Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 27/11/2024 à 19:49:17 en 0.4846 sec
Toujours avec l'esprit philosophe qu'on lui connait, Sfar disserte dans cet album du racisme et d'intolerance grâce au celebre chat qui retrouve dans ce tome la parole... Tout au long des 75 pages (!) de cet album, le chat, le rabbin et ses comparses vont après avoir trouvé un Russe dans une boîte partir à la recherche d'un Jerusalem situé en Afrique noire. À la lecture de cet album, on retiendra surtout la poésie et la morale qu'il est toujours bon de rappeller : l'amitié entre les Peuples n'existe pas, au contraire de l'amitié entre les hommes... Un album en somme à lire et surtout à faire lire !
J'ai offert cette BD à mon petit fils de 6 ans pour son Noël. Il le dévore tous les soirs. Alors c'est forcément un chef d'oeuvre....pour lui.
La guerre entre les rats et les grenouilles est déclarée. Et quand il faudrait s'unir pour traverser la route et s'ouvrir la voix vers de plus verts horizons, les deux espèces préfèrent se servir des peaux des cadavres de leurs ennemis respectifs en guise de deltaplane. Qu'il s'agisse du versant allegorique de la BD, ou des gags façon Tex Avery en plus trash, cela ne convainc que par instants et aboutit au final à un album qui peut faire sourire mais guère plus...
Je suis un peu ambigüe car j'ai trouvé que la première partie était absolument délirante et que je me perdais un peu dans la seconde. Je n'ai pas saisi certains gags mais je présume que le fait de ne pas vivre en France y est pour quelque chose.
Vivement une suite. J'adore lorsque Manu se prend une cuite avec monsieur Henri et se met à le tutoyer comme s'ils avaient élever les cochons ensemble.
La série demeure tout ce qu'il y a de plus stable et ça, c'est un gros point pour Larcenet.
Bravo!
Je vous le dis tout de suite, ça commence mal. L'héroïne décède dans la première page. S'ensuit un flasback où jonglent, corruption, pots-de-vin, crime organisé, et tout le tralala. Rien de nouveau sous le soleil et pas envie de lire la suite. J'en ai assez du premier tome.
Plaira à ceux qui aiment ce genre d'histoire sans grande surprise...
Je pourrais même présumer, sans avoir lu la suite, que l'héroïne ne mourra sûrement pas finalement, quelque part entre le 3 et 4ème tome...
Qui vivra verra!
Je ne me meurs pas de lire le deuxième tome. Donc, il y a quelque chose qui ne m'a pas totalement accrochée. Le dessin est joli, l'histoire est un peu onirique. On se demande en quelle époque on est; serait-ce ancien ou un futur qui a pris le goût de l'ancien?
Correct, sans plus!
J'ai hésité à savoir si on y allait pour un 10/10. Après mûre réflexion, il y a si longtemps que je n'ai lu une oeuvre qui m'a fait rêver, réfléchir, fait faire des oh et des ah que je me suis dit qu'effectivement, dans mon cas, la note parfaite était appropriée.
J'ai ressenti vaguement des vibrations de mon enfance refaire surface à la lecture de cette magnifique histoire. Ce que j'y ai apprécié est que tout est dans le non-dit, dans la puissance des images qui parlent plus que les mots ne pourraient le faire...
Avis aux coeurs sensibles; la scène du chaton est totalement in-politically correct...
Bravo!
Un vraiment bon début de série, malheureusement la suite ce fait un peu trop attendre. Dans l ensemble des déssins superbe, une histoire simpa mais assez dur à cerner. En attente de la suite!
L'avantage lorsque l'on est en repos forcé, c'est que l'on peut prendre le temps de revisiter des BD. Celle ci est une perle, le scénario est superbement construit et le plan machiavélique de l'armateur De TRICHERE (nom de circonstance) prend le temps de se mettre en place. Les personnages sont finement ciselés et celui de FLOSS sorte de LANDRU marin laisse présager d'un affrontement terrible avec CALEC.
Je trouve ce tome très réussi. Certes il est difficile au début de s'habituer à tous les personnages et à s'y retrouver entre les Sieth et les Tromak et le combat que mènent Merlin Morgana et Rosso contre l'inquiétant Voortt. L'intérêt de cette série réside avant tout dans un habile mélange des genres avec des personnages transposés dans une époque incertaine.
Texte excellent et dessins, couleurs sont magnifiques...
J'attends avec impatience le Tome 4...qui clotura l'histoire.
Je reste un fan!
Bon boulot Hub!
Bon que dire, rien justement, j'ai déjà oublié l'histoire car les personnages sont si mal croqués !...
Mazette, je me suis encore fait avoir par la nouvelle base de donnée, je souhaitais bien-sûr mettre 10/10
Ce premier cycle est vraiment passionnant et me fait penser à DA Vinci Code. Les planches sont superbes et les personnages sont passionnants car tous un peu troubles. Cette lecture nous incite à nous plonger dans le deuxième cycle.
Cet épisode est superbe, action, amour, duperie, assassinats, fourberies et heureusement amitié. La quête archéologique et historique de notre scorpion est palpitance, voir très piquante et les planches sont superbes, un vrai bonheur.
Salut
Je suis étonnée qu'un manga ai pu me divertir autant. Bien sûr il y a la beauté des personnages mais aussi des habits créés. Il y a différentes personnalités très intriguantes et attachantes , au fil des 5 tomes on s'attache à TOUS les personnages. La fin est claire et logique, j'ai refermé ce tome en me disant j'ai bien fait de m'intérresser à un Shojo à 30 ans...
Les tomes 2 et 3 tiennent toutes leurs promesses et démontrent jusqu'où les hommes sont près à aller pour obtenir le pouvoir. Tous les moyens et les discours sont bons. Ici les actions s'enchainent à un rythme effréné. Cette série est excellente !
Depuis le temps que je souhaitais lire cette série, je n'ai pas été déçu. Le thème est excellent et peut-être pas si extravagant ! Les personnages prennent forme et finalement ce qui me semble important de retenir c'est que le monde n'est pas binaire, ni bon ni mal ces notions étant créées pour asservir les masses...
C'est un bon petit polar avec un scénar bien ficelé. Certains qualifient le dessin d'un peu trop classique; personnellement je trouve qu'il y a sans doute eu pas mal de recherche de la part des auteurs sur le contexte: architecture, vêtements, organisation administrative, sociale, politique...
Manque juste une ambiance crédible, ce quelque chose d'indéfinissable qui entraine le lecteur dans un autre monde: pas facile de ressentir, de penser comme ceux de cette époque et de ce lieu...
Très belle BD.
C'est le sentiment premier qui se dégage : Esthétique désuette irréprochable, et perfection des lumières, courbes, couverture, paysages, architectures...
