petit à petit dans une sorte de thriller politique avec l'entrée en scène du journaliste FUENTES. Les dessins et les couleurs servent admirablement l'histoire.
J'ai été très agréablement surpris en lisant cette série. Je m'attendais à quelque chose de léger et au contraire, le scénario s'est révélé plutôt consistant.
Les différentes histoires présentées, ici, sont vraiment bien foutues. On suit celles-ci avec beaucoup d'intérêt. Rucka et Brubaker, les scénaristes, ont vraiment fait du bon boulot.
Bon, c'est vrai que le premier tome est agréable, mais sans plus. Poutant dans les tomes suivants, les auteurs ont voulu donner une importance plus marquée au caractère des personnages. De ce fait, le récit est plus dense et bien sûr, beaucoup plus réaliste. Une mention particulière à l'inspecteur Montoya, qui dans le tome 2, est confrontée à des révélations embarrassantes. On ressent facilement toute sa détresse devant ce problème, ce qui la rend attachante.
L'originalité du récit se situe, bien évidemment, dans le fait que l'histoire se déroule à Gotham City, qui comme tout le monde le sait, est la ville d'origine de Batman.
Où cela devient intéressant c'est que celui-ci est mis volontairement à l'arrière-plan par les scénaristes, mettant ainsi en valeur le travail des policiers "normaux" de cette ville. Grâce à cela, on apprend que les rapports entre notre chauve-souris préférée et la police sont parfois ambigus.
Cet aspect est d'ailleurs présenté avec beaucoup de subtilité.
A priori, le dessin de Michaël Lark n'a rien d'extraordinaire. Les personnages sont parfois difficiles à reconnaître. Pourtant, les ambiances sont très bien rendues, ce qui donne de l'intensité au récit.
Je suis loin d'être un spécialiste en comics, mais je pense pouvoir clamer bien haut que "Gotham Central" est une série à suivre.
A conseiller................ sans aucun doute !
Pemberton, c'est rien qu'un menteur, et c'est génial car ce vieux marin dans un bar raconte avec une imagination sans borne des histoires héroïques, fantastiques, grivoises (où jeune, il était toujours le don Juan qui séduisait ces dames) et bourrées de comiques de situation à un jeune garçon de café extrêment crédule qui boit avec délectation toutes ses paroles.
Moi aussi, je le relis avec plaisir une fois par an depuis 20 ans! Humour fin. Atmosphère rendue joyeuse par le jovial duc de Saint Piastre qui ne pense qu'à s'amuser et comique entre autre par le ridicule duc de St Piastre qui ne pense qu'à conspirer contre Napoléon III. Dessin simple mais agréable et très efficace
Une série sympathique, avec un sujet qui sort des standarts actuels. On prend vraiment beaucoup de plaisir à lire cette série qui traite d'une équipe aidant les cadavres à réaliser leur dernier désir! Tout à l'air en place, et l'auteur parait maîtriser parfaitement sa narration! Très sympa en tout cas, si le manga continue dans cette lignée, ca risque de devenir un must have!
Le dessin reste interessant mais niveau scénario, ça tient pas vraiment la route
Je mets un 10/10 car je trouve les 2 autres avis beaucoup trop sévères.
Je suis un grand amateur de la série Chroniques de la Lune Noire et je trouve ce 13ème tome très sympas.
Au niveau de l'histoire, ça bouge beaucoup! Les différents événements sont ponctués de nombreuses surprises. Vivement le dernier tome que l'on connaisse tout de Wismerhill (enfin je l'espère)!
Au niveau du dessin, en peu le résumer en un mot : SUPERBE! Les traits de dessin de Cyril Pontet a bien changé et l'album a maintenant un nouveau coloriste : Nicolas Guenet. Le tout forme un nouveau style pour les Cln que je trouve très réussi.
Bref, à lire ;-)
plus ça va plus l'histoire est interessante et spectaculaire. Une minie serie a ne pas manquer, avec plein de rebondissements
C'est toujours aussi drôle et le délire autour du canard ou de la poussette 4x4 m'ont fait hurler de rire ! La Mortemont est toujours aussi "adorable". Le bébé comme on pouvait s'y attendre boulverse la vie des Ravanelles pour notre plus grand plaisir et un peu mois pour celui de Manu :o) Ca serait dommage de ne pas retrouver ces personnages si attachants dans de prochains tomes....
Mission 1 réussit puisque j'attends déjà la mission 2...
Excellent scénario très bien ficelé
Les personnages sont attachants et promettent des aventures trépidantes pour la suite...meme la sexualité va etre abordé dans cette série qui est avant tout
Politico-Mondialiste-Ethique-Aventure-Enquete....ouf !
J'ai bien aimé ce thème des "Enfants-soldats" et je suis content d'avoir eu les noms des "little bees " "kados" "craps" et "small-soldiers" pour aproffondir l'enquete...d'aileurs je me souviens d'un reportage ou le chef militaire africain répondait au journaliste " ce n'est pas des enfants-soldats ce sont des SOLDATS tout court..."
Très content d'avoir découvert le site de medirigiriya...ça me donne envie de reprendre mon sac à dos pour découvrir ce genre de site fabuleux
Pour la fin j'aurais préféré un petit avis sur le thème des enfants soldats plutot qu'une ouverture sur la mission 2...pour laisser le lecteur reflechir sur le thème de la mission 1....la page final est là pour nous faire la bande annonce et se suffit a elle meme je trouve.
