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J'ai passé un très bon moment. Je ne connaissais Bec que grâce à de très bons échos sur sa série -dois-je dire culte?- Sanctuaire. Bunker est une série très haletante. Une montée en puissance progressive, servie par un graphisme implaccable et irréprochable. La série étant fixée en 5 tomes, j'espère en tous les cas, que le chemin ouvert avec Les frontières interdites, est de bonne augure pour la suite...
Je recommande. C'est beau, c'est poétique, c'est bien raconté (avec une narration originale et suffisamment complexe pour avoir envie de relire immédiatement cette bd). Mais c'est aussi un 1er tome et donc une mise en place... Prometteur mais à confirmer...
J'aime bien le sens du scénario et le dessin est très réaliste, mais parfois ce
dessin montre tellement une facette triste ,morbide et effrayante ce que je veux
dire par là, c'est que, le dessin me donne parfois le gout de vomir. Pas parce
qu'il est laid, mais à cause de sa mélancolie et du peu de couleur. Si bilal
ranimait ses couleurs et les mettais pls vive il est dit que je lirais sûrement
touteses bande dessiné.
Donnant un coté romanesque à certain fait innexpliquer, je trouve cette bd assez
bonne. Certe ma note va paraître mauvaise pour certains qui n'ont pas aimer la
bd, mais je me sans plate à mettre de mauvaise note à des bd.
Le dessin me déplait un peu, il a changé comparer au tome précédent. Parfois il
se voit très réaliste et la page d'après, tu retrouves un dessin correct.
Le scénario me parait parfois incohérent, mais je suis encore un enfant.
Bref bd correct.
Au début je trouvait cela amusant et même que cette bd est la première à
m'avoir plongé dans un monde que j'avais oublié depuis longtemps. Celui du
dessins.
J'avoue qu'après avoir lu une autre série d'Arleston (les forets d'opales) je me
suis dit, là, ça devient du marketing au max et ce n'est devenu que faire pour le
cash.
Bref bonne série de HF, mais on à vu meilleurs.
Bonne bd,
histoire pas mal, dessins vraiment beau. Bravo les auteurs, belle réussites et
beau liens historiques.
Ça ne fais même pas 6mois que je lis cette série et que je l'achète, déjà je suis
envouté par les dessins de Pontet et Ledroit. Le scénario est quand à lui un peu
mort je l'avoue, mais reste avec un bon sens.
Certains son dure avec les auteurs, malgré parfois la mal compréhension des
bulles la bd reste interessante.
Le dessin, que dire. Ledroit à bien commencer et quand il est partit Pontet à sut
reprendre le dessin là ou son prédecesseur la laissé. Certains v'ont me dire un
peu plate, mais Ledroit ne faisait pas dû très bon boulot, certe j'ai lu un Requiem
et là il est vraiment au somet de son art.
Pontet lui, réussi à mener les rennes du dessin comme il le peut et le fait même
très bien selon moi.
Le scénario, là dessus c'est un peu moins fort, mais quand même j'apprécie bien.
L'histoire est cohérente.
Malgré le retour d'un personnage oublier de puis 7 tomes dans le 10, Iaun Reit,
je trouve que la grande bataille contre l'empire remets du piquant dans la sauce.
Bof, bravo messieurs.
Un polar à Marseille vraiment drôle;. Dessin original. Une de mes BDs préférées
Tres bonne BD a découvrire et rigolot a la fois dans un domaine mediaval fantasy au gout recent de livreur de pizza plutot marrant, une petit decouverte qui date de ces debut sur le site de pcinpactvirtuelle et acheter le 1er tom :)
bravo a l'artiste et une BD a ne pas esiter de lire, petit et grand ;)
Un ouvrage bien réalisé qui marque le début d'une grande saga de science-fiction. Il fait partie des incontournables du monde de la bande dessinée.
Voilà un livre surprenant où l"auteur est lui-même l'éditeur du bouquin. Madelin est en effet un curieux personnage qui vit des aventures dans un monde magique particulier. Des wagonnets circulent sur un réseau ferroviaire volant incorporé dans l'architecture de la cité. Des clowns, des magiciens cohabitent ensemble et le monde esquissé tient drôlement bien, finalement. Le style du dessin est lisible. Dommage qu'il ne soit pas en couleur...
L'ouvrage est ludique et permet de découvrir une ville et ses monuments.
A découvrir!
5ème opus de la collection "paroles de ...", "paroles de tox" est le premier édité par futuropolis (actuellement gage de qualité) et à mon avis le plus abouti. Les récits sont vraiment poussés et particulièrement crédibles/durs. En effet; à la lecture de ces histoires courtes, on sent ces descentes aux enfers sans retour possible - ou exceptionnellement. Ici pas de fleurs bleues, juste des récits sans concessions, tant du côté du massacre de la vie que du côté des plaisirs, courts et objet d'une quête répétitive et sans fin, obtenus.
L'ensemble est égal et de haute qualité, tant niveau narration - c'en est un plaisir - que niveau dessin.
Tout d'abord, très bel objet BD : superbe couverture, papier de grande qualité. Seule petite inquiétude : ces couvertures dont les tranches sont tranchées au sens propre du terme vont-elles bien vieillir...
Le dessin au crayon de bois fait penser à des esquisses et personnalise l'ensemble (il y a un côté proche du trait de N. Maslov). C'est un récit vécu, l'histoire est assez bien narrée : il s'agit de la fuite d'une femme et de sa petite fille juives du nazisme à la fin de la 2ème guerre mondiale et de la rencontre, non moins plaisante, avec l'avancée communiste... Cette première BD, dont l'auteur n'est autre que la petite fille est intéressante, particulièrement pour sa vision de l'époque, de la clandestinité, du rapport au divin et le recul face aux événements.
J'ai donc lu cet album le W.E. dernier. Premier constat, je vais avoir un regard biaisé dans le sens où si l'on excepte la "déroute" finale, ce fût pour moi comme une madeleine "proustienne", je m'explique, l'ambiance dans laquelle flotte le scénario ne m'est pas particulièrement inconnue.
Une mini-ville aux confins du sordide, peuplée de congénitaux aux indicibles, mais multiples, symptomes de malformation génétique. Une mini-ville hantée par le chômage, l'échec, la désertion, la fermeture des petits commerces... Cela au travers du regard de jeunes qui se sentent, se croient, hors norme, tellement installés dans leurs certitudes, leur supériorité supposée... au point de pousser le mal-être aux limites de tendances suicidaires.
Nous suivons donc les pérégrinations de ce groupe et tout y est : fascination pour le mystérieux (mystérieuse dans le cas présent) étranger (dans le sens, n'est pas née au village), attente réelle mais dissimulée de la saturday night fewer, la glauque (quel euphémisme) après-midi du dimanche et surtout, l'ennui quotidien qui rôde. Il faut tuer l'ennui. Pour ce faire, ce sympathique groupuscule de jeunes glande hors du contact avec la norme à la recherche de sensations. Et là, l'auteur connait ses classiques : arrêt de bus en béton tagué perdu dans la nature, bâtiments désaffectés ou dans un état apparenté (avec des "s" car ce n'est pas ce qui manque), sous un pont...
