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Agréable lecture, scénario (ou histoire devrais-je dire) bien sympa narrant le décalage des mondes et la naïve idée de l'intégration facile, de l'acceptation de l'autre. Juste une petite déception concernant la dernière partie : je ne voyais pas une fin si "extrème", était-ce une réelle nécessité ? Je me pose la question. Il en demeure un livre de presque 300 pages d'excellente qualité.
Le dessin correspond parfaitement à l'ambiance voulue, j'ai eu une petite pensée pour le trait de craig Thompson...
Deux bons épisodes d'origine et dénouement avec à la clé une révélation tout aussi surprenante qu'importante. Il aurait été difficile de songer qu'il puisse y avoir un lien entre Bucky l'ex-partenaire de Capitaine América et Wolverine et pourtant il existe. Une chose est sûr même avant qu'il ne tourne mal Bucky n'était pas un saint et le prochain épisode devrait nous en apprendre encore davantage. Bon épisodes.
Ce premier tome est très bon. On commence à faire connaissance avec les divers personnages qui sont tous haut en couleur et à la personnalité bien trempée. Les relations qui naissent entre eux donne lieu à des scènes très drôle. Vivement que je lise la suite.
Cette nouvelle série est vraiment excellente. L'athmosphère de la guerre du Vietnam est parfaitement rendue à travers pluseurs histoires courtes toutes extrèmement bien structurées avec une intrigue réaliste. A première vue le contexte historique est bien respecté et les personnages sont très crédibles. L'utilisation d'animaux au lieu d'humains à pour effet d'alléger un peu l'atmosphère qui sans celà aurait été très lourde même si certaines scènes sont chargées d'émotion (la fin de l'histoire sur la récupération du pilote abatut surtout). Je rempile pour un second tome.
Dans la lignée du premier, un excellent tome au niveau du scénario. Il peut c'est vrai se lire à tous les âges mais sans être pour autant forcément simple, c'est justement sa richesse qui permettra à chacun de s'identifier au héros ou d'y voir la lutte entre deux époques .... Quant au dessin il accompagne tout en finesse l'histoire et un dernier coup de chapeau aux couleurs qui détonnent au milieu des productions contemporaines riches en couleurs criardes !
Jubilatoire ! Plus je le lis, plus je l'aime. A découvrir absolument.
Le vieux Ben est paralysé et il est riche. Mais c'est son 90ème anniversaire et toute la famille sera là...
Une de ces terribles fresques humaines dont Will Eisner a le secret! Mais comment fait-il pour peindre les bassesses humaines ordinaires tout en laissant transparaître une indulgence ou même une tendresse pour ces gens?
On est loin des univers manichéens qui rassurent et amusent...
Et comment il casse les codes graphiques pour servir au mieux son propos! Quel talent!
Dans ce volume, Diu Diu retrouve Pulsar, un artiste rockeur du monde des toons qui connaît un immense succès dans le nôtre avec son band. Poursuivi par le père de sa dulcinée qui l'empoisonne et le rend accro à la drogue, il n'a d'autre solution que d'aller se désintoxiquer chez les toons et emmène ses copains (et chérie) au passage.
Le petit renard miteux croise aussi le chemin de Risotto Fruit-de-mer, un autre toon, cuisinier celui-là ; cette aventure s'aggrémente d'un épique concours de chefs entre les différents membres de la "famille" Risotto. Heureusement que Diu Diu et Boute-en-train sont là pour arranger les choses.
Encore une bonne dose d'humour délirant dans ce dernier tome. Il n'est pas toujours aisé de suivre les fantaisies de l'auteur qui s'amuse énormément avec ses personnages. La fin est digne du reste de la série : drôle et farfelue. Au passage, Nie Jun passe un message intéressant sur le monde du show-bizz de la musique et de ses dérives, ici la drogue. Certes, c'est fait sur un ton plus qu'amusé et déjanté, mais l'idée est là.
Une bonne intrigue (à savoir une petite histoire dans la grande Histoire) avec des personnages intéressants et attachants. Des dessins dans l'ensemble plutôt superbes (façon Loisel) même si certains détails m'ont gênés.
En effet, comme bémols, j'ai pu noté des petits problèmes au niveau du dessin notamment avec les expressions d'étonnement. A plusieurs reprises, les différents personnages marquent leur étonnement avec des yeux globuleux outranciers (façon Tex avery). Je trouve que c'est vraiment pas terrible. Idem au niveau des visages, parfois, approximatifs. Autre problème, c'est l'anachronisme du langage notamment les insultes plutôt très contemporaines. Ce sont des petites choses qui m'ont gêné et qui pourrait être rectifiées. Enfin, a un moment, il y a eu une ellipse qui m'a un peu étonné (Alfonse et Luminista vivent d'un coup ensemble..).
J'achèterais le tome suivant sans aucun doute car la fin est prometteuse.
Quartier lointain
Ou quartier maudit ! ( T 1)
J’avais pu lire sur le forum que c’était un Chef D’œuvre ! ! !
Le problème c’est qu’en lisant, il y a quelques temps, « au temps de Botchan », j’avais trouvé la lecture trop lourde, trop littérale, trop pesante, et je n’étais franchement pas convaincu !
Alors les préjugés ont-ils la vie dure ? ?Ou Taniguchi réussit-il un coup de Maitre ?
On m’avait dit, aussi, que c’était Bô, non pas beau mais bô.
De plus réorchestrer son enfance de 14 ans avec un esprit d’adulte pouvait etre interessant, mais l’une des paroles emblématiques et dangereusement orgueilleuse du héros principal : « Maman… As-tu été heureuse ? », m’a fait émettre quelques doutes…
Mais avant de parler de l’œuvre, c’est plutot du graphisme dont il faut parler ; il n’est pas exceptionnel et pas franchement moche mais il se rapproche vraiment de la Bd franco-belge et de ses cadres .
Donc revenons à nos brebis…
Le fait que le personnage, au début, soit paumé dans l’immensité de la foule ( du monde !) est une bonne idée, le problème c’est que son égocentrisme et sa niaiserie font du héros : « un bon p’tit gars qui veut faire plaisir à tout le monde ! » ( A partir de là, le lecteur n’a plus qu’a l’enterrer sous son propre pathos, je veux dire sa morbidité pathologique ( sur sa moman !) de la morale unilatérale…et hop le tour est joué, on en vient à des affirmations du style : « aaahhhh, c’est Bô ! »)
Manque de bol, il devient le fayot de la classe, il est envié par ses camarades, etc…( encore un qui ne connaît pas le poids d’etre cité en exemple !)
