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En fait, le plus facile serait de juste mettre la note maximale, sans mettre de commentaires, tellement il est difficile de trouver les mots justes pour décrire les sentiments que libère ce petit chef œuvre. Mais ce n’est pas le but de ce site, et si Olivier Ka a réussi à trouver les mots justes pour exprimer ses sentiments dans ce récit 100% autobiographique, la moindre des choses, c’est d’essayer de le faire également.
Le récit débute à l’âge de 7 ans : l’ambiance est baba-cool, le ton est joyeux, Pierre est notre ami et Olivier baigne dans ce qu’il interprète comme le meilleur des mondes. On va dès lors suivre les pensées de cet enfant et vivre avec lui ce traumatisme qui vient cueillir son innocence dans un monde qui va lentement se noircir dans le regard d’Olivier. Cette trahison de la part d’un ami sera d’abord enfuie, pour ensuite être exorcisée au-delà de ce qui devait être la fin d’un récit honnête et plein de pudeur, mais qui s’avèrera finalement être l’arme d’un crime salvateur : Pierre est mort !
Le sujet est sensible, le traumatisme est celui d’un enfant de douze ans qui est victime d’abus sexuel lors d’une colonie de vacances, le récit est une forme de psychothérapie, et si le crime est fictif, le lecteur est complice consentant de ce meurtre.
La narration à la première personne est prenante. La pureté d’un enfant a été marquée au fer rouge par un acte de pédophilie, et même si le rouge n’était pas vif, la marque est bien présente dans l’esprit de l’adulte qu’il est devenu. La narration sort des tripes de l’auteur et règles les comptes avec un passé difficile à effacer, avec une éducation partagée entre des valeurs libertines et religieuses et avec un curé à l’esprit ouvert qui incarnait parfaitement ces valeurs inculquées.
Le graphisme est celui d’un ami intime et talentueux du narrateur et cela se ressent. Une complicité et une harmonie entre le dessin et le scénario des plus abouties. De nombreuses trouvailles graphiques qui contribuent à exprimer les sentiments enfuis d’Olivier de façon adéquate et sensible. Un petit chef d’œuvre où les deux auteurs ne font plus qu’un, le temps d’un album magistral.
On sait maintenant pourquoi et comment Pierre devait mourir, peut-être même que Pierre mourra plus d’une fois ou que plusieurs Pierres mourront. Quoi qu’il en soit, je n’ai qu’un seul conseil : achetez l’arme du crime et tuez Pierre !
Voilà un one-shot qui figure dans mon top-10 de l’année !
Pourtant, à la base, la sexologie des vieux n’est pas le sujet qui m’interpelle le plus. Mais comme il s’agissait de Pascal Rabaté et que j’avais adoré son adaptation du roman de l’homonyme du célèbre Tolstoï ("Ibicus"), c’est d’un pas décidé que je me suis dirigé vers cet album en rentrant chez mon libraire.
Par contre, au premier feuilletage j’ai carrément du demander confirmation à mon libraire qu’il s’agissait bien du même auteur, car le style est totalement différent. Alors que le dessin d’Ibicus est allongé, malsain, sombre et grisâtre, celui-ci est léger et la colorisation douce.
Cette capacité à adapter son style au ton du récit est incroyable. Un dessin sensible parvenant à illustrer des scènes amoureuses entre vieux avec pudeur et justesse, tout en plongeant le lecteur dans un cadre campagnard plein de quiétude.
Car Rabaté ne va pas seulement se contenter d’aborder le sujet original, délicat et tabou qu’est la sexualité du troisième âge, il va également nous livrer une chronique villageoise pleine d’humour.
D’abord Rabaté va nous emmener dans le monde du troisième âge que l’on connaît, celui de la solitude et de l’enchaînement de petites tâches quotidiennes qui rythment la vie paisible et monotone des sexagénaires. Puis Rabaté va lentement nous ouvrir le jardin secret des vieux en abordant leurs désirs sexuels de façon intelligente et sensible et en alternant sérieux et humour.
Plus que l’histoire touchante et le sujet original, c’est également l’authenticité du cadre et des personnages qui font la réussite de cet album.
Il y a surtout Emile, qui à la mort de son ami Edmond va prendre conscience que sa vie n’est pas totalement derrière lui. On s’identifie totalement à Emile, Emile c’est nos parents, Emile c’est nous dans plusieurs années et Emile c’est surtout un type vachement attachant qui finit par nous enlever un peu de cette peur de vieillir, car si vieillir c’est devenir comme Emile, alors il y a de quoi être optimiste car la vie nous réservera encore assez de surprises juste avant de quitter cette planète.
Mais il y a aussi cette ambiance de terroir légère et drôle, ce cadre campagnard avec ses personnages de comptoir qui respirent l’authenticité, l’harmonie et les rituels d’une petite communauté villageoise.
Et finalement il y a Rabaté qui mélange le cadre, les personnages et son sujet pour nous produire un petit chef-d’œuvre. Il construit un pont entre cette période où le viagra était encore tabou et l’éventualité d’un monde où l’on trouvera normal de voir un septuagénaire feuilleter un magazine de cul un pétard à la main. Il nous livre un message d’espoir sur une vieillesse que l’on craignait sans avenir à la porte de la mort.
Il nous livre une belle leçon de vie de 94 pages et un autre regard sur les vieux, un regard plein d’optimisme, de justesse, d’humour et de tendresse.
Vive le troisième âge !
Encore un pari réussi de la part de cette maison d’édition qui avec des albums du calibre de "Abdallahi", "Les petits ruisseaux", "La mémoire dans les poches", "La marie en plastique", "Un homme est mort", et une excellente collection 32 mériterait amplement d’être désignée comme «Meilleur éditeur de l’année 2006».
Dans ce roman graphique intimiste Ludovic Debeurme nous invite dans le quotidien de deux adolescents en pleine dérive psychologique. Lucille, étouffée par une mère trop protectrice, et Arthur, repoussé par un père alcoolique et violent, vont respectivement chercher ‘refuge’ dans l’anorexie et le satanisme. Grâce à leur rencontre, renaîtra cette flamme qui avait fui leurs vies depuis déjà trop longtemps. Au lieu de prendre la direction de la mort, leur fuite prendra maintenant celle de la vie et leur refuge sera celui de l’amour.
Ludovic Debeurme parvient à aborder avec justesse des sujets difficiles tels que l’anorexie, le suicide et les relations parentales en évitant de tomber dans le piège du pathos. En refusant de prendre position et en installant le lecteur dans un rôle d’observateur, il laisse se dernier s’attacher aux personnages et se faire sa propre opinion.
En s’autorisant plus de 500 pages, Ludovic Debeurme se donne la place et le temps nécessaire pour poser ses personnages et leur histoire en douceur. Une liberté d’expression que l’on retrouve également dans l’absence de cases et qui permet aux personnages de circuler et de s’exprimer sur l’entièreté des pages. Un dessin minimaliste et une économie de moyens qui permet d’aller à l’essentiel, tout en offrant une grande lisibilité et une lecture plus rapide que prévue.
Un album poignant qui respire le «one-shot», mais dont on devra pourtant impatiemment attendre la suite.
