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Je suis agréablement surprise par cette série qui raconte le voyage de retour d'Ulysse à Itaque. Elle peut être destinée à un jeune public et semble assez fidèle au mythe. Voilà un excellent moyen d'initier enfants et ados à "l'Odyssée" d'HOmère. Cette BD est vraiment agréable à lire. Ses dessins sont tout en volutes et en couleurs et certaines planches, comme celles des tempêtes, sont vraiment belles...
Somme toute classique dans les deux premiers opus, l'histoire s'épaissit franchement dans ce troisième album et projette la série dans une trame qui devrait ravir tout amateur de SF.
Un vent de folie sévit dans ce petit monde sensuel. Des histoires courtes qui mettent en scène des fantasmes, souvent avec humour, toujours avec un érotisme marqué. Un dessin très pop et coloré. Le désir dominant est tantôt féminin tantôt masculin.
Coup de foudre pour ce "Canis Sapiens", qui tient des propos a priori simples d'accès (l'homme mâle en prend un coup). Mais ces derniers méritent relecture: les femmes-chiens aussi en prennent sur le ciboulot dans ce permier épisode... (n'en déplaise à ces messieurs égocentriques). Une BD à part, car ce n'est pas l'action qui domine (je comprends que ça ai pu en géner qqs uns) bien qu'elle se mette en route à la fin, mais plutôt la réflexion et l'humour.
Une BD pour adultes: exclusivement. Le regard satirique de Reiser est corrosif... au tour du sexe de passer au crible de son humour incisif. Toutes les planches ne portent pas sur ce thème, mais certaines sont vraiment truculentes!! Le sexe est-il beau? mmmh qu'en pense Reiser...
Une BD que j'ai trouvé par hasard dans une brocante, et une très bonne surprise! J'aime beaucoup les BD western, et celle-ci mérite une bonne place.
résumé : 4 histoires courtes sans aucun lien, intéréssantes sans etre inoubliables (certaines finissent un peu en queue de poisson...)
Par contre, le dessin est vraiment superbe!! Et le mot est faible, c'est vraiment magnifique! Un roi du croisillon!
Bref, pour ceux qui aiment les TRES beaux dessins, et les Bd western...
Y'a pas à dire, cette BD est géniale! Un très bon dessin, des histoires où se mêlent le tragique et le grotesque, un humour caustique et surtout des personnages géniaux! J'en avais jamais entendu parlé y'a encore 2 mois, et c'est certainement une des meilleures BD que j'ai lu ces derniers temps...
Que dir que dire de ce HS...
Il est inutile, il ne constitut qu'un receuille de planches deja vu dans les BD, l'ecriture est tres médiocres, rrépétitive et il ne repond a AUCUNE question...
En fros, ce livre ressemble a l'arnaque du siecle... comment faire achter 13€ un ramassit de deja vu..
ma deception est impossible a exprimer...
Bon, je ne peux pas dire que je n'ai pas pris de plaisir à lire cette BD, mais... comment dire? J'ai l'impression de l'avoir consommée... Et presque aussi vite oubliée. Cette héroïne aux courbes magnifiques (cela va sans dire), au pouvoir de séduction inégalable, qui maîtrise les arts de combat, etc. etc. et bla bla bla, me laisse une impression de déjà vu... Un genre de Lara Croft à la cour du Roi Soleil!!! Dessin agréable, scénario dosant suspens, exotisme et rebondissement: une BD qui cible un public bien déterminé...
J'avoue que sans vraiment me lasser du dessin (les planches sont toujours aussi belles), je trouve que le scénario s'appauvrit et je me demande où cela va nous emmener...
Comment peut-on feuilleter cette BD et ne s'arrêter qu'au dessin!! Faussement simple. Comme si cet art ne consistait qu'à illustrer... Non Maus trouve une grammaire de l'image personnelle et dense pour raconter la shoah. Sans cacher l'horreur de cette période noire, cette série, par des dessins à première vue dépouillés, presque enfantins, met à notre portée l'indicible. Je recommande particulièrement cette oeuvre aux adolescents pour une première approche des camps de concentration (ou en approfondissement).
