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Achete et "lu" hier. Lu entre guillemets, car vous ne trouverez aucun texte dans cette BD. C'est un one shot tres original. Toutes les planches sont a l'image de celle presentee dans la bedetheque.
Un petit bijou, tant dans la qualite des dessins et l'originalite de l'approche du theme aborde.
L'histoire est de plus tres simple, tres belle, et bien que faisant reference au passe, elle donne quelques cles pour comprendre certaines situations humaines toujours d'actualite.
A mon sens, un ouvrage obligatoire dans toute bedetheque qui se respecte.
La mort du célèbre détective Sherlock Holmes devient un mystère grandissant pour notre cher Watson qui tente de l'élucider...
Une passionnante histoire à couper le souffle !
Si Sir Arthur Conan Doyle vivait encore, il aurait sans aucune hésitation applaudi Luc Brunschwig et Cecil.
Ouvert et refermé immédiatement. Que Delcourt se paye un vrai coloriste qui ne fasse pas des patés comme ça, c'est immonde à lire et nuit énormément au dessin (qui ne cassait pas des briques au passage). Pas eu le goût de connaître le scénario, l'horreur graphique m'a suffit. Une boîte de crayon de couleur devrait être offerte au coloriste franchement !
Acheté par hasard, en passant (finalement c'est important la couverture), j'ai complètement accroché sur cette BD.
L'histoire se déroule dans le Far-West Américain. On y découvre trois bandits Gus, Clem et Gratt qui vivent de braquages, d'alcool et de filles. Au fil des pages on se rend compte qu'en fait, sous les airs de gros durs, ils sont à la recherche de l'amour et, pourquoi pas, d'un petit nid avec des rideaux et des tapis.
Un avis valable pour le premier cycle en fait.
Il semble que je sois un des rare à ne pas avoir apprécier ces albums. Si le graphisme est superbe il semble un peu trop évident que les auteurs voulaient dessiner des nus. Je rejoins un autre avis que j'ai lu ici : ça fait penser à un vieux film érotique; c'est vrai, on y retrouve les clichés, le sexe complètement omni-présent, les femmes superbes et faciles, les hommes toujours très baraqués et une histoire plutôt légère, très loin de l'aspect historique que pouvait laisser penser le début de l'album.
Pourquoi ne pas avoir assumé et avoir produit une BD adulte ?
Bref, aux amateurs.
Ce 4ème volume conserve la fraîcheur et la drôlerie des précédents. Les facéties et les "bonnes" (?) idées (sans oublier les "bons mots" ) de la petite Yotsuba, les réactions de ceux qui l'entourent, ses "découvertes" ne manquent pas de faire rire. Entre une partie de pêche avec Jumbo, une séance de badmington entre le même et Koiwai, la découverte de ce qu'est réellement une lyriste, il y a de quoi s'amuser et passer un bon moment de détente.
L'auteur poursuit sur sa lancée et continue de raconter la relation très particulière entre Kuroe et Misaki, sur un rythme lent et doux. On suit donc les émois de Misaki tout en apprenant quelques bribes de renseigments, mais si peu qu'on finit par se demander où l'auteur veut nous emmener. En revanche, on en apprend plus le passé de Sainome suite au décès de son père.
Le mystère plane donc toujours, mais on se laisse bercer par la délicatese charmante de l'histoire.
Troisième tome assez décevant aprés le plaisir procuré par les deux précédents. De superbes dessins mais quelle répétition et quelle lenteur dans la visite des 7 monastères. J'aime à croire qu'il ne s'agit que d'un retard à l'allumage et que le tome 2 du cycle dela terre n'en sera que plus séduisant
Je n'ai pas trop aimé ce tome des aventures de Lapinot.
Le scénario ou plutot l'histoire est digne d'un Mickey Parade. L'originalité de certains personnages sauvent la mise.
Ma plus grande déception en bd en 3 ans, depuis le debut de ma collection!!!
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Manhole
De Tetsuya Tsutsui
Les médias clament à tue tete que l’ensemble des maladies reculent, pourtant c’est drole car il n’y a jamais eu autant de malade.
On m’avait dit que l’auteur avait une manière efficace d’amener le cheminement de l’épidémie, et que graphiquement il assurait grave. Effectivement à première vue c’est ce que l’on pouvait penser, malheureusement le titre se révèle d’une hypocrisie rationaliste à couper le souffle.
Mais avant de parler du titre proprement dit, nous allons mettre en exergue ce que je vois trop souvent. Beaucoup trop d’œuvres, manga ou BD confondus, singent la crainte de l’autre avec des analyses pseudo-brillante de la communauté et de ses méthodes, parfois douteuses , qui prend la brutalité traumatique pour de l’intelligence. Ces distances physiques se retrouvent dans une paranoia hygiénique marquée au fer chaud de notre inconscient et de notre civilisation ( ce qui revient à parler du processus des mythes !). Une crainte des épidémies de masse ( grippe aviaire !), une timidité maladive, et l’exceptionnel oubli autour des évènements comme la perte d’un etre cher signifié par la maladie ou la mort. Trop souvent, on gobe des morts violentes , et au ralenti sans comprendre, ni cerner ce qui se passe sous nos yeux ébahis, ces négations se retrouvent dans nos idiosyncrasies, et ne fait que développer l’accroissement des distances avec les autres. On pourra toujours me prétexter la déritualisation civile , et la perte des mystifications culturelles ( prothèse du moi !), on détiendra un pan de réalité. Dès ce moment là, l’essor des rites archaiques, plus proche des rats que du singe, avec différents exemples qui se recoupent : solitude et enfermement des jeunes, viol de femmes et d’enfants, conflit de génération, infantilisme, structure rigide et tyrannique, déchainement de l’individualisme et de l’errance…Au final , le lecteur ou la lectrice sombrent dans la plus vaine des mélancolies, dans l’impossibilité d’aligner plus de 3 mots, ou éventuellement de pouvoir mettre en place une écoute. ( ce qui ne règle pas tout loin de là !) Evidemment ce ne sont que des causes représentatives de tout un ensemble de structures plus ou moins dans son coin, mais l’art en général étant un pale ( o combien éthéré !) reflet d’une communauté, en l’occurrence celle du nord, il ne sera pas étonnant de rencontrer des gens vers une forme de pureté morbide. ( schizophrénie, anorexie, boulimie,….)