Mais il y a bien pire comme ce passage ou il passe de la réalité au reve ( enfin, un truc dans le genre !), l’auteur ne peut s’empecher de nous faire le coup du « pince-mi pince-moi », tout comme les auteurs d’anti-héros ne peuvent s’empecher de nous faire le coup du miroir. ( exemple : le personnage se retrouve face à un miroir, il y a des variantes, et il dit : « qu’elle bete ideuse je suis devenue , ou c’est moi ça,… » , enfin bref !)
Tout cela pour dire que la crédibilité du héros en prend un coup, et qu’il devient difficile, et meme extremement difficile de la regagner, on vieillit d’un seul coup, lassé et fatigué que ce soit de corps et d’esprit par autant de mièvrerie.
Le reste de l’histoire se suit en claudiquant ! ! !
C’est un comble, une histoire sur la jeunesse retrouvée qui boite ? ?En tout cas si c’est un gag voulu par l’auteur, c’est bien vu, mais si c’est sans le faire exprès alors là je ne vois pas trop ce que l’on peut faire !
Mon appréhension vis-à-vis de Jiro Taniguchi est résolument énorme.
Les préjugés ont donc la vie dure.
C’est bien malheureux…
Voilà une BD superbement faite. Les personnages ont ce petit quelque chose d'humain qui les rend proches de nous. Mister BLACKSAD en privé noir se battant contre le racisme est autant attachant que percutant. Du grand art digne des grands romans noirs américains. Seul défaut, les sorties au compte goutte des aventures de notre détective.
Et voilà le cycle se termine malheureusement. On y apprend comment Fort Navajo a commencé et nous découvrons le début de l'amitié entre TSI-NA-PAH et GERONIMO. Ce western est vraiment génial !
Comme il a été dit avant, ces "one shot" récurrent partant du même principe (un duo de chevaliers vierge en quête d'un dragon avec histoire d'amour sans lendemain) n'a pas grand intérêt. Ce n'est pas du tout désagréable à lire mais absolument rien de transcendant. Manque d'originalité dans l'histoire malgré un univers qui intéressant et bien foutu. Dommage.
C'est un 1er tome avec tout ce que cela comporte. Mise en place d'un mystère, du lieu et des personnages. Ce que j'aime chez Bec, ce sont les personnages, car il (ou ses scénaristes) rentre un peu plus que les autres dans la psyché de ses personnages principaux (via quelques monologues "intérieurs"). D'ailleurs, beaucoup de perso interviennent et on ne connaît pas encore leur importance dans l'intrigue. Il y a, par exemple, un personnage féminin qui pourrait jouer un grand rôle par la suite car, pour l'instant, on peut se demander ce qu'elle fout là. L'histoire, l'ambiance et la narration (comme pour Sanctuaire) est très Lovecraftienne avec ses mystères terrifiants (où du moins "pesant") pour l'imagination. Après, Bec est toujours aussi doué dans les décors et toujours aussi approximatif dans ses dessins de personnages. Autre bémol, c'est l'utilisation d'un jargon ridicule (à consonances russes) et compliqué de façon à créer un univers fictif avec un antagonisme entre 2 nations. Cela demande un effort de lecture plutôt désagréable. C'est une Bd que je relirais volontiers pour me faire une meilleure opinion (la lecture sera plus fuide car le jargon sera plus familier) en attendant la suite prévue en 5 tomes (c'est bien ça, de dire en combien de tomes la série se terminera...)
Ce tome 3 est absolument énorme, je suis resté le nez dans la BD du début a la fin.la course poursuite et la guérilla que se livre les différent personnages et groupes de personnages nous tient en haleine tout le long du volume.Tout le monde veut récuperer Akira en fait et on se rend compte de son véritable pouvoir avec une fin apocalyptique et magistralement dessinée et construite par Otomo.
Blueberry, c'est du super western surtout lorsqu'il est dessiné par son créateur ! OK Corral est magique, humour, amour, action et Mike....
agreable à lire, rafraichissant, un scenario correcte un dessin bien contrôlé, les couleurs un peu tristes trop sovent dans les sanguines mais finalement correspndent à l'atmosphére ;BD reservée aux amateurs de "fantastique"
à suivre
Même si l'histoire est un fait divers comme il y a pu en avoir beaucoup d'autres, cette BD est un témoignage fort et poignant d'une époque aujourd'hui complètement révolue. Cette Bd a plus une valeur de documentaire où de reconstitution historique minutieuse que de simple divertissement (A ce titre, si vous vous attendez à un thriller où une fiction prenante, passez votre chemin...). Au final, on en ressort, un peu mélancolique et même nostalgique (bien que n'ayant pas vécu cette époque), peut être, à l'image de cette bonne vieille de Brest, la grise...
C'est un mélange du genre de Comic et Manga, ce n'est pas un album qu'on imagine : Contrairement à la couverture, les dessins sont décevants accompagnés de scénario sans interêt...
Il est seulement réservé aux amateurs — plutôt aux amatrices — du Collège des Coeurs Brisés, Sous le soleil... même c'en est un peu éloigné...
Cette bd mérite amplement un coup de projecteur, tant elle réussit le pari de sortir des sentiers battus, avec de surcroît un graphisme superbe, un concept original, un scénario réussi et même une pointe d'humour.
Tout d'abord le graphisme tout en noir et blanc est absolument superbe! (et pourtant je ne suis habituellement pas une adepte du N et B). Le concept est lui aussi hyper original car dans la partie haute les personnages sont en noir sur fond blanc et c'est l'inverse dans la partie basse. En fait, il s'agit de deux mondes, mais il y a des interactions entre les deux. C'est d'ailleurs là tout l'intérêt de cette BD, l'histoire ne pouvant être racontée que par ce média. Le scénario est très réussi lui aussi et met bien en valeur ce concept.
Bref, un coup de coeur que je conseille vivement à tous, tant par la qualité que par l'originalité de cette BD!!!!