Après "Incognito" et "Corps à corps", Grégory Mardon nous livre ici une chronique d’enfance au parfum autobiographique. Trois récits indépendants dans trois collections différentes de Dupuis (Aire Libre, Expresso et Double Expresso), qui tournent tous autour de son personnage fétiche Jean-Pierre Martin.
Jean-Pierre a huit ans et va nous raconter ses aventures avec son copain Cyril, mais il va également partager avec nous son regard innocent sur les événements que lui sert la vie. Traduisant d’abord ses angoisses et ses problèmes dans ce monde imaginaire nourri de rêves qui protège les enfants du monde des adultes, il finira par se faire rattraper par la réalité et par comprendre cette leçon bien amère.
Au niveau graphisme, Grégory Mardon nous sert un dessin qui contribue fortement à exprimer les sentiments du petit Jean-Pierre. De sa balade solitaire dans la forêt au statut de super-héros qu’il attribue à son père, grâce au graphisme, Grégory Mardon parvient à traduire de manière efficace et originale la réalité d’après la vision innocente de Jean-Pierre.
Un récit intimiste, intelligent et sensible, auquel je reproche juste un scénario un peu trop simpliste et un léger manque de rythme.
Un an après et dans la lignée de "Safari Monseigneur", Florent Ruppert & Jérôme Mulot récidivent au sein de la collection Ciboulette aux éditions de l'Association, avec ce nouveau récit d'histoires courtes sans aucune retenue et au graphisme audacieux.
Les histoires dans "Panier de singe" tournent autour de deux portraitistes/reporters aux occupations bizarres, allant d’un reportage sur des ébats zoophiles à une partouze pour gens mutilés, en passant par l’agression de prostitués. L’humour est très noir et souvent à la limite du douteux, mais parvient d’une manière ou d’une autre à ne jamais tomber dans l’excès.
La construction narrative est excellente, les scènes proposées malsaines ou absurdes, mais grâce à des dialogues indifférents à la monstruosité des scènes et à un graphisme sobre qui contraste avec la violence du sujet, les auteurs parviennent à créer un décalage délibéré et terriblement efficace entre le contenu et le contenant.
Les nombreuses inventions graphiques donnent à cet album un caractère OuBaPien (l'OuBaPo, acronyme d'Ouvroir de Bande-dessinée Potentielle, a été fondé en novembre 1992 au sein de l'Ou-X-Po et à travers la maison d'édition L'Association). Au milieu d’un découpage original et de planches incorporant par exemple le langage des signes dans les bulles on retrouve effectivement diverses stéréoscopies et autres phénakistiscopes dont on peut également retrouver les versions dynamiques sur http://www.succursale.org.
Bref, une bande dessinée qui est tout de même assez difficile d’accès à la base mais qui livre finalement une banalisation assez burlesque du macabre et qui, grâce à la narration décalée et au détachement créé par un graphisme audacieux, parvient à rester aux frontières du mauvais goût. Un ouvrage dont la richesse impose une deuxième lecture.
Deux ans après "De mal en pis", Alex Robinson nous livre à nouveau de la BD indépendante américaine de haute qualité avec ce récit récompensé d’un Eisner Awards en 2006 dans la catégorie meilleur roman graphique de l’année.
Le récit est construit autour de six personnages dont la psychologie est développée séparément à la manière de Short Cuts et dont les destins se rejoignent lentement sous forme d’un compte à rebours de 50 chapitres.
Alex Robinson construit à merveille ses six personnages et parvient à les rendre crédibles et sympathiques, malgré des traits de caractère pas toujours louables. De chapitre en chapitre on va ainsi suivre le quotidien de Ray, rock star en pleine crise créative vivant dans l’excès; Nick, menteur invétéré et faussaire d'images de collection; Phoebe, jeune fille à la recherche d'un père qu'elle n'a jamais connu; Steve, fan névrosé de Ray; Caprice, serveuse au cœur brisé; et de Lily, stagiaire dans une maison de disques, qui va devenir la muse de Ray.
Leurs histoires se développent en parallèle pour finalement se rejoindre dans le drame et la violence après trois cent pages. Un acte final tragique qui donnera une nouvelle direction aux destins des différents protagonistes auxquels on s’attache au fil des pages et dont on a du mal à se séparer malgré la fin du récit.
Debut de série avec un tome 1 assez bon je dois dire avec un monde tres bien développé.
Helas la série s'essoufle vite, on sent que le scenario a pris d'autres options que ce qui était préparé au départ, ce qui fait qu on se sent un peu esclave d'une histoire qui passe d'un cadre à un autre. Je ne suis pas allé au delà du tome 5 car je ne retrouvais plus de crédibilité au scénario.
6/10 car les 3 premiers tomes sont vraiment tres bons.
Ray Beam, célèbre rock star, est en panne d’inspiration. Son dernier album date de 4 ans. Nick, vendeur dans une boutique pour collectionneurs, redoute d’être licencié. Il multiplie les faux et vole son patron. Phoebe a appris l’existence de son père il y a 6 mois. D’un tempérament plutôt timide, elle s’est mis en tête de le retrouver et de le rencontrer. Steve, passionné de musique, est névrosé. Sa vie bascule lorsqu’il reçoit une photo de son idole couverte de graffitis et parafée de ce qui lui semble être une fausse signature. Caprice, serveuse dans le restaurant de Richard et Franck, a peut-être rencontré l’homme de sa vie. Ce n’est pas si facile à assumer et à admettre quand on manque terriblement de confiance en soi. Lily, habituée du travail intérimaire, décroche par hasard un job au salaire mirobolant.
Tous sont en proie au doute et au mal être. Leurs destins vont converger.
Bâti sur le mode du compte à rebours, cet album extrêmement humain montre combien le dialogue peut être constructif et son absence dévastatrice. Il pointe la difficulté à dire les choses, à les extérioriser et à les dépasser. L’épilogue est positif et optimiste : la traversée des moments de crise participe de la construction de soi, surmonter ces crises permet de gagner en force de caractère et d’accéder à une forme de plénitude.
La narration est fluide est subtile, le construction brillante. Le trait est juste, précis, très expressif et sait ralentir ou accélérer le rythme quand il le faut, là où il le faut.
Il n’est certainement pas facile, pour un auteur complet, d’écrire l’ouvrage qui suivra celui qui a été primé à Angoulême comme meilleur premier album. Le cap est brillamment passé.
Jessica Blandy n'est à mon sens pas une BD formidable. L'histoire est moyenne, lente, et le dessin est beaucoup trop figé. En plus, il y a des différences de qualité entre les épisodes, ce qui est typique de la majorité des BD Françaises.
4/10 quand meme car je reconnais la cohérence du monde de JB et de ses personnages.
Reves d'enfants (Dômu) est un manga en noir et blanc dans lequel la mise en scene est fanstatiquement maîtrisée. Le scenario est tres abouti (augurant premices d'Akira) avec des personnages tres creusés.
l'histoire est fluide, sombre, et se lit d'une traite des qu on entre dans ce monde d'Otomo.
Pour moi un manga veritablement proche du chef d'oeuvre que n importe quel fan de manga, voire de BD en general, se doit de posséder.
Pas facile de noter ce premier album.
On retrouve bien les différents protagonistes de la série, le passage d'un art à l'autre n'a en rien entamé la verve et le caractère des personnages.