Une grande et belle claque comme je m'en prend plus souvent en BD. Dessin classique mais superbe, scénario intelligent, amené tout en douceur. La mue du petit, la découverte de la "vraie vie" et du quotidien de son pays et de ses habitants qui va mettre sa foi à l'épreuve et lui demander de faire des choix capitaux est captivante. Une BD brillante.
Excellent ! Ce premier volume des Aventures Rocambolesques m'a beaucoup fait rire. L'idée de base d'envoyer Freud, flanqué d'un valet plus autrichien que nature, dans des USA en pleine sauvagerie est très bonne je trouve. Quand en plus un chien très bavard et un shaman facétieux s'en mêlent ça devient vraiment tordant. Cerise sur le gateau la BD ne se contente pas de nous faire rire et sait aussi aborder des sujets graves de manière sensible et intelligente...
Je suis pas très western en BD mais je me suis convaincu d'essayer ce Gibier de Potence. Grand bien m'en a pris, c'est très plaisant. Malgré des persos un brin attendus, le récit est assez prenant et le dessin l'accompagne très bien. Je lirais donc la suite avec intérêt...
Je lis toujours les BD de Cestac avec plaisir mais sans jamais prendre vraiment mon pied...Ca m'amuse sans vraiment me faire sourire ! Etrange donc. Les quarantenaires, future ou ancienne victime de ce fameux démons s'amuseront peut-être plus que moi à la lecture de la BD !?
Très joli one shot au scénario et au background original et intéressant. Le dessin et les couleurs sont agréables. La sensation de récit à double lecture et de mise en abyme est très amusante et pousse à la relecture. Du tout bon pour moi donc...
Une grosse déception. Le scénario a apparemment dévié de sa première orientation annoncée de stryges du futur pour un récit de sf assez basique et trop caricatural (ah, ce personnage de militaire...). Quant au dessin, il n'est malheureusement pas très bon, et basé sur un story board de moréno en plus. L'influence de ce dernier, on dirait que sentenac n'arrive pas (ou n'essaye pas) de s'en démarquer. Le gros problème, c'est que moréno n'est pas au top de sa forme actuellement (voir le 3ème tome du régulateur) et le dessin de sentenac n'arrange rien. Son trait est trop simpliste pour un récit de sf, certaines incrustations sont affreuses (voir les clins d'oeils publicitaires de la ville entre autres), le rendu des couleurs n'est pas génial, le design des personnages est moyen (c'est quoi ce look et cette coiffure pour donna ?), voire hideux pour jean pierre. Les dessins préparatoires de moréno (aperçus sur le tome mythes et réalités des stryges) étaient bien plus réussis. Dommage que cet album arrive avec six ans de retard, il y avait un beau potentiel... Je garde néanmoins un petit espoir pour la suite, au vu de la dernière planche, qui est plus réussie concernant le personnage de donna.
J'avais déjà dit tout le bien que je pensais du tome 1 des aventures de chéri-bibi. L'essai est transformé avec ce deuxième volet. La narration est maitrisée de bout en bout, l'accent davantage mis sur le personnage de la ficelle ne fait pas oublier que l'ombre de chéri bibi plane sur tout l'album, et le dessin de marc antoine boidin est redoutable d'efficacité. On sent que les auteurs se font plaisir, et c'est partagé ! Bertho et boidin nous livrent un véritable chef d'oeuvre faisant rennaitre avec éclat un grand personnage de la littérature populaire.
un livre à mettre entre toutes les mains de ceux qui ignorent ce que c'est que le métier de prof ou d'instituteur...
En plus de faire prendre conscience de cela, ce bouquin se lit très bien, le scénario (si on peut appeler ça comme ça) est très fluide, écrit simplement comme si l'auteur vous parlait. Les dessins sont très sympas et donnent un certain dynamisme à l'histoire.
Maintenant, si vous n'avez pas envie de découvrir ce milieu professionnel, je ne crois pas que cela vous plaira...
Avec Carthago, le prolifique Christophe BEC inaugure une nouvelle série au sein des Humanoïdes Associés.