Après avoir disserté sur le corps, nous allons pouvoir parler du titre. Remettons-nous dans le bain : « Des disparitions, et des évènements étranges à Sasahara pousseront un Duo de flic ( Ken Mizoguchi « l’ancien », Nao Inoue « la jeune » ) à faire une enquête sur ce mystérieux filaire hote des corps infectés ( les victimes ? !), et sur l’instigateur coupable forcément. Et là encore, c’est l’emploi des flics d’une manière un peu facile qui pose problème, malgré tout, le passage ou nos 2 inspecteurs entrent dans le taudis de cette vieille femme aurait pu etre interessant si il y avait eu une certaine continuité. Malheureusement, ce bon début fait place rapidement à une grave amertume qui s’installe chaudement jusqu’au discours du « photographe », et là tout s’effondre. Sous couvert d’une idéologie douteuse, de désirs de purification, et de gloriole, ce vieillard répand sa découverte du filaire dans la ville de Sasahara. ( un fléau qui ne touche jamais le lecteur !) Et surtout dans tous ces personnages dangereusement stéréotypés, c’est cette jeune femme flic, incorporée récemment, à la spontanéité superficielle qui se révèle etre la plus cohérente, et étrangement aussi la plus humaine. Elle était là pour faire rire, détendre l’atmosphère, mais au fil des pages, ironiquement, on scrutera chacune de ses réactions, de ses gestes, de ses mots pour cerner les tenants et les aboutissants du rapport au corps, à la solitude, et à la mort propre à notre civilisation. Quand à l’autre flic, on est plus proche du phénix ! ?
Pire encore, plus le titre avance, et plus on se rend compte que l’œuvre est faite en dépit du sens émotionnel. Que l’auteur par l’intermédiaire de ses personnages passe son temps à nous expliquer ce qu’il faut faire et ne pas faire, comme si nous étions des idiots et des demeurés mentaux. Par la force des choses, le rationalisme explicatif ne fait qu’aplatir, affadir et alourdir le récit ( qui n’en demandait pas tant !) qui était déjà pas mal plombés.
Un titre qui confine au cynisme pour la bonne et simple raison que l’on nous demande de choisir par l’intermédiaire d’une question : « Au prix d’un meurtrier idéologique faut-il accepter la tyrannie normaliste d’un carriériste binoclar en costume cravate ? ? ?
Quelle(s) réponse(s) nous propose l’auteur ?
La réintégration du corps policier ! ! ! BRRRR, ça fait froid dans le dos.
Une œuvre moraliste au possible, doublé d’un cynisme bien pervers. Je n’en demandais pas tant ! ! ! Mais arriver à me sauver la morale sur la fin, tout en respectant les vieux carcans hypocrites, moi je dis chapeau ! ! !
-
Mon lapinot préféré... Tous les personnages sont attachants. Une multitude de rebondissements et une intrigue bien menée plus la touche "Trondheim" font de cette BD un must.
Très surprenant du point de vue du dessin mais le scénario est très compliqué à la première lecture...
un truc qd meme.... j ai pas compris comment est tué la terroriste par l agent de la NSA..si qq un pouvait m expliquer...y a qd meme un truc pas clair....
J'adore ce Manga ! Il faut dire qu'avant je n'en était pas passionnée... C'est le 1er manga qui m'a vraiment plu, je compte acheter le 4ème en avril et m'en réjoui déjà alors que je viens d'acheter le 3ème... J'espère qu'il va continuer et que je pourrai posséder toute la colec't !
Merci a Barasui pour son super manga...
P.s : Je suis nulle en orthographe, ne faites pas attention aux fautes s.v.p :p
Il ne se passe rien, scénario vu et revu, on a la facheuse impression une fois cette bd terminée que ça va durer longtemps pour pas grand chose
Graphisme splendide, histoire sympathique et amusante, trés bonne bd.
Dans cet album s'opposent Loki et Thor, célèbres dieux antagonistes de la mythologique nordique. Le dessin et les couleurs sont magnifiques, l'histoire simple et agréable le scénariste ayant préféré mettre le ton sur les personnages ( trés convaincants ). Trés bon !
Je dirais, qu'après le tome un, ce tome et le cinq sont à un même pied d'égalité,
Tarquin continu d'impressionner avec ses dessins et Arleston nous sers un
excellent scénario.
Si je devais mettre les trois meilleurs livres de la série sur un podium se serait:
1#L'ivoire du Magohamot
2#Castel Or Azur
3#Le frisson de l'Haruspice.
Cette série est un incontournable dans la bd, alors si vous ne la possèder pas,
tenter de la lire, ou mieux,de l'acheter.
Je dirais, qu'après le tome un, ce tome et le cinq sont à un même pied d'égalité,
Tarquin continu d'impressionner avec ses dessins et Arleston nous sers un
excellent scénario.
Si je devais mettre les trois meilleurs livres de la série sur un podium se serait:
1#L'ivoire du Magohamot
2#Castel Or Azur
3#Le frisson de l'Haruspice.
Cette série est un incontournable dans la bd, alors si vous ne la possèder pas,
tenter de la lire, ou mieux,de l'acheter.
Vraiment, ce fut un de mes préféré de la série, je crois que je l'ai relus une
trentaine de fois la première semaine que je l'ai eu. C'était la première bd du
genre que je lisait et c'était fantastique.
Je crois que cette série est parmi les meilleurs d'Arleston. Tarquin au dessin, il
est sublme, et on voit les dessins évolué au cours du tome. Je le conseil
fortement à ceux qui commence dans le HF. C'est peut être la seconde fois que
je le dis, mais ce tome est vraiment, excellent. Le seul hic est quand Lanfeust
refait la lame d'Or Azur, il tient pas l'épée dans sa main, mais bon, c'est pas une
petite erreur qui va nous faire .......
J'ai trouvé, parmi les trois encyclopédie de Troy, que celui ci est celui qui vaut le
plus le coup, parce qu'il y aquelques histoires inédites. On comprends mieux la
société trolls.
Je dis pas que les autres sont mauvais, mais je conseille de vous procuré celui ci
en premier, car si vous avez aimé, vous allez aimé les autres, également.
On comprends, après l'avoir lu, le corps trolls, les races, le mariages, les
légendes et les c****** du conservatoire.
Ce premier album doté de 2 histoires marque le début de Sammy et annonce la nature de la série: l'aventure de Sammy et Jack, des "gorilles", sur le ton de l'humour. La première histoire se passe dans un home abritant des truands en tous genres, et la seconde histoire narre la rivalité entre deux savants jumeaux ayant construit chacun un super robot destiné à détruire l'autre (robot). Sur un ton humoristique, les deux aventures sont simples et ne m'ont pas trop emballées, mais préfigure le genre de la série.
Ce qui est terrible après la lecture d'un chef d'oeuvre, c'est l'impression de vide qui suit les sentiments intenses. L'apothéose de cette série ne peut être résumée sans risque d'être réduite ou dénaturée. Une seule solution : à lire d'urgence !!!