Le tout est agréablement narré avec rythme, si l'on excepte les quelques passages du poid lourd nocturne dont je n'ai pas bien saisi, je l'admets, l'utilité (quelques pages sur un gros bloc comme celui là, qu'est-ce). Autre petit bémol, comme pour le récent "la perdida" de J. Abel, je ne vois pas de nécessité de l'escalade finale, en trop pour moi, alors que l'ensemble se suffisait à lui-même par son incroyable approche d'une certaine réalité.
Mais ne restons pas sur ces bémols. C'est pour moi l'un des très grands albums de l'année. J'ai eu un intense plaisir à le lire, il m'a sorti de ma torpeur dominicale.
EXCELLENT
Couverture et titre sont accrocheur. Et heureusement l'intérieur n'est pas décevant. C'est joli, assez drôle et évite les écueils un peu mièvre (mais de justesse parfois) de ce genre d'hsitoire. L'intrigue est bien accrocheuse. Vivement que je lise la suite, donc.
L'histoire d'une petite ramoneuse et de son père, aussi raleur que gentil. Mais la petite a d'étrange evanouissement....
C'est très mignon ! Les yeux de la petite Adidas sont craquants (du style le regard du chat poté dans Shrek 2 ) . Beaucoup aimé, vivement que je lise la suite...
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L'animé était pas mal avec ses phrases peau de vaches, et ses situations rocambolesques auxquelles on croit ou pas.
Ca donnait un ton enjoué, et un esprit sympathique à la série animé que le manga n'a définitivement pas.
Après une lecture des 8 premiers tomes plus qu'ennuyeuse, dans le genre soporifique : " je vous présente FMA le manga !", le tome 9 ne pouvait que continuer sur sa lancée.
Et évidemment, la lecture du tome 9 est terriblement chiante, mis à part la remarque interessante du tueur en série "qui peut tuer son corps", le reste se trouve page 5.
Le graphisme... ah bon! Il y a un graphisme!!!
Bien plus fantomatique qu'autre chose, il ne laisse transpirer aucune émotion.
Le problème, ce n'est pas tant que les situations soient vues et revues mais bien la sensation d'avoir à faire à un bloc de béton de 1000 tonnes posé là.
Une série inodore et sans saveur.
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Les meilleurs Astérix reposent toujours sur une idée simple autour de laquelle Goscinny construit un scénario riche en rebondissements et gags. A l'inverse, les scénarios des derniers albums réalisés par le seul Uderzo paraissent bien laborieux. Obélix et compagnie représente le parfait exemple de ce que doit être un bon Astérix et une preuve du talent de René Goscinny.
Tout part d'une idée simple: César tente de désunir les Gaulois en les initiant au capitalisme. Il envoye sur place Caius Saugrenus, modèle de jeune arriviste frais diplomé de sa haute école. En quelques belles paroles, il embobine Obélix, le persuadant que le menhir est un produit d'avenir. Pour satisfaire la demande, Obélix est obliger d'engager de la main d'oeuvre supplementaire, mais également de recourir à la sous-traitance pour d'autres activités telles que la chasse. Devant la réussite fulgurante d'Obélix, des vocations nouvelles apparaissent dans le village et de nouveaux facteurs de menhirs font leur apparition... la libre entreprise est en marche.
Mais que faire de tous ces menhirs que Caius Saugrenus achète a prix d'or ? La Pax Romana est en marche, mais a quel prix? Pour financer l'operation, pourquoi ne pas faire du menhir un produit a la mode ? S'en suit un cours de marketing qui peut se résumer a "On peut vendre n'importe quoi, il suffit de savoir s'y prendre". Le succès est fulgurant, mais voila que les esclaves voient d'un mauvais oeil ces produits d'importation. Et voila que le menhir romain apparait!
Derriere l'enormite de l'histoire, les calembours, le comique de situation, les anachronismes... il y a une satire tres pertinente de notre sociéte de consommation. C'est ce qui fait la force d'Asterix. Les lectures sont multiples. Un enfant adorera les pitreries d'Obélix, les bagarres, puis il découvrira les calembours, les clin d'oeil et enfin la satire sociale. Trop souvent, on se contente de second degré en négligeant le premier degré qui est pourtant primordial pour que le second atteigne son but. Ou bien on se cantonne dans un genre de reference terriblement tributaire des modes. Autrement dit, dans 5 ans, ca ne voudra plus rien dire. Asterix continue de plaire parce que Goscinny n'aura jamais sacrifié son histoire pour un gag et son sens comique ne se limite pas a ce qui était en vogue a l'époque ou il écrivait. Il a su créer un univers qui ne demande qu'a intégrer de nouvelles idées. Alain Chabat l'a bien compris en faisant revivre Astérix au cinema. Son film aurait probablement fait beaucoup rire Goscinny.
C’est avec une certaine saveur, sans faire de mauvais jeux de mots que les auteurs s’en prennent cette fois-ci à la frénésie des cures thermales. Il faut dire que cette pratique est souvent une source reconnue de situations abracadabrantes. Et pour notre plus grande joie on voit ici un Abraracoucix au bord de la crise de nerfs. Et voir les pauvres curistes tenter vainement de voler un os d’Idefix est à se rouler part terre.
Avec cette histoire de bouclier Goscinny rafraîchit la mémoire de Cesar sur la résistance des gaulois. Et on découvre un nouveau personnage qui est assez important, il s’agit de la femme du chef Abraracoucix qui se nomme Bonemine.
Je ne connaissais pas du tout l'histoire avant d'entamer cette BD, et la surprise fut d'autant meilleure, car je n'ai pas décroché du début à la fin. En outre, l'intrigue est desservie par un dessin clair.
J'ai bien croché, le scénario donne envie de lire la suite, les dessins collent parfaitement à l'ambiance plutôt glauque. Curieux de voir la suite.
Une agréable surprise, puisque j'ai lu cette BD d'une traite. Le personnage est plutôt sympa, et la trame tient en haleine jusqu'au bout. Les dessins manquent de précision dans les détails, ils n'en demeurent pas moins très agréables et collent bien à l'histoire. Un bon début!
Un tome 2 aussi convaincant que le premier. Quelques nouveaux protagonistes viennent pimenter une histoire qui n'en avait pas besoin. Je m'en plaindrais pas. La pression monte en même temps que la violence sur la petite île et c'est tant mieux. Un petit regret quand même sur le traitement un peu classique du "gros méchants". Mais quand même, vivement que je lise la suite...
J'ai trouvé le scénar très accrocheur et ai eu tout de suite envie d'attaquer la suite de la série...c'est plutôt bon signe ! Les personnages sont plutôt attachants même si un peu caricaturaux dans leur comportements et expressions. Le dessin accompagne agréablement une série qui pour l'instant m'intéresse bien.
