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Contrairement à Zanzibar qui critique Death Note en ayant lu que le tome 1 ,moi qui ait lu l'intégralité en scans je trouve que ce manga est fantastique et à lire absolument. Superbe manga entre le shonen et le seinen, INDISPENSABLE!!
Avec ce dernier épisode en format souple, on a vraiment l’impression d’avancer à grands pas dans l’histoire et dans le Monde de Lucie.
Après deux épisodes d’introduction, mettant en place les décors et développant la psychologie et les liens entre les différents personnages, les auteurs lèvent lentement le voile sur certaines parties de l’histoire de Lucie, comme cette mystérieuse chambre verte ou ce monstre noir qui hante les visions de la petite Margareth. Ce troisième tome donne donc l’impression de réellement lancer l'histoire et diminue le sentiment d’incompréhension, tout en maintenant cette envie d’en apprendre plus.
L’enquête des deux policiers, Karakis et Roberval, et surtout du duo de scientifiques en parapsychologie, Emma et Sacha Iablokov, fait de sérieux bonds en avant avec la découverte des travaux du Dr. Vladimir Szymanski, ancien chef d’un service secret de recherches en Union Soviétique, et de sa fille Carole.
Une découverte qui va introduire, de façon plutôt compréhensible, des théories assez poussées sur la parapsychologie. Naviguant habilement entre crédibilité et explications pointues, les auteurs rythment merveilleusement ce thriller parapsychologique à coups de séquences de quelques planches.
De plus, ils entretiennent un suspens prenant en ne dévoilant qu’une partie des pistes développées et en gardant quelques personnages clés, comme cet homme en fauteuil roulant et le père Berg, dans l’ombre de cette histoire.
Le dessin de Martinez continue de contribuer pleinement, et de manière fort lisible, à la création de cet univers paranormal envoûtant. Notons également le merveilleux travail de Kness, venu suppléer Nadine Thomas à la colorisation sur les 3/4 de l’épisode. Une colorisation qui crée une atmosphère très particulière et qui accentue de manière admirable chaque partie du puzzle à l’aide de tons différents.
"Le Monde de Lucie" continuera désormais en version cartonnée de six volumes de 100 pages, avec un premier album intitulé "Et pourquoi pas l'enfer", regroupant les trois premiers épisodes de ce format souple.
Vraiment une bonne bd ! J'ai moi-même été surpris par l'efficacité des blagues, et des chutes. Bien sûr ce livre se déguste, quelques pages par jour et ca suffit. Sinon le bouquin devient trop lourd et devient vraiment moins marrant. Mais on se surprendra a s'identifier un petit peu dans ce livre, c'est sûrement ca qui fait tout l'intérêt de ce blog.
La vignette sur le premier plat indique une aventure aux Indes dans la lignée du journal de Tintin. Et là surprise, nous voilà presque replongés en enfance, les personnages sont superbes et représentatifs des caractères humains. Mais plutôt que de rester un ersatz de Tintin, cette histoire prend son envol dans un univers plus dur et plus adulte. Les enlèvements des sahibs nous tient en haleine et nous fait attendre la suite avec impatience !!!
Acheté au hasard parceque je ne connaissais pas l'auteur j'ai adoré le livre que j'ai dévoré.
Si les dessins et les couleurs vont parfaitement avec l'histoire il faut souligner l'excellente mise en scène avec les passages entre le souvenir de ces vacances un peu décalées et le présent, 25 ans après, alors que les protagonistes se recroisent dans des circonstances moins roses.
Un album petit format, dans l'esprit des carnets de voyage.
On suit l'aterrissage de Martin dans le milieu de l'éducation des jeunes en grande difficulté, le désarmement et la solitude du professeur en face de ses élèves qui piquent des crises et cassent tout dans la salle.
L'auteur en profite pour souligner (pour ceux qui ne savaient pas comment cela fonctionne) la lourdeur et l'inutilité de certaines procédures de l'Education Nationale et les "petites phrases" classiques qui ponctuent la vie d'un enseignant.
Les dessins en patates donne un côté puérile que je trouve en parfaite concordance avec l'album : ça colle à l'age des protagonistes (~8ans) et ça équilibre avec le récit pas toujours folichon.
Au final un très bon livre que je ne peux que vous conseiller.
Avis purement perso et sentimental :
Toujours d'aussi beaux dessins, une histoire qui a été travaillée, bref l'album ne déroge pas aux autres albums de la série...
Mais quelle horreur !!! Ce scenario, c'est le massacre de l'enfance, la fatalité de la méchanceté...
Je ne sais pas si l'oeuvre originale évoquait les tragédies qui concluent les 15 dernières pages... du coup je ne sais pas ce que j'évalue mais je suis certain du malaise que laisse cette fin.
Pourquoi un monde imaginaire où les valeurs de l'enfance ont autant de force se met au service d'une injustice et d'une cruauté si hors du commun ?
Avec autant de noirceur, on est dans le pathologique.
Pour moi, la série qui était excellente jusque là est tout bonnement gâchée par ce dernier album.
Clochette, tu ne mérites que la tapette à mouche.
Peter, tu aurais mieux fait de grandir ou de subir le sort de Picou, t'aurais fini moins corniaud.
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Death Note
La plupart des éditeurs flairant le filon ont bataillé férocement pour s’octroyer ce titre attendu par des milliers de fan français. Alors est-ce un chef d’œuvre ou non ?
A première vue, c’est tout de meme la grande classe, un travail soigné, une superbe jaquette. Peu de titre peuvent se vanter d’une telle couverture (médiatique ?).
Venons-en au récit. Pour se divertir « le Dieu de la mort » perd ( entendez : faire exprès !) son cahier dans le monde des humains. C’est un jeune lycéen, le bien nommé Light Yagami, s’ennuyant en ayant une vie somme toute normale qui découvrira ce précieux cahier. ( mon précieux ! ! Phrase ultra célèbre !).