C'était risqué de faire croire que cela allait se limiter à cela. Cela va même jusqu'à laisser imaginer qu'il va y avoir une place pour les scènes coquines superflues. Pendant qu'on se laisse un peu emmener malgré nous sur ces fausses pistes, l'intrigue qui porte bien son nom s'installe confortablement pour nous saisir à plusieurs moments, et il est vrai, nous laisser sur notre faim, après la dernière case. Le suspense prend donc son envol et avec le grand Filippi aux commandes les turbulences sont à prévoir...
Petit à petit tout se met en place. La renaissance de FLAVIA a été dure. Je suis enfin entré dans cette histoire et je la trouve finalement captivante. Le travail sur les couleurs et les personnages sort de l'ordinaire. A suivre donc
J'ai eu je l'avoue un peu de mal à rentrer dans l'histoire puis je me suis laissé embarqué par les planches magnifiques; La transposition de la lutte entre huns et romains dans une dimension ou apparaissent des armes ultra modernes cotoyant des sabres et des poignards et où l'utilisation de vaisseaux spaciaux dont le secret est détenu par l'intelligencia religieuse peut permettre la conquête de l'univers ouvre de belle perpectives.
Le scénario est toujours très complexe et les références à histoire secrète et Arcane majeur viennent alourdir le récit. Le tempo reste cependant soutenu et l'hitoire agréable à lire.
Ce tome est très bon même s'il faiblit d'intensité. Marie est bien le super agent du Roi, mais bientôt accusée à tort d'en vouloir à sa vie. Le prochain volume risque de ne pas être de tout repos pour notre héroïne
Le deux remplit bien ses promesses, les méchants le sont vraiment et nos héros ne sont pas épargnés. Effectivement il existe bien un faux trésor qui débouche sur une vraie tuerie. Mais on sent que l'amour se doit de triompher. Passionnant...
J'aime beaucoup les westerns et je suis un inconditionnel de Blueberry. Cette BD est une excellente surprise et possède le côté épique indispensable. Le Nord contre le sud, et pour une fois les monstres sont ici au Nord, une famille prête à tout pour récupérer le papa prisonnier, on sent que derrière ce plan difficile et très risqué se trouve quelques chose de plus sonnant et trébuchant !
Une histoire policière allègrement dure et très amusante en même temps, vivace et une vision pittoresque de l'Afrique.
Le dessin est chaud, et a un petit quelque chose de Dumontheuil, je trouve.
L'histoire va sur les chapeaux de roue tout du long, et se conclue sans complaisance. Un dernier mot pour les personnages, très attachants, mais surtout pas manichéens. Seule toute légère déception : j'ai découvert au T3 que ce n'atait pas une histoire originale, mais une adptation de Série Noire, dommage.
Au fait, regardez bien dans le T1, le dessinateur fait des bourdes pas possibles au niveau d'une certaine "main"... à moins que ce ne soit voulu pour rajouter au "surréalisme" de l'Afrique, à ce niveau de plantage, c'est possible que ce n'en soit plus un !
Un manga chinois édité chez Tonkam.
Un joli dessin ais completement sous influence japonaise qui n'arrive pas à se trouver une identité propre. Quant au scenario, il est assez faible, voire léger comme une plume.
5/10 pour la qualité du dessin quand meme
Ce troisième tome (dire que je n'ai ni le premier ni le second...) est toujours écrit par Yves H. et, cette fois-ci, dessiné par le génial Dany : un très bon ensemble, très bonne histoire... avec de belles images et couleurs, c'est assez créative, je trouve.
N'hésitez pas de le goûter : Un Dany pareil, ce n'est pas un refus !
Je n'avais pas lu le premier tome et je le lirais pas je pense. Autant Beigbeder m'est plutôt sympathique autant la Bd m'a laissé totalement insensible. J'ai lu ça comme j'irais mangé au Mc Do. Comme quoi c'est vraiment pas facile de faire de la provoc. C'est même un domaine oui ça tombe très vite à plat ! Là c'est le cas...
Hésitant au départ, convaincu à l'arrivée. Les progrès du dessin de Wyllow depuis Au delà des merveille ajouté au talent de Davoz et aux couleur de Houdelot on laissé, en plus de la mise en forme superbe de l'oeuvre, un très bon souvenir dans ma mémoire (et ma bibliothèque par la m^me occasion ^^ )
Je m'attendais a une histoire plutôt bateau et instrucitve tout de même et en guise de cela, je me suis retrouvé dans un scénario bourré d'humour qui prend au fil des pages un dénouement peu attendu. Je conseille cet oeuvre à tout le monde ^^
seulement 10 ans ont passé!
un livre témoignage avec quelques longueurs mais un livre coup de poing
sacco en tant que journaliste pouvait aller et venir vers l'enclave de gorazde encerclée par les troupes serbes de bosnie
c'est édifiant l'onu n'en sort pas plus grandie que dans la bd coup de gueule de hermann
sarajevo-tango
cet avis vaut pour les deux
superbe!!lyrique!!
la guerre de troie (cet album raconte la genése)
le dessin me rappelle un peu le auclair de bran ruz
schanower met en scene l'histoire de belle façon avec des trouvailles scenaristiques comme expliqué dans la postface et un vrai talent de composition
mon edition est la troisieme il doit etre dispo sans soucis
vous aimez les univers dejantés avec des heros improbables a la lucha libre allez y franco
vous n'aimez que le style relaché les ellipses et les romans graphiques
passez votre chemin
voila une serie injustement méconnue!!
on suit l'histoire d'un cargo et de son équipage
les deux premiers albums sont des petites histoires le troisieme une histoire complete
le graphisme particulier peut dérouter mais il faut insister
et découvrir un vrai duo d'auteurs
riondet n'est certes pas un inconnu
malheureusement je me suis laissé dire que dubois est parti faire du dessin animé
les histoires sont de qualité et l'on s'attache a ces anti-héros.
je pense aussi que l'atmosphere de la marchande est bien restituée.
si un connaisseur de la marmar passe par ici j'espere qu'il le confirmera.
voila du tibet decoiffant une serie differente surprenante avec beaucoup de realisme et d'humour le graphisme soigne tres bonne histoire que du bonheur a quand la suite
Ranma 1/2 se deroule en 38 tomes et j avoue ne pas etre allé au bout.
Cependant, c est une BD tres rigolote dans laquelle je me suis meme surpris a rire car les situations rocambolesques sont tres bien trouvées. Une BD pas forcément subtile, mais légère, sympathique avec des personnages attachants.
Le seul bémol que je mettrai est le theme central (relation Akane/Ranma) qui évolue peu ce qui devient limite crédible au fur et a mesure des tomes.
Mais bon, pour rigoler et passer un bon moment, je recommande indeniablement Ranma 1/2.