Il semble qu'on entre dans une nouvelle phase.
César, qui n'est plus cardinal, noue des liens avec le roi de France Louis XII qui le nomme duc de Valentinois et l'admet dans son armée. Il épouse également la fille du roi de Navarre : un mariage tout politique qui lui permet d'être également relativement libre vis à vis de son père le pape Alexandre. L'union entre la Papauté et la France implique beaucoup de changements pour les principautés et villes italiennes (en particulier Milan). Alphonse le comprend tout de suite et, d'accord avec Lucrèce et Sanccia, quitte Rome pour Naples. L'alliance de ce royaume avec les Borgia est compromis. A Florence, on retouve Chiaro travaillant comme vigneron. Il est emmené à Forli dirigée par Catarina Sforza par Niccolo chargé de négocier le paiement des mercenaires de Catarina qui assurent la sécurité de Florence. C'est l'occasion d'avoir un aperçu rapide mais précis des théories célèbres de Machiavel sur la question du mercenariat.
Un tome donc où on retrouve l'action, la politique, les menées de César. La romance est moins présente (un peu pour Sanccia et Alphonse), je ne m'en plains pas (j'en avais marre des réactions d'oie blanche de Lucrèce). Peu de fantastique aussi (déjà dans le tome 9).
Attention Bd intelligente ! On pourrait presque lire ça sur la couverture. Les peintures de Baudoin sont magnifiques mais ça sonne creux. C'est nombriliste et puant. On peut faire de la BD intelligente sans sombrer dans l'intellectualisme à deux balles. J'ai détesté !
Une vision glauque et acide de notre société. Mais j'ai trouvé ça vachement bien foutu. Quelques portraits de voisins sont très bien vu, au point qu'on ne regarde plus ses voisins du même oeil après coup .
C'est très poétique et joli comme tout. Tout en atmosphère et en abstraction mais c'est très court donc ça passe bien. Deux histoires/contes tristes et irracontables.
Ce deuxième tome est un peu en dessous. L'intrigue se complique et c'est dommage. La simplicité et l'aridité du premier tome faisait peut-être son charme. Quelques blagues à la limite du potache...Je sais pas pourquoi l'évolution me fait penser Au Lièvre de Mars (pourtant ça n'a pas grand chose à voir). Petite deception...mais pas mal quand même !
Ca se veut provoc ou choquant ? C'est loupé pour moi. L'histoire est inquiétante. C'est super bizarre. Le dessin est assez moche. Si vous adorez les histoires de pipis, cette bd est faites pour vous. Je suis perplexe !!!
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Pour tout vous dire, j’étais assez sceptique pour ne pas dire réticent quand à l’idée de rempiler pour la suite des aventures d’Hiroshi.
Le début du tome 2 est plutot interessant.
Le drame humain qu’est la guerre, conté par le père avec quelques années de moins, plante tout de suite le décors.
Mais toute cette crédibilité qu’il gagne sur les premières pages est entiché par de belles paroles creuses du style : « La guerre… c’est vraiment une belle saloperie ».
Et youpla boum…
Jiro Taniguchi est tellement doué qu’il est capable de gagner de la crédibilité pour la reperdre aussitôt.
( il me refait le meme coup que pour son premier tome !).
Par la suite une quete de la vérité s’intercale des séquences durant lesquelles le « niais » fait un break avec ses pensées.
Il est interessant de remarquer qu’il ne remet pas en question la formulation de sa pensée. En se tournant vers son père, c’est « sa propre analyse » qu’il ne remodele pas…( pas besoin d’entrer dans les introspections lourdingues, et plates des « shojos » !).
Mais enfin, c’est bien connu que les secrets des autres sont plus passionnants que les siens, c’est bien pour ça que l’on a inventé les journées portes ouvertes !
Je ne parlerais pas de la fin qui pour moi est un grand foutage de gueule, ou un grand éclat de rire.
Il faut le dire le personnage principal a toujours considéré son père comme coupable de la mort de sa mère. Il est donc facile de comprendre son remords. ( l’un ne va pas sans l’autre !)
Entrer dans le « c’est lui qui », c’est une manière de vivre, en faire un coupable c’est rendre l’événement pervers par l’interprétation morale.
PS : La mièvrerie consensuelle étant la betise la mieux partagée par tous, et en plus s’entendre dire que Jiro Taniguchi est un maitre prouve bien que la tartufferie a encore de beaux jours devant elle.
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Le dessin/aquarelles de Sorel est très beau. Certains visages sont saisissants. En revanche le scénario ne m'a pas vraiment convaincu. Cette histoire de mère castratrice et diabolique manque un peu de corps et m'a laissé sur ma faim. J'auari voulu que ce soit plus developpé. Dommage ! Oui, l'histoire semble presque un pretexte a faire de belles planches et puis c'est tout. Vous me direz c'est peut-être déjà pas mal.
J'adore les histoires de Zombies, ça tombe bien ! Alors en plus une histoire d'amour entre Zombies, c'est encore mieux Le dessin, très comics, n'est pas ce qui fait la force de la bd. En revanche l'histoire est pleine d'imagination (ça m'a fait penser à un livre de S. King, dont j'ai oublié le nom !) et donne envie de lire la suite. Vous me direz, vu comment ce tome 1 se finit, c'est normal ! Bref, une bonne surprise...
Très bonne surprise. Le dessin est très classique mais classieux et l'histoire est bien foutu. C'est toujours casse gueule les histoire de voyage dans le temps. Ca fait des bd incomprehensible parfois (je pense à un Thorgal notamment). Mais là, c'est vraiment très bien. Les femmes sont très belles dans cette bd !!! Allez, pitié qu'il y ait une suite de ce calibre un jour...
Superbe ! Pour le geographe de formation que je suis et qui plus est, passionné par la cartographie, c'est un régal. On m'avait beaucoup parlé de Schuiten et Peeeters et je ne suis pas déçu. Tout est super, vivement que je lise tous les autres Cités Obscures...
Bof, bof ! J'ai eu du mal à croire à cette histoire, finalement assez banal, de scizophrénie (une fille, deux mecs, une double vie) ! J'ai trouvé la BD bourré de lieux communs assez génants, sur les musicos entre autre. Le scénar flotte un peu et le dessin ne m'emballe pas plus que ça. Bref, décidemment, je suis un peu faché avec Jean-Claude Denis...désolé ! J'ai largement préféré "l'Amelie".
Très jolie chronique familiale et sociale. Le quotidien d'une famille en vacances. Des personnages aussi humains qu'attachant et l'occasion pour l'auteur d'aborder des thèmes de sociétés assez finement. Entre rires et larmes, la BD vise juste. Nan, vraiment, un récit plein de talent.
Un scénario haletant à souhait, un dessin qui accompagne très bien les ambiances "dégénérés" de ce coin perdu des amériques et une bd qui vous fout une bonne grosse claque. Ca décoiffe !!!