Malheureusement, les auteurs se permettent des allers et retours ainsi que des sauts de puce dans le temps en dépit du sens de leur récit, par là meme ils nous ôtent toutes sensations, et impressions passionnantes.
Pourtant les surprises sont légions : les commentaires du Dieu de la mort sur les histoires que se font les hommes à son encontre, on appréciera tout particulièrement ses réflexions que notre héros écoute du oreille distraites, mais aussi quelques regles du cahier dont celle-ci : « le Dieu de la mort n’a aucune obligation d’expliquer les règles à l’humain qui en a pris possession ».
En d’autres termes ce sont les quelques points positifs de ce premier tome.
Mais au fil de la lecture on se rend compte que notre jeune héros n’est en fait qu’un bourreau moral, un inquisiteur des temps moderne, un méritocrate trop thématique qui veut devenir le nouveau gourou sur une « nouvelle terre ».Il ne sera pas étonnant de le retrouver dans un pseudo-positivisme d’améliorateur de l’humanité. Les phrases comme « c’est la vie, ou la vie continue » ont une connotation morale du plus mauvais gout ( y en a qui ça plait ce genre d’énergumène !), ce qui au final propose peut de perspective d’une multiplicité dans la narration. On en sera réduit en un simpliste duel à mort entre le bien et le mal ( mouais !) ce qui affaiblira largement l’histoire, plutot qu’un récit effrayant, sordide, brutal sur la banalité, et la destinée des Hommes.
En ce sens nous aurons affaire à un gros lourdaud qui se force à faire « le bien », jusqu’à qu’une phrase qui résonne comme un ultimatum sorte : « Je suis … la justice ».( quelle bonne blague ! ! !)
Il y aurait pas un truc qui dit…genre : on ne peut pas juger quelqu’un parce que nous faisons partie nous aussi du litige.
Donc pour finir un Titre Terriblement Brillant sur quelques points précis mais encombré et sous exploité par les auteurs. Dommage que ce titre laisse un si grand gout d’inachevé. Ca en est meme rageant, c’est dire si Death note avait un sacré potentiel.
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Très bon premier tome! Les dessins sont vraiment réussis et nous mettent directement dans l'ambiance. Une ambiance très.. glauque je dirais. Jack se retrouve dans un monde étrange, abandonné de vie, avec des cadavres géants un peu partout. De nombreuses questions nous arrivent au long de la lecture de cette BD. Et nous aurons les réponses dans les prochains tomes je l'espère. Une très bonne BD donc, mais un univers un peu spécial quand même.
alors death note pour ma part je l'ai attendu et je peus dire que ma patience est récompensée mais quel manga... énorme tout simplement il serait dommage de passer à coté car il y a une ambiance qui se dégage de ce manga c'est indescriptible on ne veut plus lacher le bouquin et je peut dire que la suite se fait grandement attendre, c'est insoutenable
alors je suis très étonnée qu'il n'y ait pas plus d'avis mais comment passer à coté de ce chef d'oeuvre parce que l'on peut parler de chef d'oeuvre, c'est tellement bien ficelé que ça se passe de commentaires, les dessins sont sublimes, le scénario j'ai rien à redire je suis très impressionnée par la qualité de cette oeuvre ainsi que de toute celles qu'il a faite jusqu'à maintenant; il fait parti désormais des auteur que j'apprecie énormément avec un tel talent on ne peut pas rester dans l'ombre;
Cette nouvelle série présente beaucoup d'atouts. Le sujet traité, la recherche d'un père par sa fille dans un univers à la Star Wars peuplé d'aliens ressemblant à des Raptors aurait pu dérapper dans le déjà vu et lu. Mais tous ces clins d'oeil construisent un style et l'on se prend à dévorer cette histoire qui se passe dans un espace qui ressemble à un fond marin. On y croise des poissons sympathiques mais aussi des prédateurs... A suivre avec un vif intérêt !
Personnellement je ne trouve pas la couverture de ce tome 1 très réussie mais en tout cas l'intérieur lui il l'est. L'intrigue est très bien développée, les révélations se faisant au fur et à mesure des découvertes du fouille m.... euh de l'enquéteur privé. La fin est également excellente avec un retournement de situation plutôt intéressant.
Ce second volume est vraiment intéressant car le suspense est bien entretenu avec son lot de révélations et de rebondissement bien dosé ainnsi que sa part dse zones d'ombre toujours très importante.
Espérons que le troisième et dernier volume ne se face pas trop attendre tout de même.
Fin de ce dyptique d'une qualité incontestable que ce soit sur le plan graphique que scénaristique. L'intrigue est extrêmement bien développée avec son lot de rebondissements et de révélations. J'ai vraiment été plongé dans l'intrigue si bien qu'à la fin de l'album j'ai regetté que ce soit déjà fini.
Très bonne histoire avec pas mal de bonnes idées mais ces dernière auraient quand même demandé un traitement plus poussées (chacune d'elle ayant pu donner lieu à un tome complet). Toutefois la qualité de l'intrigue est bien présente et je suis resté collé à l'album jusqu'à la fin. Cet elbum reste donc toujours de très bonne qualité par rapport au reste de la série.
Ce troisième cycle développe davantage les relations entre les personnages mais surtout nous en apprend plus sur le passé de deux des légendaires tout en gardan le côté frais et drôle de la série. Une série vraiment toujours aussi agréable à suivre.
Cette fin de cycle est vraiment très bien faites que ce soit au niveau de l'intrigue qui contient tous les éléments pour un BD jeunesse avec à une bonne petite morale et pas mal d'humour notamment ou au niveau du dessin. On passe un bon moment et on ne s'ennuit pas.