De tous les albums scénarisé par Uderzo, probablement le moin lamentable. la lutte féministe est sympatique et j'ai faillis sourire. Et comparé au dernier, probablement un chef-d'oeuvre.
mais soyons sérieux, ça n'arrive meme pas à la cheville de Goscinny
Génèse mortelle : Bonne intro qui donne envie d'en savoir plus notamment l'identitée du nouvel ennemi des X-Men. L'intrigue est bien construite et à mon avis plus complexe qu'il n'y parait.
C'est reparti pour un tour : C'est également un bon début d'histoire avec une nouvelle équipe de méchant bien mystérieuse cas composée de membres ayant des pouvoir semblable aux X-Men (Iceberg, Jean Grey, Cyclope, le Fauve et Angel). Tout celà est boien mystérieu, les questions se bousculent et les réponses ne sont pas encore là. Très bon épisode.
Chat échaudé craint l'eau froide : Fin de Madrox et c'est excellent, on ne s'ennui pas une seul seconde avec cette fin digne des romans noir. Le personnage de Madrox est vraiment excelent et à un bon potentiel. La série laisse la place à Facteur X où on va retrouver Madrox et ses détectives.
Facteur X : Bon début qui voit l'apparition de nouveaux personnages autour de Madrox. L'intrigue est très bonne et la fin de l'épisode j'adore carrément (c'était bien trouvé).
Bref très bon mag même si il manque quand même Astonishing X-Men. Heureusement Excalibue
Le Grand Bleu à la Manga !
L'histoire veut qu'on raconte un garçon, nommé Cissé, qui n'est pas comme les autres : il est né dans l'océan puisqu'on on l'y a trouvé, bébé, avec des dauphins...
Passionnant ! On se laisse noyer volontairement dans cet univers aquatique.
J'avais plus rien à lire alors j'ai piqué cette bd à ma copine. J'y suis rentré avec beaucoup de réticences. J'avais déjà détesté "Paradis perdu" des mêmes auteurs, et l'héroic fantasy façon féminisme, ça me disait trop rien. Eh bien, je dois dire que j'ai été agréablement surpri. Les dessins de Varanda (notamment la description de la ville) sont magnifiques. L'histoire sans être exceptionnelle permet de passer un bon moment. Je rejoins certaines critiques sur le caractère anecdotique de la fin.
6 nouvelles "aventures" de Yotsuba aussi fraîches et drôles que celles du tome 1.
Que ce soit lors d'une séance de dessin en plein air, devant un bon gâteau aux fraises, dans une tentative de vengeance à coups de pistolet à eau, à la piscine, ou avec un crapaud, les réactions de la petite Yotsuba ne manquent pas d'amuser et de distraire. Et les plus grands qui l'entourent - les voisines, son père ou Jumbo - ne sont pas en reste.
Quelques petits éléments donnés sur la famille Ayase dans la dernière histoire.
Toujours aussi agréable donc
Très bon ! C'est un mélange d'émotions avec un trait agréable. La lecture des pensées des personnages crée un lien... C'est une belle histoire sur les relations humaines et la société de nos jours et surtout dans ce tome il y a des planches de dessins nottament le visage d'Haru magnifique ! J'aime beaucoup !!
Le jour d'après : Ces évènements font suite au cross over House of M et au vue des conséquences c'est catastrophique pour les mutant qui ont pour une bonne partie perdus leurs pouvoirs. Les mutant redeviennent ultra minoritaire (198 contre plusieurs millions c'est plus une espèce en voie d'extinction qu'autre chose). L'histoire est excellente et on passe un très bon moment au point de vouloir lire la suite.
Assignation à résidence : Cette histoire fait suite à "le jour d'après" est surtout basé sur l'acceptation par certains membres de l'équipe d'Havock de la perte de leur pouvoir. C'est plutôt bon, l'histoire est bien construite et l'intérêt est maintenue tout au long de lépisode sans être exceptionnel.
Gloire et fortune : Très bonne histoire, bien menée et avec une intrigue bien entretenue, bref un très bon moment.
Travail d'équipe : Une histoire qui fait plus bouche trou qu'autre chose. Elle n'a pas vraiment de réel intérêt.
Très bonne histoire solide, bien trouvée et le côté aventure prend vraiment le pas sur tout dommage qu'il n'y ait pas énormément d'humour (et le peu présent de m'a pas vraiment fait rire). Très bon moment avec un retour de Zorglub extrêmement bien trouvé.
"Le noir seigneur" se situe au niveau 103 de Crépuscule. C'est un album indispensable pour la série Crépuscule puisqu'il raconte comment Terra amata explose... Le dessin tourmenté de Blanquet colle bien à ce tome.
J'ai relu ce tome avec plaisir en même temps que toute la série des crépuscules. Il raconte l'aventure de Marvin rouge pendant que le roi poussière combat le grand khan (dans le tome 103 "Armagedon" de la série Crépuscule). Le dessin d'andréas possède son propre caractère tout en restant bien dans le style de la série. L'aventure est vraiment drôle et Marvin rouge toujours aussi attachant. Assurément un des meilleurs Donjons Monsters... (A lire également "Le noir seigneur" se situant également au même niveau 103 de Crépuscule)
L'autre : Très bonne histoire avec son lot de révélations surprenantes et un Peter Parker très perturbé (enfin c'est normal vue ce qui lui arrive). Par contre je me demande comment les auteurs vont faire pour rétablir la situation de départ.
Invinsible : Histoire sympa assez marrante mais pas géniale pour autant. On passe un bon moment.
Très bon album. L'histoire est bien faite, beaucoup d'aventure et d'action avec un peu d'humour pour alléger le tout. Tome et Janry ont trouvé leur Spirou et ont réussi a le faire évoluer de manière intéressante. Ils n'ont pas chercher à copier ce qu'avait fait Franquin et c'est une bonne chose. C'est l'un des meilleur album depuis Franquin.
Ronin : Excellente histoire qui évolue de mieux en mieux avec son lot de surprise et de révélations. en tout cas une chose est sûr : il y a quelque chose de pourrit au royaume du Shield.
Création : Fin de l'histoire des FF avec l'origine de leur pouvoir (mais pas seulement en fait). C'est très cérébral et métaphysique ce qui rend le tout assez sympa à lire.
Le soldat de l'hivers : J'aime beaucoup le dessin, ce style très réaliste sert bien l'histoire. Au niveau de cette dernière justement malgré quelques incohérences et raccourcis ça reste très bon et on attent la confrontation du Soldat de l'hivers contre Capitaine America.