Cependant l'histoire est trop légère, avec une fin carrément baclée : on reste sur notre faim.
Je vais attendre le tome suivant pour me faire une idée plus précise, espèrons que le tir sera corrigé.
J'ai bien-sûr enchaîné sur le deuxième volume avec la rencontre savoureuse entre Jeanne et Cécile. L'histoire se déroule inexorablement illuminée par la présence des deux soeurs. Le final plein d'espoir pourrait nous faire augurer d'un troisième diptyque.
Ce volume commence dans une cellule où Jeanne vient d'être enfermée suite à la dénonciation d'un corbeau. Elle y rencontre François, un voleur qui lui permet de prendre la fuite sur les toits de Paris pour attérir sur l'Himalaya la péniche de ses amis Huguette et René. Les dialogues entre les protagonistes sont savoureux et plein d'humour. La vie s'écoule lentement au rythme de planches toujours aussi superbes. Pour comble du bonheur la fin nous révèle que la soeur de Jeanne s'appelle Cécile, de là à rêver une rencontre entre les deux histoires (le Vol du corbeau et le Sursis)...
Où on retrouve avec plaisir les héros du cahier bleu, André Juillard en rectifiant la fin surement pour nous prouver que l'amour fini toujours par triompher.
Mais en fait, c'est l'histoire d'un autre couple qui nous est contée. Toujours autant cette confusion des sentiments qui rend ses personnages si forts, mais une partie policière un peu violente qui peut plaire à ceux qui trouvaient que le cahier bleu manquait d'actions. Personnellement je trouve que ça rend le récit moins crédible.
Cela n'en reste pas moins une superbe BD, avec de superbes dessins (Ah les femmes de Juillard), à lire absolument.
J'ai hésité à mettre la note maximale, car c'est réellement une superbe BD, histoire et dessins au top, et cette relecture m'a vraiment touché. Je l'avais surement lu trop vite la première fois et n'avait pas alors mis la note maximum. Comme quoi il faut être disponible pour lire une BD, avoir le temps de rentrer dans l'ambiance et de se laisser porter. On est aux antipodes de la BD d'action, c'est la preuve que les sentiments peuvent être aussi violents.
Ces épisodes remettent au gout du jour l'histoire de Fatalis et j'ai trouvé celà très intéressant. L'intrigue est bien construite, on s'apperçoit que le côté sombre du personnage est présent depuis qu'il est enfant. Ne connaissant as trop l'histoire de Fatalis j'ai trouvé ces épisodes fort intéressants.
L'histoire est plutôt sympa mais j'ai eu du mal à accrocher. L'intrigue est plutôt obscure et manque d'accroche. De plus je ne trouve pas le dessin vraiment terrible ce qui n'a pas aidé non plus.
Un voulume toujours aussi drôle qui voit Negi s'entrainer pour devenir plus fort pour affronter les obstacles qui vont se dresser sur sa route dans la recherche de son père. Les quiproquos et les situations cocasses sont légion et toujours aussi drôle.
L'histoire est plutôt sympa, drôle et bien trouvée. On passe un agréable moment mais ça n'a rien d'exceptionnel.
L'histoire reste confuse, on ne sait pas où l'on va mais la fin se rapproche plus nettement. Les planches sont toujours aussi sombre et on ne distinguent pas grand chose. Il se peu que dans les volumes suivant on ai plus d'informations sur Yongbi mais je ne me fais plus trop d'illusion.
La série continue de manière plus qu'agréable avec la relation entre les deux personnages principaux qui évolue toujours dans l'humour et la mauvaise fois. Un nouveau personnage (Nakanishi) apparait dans ce volume qui jouera surement un rôle important par la suite.
Très bon volume encore une fois rempli d'action bien sanglante. J'aime beaucoup dont les choses sont abordée notamment la petite fille qui à tant vouloir devenir un elfe est devenue un démon ressemblant à un elfe avec en parallèle un conte que devient lus ou moins réalité. De plus de nouveau personnages entrent dans l'histoire mais reste à savoir si ils vivront suffisament longtemps pour jouer un rôle important.
C'est toujours aussi sympa de retrouver Yoko Tsuno, les histoires sont toujours aussi compliquées mais les bons sentiments et l'amitié qui finissent toujours par triompher, ça fait du bien de temps en temps !
Alors que Raïmon est toujours aux mains de l'armée et du général Sanzu qui compte l'utiliser pour faire revenir l'une des ailes et obtenir ainsi ce qu'il souhaite, Kotobuki pénètre dans la base de l'armée, et, avec ses compagnons qui arrivent en renfort, parvient le pire. Mais Raïmon reste inconscient et elle décide de se rendre chez Sanzu, qui a quitté l'armée, pour sauver son bien-aimé. Une surprise l'attend : la découverte du secret du général et un combat avec l'aile qui reste.
Un dernier tome qui clôt l'histoire sur un happy end sympa qui évite de trop tomber dans la mièvrerie. Une surprise intéressante cachée chez Sanzu, toujours autant de péripéties. L'intrigue assez touffue et brouillonne du début a fini par trouver son rythme et s'éclaircir. Quant au dessin, s'il a un peu évolué entre le 1er et le 6è volume, il est encore assez chargé et très "shojo classique".
Bref, une petite série bien agréable.
Avant X de Clamp, voici l'histoire de Subaru Sumeragi, de sa soeur Hokuto et du sakurazukamori (tueur du cerisier).
Pour qui n'aime pas Clamp, passez votre chemin, pour les autres c est un incontournable. Pour ma part je trouve certaines histoires assez pauvres dans les 7 tomes et la trame de fond prend vraiment son temps. La fin est plutôt sympa, augure ce qui va se passer dans X, ce qui est appréciable mais pas revnversant. Le dessin est par contre moins fouillé que X et est parfois tres simpliste.
A chacun de voir ce qu il veut en retirer, pour ma part pas grand chose.
De l'heroic fantaisy tres particuliere.
Une histoire etrange d'un peuple elfe decimé, mais le probleme est que le dessin est quand meme peu accessible (avec un jeu de couleur dur à suivre).
Les personnages sont difficiles à comprendre et malheureusement parfois la trame apparait incoherente (voire incomprehensible).
Mais c'est une BD qui a quand meme de la matiere pour les amateurs du genre.
Lointain...Mais finalement si proche de nous.
Les rapports humains sont subtilement et delicatement construits, on se retrouve tres facilement dans ces personnages et on entre completement dans l'histoire de ce personnage et dans son introspection.
Ce manga est plus qu'un bijou, c est un chef d'oeuvre absolu plein de sensibilité et de de finesse.
Serie mignonnette pas tres developpée mais avec un beau dessin de Katsura qui se lit tranqillement. Scenario tres leger (voire trop) mais qui passe quand meme si on ne cherche pas trop d'activité cerebrale.
Pares le succès de Video Girl, Tonkam edite DNA², hitoire en 5 tomes de Junta, petit heros ayant des problemes particuliers (je n en dirai pas plus pour ceux qui veulent decouvrir.
on y trouve des situations tres...manga, une parodie de Dragon Ball, des positions suggestives tres ... Suggestives.