J'ai trouvé ce tome pas mal pour quatre choses:
La première; on découvre et comprends mieux les orientations sexuelles de
Calista, quand elle le dit d'elle même à Narvath.
La seconde; on voit la première citée Fengs de l'histoire.
La troisième; Dhokas à trouver plus fort que lui et on remarque le nouvelle
escroc de l'histoire, qui est nul autre que le redoutable maître Khengis.
La toute dernière; la découverte de l'étrange livre de bord, qui révèlerait des
informations douteuse sur le premier vaisseaux à s'être écrasé sur Ythaq et que
ce serait par la faute des passagers qui se serraient mutinés.
Toujours pas grand chose qui me déplaise, alors vivemen le quatrième tome.
Mon tome préféré de cette série, je trouve que les auteurs on très bien fait cette
album.
Les personnages me paraissaient, pour certain, inquiétant. À tout les coups je
me demandait si Dhokas savait réellement qui se cachait sous le masque
d'Ophyde. Les choses devenus compliqués pour Calista, je trouve que cela
rajoutait du suspense, car je me posait souvent la question: est ce qu'elle va se
faire démasquée? est ce qu'elle va se faire tuer?
J'ai également appréciée le fait qu'un petit vaisseau, de la Silver Star Lines se
trouve dans le palais.
Ce qui m'a un peu déçus et que je trouve que ça faisait américain, c'est le fait
que Krugor frappe dans le mur et que découvre t'on derrière ce mur, come par
magie la porte du vaisseau.
Je n'ai pas tout à fait compris qui étaint les gars bizzares qui sauvent Enak, parce
qu'à ce sujet, les auteurs sont pas claire.
Le trait de Floch m'éppate toujours et la manière dont Arleston joue et fait
réfléchir ses personnages m'impressionne.
Ces nouvelles aventures relatent l'expédition de WS pour sauver le premier amour de Honesty.
Le scénario est sans surprise et l'on devine très vite que Legret n'est pas vraiment ce qu'il paraît être. Assez décevant...
Charly est devenu une série beaucoup plus adulte depuis quelques tomes. Celui-ci n'échappe pas à cette tendance et les dernières planches sont assez violentes pour une série initialement destoinée à un public plus jeune.
On peu regretter que l'hisoire fasse deux tomes alors qu'elle aurait tenu en un album et demi. Reste que cet album conclut agréablement l'histoire commencée dans le tome précédent.
Aaaah, quel bonheur de lire un Achille Talon! Dans cet album, l'incroyable érudit
nous fait bien rire et lâcher quelques exclamations d'admiration (le vocabulaire
et les jeux de mots sont exquis). Les dessins sont magnifiques puisque qu'ils
reflètent un Greg mature et au sommet de son art. En somme, un des bons
album de la série. Et hop, je vous le conseille! Voilà. Comme ça. Derechef.
Ce tome V représente un virage important, la terre a été détruite et nous apprenons pourquoi. Le libéralisme s'est transformé en toute logique en totalitarisme. Ce voyage dans le temps fait s'entrechoquer les dimensions et nos héros retrouvent Milerad et Amina vieillis de 30 ans et dirigeant une structure néo nazi. Le cauchemar concrétisé par la dernière planche disparaitra - t - il par un bond temporel en arrière ?
Je n'ai jamais laissé un avis sur une BD mais la je ne peux que donner la note maximum tant cette album est superbe. Les dessins sont sublimes et l'emotion et la sensibilité prennent doucement la main. L'entretien de ce zoo permet de découvrir des personnages touchant et sensibles. Pas d'action, de meurtre, d'explosion et pourtant on reste incroyablement scotché à cette histoire humaine.
Malgré qu'il n'y ait pas grand action dans ce tome, il est mon préféré. Ça m'a
permis d'un eu mieux comprendre l'histoire et on voit le premier titant de la
série.
Du côté dessint, je n'ai pas à me plaindre, Pellet donne du bon travail et les
couleurs marche vraiment très bien avec les dessins.
Le scénario me plaît, c'est sûr, ça ressemble un peu à lanfeust de Troy, mais je
trouve tout de même l'histoire très intéressante.
Je craignais un peu le "roman de gare" et bien non, ce premier volume est dense, pose bien les bases du récit, des vies qui s'entrecroisent. Les planches sont subtilement belles. J'ai beaucoup aimé India dreams, j'adore War and dreams.
Franchement j'ai adorer! Le monde créé par l'auteur nous entraine dans une histoire qui ne s'essouffle pas =) Présentations de l'histoire et des eprsos dans ce premier tome =)
Fofo sur D.Gray Man :
http://dgrayman.xooit.com
Ce premier volume est une réussite !!! tout y est, les dialogues, les dessins, le découpage des planches, les couleurs et bien sûr, le scénario. Dès la première page, nous sommes emportés dans un univers que l'on pressent sordide, cet hôpital où se cachent des secrets terribles. Le tandem formé par Doris GEATHOUSE et sa fille Cora est poignant et palpitant, d'autant que la petite fille voit et s'entretient avec des fantômes. Vivement la suite ...
L'histoire est plutôt sympa avec des personnages qui paraissent assez sympatique et la mise en avant de l'économie chinoise et de son fonctionnement entre capitalisme et communisme. C'est intéressant et assez bien traité mais en ce qui concerne l'intrigue on a l'impression d'un traitement assez superficiel sans entrer vraiment dans le fond des choses c'est dommage. Peut être que la suite corrigera ce sentiment mais pour le moment j'ai un avis plutôt mitigé sur ce début de série.
Ce tome consacré au quatrième personnage est pour moi le plus réussi. L'histoire de cette belle aubergiste est touchante. Le dessin de Kraehn (Tramp, Gil St André ...) est lumineux.
L'originalité de ce quintett prend ici tout son sens, en effet, sur fond d'évènements connus et dans un contexte famillier, on découvre avec plaisir l'histoire de ce personnage de Nafsika Vasli.
scénario un peu confus avec une multiplication de personnages dont on a du mal à se souvenirdurôle au fil de l'histoire. Les couleurs sont très belles notamment dans le palais du doge. Pas le meilleur album de la série.
Un très beau cadeau que nous offre Dupuis !
Avant de glisser dans les aventures de Tif et Tondu, l'histoire du neuvième art se veut que nous traversions dans la genèse de Fernand Dineur, alors véritable créateur de ses personnages, avant que Will Maltaite ne les reprenne finalement.
La couverture assez chic est un vrai choc, très attirante et provocante, car elle représente une bonne intégralité de M. Choc dont le succès a eu beau lieu.