Pour le dessin, c'est vrai qu'il est pas irréprochable mais il ne m'a pas du tout gener lors de la lecture...le scénario est là pour nous faire baver...et puis il va progresser c'est certain...il le dit lui meme et le scénariste nous le confirme !
Vivement la suite du tour du monde, avec cette équipe attachante pour des enquetes d'actualités dans le monde d'aujourd'hui !
Excellente mission 1
Excellent! Extrêmement dense et riche, très beau visuel ...
hallucinant! Maîtrise totale, autant sur le plan scénaristique que graphique.
J'ai trouvé ça très beau, à tous les niveaux...L'ensemble est très crédible, grâce au dessin, à la vie des français sous l'occupation qui est très bien retranscrite, à des personnages attachants (quoiqu'un peu manichéen par instant) et une très belle Cécile ! L'histoire est aussi légère que sombre ce qui est surement un des meilleurs manière de dépeindre la france de Vichy. Le dessin est epoustouflant, vraiment...
Scénario dense, original, l'histoire se met bien en place grace à un "ficelage" habile. Dessin solide et maitrisé, graphisme moderne, mise en place cinématographique justifiée...attention chef d'oeuvre !
Scénario talentueux, graphisme hors paire, grosse capacité dans le long terme. Une bd à lire, à offrir, à collectionner, bref à avoir... attention chef d'oeuvre !
Voilà un album plutôt pas mal mais moins bon que les Spirou précédents. En effet l'aventure est somme toute assez superficielle, on ne rentre pas vraiment dans le détail que ce soit au niveau des motivations (qui sonnent fausses d'ailleur, ça fait relativement simplet) ou bien au niveau du rythme de l'action. Ce n'est pas un mauvais album, il est distrayant et on arrive a rentrer dans l'histoire mais ce n'est pas un album passionnant.
C'est toujours aussi bon et plaisant.
Un petit plus pour l'histoire du début avec les tortues ninjas (humour au rendez-vous) et l'épisode de la jeunesse de notre lapin ronin préféré à la fin.
Ce 12ème volume est dans la lignée du précédent et poursuit le flashback. Cette fois-ci, il ne s'agit plus de combats mais bien de découvrir les personnages et leur passé commun. En particulier le triangle Mun-su, Kewil Hyang et Hemosu, ce fameux souverain du Jushin qu'on n'avait alors qu'entraperçu. On avance aussi du côté d'Ajite qui se dévoile très lentement. Ce tome montre aussi comment les anciens compagnons de Mun-su (comme Wonsul) évoluent petit à petit durant la période où leur chef est parti ; ce n'est pas encore complètement dit, mais on en trouve les germes.
Un tome vraiment bon.
Malgré ou à cause du départ de Riff qui s'est révélé être le pantin de son père Alexis, Cain est plus que jamais décidé à faire tomber l'organisation Delilah. Mais le jour du jeugement approche et le Master veut utiliser son fils pour arriver à ses fins. Il lui envoie donc Michaela pour qu'elle porte l'enfant de Cain.
Le dénouement approchant (dans le vol. 8 apparemment), les choses s'accélèrent. Les machinations d'Alexis Hargreaves sont mises à jour, au moins en partie et quelques révélations sont données sur la naissance de Cain (les raisons de sa conception incestueuse). On apprend également quelques petites choses sur Jézabel (son dégoût de vivre aux dépents d'autres êtres vivants) et sa haine envers Cain.
Un bon tome.
Je ne suis qu'au début et après avoir lu ce tome j'ai couru à la médiathèque pour choper le second... C'est mon premier manga et j'adore j'ai eu un peu de mal à me faire au sens de lecture japonais et au dessin un peu flou (mais si parlant finalement); cependant j'en redemande et je vais chercher à en lire d'autre !! Bonne découverte et laisser vous emporter par le vent...
-- Une oeuvre supplémentaire d'héroic-Fantasy pour laquelle on peut etre sceptique. Une adaptation d'un jeux vidéo, en l'occurrence nommé " Suikoden", que l'on retrouve dans un bon vieux shonen adapté par une femme. ( l'expèrience d'une lecture comme Full métal Alchemist n'étant pas très concluante !!)
Et bien, j'ai été surpris par le parti pris adopté par Aki Shimizi, de raconter cette guerre par deux "enfants" : un jeune garçon et une jeune femme.
Empreint d'une certaine naiveté, l'oeuvre se révèle tout de meme probante.
On accroche à ces deux héros qui auront une destinée extraordinaire.
Vous me direz : << C'est pas nouveau !>>, ce à quoi je répondrai : << C'est sur !>>
Mais c'est sans conter le travail plutot réussi graphiquement de cette mangaka.
Une bonne surprise pour un Shonen !
même s'il aurait fallu que je relise quelques tomes précédents pour apprécier celui-ci à sa surement juste valeur, je l'ai trouvé très agréable à lire, avec de l'action et, bien entendu, une fin qui donne envie de lire le tome 11 !!!
En lisant les autres critiques , moi , j'ai envie de dire: eh,oh, du calme les gars (et les m'zelles), c'est une BD innovatrice, qui n'a rien d'une trahison envers Franquin( si trahison envers Franquin il y a eu, c'etait il y a bien longtemps, et sans doute pas par Tome/Janry qui ont eu le merite eux de relancer la série et de la faire découvrir à pas mal de monde). Il faut savoir que c'est un album innovant, c'est sur. Mais je prefere que Tome et Janry aient fait cette BD plutot qu'une BD bateau qui respire le déjà vu et le raz le bol des auteurs.