Autant j'apprécie le dessin que je ne me lasse pas de regarder autant l'intrigue me semble pour le moins confuse. On ne sait pas où le scénariste veut nous emmener ni même à quoi sert ce tome dans l'intrigue globale. Alors à moins que la suite ne nous en dévoile davantage (ce que je pense et j'espère) je dirais pour le momment que c'est plus un album de remplissage qu'autre chose.
J'ai trouvé cet album hors commerce plutôt intéressant que ce soit au niveau du rédactionnel présent qu'au niveau des petites histoires qui y sont publiées. Celà me donne envie de découvrir les autres oeuvres de cet auteur.
Le premier volume de ce dyptique m'avait laissé une très bonne impression qui se confirme dans ce second volume. En effet tous les ingrédients mis en place dans le premier tome de ce cycle sont développés jusqu'au bout et de manière à rendre l'intrigue toujours passionante même si la fin est sans réelle surprise au niveau du dénouement.
Enfin une histoire qui se termine de manière assez intéressante. il était temps car à force de terminer toutes les histoires de manières inintéressantes j'ai faillis abandonner la série. Ici la fin est plutôt pas mal et l'enchainement vers une nouvelle aventure promet de bons moments (surtout maintenant que le scénariste a appris à faire des fin qui tiennent la route).
La première histoire est à mourir de rire. Pas vraiment d'intrigue sérieuse ni n'action mais alors c'est du 100% humour mais alors de l'humour on ne peu plus efficace. L'intrigue qui suite est moins drôle avec un peu plus d'action. Sans être vraiment excellente elle est quand même plutôt pas mal surtout avec les rateaux que se prend Ryo.
Les relations entre les différents personnages sont de plus en plus complexe et nos deux personnages principaux s'entendent pour le mieux même si aucun d'eux ne rend les choses très claire. Les quiproquos et l'arrivé d'un nouveau personnage n'aident en rien à clarifier tout ça mais au moins c'est l'occasion de scènes humoristiques très efficaces.
Et voilà Tatsuya fait enfin parti de l'équipe de baseball contraint mais pas tellement forcé quand même. Même si au début il prend la chose à la lègère il finit par commencer à s'y mettre sérieusement même si il a encore beaucoup de progrés à faire. L'histoire est toujours intéressante et on a envie de connaitre ce que la suite nous réserve. L'humour est toujours aussi efficace et les allusions lors de certaines situations font toujours mouche.
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Il y a quelques jours j’avais réveillé un peu tout ce monde avec mon commentaire largement brutal sur le mécanisme grippé des 2 premiers tomes de Hub.
Et non, ce n’était pas par chauvinisme purement français que je m’étais mis en colère sur la réussite éloquente de Hub mais bien sur le traitement de l’œuvre.( J’arrive à considérer les trois derniers épisodes de George Lucas c’est-à-dire les épisodes I,II,III comme honnête, sans doute pas extraordinaire, mais le processus qui mène Anakin vers le coté obscur est interessant, et ce n’est pas le succès qui changera ma façon de voir.))
Mais revenons à la suite des aventures du groupe d’Okko, et effectivement le début de ce cycle est bien meilleur, pas transcendantal, mais un peu mieux. Il faut avouer qu' utiliser les paysages apocalyptiques adossés à ceux plus festif du royaume des montagnes provoque son petit effet. Mais ce qui m’a plu c’est le fait que dans une œuvre ou le cheminement prime le passage chez les moines ascétiques se révèle etre une fausse piste, une boucle réjouissante. Malheureusement, une autre idée qui aurait méritée un travail plus poussée c’est celui de l’enlisement dans la neige, à cela on aurait ajoutée un plus gros traitement des loups, bref quelque chose de plus sauvage que ce survol.
Trop souvent aussi la voix off alourdi le récit,
écoutez cette voix lorsque nos héros passent devant la mine.(p 25 !)
C’est mon avis mais le problème est là, je veux dire vu que l’auteur n’a que 2 tomes ( remercions Xuunam pour la farce des 3 tomes !), il doit recentrer son récit plutot que de l’éparpiller ( franchement… mais les mineurs,et les ponts qu’ils franchissent, on s’en fout ! !), de le disperser, de l’émietter pour tenter de le rattraper après coup par une plate voix off.
Pour finir, une impression de fuite en avant interessante mais trop tardive apparaît en fin de tome, ce qui n'était pas pour me déplaire.( dommage !)
En recentrant le récit en une fuite en avant, avec une neige collante, chiante, des loups cruels ( quelque en soit la raison !), la boucle folle chez les bonzes, les mages agencés bien plus souvent, que le peu de fois ou on les voit, dans les recoins et détours sombres de nos héros, et la colère d’Okko ainsi que son massacre narré directement aurait donné plus de poids à Okko plutot que de le faire d'une manière rétroactive.
A mon sens, pour "Okko", le cycle de la terre, il s’agit de recentrer le récit pour rendre les personnages humains, et aussi ( et surtout !) de les confronter à des évènements bien plus cruels.
Et non pas de dire les gouts et les couleurs ça ne se discute pas, phrase plate au demeurant, de ne pas dire aussi qu’il faut 45 tomes pour développer des personnages surtout quand un cycle se fait en 90 pages environ, bref il faut impérativement me les rendre vivant...
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Sublime recueil d'histoires courtes de la part d'un auteur qui a compris la fragilité de la sensibilité humaine.
Magnifique
Le 1 au lieu du zéro c'est pour le dessin, qui est assez sympa, sauf Carmen proprement dite. Sinon scénario quasi inexistant, aucune finesse du personnage principal. De plus, la bêtise et la réactions complètement irréalistes des autres personnages a le don de m'exaspérer.