Un seul regret, presque pardonnable, c'est l'absence de la chronologie...
Voilà une BD qui aborde les super pouvoirs sous un angle original : pas de gros musclé en collant bariolé mais juste un ado orphelin, zonant dans un foyer. Yann découvre par accident qu'il a un pouvoir énorme, celui de figer le temps. Après avoir compris ce qui lui arrive, il va passer par de nombreuses phases : Il va d'abord en profiter, puis sauver des gens, puis arrêter. Malheureusement, il va être localisé par tous les services secrets de la planète qui vont tenter d"'éliminer cette menace". Il s'ensuit une longue course-poursuite qui tuera dans l'oeuf sa première histoire d'amour.
Une histoire qui traite d'un pouvoir exceptionnel sous un angle "réaliste" vraiment original.
A lire.
1935, François Le Guennec abandonne soudainement sa routine quotidienne de petit romancier besogneux au fond d’un placard. C’est décidé, il embarque pour le Maroc, pour les paysages de ses romans à deux sous qu’il n’a, curieusement, jamais visités. Naïvement, il espère aller à la rencontre des Maures, mais n’a aucune idée de la réalité qui l’attend sur place. Choc des cultures, protectorat français. Bien malgré lui, Le Guennec va se retrouver au centre d’une intrigue dont ce premier tome nous propose les seules prémices.
Le Guennec est un héros maladroit et malgré lui. Il n’a d’emprise sur rien, les évènements s’imposent à sa quête personnelle un à un sans qu’il en discerne les tenants ou les aboutissants. Il s’adapte courageusement, avec des fortunes diverses, jusqu’à ce qu’il y trouve une forme d’équilibre et de sérénité.
« Les yeux de Leïla » est un véritable régal pour celui qui aime les atmosphères feutrées, le ton intimiste, les non-dits, la simplicité, les valeurs essentielles ... Le dessin « parle », les couleurs, superbes, jouent sur la lumière ambiante, du soleil éclatant à la noirceur de la nuit, en passant par l’ombre des tentes.
Il y a du Ferrandez (Carnet d’Orient) là-dessous, à tout le moins en ce qui concerne la démarche et quelques éléments scénaristiques. La fin est pour le moins abrupte, une faiblesse ou une incitation à lire le tome suivant ?
A lire absolument. J’ai été littéralement transporté.
Enfin Dieu nous est montré sous un aspect un peu original : une Personne (avec un grand 'P', quand même...) qui n'a pas réponse à tout et qui ne peut se charger personnellement de toutes nos demandes mais qui ne nous laisse pas seul.
Parmi les acolytes auxquels Il demande de l'aide, on retrouve de tout: Freud, Al Capone, Mozart, etc.
Dans les problèmes abordés et les solutions proposées, on pourrait presque y trouver des réponses pour notre vie de tous les jours... A méditer. MDR
C'est original, bien pensé et on ne demande qu'une seule chose : la suite, svp.
Si certain sont comme moi et en ont mare de la date repousser de dorohedoro tome 4 alors sur http://ns22188.ovh.net/~solmanga/forum/viewtopic.php?t=20
vous pourrez exprimer votre mécontentemment et réclamez des information.
L'histoire de ce nouveau diptyque de Corbeyran et d'Amélie SARN qui partage la signature du scénario est archi classique dans le genre histoire d'horreur. Cependant ça marche plutôt bien avec des personnages assez sympa et une intrigue bien développée. Personnellement je ne suis pas trop fan du style de dessin mais globalement ça passe plutôt bien. Bref c'est assez agréable à lire mais reste à savoir comment l'histoire va se finir.
J'ai bien aimé ce tome, parce que j'aime les arbres et qu'ils y en a pas mal
beaucoup, mais aussi parce que le dessin est pas mal. L'équipe ressemble tout
de même à celle de Lanfeust, j'ai regarder au début et il y a cinq personne dans
l'équipe, alors on retrouve Le gros qui fesse dans le tas, le héros qui fabrique
des choses avec les métaux et deux filles.
Mais j'aime bien l'idée que ce qui savèrerait être bien, ne l'est pas tout à fait et
que la vrai chose quelle est censé être, n'est hélas que l'inverse. Ce que l'on
croyait blanc est noire et vic-versa. Que le suposé méchant dans l'histoire ce soit
dans le fond le gentil et que le suposer gentil soit le vrai méchant.
En tout cas, ça reste une bonne série de fantastique.
J'ai aimé le dessin "noir" on entre dans un autre monde et on peut même aller jusqu'à imaginer les couleurs...
D'abord ça et puis il y a l'histoire toute en finesse, la soucoupe flottante, l'environnement gigantesque où les humains paraissent des insectes... On s'attache vite aux personnages...
J'adore J'adore comme dirai un certain K
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La nef des fous
De Turf
3- Turbulences
Dès la couverture, on cernait les plans machiavéliques du Prince putatif étouffant physiquement et moralement le nouveau Roy, Ambroise I. Si jusqu’ici le ton de l’auteur était enfantin dans l’ensemble, à partir de ce tome 3 l’auteur fait un virage sec dans la cruauté. Elle se retrouvera d’ailleurs à différents stades.
On croit, au départ, que le G.C a trouvé un adversaire à sa taille mais le Prince se révèle trop lucide et extremement brillant pour faire tourner en bourrique ce pauvre Empereur des pois. Avec divers supplices dont en premier lieu le rêve et ses hantises se montrant des plus efficace, jusqu’à l’apparition des médecins. Et là, au vu de leurs manières et de leurs habits on pense à Molière et au « malade imaginaire ». ( clin d’œil à la langue Française ?) Traverser la jungle infestée de Schloumpfs sanglants et impitoyable ( clin d’œil ultra célèbre !) et d’autochtones dangereux sera plus difficile que prévus pour Aphros et nos 2 tourtereaux que sont Arthur et Clorenthe. Malgré tout, ils auront une aide inespéré, celle d’un robot intelligent mais qui renonce bien vite envoyé par la matrice. Sans oublier nos deux zouaves qui s’amusent à ne pas tomber dans les oubliettes du souterrain Eauxfollois.
La mélancolie du nouvel empereur qui précède la cruauté du tome le plus rude préfigurerait-il une destinée plus funeste de nos héros ? Un Prince d’une cruauté clinique, l’environnement de nos héros qui tout doucement se rétrécit pour devenir suffoquant, pénible, dangereux, des dérèglements climatiques liés aux humeurs du G.C de plus en plus incompréhensible.