Bref, c'est un bon tome à lire par curiosité comme on lira les one-shot. Et n'oublions pas que le statisme n'a jamais fait de bien à aucune série et que toute ont évoluer un jour ou l'autre...
Bonne petite série pour adulescent, avec un humour typique Glenat. Il y a des tonnes d'expressions "à la Titeuf"( d'ailleurs Tebo à collaborer avec Zep pour le terrible Captain Biceps)
Quelques exemples: Whoua! L'haleine! T'as les pieds dans la bouche!
A la cantine, c'est soupe a la bouse de vache
Sa langue, c'est un mouchoir
D'autant plus que les dessins s'affinent tres visiblement au fil des tomes.
Bref, moi, j'aime et ca fait parti de mes series a collection... Tcho
Dans la droite lignée des Acme Novelty, cette bd graphique, non sans évoquer un certain "A l'ombre des Tours Mortes" d'Art Spiegelman, est touchante de par son ton, est de par sa "naïveté". Colin et Ciluffo nous livrent un roman graphique en toute candeur. C'est vraiment pas mal.
En général, je fais des critiques quand je suis enthousiasmé par un album ... mais là ...
j'ai rien compris, je suis pas rentré dedans, j'ai lu en 1/4 H en me faisant chier grave ... c'est du foutage de gueule d'autant que j'ai beaucoup aimé tous les albums précédents de ce duo talentueux (surtout "la vie de ma mère").
A déconseiller, c'est de l'arnaque, je suis limite vénère !
C'st pas mal ! un peu farfelu mais pas mal, il fallait oser mélanger des personnages réels et de la fiction, du fantastique même, les dessin son superbes, c'est drôle, violent, mystérieux ,l'histoire intelligent, mais bon cela reste un 1 tome, mais ça démarre pas mal , en attente de la suite pour savoir si le récit est canon, coup de coeur
Un super Michel vaillant.Cet épisode ne contient aucune course auto,cela se passe dans le monde des pois lourds.L'intrigue est vraiment très bien construite et la scène finale de poursuite la nuit sur les routes de provence est excectionnelle,c'est un passsage culte.
Je n'aurais pas cru celà possible , mais ils ont fait mieux que le tome initial déjà très bon , bien mieux même . Le rythme soutenu et les innombrables intérpretations des lieux et des personnages nous immergent encore plus dans le récit et que dire du dessin , extraordinnairement maitrisé , de temps à autre précipité mais quel plaisir inouï pour les yeux . Vivement le tome 3 ...
Un grand moment de BD pour moi et un ouvrage complètement indispensable.
C'est beau, simple, émouvant, bien pensé, ça vire pas dans l'intellectualisme à deux balles...du bonheur je vous dit !
J'ai trouvé ce tome 4 un peu en deça des 3 premiers et j'ai pris moins de plaisir à suivre les aventures du sympathique chat du rabbin. Pourtant le ton et le trait sont les mêmes. Reste quelques belles trouvailles et peut-être un peu de lassitude de ma part.
Déçu ! Tout au long de ma lecture, le sieur Tergal n'a même pas reussi à m'arracher un sourire. Je gardais un meilleur souvenir des mes précédentes lectures des aventures du roi des boulets. L'effet de surprise s'est peut-être estompé, ou alors c'est moi qui vieilli mal et qui perd tout sens de l'humour ;o)))
le maitre incontestable de l'illustration, que ce soit en science fiction ou en héroic fantasy ...
des touches de couleures au noir et blanc tout en passant par du clair obscure cet homme à un coup de rayon fantastique!!!
Cette série commence vraiment bien ,ce tome est tome est passionnant ,la façon dont l'histoire se déroule me fait un peu penser à un film,tout s'eenchaine tres vite sans explication (j'arrive pas très bien à expliquer mais lisez le vous verrez tout de suite ce que je veux dire).
Bref ce 1er tome présente un grand interet tout se met en place on découvre les personnages principaux les enjeux de l'intrigue qui ne sont d'ailleurs pas encore bien clair à la fin de ce tome ( et c'est tant mieux), le cadre post apocalyptique fort bien décri,les dessins sont très bons meme si certains personnages se ressemblent un peu trop on a parfois du mal à les différencier.
Premièrement, la lune noire, ça commence à être long. Ensuite, on ne sait pas pourquoi, mais ils changent complètement le coloristes, donc les graphisme devient complètement différent. on reconnait à peine nos héros. Je trouve cela dommage. Vivement la fin, qu'on en parle plus.
Cette aventure est très sympa à lire. Le ryhme est bon tout comme le dessin.
Même si l'on regrette un peut le côté excessif du paranormal (on se croirait dans akira, mais bon....). Bref, un tome qui rajeuni notre héros.
--Quoi dire sur un must !
Pour ne pas gacher la fete à la lecture, je vais dire le strict minimun.
Un humour décapant, un cyclone de la "rigolade", une folie furieuse, un pet de génie... rien que de l'excellence.