Le decalogue est une assez bonne BD cependant les tomes n'ont pas tous la meme qualité (mention spéciale aux tomes I, IX et X qui sont excellents). L'idée du Nahik qui se tranmet d'histoire en histoire pour en arriver à la génèse originelle est bien trouvée (et la génèse dans les deux derniers tomes est assez fabuleuse je dois dire).
Une bonne BD, irrégulière mais honnête. 8/10 pour l'oeuvre intégrale (mais je mettrai 9/10 pour les deux derniers)
Que dire du triangle secret ? Un theme fascinant sur lequel on aurait aimé une trame beaucoup plus développée. A part le premier tome qui souleve des questions intéressante, le reste des épisodes est malheureusement tres lent (je me suis meme surpris à me forcer à lire des tomes), se perd dans des ramifications qui ajoutent peu à l'histoire charnière. Dommage car il y avait un énorme potentiel.
Un premier tome sensationnel avec une histoire haletante, des enigmes seduisantes et le fait de rien savoir qui nous donne un imagination debordante. Des le second tome, on est un peu decu par la tournure des evenements car pas grand chose ne se passe et le troisieme m est apparu tellement pauvre que je n ai pas acheté le quatrieme.
J ai trouve ca dommage d autant qu il y avait un enorme potentiel a exploiter apres le premier tome.
Quant au second cycle, peu de gens l'ont apprécié, alors...
Avant toute chose, les chroniques de la guerre de Lodoss sont probablement ce qui a été fait de mieux en heroic Fantasy au niveau des mangas. Le dessin de Yamada (qui est plus generalement illustrateur) est tout bonnement somptueux dans ces deux tomes.
L'histoire de cette chasse aux démons met en scene les principaux personnages qui deviendront des legendes dans l'histoire de Lodoss (pour les intéressés, les OAV qui se déroulent bien après sont d'excellentes qualité malgré leur âge).
Des personnages bien différents (nain, prêtre, chasseuse de démon, mercenaire, chevalier...) se rassemblent pour aller combattre un démon supérieur. On pourraît estimer a juste raison que c est un peu cliché, cependant les personnages sont creusés, le monde assez bien développé (meme si on aimerait en savoir un peu plus), et l'histoire subtilement ficelé.
Indubitablement une oeuvre maîtresse dans le genre.
Scénario intéressant pour cette série méconnue qui n'était pas si mal, toujours sur le thème d'après la guerre, mais bactériologique cette fois, ce qui donne des mutants et pose le problème de la différence.
Ce deuxième tome sur l'évolution d'un ado qui découvre sa vrai nature est touchant.
Voilà un volume qui sort pour une grande partie de l'intrigue principale et développe plus en détail la vie de Goro et natamment sa famille. Plutôt pas mal fait d'une manière générale même si ça prend beaucoup de place. Par contre à la fin on revient dans le sujet principal et le prochain volume promet d'être intéressant.
Un volume plutôt sympa dans l'enssemble avec notamment la dernière histoire qui semble concerner les hommes en noir (suite et fin dans le prochain volume). Cependant avec l'habitude je ne me fais plus d'illusion elle va surement tourner court. Voilà une série qui va bien atteindre les 100 volumes facilement.
Je trouve Superman:Red Son assez moyen.
Pas par le dessin, qui est bon, mais je trouve que l'idée de départ aurait pu etre exploitée autrement...Sans rien révéler, on dira qu'on voit tout de suite que c'est fait par les américains!
Beau dessin dans ces albums découverts à l'occasion du déstockage Glénat. J'espère que l'on retrouvera Sicomoro dans d'autres séries.
L'histoire est typique de Makyo, on part de la réalité pour glisser vers l'étrange et l'inquiétant. Ca se laisse lire et ne mérite pas cette abandon par Glénat.
Le cycle de la terre démarre comme une quête, très peu d'action et beaucoup de recherches. La rencontre de Fauche le vent et de Setzuka augure d'un deuxième tome plus enlevé qui nous Dévoilera ce qu'il est advenu de Noburo. J'ai mis 8 pour les 3 volumes bien que je reste sur ma faim quant à l'évolution de la série...
Sympa cette intégrale qui réunit la première saison. J'étais passé à côté de cette série et grace à mon libraire, j'ai pu me rattraper pour pas tellement cher.
Le scénario est palpitant, plein de rebondissements et de personnages attachants. Le dessin est très attrayant. Le petit format est maniable, mais n'est-ce pas au dépend de la mise en valeur graphique ?
J'espère ne pas attendre les 40 de Delcourt pour avoir l'intégral de la saison 2 dans le même format !
Bon si tous les garages seraient comme chez Isidore, eh bien y aurais beaucoup plus de pietons mais ce serai plus marrant d'aller porter sa voiture en réparation. On passe un bon moment de lecture sans prise de tête.
Les aventures (gag une planche ou 2) d'un loubard en Harley, de son rat et de ses potes du sli-bar qui font passer un bon moment de rigolade ce qui n'est pas difficile avec Coyote aux commandes.
Ce premier volume nous laisse un peu sur notre faim car on ce demande ou veux nous emmener l'auteur.
Néanmoins la suite est attendu avec impatience pour avoir une réponse a cette question.
Le dessin et les couleurs sont superbes.
Cette bd fut dévoré en moins d'une heure, je la conseil pour votre collection.
Encore une BD découverte par hasard et grace aux avis postés sur le site. Quelle classe, le scénario nous emmène en voyage dans le temps à la recherche de cette femme mystérieuse un peu comme dans une enquête policière. Une sorte de quête à la Marcel Proust dans à la recherche du temps perdu. Un seul bémol, à quand la suite !?
Voilà une excellente série sur le personnage méconnue qu'est Sentry. Certe il s'agit d'un personnage plutôt difficile a développé à cause de la puissance de ses pouvoirs (à un certain niveau il est difficile de trouver des ennemis convainquant pour le mettre en difficulté). Ici le paris est réussi l'intrigue étant extrèmement bien traitée avec son lot de suspense et de rebondissement. L'habilité du scénariste fait que par moment on a, comme Sentry, du mal à distinguer ce qui est vrai de ce qui ne l'est pas. Bref le tout est passionnant à lire.
La chose riche et célèbre : voilà un postulat de départ fort intéressant qui doit changer pas mal de choses. Cependant on se rend vite compte que les choses ne sont changées qu'en apparence. au fond Ben Grimm n'est pas mieux considéré qu'avant par ses nouveaux riches "amis". Pour eux il ne reste qu'un monstre mais avec la l'argent ça en fait donc quelqu'un de plus fréquentable. L'histoire est vraiment bien traitée et on ne décoche pas une seconde avant la fin.