Bref, l’auteur continue sur sa lancée scénaristique, graphique, émotionnelle, et commence à noircir son tableau, et prouve qu’il peut etre un conteur honnête et remplir son contrat, c’est-à-dire d’etre un divertissement réussi à la fois riche et amusant. Ce qui sous nos latitudes est loin d’etre évident, et surtout loin d’etre toujours le cas.
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D'une manière générale j'ai trouvé ce début plutôt en demi teinte. Pas mal de questions sans réponses, des persos intéressants même si Boozer est plutôt très classique dans le genre. L'intrigue évolue de manière intéressante mais n'a rien d'exceptionnelle avec en plus quelques ficelles scénaristiques un peu grosses (on voit bien que Corbeyran s'éparpille un peu entre toutes ces séries qui finissent par se ressembler). L'univers dans lequel se déroule l'histoire est plutôt bien introduit et on arrive à rentrer facilement dedans. C'est agréable à lire mais je ne suis pas pressé plus que ça de connaitre la suite. J'ai du mal avec la mise en couleur qui n'est pas vraiment à mon goût. Ceci joue sur mon appréciation du dessin qui n'est pas non plus vraiment à mon goût et m'a même rebuté pour lire l'album.
En conclusion c'est un album très moyen mais j'attend de voir la tournure que l'intrigue va prendre.
La collection ligne rouge de Casterman compte une nouvelle série centrée sur une intrigue se déroulant dans le milieur de la politique. L'intrigue d'"Elysée république" se situe au sein de la république et plus généralement de la vie politique française (avec des partie et politiciens fictifs bien entendu). L'histoire est intéressante, bien introduite avec pas mal de questions et quelques éléments de réponses. La fin et assez surprenante avec son lot d'incertitude tant et si bien qu'on ne sait pas vraiment où les auteurs vont nous emmener. J'ai beaucoup aimé cet album, la suite promettant d'être très riche en rebondissement et en action.
Voilà un album plein de révélation nottament sur la véritable histoire du connetable Von Schöneberg et la manipulation de l'église pour cacher la vérité. Même si les faits du passé sont maintenant connus il reste le mystère des meurtres du présents avec encore pas mal de zone d'ombres malgré certaines révélations. De plus l'église semble préparer un sale coup à Adam Robak. Bref un très bon volume qui prépare bien la fin de la série dans le prochain tome.
Ce premier tome de cette série ex "mèche rebelle" rebaptisée proTECTO (avec un changement de format et de prix tant qu'à faire) prend une tournure plus sombre. L'histoire se passe quelques années après les deux tomes de "mèche rebelle" eet Madame n'a pas oublié sa vengence envers Kim et Alicia. L'intrigue prend un tournant plus psychologique avec pas mal de manipulations de la part de Madame pour détruire la vie de Kim et lui prendre ce qu'elle a de plus cher au monde. Ce tournant est plutôt bien vue et rend l'intrigue plus intéressante. On passe vraiment un bon moment et on a envie de connaitre la suite.
L'histoire est plutôt intéressante bien qu'un peu délirante mais on a l'habitude avec Jodorowsky. Les personnages sont plutôt bien trouvés et intrigants. L'intrigue en elle même est bien développée et a un bon potentiel.
Voilà un premier volume qui introduit bien le contexte de l'histoire et les personnages. Globalement c'est plutôt pas mal, on rentre assez facilement dans l'histoire et le personnage est assez sympathique bien qu'assez plat pour le moment même si son côté idéaliste et naif est assez bien vue. On passe un bon moment et la suite peut s'avérer meilleure.
Enfin le retour du Zet avec en prime un petit combat pour se remettre dans le bain. Globalement l'intrigue n'avance pas des masses et l'auteur ne nous donne que quelques informations, les zones d'ombres restant encore nombreuses. Globalement c'est un bon volume qui donne envie de connaitre la suite.
Dans ce volume une évolution importante dans les rapports entre Tatsuya et Minami ce met en place. En effet Minami était jusqu'à présent manager du club de baseball mais suite à un remplacement de dernière minute cette dernière c'est mise à la GRS discipline ou visiblement elle excelle. Les rapport entre nos deux amis s'en trouvent modifier et ce succès soudain de Minami semble inquiéter Tatsuya qui a peur qu'elle s'éloigne de lui. Parallèlement Tatsuya continue de progresser au baseball et même si ses lancer ne sont pas parfaits il se débrouille plus que ça. De plus un nouveau personnage apparaît il s'agit du premier fan de Tatsuya Takeshi. Reste à savoir le rôle qu'il jouera par la suite dans la série.Tous ces éléments mélés de non dit, de sous entendus et d'humour rendent le tout passionnant.
Ce volume est davantage centré sur les prestations de Keisuke au championnat inter-lycées et sa qualification pour le championnat du Japon. Autant dire que les choses ne sont pas simple pour Keisuke qui commence à prendre les choses plus au sérieux car il souhaite affronté son grand rival (pas uniquement en nation d'ailleur) Nakanishi au championnat du Japon. Ce volume est toujours aussi léger que les précédent avec pas mal d'humour mais également des instants plus dramatiques à la fin du volume qui remet pas mal de choses en question.
Je ne connaissais rien de Spawn. Après avoir vu le film (une belle bouse soit dit en passant) j'ai acheté ce tome par curiosité...et malgré sa briéveté j'ai éprouvé beaucoup de difficultés à arriver au bout.
Franchement le dessin est assez immonde, surchargé et les scènes de combats sont carrément illisibles. L'histoire est vraiment particulière et les dialogues sont d'une bêtise et d'une vulgarité extrêmes.
Personellement je n'ai pas du tout accroché...je retourne à mes Daredevils : ça c'est un personnage intéressant.
A mon sens, le plus sympa des trois albums sortis à ce jour. Toujours la même facilité pour des jeux de mot +/- finos mais toujours plaisants avec en plus dans ce tome l'arrivée de quelques personnages connexes très attachants ( Cicérohn, Agoyath ou Zombie apparu dans le tome précédent ). Vivement le prochain tome qui cloturera ce cycle
la spirale infernale de la looze mise en strips
a savourer par tranches quand meme
pour 12 euros on en a pour ses couronnes
premier tome d'une serie qui en compte deja neuf en suede
on peut donc esperer se poiler dans les annes qui viennent
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Pluvior 627
Un chef d’œuvre du grotesque ? A première vue, je suis plutot d’accord avec le dernier terme, pour ceux ou celles qui ne suivent pas c’est ( une œuvre !) grotesque, et pourtant à la fin de ce tome 2 un petit quelque chose fait son apparition qui donne enfin une consistance au titre.