Ce manga, malgré le dessin de Katsura de qualité (probablement un des plus beaux sinon le plus dessins de manga actuel), se perd apres le premier tome d
Une petite serie tres sympathique ou l'on decouvre les aventures de Fuzz (lutin de Splynn) et son chien qui rencontrent Kanzer (grand magicien) et Kompilor (grand euh.. Combattant) sur trois histoires indépendantes mais qu il faut suivre dans l'ordre à mon sens.
Le ton est léger, plein d'humour, le scénario signé de Cailleteau (d'Aquablue) passe tres bien sur un dessin de Tota (le nouveau dessinateur... d'Aquablue tiens...) qui est tres honnete.
Je conseille cette BD sans pretention à qui veut passer un bon moment sans se prendre la tete si je puis dire.
Une tres bonne série en noir et blanc qui raconte l'histoire de Cybersix, etre humain artificiel qui essaie de survivre dans Meridienne, ville decadente, veritable scene de theatre dans laquelle s entrecroisent des personnages extremement creusées.
On y trouve une quete existentielle, de l'amour, de l'humour (si! Et tres bon en plus), bref une tres bonne BD au dessin tres vif dont le seul defaut est qu apres 8 tomes, on sent un probleme de renouvellement.
Un des premiers mangas chinois édité par Tonkam.
Un tome 1 plutot réussi (avec un graphisme extraordinaire) qui montre un monde intéressant avec en toile de fonds le mythe du surhomme (theme cher aux japonais) au sein d'un temple de Shaolin futuriste. Le probleme est que la serie se borne des le tome 2 a des combats repetitifs avec une surenchere impressionnante (des coups toujours plus forts, plus puissants qui feraient passer Dragon Ball pour du combat de coqs). Vers la seconde moitie de la seris, il n y a plus que 4 personnages creusés alors qu il y en avait une vingtaine d'existant au tome 1.
Bref, pas grand chose a dire au niveau du dessin tres beau (peut etre un peu statique pour certains) mais un scenario en manque d'identité qui se cherche mais ne se trouve pas.
-
De Jiro Taniguchi
Adapté du roman de Yumamakura Baku.
On pourrait le dire ainsi :
« a chaque peuple ses héros, et ses Dieux, à chaque continent ses plaines et ses montagnes. »
Ce n’est pas la première fois ( ni la dernière !) que l’on peut rencontrer des récits de montagnards. En France, on pourrait parler de l’auteur Pyrénéens Frison-Roche ( avec des romans comme : « Première de cordée ou la grande Crevasse » pour ne citer qu’eux !), nous parlant du drame inhérent à la montagne.
Cela se traduit bien souvent en une lutte acharnée entre la nature, et le genre humain.
L’Humain VS la nature.
Cette lutte ne serait pas possible si les deux ne se cotoyait pas.
L’image sur la couverture se veut explicite : L’homme se veut aussi grand qu’une montagne. Mais trop souvent, les auteurs nous font le coup de s ‘émerveiller devant la pureté de la montagne avec des termes du genre : « c’est grandiose, immense, fabuleux… ».Et dès qu’ils parlent des Hommes, immédiatement, n’y voyant que des horreurs leurs visages deviennent sombres.
Alors « le sommet des Dieux » tombe-t-il dans les travers propre au genre ou non ?Enfin, je veux dire est-ce un récit humain ?
Meme si le début du récit est amené, je veux bien sur parler de l’errance du Journaliste- photographe, il se nomme Fukamachi Kotoko, dans les ruelles du Népal ; il n’empêche pas une légère impression d’ennui jusqu’à l’apparition de l’ancien ( et toujours !) prodige de la montagne : « Habu jôji ».
A partir de cet instant, il sera vital pour le journaliste d’en savoir plus sur cet Homme. C’est ce que nous découvrirons au fur et à mesure de ses rencontres. C’est par cet intermédiaire que nous connaitrons les aventures et les sentiments de ce formidable grimpeur…
Mais l’auteur ne peut s’empecher de rompre « le charme » ( entendez : « Force de l’événement !») des personnages par une voix off maladroite aplatissant ainsi les forces émotionnelles.
A cela s’ajoute le fait que les auteurs tombent par période dans le fabuleux piège de la montagne.
Une œuvre plutot réussie lorsqu’elle s’attarde sur les expéditions humaines mais qui dégringole par moment dans la facilité...
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Je suis assez mitigé après la lecture de l'intégrale du grand pouvoir. J'ai passé un bon moment de lecture, sans me lasser ce qui peut être le cas quand on lit une grande histoire d'un coup. Les dessins de Rosinski sont toujours très agréables à suivre. Mais je ne suis pas un grand fan des hobbits et des monstres, et l'histoire tout en étant plaisante n'est pas d'une folle originalité, Van Hamme revisitant un certain nombre de mythes.
Mais cette histoire a le mérite d'être un cycle complet qui se termine de façon non conventionnelle. Donc une très bonne bd qui mérite sa place dans la bibliothèque des amateurs.
Très très bon, le retour du dieu machin m'a un peut surpris, mais sinon c'était
vraiment sympathique à lire puisque Thorgal était de retour. Rosinski m'a
vraiment épaté avec son superbe dessin et ses couleurs magnifiques, quant à
Van Hamme on peut pas dire qu'il a fait son travaille à moitié.
Encore mieux que le tome 1!!!! J'ai failli mêtre 10 sur 10, mais je mets neuf par
le fait que se sont toutes des histoires qui se suivent et que leurs dessins arrives
même pas à la chavile d'Aleksi. Alors bravo Aleksi!!!!
Très bien, mais il manquait dans ce tome quelques petites choses, le dragon par
exemple.
À pars le dragon manquant j'ai adoé le chevlaier Tora par son courage et le
reste, mais surtout, j'ai bien aimée Naëlle.
Celui-ci fut un de mes préféré de la série, parcontre je n'ai pas compris pourquoi
la fille avec les longs doigts tu la vielle et que l'oncle d'éléanor essaye de lui faire
je ne sais trop quoi.
Parcontre le chevalier dragon était très appréciable à mon goût.
Je mets six parce que je n'ai pas tellement apprécié le fait que des petites filles
se faisssent abuser par des soudards à la c.. Sinon le côté un peu garce
d'Akanah et de son amie, ça c'est pas mal et même marant.
j'ai vraiment beaucoup aimer ce première opus, l'action est là et le scénario se
tient bien. Pour un premier tome, les auteurs se sont bien partit, avec Jeanne
d'Espard. J'ai bien aimé ce méchant là, ( si c'en est un), par sont côté sombre et
cinglé.
Alors moi je dis c'est bien partit la série!!!!
Mon libraire m'a conseillé cette BD, j'ai hésité car le personnage me faisait penser à un genre "eau de rose" que je ne supporte pas ! Mais surprise, la couverture est en très réussie et sort de l'ordinaire, le personnage de Coraline est attachant et plein d'humour. Le scénario nous garde en haleine, les planches sont superbes et la plastique de notre héroïne aussi mais sans complaisance... en résumé une histoire subtile qui augure d'une excellente série.
Encore une fois je me suis bien divertie en lisant les aventures de la petite Yotsuba et en suivant ses découvertes.
Visite au zoo, séance de feux d'artifices, distribution de fleurs au coin d'une rue, jeux, il y a de quoi s'amuser.