J'ai beaucoup aimé cet album. En effet l'intrigue est très bien développé avec une bonne dose de suspense, d'action et de révélations. Outre la recherche des origines d'Ethan l'intérêt premier de cette série est pour moi le côté policier et infiltration dans le milieu du grand banditisme de l'époque qui est très bien développé avec pas mal de rebondissements fort passionnant à suivre.
Bref c'est une très bonne série.
Cette fin de cycle est plutôt réussie. L'intrigue est bien menée, le suspense bien entretenu et l'action très présente. Les rebondissements donnent de l'intérêt à l'intrigue et les personnages sont plutôt intéressant sans être toutefois bien originaux. Globalement on passe un bon moment et c'est l'essentiel.
sombre à souhait. Une lecture intéressante à plus d'un titre...
Ce nouveau cycle démarre sur terre et tout son intérêt ressort à la lecture du 6.2.
MAZETTE JE ME SUIS FAIT AVOIR, cette BD mérite 10/10 !!!
Une vraie BD de SF sans trop d'effets spéciaux, des actions efficaces et des sentiments justes, le tout servi par un scénario sans faille. les morts de Anna et Mary-Kate, viennent ajouter de l'impact au drame. Ce cycle représente une belle réussite.
-
Chronique de psychiatrie
Le « je » est autre…comme disait l’autre.
Autre secteur, autre service, autre tuteur. Ah ! la psychiatrie, c’est vraiment quelque chose.
Le nouveau tuteur, monsieur Iseya qui passe le plus clair de son temps à annoncer des chiffres, est pour une fois un personnage contre lequel il ne peut s’indigner, ni combattre. A force de donner des coups d’épée dans l’eau, il fera un retour sur lui-meme…une introspection l’obligeant à lutter différemment, c’est-à-dire en comptant les points lors des matchs de ping-pong .
On revoit aussi les anciens tuteurs, déjà le passé…et des efforts sont entrepris dans sa relation amoureuse ( le futur ?!)
Fable amusante et interessante, celle du journaliste qui s’enferme avec « les fous » comme pseudo alcoolique, pour finalement en devenir un aux yeux des autres membres de son journal. Par là-meme il pose la question de la discrimination au sein meme du système hospitalier, et aussi du jeune interne ; mais aussi au sein meme de son propre journal régit par le spectaculaire et le mercantilisme. Etrangement, c’est ce journaliste qui se confiera à notre jeune interne…
Il montrera ainsi les carcans et les œillères de notre société de consommation, et de notre chair à consensus.
Meme si l’article crée par le journaliste est sans aucun doute fin, précis, et passionnant, le pusillanimité inhérente de notre « petit monde » suffit à le bannir.
Ce sont encore nos préjugés et nos réflexes qui seront mis à rude épreuve par l’intermédiaire de Mr Ozawa qui a engagé un processus de rétablissement.
C’est là qu’un fait médiatique et traumatisant apparaît.
Ce personnage sera ( trop) rapidement considéré comme un malade mental.
Que voulez-vous qui dit psychodictature dit trouble mental…
Les errements de notre parole trouvent échos en cette jeune demoiselle nommée Hayakawa. Elle se considèrera comme la meurtrière, elle en souffrira d’ailleurs, alors qu’il n’y a pas de quoi.
Mais ça reste une question de point de vue et de sensibilité de la personne.
C’est là qu’intervient le psychiatre Iseya, en agissant à l’encontre de sa hiérarchie, il se place du coté de ses patients…mais n’a-t-il pas déjà un passé de fauteur de trouble, de meurtrier qui laisse ses ex-patients en proie à eux-memes une fois dehors, alors que les médecins font de ces « fous » des patients à vie.
Le reste est anecdotique, ou le jeune Ozawa trop fragile subit de plein fouet la pression de la communauté extèrieur et tente de se suicider…
Bref, pas de méthode miracle, pour chaque patient il faut se remettre sous-pression pour mettre en place un dialogue possible.
Ces tomes sur le service de psychiatrie sont emplis d’amertumes .Un constat sévère, un bol de cigue qu’ils boiront tous, malgré tout un pale espoir survient, mais n’est-ce pas la lutte du pot de fer contre le pot de terre.
Depuis le tome 8, Say Hello To Black Jack prouve largement sa réussite malgré l’incarnation Christique de notre jeune Don Quichotte, et quelques tiques qui perdurent. Il faut se rendre à l’évidence que ce service est complètement accompli.
Dommage qu’il ait fallu attendre autant ( 7 Tomes ? ! !) pour avoir un message porteur, et le début d’une forme de détermination.
-
-
Say Hello to black Jack T 8 !
Chroniques de Cancérologie
Nous avions les prémices lors des tomes précédents ( Cf t 4 et t 7 !), cette
fois-ci c’est bien le rapport au corps et le gouffre qui nous sépare de la mort qui sont abordés dans ce nouveau tome.
Avec le cheminement de cette vieille femme, à la fois extérieur ( vers l’arbre !- je vous laisse trouver le symbole !), et celui à l’intérieur du système hospitalier Japonais, c’est-à-dire le traitement lourd du au cancer. C’est le corps et le visage de cette femme qui va de plus en plus se creuser pour finir par etre méconnaissable, c’est ce corps malade et meurtri qui petit à petit nous touchera, il en deviendra meme genant. On est loin des amours inconditionnels, absolus, et hypocrite que l’on nous bassine à longueur de temps.
A partir de cette femme on peut faire un parallèle avec la réconciliation entre les 2 « tuteurs » qui ont des méthodes différentes de traitement. Evidemment cette réconciliation n’aurait pas pu avoir lieu sans l’effort de notre cher Don Quichotte.
Cela n’empeche pas notre héros d’etre au bord des larmes ( j’ai dit au bord !) lors de son départ du service.
Par là, il devient évident que l’auteur utilise les memes procédés à chaque fin de service.
Malgré tout un tome qui questionne l’existence, et l’absence laissé par le corps mort.
(Pour la première question se reporter au début du tome, et pour la seconde c’est lors du discours de notre jeune interne devant l’assemblée des médecins.)
-
Très très bon tout ça !
Le dessin et la mise en couleur sont des réussites incontestables. L'histoire bien que classique est intriguante. J'espère juste que la mention aux templiers se justifiera par la suite parce que sinon c'est un cheveux dans le potage.
Un ouvrage avec des dessins beaux et purs et une palette de couleurs qui sert l'émotion de cet acte de protestation légitime face à une attrocité commise par l'autorité publique de l'époque.