L’ensemble de ce tome 2 est dans la continuité du premier ( ce n’est pas toujours le cas avec d’autres auteurs !). Un exRoy jeté en pature aux rats. L’ile sur laquelle nos 2 tourtereaux ont échoué se révèle habitée. Un jeune Baltimore qui prouve qu’il sert à quelque chose en tombant sur Igor XVIII qui est en rapport avec le trafic de coloquintes. Ce qui me pose problème à ce moment là c’est l‘ ellipse de la charge idiote ! L’émerveillement du G.C devant son exploit d’etre enfin le Roy, l’auteur s’attarde beaucoup sur ses machinations. On peut donc dire que la monarchie des rayures s’est écroulée laissant place à l’empire des petits pois.Y a t-il un lien de cause à effet entre le tremblement de terre et le craquellement de l'ancien royaume ?Le fait qu'étrangement les 2 se recoupent grave dans la terre ( l'atavisme !) cette fissure. On se rend compte aussi que nos 2 flics, surtout le supèrieur, sont mus par des interet comme la richesse, la gloire, le pouvoir, les articles de presse, et par un héroisme naif sous jacent.
Mais ce qu’il y a de remarquable, c’est le fait que l’auteur au détour d’une case « banale » fasse preuve d’une réelle inventivité graphique en perfectionnant son monde bizarroide, sa faune étrange, et sa flore omniprésente. Et aussi ce n’est pas tellement l’arrivée du Prince putatif qui représente ce petit quelque chose dont je parlais plus haut mais bien que le G.C soit en proie en une certaine mélancolie hors programme.
Et c’est ce mieux qui se révèle probant et interessant quand à la suite du récit de « la nef des fous ». L’auteur fait preuve d’un peu plus de conviction et un franchissement de trois paliers se fait ressentir qui sont àla fois graphique, scénaristique et émotionnel. Espérons que l’auteur saura continuer dans cette voie prometteuse.
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il n'y a vraiment rien à jeter sur toute la chronique "le fleau des dieux" si le fait qu'il faut pas mal debourser pour avoir toute l'histoire chez soi. dessins magnifiques, histoire tres bien trouvée.
A LIRE !!!
les dessins sont suprenant, un style qui est tout sauf insipide. noir et blanc.
l'arriere plan est aussi bien travaillé que le premier.
le hic : l'histoire ... elle est sympa, sans prétention, sorte de conte amusant mais pas captivant.
à lire quand meme de tout evidence
univers tres... tres... "retourner", louffoque.
mieux vaut ne pas raconter donc je ne peux que conseiller.
les dessins ont un style particulier pour ma part j'adhere, l'histoire tirée par les cheveux.
tres bien
Et voila deception pour ce n° 2, une serie si prometeuse qui nous ponds un second tome de m....
Une BD formidable qui montre les problèmes actuelles...jen reve d'en faire une adaptation
Cette bande dessinée part d'un sujet tout-à-fait original: des rats qui envahissent la ville d'ostende. Le bal du rat mort existe, c'est un bal qui a été inventé par James Ensor en 1996 quand il était à Paris. L'histoire est vraiment fantastique: mais en ne voit pas le rapport avec les gens de la kermesse et les rats. Cependant il y a quelque chose dans la jeunesse de l'inspecteur, le suicide de son père qui le fait agir de sorte...
C'est une bande desinée lugubre qu'il faut lirer à plusieurs fois... et cela donne des frissons!
Cette bande dessinée part d'un sujet tout-à-fait original: des rats qui envahissent la ville d'ostende. Le bal du rat mort existe, c'est un bal qui a été inventé par James Ensor en 1996 quand il était à Paris. L'histoire est vraiment fantastique: mais en ne voit pas le rapport avec les gens de la kermesse et les rats. Cependant il y a quelque chose dans la jeunesse de l'inspecteur, le suicide de son père qui le fait agir de sorte...
Pardon à ceux qui aiment et qui me diront peut-être que je n'ai pas compris cet art...
Pour le dessin, c'est Bilal et on aime ou pas... Perso, c'est pas mon goût mais ça n'en fait pas une mauvaise bd.
Pour l'histoire, c'est plat, pas fondamentalement original et surtout amené tout en lourdeur. Enfin, son "humour", ses dialogues et ses blagues téléphonés me laissent un peu de glace. Sans parler de la morale bateau (mais façon arche de Noé) : "le nazi c'est mal !"
Si ça s'arrêtait là, je dirais que ce n'est pas une bd à mon goût mais qu'il en faut pour tout le monde.
En revanche, ce qui m'horripile par-dessus tout, c'est qu'en tant que lecteur, je me sens pris pour un c** d'un bout à l'autre. L'auteur fait tellement d'effort pour s'assurer qu'on a bien vu et remarqué tel ou tel détail qu'on se demande s'il fait confiance aux capacités et à la curiosité du lecteur. On aimerait se dire "Je suis entré dans un monde particulier et tous ces détails qui parraissaient insignifiants prennent tout leur sens !". Au lieu de cela, on sent la main imposante de l'auteur...
Pour prendre un analogie, une poésie (et à mon sens la littérature en général) de doit pas soutenir et argumenter une thèse, c'est le rôle d'une dissertation...
Ici l'auteur semble partagé entre raconter de la SF et soutenir son argumentaire. Et si encore l'objet de la discussion était intéressant...
Grosso modo, c'est sans finesse tant dans le scénar qu'ailleurs.
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La nef des fous
De Turf
Un univers à la fois mécanisé, fantastique, féodal et spécial. Des héros haut en rayure. Un album singulier, innovant, et inventif exécuté par un auteur en grande forme. Une œuvre mythique . Voilà, en gros, la manière dont ce titre me fut présenté. Et pourtant à la lecture de ce premier tome, je suis plus que partagé, coupé en deux, entre quelques réussites, et une exploitation maladroite et trop brève de l’écriture d’ensemble et de celle de nos héros.
Dans les réussites on peut y mettre pêle-mêle : « le talent graphique indéniable de l’auteur notamment p 7. Une ambiance fortement empreinte du « monde »Walt Disneyen ( ça se dit ?). Une ou deux répliques interessante du Roy p 15. Et une secte amusante ayant l’insigne de Delcourt . » ( Tout le monde s’en est rendu compte, je pense !).
Tout ça pour dire que la nef des fous est une cage ( dorée !) aux folles ( C .Q.F.D ). On y rencontre un Roy faitaliste , capricieux, mélomane ayant des reves prémonitoires qu’il n’écoute pas, un grand coordinateur qui met des batons dans les roues du système, se veut « calife » à la place du « calife », en d’autre termes il ourdit un complot, fait des messes basses. 2 flics habillés en rouge qui mènent l’enquete sur le trafic de coloquintes. Un fou, c’est très relatif, nommé Arthur qui s’occupe de la jeune et douce princesse. Elle-meme irritée par le monde qui l’entoure, et trop curieuse une fois à l’extèrieur du château.