Ce premier tome commence donc tel une aventure océanographique façon "Abyss". Très vite, le fantastique des "Dents de la Mer" s'invite à la fête. Pour élaborer son intrigue, le scénariste Christophe BEC combine adroitement plusieurs thèmes parmi lesquels on citera l'écologie, la découverte scientifique et les considérations économiques de multinationales. Cet habile mélange nous donne une narration prenante et laisse la porte ouverte à toutes les hypothèses pour les prochains tomes. Du coté des personnages, les différents protagonistes sont introduits à point nommé dans le récit. En outre, les quelques éléments de leur passé qui nous sont donnés permettent de les apprivoiser en douceur.
Le graphisme du dessinateur Éric HENNINOT s'est nettement amélioré depuis sa dernière production "Alister Kayne". Son trait me paraît plus maîtrisé dans un style réaliste que j'apprécie. Les planches sont des plus réussies avec de nombreux détails et une mise en couleur bien appropriée de Delphine RIEU. Mon seul bémol sera relatif à la physionomie parfois aléatoire de certains personnages, mais je chipote.
Prévue en huit tomes, cette série n'a pas fini de nous interpeller.
J'ai ressorti de ma bibliothèque ce livre de frank miller après être allé voir le film de zack snyder. Bon, on est pas là pour commenter des films mais il faut reconnaitre que son adaptation est plus réussie que le demi-ratage de sin city par rodriguez. Cette fois-ci, j'avais vraiment l'impression de voir des planche de miller s'animer devant mes yeux. Et il faut dire que le matériau de base est très fortement iconographique. Là, frank miller frôle la perfection, dans un domaine où on ne l'attendait pas forcément, mais qui n'est guère surprenant au vu de ses domaines d'inspiration et de prédilection. Et cette bd est encore un chef d'oeuvre de cet auteur américain qui se fait un peu rare dernièrement (en même temps, il n'a plus grand chose à prouver...est-ce pour autant qu'il n'a plus rien à dire?)
Très bel album où la réalité historique est mise à profit par les auteurs pour nous emmener dans un imaginaire très étrange et servi par un dessin superbe. Mathieu Gabella ne manquant pas à l'occasion d'user d'un humour froid qui confère au final à ce premier tome un ton général très agréable.
Le second album est attendu avec beaucoup d'impatience. A acheter sans hésiter
Une star qui décède dans un accident. Ric Hochet cécouvre des faits troublants. Une enquete sympa, et un final qui reerve quand meme une petite surprise. Agreable.
Surpenant, on se trouve plongé dans une BD ambiance années 60. Le graphisme, les couleurs, les dialogues, tout se conjugue pour nous en donner l'illusion et c'est très réussi !!! Ivy Poison est est entrée en guerre pour notre plus grand plaisir...
tout simplement pas à la hauteur de la chronique "le fleau de dieux". surtout en ce qui concerne les dessins, la touche du dessinateur n'a rien d'attreyant. c'est fade.
Le troisième volume nous permet de mieux cerner la menace des Phasmides et des Nominos. La lutte engagée par Nathan Palliger au corps à corps sur Hope est aussi violente que celle engagée par la flotte acriboréenne, car elle n'a qu'un seul but, la survie de l'espèce humaine. Cette histoire est agréable à lire, mais il lui manque cependant quelque chose pour basculer dans le génial... moins de sauts dans l'hyper espace , peut-être ?!
Bon. Je viens finir le troisième tome aujourd'hui et je dois dire que cette série fait vraiment partie de mes préférées.
Le scénario et à la fois dense et bien maîtrisé, le style graphique correspond tout a fait à l'ambiance. Au sujet de ce tome 3, il faut dire que le scénario c'est vrai n'avance pas beaucoup, servant plus a donner de la profondeur aux personnages et à leur passé. Ceci ne me dérange en rien, même si un tome sort tous les ans. Il suffit de se focaliser sur d'autres séries en attendant.
Il est clair que "Black Op" est une bd réservée à des lecteurs patients et passionnés. Personnellement, je préfère que Desberg déroule lentement et précisément les éléments de son histoire, plutôt qu'une bd qui donnerait une trop grande part à l'action pure, et où les évènements éclateraient trop rapidement, à tel point que cela ait l'air bâclé.
Sinon l'ambiance 70's et le dépaysement fonctionnent bien. En plus, pour rassurer les éventuels impatients, le quatrième tome comportera forcément sa part de résolution. Pour le reste si vous êtes fans de la période de la guerre froide, et des récits d'espionnage, n'hésitez vraiment pas.