Il m'est resté en première impression néanmoins un malaise dans le bide après avoir lu ce livre. J'ai eu l'impression d'avoir subi un acte de propagande manichéen. On est franchement dans le tout blanc d'un coté face à un pouvoir obscur symbolisé par des protagonistes anonymes ou des CRS insignifiants. Et l'on retrouve donc là (volontairement ou involontairement ?) les éléments d'une propagande ce qui en soi est dérrangeant. Il n'y a aucune mise en perspective de la portée de l'acte collectif qui est décrit mais juste une mise en valeur d'un comment plutôt qu'un pourquoi.
Puis j'ai relativisé ma perception en cherchant à ne pas interpréter ce que je venais de lire selon mes représentations de l'univers des actions collectives et syndicales de notre époque. En effet, l'engagement de corps et d'esprits authentique et fort décrit dans le livre est sans commune mesure avec les mouvements de foules d'aujourd'hui, braillards mais sans idéal ni soucis du progrès pour l'Homme (bien qu'il soient souvent orchestrés par les mêmes organisations citées et décrites).
Je reproche à l'oeuvre de ne pas avoir dans son cheminement scénaristique pris le soin de donner les repères permettant d'apprécier la portée des engagements et des convictions datant d'un demi-siècle. Cet ouvrage a une approche de description de lutte qui y existe que pour ce qu'elle est et pas pour ce qu'elle a pu engendrer dans les esprits. Finalement l'intérêt du bouquin ne réside que sur la rencontre hasardeuse d'une lutte légitime et d'un éclair de poésie. Cela n'en fait pas un chef d'oeuvre puisque c'est justement la partie où le graphisme sert le moins bien le récit.
Michel Pierret s'en tire bien en se retrouvant seul aux manettes. Les dessins sont agréables et le scénario un peu convenu se lit bien.
C'est vraiment une bonne série, presque mieux que la Croix de Cazenac qui est beaucoup plus compliquée et ésotérique.
Là c'est de la bonne intrigue mi-espionnage mi-chronique sociale bien ancrée dans son siècle. J'aime bien les dessins des frères Stalner, et je trouve dommage qu'ils se soient séparés. les dessins d'Eric seul sont un tout petit peu moins bien.
Bonne action de Derib qui essaye de montrer sans trop moraliser les dangers de la prostitution. C'est une oeuvre engagée comme Jo du même auteur sur le sida.
Deux albums à avoir dans sa bibliothèque si on a des enfants pour leur apprendre les réalités de la vie.
Et c'est bien entendu superbement dessiné et mis en page.
Une vraie BD de SF sans trop d'effets spéciaux, des actions efficaces et des sentiments justes, le tout servi par un scénario sans faille. les morts de Anna et Mary-Kate, viennent ajouter de l'impact au drame. Ce cycle représente une belle réussite.
Une des premières oeuvres de Masamune Shirow, auteur de manga d'Appleseed, de Dominion et du plus connu Ghost in the Shell.
Ce manga reprend plusieurs histoires lesquelles sont toutes des anticipations du futur (comme d'habitude pourrait on dire). Pour les connaisseurs, on y retrouve beacoup de themes communs d'Appleseed tels les êtres humains artificiels (bioroïdes) ou les ordinateurs gérant la société.
Un dessin un peu passé, qui n a plus rien a voir avec les nouveaux dessins de Shirow, mais qui ne rebute pas. Côté scénario la complexité est toujours de mise ou il faut lire soigneusement pour comprendre et interpreter les histoires. En tout cas un bon manga tres riche pour les amateurs du genre
Les pirates de Ratafia sont de retour ! Toujours autant de jeux de mots (les auteurs se sont visiblement lachés) et de situations cocasses. Charles qui a peur des poules au point de rester scotché contre un mur, Romuald devenu Capitaine et dictateur, une espèce d'Arche de Noé avec Adam et Eve façon club Med... On en redemande !!!
Voilà une BD jubilatoire où l'on se trouve embarqué dès les premières planches. Ici pas de bla bla, Marie veille sur la vie du Roi et rien ou presque ne lui résiste. Je suis très heurux d'avoir déniché ce trésor par hasard, d'autant qu'il me reste deux tomes à lire !!!
Alors là je suis déçu, mais déçu!!!!! Alors en gros 2 moines avec des pouvoirs, oh tiens si on cherchait pourquoi ils sont pas gentils... Le gros problème selon moi de ce tome est la platitude su scénario, cela est dû au long , long , très long passage de temple en temple, 1, 2 , 3 , 4 , 5 , 6, 7... fiou!!! oui et sinon? Ce passage, sans grand intérêt bouffe tout de même 16 page de la bd soit le tiers, un peu gros non? On sent que ce cycle aurait largement tenu en 1 tome!!! Les dernières pages du tome rattrappe un peu le reste, mais c 'est un peu court surtout qu'on nous a habitué à mieux! De plus certains passages humoristiques sont carrément pompés sur des blockbusters ciné, c'est un peu lourd.
Voilà, grosse déception pour moi en ce qui concerne ce troisième volet....
Manga magnifique. A Lire Ab-so-lu-ment !
Le scénar est super, le trait de l'auteur fin et laisse bien rêveur...
Petite merveille, en somme. Je conseille en tous cas ^^
Au passage, regardez les 2 OAVs, mon copain me les a offerts ce noël, et ils sont vraiment superbes, le tout avec une musique de Ellegarden qui jette bien.
+++ =)
Une série prenante, très prenante... Une série où, arrivé à la fin d'un tome, les doigts nous brûlent pour attaquer le suivant.
L'idée plutôt banale d'une jeune femme à la recherche de son frère est ici exploitée avec intelligence et précision. La construction scénaristique est solide et l'on sent que l'auteur n'a rien laissé au hasard.
Les dessins s'améliorent de tome en tome pour un trait plus fin dans le cinquième, et un visage plus féminin pour notre héroïne.
On retrouve tout au long de ces cinq tomes une véritable ambiance, un vrai souffre de chaleur des pays lointains vous saisit car on y croit. On croit aux personnages, aux lieux... Les diverses situations politiques, économiques et sociales sont développées et intelligentes. On y comprend même quelques choses (ce qui n'est pas toujours aisé dans d'autres séries !).
Et l'on s'attache à notre héroïne, Véra. Belle et fière, elle s'accroche malgré tous les obstacles qui viendront se mettre en travers de sa route, tout en restant humaine, sans jamais sombrer dans le piège de la Wonderwoman où il était si facile de tomber. Notre héroïne possède des qualités, mais aussi des défauts, ceux qui la rende crédible et attachante.
L'auteur se permet aussi de traiter d'autres sujets comme la corruption, la prostitution, la guerre, l'argent... Peut être manquent-ils de profondeur…
Seul véritable bémol à cette très belle série, la fin. Et oui, la fin est bâclée et tellement catapultée, qu'on ose à peine y croire lorsque l'on lit les dernières cases. Cette fin est presque qualifiable de « mauvaise ». Toute l'histoire, si patiemment montée, si intelligemment organisée, est résolue en trois planches ternes, banales au possible, vues mille fois, hors contexte, trop en dessous de la qualité de cette série,. Un pauvre rebondissement est à peine soufflé et l'on termine sur une image plate, sans vie, sans même envie de se dire "j'aimerai bien une suite". Tout ça pour ça ! Dommage...