Newton qui passe à la moulinette, sans parler des autres. :)
Après coup, on se dit : << heureusement, qu'il y a eu Gotlib pour (mettre- maitre !) à bas la BD franco-belge...et c'était il y a un peu plus de 30 ans depuis elle vivote, ensuite elle s'étonne que les jeunes ne lisent plus de Bd mais des mangas !!>>.
Assez médiocre quand meme Uderzo est loin d'avoir le meme talent que Gsociny en tant que scénariste,l'esprit de la Bd est quelque peu dénaturé et le pire est à venir,cet album n'est pas encore catastrophique vu ce qui a suivi.
j'ai beaucoup adoré cet épisode,et les enfants ne s'en lassent pas,les dessins aussi sont tres beaux.a lire et a relire :)
-- Un dessin pas super beau !
un effort d'écriture.
Un auteur brillant.
une vision originale du quotidien !
Les jugements hatifs,et des identifications à l'emportes pièce , de la part des lecteurs qui hurlent au chef d'oeuvre comme d'autres hurlent à la mort.
le problème, de larcenet, dans le fond... ça doit etre l'idolatrie!!!
Alors, oui la fiction, qu'il nous narre, qu'il nous raconte est terriblement juste émotionnellement. La sensation d'etre dans un "ring" pour prendre des marrons en pleine gueule est frappante. Par là-meme, il nous évite les "sentiments humanistes" bien gnan-gnan. A mon sens, on est plus proche de l'impuissance, de l'ingérence,d'un décalage ( parfois comique !), de la sincérité d'une vie.
Et si au final, le combat ordinaire c'était cela, je veux bien sur parler de la scène du plongeoir : un immense méga-giga plat comique d'une méchanceté latente.
Fin de l'histoire comencée dans le tome 28. L'histoire reste d'un bon niveau, on ne s'ennui pas, l'intrigue est bien rythmé et les personnages sont bien utilisés. La présence de l'humour est très léger mais ça ne gène pas et on ressent quand même une embiance assez légère. Un bon album.
Je découvre Daniel Clowes avec cet album, eh bien une fois refermé, il est certain que je vais poursuivre la découverte.
De prime abord, le graphisme, tellement personnel et efficace, séduit. Ensuite l'histoire en elle-même enfonce le clou.
C'est une chronique de vie ordinaire, des habitants de Ice Haven le tout sur fond d'un drame qui secoue la bourgade.
Les personnages sont formidablement dépeints. Certains sont attachants, d'autres franchement antipathiques, mais toujours d'une justesse incroyable.
Donc, 8/10 : à lire absolument.
Et bien voilà, j'ai dévoré les 5 volumes et l'impression qui en ressort est difficile à résumer. Peut-être chef d'oeuvre ?!
-- La découverte d'un dédale de marbre blanc, en d'autres termes le système hospitalier JAPONAIS, par un jeunot a de quoi procurer des sensations fortes.
Pourtant, le héros principal est un etre hybride à mi-chemin entre le prophète et le martyr. Le Don Quichotisme n'est jamais loin.
Mais il est remarquable de s'apercevoir que l'auteur raconte la vie des patients : au travers du héros ( Saito ),et aussi au gré des déplacements voulu par l'auteur (petit défaut: certains services durent des plombes, alors que d'autres sont trop courts ?!).Un habile tour de presdigitateur qui vaut à lui seul l'achat de la série.
Par contre, c'est peut-etre moi, mais j'ai eu la désagréable impression d'une auto-suffisance de l'oeuvre qui change "le monde". L'auto-jouissance du boulot "bien fait" que l'on pose sur l'armoire pour prendre la poussière.
Au final, une série qui a plusieurs qualités, mais entachées de lourdeur scénaristiques, et par moment, on est pas loin de l'hagiographie un peu facile !!!
C'est dans ce tome que la très rapide progression d'Hikura commence vraiment et qu'il atteind une force appréciable.Du coup il prend plus d'importance dans le récit par rapport à Sai.A partir de maintenant celui ci aura plus le role de professeur pour Hikaru que celui d'ogre pour les autres joueurs de go(enfin bien sur il y a quand meme la partie contre akira en tout début de tome).personelement j'aime ce tome et les suivant un poil moins que les premier épisodes.
Excellent tome,la deuxieme partie ou le monde entier est confronté a la force exceptionnelle de sai par le biai d'internet est un des meilleurs passages de la série.
Flah back et réalité, questions exitentielles et planches où s'alternent les couleurs vives et ternes, du grand art ! Cet homme est effrayant de réalisme.
Je viens de renouer avec mon vieux pote le lieutenant grâce à ce cycle dessiné par GIRAUD. Quel plaisir de retrouver le vrai Blkueberry dont j'ai lu et relu toutes les aventures depuis fort Navajo jusqu'à Arizona love.
Ce premier tome est tout simplement sidérant. Le tueur, monsieur tout le monde fait ce boulot plutôt que d'aller pointer au bureau car la seule qu'il l'intéresse, même s'il ne peut pas l'utiliser comme il le veut, c'est l'agent. La vie humaine, de toute façon, ne tient quà un fil alors...
Peut etre mon preféré de la série.Le ton très ironique,moqueur, est des plus plaisant,et les caricatures des régimes politiques a travers les "héros" sont des plus savoureuses.c'est un album pleins d'humour et d'ironie.
excellent ! J'ai beaucoup aimé l'esprit de cette BD, avec ces motards un peu fous sur leurs grosses japonaises dans les années 70.Presque tous les gags sont très réussis.