Là je me dis que peut-être j'ai rien compris à cette BD, et justement l'auteur a atteint son but ... Peut-être, toujours est-il que franchement je vois pas du tout l'intérêt de cette BD, c'est censé être de l'humour, le seul personnage que je supporte c'est le curé, le reste ne m'arrache pas un sourire.
Bon j'ai lu que les 3 premiers tomes, mais déjà je m'étonne de m'être entêté jusque là, alors je considère que j'ai donné sa chance à cette BD. Fini.
Ce 7e tome du Décalogue est vraiment différent des 6 premiers. On apprend déjà beaucoup de choses sur Nahik, pourquoi il n'y a qu'un exemplaire,... L'histoire est très prenante et pleine d'action, dans le Paris du 19e siècle, où règne une atmosphère de renversement de la monarchie. Ce tome se termine en plus en beauté, avec la confession du narateur... Je n'en dis pas plus. Lisez-le!
Le nouveau cycle démarre très fort, les planches sont superbement dessinées et collent parfaitement à l'ambiance délétère qui règne à Rome. De nouveaux protagonistes prennent la place des anciens et commencent à s'affirmer. Le tandem Marini Desberg nous emmène dans un combat à mort contre le totalitarisme, et c'est très efficace !
Tout oppose les familles Morini et de Lourdel. Les premiers sont des émigrés italiens, ouvriers syndicalistes de père en fils. Les seconds incarnent une dynastie industrielle jalouse de ses privilèges.
Pourtant, dans le Paris des années 30, les deux fils de ces familles rejettent les valeurs familiales pour épouser celles de l'autre clan, et s'y faire adopter. L'occasion de faire s'entrechoquer ces deux visions du monde.
Un scénario bien maîtrisé, qui s'appuie sur une bonne idée de départ, nous plonge dans le destin croisé de ces deux familles.
A recommander à tous ceux qui aiment les sagas familiales.
dans ce deuxième volet, nous faisons la connaissance de Blaireau, personnage très attachant. Les scènes de neige sont superbes. Mais le monde des hommes avec ses ennuis approche et crapaud commet l'irréparable ...
Sublississme. À ne pas manquer; vous seriez passé à côté de quelque chose. Vraiment!
J'ai achete les 2ers tomes d'occas, car j'ai vu que c'etait des "Reperages Dupuis", collection qui contient plusieurs titres que j'ai bien apprecie. Ce tome m'a decu. Trop brouillon, des dialogues qui ne m'ont pas du tout plu (mots inventés en faisant parfois un jargon hermetique), une histoire un peu confuse, bref, je n'ai pas croché et avoue avoir eu grand peine a finir la lecture du premier tome.
Mon avis concerne les 4 tomes. Rapaces, avec le premier tome, m'a passionné. Il y a des mystères, on est curieux, mais sans réponses. Excellent 1er tome, suivi d'un 2e tome aussi bon, si ce n'est encore meilleur, dans lequel on découvre la trame de l'histoire. Le 3e tome est un cran en dessous, et le 4e également. La violence du scénario et l'incorporation d'un aspect sexuel n'est pas pour plaire à tous, mais est conforme à l'atmosphère pesante du récit, bien rendu par le dessin et les couleurs rouges et noires.
Ce volet est le plus réussi de la première trilogie. Les planches sont magnifique et le supens entier.
Cette BD est à la hauteur de sa réputation, les personnages sont très attachants car superbement croqués, ils prennent le temps de vivre. La nature est très bien dessinée et nous suivons avec délice les aventures apparemment ordinaires de nos compères.
A mon sens, cet album de Baudoin, est son chef d'oeuvre. Tant le scénario que
le dessin sont sublimes dans cette bd. Je la recommande à tout bédéphile
voulant découvrir et apprécier le monde de Baudoin.
Ce 2e tome est aussi beau graphiquement que le 1er! C'est vraiment du grand art. On plonge vraiment dans ce monde virtuelle avec facilité. L'histoire continue donc, et Alice cherche à accéder au coeur du programme et au Miroir de la Reine, miroir qui permet aux "habitants" de ce monde, de retourner dans le monde réel. Le scénario est très bon et il y a plusieurs rebondissements. Par contre, attention : il y a de nombreux passages où il faut s'accrocher! Certains dialogues sont très philosophiques et ne sont pas toujours facile à assimiler. Mais cela est très approprié à l'histoire et fait de cette BD un incontournable!
Oui, une bd peut émouvoir sur un sujet qui ne sera jamais assez traité, et qui montre que l'enfance loin d'être l'âge de l'innocence peut être l'âge de la bêtise et du conformisme.
Voilà deux jeunes auteurs qui méritent d'être encouragés, car sans suivre la mode qui nous envoie toujours dans un futur improbable ils traitent avec sensibilité les ombres de notre passé, cela nous permettra-t-il de ne pas commettre ces erreurs dans l'avenir ?
A faire lire absolument à tous les jeunes d'aujourd'hui.(mais aux vieux aussi !)
Excellente science fiction qui démarre bien !
Une nouvelle saga est née !
Suite de la série Wolverine Origins plutôt orienté combats avec quelques révélations sur le passé de Wolverine qui en fond une ordure de premier ordre. La suite promet d'être encore plus intéressante car plus on avance et plus on découvrent de sombres secrets que beaucoup auraient aimés voir enterrés.
X-Men : Comme si la situation des mutants suite à House of M n'était pas assez explosive voilà que deux évènements marquant surviennent. Le premier est l'arrivée sur terre d'une créature bizarre venant de l'espace dont les intentions nous sont encore inconnue. Le second est le retour d'Apocalypse (ce serait trop calme sinon) qui prépare à nouveau un mauvais coup.