Malgré tout, le problème n’est pas dans le support classique, je veux dire un royaume des complots, mais bien dans l’utilisation trop rapide et trop brève des évènements, comme une course contre la montre, et le développement des personnages principaux ne dérogent pas à cette règle de la vitesse, qui nous gache, affadit, et aplati ( et de beaucoup !) la lecture du récit.
Un récit qui ne manque pas d’interet mais qui peche par excès de vitesse.
Au final, ce premier tome laisse un gout d’inachevé dans sa conception, et l’impression maladroite d’une œuvre en demi-teinte.
Dommage ! ! !
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Deux personnes fréquentent en visiteurs les mêmes enterrements ... l'homme interpelle notre narrateur d'une remarque complice qu'il ne comprend pas...
un suspens s'installe... et dure un certain temps avant qu'on ait une idée du sujet réel du roman...
... l'auteur fait monter l'angoisse qui suit progressivement les révélations et la perturbation mentale du héros (narrateur): le lecteur finit, comme le héros, par douter de tout et de tous, même des êtres proches, connus depuis des années...
et on arrive à un dénouement assez inattendu!
C'est vraiment bien raconté et j'aime toujours autant le traitement graphique de De Metter! rien que la couverture: le contraste entre l'idée de cadeau et la la tronche du mec posée sur un décors glauque avec un graffiti délicat...
...les émotions sur les visages en gros plans, un contre-jour sur une scène intimiste, un duo de désespoir alcoolisé...
J'ai vraiment beaucoup aimé!
Voilà un début de cross over des plus passionnant. Tout est parfaitement mis en place et les éléments présentés dans les diverses revue Marvel concernant ce cross over commencent à prendre tout leur sens. Dès le départ on a droit a quelques surprises mais à mon avis les évènements à l'origine de tout ce remu ménage n'est pas aussi simple qu'une boulette commise par une équipe de super héro de seconde zone. Je me demande si il n'y a pas quelque chose derrière tout ça, notamment au vue de ce qui s'est passé avec les Vengeurs en terre sauvage et de la rapidité dont le SHIELD a fait preuve pour créer son unité anti super héros (pour ceux qui refuseraient de révéler leur identitée secrète et intégrer une branche du SHIELD).
Cette histoire est triste, cruel, immonde.......et à mourir de rire ! Evidemment c'est de l'humour noir voire très noir !
Cette BD est étonnante: à la fois triste et drole. On suit le parcour d'un rat déprimé avant de finalement tomber nous aussi dans cet état. Vous ressortez de cette lecture bien chamboulé.
ATTENTION ! A ne pas lire si vous êtes déprimé et au bord du suicide !
Cette BD est remarquable ! Le trait de Thierry Robin est incroyablement personnel et original. C'est magnifique. Il faut par contre bien s'y accrocher car il est très énergique, complet, fastidieux. Le scénario est par contre très difficile au premier abord: la première fois, je n'est pas tout compris puis la deuxième lecture s'est révélée géniale !
Cette BD mérite une grande attention mais pour cela, il faut s'accrocher....
Je n'ai rien trouvé à la lecture de cet album qui puisse me donner envie de me replonger dans une aventure de Dan Cooper. Intrigue plate, nombreux raccourcis dans le scénario et dessins irréguliers tout au long de l'album. Sans doute réservé aux amoureux de l'aviation
bon premier album dont le scénario voyageant entre le thriller et le fantastique nous laisse augurer d'une suite palpitante
Avec ce tome nous rentrons réellement dans le vif du sujet, à savoir le conflit entre nordistes et sudistes comme le titre l'indique.
La série gagne en personnalité après un 1er récit relativement quelconque. Blutch et Chesterfield, dont la relation est approfondie, prennent réellement le pas sur leurs deux acolytes de départ et on découvre un homme qui deviendra par la suite une figure de la série : ce fou-furieux de capitaine de cavalerie nommé Stark.
Le dessin de Salvérius illustre cette bonification : plus de détails et de réalisme dans les décors, des personnages mieux proportionnés...
Enfin certaines situations sont assez drôles pour nous décrocher plus que les quelques sourires nés de la lecture d'Un Chariot dans l'Ouest.
Dessin : 3/5 Texte : 3/5
Une sorte de prologue au reste de la série puisque nous sommes ici dans le contexte des guerres indiennes.
Cet album présente rapidement les personnages avant d'offrir une histoire de convoi de munitions sympathique mais très classique.
L'humour est lèger et le duo Blutch-Chesterfield n'est pas encore au coeur du récit même si l'incompatibilité de leurs caractères respectifs est déjà visible.
Le trait de Salvérius est un peu rapide et simpliste pour ce qui est des panoramas mais ne nuit en rien à la lecture.
Ce premier tome se lit d'ailleurs très (trop ?) vite.
Nation Omac : L'histoire se poursuit de manière assez sympa mais on ne rentre pas assez vite dans le vif du sujet. Certes les combats sont sympa mais ça ne remplace pas une bonne histoire.
Jugement dernier : Superboy face à... Superboy voilà qui aurait tendance à surprendre tout ceux qui ne suive pas infinite crisis. En effet cet épisodes développe l'attaque du Superboy venant de la terre Prime et de la mobilisation des Titans et autres groupes comme la Doom Patrol pour lui venir en aide. C'est plutôt sympa.
La guerre des lascars : Voilà un épisode plutôt sympa qui voit les choses un peu mal tourner pour Flash car même les ex lascar ayant changer de camps se ligue à présent contre lui à cause de la Toupie.
Folie dévorante : Episode plutôt sympa mais le délais entre deux épisodes nécéssite une relecture du ou des précédents pour faire le lien avec l'intrigue en cours.
Cette mini série sur le Green Lantern Corp est vraiment très bonne. On rentre facilement dans l'intrigue et l'arrivée de nouveaux Green Lantern est plutôt sympa. Il y a pas mal d'action et on se laisse facilement entrainer par l'histoire et ce qui arrive au divers personnages. Bref un très bon numéro.
Jeux de vilains : Nouvelle histoire avec en toile de fond Black Mask, Red Hood et Batman. un affrontement entre 3 personnages plutôt fort et pas mal de choses qui vont changer au vue de la fin. Le début est plutôt bon reste à voir comment ça va évoluer mais c'est très prometteur.
Rupture de contrat : Bonne histoire qui nous en apprend plus sur le passé de Prométhéus. Pour le moment l'histoire est surtout centré sur ce dernier, Silence et Talia Al Ghul (membre de la société des Super-Vilains) et Batman en est absent. C'est également une intrigue prometteuse.