Désolé mais je n'ai pas accroché. Et surtout au scénario, comme quoi. J'ai toruvé tout cela confus, tarabiscoté et somme toute anecdotique. J'ai pas reussi à m'intérressé au destin de ce poilu de la guerre 14/18. Bon, je l'ai quand même lu et fini ce qui est bon signe...L'aquarelle a parfois beaucoup de force et accompagne bien certaines scènes très tendues et violentes de la BD. Très déçu tout de même...
C'est très sympa comme BD car les textes sont bien écrits: suspens, on aime bien les héros. On a envie d'aller jusqu'à bout. Le dessin et la couleur sont agréables.
C'est plutôt réussit pour le premier !
Bref, on passe un moment agréable et on attend le prochain numéro avec impatience!!! Bravo!
La série s'essoufle, même si les dessins sont toujours aussi bien. L'auteur a du mal à essayer de tenir le lecteur en haleine.L'histoire est banale, et n'apporte pas grand chose de nouveau. La fin du tome augure forcément une suite. Mais finalement, on perd un peu le fil du début de la série: Une nouvelle créature qui recherche son peuple, et qui pour survivre dans le convoi, va sur d'autres planètes en mission "diplomatiques".
Seul point positif, notre héroïne est mise en difficulté sur la fin, ce qui présage un prochain tome beaucoup mieux.
Une fin décevante, comme si la série devait s'arreter plus tôt parce qu'elle n'a pas marché. Du coup, l'histoire est bâclée, et finie en queue de poisson. Dommage.
Beaucoup d'humour, des dessins particuliers, mais attachant. bref une série à connaitre absolument.
Pas vraiment une BD, pas vraiment un carnet de croquis. Ce hors série décrie les personnages de la BD les voisins du 109.
C'est lassant, et n'apporte finalement pas grand chose.
Bof
Cet album s'inscrit dans la continuité de la série même s'il s'agit d'un nouveau cycle. Il compte un certain nombre d'évènements majeurs et quelques révélations. Les dessins sont toujours aussi excellents et les couleurs font une ambiance qui environne un scorpion assez fâché !
Attiré par la couverture, j'ai découvert une nouvelle série tout à fait sympathique. Enrico, jeune lycéen "normal" découvre que sa mère est une fée et qu'il en a hérité des pouvoirs conséquents d'enfant-fée...et des ennuis qui vont avec, puisque les méchants ne sont pas loin !
Très teinté manga, sans doute plutôt adressé aux ados avec son humour potache, cet album se laisse lire agréablement.
Nouveaux Vengeurs : Sûrement l'épisode le moins intéressant de la série. Par contre le coup joué par Jameson aux Vengeurs est plutôt pas mal trouvé et correspond bien au sal... au personnage qu'il est.
Bon sang ne saurait mentir : Voilà une bonne histoire qui pose des bases intéressantes pour les suite des aventures de Cap. Un trrès bon moment.
Affronter une ombre : D'habitude c'est le côté scientifique est cérébral qui est la composante dominate de la série des FF. Là par contre c'est plutôt le "tartedanslagueule" qui prend le pas avec Hulk (version 100% brute et 0% intelligence" contre la chose (euh pareil que hulk finalement). Bref c'est plutôt vide.
Peur : Voilà une histoire qui se termine bien et qui a été bien menée du début à la fin. Au début j'étais pas fan du dessin et je m'y suis habitué, finalement il est pas mal.
Voilà un volume qui se sera fait attendre mais ça valait le coup d'attendre. Les personnages sont toujours plus délirants même Kazuma Azuma qui malgrès son aire sérieux est quand même plutôt marant (surtout avec sa manière de réinvanter ce que les autres apprenent pour s'améliorer). Bref c'est drôle, c'est frais (normal pour du pain) et on en redemande.
Encore un excellent volume à mourir de rire (sacré Ryo il ne changera jamais). Ce volume est clairement tourné vers l'humour plutôt que vers l'action et le sérieux (Ryo sérieux de tout façon c'est très dur à trouver). Bref c'est toujours excellent.
On est pris dans l'histoire, donc c'est une bonne histoire, de l'espionnage bien foutu et même si effectivement le fonds historique est connu et déjà traité, on a pleins de questions pas résolus qui nous font attendre le 3 avec impatience.
Le dessin est agréable et les couleurs sympa.
Pourvu que le trois soit à la hauteur !
J'enchaîne sur la "femme piège", car la foire aux immortels m'a remis l'eau à la bouche. Dès la première planche, NIKOPOL renait et l'on sent que HORUS n'est pas loin. Et là, intervient le personnage si important de la femme aux cheveux bleux qui évolue comme dans un songe dont la réalité est stupéfiante à tel point que "HORUS et moi on était comme des cons". Si la pilule semble dure à avaler, une belle histoire d'amour débute cependant ! Les dialogues, les personnages et les décors sont hors du commun et cette BD est absolument géniale. Je me précipite derechef sur froid Equateur... A plus tard.
Voilà un HS plutôt bon où on apprend certaines informations intéressantes et où on a droit à deux bonnes petites histoires. La première est plus tournée vers l'humour qui est somme toute efficace. La seconde est plus porté sur l'action (avec de l'humour quand même). On a un spirou plus violent et au final une bonne intrigue.
Dessin très original, un univers qui ne l'est pas moins, des scènes crues, violentes mais toujours teintées d'humanité (voire d'humour ) qui nous renvoient aux dérives d'une société future ( peut être la nôtre ? ) .Une série d'anticipation très sympathique à découvrir...Vivement le prochain album, même si les tomes peuvent se lire indépendemment ....
Je relis fréquemment cette trilogie, les relations entre NIKOPOL et HORUS sont savoureuses. La vision de Paris dans quelques années, gourverné par un régime faciste pas si fantaisite que cela. Les conflits d'nitérêts entre humains et dieux égyptiens ajoutent une couleur surprenante, une approche décalée et "baroque" à cette oeuvre... d'art ! Du Grand BILAL, ma série préférée et de loin...
Dessin très intéressant, histoire très étrange, cet album d'auteurs argentins est très original. La culture peut-elle être unanime ? Le consensus est-il possible ou même souhaitable ? Quand on connait un peu l'histoire de l'Argentine qui sort juste de la faillite, on comprend mieux le pessimisme des auteurs.
L'originalité de cet album et la qualité du graphisme mérite sa présence dans votre bibliothèque mais lisez le un jour où votre esprit est disponible.
Je l'ai acheté hier et dévoré en suivant !!! Ruez vous dessus c'est vraiment excellent !!!Attendrissant, réaliste, troublant, dérangeant, violent; 200 pages au contenu tellement dense qu'il ne rentre dans aucune catégorie; il faut simplement le lire et se laisser porter .De toute façon il se lit d'une traite, sans que l'on puisse s'en décrocher : HYPNOTIQUE, on en revient secoué, sonné comme après un hupercut de Mike Tyson!!!!