Un bon scénario.
Un univers intéressant.
Très efficace.
J'ai bien apprécié.
A posséder ou à lire absolument !
Une idée remarquable que d'avoir rassembler autant d'histoires différentes (et d'auteurs) dans un même volume.
J'ai acheté les trois tomes d'un coup...vivement la suite.
Pierre Dubois mérite vraiment son titre d'elficologue de la BD !!!
J'aime beaucoup le trait de crayon, les couleurs et les histoires de vampires !!!
Une vrai réussite à mon humble avis !!!
Superbes dessins...couleurs magnifiques.....histoire attrayante ponctuée de références historiques...
J'attends avec impatience la suite !!!
Je viens de découvrir cette BD.....Je suis tout de suite entré dans l'histoire......Vivement la suite !!!
Voilà un cross over pas facile à suivre compte tenu de la complexité des évênements et du nombre de personnages qui y sont mélés. de plus la parution éloigné des numéros n'aide pas la compréhention et la lecture de tous les numéros une fois ce cross over entièrement publié me semble indispensable. Globalement ça reste intéressant et on sent vraiment que la fin approche. L'intrigue est complexe et le suspense bien entretenu donnent envie de connaitre la suite de l'histoire.
Jeux de vilain et courses contre la mort : Ces épisodes sont excellent et la relation entre Batman qui ne sait quelle attitude adopter face au retour de Jason Todd et ce dernier est plutôt complexe et très bien retranscrite. L'intrigue est vraiment très réussie mais il faut dire qu'il y avait de quoi faire quelque chose de passionant au vue des précédents épisodes.
Ville du crime : Décidément on en est à l'avant dernier épisode et je n'arrive vraiment pas à accrocher. J'espère que la prochaine histoire sera meilleure.
Voilà ta vie : Trois épisodes passionnants sur les Superman de Terre 1 et 2 chacun vivant en quelques secondes la vie de l'autre sur sa terre et constatant que la crise était inévitable quelque soit les circonstances. Ces deux Superman sont a la fois très semblables et incroyablement différents. Les circonstance en ont fait des hommes différents mais pas infaillible quelque soit l'importance de leur puissance.
Echange standard : épisode sympa se déroulant sur terre 2 qui donne envie d'en savoir plus au vue de sa fin.
Conflit interne : Voilà un épisode charnière dans la carrière de notre Spidey. Ce dernier a une très grande décision à prendre qui va changer pas mal de choses et les possibilités sont nobreses quant aux conséquenses qui peuvent se produire suite a cette décision. Le prochain numéro risque d'être excellent.
Danger : Voilà une histoire qui manque cruellement d'explications. L'épisode est plutôt sympa mais le manque de révélations rend le tout assez quelconque. En tout cas je préfère le nouveau style de dessin par rapport au précédent.
Un autre chemin : Episode très intéressant qui donne pas mal à réfléchir pour la suite. Il y a pas mal de possibilités intéressantes.
L'anneau de la liberté : Un épisode sympa qui donne envie d'en apprendre davantage et laisse une bonne impression.
Vendetta : L'entrée de Wolverine dans Civil war et sa traque de l'un des responsables de l'incident à l'origine de civil war. Une chose est sûr après la lecture de cet épisode on ne doute plus du camp que va choisir Wolverine dans les évênements qui s'annoncent.
Le sauveur : Episode sympa qui nous révèle encore une petite partie du passé de Wolverine mais globalement il ne se passe pas grand chose. Cependant c'est le genre d'épisode logique pour un Wolverine fugitif.
Déchiré : Enfin le retour tant attendu de la paire Whedon et Cassaday. Un tandem de choc pour tout dire qui ne savent pas faire autre chose que que de très bonne histoires et ça me va très bien. Cette nouvelle intrigue introduit très bien la réapparition du club des damnés et la trahison d'Emma Frost auprès des X-Men. Reste à voir comment tout celà va évoluer mais je ne me fais pas de soucis on devrais avoir pas mal de surprises.