On apprend aussi quelques petites choses sur Jumbo, comme son métier, et on découvre enfin le père des filles Ayase .
Un bon moment de lecture
Une BD de divertissement attrayante, qui peut se lire de 2 manières différentes en tant qu'enfant ou adulte. Enfin, à mon avis, c'est quand même plus pour adultes.
Les dessins sont quelconques (ce n'est pas l'objet de la BD) mais mignons.
Les histoires jouent beaucoup sur le comique de répétition, mais c'est vraiment humoristique.
Une histoire de science-fiction au scénario attrayant, qui ne laisse pas trop un air de "déjà lu mille fois", avec des graphismes vraiment très beaux. J'attends le tome 2 avec impatience !
Histoire en quatre saisons, histoire de haines et de mépris, de tendresses et d’amours… Univers glauque des marais où tout pourrit, la pierre, l'argent, les gens… enfin, pas tous, heureusement.
Même si je ne suis pas fan du style de dessin, je trouve qu’il colle bien au roman: les traits sont durs et les couleurs sont violentes…J’ai beaucoup aimé.
Originalité lorsque tu nous tiens...
Ça commence comme ça, avec deux petits vieux qui pêchent et ça sent le flétan et puis tout d'un coup,ça dérape avec le décès d'un des deux protagonistes et ça démarre sur les chapeaux de roues...
Est-ce que la vie s'arrête avec l'arrivée du troisième âge? Si on considère Emile, je serais portée à dire qu'avec un peu de bonne volonté, on peut renaître solidement passé 70 ans.
Une certaine poésie délicate embaume l'air et c'est tant mieux!
Pour moi le meilleur des 5 (aussi le plus compréhensible). Excellente série de Shirow que je prefere personnellement à Ghost in the shell (personnages plus humains, monde plus développé). Le theme de la vie artificielle, de la reconstruction de la société dans un contexte geopolitique completement chamboulé.
Un tres bon manga qui a malgre tout des ramifications scenaristiques assez complexes (c est qd meme Shirow) mais qui est tres homogene et qui ne tombe pas dans le cyberpunk
un tome 1 sympathique mais le dessin est trop touffu (voire simplistes) et on sent que le scenario essaie de se coller au livre alors qu on est en format BD. il en resulte des récit parfois incohérents qui saute d'un contexte a un autre. Restent les personnages qui sont quand meme sympatiques, malheureusement ca ne suffit pas.
Un tome 1 que j avais trouvé tres noir et tres dur, le tome 2 était plus developpé et donnait une orientation a la trame. Mais ce qui m a fait acheter cette BD c est le troisieme et dernier tome qui est tres bien fait avec des personnages mis en scene de main de maitre. Une réussite scenaristique sur un un dessin parfois inégal. En tout cas une oeuvre qui a de la matiere et que je recommande dans son integralité
Bonne BD, un monde en perdition ou la vie ne vaut rien, mais c est dur, tellement dur...
Une BD qui avait beaucoup de potentiel apres le premier tome. Malheureusement ca n a pas suivi derriere et la fin est completement incohérente. Enfin bon il reste des dessins magnifiques tout au long de la serie
Une belle série avec un graphisme qui peut arrêter certains. Néanmoins on trouve des personnages creusés, un excellente mise en scene, une histoire bien construite. une des meilleures BD de fantaisy à mon sens
saga peu connue, le premier tome de Sylve avait des qualités scénaristiques indéniables sur lequel était apposé un graphisme tres correct. Un monde envahi par la nature, de nouvelles règles, une refonte de la société face à l'enfer de la forêt tout puissante, une quete identitaire, telles étaient les themes de cette série qui avait beaucoup à apporter.
Le premier tome était un petit bijou, le deuxième était honnête alors que le troisième manquait à mon sens de continuité.
Une tres grande BD. Je ne connaissais cette histoire que de nom et le fait qu'elle devienne de plus en plus rare a trouver en librairie explique les difficultés pour me la procurer. L'occasion arriva donc avec cette nouvelle édition intégrale, qui met fin
De la Trilogie USA, collection Signé, c'est peut-être liens de sang qui tire le plus son épingle du jeu. Peut-être un peu confus par moments, ce qui jure un peu, forcément. Les dessins sont très réussis.
Sans folie, sans fioritures, cette bd se laisse lire comme un bon petit thriller à l'américaine...
L'idée du King est pas trop mal. Mais pour le reste, ça sent le rechauffé, et ça joue malheureusement sur la qualité de la bd. Rien d'étonnant, rien d'exceptionnel. Juste à lire, en cas d'ennui ou en attendant le train...bd de gare;-)
J'ai cru lire un remaeke du Dahlia noir, de James Ellroy...Au niveau graphisme, rien à dire, c'est excellent. Par contre, la forme romancée, "casse" un peu le rythme. C'est dommage. Du coup, à la fin, tout s'essoufle un peu. Un bon polar, rien de plus...
Que dire de plus...juste sensationnel.
Les plus réticents, plongez-y, les yeux fermés, vous risquez à coup sûr de na pas être déçu.
Dessins fantastiquement beaux, scénario d'une extrême finesse.
J'approuve de vive voix et je vote pour Où le regard ne porte pas...
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Sarkozy sans jamais oser le demander ! Plus sérieusement, découvrez le parcours du plus médiatique des candidats au travers des 148 pages de cette enquête documentée. Son enfance, ses débuts en politique, ses relations avec Chirac, la création du personnage ultra-médiatique « Sarko »…Son ascension fulgurante est fidèlement décrite, mettant en exergue son coté manipulateur et planificateur tout en faisant ressortir son génie politique et sa stratégie sur l’échiquier politique français. A la fin de la lecture de cette BD-enquête, concentrant 30 ans de manipulations politiques, vos dernières bribes d’illusions sur la sphère politique s’étioleront, laissant place au dégoût puis à l’irrépressible envie de brûler votre carte électorale dans un rite cathartique. Jamais le slogan «Tous pourris » n’aura si bien résonné au travers de cette enquête plus ou moins objective. Car si le coté historique est parfaitement mis en scène, on peut cependant regretter les excès caricaturaux de certains dialogues visant à déprécier le personnage. Deux fausses notes viennent également ternir cette enquête. Un petit texte, en annexe de la BD, sorte de réquisitoire du « Tout sauf sarkozy » simpliste autant qu’inutile et une lettre du ministère de l’intérieur déclinant une demande de rendez vous de la part de l’auteur. Ces 2 documents, qui n’apportent absolument rien au débat sont présentés tel un cheveu sur la soupe. Comme si l’auteur n’avait pas pu s’empêcher d’asséner un ultime pic, sorte de toc anti-sarkozyste primaire tendance boboiste. A lire si l’on aime la politique sinon passez votre chemin.
Vraiment fantastique!
Un graphisme saisissant et touchant, un scénario inventif qui prouve encore une fois toute la probité de Vaughan.
Un regard candide sur la guerre di'Irak et sur la guerre en général, avec une perception de la liberté tout à fait touchante.
Pride of Baghdad est la perle rare de cette fin d'année...
Le fléau à quelque chose de vraiment épatant et que j"apprécie énnormément.