Encore une réussite de futuropolis...
Pour qui aime la SF, première opus d'une série qui pose des bases intéressantes même si ce n'est pas d'une originalité totale.
Le scénario est solide, le dessin maitrisé, les couleurs ne sont pas attirantes mais une fois qu'on est rentré donne une atmosphère.
A suivre.
Cà m'a fait pensé à Monster Allergy au niveau du trait et des couleurs ( et c'est un compliment car j'adore le graphisme de Monster Allergy )
Au niveau scénario, çà reste orienté jeunesse mais c'est truffé de petites références ciné ou autres que seuls les parents comprendront, c'est sympa çà ajoute un niveau de lecture... ( On y retrouve Shining, MIB of course, la mouche , Calvin & Hobbes etc... )
A moins de 6€ c'est un très bon investissement pour faire découvrir une BD qui fera le lien entre la BD Franco-Belge "classique" et le manga...
Toujours pleins de bons sentiments mais moins bon que le précédent. Pas le meilleur Yakari.
Tragique ! C'est le destin des personnages de ce "voies off". Le sujet est grave puisque la mort est là, dans chacune de ces 10 histoires. Mais le ton est plutôt à la légèreté dans leur présentation, l'humour n'étant jamais très loin.
Mais le plus captivant, c'est que la chute est toujours à contre-courant. Aspirer d'une histoire à l'autre par l'intérêt de cette chute (que l'on a du mal à présentir), le dessin et les couleurs sont tout aussi captants. Une Bd qui donne envie de se remettre au polar.
Je dirais pas que la fin est totalement ratée, mais elle reste deçevante par rapport à la qualité initiale de la Serie.
Plus largement, le niveau m'a semblé baisser depuis le tome 4.
Cette serie n'en reste pas mois trés bonne, mais un sentiment de "gachis" peut etre ressenti
Dessin difficile d'abord, scénario complexe, voilà une série qui demande de l'attention. Il faut s'accrocher pour se rappeler qui est qui et ce qu'il fait dans l'histoire car on suit plusieurs trajectoires en parallèle sans savoir tout de suite ce qui les rapprochent. Mais si on fait l'effort de rentrer dans l'histoire, on se laisse prendre car l'intrigue est très bien foutu, les personnages ont des caractères fouillés et ne sont pas manichéens. Les méchants sont aussi gentils, les coupables ne le sont pas tant que ça et le héros s'est peut-être planté. En plus, ça ne condamne pas les politiques qui sont montrés avec leur bons et mauvais côtés de façon réaliste. Bref de la très bonne bd.
Je me suis sincerement posé la question a la lecture de ce livre de si l'auteur etait bien Goscinny .
Il ne faut pas considerer ce bouquin comme une oeuvre originale , mais plutot comme le brouillon ayant abouti aux bouquins du petit nicolas plus connus .
Le Petit Nicolas (mais en plus Grand)
http://nicopoi.over-blog.com
Fini le monster. Constat: toujours excellent, avec plus d'humour que dans Le MHHS 18. Le début démarre en trombe avec cette case sur une page entière avec Marvel sur un appareil comme il dit, philosophant comiquement sur celui qui par le passé était sur le même appareil. Shocking et d'anthologie je trouve . La suite est à la hauteur, Marv est toujours aussi fou. Sa cohabitation avec Rick atteint un sommet étonnant (je dis rien). Un petit regret, il y a des histoires qui se finissent trop abruptement, sans continuité réelle avec la suite, c'est dommage et je me demande bien ce qui a bien pu faire que David casse la continuité de cette saga. La fin est compliquée au possible, et je salive sur le futur volume 2. Coté dessin c'est en moyenne très bon, hormis la fin qui dénote par rapport au reste. Je ne sais pas quel dessinateur clot le volume.
Les dessins sont de plus en plus beaux même si les couleurs ne sont plus des couleurs vives et chaudes mais au contraire sombres et avec des jeux d'ombres magnifiques ! Et les dessins collent parfaitement au sénario : Le Scorpion a laissé sont humour de coté, il est de retour a Rome pour se venger et faire le ménage par n'importe quel moyen et on le voit déja rien que sur la couverture ! On en apprend sur des personnages secondaires dans les autres tomes comme le frère de Trebaldi par exemple et l'histoire avance suffisament, tout en nous tenant en haleine pour la suite ! Un très bon début de cylce a une série qui ne perd rien de son intéret !
Cet album est vraiment excellent! Nénamoins, il y a un, à mon sens, un bémol. Delcourt a fait une sélection, un best of???, de 3 des albums de Thomas Ott: Greettings from Hellville, Dead End et Tales of Error, c'est un bon aperçu du travail de T.O.T.T., mais l'aspect "best of" pour de la bande dessinnée me gêne un peu...
La série prend un virage à 90 degrés, toujours avec Peter David au scénario, et Kyle Hotz et ivan Reitz au crayon. Changement de style graphique, donc, plus sombre, plus réaliste, dans une autre veine que chris cross. Dessins somptueux. Et, nouveauté, le scénario abandonne son coté parodique pour basculer dans l'humour noir , très noir, avec des scènes assez sanglantes pour du marvel tout public, scènes qui restent quand même peu nombreuses mais très marquantes par leur visuel et plus encore par leur impact scénaristique. Captain Marvel est devenu fou, à cause de cette fameuse conscience cosmique? Oui, mais pas seulement. On parle ici de l'éternité, de la création, de Dieu évidemment, de la folie, et de la mort du Père. Bref, ça pourrait être lourdingue et ça ne l'est pas. Donc on ne rigole plus, on rit jaune, et on réfléchit sur tous les thèmes philosophiques et métaphysique de ce volume majestueux et ambitieux. La suite dans le Marvel Monster Edition.
Dans le style, captain marvel, j'hésite entre indispensable et chef d'oeuvre. Peter David nous montre le fils de captain marvel (dont le père est mort d'un cancer dans le mémorable la mort de captain marvel). Comme par le passé avec le père de marvel, Rick Jones est sur terre pendant que captain marvel est dans le microvers (un autre univers). Il choque ses néga bandes (des bracelets) pour laisser la place au super héros alien. Jusque là, rien d'extraordinaire par rapport au marvel de Starlin. Mais, et évidemment c'est la grosse particularité de ce captain marvel bis, David y introduit de l'humour, et quel humour! Cela apporte à cette série, et à toute la série Marvel Heroes Hors série, un cachet inimitable. Le début de ce volume 1 est représentatif de toute la suite. Le début avec la visite de ces deux flics qui viennent interroger rick jones dans son appart donne le ton avec Brio. Des répliques soit amusantes soit hilarantes, un coté quasi parodique mais sans y tomber véritablement. Et un scénario à la hauteur, avec des dessins de chriss cross à la hauteur de cette superbe épopée cosmique et comique!! Cette première mouture de Peter David prend fin au MHHS n°16. Au numéro 18, c'est une autre histoire............... (a suivre!)