La fin de l'enfance : Gros changements en perspective pour les jeunes mutants de l'instituts vue que les sept nouveaux futurs X-Men viennent d'être choisis. En marge de celà les anti-mutants se décident de passer à l'action d'une manière plutôt sanglante. Bref l'intrigue est toujours aussi prenante et donne envie de lire la suite.
Le collectif : L'histoire n'avance pas tellement mais la fin avec l'intervention de Miss Marvel relance l'intérêt de l'histoire. Cependant il faudrait en apprendre davantage au prochain numéro pour que ça reste intéressant.
Trajectoires croisées : l'histoire qui paraissait assez simple au départ tend à se complexifier avec une possible intervention de Nick Fury (qui a complètement disparu depuis Secret War). En tout cas l'histoire est intéressante et donne envie d'en découvrir davantage.
Un objet céleste : Petite partie du prologue à civil war on y apprend tout de même la position d'Iron Man sur le projet de recesement des surhumains et une chose est sûr c'est plutôt surprenant et celà risque de poser des problèmes à son nouveau bras droit : Peter Parker. Ceci dis l'intrique se tourne au final plus vers une nouvelle aventure des fantastiques avec pour arranger les choses la réapparition du marteau de Thor ce qui laisse à penser un retour de ce personnage (disparu avec Ragnarok dans Marvel icons HS 1) d'ici brêve échéance. Après tout chez les super héros la mort est la chose la moins définitive au monde.
Affaire de famille : Retour des jeunes vengeurs pour mon plus grand plasir avec une nouvelle aventure dont l'un des membres de ce jeune super goupe est le centre. L'intrigue est intéressante et donne envie d'en connaitre davantage.
De toutes mes lectures de bd, celle-ci remporte trés largement le prix de la moins original....
Aucune case, aucun mot d'un dialogue, aucune pseudo peripetie, n'evite le cliché.... C'est vraiment particulier à lire, pas désagréable, mais surprenant tellement on sait ce qui va se passer constament...
On a ici un petit point sur les relations entre Spiderman et la Torche. Globalement c'est sympa mais sans plus. Heureusement on a la fin qui rattrape un peu les choses avec la révélation de l'identité de Spiderman à la Torche (non sans humour de la part de Spidey). Bref une histoire globalement pas trop mal.
Spiderman version indienne voilà une idée originale pleine de possibilités. Une chose est sûr que ce soit scénaristiquement ou graphiquement cette histoire tient ses promesses. C'est un vrai plaisir que de lire cette histoire. L'intrigue est solide et les adaptations vraiment intéressantes avec à la fin une ouverture pour une éventuelle suite.
L'intrigue est excellente avec pas mas de mystères bien entretenus est développés. Le personnage d'Anya est intéressant et on aimerais suivre plus régulièrements ses aventures. J'espère que c'est un personnage qui sera plus développé avec sa propre série régulière qui pourrait sortir en France en 100% Marvel.
Autant l'intrigue est bonne et bien construite. L'histoire est tragique mais pour une fois la tragédie ne touche pas directement ce bon vieux tisseur. Cependant le gros point faible reste le "dessin" que je n'apprécie pas du tout.
Très bonne intrigue qui fait suite à l'intrigue où Spiderman a affronté la pègre pour la possession de la tablette d'éternité. L'histoire est bien ficelée et les combats plutôt bien fait... et l'humour de Spidey est toujours égal à lui même.
Voyage à Washington : L'intrigue prend une tournure de plus en plus intéressante et de plus en plus complexe. A mon avis les choses vont se compliquer si la loi sur le recensement des surhumains venait à passer.
Danger : A part le fait que tout le monde perd la boule on ne comprend pas grand chose à ce qui ce passe et c'est bien dommage. On a juste une succession de combats mais avec au final une surprise de taille.
Mascara contra Mascara : Début d'intrigue plutôt intéressante avec le retour en force de Flash Tompson en version pas très sympatique.
La ligue des losers : Une fin d'intrigue très bien faite bien que le combat final soit un peu expédier. Cependant la conclusion vaut le coup.
Dessinateur talentueux même si les scènes de combat sont un peu confuse, on ne sait plus qui est qui et où !
Scénario palpitant dans le premier tome un peu plus attendu dans le second.
Une bonne bd, un talent prometteur, on suivra surement la suite, mais pas un must, le scénario distrayant manquant un peu de profondeur.
Du bon Sfar.
Tout un univers. Fait penser à Pascin (aussi par la forme).
En plus, on retrouve Zlabia du Chat du Rabbin, sous un autre nom...
Ce deuxième tome confirme l'impression du premier, puissant et incontournable !
Aria reste une bonne série qui n'évolue pas beaucoup mais qu'on retrouve toujours avec plaisir, bien qu'un album par an cela fasse beaucoup, j'avais raté celui d'avant sans que ça me manque beaucoup, mais je vais le racheter maintenant.
Des séries pour enfant de qualité, il n'y en a pas tant que ça, et je suis content qu'Aria continue pour que je ne rentre pas bredouille pour mes enfants qui me reprochent souvent de ne rien prendre pour eux.
Et Aria a beaucoup embellie, la maturité lui va bien.
Les dessins et les couleurs sont assez proches de l'image que je me fais de l'espace. Les personnages s'intallement très vite dans leur rôle et l'on sent que le scénario est assez costaud pour nous emporter dans une autre dimension.
Découvert par pur hasard, je l'ai ouvert et j'ai de suite eu la conviction que je tenais là une perle rare...C'était une attirance presque magnétique....La lecture m'a conforté dans ce sentiment, une série S.F. qui renouvelle le genre avec un excellent Vastra au crayon ....Une future grande série sans aucun doute, à suivre donc...avec impatience....
Amis de BDGEST vous pouvez acheter les yeux fermés......