Cettte chose est le fond plus ou moins historique, la source d'inspiration doit être
excellente parce que je vous le dis, c'est pas tout les jours que l'on lit une bonne
bande dessiné de ce genre.
Ce que j'aime bien aussi c'est le dessin qui est très bon, le scénario est
intéressant et tout le trallala.
Alors à lire et relire.
Qu'il est bon de voir le contexte geopolitique actuel traité de façon si légère... Passer du dessin de presse à un album entier n'est pas chose forcémment réussie, et Jul n'est pas loin de s'adapter aux exigences que cela necessite. Si le scenario n'est pas particulièrement fouillé, le dessin transcrit parfaitement bien le point de vue décalé de la guerre Bush-Ben Laden. En somme, un album très plaisant à lire et même à relire tant Jul a le soucis de dissimuler des détails cocasses...
J'ai pris beaucoup de plaisir avec cette bd...
Les dessins et les couleurs me paraissent bien servir l'histoire accrocheuse. Le surnaturel est superbement mis en valeur et je suis heureux de pas subir un univers d'heroic fantasy à la Tolkien de plus. On est dans de la vraie création scenaristique.
J'apprécie les personnages, même si je suis d'accord avec le commentaire qui indique que le coté rablaisien de Paré n'est pas assez prononcé et qu'il ne suffit pas de le rendre vulgaire pour y parvenir. une petite voie de progrès pour l'avenir...
Je suis déjà déçu que la série s'arrête à 3 tomes. C'est illusoire mais une adaptation du scenar au ciné par un Christophe Gans, ça aurait de la gueule non ?
J'ai découvert par hasard cette série et je la trouve vraiment excellente. Le scénario de base est par la suite très élaboré, réfléchi et jusqu'au bout on sent lintrigue, on voit de l'action. Bref, félicitation à Denis Falque, entre autres, pour ses dessins et Didier Convard pour son magnifique scénario.
Je pense qu'on nous offre là le pire opus d'Astérix et c'est même que ce que je craignais. Malgré quelques albums sympathiques réalisé seul (la galère d'Obélix, ...) Uderzo s'est complètement planté. C'est l'album de trop, tout simplement, celui qui fait dire à tout le monde que cette fois, cà ne peut pas être pire. Espérons-le ...
Oui bon, je sui sfan de cette série, donc forcément j'ai mis une très bonne note. J'aime l'ambiance du cimetière de Pierre Tombal et la manière dont est tournée la mort, sujet sensible. J'aime également le personnage et ses colères et son sens de l'humour. Oui, çà ne plaira pas à tout le monde, mais les goûts et les couleurs, vous savez, ...
Après avoir lu les 2 et 3, on m'a offert le 1 pour Noël, ce qui fait une première saison complète et très intéressante, bonne histoire bien sombre et très bons dessins d'Arnoux, quel dommage qu'il préfère scénariser ! Vais-je craquer pour la suite ?
Le tome 2 est plus dense que le premier car tout à coup tout s'anime, les personnages vivent et l'amour triomphe. C'est vrai que Cécile est si belle. Les scènes de nuit sont magnifiques. La fin est bien-sûr tragique et nous ramène là ou tout à commencé, dans un train qui n'arrivera jamais destination...
Ce qu'il y a de bien avec Noël, ce sont les cadeaux et cette BD en est un ! Depuis le temps que j'entendais parler du Sursis, et bien je n'ai pas été déçu...Les héros sont croqués lentement, on s'attache au fil des pages à cette histoire qui prend le temps de respirer même si on étouffe petit à petit avec Julien qui voit la vie se dérouler sans lui et emmener inexorableent Cécile, son amour vers "ce con" de Paul. Le tout se déroule sur fond de guerre où les collabos et les autres cohabitent cahin caha, à méditer...
Un grand album commeil s'en fait peu. Le caractère vaporeux du scénario fait mouche à tout coup. Une mention honorable pour l'art déployé qui juxtapose le dessin, la peinture, le collage et la photographie. Un album qui n'est pas pour tous mais qui fera le bonheur des gens qui se délectent de l'art abstrait et qui aiment sortir des chemins battus...
Dommage que cela ne suit pas son prédécesseur "le sommet des dieux".
Certes le graphisme est toujours aussi soigné.
Mais il ya une fausse note dans le sénario,
a chaque fois que tous va mal, "K", le sur-homme arrive et sauve la planète( tiens ça me rappelle quelque chose!)
Dommage, qu'il n'ya pas plus de modestie dans ce Héros.
Ce qui aurait coller plus au thème de l'alpinisme.
Mais l'ensemble , ce laisse lire sans problème
voila a quoi peux resembler la Bd, quand le scénario déchire.
je suis aller jusqu'au tome 7 et j'ai tous revendu
Mare des délirs post freudien...
dessin numériser au possible
bref, c'est nul
(cette avis se répercute sur les 5 tomes)
Grandiose, il est vrai que je ne suis pas fan de manga.
mais la, mais la, c'est que du bonheur...
le premier tome en ma possession, il a fallu que je commande les 4 autres tomes.
un dessin a vous couper le souffle, d'une finesse et d'un réalisme aprochant la perfection.
un scénario magestueux....
fabuleux....
L'histoire traite d'un sujet grave, l'antisémitisme mais le scénario un peu trop prévisible. Même si les personnages manquent parfois de profondeur, la cause défendue mérite que l'on prenne le temps de lire.
Dessin ligne claire classique, scénario classique, comment ça se fait que le charme n'agisse pas ?
Je n'ai trouvé aucun intérêt à lire cette album, beaucoup de mal à le finir.
Désolé Briel !
Il sagit d'une bd qui se laisse lire avec de l'humour et également un peu de culture général, on avance dans cette ouvrage avec plaisir mais il va falloir attendre le second volume pour savoir si l'on a affaire a une série qui restera inoubliable.
Ce premier cycle se termine sur les chapeaux de roues et les personnages sont bien campés pour plonger dans la suite de leurs aventures. Les planches sont toujours aussi agréables à lire, que du bonheur...
Un monde sans la ligue de justice : Début un peu mélo qui voit la fin de la JLA avec une prise de bec entre Batman et le reste de la JLA notamment sur les conséquences d'un tel rassemblement de pouvoirs que celui de la JLA et l'aspect corrupteur du pouvoir. C'est plutôt pas mal fait voyons ce que donne la suite.
La guerre des lascar : Nouvelle histoire qui commence pour flash qui en est quasiment absent (juste un petit passage pour rappeler que c'est quand même sa série faut pas déconner quand même). La mise en place et plutôt intéressante et mérite qu'on s'y intéresse de plus près.
Aliénarion : Autre nouvelle aventure pour Green lantern (décidément c'est le mois) plutôt prometteuse même si ce début est un peu léger. A voir par la suite.
Morts vivants : Bonne histoire des Teen Titan, en fait essentiellement Robin. Cette histoire voit le face à face entre deux Robin à savoir Tim Drake VS Jason Todd (oui il était mort mais maintenant il ne l'est plus). Le face à face est intéressant et le combat entre les deux nous révèle pas mal de choses sur l'état d'esprit de Jason Todd.