Ce premier HS est plutôt bon. Les deux histoires présentes sont sympa même si elles ont clairement pris un coup de vieux. C'est intéressant à lire même si ce sont les premières histoires de Franqui et non Rob-Vel.
Très bon album bien rythmé avec une histoire intéressante, bien construite et pleine de bonnes idées. Il y a pas mal d'action et les personnages prennent plus d'ampleur que dans le précédent album. On sent que les auteurs s'habituent de plus en plus aux personnages que ce soit au niveau de leur personnalité qu'au niveau du graphisme. Je suis également ravis de voir que l'enchainement des évènements se fait de manière plus naturel et plus compréhensible. Vraiment une bonne surprise.
La Fable fut, est , et sera toujours un excellent moyen pour aborder la nature humaine. ( à ce sujet je conseille le « labyrinthe de Pan » de Guillermo del toro.)
J’avais laché un Guts en pleine rage et défiant la fatalité, c’est pourtant l’acceptation de son apanage que l’auteur nous conte durant ce « cycle des enfants perdus. »
Il faut remarquer que cette acceptation se fait par la seule prise de distance existante : « le rire ».
Un paradoxe brillant quand on connaît le nombre de destinée que l’on nous colle dans les albums qui devienne chiante à souhait.
L’ambiance, elle, a bien changé par rapport à la période précédente. On pourrait dire d ‘une manière bateau que c’est l’apocalypse, au vu des massacres, des épidémies, des mauvais présages, et des superstitions, mais ce Dieu, qui de nos jours est appelé : « dessein intelligent » prend la place de la théorie de Darwin, a tout planifié.
A partir de là, le merveilleux cotoie l’horreur.
C’est en suivant cette optique que l’auteur narre le récit de Jill et de Rosine.
Il débute, d’ailleurs, par le merveilleux : « le fait de voler, de voir de bien plus haut son village natal, de pouvoir jouer, et s’amuser sans se soucier des adultes. »
Sauf qu’ils en viennent à jouer à la guerre. Instantanément, l’ambiance change, ils s’entre tuent ( oui, les enfants sont cruels ! Rien de nouveau, c’est pourtant facilement oublié) et s’entre violent. ( oui, les enfants sont aussi sexués ! là, c’est pas une zone d’ombre c’est un abysse.)
( il faudrait tout de meme pas se leurrer, si l’enfant ne se tourne pas vers l’adulte, on pourra utiliser tous les éducateurs de la terre ça marchera que dalle.)
Et là vous me direz : « et alors ? »
Et bien, cela n’irait pas sans cette façon que nous avons de légitimer nos actes et nos pensées après coup par la parole. Le discours que tiens Rosine est du meme acabit que les apologies sur l’épanouissement personnel.
Que, de nos jours, pour sa propre plénitude il faut avoir un travail , quelques siècles tantot, on nous aurait affirmé que c’était d’etre dans la voie de Dieu.
Guts l’athée est, lui, dans une position ambiguë, grace notamment à la haine et à la colère,
Il franchit la frontière de l’humain plusieurs fois.
Mais mieux, il n’entre pas dans l’art martial total, pas plus que dans le fusionnel, il ne tient aucun discours moral, il n’éduque pas, ne tombe pas dans le comptage des morts ( meme si la question du combien fait son apparition !), et continue à semer la mort à tout va.
Mais mieux encore il ne nous fait pas le coup de la crise identitaire, ou de la quete de la vérité. ( il s’en cogne et moi aussi !)
En ce sens, c’est un adulte. ( rien à voir avec notre forme de maturité paresseuse, mollassonne, et notre rationalisme bienveillant !)
Et Puck dans tout ça, et bien il sert à contrebalancer la sécheresse de Guts jusqu’à ce que le petit elfe pique une colère…et on se dit qu’il n’est, finalement, pas si éloigné de Guts que ça.
Le travail graphique est quand à lui toujours aussi réussi dont certaines doubles pages tome 14, ou la dernière image du tome 15, mais surtout le tome 16 augure une forme d’amplitude exceptionnelle.( J’y reviendrais si cela se confirme !)
Meme si sur ces 3 tomes tout y est, le début a du mal à se mettre en place. Le tome 16, quand à lui, clos brillamment le cycle des enfants perdus, mais on se rend compte que l’œuvre aborde une aube nouvelle, qu’elle est gratinée, qu’elle pétille dans tous les sens.
A quand l’amplitude ! ! ! !
Mais là, ou l’auteur est brillant c’est lorsqu’il nous délivre son message.
Jill se tourne vers le « seul adulte », en l’occurrence Guts, et lui plutot que de lui donner une réponse toute faite lui montre son combat…
Elle en tirera une leçon : « celui de mener sa propre bataille dont elle n’est meme pas sure de changer quoi que ce soit ! »
Un réel pied de nez à toute ces réflexions pseudo-métaphysique sur le sens de la vie qui pullulent dans nos ouvrages.
L’auteur continue ( lentement !) sans effet de mode, sans concessions, donc intemporel, par là meme l’album en est incontournable.
Et moi qui ait toujours considéré l’héroic fantasy comme un genre neu-neu, et franchement pas aidé.
Comme quoi il y a que les cons qui change pas d’avis !!
La première fois que j'ai lu la BD j'ai pas tout compris puis en relisant plusieurs fois c'est devenu plus clair mais j'ai été déçu du 2ème tome qui est moins réaliste que le premier et dans le 1er il précise que Léna boitera toute sa vie alors que dans le 2ème cette info n'est pas divulguer mais je reste sur ma très bonne opinion de cette série.
J'ai trouvé cette Bande-Dessinée bien compliquée pour quelqu'un qui n'a pas lu les premiers tomes mais je me suis plongée dans l'univers de Thorgal aussi délicieusement qu'un chat ronronnant devant un feu.
voila, je l'ai lu ou plutôt dévoré...5 tomes de plus de 300 pages chacun, soit plus de 1500 pages au total. Il ne m'a fallu que quelques soirées pour cela.
Du tome 1 au tome 5, le rythme est relativement lent, mais régulièrement ponctué de moment d'action et chargés en suspens.
Le graphisme en noir et blanc est superbe, le scénario original, l'intrigue est parfaite. pour moi, c'est la BD de l'année 2006 ! Vous pouvez l'acheter les yeux fermés...ou mieux, offrez le pour noël !!!
voila, je l'ai lu ou plutôt dévoré...5 tomes de plus de 300 pages chacun, soit plus de 1500 pages au total. Il ne m'a fallu que quelques soirées pour cela.
Du tome 1 au tome 5, le rythme est relativement lent, mais régulièrement ponctué de moment d'action et chargés en suspens.