J'adore la série télé Kaamelott, et j'étais très content de savoir que la série BD était sortie. Avec ce premier tome, je ne suis pas du tout déçu. Les personnages sont très bien représentés et on retrouve bien leur trait de caractères. J'ai lu cette BD dans le même esprit que si j'avais regardé la série devant ma télé. Il y a des passages qui m'ont bien fait rire! Le scénario ne correspond pourtant pas vraiment à l'esprit "Kaamelott" je trouve. Mais cela n'empêche pas ce premier tome d'être vraiment bien réussi. J'ai hâte que le 2e tome sorte!
Une pure BOMBE !
je l'ai vu, je l'ai feuilleté, je l'ai acheté !
Un début d'histoire assez commun qui décolle très vite vers d'autres horizons.
Les couleurs subjugent le trait de Sebastien Vastra.
Un MUST!
Un succès du style Sillage ?! Peut être !
avec bleu l'assocition relise ici une parformance monochromatique exeptionelle et ne nous y trompons pas ,l'interieur n'est pas aux dires de certains... inexistant.Car lewis trondheim temoigne ici d'une maitrise du bleu indigo tirant au bleu de cobalt .A lire avec precaution ,ouverture d'esprit et beaucoup d'humour .
a phillig
Le deuxième cycle est très agréable à lire mais peut-être moins intense que le premier. Il est construit comme un bon polard qui se respecte avec des méchants et durs à cuire impitoyables, c'est dire !...
Cette BD est tout d'abord maginifique au niveau graphique (aussi bien au niveau du dessin, très détaillé, et des couleurs). Et ensuite, magnifique pour le scénario. L'histoire est très originale et je n'ai d'ailleurs vu un tel sujet nul par ailleurs en BD : un monde virtuelle a été créé pour accueillir l'esprit des personnes qui sont très malades, dans le coma. Ils vivent donc dans un monde virtuelle, où leur imagination n'ont plus de limite (ou presque). Un peu genre Matrix :) On suit donc dans cette BD l'évolution d'Alice, victime d'un grave accident, qui voit sont esprit transféré dans ce nouveau monde, où l'on peut vite devenir un dieu si l'on maitrise les possiblités de son imagination.
A lire!
Cette BD manga est excellente! Tout d'abord au niveau graphique, avec de superbes couleurs. Mais également pour son scénario qui fait plané de nombreuses questions et mystères. Cela laisse à présager très bonne suite, je l'espère.
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Okko de Hub
Cette critique tiens pour les 2 tomes !
Un énorme succès, des lecteurs enthousiastes, le monde qui s’affiche d’un sourire béat devant tant de prouesse plus proche du saut périlleux que d’une réelle finesse scénaristique.
On y suit une quete tout autant fantastique que fantaisiste dans laquelle les héros sont à la poursuite des vilains pas beau qu’ont piqué la sœur au jeune (p’) Tikku prétexte à une poursuite contre la mort. Mais les évènements se succèdent avec une telle platitude dans un monde imaginaire extremement pauvre que cela en est risible .A cela l’auteur fait du Zèle avec des personnages balourds et poussifs qui passe leurs temps à citer leurs aphorismes et leurs parchemins poussièreux.
Comme le dit le Démon aux personnages présents : « c’est d’un ennui mortel… » ah ! C’est pas ça qu’il dit ! ! !
Malgré tout, il faut reconnaître un excellent crayonné et des couleurs vives, mais elles n’arrivent pas à rendre le récit vivant, lui, il est mort bien avant petite carpe. On apprend après coup que la narration est faite par le jeunot devenu un vieux pretre. Avec cette mini-nuance scénaristique l’auteur se met sur la pointe des pieds et tout le monde fait : « wahouuuuuuu », comme c’est passionnant.
L’auteur est-il en panne d’inspiration ?Deux demons, Deux Dieux locaux, un chateaux qui vole, un orque.
Impressionnant…mais bien sur !
Ou est passé le caractère émotionnel et la force du récit ?
Franchement à la lecture de ces 2 tomes, je suis plus qu'étonné devant votre béatitude affligeante pour ces albums.A aucun moment, je ne me suis senti concerné et emporté par l’imagination débordante de l’auteur.
Ça ressemblait plus à un instant de colère qu’à un moment de reve.
Au final une œuvre réussie graphiquement, mais un récit pitoyable et à la m-é-c-a-n-i-q-u-e déjà grippé.
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Ce deuxième tome renforce l'impression de qualité du premier. Il y certes quelques effets spéciaux qui viennent un peu gâcher l'harmonie des planches mais globalement le graphisme est de très grande qualité et sert parfaitement cette histoire de lutte de pouvoir entre Voortt et Morgana aidée par Merlin et Rosso.
Une première oeuvre fort réussie. Le dessin est à la hauteur et le scénar tient ses promesses. Vivement le deuxième tome pour suivre l'évolution du héros et de ses pouvoirs. Merci!
Voilà une intégrale qui se lit avec plaisir comme un bon polar. Le scénario est bien construit les personnages consistants, nos deux héros attachants et les planches très bien faites. De plus cette intégrale est bien conçue avec le cahier de dessins en fin d'ouvrage.
On y ressent une émotion; on suit une tranche de vie comme on aurait pu la vivre nous-mêmes.
Un retour à l'enfance, avec tous les désagréments qu'apporte une guerre: celle de 1914-1918.
La perte de l'innocence. La perte des gens que l'on aime. Tout en douceur, sans grand sabots.
Très bien!
Alors que cet album se devrait être poétique et lyrique, je n'ai pas vraiment ressenti d'émotions en le lisant. Les dessins sont superbes mais la voix "calligraphiée à l'ancien français est effectivement très difficile à lire.
Sans plus, sans moins...