Crimes de guerre est une excellente histoire qui découle du cross over "War game". L'intrigue est très bien développée à la fois pleine de suspense et de surprises. Les pistes sont dévoilées au fur et à mesure pour aboutir à une révélation finale à la fois incroyable mais les éléments distillé tout au long de l'histoire nous font soupçonné cette réalité difficilement envisageable. Bref une excellente histoire.
L'histoire est globalement sympatique mais ça manque de développement, c'est un peu court pour vraiment accrocher. C'est dommage il y avait de bonnes idées mais pas suffisament exploités. Donc aufinal c'est sympa mais sans plus.
Voilà un bon diptyque plein de révélations sur le passé de Larry Max et du fait que depuis le début de la série, il n'avait qu'un seul et unique objectif. L'histoire est bien construite, pleine de révélation que ce soit sur la personnalité de Larry ou sa relation avec Gloria Paradise qui n'était pas ce que l'on pouvait penser. Pour le côté plus économique de l'intrigue, c'est bien expliqué et les pistes laissés tout au long de l'album peuvent être exploités tout en laissant une bonne part de suspense.
Après un volume ou l'agent Alpha était un peu en retrait (même complètement écarté) de l'action sur le terrain, on peut enfin le retrouver en grande forme. Cet album nous dépeind le monde du renseignement comme étant sombre, plein de magouille, d'alliances et de trahisons en fonction du sens du vent (et de la meilleure façon de se couvrir) bref de manière pas très jolie et pourtant très crédible. Dans tout celà Alha n'est pas le grand héros qui dévoile une conspiration au sein de la CIA afin de servir les intérêts carrièriste d'un de ses directeur mais plutôt le grain de sable qui par un enchainement d'évènements va entrainer l'auto destruction de toute cette conspiration. Bien sûr Alpha assure le minimum et arrive à temps pour récolter tous les lauriers mais il ne démasque pas les vrai responsable de toute la machination (qui finissent quand même par payer leurs actes mais d'une manière plus... sanglante) et ça fait de lui un héros crédible. Ce genre d'histoire reste en dehors du cliché du héros qui saute d'un hélicoptère sur un train, évite le souffle d'une explosion, fait deux ou trois salto et en ressort frais comme un gardon et même pas décoiffé c'est bien ça change.
Ces trois volumes sont composés de gags plus ou moins drôle mais Gaston reste toujours fidèle à lui même avec son côté savant fou et paresseux. Certains gags sont à hurler de rire mais même les moins drôle sont quand même très bien trouvés.
Voici la fin tant attendue de cette superbe série et une chose est sûr : elle est à la hauteur de notre attente. L'intrigue est très bien cloturée par un ensemble de révélation à la fois logique et, un peu, attendue mais également avec sont lot de surprises. On est vraiment plongé dans cette histoire et quand viens la dernière case de la dernière planche on a un léger pincement au coeur à l'idée qu'on ne retrouvera plus ces personnages si sympatiques. Pour moi c'est bien la preuve que UW1 est une série qui n'a pas trainé en longueur et a su conserver tout son intérêt sur les 6 volumes qui la compose. Voilà une série à ne rater sous aucun prétexte.
J'ais trouvé le dessin très bon et le scenario quoi que commun " l'attente du messie" un peu revue mais tres bien imaginé.
En résumé , j'ais lu la bd sans ne plus la lacher, pas mal.
Je ne sais trop quoi en dire tellement on est dans l'exercice de style. Le film vient de sortir grand écran et a reçu une flopée de mauvaises critiques. Je ne l'ai pas vu. S'il est aussi glauque que la bd, on comprend.
Les planches sont parfois exquises parfois tellement exécutées avec un semblant de va vite. Je demeure très ambigüe. À trop vouloir faire dans la profondeur, on s'y perd...Malheureusement!!!
Très bon début avec un Wolverine plutôt de mauvaise humeur avec finalement un passé plutôt horrible. Il faut voir comment tout va évoluer car les détails sont plutôt distribués au compte goute mais ça commence très bien.
Voyage à Washington : Cette nouvelle histoire commence doucement avec la découverte notamment du nouveau costume de Spiderman et de son pacte avec Tony Stark ce qui devrait avoir de grandes conséquences avec Civil War qui va bientôt débarquer. Il est trop tôt pour se prononcer sur la qualité de l'histoire mais ça commence de façon plutôt intéressante.
Danger : De sang froid : Voilà un début qui laisse pour le moins perplexe car on ne sait pas du tout où on va ni à quels dangers va devoir se confronter Peter. Pleins de questions se posent à la fin de cet épisode qui donnent envie de connaitre la suite.
Le blog : L'histoire est plutôt sympa mais ça ne va pas plus loin. En effet il ne se passe pas grand chose. Vite lu et vite oubliée
La lgue des losers : On apprend pas mal de choses sur le futur de l'univer Marvel dans cet épisodes. Globalement c'est plutôt bon et ça se laisse lire.
Des dessins d'une beauté incroyable. Une histoire mystérieuse, intelligente et parfaitement bien racontée. Un must !
Je ne sais absolument pas comment les gens vont recevoir l’œuvre de longue haleine qui m’est si chère, « Lap of the Gods ». Il me semble qu’une bonne partie de son inspiration trouverait difficilement sa place dans le marché d’aujourd’hui. On dirait qu’une obsession de l’aspect commercial a engouffré le globe. Impossible de ne pas songer que l’observation de Warhol selon laquelle tout le monde connaîtrait son quart d’heure de gloire a fini par se concrétiser, et que c’est la « gloire » elle-même qui fournit un but et plus le média, quel qu’il soit. Lorsque j’étais plus jeune, il ne m’arrivait jamais de songer en termes de nouveaux médias, tels que films ou jouets, pour mes créations. Lorsque j’ai découvert les travaux de Moebius, « Le Garage Hermétique », « Arzach », « Le Bandard Fou », « L’Homme est-il Bon », et ainsi de suite, je ne me suis jamais dit « cool, ça ferait un film d’enfer ! ». C’était juste une œuvre incroyable en tant que bande dessinée ! Ces albums n’ont pas été conçus comme des travaux commerciaux, mais simplement comme des ŒUVRES. Ils étaient expérimentaux, parfois choquants, parfois drôles. Des paysages de rêves rendus visibles pour nous et, en tout cas pour moi, ils étaient reconnaissables en tant que tel. Ils donnaient corps à mes propres rêves. Ils dégageaient honnêteté, spontanéité et fraîcheur. Ils étaient imparfaits et brillants, sans artifices et courageux.
« Lap of the Gods » n’est pas un travail achevé. Il y a des vides, des inconsistances, et pas forcément d’histoires claires. Il va falloir faire quelques efforts pour en tirer satisfaction, tout comme j’ai dû le faire avec « Arzach ». En fait le plus grand crime que Moebius ait jamais commis en tant qu’artiste est d’avoir repris « Arzach » et d’avoir créé un mythe autour, ainsi qu’un nouveau chapitre qui expliquait l’ensemble. J’ai lu ça dans un album Dark Horse de la fin des années 80, début des année 90, et il m’a donné des réponses que je ne souhaitais pas avoir tout en minimisant des épisodes auxquels j’accordais une grande puissance symbolique. Ca m’a rappelé Rembrandt disant « Non, il n’y a rien d’exceptionnel. Ce n’est que moi avec un gros nez rougeaud. » Je n’essaie donc jamais d’expliquer ce que tout cela signifie. Mais ça SIGNIFIE quelque chose ; et, avec de la chance, quelque chose de différent pour chacun. Se poser des questions sur soi-même et sur le monde est toujours positif. Apprendre à voir avec notre propre regard, et ne pas se faire emboquer chaque petite miette d’information.