Peur : Début d'une histoire avec comme personnage central Jessica Jones. L'histoire commence pas trop mal mais ça n'a rien d'exceptionnel par contre j'aime pas du tout le dessin dommage.
Bon album que j'ai trouvé bien meilleur que le précédent. L'histoire est, selon moi, mieux maîtrisé avec le personnage de Cyanure très intéressant. L'action et l'aventure sont les composantez$s essentiel de cette histoire mais des touches d'humour sont distillés par ci par là. Certes elles ne sont pas toujours très réussies mais globalement ça rend l'intrigue plus légère et la renforce.
Dessin propre et travaillé; ce Batman revu façon "all-star" (comprenez "ultimate") s'annoncait sous les meilleures hospices, mais malheureusement je trouve que Miller force un peu la "ténébritude" du héros.
Pour les fans only
Pauvre Lampil est parût pour la première fois ,en 1974 , dans le journal de Spirou . A cette époque , les séries humoristiques ne foisonnaient pas comme actuellement . Il s'y dégageait , donc , une certaine fraîcheur et les idées de gags étaient souvent neuves . Cette bd est une caricature de deux auteurs de bandes dessinées célèbres : Willy lambil et Raoul Cauvin . Reste à voir si le dessinateur des Tuniques bleues a un aussi mauvais caractère que notre pauvre Lampil . Ceci-dit , au fil des albums , on s'habitue a son irascibilité, à ses petits malheurs et à sa vision très vieille école d'un couple "moderne" ( sa femme est un peu sa bonniche ! ) . Ce qui est intéressant dans cette série, c'est que les péripéties des personnages principaux font parties des aléas de la vie de tout les jours . Cela donne un coté très réaliste aux gags et on peut se demander si certaines situations n'ont pas vraiment étés vécues .
Pour les fans de Franquin, cette réedition est une aubaine. C'est avec nostalgie et plaisir que l'on relie les aventures de modeste. 60 gags qui n'ont pas vieilli.
A lire pour le plaisir de ces vieux gags, qui nous ont tant fait rire il y a quelques années.
Encore l'histoire d'arthur direz vous!
Sauf que là, elle est racontée de manière originale, beaucoup plus mystique.
Le dessin est au rendez vous. Ce premier tome s'annonce prometteur.
Un dessin très sympa, tout comme les couleurs, et une histoire originale.
Ce petit conte nous ramène dans notre enfance. C'est vraiment très agréable.
à lire absolument.
Voici le continu de AXM :
X-men deadly genesis : série assez particulière n'avançant que très lentement, très bon dessins. A suivre.
Exiles : moi qui n'avait lu aucun épisode de cette série, j'ai été surpris, très bons dessins, la saga reprend l'ère d'apocalypse, de l'action, de bons dialogue, une bonne intrigue. Très bon
X-factor : l'épisode 1 laissant sur sa faim, on n'est pas déçu, très bonne série, avec de très beaux dessins, je ne regrette que la traduction foireuse!
New Excaibur : Bon dessins mais on ne s'est pas trop ce qui se passe tellement ça va vite. Mais cette série a une très bonne intrige et de bons dessins.
Avis global : Un très bon mag.
Très bon volume qui voit enfin l'intervention d'Ichigo pour empécher de sauver Rukia. On assiste à divers combat seccessifs et le tout est plutôt bien rendu. On va enfin asisté au combat entre Ichigo et Byakuya Kuchiki dans le prochain volume. Bref on ne s'ennuit pas une seule seconde.
Une histoire très sympa mais sans plus. On est dans du très bon divertissement, mais rien à voir avec l'immense qualité des 2 premiers tomes. Reproche que je pourrais également faire aux séries Potron-minet et Zénith (c'était peut être l'effet nouveauté ?). Ici, l'histoire nous fait quand même tomber dans un quotidien peu excitant : Le roi poussière veut revoir ses enfants. Certes, c'est très touchant. Certains dialogues sont adorables et drôles mais ça n'a plus rien à voir avec le caractère épique et dark de la série. D'ailleurs, la série se transforme plus comme des One shot indépendants les uns des autres (avec, on s'en doute, quelques "Donjon Monsters" qui se glisseront entre chaque tome de Crépuscule). Toutefois, les personnages demeurent et apportent chacun leur lot de petit bonheur. Ceci permettant à ce 4ème tome de m'avoir fait passer un très bon moment de lecture.
L'histoire est globalement bonne, on s'ennuit pas et l'humour plutôt présent rend le tout léger et plaisant. L'histoire se déroule dans le milieux de la musique mais dans les autres séries se déroulant dans ce même univers Beck est nettement meilleur. Jusqu'au tome 7/8 l'histoire est bien mais apprès ça va trop vite et l'intrigue prend une tournure bizarre ce qui est dommage car c'était bien partit.
La guerre est sale, le nazisme aussi. La lacheté des démocraties a servi de tout temps les régimes totalitaires. Les aquarelles de Stéphane PERGER décrivent parfaitement ce processus irréversible et récurrent. Quelle classe !
L'histoire est excelente, les personnages secondaires sont très bien exploités, torturés à souhait par cette époque dure et sans pitié bref on ne s'ennui pas une seule seconde. Le dessin quant à lui est encore excellent et c'est une vrai régal de regarder chacune des planches du volume qui contiennent énormément de détails.
Cette histoire commence bien, les personnages prennent de la consistance. Le mystère s'installe et le prochain volume devra nous confirmer la qualité entrevue dans ce premier tome.
Cette série n'est pas sans rappeler Hauteville House sauf que la période est différente. On s'attache cependant à ces nouveaux héros, l'humour et l'action sont là. Mais attention, à confirmer !
Cet album est un petit bijou ! Le dessin est d’une élégance rare, les couleurs aussi lumineuses que l’héroïne, le scénario parfaitement maîtrisé. On cherche vainement des défauts, à moins de se montrer mesquin. Tiffany est une descendante de Jeanne d’Arc (de son frère plus exactement puisque l’illustre Pucelle n’a évidemment jamais eu d’enfant). Elle a hérité de sa lointaine ancêtre un goût pour l’escrime et à défaut d’entendre des voix, elle est capable de lire les pensées. Un don avec lequel Yann s’amuse beaucoup. L’humour est d’ailleurs omniprésent dans l’histoire. On se régale de répliques bien senties et de clins d’œil au lecteur (« Jacob ! Richter ! Une échelle, vite ! »). Mais on ne rit pas toujours. Le ton général est très sérieux, dramatique même. Tiffany va sortir meurtrie de cette histoire qui lui laissera des blessures qu’on imagine douloureuses à cicatriser. Mais elle a une force de caractère qui laisse à penser qu’elle s’en remettra. Et l’on a hâte de connaître la suite de ses aventures !