Les dessins sont sublimes; l'art est tout ce qu'il y a de plus réussi. Malheureusement, on veut situer l'histoire, amener les personnage et c'est là où ça se corse. Rien n'est fluide, il y a trop de monde qui apparaisse comme ça. C'est déconstruit et anarchique. Je n'ai pas terminé tellement je n'ai pas aimé la façon dont la trame est conçue.
Cependant, au risque de me répéter, le dessin est absolument magnifique. Ce qui, malheureusement, ne sauve pas les meubles.
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je connaissais un peu Tardi avec des Bds comme "la der des ders",ou "jeux pour mourir".Pour tout vous dire il ne fut jamais un auteur brillant mais simplement un bon auteur qui fait de la bonne BD.
Sur ce titre, un gros travail est entrepris du point de vue de la crédibilité de l'oeuvre.Je veux bien entendu parler des journeaux du petit journal de l'étrangleur et de leurs chroniques comme préquelles au récit.
Un vendeur de polar qui fait une initiation au meurtre à un mioche, voleur ( de polar !) chez ce meme libraire.Malheureusement, on retombe dans les travers du genre avec une élucidation ( trop !) rationnelle qui tourne à la quete absolue de la vérité.Par là meme l'oeuvre perd de sa sève.
Mis à part une fin trop classique et trop gentillette, la manière dont le polar est raconté suffit à nous faire passer un bon moment.
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D'un tome à l'autre, le même constat revient : l'histoire reste assez embrouillée et cette impression de fouillis n'est pas aidée par les appartés "pipi-caca" d'Icolo et Yona qui n'apportent absolument rien et font à peine sourire. En revanche, il semble que les choses avancent un peu plus puisqu'on découvre quelques éléments nouveaux sur le père de l'héroïne et sur ceux qui manipulent le royaume dans l'ombre. L'apparition du personnage de Gyokyu, en fin de volume, laisse à penser qu'on en saura bientôt plus sur les sombres secrets du palais et du "monde d'en haut" ; c'est donc la promesse d'être enfin éclairés sur la situation et les forces en présence.
Je prends le temps de lire la série et je trouve que les tomes 7 & 8 ont encore gagné en intérêt. Les dessins sont bien faits et l'idée de faire parler un cargo est surprenant comme l'avait été l'intervention de la mourante dans le dernier épisode. En synthèse, je dirai de mieux en mieux.
Certaines bandes dessinées nous marquent plus que d'autres, parfois parce
qu'elles nous plonges dans un état de bien-être homéostatique ou parce qu'elles
sont si bonnes, qu'on ne peut pas les oublier. Je me rappelle qu’en lisant cette
BD, il y a de ça quatre ou cinq mois, je me surprenais moi-même à rire aux
éclats, seul, allongé dans mon fauteuil. Les critiques sociales, les réflexions
métaphysiques et les élucubrations délirantes truffées dans l’album de Watterson
sont les principaux atouts de l’œuvre qu’on savoure avec passion. Somme toute,
Y a des jours comme ça est pour moi l’album de Calvin et Hobbes le plus brillant
et le plus drôle que j’ai lu. Purement génial!
Dans la lignée du 1er tome,on a peur d'etre deçu par une histoire qui risquerai d'etre tirée par les cheveux ,et rien de tout ça.Tout ce tient
A posseder , je le conseil a tout les amateurs
Une histoire assez simple mais trés bien construite et prenante;des personnages trés attachants,un dessin sublime trés coloré font de ce titre un de mes préférés.
Les tomes 5 et 6 se passent dans le monde du cinéma où célébrité et argent est aussi synonyme de drogues dures, de traffics en tous genres et bien sûr de jolies filles. Le scénario est bien construit et les personnages acquièrent de la profondeur. Pour ce dyptique est mon préféré de la série.
En fait cette série devient attachante, le personnage principal et sa maitresse commissaire forment un bon tandem. Les scénes d'action et celles à VTT sont réussies. On en apprend un peu plus sur l'assassinat du père de Luka... Bon suspens.
dans la lignée des meilleurs ARIA avec beaucoup de réalisme dans le scénario.
Après un coup de blues la série semble se reprendre.
Ces 4 tomes sont décevants, l'héroïne n'est pas vraiment crédible et le scénario est plutôt réchauffé...
Le second tome renforce la bonne impression du premier, même si cette histoire n'est pas géniale, elle reste très agréable à lire et les planches sont bien faites.
Cette série débute de façon sympa, l'intrigue impliquant des personnalités locales est crédible quoique déjà largement utilisée. Et puis pour un adepte du VTT, cela fait plaisir de voir notre héros en pratiquer sur une monture bien dessinée, c'est tellement rare en BD !!!
Encore du bon Dumontheuil, toujours aussi loufoque, mais moins absurde que dans la "Femme Floue". Côté dessin, rien à redire, on aime toujours autant les ondulations de Dumontheuil, notamment dans les quelques plans larges. Le point fort de ce tome, ce sont les dialogues très amusants qui font mouche sans arrêt. Et puis, il y a Magic Child, une héroïne en trois coups de crayon décidément très attirante...
A lire avec un bon country rigolo en fond sonore (là, j'avais les Kentucky Colonels, c'est parfait)
Miralles toujours au top, dessin très beau très accessible, très envoutant. L'histoire de Jean Dufaux est bien mené et captivante. Mais comme toujours l'atmosphère est pesante, l'amour jamais pur et le bonheur inaccessible ! Comme dans ses autres séries, Jean Dufaux a tendance a me donner le bourdon.
Mais c'est pas si mal puisque j'y reviens toujours.
Ce 20ème tome fait un peu avancer les choses. D'une part, on en apprend plus long sur Akito, sa mère Ren et son père Akira qui était l'ancien chef de la famille Soma. Encore une fois, il s'agit d'une histoire sombre où amour et haine déchirent les êtres. On se rend compte qu'Akito a été conditionnée depuis sa plus tendre enfance à être choyée et entourée par les 12.