La vie de Ripley : Petite histoire sympa mais qui ne n'a rien d'exceptionnelle sauf la fin à priori assez surprenante qui nous fait nous poser des questions sur Alfred (majordomme et amis de Bruce Wayne).
La ville du crime : Toujours aussi hermétique. J'espère que cette histoire va se terminer très rapidement.
Action comics 833 à 835 : L'histoire est plutôt sympa avec deux méchants assez intéressants (la reine des fables et Livewire). C'est plutôt sympa mais j'ai déjà lu mieux comme histoire.
Là-Haut dans le ciel : Histoire sympa avec pour toile de fond l'un des évènements d'infinite crisis mais ça fait plutôt épisode bouche trou qui n'apporte rien que ce soit à la série Superman qu'à infinite crisis.
Petite aventure délirante avec Lobo et The mask. C'est très accès sur la boucherie et c'est globalement assez drôle (surtout le côté déjanté du Mask). Bref c'est sympa à lire mais pas exceptionnel.
Bonne histoire centré sur la famille de Colossus qui nous en apprend plus sur les tendances psychotiques de la famille Raspoutine à vouloir tuer tout ce qui bouge. De plus le retour de Colossus du monde des morts (enfin c'est pas le premier et c'est pas près d'être le dernier) n'arrange rien à son état psychologique. L'intrigue est plutôt bien trouvée et on passe un bon moment.
L'histoire de ce HS est centré sur le personnage de Shatterstar et se déroule avant les évènements du HS 20. L'intrigue est plutôt sympa mais un peu plus complexe à suivre (mais dès qu'on touche aux mondes parallèles et dimentions temporelles c'est le bordel). La lecture n'est que peu géné par tout celà et on accroche assez facilement à l'histoire.
Pour moi cette histoire a été la découverte de l'X-force et des personnages de Cable et Shatterstar entre autre. Même pour quelqu'un qui n'a pas le passif des précédentes aventures de ces personnages la compréhention de l'histoire n'est en rien géné. L'intrigue est bien construite, intéressant et se lit facilement. Bref un bon moment de lecture.
Bonsoir, je dispose actuellement d' une edition de "Philemon et le naufragé du A" ,DL 2e trimestre 1981 n°2648 avec comme ISBN 2 205 00 646 0, avez vous connaisance de cet album? Merci de vos reponses.
C'est sans aucun doute le meilleur tome de tout les shamans king
Voila une serie prometeuse qui demare sur les chapeaux de roues.
Je tenais a faire monter la cote un peu basse a mon gout pour cette oeuvre.
Encore une fois que du bonheur à la lecture de cette série. Ce tome recelle d'idées nouvelles notamment dans le découpage et les angles de vus. L'humour est encore au rendez vous. L'histoire n'avance pas énormément, encore une fois, mais l'espace temps étant assez restreint (de l'ordre d'une journée où deux sur l'ensemble des 6 tomes), la bd s'attache plus à cet univers original et à ces personnages truculents. La fin annonce le dénouement final dans le prochain tome, ce qui n'est pas plus mal car il est souhaitable de ne pas trop rallonger.
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cet album. J'ai retrouvé, ici, un peu du charme qui se dégage du Vent dans les Saules. Pourtant, le style graphique est totalement différent. Ceci dit, je pense que le trait particulier de Thierry Martin est idéal pour cette histoire.
Au niveau du scénario, Jean-Marc Mathis nous fait partager les aventures d'un renard (avec un t) très rusé qui est prêt à tout pour trouver de la nourriture. A travers sept histoires, on suit les péripéties de notre goupil. C'est très agréable à lire et les personnages sont plutôt attachants.
"Le Roman de Renart" est un album plein de fraîcheur et de finesse.
C'est à conseiller !!!
Superbes dessins......mais le mélange science-fiction/moyen-âge me déroute un peu !!!
Une BD vraiment mignone, pleine de poésie. C'est l'histoire d'un pigeon, différent de ceux de Paris: il rencontrera des "traces" avant d'en devenir lui même une. Tout sort du commun en abordant finement l'humour.
Voila un bon album, dans lequel on voit meme Ric Hochet avoir peur. Le scénario est bien amené et l'intrigue tient le lecteur en haleine. On souhaite savoir ce qui se passe. Un des tout bons albums de Rich Hochet.
L'ami de Tell organise une conférence de la paix à laquelle plusieurs chefs d'etats repondent. Lors d'une bagarre dans un télépèhérique au-dessus du Gotthard, Tell tombe dasn un ravin et disparait. Ainsi s'achève l'aventure. Quelques gags qui font -ou ne font pas- sourire, un scénario ennuyeux par moment, un album sans grand interet.
Le roi de France va visiter Tell et ses compère. Cette visite vient à l'oreille de Radolf (le méchant), mais son attaque est déjouée. Le roi démande a Tell de l'accompagner à Paris. S'ensuivent quelques péripéties, sans grand interet. Le scénario ne passionne pas, bien q
Un tome très décevant par rapport aux 4 tomes précédents: le changement de dessinateur est perturbant même si Delaby est un grand artiste, et le scénario ne répond pas du tout au 4ème tome qui nous avait laissé sur le suspense Sioban/Kyle.
Une très belle série: si vous êtes amateur de fantastique, vous serez servi !
Il est par contre difficile de lire cette BD si vous n'avez pas lu les tomes précédents....
Le dessin de Rosinski est très bon quoi qu'un peu lourd....
Je vais donner mon avis pour les 2 tomes:
le scénario est tout simplement génial ! L'histoire se passe au XIXème siècle, et combine parfaitement, le monde intellectuel avec le monde de l'art et la piraterie. Le scénario va vous parraitre compliqué au début, mais vous êtes tenu en halène jusqu'à la fin. Vous vous demanderez comment un tel scénario a put germer dans la tête d'un seul homme: Sente.
Les dessins de Rosinski sont magnifiques comme d'habitude.
L'ensemble est un chef d'oeuvre !
Génèse mortelle : Pas mal de révélations surprenantes, parfois un peu trop (allez encore 72 soeurs et 86 frères pour que la famille Summers soit au complet) mais globalement ça reste bon.
Bizarre que je ne sois pas morte : Globalement ça reste assez sympa mais on manque de révélations sur l'intrgue. L'histoire est trop orienté combat.
Le fait du papillon : Très bonne histoire qui instaure des tentions au sein d'X-factor et on voit bien que le personnage Layla joue un double jeu mais ne trompe pas tout le monde.
Une vie extraordinaire : histoire sympa mais contrairement au titre pas extraodinaire. On voit qu'elle est là pour combler un trou.