Le graphisme en noir et blanc est superbe, le scénario original, l'intrigue est parfaite. pour moi, c'est la BD de l'année 2006 ! Vous pouvez l'acheter les yeux fermés...ou mieux, offrez le pour noël !!!
les amateurs de lewis trondheim risquent fort d'être très déçus par cet ouvrage. C'est plat, insipide, une suite de mini-histoires qui rappel étrangement le blog de frantico mais sans l'humour et surtout sans le talent de ce dernier. On a vraiment l'impression que l'auteur a tenté de surfer sur la vague "frantico" mais sans y arriver le moindre instant.
Bref, très décevant. l'auteur est vraiment en perte d'inspiration et je reste courtois...
quoi personne n'a encore donné son avis sur ces deux tomes de pure déconnade?
donc deux beaux albums de petites chroniques deja prepubliées dans le psychopat
bouzard se met en scene dans des histoires bien délirantes
c'est a savourer sans restriction avec une bonne biere et motorhead en fond sonore (fort le volume fort!!)
ce qui est bien avec edgarmint c'est qu'il n'ya rien a rajouter!!
si quand meme
une bd indispensable!!
elle est reussie de la couv ,magnifique, a la derniere page.
voila de la bd comme je l'aime!!
l'objet d'abord pour 15 euros la bd et un dossier tres complet sur les evenements racontés et la génèse de cet album
l'histoire est bien resumée par le pitch au dessus
le traitement par le duo d'auteurs est tres reussi
certaines planches vehiculent l'emotion meme sans bulles
il n'est nul besoin d'etre brestois ou militant pour savourer cette petite tranche d'histoire
une bd émouvante
un des tops de cette année 2006
yvantilleul et okilebo ont bien resumé la qualité de cet album
qui est indispensable!!
il fait l'objet d'une reedition en deux tomes mais l'on peut trouver voire commander je crois le one shot
un road movie qu n'a pas pris une ride en 15 ans
un scenar en béton un dessin acéré
indispensable!!
comment ça je l'ai déja dit?
Les dessins et surtout la mise en couleurs directes (plutôt sombres et très contrastées) sont très efficaces dans cette histoire tout en expression. Les planches de la confession sont admirablement bien réalisées et permettent de ressentir absolument toutes les émotions du Curé face à la confession du docteur. La BD se termine sur une terrible révélation qui laisse beaucoup de suspens et d’ouverture pour le second tome. Le travail de Christian De Metter est par conséquent totalement réussi. Une Bd absolument indispensable pour les amateurs de De Metter car on atteint incontestablement un sommet dans ce style très personnel.
N'ayons point peu des mots, nous tenons là un chef d'oeuvre dans le domaine
de la BD japanisante.
En partant d'une histoire simple et même pas originale, le scénariste/dessinateur arrive à nous emmener avec lui dans un univers cruel, dur, sensible et poétique à l'aide de personnages ultra tarvaillés et ultra profonds et surtout avec l'aide d'une graphique hors norme et hors du commun.
Donc pour ceux qui connaissent et qui ont appréciés les cycles tels que:
"le sabre et l'épée", "Okko", "Samouraï" ou "Tokyo Ghost" je ne saurai que trop vous recommander celui ci qui saura vous surprendre et vous enchanter.
« La Perdida » de Jessica Abel est une BD auto-biographique si j’ai bien compris. C’est l’histoire d’une Américaine, Carla, qui veut vivre au Mexique, plus précisément à Mexico (Capitale de la pollution). Elle n’a jamais connu son père, qui est Mexicain. Sa première motivation a partir dans ce pays est : la quête de ses origines. Comme beaucoup de gens, je ne suis jamais allé au Mexique (ça fais loin…). Et comme beaucoup, on se fait des images un peu hâtives de ce pays.. Je trouve cette BD très immersive. On rentre facilement dans l’histoire et comme elle, on évolue tout au long de l’histoire. Et c’est cette dernière chose qu’est géniale. Au début, comme elle, on bute sur la langue qu’est l’espagnol, on a du mal à lire on met plus de temps (obligé de lire la traduction à la fin de chaque cases) etc… Plus on avance dans l’histoire et plus on lit vite et facilement la BD, comme elle on apprend de mieux en mieux l’espagnol. C’est pour cela qu’on se sent à sa place, on ressent les choses qu’elle a ressenti lors de ce périple. Tout au long de l’histoire, on la voit désorienté, on ne sait pas comment ça va se terminer, et de plus elle se crée un monde qui ne reflète pas vraiment ce que les « locaux » vivent. On ressent l’exclusion perpétuelle de cette femme de part et d’autre de la frontière. C’est pour cela que je traduirai « La Perdida » par l’exclusion en français. Je trouve cette BD extrêmement touchante et précise, de par les faits historiques et réalistes, mais surtout de l’évolution de cette femme de par les nombreuses remises en question tout au long de cette palpitante histoire.
Le dessin est assez simple mais très communicatif. On ressent l’humiliation, la trahison, et surtout, l’exclusion, le désespoir d’une personne perdue …
j'ai trouvé ça sympa
au dela des expressions canadiennes , l'histoire de cette rencontre avec une voisine est touchante
si vous aimez christopher ou peyrault
vous aimerez cette histoire de jimmy beaulieu
scénario des plus confus, ce n'est pas un moment de détente, et si relecture c'est pas mieux...c'est grave docteur.
Le décor, magnifiquement illustré, est planté et l’histoire a de quoi attirer le lecteur. On peut sans aucun doute dire que l’idée est intéressante et la trame bien montée. Il faut cependant déplorer le fait que cet album soit annoncé comme étant le premier d’un cycle de cinq volumes et que, par conséquent, ce premier album soit plus une mise en ambiance qu’une réelle histoire fluide. En conclusion, comme malheureusement souvent en bande-dessinée moderne, il faudra attendre le deuxième opus pour se faire un réel avis sur la série qui, et je le répète, a un grand potentiel.
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La chronique de BD gest disant (presque !) tout, quoi dire sur le chien le plus désopilant du (petit) monde de la BD?
L'occasion d'une réédition supplémentaire faisant le laron, je me suis jeté dessus après une pèriode d'hibernation.
De Gotlib je suis archi-fan, alors forcément je vais lui donner une bonne note.
Quoi dire si ce n'est que les gags s'enchaine et se déchaine à cent à l'heure, alors que le personnage principal est un sommet d'inertie.
Meme si graphiquement c'est pas top, l'inventivité et la fraicheur de l'album en font une oeuvre intemporelle.
Du pur Gotlib qui marqua la BD d'une manière indélébile.
J'ai du lire cette histoire au moins une dizaine de fois et à chaque fois j'ai l'impression de la redécouvrir. Très peu de dialogues, des dessins dépouillés et des couleurs d'hiver accompagnent l'itinéraire de cet indien ayant revêtu l'uniforme de la police montée. Sauvage et cruel ? peut-être, mais aucune certitude en fait même dans la fin de l'histoire. Et c'est très bien Hugh !
Ceux qui ont appréciés Shenzen seraient bien inspirés de se procurer ce petit bijou qu'est PyongYang. Guy Delisle, envoyé cette fois en Corée du Nord, raconte avec l'humour qu'on lui connait, la découverte de l'une des dernières dictatures au monde.