Un des meilleurs albums de la série.C'est vraiment intéressant de suivre cette école de pilotage dirigé par Michel vaillant et l'intrigue qui tourne autour de la rivalité entre l'americain et le russe est super.
Dans “la forêt maudite” de Salin, Kotobuki rencontre des robots humanoïdes et découvre qu'ils sont les gardiens d'un trésor (un arbre) destiné à reboiser la Terre. Grâce à l'un d'eux, elle apprend qu'elle pourrait obtenir des informations sur les "ailes" dans une île légendaire, le Japon. Elle s'y rend avec ses compagnons mais sans Raïmon qui ne peut sortir des frontières du pays. Mais le général Sanzu la tient à l'oeil.
Un bon volume. Le "méchant" se révèle enfin ; on en parlait beaucoup et on fait finalement connaissance avec ce Sanzu qui a implanté une bombe dans la tête de Raïmon. Kotobuki devient femme et on peut voir à quel point sa relation avec Raïmon a évolué.
L'aperçu du "Japon" et les quelques éléments apportés sur les ailes attirent l'attention et amorcent des révélations à venir.
Globalement l'histoire est pas mal mais elle manque de profondeur. Les relation entre les divers personnages manquent cruellement de consistence, l'histoire est quand même un peu trop survollé. On ne s'ennui pas mais ça aurait pu être bien meilleur dommage.
Réunion de famille : Pas trop mal même si cette partie est plus secondaire que le reste de l'histoire, on voit bien que Batman accuse le choc de l'identité de Red Hood. La confrontation finale entre les deux sera vraiment intéressante.
Nature humaine : Début des plus prometteur avec une Poison Ivy des plus intéressante dans son comportement. Pas mal de questions se posent, voyon ce que tout celà va donner.
La ville du crime : une chose est sûr cette histoire est très obscur et demande davantage d'explications sur le pourquoi du comment de tous ces évènements.
Jekyll et Hyde : Pas mal mais ça manque de révélations. Tout ce qui se passe dans cet épisode on s'y attend depuis un moment mais c'est nécessaire pour arriver à la suite.
Bonne série plutôt drôle (avec certains passage à mourrir de rire quand même). L'histoire est dans le même genre que les autres séries de Katsura (à part Zetman bien sûr) tout en sentiments et en relations difficiles entre adolescents. C'est bien, l'intérêt du lecteur est bien entretenu, bref on passe une bon moment.
Les relations entre Tatsuya et son frère Kasuya sont encore en train de se complexifier. Bien que jumeaux cherchant chacun à protéger l'autres (certaines scènes sont frappantes), la rivalié naissante entre eux pour avoir les faveurs de la belle Minami prend de plus en plus d'empleur au point que Tatsuya commence à en avoir assez de rester dans l'ombre de son frère. Pas mal de rebondissements dans ce volume très plaisant.
Encore, encore, j'en veux encore plus !!! Décidément cette série ne connait aucun temps mort et malgré une longue attente entre deux volumes on est toujours aussi satisfait et la suite est toujours autant attendue avec impatience. Urasawa arrive une fois de plus à tenir le lecteur en halleine tout au long de l'album en gardant une grande par de mystère mais en révélant aussi certains éléments qui soulèvent eux même de nouvelles questions. Bref c'est un volume à lire absolument.
oui je suis d'accord, c'est un bon cru, apres des tomes vraiment passables, le 71, la derniere imperatrice, était très tiré par les cheveux et peu convaincant, j'aime ici surtout la fin assez sombre, ça change pour une fois, bien sur on est loin de l'age d'or mais on sent que Tibet et Duchateau peuvent encore faire du bon, il faudrait simplement qu'ils prennent leurs temps, deux volumes par an, c'est quand même un peu exagéré
Bon tome apres plusieurs en demi teinte, il y a du suspens et notre personnage favori est bien malmené, et ça nous amene des rebondissements interessants.
Ca fait du bien de retrouver nos petits hommes en tout cas même si la grande période parait bien loin, mais les fans s'y retrouveront facilement je pense
Dans ce volume, on suit Tatsuaki à Shangaï où il se rend avec Honran, Shiiron et Yuan afin de retrouver le jeune adolescent qui pourrait être son grand-père. Là-bas il découvre comment le Chinpan contrôle la ville et les théâtres, et fait également la connaissance d'un grand acteur de Kyougeki, maître Gai Kyouten, ami de Mei Lanfang. Sa quête tourne court car son grand-père potentiel serait retourné au Japon. Il sy rend quelques mois plus tard avec Mei Lanfang et comprend finalement d'où vient le masque Nô donné par le Maître et qui l'avait transporté dans la Chine des années 20.
Les dernières pages de ce dernier volume permettent de donner tout son sens à une scène du 1er tome dans laquelle on voit le grand-père juste après la disparition de Tatsuaki lorsqu'il pose le masque sur son visage. Une petite fille entre et annonce que le déjeuner est servi. Tout juste dite, la vérité est révélée et on regarde alors d'un oeil nouveau l'histoire complète et la quête de Tatsuaki.
Evoquées rapidement dans le dernier tiers du tome, l'invasion de la Chine par le Japon, la guerre puis la révolution culturelle permettent de voir comment les artistes ont été traités durant ces périodes et rappellent des scènes du film de Chen Kaige, [i]Adieu ma concubine[/i].