Est-ce que l'éditeur a obligé notre auteur à tenir son format de 56 pages, ou bien les idées sont parties dans les délais à tenir pour rendre le travail ?
Heureusement, il reste les merveilleuses planches, dépaysantes, bouleversante, dans la lignée d'un grand Bourgeon. Merci pour ce beau voyage !
VLAD est un personnage aussi attachant qu'efficace. Les dessins et les couleurs servent magnifiquement cet épisode même si ma préférence va à Christophe QUET. L'histoire se déroule à Istanbul et la fin du tome rejoint celle du précédent dans ce coup de fil entre TRAVIS et VLAD. Entre deux il s'en est passé des choses !
Ce qu'il y a du bon lorsque la suite d'une série sort, c'est de continuer l'aventure et aussi de relire le ou les tomes précédents. Le 4 est vraiment de loin le meilleur et l'on y découvre le passé de Duncan et l'aide de Mood qui lui sauve la vie et lui permet d'entrer dans Stargate. Le côté surnaturel est laissé de côté et c'est une bonne chose. Les planches sont très réussies. Je vais maintenant découvrir le tome 5 avec beaucoup de conviction.
Le tome 3 m'a permis de rentrer enfin dans cette série. Le scénario se pert moins dans le surnaturel et les personnages prennent de la consistance. On s'attache à Duncan, Pandora et miss Mood.
Fin du cycle premier. Neige apprend enfin la vérité sur ses parents. Il se bat autant contre la faune dégénéré du monde apocalyptique qui l'entoure que contre ses propres démons intérieurs. Heureusement que les hospitaliers ont gardé quelques réminiscences d'humanité...Le tome 2 boucle parfaitement ce premier cycle de Neige qui est à mon goût de très loin le plus reussi ...Scénar et dessins sont excellents.
Géniallisme. J'ai passé un moment merveilleux. Cette Bd aux allures de conte est trés réussie. Couleur, dessin, scénario, langage...Tout est au rendez vous. Pour les amateurs du genre, a ne manquer sous aucun prétexte.
Vraiment bien. La carriere de Sarkozy est passée à la loupe. interessant, meme si parfois trop caricatural, mais finalement c'est le but, on passe en revue toutes les étapes de son ascension.
Cependant, il est vrai qu'il faut mieux s'interesser a la politique pour accrocher a ce genre de BD, 148 pages certainement barbantes pour des personnes n'y prêtant pas interet.
Sujet traité avec beaucoup de réalisme. Les explications de la fin sont effectivement trés interessantes. Les dessins et les couleurs sont vraiment adaptés a ce genre de récit, de part le coté glauque qu'ils amènent en plus. Certain passage sont assez difficiles a voir.
Trés bon, a lire si vous en avez l'occasion.
Cette Bd est un peu étrange. Peu de dialogue. Mais finalement j'ai bien aimé. L'histoire est surprenante, un tueur a gag a pour mission de tuer Hitler grace a une machine a remonter le temps. Pas vraiment banal. A travers cette histoire, Jason mele les sentiments humains, en particulier l'amour, qu'il confronte aux effets du temps, ce qui est le plus interessant a suivre finalement.
Un peu spécial, pas sur que ca plaise a tout le monde mais faut tenter le coup.
Vraiment bien !
C'est un plaisir sans fin que de lire et relire ces 3 tomes de pur n'importe quoi. On se délecte des références à la volée qui parsèment l'aventure. Raoul est vraiment un naze à la Tronchet attachant et irrécupérable.
Les dessins sont superbes et l'intrigue est vraiment sans faille. Une bd que les fans de bd devrait tous avoir lue !
Génial !
C'est la première bd de Larcenet que je me suis acheté : Je me suis vraiment poilé du début à la fin. C'est une référence sur des références.
Bon dieu Applefish qu'est ce que vous foutez ?
Quelle déception après le tome 1 : le cheminement scénaristique est baclé et les persos perdent la profondeur acquise dans le 1er tome :
- il est évident que la fille tombe raide dingue du gosse sitôt qu'il a tiré sur les agresseurs, passé du temps dans le comas et surtout évité toute conversation, c'est mathématique !
- l'écossait a attendu que son ancien élève vienne le voir pour mourir dans ses bras comme à Hollywood... l'apprentissage du gamin est très mal rendu...
J'en passe, on peut s'en passer d'ailleurs.
Vraiment joli et immersif... Bonne intrigue et qualités artistiques. Les visages sont par contre irréguliers en qualité.
Dommage que le tome 2 gâche tout !
Quelle claque à l'époque. Cet univers post apo m'avait fasciné tout autant que le destin de Neige. Moults années après, je relis ce tome avec toujours beaucoup de plaisir. Le tome 2 est d'ailleurs dans la parfaite lignée des Brumes aveugles, très bon. Après ca se gâte petit à petite...mais j'yreviendrais !
Ma déception de l'année ! J'en attendais beaucoup et au bout du compte je n'ai rien eu. J'ai eu un mal fou à m'intéresser à cette histoire qui flirte à mon goût trop souvent avec le genre "à l'eau de rose". Je me suis forcé à le finir pensant que la chute allait un peu arranger mon impression, mais non, même la fin ne justifie pas cette quantité atrsonomique de pages et surtout de redites. Long et ennuyeux donc...
Présentation de l'éditeur:
" En relisant l'œuvre maintenant, il est clair que Black Orchid (tout comme le Daredevil et Dark Knight de Frank Miller ou le Miracleman, Swamp Thing et Watchmen d'Alan Moore) est un de ces livres qui a contribué à scinder l'histoire de la bande dessinée moderne en deux, et à manifester, au sein de son univers, l'essor d'une bravoure et d'une ambition nouvelle. Dans une certaine mesure, Black Orchid tente d'aller plus loin dans cette percée collégiale en faisant constater que, si hardies, brillantes et branchées que soient les nouvelles bandes dessinées, la plupart d'entre elles finissent encore par recourir aux mêmes coutumes narratives et moralistes tant rebattues, selon lesquelles des hommes violents sauvent le monde par des options radicales et un courage brutal. Or, dans ce livre, il se produit quelque chose de différent. Ce qui fait de Black Orchid un roman graphique à part. C'est un acte d'imagination et d'espoir qui veut porter, une forme littéraire par trop sous-évaluée, jusque dans des sphères où elle ne s'est jamais jusqu'ici aventurée. " Extrait de la préface par Mikal Gilmore.