Chose bizarre pour cette collection en 3 tomes, c'est qu'avec le "Tsar fou", on aura 3 one shot (mais avec le même héros). Le 1er tome était vraiment sympa avec son burlesque assez charmant. Le tome 2 est vraiment plus loufoque et on part même souvent dans le grand guignol. L'histoire nous permet de découvrir une peuplade exotique du fin fond Russe mais c'est vraiment tout comme point positif car niveau scénario c'est très très léger. Passé les 2-3 premières pages, on imagine très bien le déroulement de l'histoire et son final. En résumé, c'est quand même décevant. Avec cet univers original, ses personnages plutôt sympas et son dessinateur atypique, Tarek aurait pu lancer une histoire en trois tomes avec certes du burlesque mais aussi du fond. Un peu dommage.
TROPP TROPPP AU TOP !
J'adore cette bande dessinée! Les dessins sont vraiment beau!
La 1er de couverture est allucinante et l'histoire est vraiment chouette!
Buchet détails vraiment bien chaque case! C'est extras! =)
J'adore les couleurs, les dessins ont du style aussi !!
Aurore, est quelqun d'adorable!! J'ai eu le plaisir de la rencontrer et de me faire dedicasser la derniere BD....
Bravoo
Peter Parker commencait à avoir de la chance donc ça ne pouvait pas durer et "l'autre" en est la preuve. Cette grande saga annoncé comme allant avoir de grandes répercutions sur le personnage de Spiderman (si on se fie aux grandes sagas habituelles on est bon pour avoir Spiderman qui aura vieillit d'un an de manière prématurée). Le début est pas mal et on sent que Peter a des problèmes de santé mais il va falloir attendre pour en apprendre plus. L'histoire est prenante, l'intrigue bien construite et le suspense bien entretenu. Une fois le mag fini on a vraiment envie de lire la suite.
L'histoire ne m'a pas spécialement passionné. J'ai trouvé l'intrigue plutôt légère et au niveau de l'humour il n'y a pas grand chose. Dommage car le trio Spirou / Fantasio / Seccotine pouvait donner lieu à des scènes humoristiques (surtout Fantasio et Seccotine entre qui il y a une certaine rivalité). Bref c'est pas un mauvais album mais il ne m'a pas convaincu.
Erreur sur la note je voulais mettre 7, un petit 5 pour compenser !! :)
Dans la même veine que le premier volume, le deuxième confirme la bonne impression. J'espère juste qu'on ne rentrera pas dans le train train d'une série américaine moyen. J'attends pour le tome 3 des surprises et des bouleversements pour rester accroché !!
Scénario simple et efficace, très bien documenté. Dessins agréable, pas toujours nickels. L'ensemble se laisse lire avec plaisir comme un bon feuilleton américain, d'ailleurs, la référence aux feuilletons est omniprésente et on apprend pas mal de petite chose sur la vie des personnages en dehors de leur boulot d’enquêteurs.
Une excellente surprise.
Hilarant, désopilant, fun... pas de prise de tête un dessin efficace et une histoire qui part dans tout les sens. Un peu cher pour moi vu le format, mais bon vivement la suite !!
Les couleurs directes sont superbes, le scénario est bien ficelé et alléchant. Néanmoins les personnages ne se ressemblent pas toujours mais la douceur et la beauté qui ressort de l'ensemble reste très agréable.
Le tome 2 confirmera peut-être ce bon début, mais rien n'est gagné... à suivre.
Un premier album étonnant et graphiquement superbe. Néanmoins le scénario ne va pour le moment pas très loin, ça reste un album de présentation du monde et des personnages. Je suis quand même impatient de lire la suite en espérant que Cinzia Di Felice aura au final un scénario à la hauteur de son talent.
Origines et dénouements : Voilà un épisode qui raconte plein de... euh... plein de rien en fait. C'est totalement inutile. Bon certes Wolverine apprend une information capitale du Samouraï d'Argent mais nous non on a juste droit aux états d'âme du griffu. Donc on apprend rien de nouveau ce qui donne un intérêt proche de zéro.
Le mort vivant : intérêt de l'histoire -10. le scénariste veut faire dans le sensible mais en fait il fait dans le soporifique. Niveau dessin je dirais bien dieu quelle horreur" mais je ne le dis pas.
L'homme blessé : Dessin un peu plus réussi mais juste un peu par contre niveau qualité du scénario c'est aussi soporifique.
Acheté par hasard ce matin suite à un feuilletage rapide... Après lecture, pas terrible - terrible. Une histoire pas très claire d'abus sexuel d'une enfant... Là, le dessin naîf ne colle pas à la dureté souhaitée du scénario. le décalage est constant. En plus ce scénario n'a rien d'extraordinaire et ne réserve aucune surprise.
Je trouve qu'il y a dans cette collection édité par paquet beaucoup de déchet, ce qui est regrettable pour le beau format de ses BD.
Terre sauvage : Fin de l'histoire qui au final aura été plutôt bonne. L'intrigue est sympa les personnages de la Panthère noire et d'Ororo sont bien utilisés. Bref on passe un bon moment.
Gloire et fortune : L'histoire prend une tournure prévisible mais intéressante. Elle met bien en évidence la personnalité des membres des Hellions et nous réserve quelques surprise.
Début du duo Tome et Janry et pour un premier album c'est plutôt bien réussi. L'album est essentiellement orienté aventure / action et peu humoristique mais au final la sauce prend bien et on reste pris dans l'histoire d'un bout à l'autre.
Encore une bonne surprise en cette fin d'année.
Si l'idée de base peut sembler assez banale bien qu'intéressante, elle est traitée de façon intelligente et pas caricaturale comme elle pourrait très bien l'être.
L'enquête en elle-même n'est pas ce qu'on peut appeler une énigme à tiroirs, c'est relativement simple maisc'est efficace et ça se lit très bien et en une traite.