Ce tome 1 est amusant, péchu et ne manque pas d'intérêt. On y trouve de bonnes idées (ce "séjour" des suicidés par exemple) et, chez l'auteur, une vraie envie de partager son goût pour le heavy metal. Ca passe très bien et on se prend facilement au jeu.
Le dessin est à l'image du propos et mélange les sytles avec bonheur.
Un bon manhua, c'est sûr :ok:
Cette série est en plein déclin. Les personnages sont à peine finis<, le scénario et les actions s'essoufflent ! Bref, ou bien la série se termine au prochain tome ou bien les créateurs vont être obligés de revoir leur copie ...
Avant tout, ce tome 7 porte les germes de quelques révélations et changements, en particulier en ce qui concerne le père d'Azusa qui ne serait aps celui qu'on croyait mais un autre, le paternel d'Hatsumi n'ayant alors été qu'une couverture. Ryoki prend les choses en main dans sa relation avec Hatsumi et révèle à sa mère qu'il sort avec la jeune fille. Evidemment, toute la résidence est aussitôt au courant. Mais là où çà avance le plus, c'est en effet du côté d'Akané.
C'est toujours un bon shojo, plaisant à lire et avec une hsitoire bien rythmée dont retournements de situatiosn ne sont jamais exagérés.
Koyuki et les autres retrouvent Ryusuke ; le groupe est enfin au complet. Mais Kevin, le leader du groupe état-unien qui les a invité, ne veut plus que les jeunes Japonais participent à la tournée. Il accepte cependant qu'ils se produisent au Lizard House, une salle mythique, mais pose ses conditions. Si Beck, mené par Ryusuke, parvient à remplir la salle, le groupe continuera avec eux, sinon ce sera la fin du rêve américain et Kevin récupérera Lucille, la fameuse guitare.
Un volume dans la lignée des précédents. On ne s'ennuie pas et on retrouve avec plaisir le groupe dans son intégralité. Après avoir partagé avec Koyuki et compagnie les affres d'une tournée bien mal commencée, la venue de Ryusuke fait renaître l'espoir. L'humour est toujours très présent : cf la tête du héros quand il voit sa "biggest fan" américaine.
Le dernier volet termine ce deuxième cycle de manière violente. Le cycle tranche franchement avec le premier, beaucoup plus léger. Cette fois les auteurs traitent de la guerre, de l'extermination, de la mort, sur un note beaucoup plus réaliste.
On apprécie ou non, moi j'approuve. A quand une suite ?
Inconsistant … ce n'est pas parce qu'on est un excellent auteur de thriller que l'on est capable de faire de la bande dessinée : problème de rythme, de scénario ….
«Satisfait ou remboursé», «coup de cœur», «indispensable» ... il y a des libraires passionnés par le neuvième art qui ont le courage de tenter de diriger les achats de leurs clients vers certains albums et cela malgré des goûts et des couleurs qui varient souvent énormément d’un lecteur à un autre. Pour ma part, le libraire peut garder mon pognon car cet album « coup de cœur » est bel et bien déjà un indispensable parmi mes achats de 2006.
Déjà, il y a cette couverture bien sombre, qui attire immédiatement l’attention quand on balaye du regard les (trop) nombreuses nouveautés étalées dans les librairies. Une couverture bien sombre tout comme le contenu de ce polar judicieusement noir.
Une narration qui vous cueille dès la première page, vous prend aux tripes et ne vous lâche plus avant la fin. Une voix off qui, tout comme dans d’autres chef-d’oeuvres du genre, tels que "Sin City" ou "Berceuse assassine", vous emmène au cœur du résonnement des personnages. Une narration qui va nous permettre de suivre la descente aux enfers des deux protagonistes de cette trilogie : Scott, le joueur de poker et Cody, le garagiste.
Une histoire pourtant assez simple, basée sur deux histoires parallèles, où l’on va accompagner tour à tour ces deux individus, en passant habilement d’une histoire à l’autre. Un rythme excellent, un suspens que l’on devine encore plus grand sur la page suivante et qui nous emmène crescendo vers la dernière page.
Comme décor, un petit bled perdu au fond du Kansas répondant au nom de «Hope», car la plupart des habitants y vivent dans l’espoir de pouvoir un jour quitter ce patelin paumé. Une seule route où personne ne passe, motels crasseux, petits bars mal éclairés et enfumés, une ambiance du fin fond des States, décor propice au développant de ce thriller sombre qui emmène lentement ses lecteurs vers l’abomination et l’horreur qui se cache derrière ce décor typiquement américain.
Le graphisme précis et très clair pourrait être un peu plus sombre afin de contribuer un petit peu plus visuellement à l’ambiance glauque et malsaine installée principalement par la narration et l’histoire. Mais, même si le dessin n’installe pas cette ambiance glauque dans chaque case comme il le fait brillamment sur la couverture, il la suit très bien et contribue à la lisibilité excellente de cet album.
Bref, le meilleur début de triptyque depuis "Berceuse assassine" dans le genre polar noir !
un univers graphique plus proche de la peinture que de la bande dessinee,mais en tout cas une oeuvre qui na m'a pas laissé indifferent
je ne suis pas tout a fait d'accord avec le post de spartacux,si ce n'est l'intérét du scenario.Je trouve les dessins de bonne qualités,et pour ma part j'aurais bien aimé connaitre la suite de cette histoire.