Afin de conclure ce diptyque en beauté, Christophe Dabitch et Jean-Denis Pendanx continuent de romancer la biographie de René Caillé, alias Abdallahi, et les carnets de son laborieux voyage vers la ville mythique de Tombouctou en 1827.
Alors que le tome précédent consacrait encore une partie de l’histoire aux préparatifs, ce deuxième album se concentre maintenant sur le pèlerinage éprouvant de 4500 kilomètres à pied, de cet aventurier français qui se converti initialement à l’Islam pour servir sa gloire personnelle, mais qui finira par trouver refuge dans la prière et la lecture du Coran pour survivre mentalement à la dureté de son périple.
Une odyssée au sein d’un continent africain encore vierge de toute colonisation qui fera vaciller ce Charentais fils de bagnard physiquement, en flirtant avec la mort, mais également mentalement, en l’entraînant au bord de la folie.
Une aventure qui va étaler les beautés non souillées de l’Afrique au lecteur, tout en lui ouvrant les yeux sur les négriers, et en imbibant ce premier Européen à revenir vivant de Tombouctou, ville interdite aux Blancs, de désespoir et de détresse au fil des pages. Une traversée du désert du Sahara qui parsèmera de doutes notre pèlerin concernant l’utilité de son exploit et qui laissera les auteurs dans l’incertitude quant aux réelles motivations de cet explorateur, pionnier de la colonisation française en Afrique ou humaniste anti-esclavagiste ?
Le dessin en couleurs directes brûlantes et brillantes de Jean-Denis Pendanx, fait transpirer cette Afrique poussiéreuse à la chaleur palpable. La désolation de Tombouctou et la noirceur des pensées d’Abdallahi lors du retour contrastent magnifiquement avec la luminosité du désert et avec le décor final plein de quiétude, imaginé par les auteurs.
Finalement, alors que cette fin d’année permet de retrouver côte à côte le cinquième tome du «Chat du Rabbin», qui offre une réflexion subtile sur le voyage d’étrangers allant d’Alger jusqu’en Éthiopie, et le deuxième tome de cette traversée du désert qui pousse un être humain au-delà de ses limites, on finit par se dire que c’est très beau de philosopher, mais qu’il n’y a quand même rien de tel qu’un témoignage poignant tel qu’Abdallahi.
Ah Dragon Ball (quasiment un institution).
Pas trop fan de DBZ et de ses combats à rallonge ou les héros deviennent toujours plus fort que fort dans l'univers intergalactique (theme assez affectionné par les japonais), Db est un manga vraiment tres rigolo avec des personnages sympas et des quetes dans lesquelles on se laisse prendre totalement.
Une vraie réussite
Effectivement un bon scénario mais que j ai du mal à considérer comme entièrement abouti (personnage pas toujours tres creusés, manque de clarté sur les organisations, monde pas completement defini) cependant un des meilleurs de Morvan, je dois bien l'avouer.
Dessin assez bon, parfois clipé, mais qui a son charme en cherchant un peu du coté manga.
Malgré tout, ce n 'est pas fabuleux à mon sens car Nomad souffre cruellement d'un manque de fond, ce qui est souvent le cas malheureusement avec Morvan (pareil pour HK)
Petite série sympathique qui arrive à nous accrocher grâce à un scénario bien fait (mention spéciale pour le cycle de Malicorne) et un dessin qui cherche de nouvelles possibilités au fur et à mesure des épisodes (le cycle des sceaux de l'apocalypse est graphiquement tres réussi).
Une série qui a un ton tres leger. Par rapport aux critiques qui ont été émises précédemment je pense que Percevan a effectivement une dimension "jeune" qui lui est propre, cependant elle est dans ce contexte tres aboutie et réussie la ou d'autres bandes dessinées dans le même cadre se cherchent et ne se trouvent pas
Ce deuxième opus est surprenant car il nous emmène dans une autre dimension. Nous sortons de l'enfance pour y revenir dans cette recherche obstinée de Thomas qui représente le commencement de tout. Cette quête est haletante et en même temps frustrante car elle aboutit finalement à la mort, ce pays où le regard ne porte pas.
-
En apercevant la couverture du tome 17, je me suis dit que l’auteur corroborait le rire de Guts tome 16, et donc qu’il acceptait « sa destinée elfique. »
Retrouver Guts et Puck cote à cote, et non pas d’égal à égal, le prouve assez.
Par contre, J’ai toujours une grande crainte que l’auteur se plante totalement et passe dans la production des Seinens médiocres comme GLO, Zetman et autres .
Heureusement, ou malheureusement pour mon porte monnaie, les aventures de Guts sont toujours traitées de manières excellentes, et fines par l’auteur.
Pour aller à l’encontre des : « Ouais, berserk est une tuerie, ou/et des chantres de la boucherie ! »
Un tome ou Guts est justement avare en coup d’épée visible pour le lecteur, pourtant, elle est omniprésente symboliquement en tant que « lien », c’est cette tache, cette rencontre entre « l’enfant prodige », et le récit de l’ancien que narre l’auteur.
Un récit lucide dénué de sagesse ! ( La sagesse c’est d’arreter de se battre !)
Il est interessant de remarquer qu’il y a une interaction, un contexte, entre le jeune et l’ancien. (Ce qui le maintient en vie sans aucun doute.)
Dans un monde ou les rituels sont en périls ( tiens, c’est bizarre !), ou la notion de culte est réduit à l’immédiat, l’épée devient un repère, une bouée avec une tete de canard, une manière de s’extraire de la masse, de se marginaliser aussi.
Auparavant, l’épée était déjà un refuge affectif pour Guts, en repassant dans les mains de l’ancien et en étant reforgée, elle s‘arroge ainsi un récit affectif, la violence est donc instrumentalisée. ( on se méprend lourdement quand on cherche à oublier la violence, ou à la combattre ! !)
Et surtout, on est pas là pour jouer au maimaitre et à l’élève.
( De nos jours, la psychodictature de l’adulte
« normal » qui considère qu’il doit servir de références aux autres, bafoue les agés, les enfants, et les étrangers—c’est l’ère de la communication et on a jamais autant peu parlé—tous ceux qui s’écartent du récit dit : « normal » !
La normalité étant régit par le souverain néant, dont sa particule s’appelle : « l’anarcho-mercantile ».
Une pression qui est partout et nulle part…
Par là meme, nous déboussolons, désorientons les agés car ils ne remplissent plus la fonction du récit.)
On retrouve Guts dans la grotte, là, l’auteur aurais pu nous faire le coup des « souterrains de l’ame »… et s’y perdre.
Pas du tout, l’introspection est sèche, apre , frontale, sans appel, comme taillée à l’épée. C’est encore plus flagrant dans la mise en scène !