Le choix des couleurs peut être également discutable d'un premier abord mais par la suite il ajoute un petit côté poétique à la série ce qui n'est pas plus mal en cette période de grande violence
A suivre donc.
J'ai bien aimé. C'est léger et drôle et finalement sur un thème comme ça, ça fait du bien. Tous les personnages sont très attachants, les dialogues bien sentis. J'ai donc lu les pérégrinations de Nic avec grand plaisir. Au fond c'est tout ce qu'on en droit d'attendre d'un BD ! Vivement la suite...
Pour tous les fans de Bendis et autres...un polar/comics comme il en existe peu, à savoir Génial!
De la même trempe que Torso, dans la droite lignée de Goldfish, Jinx s'impose dorénavant comme un must pour tout fan de Mister Brian Michael Bendis qui se respecte.
Près de 400 pages d'un polar très noir, qui se laisse dévoré tout cru, sitôt qu'on l'a ouvert.
Je recommande donc (vous l'aurez compris) ce petit chef d'oeuvre comme il en existe peu de nos jours!!!
Vive Bendis!
Revoilà le facteur sur sa bicyclette parcourant la campagne coréenne. Cette fois-ci il est le témoin de 42 petites histoires autour de couples de vieux paysans et de leur relation avec leurs enfants ou petits-enfants, mais aussi de l'amour toujours vivace qui peut lier deux vieux époux.
Le ton reste juste, pertinent et empreint de sensiblité et de poésie, que ce soit lorsque le vieux père retrouve son fils qui essaie de faire croire qu'il est riche en louant une belle voiture, ou quand la grand-mère reçoit une lettre de sa petite-fille écrite en langage SMS, ou lorsque le vieux mari offre un bouquet fraîchement cueilli à sa femme en lui disant qu'il l'a voit encore comme une jolie fleur.
Un très bon tome.
Du bien beau travail que ces auteurs nous ont fait , le scenario tient la route , les dessins sont nikel rien a dire , vivement le dernier épisode car c'est assez cruel de rester sur notre faim.
Cette serie est vraiment bien tournée , dans un marseille que les auteurs connaissent bien.Tous les ingrediens accrochent le lecteur , on a qu'une hate de voir la suite.
Affaire a suivre :)
Le chant du Phénix : Fin de cette histoire pleine de vide qui se résume à un gros combat qui sert à rien, ne raconte rien bref qui n'a que pour seule qualité que de remplir la moitier du magazine... Ah zut c'est pas une qualité.
Il y a feu et feu : Très bon histoire qui se poursuit dans le plus pur style des romans noirs (j'adore ça). Bref c'est un vrai régal à lire.
Dent pour Dent : Très bonne histoire qui débute ici avec une crise de conscience de Blink, un courtier temporel bien bizarre, une mission surprenante et difficile à remplir.
Cet album contrairement aux deux précédent est plus orienté humour. Les idées développées dans cet album sont bonnes mais l'humour n'est pas suffisament poussé si bien qu'on s'amuse mais on ne rit pas. Dommage il y avait un bon potentiel humoristique. Bon on s'amuse bien quand même j'aime bien certains passage (notamment la remarque de Spip sur son cousin qui travaille dans l'épargne), bref on passe un bon moment.
Une BD visuellement splendide tout en crayonés ; il faut voir les toutes premières pages avec le narrateur dans l'ombre.
L'histoire aurait cependant méritée d'etre un peu plus poussée mais elle reste tout à fait honnête et très originale.
Pas vraiment convaincu par le dessin, les couleurs et j'avoue ne pas être très fan de la manière dont sont faites les ombres. En revanche l'histoire est accrocheuse et donne envie de connaître la suite et de mieux découvrir l'univers qui se cache derrière les nombreux mystères dévoilés dans ce premier tome. Cet univers peut d'ailleurs faire penser à celui du jeu du rôle Hurelements. Un moyen-âge très réaliste dans sa dureté, avec un dose de fantastique. A noter que les scènes d'action et de combats sont convaincantes et dynamiques. Une série à suivre...
Ronin : L'histoire prend une tournure de plus en plus intéressante avec de grands changements dans le milieu du crime organisé du aux changements au sein du Shield (pas très respectueux des lois ces temps ci). Bref vivement la suite.
Le soldat de l'hivers : Cap est maintenant confronté à une grave crise de conscience quant à sa manière d'agir face à l'identité du Soldat de l'hiver". De plus un pouvoir entrainant de grandes responsabilités et un prix à payé tout aussi grand on assiste aux effets secondaire du cube cosmique sur Alexander Lukin. Bref une suite à la hauteur de mes espérences.
Questions existentielles : Le titre est très explicite. L'histoire prend une tournure intéressante mais ce n'est pas tout le monde qui apprécira cette tournure.
Spécial (Jeunes Vengeurs) : Suite des révélations sur le passé des Jeunes Vengeurs et ce qui les a conduit à devenir des super héros. C'est toujours aussi intéressant.
Cet album est bien meilleur que le précédent. L'histoire fait suite à "la ceinture de froid" et prend une tournure très intéressante. Le duo évolue un peu, le côté aventure est largement majoritaire mais l'humour demeure présent par petite touche. L'équilibre entre les deux n'est pas parfait mais il est suffisant pour avoir une bonne ambiance. De plus l'intrigue est suffisament intéressante, malgré un point un peu litigieu (Spirou qui donne la fameuse boite noire aux ravisseurs de Fantasion malgré le danger), pour que l'on reste pris tout le long de l'album.
Ce n'est pas le meilleur Spirou et Fantasio certe mais ce n'est pas le moin bon non plus.
Un petit one shot sympa avec des histoires courtes intéressantes sans être toute fois passionant. C'est un volume a acheter plutôt d'occasion que neuf mais c'est sympa à lire.
Polar plutôt violent, "Le Sang des Voyous" est donc la dernière collaboration en date entre Jacques de Loustal et Philippe Paringaux. Loustal que j'ai rencontré lors de l'édition 2006 du Festival de Solliès-Ville m'avait confié que "Le Sang des Voyous" était sa bande dessinée la plus noire. Et bien, je confirme. Sans vouloir plagier l'un de nos chanteurs bien connus : "Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir...".