Cette BD, je l'ai découverte par hazard et ce fut le coup de foudre. Certes le principe du jeu télévisé est archi usé, mais l'approche qui en est faite me semble originale car subtile. Les personnages sont attachants et prennent de la consistance. L'univers superficiel créé par l'argent et la manipulation médiatique cache une réalité politique où l'homme est un objet que l'on jette ou que l'on tue pour les besoins de l'audimat. Puissant ! Je me précipite de ce pas chez mon libraire pour acheter le tome 2. A bientôt.
Les règles du syndicat : Fin de cette histoire relativement mauvaise. La fin ne rattrape pas le reste et c'est avec joie que tout ça se termine.
Crise de conscience : Ce début n'est pas trop révélateur mais il est très prometteur. Tous les ingrédients sont là pour avoir une histoire excellente donc je suis plutôt confiant.
La vérité ou la vie : Cette histoire est relativement moyenne mais la fin est intéressante. On ne s'ennuit pas mais on est pas tenue en haleine sont plus.
Voler : Histoire pas trop mal qui nous en apprend plus sur Hal Jordan et son histoire. C'est sympa mais on aimerait bien rentrer davantage dans la vie de Jordan.
Bon album qui me rappel sur certains point le "dictateur et le champignon". L'histoire est bien menée, le suspense bien entretenue et les personnages fidèles à eux même. Le seul bémol réside dans la façon dont Fantasio prend la place de l'inspecteur générale. Celà frise et ridicule et l'improbable. A part ça on passe un très bon moment de lecture.
-- Un arc qui conduit la troupe du faucon à sa déchéance. ( bon, on le savait déjà mais quelques idées plus fines ont fait leurs apparitions !)
L'échiquier est en place comme dirait l'autre!!!
Les évènements monstrueux, et dépassant toute compréhension "humaine" se pécisent en sourdine, alors que nos "héros" ont les liens qui se ressèrent.
Pourtant, l'évolution du monstrueux est plus subtile pour ceux qui sont aller chercher griffith...
Avec le tome 13, c'est une pèriode réussit qui se clos !
Espérons que l'auteur saura (ré)insuffler assez d'idée pour la suite !
-- le meilleur tome que j'ai lu sur le support manga !!! ( cet avis ne regarde que moi !)
Une évolution narrative intriguante, l'incarnation de la passion et du sacrifice.
Guts qui ne peut plus fuir sa destinée : la parole d'une femme donnant la réplique au cavalier squelette.
Griffith qui s'éloigne du monde des "hommes"...
graphiquement l'auteur tourne une page: les corps dessinés sont superbes ( bon, d'accord ils sont musclés...et alors !!), et magnifiquement mis en relief.
-- La prise d'indépendance de Guts,lorsqu'il refuse d'etre assimilé à son arme, à son outil...le "héros" prend une décision à la fois teinté de brutalité et de réflexion: celle de suivre son propre "reve". Par là, il prend ( enfin !) sa vie en main.
Et le tout sans remettre en question la rage du personnage principal.
Graphiquement, l'auteur commence à maitriser son sujet, il en sort un excellent avis de l'ensemble !!
Les évènements se mettent en place... il ne sera bientot plus possible de faire machine arrière.--
La génèse d'un meurtrier itinérant, pris entre la mort et ses premières tempetes "intèrieures"( l'amour, la haine , la colère.... !)
On peut remarquer que l'auteur justifie la violence par une enfance difficile.
L'apparition d'un certain personnage provoque une dimension divine à l'ensemble.
On commence à cerner ou veut en venir l'auteur !!
-- une introduction, sur 3 tomes dont la réussite réside essentiellement dans la présentation du personnage principal.
Graphiquement plutot médiocre, il est interessant de constater une surface floue autour des corps.
Notre plaisir de lecture dépendra de la radicalité du "carpe Diem". :)
Scénario intéressant, mais la vitesse ou l'on s'enfile les cases nous empêche de reprendre notre souffle. Dommage, ça enlève de l'intérêt à l'album. J'ai bien aimé revoir Itoh Kata et sa bande :-)
il semble que les avis soient assez tranchés pour cette série . pour ma part j'ai aimé mais il est évident que ce type d'humour n'accrochera pas tout le monde.
pour ce qui est du dessin, c'est vrai que c'est très simplifié mais ça va bien avec le monde complètement déjanté dans lequel nous entraine l'auteur .
Sans doute l'album le plus abouti de Foerster, son dessin est sublimé par un encrage magnifique d'Andreas, qui nous offre également un scénario béton...Un one shot idéal pour découvrir Foerster, auteur de grand talent mais qui comme d'autres n'est pas encore reconnu ...
Un deuxième opus tout aussi savoureux que le premier, Foerster confirme ici tout le bon entrevue dans "La fée Puzzle"...Peut être enfin une série récurrente de Foerster, où tout son talent semble enfin éclater ...Merci Foerster, merci Lombard, à suivre en croisant les doigts ...
Premier dyptique tout simplement parfait : un scenario ultra efficace, des personnages attachants, un dessin tres stylé, une ambiane parfaite. Un pur moment de bonheur.