Nous ne sommes pas idiots, nous pouvons prendre part au processus créatif. Nous pouvons être les égaux du créateur.Lap of the GodsJ’espère pouvoir produire d’autres travaux de ce style à l’avenir, et qu’ils trouveront leur voix ; pas seulement pour moi, mais parce que je suis persuadé que ce qui a été réalisé il y a des décennies en France était incroyablement important. Les bandes dessinées françaises avaient une voix qui résonnait dans le monde entier. C’était une révolution, nonobstant sa courte durée. Malheureusement elle semble avoir été largement oubliée, mais elle a complètement et irrévocablement changé mon approche. Ça ne ressemblait à rien de ce que j’avais pu voir auparavant. Et donc, comme je le disais, je n’ai pas la moindre idée de la façon dont les gens vont accueillir « Lap of the Gods », mais j’espère qu’ils prendront au moins le temps d’y jeter un coup d’œil. Et s’ils ne l’ont pas encore fait, il est temps qu’ils sortent acheter du Moebius, ou du Druillet, ou du Bilal, et qu’ils découvrent ce qu’ils ont manqué…
Liam Sharp, novembre 2006 pour les éditions Kymera.
Source: http://www.kymeracomics.com/?p=30
J'avais beaucoup aimé La Leçon de Chose du même auteur et j'ai donc voulu essayer ce Corps à Corps...et puis semi-déception. J'ai lu avec plaisir mais sans réél enthousiasme ce chassé-croisé contemporain. En fait, je crois qu'il faut que j'arrête de lire du Air Libre. Mais je risque de passer à côté de perles...
Si vous aimez la seconde guerre mondiale et les avions de guerre cette BD est faites pour vous. Le documentation y semble exemplaire. Une fois qu'on connait le pedigree du dessinateur on comprend mieux.
En dehors des qualités historiques de la BD, la volonté de raconter ces histoires aux travers des partis pris patriotiques des différents pilotes (japonais, américains, allemands...) est intéressante.
Un petit point négatif quand même, certains combats aériens sont difficilles à suivre, mais c'est je pense un peu inévitable dans ce genre d'exercice...
Le scoop : Petite histoire sympa au final mais pas spécialement passionante.
L'heure de vérité : Après une fausse piste bien introduite nous voilà enfin avec la véritable identité de Ruin et on peu dire que c'est vraiment surprenant. Finanlement cette histoire avec Ruin aura été excellente même si par moment il y avait de quoi douter.
Représailles : Autant le dire tout de suite je n'ai définitivement pas accroché à cette histoire et je suis bien contente qu'elle se termine. L'intrigue n'est pas claire, on ne comprend pas vraiment ce qu'il se passe, bref rien de bien attractif. Espérons que la prochaine soit meilleure.
Génèse mortelle : Des révélations très intéressantes sont faites dans ce numéro. Plus on avance et plus les surprises sont nombreuses et étonnantes. A suivre.
Les loups de guerre :Début d'une nouvelle aventure sympatique mais très léger en information. Pour le moment ça n'a pas l'air bien passionant mais il faut voir comment ça va évoluer.
Traits dans le sable : Excellent épisode de l'équipe de X factor qui voit les choses évoluer de façon dangereuse avec une guerre ouverte contre l'agence singularity qui reste somme toute bien mystérieuse.
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Une association entre deux artistes n’est pas forcément payante.
On a l’exemple avec ce titre : Icare.
Jiro Taniguchi qui met en scène,et crayonne le récit de Moebius.
Nous avons donc affaire à une commande, c’est là que l’on va s’apercevoir du réel talent de Jiro Taniguchi.
Parce qu’un projet qui vous tient à cœur c’est ( plutot !) facile. Préparer une œuvre écrite par un autre, dans un tout cloisonné , se mettre sous pression pour tirer le récit et le dessin vers une œuvre aboutie et complète.
Voilà qui relève de la gageure ! !
Et force est de constater la réussite à la fois précise et claire des planches de Jiro Taniguchi. Avec moult superbes pages, et doubles pages, le mangaka tient haut la main son pari graphique, il faut dire que le format y est pour beaucoup.
Par contre qu’est devenu le récit, franchement au bout de la lecture, on se le demande. D’ailleurs ou commence-t-il ? Lors de la naissance d’Icare ?20 ans plus tard lorsqu’il est un jeune adulte et qu ‘il exprime sa sexualité, et la seule émotion du récit : « l’amour ».
C’est tout de meme un peu court pour créer un récit interessant dans sa conception.
Icare : c’est l’histoire d’un garçon qui a cette capacité unique : « celle de voler sans ailes ». Enfermé dans un entrepot ( entendez une cage à oiseau !), il s’échappera pour voler de ses propres ailes. ( c’est le cas de le dire !).
Ce qu’il y a d’interessant à première vu c’est qu’il ne soit pas un ange puisqu’il tombe amoureux d’une scientifique…( L’ange étant un monstre asexué, une anomalie de la nature archi-parfaite donc divine !)
Au final, ce n’est pas tant la frustration car des œuvres qui se finissent sur l’amour, il y en a des tonnes. Mais plutot une totale absence d’humour, un traitement poussif et balourd avec des sauts dans le futur terriblement brutaux pour le lecteur , un manque cruel de cohésion littéraire, et une étonnante absence de consistance des personnages, bref une quete de soi sexuelle qui peine à nous faire monter au septieme ciel.
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Etoile filante : Suite de la fin des Grey, l'histoire est plutôt bonne même si à priori je trouve que le personnage de Marvel Girl ne donne pas trop l'impression d'être trop traumatisé par ce qui lui est arrivé. A part ça c'est du tout bon.
La fin de l'enfance : tout ce met en place pour de nouvelles épreuves pour les jeunes mutants déjà qu'entre eux ce n'est pas joyeux tous les jours mais à priori des évènement intéressants vont intervenir (il faudrait juste que ça ne traine pas trop longtemps).
Pour changer des seinen et shonen que je lis habituellement j'ai essayé ce sojo et le résultat est plutôt satisfaisant. Cette série est totalement déjanté, on se laisse facilement entrainer par des personnages délirants et plutôt bien développés. Bref on passe un bon moment de lecture et de rigolade.
Encore un nouveau volume plein d'humour et totalement déjanté qui voit la série prendre un nouveau tournant. Kazuma Azuma va se voir confronter à l'élite mondiale après un court stage en France. La série ne baisse pas de qualité et c'est toujours un plaisir de la lire.
Très bon volume qui contrairement à l'habitude est plus sombre et marque un tournant dans l'histoire. Les prochains volumes devraient être passionnant à suivre maintenant que le trio de choc est brisé.
Cette bande dessinée est tout simplement un chef d'oeuvre, à la fois pour son graphisme vivant que pour l'originalité de l'histoire prenante. Un album incontournable à ne pas manquer!