L'histoire scénarisée par Philippe Paringaux nous raconte la dérive sanglante d’un tueur à gage moribond à la recherche de sa fille perdue de vue nombre d'années auparavant. Au cours de son périple, il n'hésitera pas à solder quelques ardoises laissées en suspend. La narration de ce thriller est assez particulière. Les dialogues sont réduits au minimum tandis que des encadrés de textes viennent plonger le lecteur dans l'esprit et les sensations du personnage central. L'atmosphère glauque distillée tout au long des planches de l'album s'en trouve ainsi renforcée.
Coté dessins, je ne suis pas de prime abord un grand fan de ce style graphique, aussi il m'a fallu un moment avant de m'y faire. Loustal a choisi d'illustrer le récit par un trait plutôt dur et froid à l'image de son "héros". Les décors sont très épurés, parfois sommaires, même si certains plans de paysages m'ont réellement emballé, notamment grâce à une mise en couleur des plus réussies.
Une bande dessinée qui vous captivera jusqu’à son terme.
Au début ca peut faire penser à du Veyron (dans le fond et la forme). Et puis finalement pas tant que ça. C'est une jolie histoire douce amère que j'ai suivi avec intérêt. La chute est très bien trouvé et relativement innatendu (enfin mois je m'y attendais pas). Un bon one shot donc !
Oui bon, c'est pas mal mais ce n'est pas génial non plus. C'est bien raconté, très bien dessiné mais ça ne s'envole jamais vraiment, ça reste relativement plat tout au long du récit qui reste cependant très agréable à lire. Je n'ai jamais vraiment compris l'engouement certain pour cette série. Il y a peut-être un petit détail qui m'échappe ou alors ça n'est tout simplement pas du ton à me satisfaire, ce qui peut arriver. A lire une fois et à relire une deuxième fois pour en apprécier les très beaux dessins mais sinon c'est loin d'être la bande dessinée fantastique et révolutionnaire dont on m'avait parlé.
Moui bon, la fin est loin d'être géniale, il n'y a plus ce petit côté humoristique qui était présent dans les 3 premiers tomes. Le scénario est assez convenu jusqu'aux dix dernières pages où Crisse nous offre un rebondissement énorme.
La mort de Skullface pourtant un des piliers de la série est traitée avec un désintérêt impressionnant et une fois la page tournée on en oublie presque ce mini-rebondissement.
La dernière page est malgré tout somptueuse bien que la fin soit un peu confuse scénaristiquement parlant.
Côté positif, Crisse a enfin terminé une série, même s'il a prévu un second cycle, ce qui lui arrive tellement peu souvent que ça relève de l'exploit.
Si tout va bien, la fin d'Atalante sera pour dans cinq ans et les 5 nouvelles séries qu'il a lancées cette année devraient connaître leur épilogue dans les vingt ans, ce qui nous laisse de nombreuses perspectives ultra-positives. Bravo l'artiste.
Je n'aime déjà pas les séries de Debois à la base, mais j'ai voulu lui accorder un certain crédit pour cette nouvelle série. Au final je décide de le jeter aux oubliettes car le scénario n'a aucune consistance, c'est sans intérêt et ça ne nous accroche même pas un instant. Heureusement ça se lit vite et le dessin, bien que peu régulier et parfois bâclé, permet quand même une lecture régulière.
Bref, à éviter.
Si on sait déjà depuis un bout de temps que Corbeyran compte clore la série en un tryptique de six volumes chacun, on se demande encore si son idée est vraiment réaliste dans la mesure où les deux derniers albums tirent tout doucement sur la longueur. La fin ne saurait probablement tarder vu les détours que prend la série, trop de rebondissements, trop de marasme, et au final très peu d'intérêt. On est bien loin de la première saison qui était en tout point parfaite.
Le dessin est quant à lui de plus en plus bâclé, Guérineau a changé sa technique en cours de route et cela se voit, dans le mauvais sens malheureusement. Comme on dit c'est dans les vieilles casseroles qu'on fait les meilleures soupes. En tout cas les dessins sont de plus en plus grossiers, peut-être dus à l'empressement ou à des impératifs commerciaux. Qui sait. En tout cas les deux auteurs nous ont déjà habitués à beaucoup mieux et ont plutôt intérêt à revenirà leur excellence d'antan sous peine de perdre de plus en plus de d'audience.
Toujours excellent, bine qu'un léger cran en dessous des 2 premiers tomes.
Dans la lignée, et à la hauteur, du premier tome. Scénario soigné, bon dessin et belles couleurs.
Sur fond historique, la quete d'une jeune Anglaise dont la grand-mère était la favorite d'un sultan. Desservi par un beau dessin et des couleurs chaudes, l'histoire nous emmène dans une lointaine Turquie. Excellent.
L'histoire continue d'avancer petit à petit, sans aller trop vite ni trop lentement, avec des personnages qui prennent leur envol à tour de rôle pour se dévoiler, assez intelligemment. Mais bon ça reste quand même du déjà vu et la quête du méchant pirate qui finalement est très attachant, il suffisait d'aller au cinéma il y a deux mois pour voir la suite de "Pirates des Caraïbes". L'ambiance en est d'ailleurs assez proche mais ça n'en demeure pas moins très agréable à lire et ça nous incite à lire la suite.
La couverture bien que moins belle que celle du premier tome est également pas mal du tout.
Ronin : Apparition d'un nouveau personnage qui rejoint l'équipe des nouveaux vengeurs dont l'identitée nous est inconnue mais on a pas mal d'indices pour deviner. L'intrigue est plutôt bonne, le mystère bien entretenu, voyons ce que donne la suite.
Le soldat de l'hiver : Voilà un épisodes tout en révélation et la vie du pauvre Bucky (ex partenaire de Capitaine América) n'a pas été très heureuse au vue de ce qui nous est raconté. Bref c'est passionant vivement la suite.
A la poursuite de la véritée : Voilà une histoire qui prend une dimention plus métaphysique mais reste intéressante car on va de surprises en surprises.
Choix : Petite histoire avec Jessica Jones membre des nouveaux Vengeurs mais à mon avis cette histoire va avoir une grande importance par la suite.
Spécial (Jeunes Vengeurs) : Pas mal de révélations sur les Jeunes Vengeurs et une chose est sûr on ne sait pas ce qu'ils vont devenir mais je pense qu'ils finiront par se reformer.