C'est en même temps instructif et truculent.
A lire absolument !
Sachant que cette série est adpatée d'un roman à l'eau de rose, je ne suis guère étonnée de son évolution ni des soubressauts de l'intrigue cousus de fil blanc. Nous en sommes au 3ème acte sur 5 d'un mélodrame, évidemment les choses notre pauvre héroïne entre dans une série de déboires, à commencer par la déclaration d'une maladie (on s'y attendait). Côté sentimental, sa volonté de ne faire de mal à personne et de se débrouiller seule aboutit au contraire ; que ce soit avec Dongcheng ou le blondinet, la jolie Xiaohui n'est pas douée...
Seul petit moment où l'intrigue avance (mais d'un minuscule petit pas) : l'affaire du papillon (celui qu'elle porte à la cheville et qui est brodé sur le mouchoir de Dongcheng). Mais on attend toujours la grande révélation à ce sujet.
Côté graphisme, les couleurs sont toujours très jolies. La petite baisse de qualité du dessin, soulignée pour le tome 2, est toujours là.
Pas mal mais ça aurait pu s'arrêter, comment peut-il arriver à quelqu'un autant de catastrophe et rester aussi serein ?!
9a se lit un peu trop vite.
!!! IMPRESSIONANT !!!
Un Tardi reste un Tardi !!! Phrase qui ne veut pas dire grand chose et pourtant... Ce dessin N/B, ce trait unique, ce décor parisien et surtout, ces "gueules" pas croyables.
Mais aussi, comment transformer un fait divers relativement banal en une formidable BD. Avec Siniac, Tardi atteind là une narration hors norme. Ils nous promènent avec humour, clins d'oeil et poésie dans leur monde composé d'une galerie de personnages hauts en couleurs.
C'est un fait de constater que c'est l'un des tous meilleurs polars de Tardi (qui suis-je pour juger, mais j'ai trouvé là la quintessence de ce qui fait son oeuvre : tout est dans les détails savamments orchestrés pour donner un ensemble d'un tel niveau.
!!! IMPRESSIONANT !!!
Quelle qualité graphique !!! la technique de la peinture employée par Rosinski est parfaitement maîtrisée, fonctionne à merveille et s'accorde avec pertinence au scénario.
2 tomes et 2 réussites pour une grande histoire : celle d'une vengenance mêlant art, Paris, pirates et machiavélisme...
Encore un bon volume où les relations entre Tatsuya et Minami se précisent de plus en plus (sans que celà soit vraiment explicite tout est en sous entendu). Bien de l'histoire soit extrêmement classique, Adachi arrive à rendre le tout passionnantavec un soupçon d'humour, de légèreté et des personnages charismatique malgré un très assez simple et pourtant très expressif.
Bon je sais que ça a des relents de lobbying pour cette série, mais ...
Ambiance "romans noirs américains", comme pour "welcome to hope" par Marie et Vanders, je retrouve une atmosphére propre aux romans de Jim Thompson à la narration efficace.
On sent cette chaleur qui étouffe à chaque page, à cet effet, la colorisation est exceptionnelle.
La misère humaine est omniprésente et suinte dans chaque regard, dans chaque parole des protagonistes, dont pas un ne rattrape l'autre.
Ces 2 tomes sont une réussite.
Aucun des enquêtes n'a de rapport avec les hommes en noir et donc ça limite grandement l'intérêt de ce volume. A part ça les intrigue sont plaisantes à lire bien que classique. Je veux la fin, je veux la fin, je veux la fin.... si possible avant de mourrir de vieillesse.
Exceptionnel. Voilà le premier mot qui me vient à l'esprit quand je repense à cet album. L'histoire est très bien maîtisée, le suspense est parfaitement entretenue jusqu'à la fin, les idées ne manquent pas et les rapports entre Spirou et Sophie (Seccotine pour ceux qui ont du mal) sont pas mal (en fait ça faisait un momebnt que j'y pensais). Le rythme est parfaitement entretenue et avec le scénario béton je n'ai pas décroché d'un bout à l'autre de l'album. Voilà un album excellent qui est même bien meilleur que pas mal de Franquin.
Si pour avoir des Spirou de cette qualité il faut trahir l'esprit mis en place par Franquin et tout et tout alors je dis à tous les repreneurs présents et à venir : trahissez mais alors allez y gaiement hein c'est pas moi qui vous arrêterez si vos albums sont de cette qualité. En pus malgré un travail remarquable (il faut le reconnaitre) Franquin n'est qu'un reprenneur comme un autre et son style, l'esprit qu'il a mis dans la série n'est pas à imposer à un repreneur puisque celui du créateur originel de la série n'a pas été plus respecté (ne faisons pas de favoritisme tout le monde sur le même pied d'égalité je vous prie). Bref j'adhère à 100% au Spirou et Fantasio made by Tome et Janry.
Le plan d'Akémi contre Sachiko fonctionne. Tommy est bouleversé lorsqu'il découvre sa petite amie tenue par Kenji. L'amitié entre ces eux-là est rompue par des apparences trompeuses. Les choses empirent lorsque Sachiko et Kenji sont renvoyés. Kiyoko décide alors de prendre les choses en main et d'ouvrir les yeux de Tommy.
Une évolution attendue de la relation entre Tommy, Sachiko et Kenji en raison des événements de la fin du vol. 2. L'affrontement entre Kiyoko et Akémi est intéressant, d'autant que Tommy qui ne cesse de regarder la permière, ne voit pas que la seconde essaie de le conquérir par tous les moyens.
L'histoire continue donc sur un bon rythme. Les premières appréhensions vis à vis de ce shojo à la française s'estompent.
L'avantage quand on lit une série déjà commencée, c'est que l'on peut dévorer plusieurs tomes de façon rapprochée. Ici mon coup de coeur reste acquis même si le scénario me semble un peu cousu de fil blanc. Les dessins sont toujours très agréables à regarder et les textes assez subtils. Néammoins les auteurs devront rebondir dans le prochain tome et nous sortir d'une torpeur qui risque de s'installer afin que la série ne devienne une sorte de fantôme en quelque sorte.
Lorsque la Junte envoie un détachement pour écraser la Résistance, Icolo et Blanco sont pris dans la tourmente au moment où ils allaient combattre les enfants réfugiés du "monde d'en bas". Ne supportant pas ces tueries et cette violence, Icolo clame qu'elle est la princesse ; les militaires l'embarquent donc. Mais dans leur camp, l'heure est grave : l'expérience de la "baleine" a lieu et les scientifiques perdent le contrôle de l'objet qu'ils ont mis au point.
L'histoire bien que touffue et parfois difficile à suivre reste intéressante. On se rend compte que le monde dans lequel vivent Icolo et son peuple est au bord de la disparition. Par ailleurs, des failles apparaissent dans les relations entre le Palais et la Junte.