Deux puissants éléments passionnels, mais non fusionnels, ressortent : la cruauté de son ombre( l'image représentant Guts et cette ombre est magnifique !), et celle qu’il aime.
(De là à dire que Casca sera la rédemption de Guts,
il y a un pas que je me garderais de franchir !)
Une réinterprétation brillante, sans aucune remise en question, en cause des antinomies, et des contradictions de Guts. Et surtout, il n’entre pas dans une idéologie foireuse ( exemple : se battre pour la vérité !), et encore moins dans le matérialisme faussement pragmatique.
Les forces, sans nous faire le coup de la fascination de la violence ou de sa représentation, à l’œuvre dans le monde ainsi que celles de Guts font penser l’œuvre en terme de multiplicité, d’advenir, de devenir et non plus en terme d’unité, de chose ou d’identité.
L’identification, l’un des codes les plus répandus est laissé de coté au profit d’une prise de distance avec le monde de Berserk et de son personnage principal.
La lecture de L’œuvre n’en devient que plus fascinante, plus foisonnante, plus luxuriante.
Un paradoxe génial qui ne fonctionnerait pas sans orgueil, celui de Guts. On verra ce que l’auteur a prévu pour la suite, mais ce que Guts promet c’est le sentiment d’appartenance, et le tout sans se la jouer maimaitre .
- Un tome Chef-d'oeuvre !( fallait bien ça, pour débuter la nouvelle année!)-
Intéressant.
Je suis de plus en plus fan de SF faantastique et je dois dire que cet album me parait être une très bonne introduction à une série qui poeut faire référence dans ce domaine. Cet album en effet prend le temps de bien poser le personnage, au détriment d'une intrigue purement SF. J'espère que les épisodes suivants pousserons loin les introspections d'Alister quand à sa croyance dans les réalités de l'au delà, sur la base d'aventures bien construire et documentées. Le dessin m'est apparu bien approprié au cadre (Angleterre début du siècle).
Je mets "à lire" (6/10) dans la crainte que la suite ne soit pas à la hauteur ou tout simplement baclée (4 ou 5 tomes me paraissent un minimum) car ce ne serait pas la première fois. Sans cette crainte, j'aurais poussé jusqu'à un "à lire absolument"
Le mois prochain je m'achète le tome 2 !
Je reprends le terme de "roman graphique" car c'est avant tout ce qui ressort de cet album : l'impression que l'auteur a fait une BD alors que cela aurait pu être un roman classique. Je n'ai pas trouvé, en effet, que le dessin soit indispensable à l'histoire, c'est plus une narration illustrée qu'une bande dessinée.
Autre point, certes subjectif, les yeux de Cati ne passent pas, j'ai passer mon temps à me demander pourquoi est-ce qu'elle a les yeux écarquillés, cela lui donne un visage étrange.
Au final une histoire excellente sur un sujet plutôt délicat, le tout parfaitement mené, sans voyeurisme. Un très bon bouquin, mais pas un chef d'oeuvre.
Histoire prometteuse, jolis dessins, mais on attend la suite pour se faire une opinion définitive.
La réputation de cette BD n'est pas usurpée, elle se lit comme un roman en images. Tout y est suggéré et les planches sont superbes. L'enfance y est racontée par petites touches où les sentiments prennent naissance pour la première fois, où tout a de l'importance mais aussi où certains comportements comme la colère de Paolo contre sa soeur, ont des répercussions aussi imprévisibles que brutales. Un parcours initiatique pour redécouvrir des sentiments oubliés...
Gipi, la grande révélation de 2005 avec "Baci dalla provincia", "Le local", "Extérieur Nuit" et "Notes pour une histoire de guerre", qui rafla le prix du meilleur album à Angoulême en janvier 2006, ainsi que le prix René Gosciny, reviens en force avec ce nouveau roman graphique à caractère autobiographique qui inaugure la nouvelle collection "Moby Duck" de Coconino-Vertige.
Dans ce superbe album consacré à son père, Gipi va essayer de reconstruire le passé de cet homme disparu. Fouillant les méandres de la mémoire il adoptera une structure non-chronologique, pour recoller petit à petit des souvenirs enfouis qui finiront finalement par former un tout cohérent et réfléchi. De façon plutôt saccadée et usant de flash-backs, Gipi va puiser dans la mémoire collective familiale des petits morceaux d’histoires romanisées au fil des années, pour nous livrer un merveilleux puzzle narratif, dont il finira par remettre en cause la véracité.
C’est donc de manière non-linéaire que, pendant 120 pages, Gipi va rendre hommage à son père, passant en revue de manière plutôt aléatoire plusieurs évènements se situant quelque part entre la jeunesse de son père lors de la deuxième guerre mondiale et l’enterrement de ce dernier dans un passé beaucoup plus proche.
C’est usant de son style graphique tout à fait singulier, mélange d’aquarelles et de personnages typiques ‘Gipi’, qu’il enchaîne des souvenirs précis agrémentés à la sauce familiale et des flash-backs plus brumeux, pour nous livrer un nouvel album incontournable.
Après "Les petits ruisseaux", Pascal Rabaté nous livre son deuxième petit chef-d’œuvre de l’année chez Futuropolis. Alors que pour "Les petits ruisseaux", Rabaté prenait encore le dessin à son compte, il confie ici cette tâche à un autre amateur de chroniques sociales : David Prudhomme.
Dans "La marie en plastique", Rabaté nous met en présence de trois générations d’une famille, vivant sous le même toit et dresse le portrait jubilatoire des interactions quotidiennes des membres de cette famille plutôt traditionnelle. En avant-plan de cette caricature familiale subtile, il place Mamie Emilie, grenouille de bénitier, et Papi Edouard, communiste militant. Les deux grands-parents ne savent plus se pifer et viennent perturber l’équilibre fragile de cette famille type.
La tension entre les deux vieux va monter au fil des pages pour atteindre son point d’orgue lorsque Mamie Emilie décidera d’imposer une vierge en plastique achetée à Lourdes sur la télévision du salon. Le cadre est celui d’un petit village rural, le ton est léger et les situations assez comiques mais tellement vraies.
A première vue le dessin de David Prudhomme m’a plutôt repoussé, mais après lecture je dois avouer qu’en plus d’une bonne lisibilité, son trait donne une touche d’authenticité supplémentaire à chacun des protagonistes de ce récit. Et finalement on finit par se dire que ces tronches de travers et ces corps aux proportions pas toujours esthétiques donnent un sérieux plus au côté caricatural et amusant à cette première partie de diptyque.
Et si avant lecture on pouvait reprocher à Futuropolis d’aborder cette histoire en deux tomes, la fin surprenante de ce premier tome nous fait vite changer d’avis.
Vivement la suite !