D'autre part, il semble que la malédiction continue de se lever peu à peu, puisqu'un autre des 12 en est libérer et, comme Kuréno, affirme vouloir se détacher d'Akito. Celle-ci en est particulièrement affectée et sombre peu à peu dans une folie qui l'amène à commettre l'irréparable. Enfin, il semble que Tohru se décide enfin à avouer ses sentiments à Kyô qui la prend de court et lui révèle quelque chose à propos de la mort de sa mère Kyoko.
En résumé, il s'agit cette fois encore d'unn tome sombre où le drame est très présent. Les personnages semblent ballotés par les évènements, par un passé difficile, par une infinité de liens et de culpabilité squi les retient et les déchire.
A suivre.
Ce cycle est une pure merveille et tous les ingrédients ont été réunis pour nous tenir en haleine et nous émouvoir. Les salauds ont la peau dure et les gentils sont décimés mais l'album finit sur une belle vision d'espoir, l'amour triomphe, la vie aussi car Rosanna est enceinte. La fin amenée par le poême de Lamartine résumant l'amour avec Ester et peu-être aussi la vie est bouleversante.
Les scénarios de Raymond Maric sont très intéressants, bien ancré dans l'histoire et pas du tout conformiste.
Cette histoire des destins croisés de deux jeunes gens, l'un arriviste et l'autre de bonne famille est prenante et remet en cause les idées reçues.
Le dénouement paradoxal conclut l'histoire de façon surprenante et donne envie d'une suite.
Les dessins de Baron Brumaire repris par Chouin pour ce dernier tome sont d'accès un peu difficile, mais passe grâce à une bonne histoire.
Cet album, qui termine le dyptique commencé avec "magie noire", est bien plus passionnant que ce dernier. En effet l'intrigue prend une tournure plus sombre avec un reversement de situation plutôt tragique pour notre héros. Le côté magique est plutôt bien utilisé au final et on passe un très agréable moment.
L'album le moins mauvais des trois mais ce n'était pas difficile à réaliser d'autant plus qu'on est encore loin de l'album passionant. L'intrigue est assez bien trouvé d'une manière générale mais les dialogues et la façon dont elle est développée font q'on a du mal à accrocher ce qui est dommage car il y avait matière à faire quelque chose de bien. Bref malgré une bonne idée je ne suis pas arrivé à rentrer dans l'histoire et me suis plutôt ennuyé.
Fin du premier cycle, cet album est plaisant à lire. L'intrigue évolue bien avec sa dose de suspense et ddes relations tendues entre Novikov et sa hiérarchie qui ne souhaite pas se mettre à dos des personnes influentes. La fin est quelque peu surprenante même si à force de lire et de voir des histoires policière on peut s'en douter. Un bon moment de lecture.
Globalement c'est un bon album avec pas mal d'action. L'intrigue est intéressante et bien développée sans longueures ni raccourcis expéditifs. Le dessin est bon. Les scènes de combats façon arts martiaux et les références culturelles au Japon ne m'on absolument pas génées. L'humour est très présent et efficace. bref un très bon moment de lecture.
Cette fin de cycle est véritablement excellente. Le petit Poucet montre bien que malgré son jeune age il sait se débrouiller dans le milieu et tirer son épingle du jeu. avec une bonne dose de cervelle et de culot il arrive a ses fin mais pour celà il doit se salir les mains. J'ai hate de connaitre la suite car Poucet est un personnage sympatique qui ne fait pas dans la dentelle quand il faut agir et j'ai envie de connaitre son sort par la suite.
Cet album est globalement plutôt bon. L'intrigue est classique et bien développé avec les recettes qui font le succès du genre. On ne s'ennui pas un instant. Certes c'est loin d'être un album indispensable mais il vaut le coup d'être lu.
le dessin est magnifique, et l'album vaut le détour ne serait-ce que pour ça, mais le scénario est mal construit si l'idée est originale, dommage, la suite corrigera peut-être ce défaut.
enfin de beau dessins de pontet car je trouvais ces dessins plutôt hideux je ne l'ai pas encore lus cet album je vais patienté encore 1 ans le 14eme tome pour relire toute la serie dans son integralité car je trouvais que la série trainait en longueur
Un format Comics, des aventures délirantes de Stan Pulsar, officier chaud lapin mais qui attention agit toujours avec grand professionnalisme si je puis dire.
C est tres marrant, le dessin de Vatine est bien fait et revele ce que sera Aquablue ultérieurement, le scenario de Cailleteau vise juste et est tres drole. Une bonne BD sympathique dans la lignée des aventures de Fred et Bob.
Une BD intéressante du maitre Manabe, dommage que Dark Horse n ait pas jugé utile de paraître la suite.
Germain et Nous, à travers Spirou, a traversé les époques, et tel un prisme, a montré les évolutions de notre société par le biais d une bande d'adolescents attachants tous différents mais qui nous ressemblent énormément.
Germain et Nous est un monument de la Bande Dessinée, qui, avec humour et lucidité, nous emmene a travers nos propres changements.
Un must pour n importe quel fan de BD
Cette série avait très bien commencé, jolis dessins et histoire prometteuse avec des personnages attachants. Mais voilà, une bonne partie disparait prématurément et d'autres apparaissent à tel point qu'on ne sait plus très bien qui est qui.
Bref la conclusion m'a un peu déçu.
il est vrai que l'histoire est simple mais ce qui est interressant c'est que l'auteur à détaillé l'ariere plan en pofinant des gags et des jeux de mots. cela rends à cette bd une autre histoire car l'on cherche sur chaque planche et dans chaque image un petit gag caché.