Une histoire intéressante, un héro doté de sensibilité humaine, une intrigue peu être pas la plus passionnante, mais qui, notamment du fait du caractère du héro et du "mystère" autour de Makabi, se laisse lire avec plaisire. Un très bon premier tome desservi pas un bon dessin.
Vite lu et donc vite refermé malheureusement. Le Cauvin d'aujourd'hui n'est plus celui d'avant et ça se sent. Les gags ont déjà tous été vus et revus dans les tomes antérieurs et l'histoire, même si l'idée de base était bonne, est vraiment vite traitée. En lisant les deux premières et deux dernières pages on a compris.
C'est triste car ce fut ma série préférée durant de nombreuses années.
Heureusement Lambil réalise toujours des dessins magnifiques et reste égal à lui-même. En définitive les scénarii des grosses séries commencent à battre de l'aile et il serait peut-être temps à la jeune génération (la douée en tout cas) de reprendre le flambeau parce que 8,50 € tous les mois pour des séries qui s'épuisent de plus en plus ça fait cher en fin d'année....
On suit les aventures de Chronover, le personnage principal dont on ne sait presque rien, dans un monde plutôt apocalyptique. Chronover se retrouve en fuite dans une zone contaminée où vivent diverses "tribus". On ne sait pas ce qu'il y fait vraiment, ni qui il est, bien qu'on découvre lentement certains aspects sur le personnage. J'ai trouvé ce tome original, avec un suspense bien entretenu qui donne envie de lire la suite.
Un chouette début, de très beaux dessins, beaucoup mieux rendus que dans les Aquanautes du même dessinateur.
L'histoire est intéressante et est très bien introduite. La suite ne demande qu'à être lue.
Belle entrée en matière.
Vraiment pas mal du tout cette nouvelle série pour cette nouvelle collection du Lombard qui sort rarement (à part Bob Morane ou le dernier Ceppi) des séries inutiles.
L'idée est vraiment originale et les dessins sont magnifiques bien que parfois irréguliers. LEs couleurs sont aussi très belles.
L'histoire en elle-même me fait penser à Matrix avec un héros qui s'ignore repéré par des gens qui "savent" et qui sont pourchassés par des méchants habillés au diapason. Il y a également cette petite ambiance oppressante comme dans "Dark city" dont le scénario reste relativement proche.
Bref, une excellente surprise.
Les nouveaux mutant version House of M ça vaut le coup. L'histoire est très bien trouvée, le rythme est élevé, on ne s'ennui pas une seconde bref c'est une très bonne histoire.
Autant le tome 2 m'avait bien plu autant celui-ci me déçoit. On s'éloigne de l'intrigue initiale pour se retrouver dans une sous-intrigue qui dépend de la quête originale mais qui n'apporte pas énormément à celle-ci.
Les dessins restent égaux à eux-même.
J'espère que la série de s'éternisera pas trop comme le font un peu trop souvent les séries de type heroic fantasy....
mag 12 à 14 :
Dangeureuse : La fin de cette histoire est somme toute très légère alors que ça avait si bien commencé. C'est dommage qu'une aussi bon histoire ait une fin si bateau.
Une âme de détective à saleté de piscine : Madrox s'avère être une excellent série. En effet l'intrigue est complexe, le côté polar très présent décuple son intérêt, le personnage de Madrox est excellent et le suspense est extrèmement bien entretenu.
Ronde de nuit : Ces épisodes des exilés sont somme toute intéressant mais je les ai trouvés moins bon que les précédents, moins dégenté, moins drôle. Par contre la petite histoire avec le Danish est excellente, à mourir de rire.
Le chant du phénix : Voilà une histoire qui débute très lentement (en 3 épisodes on ne sait pas grand chose) qui qui ne passionne pas des masses dommage.
Ce n'est pas souvent que les éditions Soleil sortent des séries accrocheuses et qui sortent un peu de l'ordinaire.
Ce thriller haletant à une époque où l'Eglise catholique prenait le pouvoir prend de plus en plus de consistance et l'intrigue se développe très bien.
Il y a quelques analogies avec le film "Le nom de la rose" au niveau de l'ambiance qui se dégage des dessins ainsi que dans le scénario en général.
Bref, un très agréable moment de lecture.
Moui bof, encore une déception à l'instar de Morvan qui selon moi devrait rester dans le sillage de Nävis et éviter de manganiser et de science-fictionniser tout ce qui bouge. Je suis triste d'être au diapason de l'unanimité des critiques mais il est vrai qu'une nouvelle fois, ça part dans tous les sens, que les rebondissements sont peu probables et surtout mal choisis.
Le dessin de Munuera est par contre vraiment pas mal et avec un autre scénario on pourrait obtenir des albums dignes des meilleurs Tome & Janry. Dommage.
Espérons que l'auteur ne persévère pas comme Uderzo et nous servira un tome 50 digne de ce nom.
Il y a du mieux par rapport au tome précédent c'est indéniable mais pouvait-on faire plus bas? En tout cas on peut certainement faire mieux. Je regrette les ambiances noires des tomes 30 à 45 qui mêlaient adroitement aventure et enquête dans des ambiances parfois très glauques (Tribunal noir, le maléfice vaudou, le disparu de l'enfer). Ici c'est mieux, on a envie de connaître la fin mais elle tombe sous le sens, il n'ya pas vraiment de surprise, c'est quasiment la même fin depuis une dizaine d'albums, Ric Hochet face à un groupe duquel il extrait un gros méchant. Bref ça se laisse lire mais c'est sans surprise et ça reste bon enfant et très peu imaginatif. On est malgré tout content de cette nouvelle enquête en terre belge.
Contrairement aux autres opinions postées, je n'ai pas du tout croché à l'histoire. Le monde dans lequel évolue les Marshalls ne m'a pas convaincu. Quant au dessin, assez "anguleux", et les couleurs (rendant parfois le dessin mal contrasté), je n'ai pas trop aimé. Bien que décu, je vais lire le 2e tome.
C'est toujours aussi marant et aussi bien que la première série. Certes c'est toujours un peu niais et rempli de tirs irréalisables mais il y a un quelque chose qui fait qu'on rentre dedans (et puis les tirs irréalisables font partit du charme de la série). De plus l'histoire pour une fois n'est pas réellement centrée sur un personnage mais plutôt sur l'équipe entière du Japon. Bref on passe un bon moment et pour une série achetée d'occasion c'est quand même un bon rapport qualité prix.