Dans le style de Bd pas prise de tête, divertissante, je trouve que la série est aussi agréable à lire, pour l'instant... L'intrigue évolue à un bon rythme ni trop frustrante ni trop rapide. Les dessins sont d'une qualité égale aux 2 premiers tomes, c'est à dire plutôt bons et avec du caractère. L'histoire se déroule en différents endroits et permet un bon rythme. Le tome suivant promet d'être intéressant. A suivre...
Les 1er tomes sont intéressants. Cependant, et pour ma part, une fin délirante à la limite du supportable vient tout gacher. L'auteur a voulu se la jouer "2001" et faire réfléchir... Et bien c'est raté... C'est une succession de lourdeur très pénible et tiré à rallonge qui ne me donne absolument pas envie de rentrer dans son trip ni dans sa signification profonde [si elle existe...].
Je dois dire que la fin du projet Omac est excellente avec son lot de surprises. L'intrigue est très bien menée, on est tenu en haleine du début à la fin et le lien avec "Sacrifice" paru dans Superman 15 est tout bonnement excellent. Bref on en redemande et à mon avis "Infinite Crisis" sera tout aussi excellent quand on voit les bases qui ont été posées.
Voilà une bonne histoire, en tout cas meilleure que la précédente. L'intrigue est bien menée malgrès l'absence de suspense ( il manque quand même un grand méchant qui reste dans l'ombre jusqu'à la fin). Celà dit l'histoire est tout de même plaisante à lire et le rythme fait que l'on reste accroché durant tout l'album. Il est toutefois dommage que l'idée des magiciens n'ai pas été suffisament exploité au niveau humoristique car il y avait moyen de faire des choses très drôle. De plus le personnage d'Ororéa fini par rester un peu trop en retrait ce qui n'est pas vraiment dans son caractère c'est dommage. Un bon album qui aurait pu être encore meilleur.
Arghhh ! Tout d'abord j'ai essayé de me fier aux avis des autres internautes pour savoir si j'aurais le courage de lire cette série, alors que j'avais juré mes Grands Dieux que je ne poursuivrai pas Jodo dans ses délires mystico-SF après la relative déception de l'Incal... ouf, voilà que j'ai lu le premier tome.
(Euh, juste une petite précision concernant l'un des avis que j'ai lus sur BD Gest' : pourquoi les Gentils Organisateurs acceptent de publier les salmigondis de ckroonos ? C'est une véritable injure à l'intelligence d'un lecteur de BD, déjà qu'on est souvent accusé d'inculte et immature, en lisant l'avis de cet énergumène je désespère de l'enseignement scolaire français... il s'exprime en quel dialecte le bougre ?)
Bref, je confirme la presque inutilité de ce prolongement incohérent du Master Jodo... je ne lirai pas les 7 autres tomes. Ouste, je vais prendre l'air dans mon quotidien pour oublier les délires du bonhomme.
Voici une excellente série à lire. L'histoire est bien développée tout d'abord avec une introduction assez longue se déroulant sur tout le tome 1 puis on rentre vraiment dans le vif de l'histoire avec le tome 2. A mon avis ces deux tomes sont à lire ensemble car le tome 1 pris séparément peut laisser sur sa faim alors qu'en lisant les deux successivement je trouve l'intro qu'est le tome 1 très bien faite et nécessaire au développement de l'intrigue. Concernant l'histoire les zones d'ombres sont très nombreuses et c'est plutôt une bonne chose, le suspense est très bien entretenu.
Niveau dessin rien à redire car à part le fait que les personnages feminin (en fait 2 essentiellement) sont assez difficilement différenciable, le reste est excellent et d'une grande qualité que ce soit au niveau du dessin ou de la mise en couleur. A noter qu'Eric Liberge a lui même réalisé les couleurs du tome 2 et en est davantage satisfait que sur le tome 1 ayant pu rendre sa propre interprétation au niveau des ombrages et rendre les scènes tel qu'il les avait imaginées.
L'histoire n'est pas désagréable à lire mais c'est pas non plus une très bonne histoire. Dans cet album on est plus orienté aventure que humour, ce dernier n'étant que très peu présent et c'est bien dommage. On ne peu que regréter la période Franqui où on avait un savant mélange entre l'humour et l'action redant le tout palpitant et hilarant. Ici l'histoire est plus terre à terre et l'introduction d'extra terrestre n'a pas été, à mon avis très bien géré car l'auteur avait pas mal de possibilités scénaristique pour introduire une bonne dose d'humour. L'ensemble est assez laborieux sans être toutefois désagréable à lire. De plus j'ai également trouvé que l'album manquait de dynamisme et l'absence du Marsupilami se fait cruellement ressentir houba houba snif.
J'ai lu les Pirates de Blain avant de lire ce one shot et je dois dire que je trouve son travail bien plus abouti sur la série d'Isaac le pirate. C'est peut-être une impression mais c'est bien ce que j'ai ressenti. Reste un one shot qui se lit très facilement, aidé par un scénario inattendu et drôle. A lire, donc...
Clap de fin, l'histoire du jeune Saturnin se termine avec ce deuxième tome qui est dans le droite lignée du premier. Au final j'aime bien cet univers tordu dans lequel les peronnages sont quasiments tous aussi laids les uns que les autres, mais tous très humains, et donc attachants, sauf Mordhom et ses sbires bien evidemment ! Couleurs et dessins sont très à mon goût. Le récit alternant humour et sentiment est mené tambour battant et on ne s'ennuie pas une seconde. Du tout bon donc !