Deux rendez-vous : Madrox face à Damian Tryp senior chez de l'agence singulzarity est plutôt sympa mais d'une manière globale il ne se passe pas grand chose dans cet épisode sauf une révélation assez importante à la fin (il faut bien donner au lecteur l'envie de connaitre la suite de l'histoire à un moment ou à un autre). En tout cas ça promet des évênements intéressants.
Les briseurs de temps : enfin le retour des exilés avec des révélations d'Hypérion sur la réalité des missions des exilés. Bon épisode qui laisse entrevoir une suite vraiment intéressante.
Le prix de l'amitié : Les combats sont sympa et l'arrivé d'une nouvelle organisation, Black air, dans la partie peut donner par la suite des intrigue intéressantes mais pour le moment tout ça manque de consistance.
Le sang d'Apocalypse : L'intrigue évolue de manière toujours plus intéressante avec son lot de surprises. J'ai passé vraiment un bon moment et j'ai hate de connaitre la suite.
La saga des Fourkasen : Suite et fin de cette histoire qui avait bien commencée mais qui se termine très rapidement, un peu à la va vite. A peine l'intrigue est posée avec quelques révélations qu'elle se termine rapidement. Plus de développement aurait été intéressant dommage mais ça reste sympa à lire.
Croisade : on ne peut pas dire que l'intrigue avance rapidement mais alors franchement j'adore. Plus on avance plus les tragédies se multiplient au sein des new X-Men qui vont avoir fort à faire pour se sortir des ennuis qui s'enchainent.
Voilà une histoire centrée sur Remie Lebeau alias Gambit des X-Men. L'intrigue est vraiment bonne je n'ai pas décroché une seule seconde. Les personnages sont intéressant et bien développés. Au vue du début de la seconde aventure commençant à la fin du numéro 52 on a envie d'en connaitre la fin.
Un numéro assez sympa du fait qu'on en apprend pas mal sur Catwoman mais les histoire présentes (à par une) ne sont pas vraiment terrible.
Plutôt pas mal. Ce numéro nous présente l'histoires des diverses Batgirl. C'est très intéressant même si les diverses histoires sont plutôt sympa mais sans plus. En tout cas en terme d'info on est servi et c'est bien pour ceux qui commencent dans l'univers DC.
Bonne revue qui nous présente les origines de Green Arrow et des moments important, notamment sa collaboration avec Green Lantern (c'est très vert tout ça) et surtout Speedy en version junki. Bref on en apprend pas mal sur ce personnage et l'univers dans lequel il évolue.
Le mélange des univers de Batman et de Spiderman est bien fait. L'intrigue est plutôt pas mal, on pzasse un bon moment. Certes les rebondissement de la fin ne sont pas trop crédibles mais globalement ça passe bien.
Attention, il s'agit de deux albums distincts avec deux intrigues autonomes.
Le "a" faisant suite chronologiquement à l'autre.
Un dessin et des couleurs à la Moebius, des humains à tête animale à la Bilal,
un univers Aztèco-futuristo-fantastique et des costumes fétichistes-SM assez craquants,
le tout au service d'un polar ethnologique, tel est le cocktail assez déroutant
de ces albums. L'enquête, assez simple, est rendu difficile à suivre par sa situation
dans une civilisation complexe dont nous ne découvrons les rouages que par petites
touches au fur et à mesure du déroulement de l'histoire.
Un univers très original et attachant qui mérite d'être découvert.
Le monde de Lucie est un monde fascinant. Ici pas de détails inutiles, d'effets spéciaux, les dessins sont sobres et beaux. Le découpage des planches est subtils et les couleurs rendent parfaitement les allers retours entre les présent et le passé. Les scènes sous la pluie sont très réussies. L'histoire ne tombe jamais dans la facilité et les personnages qui se croisent prennent très vite de l'importance. Le scénario pour être complexe se laisse découvrir pour peu que l'on soit patient. Il faut rentrer dans cette ronde ou Margareth, Lucie protégée par Soledad et Anna surgie du passé tentent de communiquer autour de la machine à écrire noire. Il suffit de se laisser embarquer dans cette enquête dans le paranormal aux côtés de KARAKIS, Sacha IABLOKOV, Carole SZYMANSKI, l'inspecteur chef Mike ROBERVAL OU Emma CHAPMAN pour se rendre compte que cette première trilogie est déjà un chef d'oeuvre d'autant que les 104 pages de lecture sont protégées une couverture d'une qualité irréprochable... Que demander de plus ? La suite au plus vite, merci !!!
Une très bonne surprise que ce tome 1 de smoke city. On attend une bd sur le thème fantastique par la couverture et sa première planche, et l'on se retrouve à lire un polar !!! Un polar réunissant les ingrédients du genre ("voix off" du narrateur, truands de haut vol et hauts en couleur, casse, trahisons passées et présentes), un dessin sombre au diapason de l'histoire (carre est une belle révélation), des personnages intrigants, assez attachants et juste ce qu'il faut "clichés" (voire un peu caricaturaux par moments). Sans oublier la ville smoke city que l'on ressent comme un personnage de l'histoire à part entière, très inspirée de gotham et de sin city : on a connu pires références ! Cette bd fait mouche, avec cet agréable sentiment de déjà vu (ou lu) ! J'attend la suite avec impatience, pour voir ce que cette histoire deviendra avec l'intrusion du fantastique...
J'ai cru à un moment que cette série avait été abandonnée, au vu de son rythme de parution plutôt long (deux ans par album, quand même !) - Et au vu du résultat, on peut se demander ce qui a été fait durant ces deux années ! Le changement de dessinateur n'apporte malheureusement pas grand chose à cette série déjà moribonde. L'ambiance sombre voulue par les aplats de noirs et les jeux de clairs-obscur n'est pas des plus réussie ; de nombreuses planches sont approximatives et semblent dessinées au marqueur, contrastant avec les photos retravaillées. Quant au scénario, corbeyran semble tourner en rond (un défaut revenant trop souvent dans ses dernières parutions). Dommage...
Dans une station scientifique sous-marine, « Physalia », on suit des géologues qui cotoyent des militaires dont la mission est obscure... Le scénario est a priori sympa , mais il ne parvient pas à passionner. Trop peu de suspense, il manque quelque chose, et c'est un peu dommage.
Silence c'est un nom. Celui d'un personnage qui ne parle pas. Il n'a pas l'air très intelligent. Cela ne l'empêche pas de se poser des questions...
Ce récit suit un schéma complexe: les flash back et les révélations se succèdent et raconte uue histoire tragique. L'atmosphère est lourde d'une violence sourde dont on devine progressivement l'origine. Du suspens donc.
tres bonne bd avec de très bons dessins et une histoire qu'on aimerai voir ne pas se terminer. peronellement je ne connaissais pas cet auteur mais là c'est décidé si je vois une prochaine bd faite par Ausonia j'y jeterai un oeil plus qu'interessé
Une BD polar à ne pas placer entre toutes les mains! Le dessin, en noir et blanc où le sombre domine, sublime et intensifie l'effet des scènes de crime. Les deux femmes flics ont de l'épaisseur et sont attachantes : elles humanisent ce monde violent. Le scénario, complexe, écrit par Andrea H Japp, auteure déjà reconnue de romans policiers, est très bien ficelé... et on se laisse surprendre par le dénouement.
Le dessin très élégant séduit en premier... Les couleurs semblent éclairées du soleil de l'Italie et de la Mediterranée. Le trait est net et précis. Les corps sont mis en valeur et le dessin nous plonge dans une atmostphère sensuelle.
... Puis on se laisse aller à lire ces courtes histoires où l'effet de la chute est calculé. L'équivalent de nouvelles policières dessinées. Où on apprend à se défier de l'ange tout bronzé...
Voilà j'ai eu un coup de foudre pour la petite brunette, qui commandent les monstres de ce "pays des merveilles" renversé! L'enfer y devient un paradis. Cette série, aux dessins et aux couleurs chatoyantes, est merveilleuse. Elle s'adresse à un jeune public, mais les adultes ne sont pas en reste: les jeux sur les mots, le détournement des clichés permettent différents niveaux de lecture... Les jeunes lecteurs y trouvent sans doute un moyen de maîtriser certaines peurs, et "d'apprivoiser" le loup, car ce qui normalement inquiète, ici fait rire!!!
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Cat Shit One Vol 1
Motofumi Kobayashi
Il était une fois un monde ou les américains étaient des lapins, les Vietnamiens des chats, les Français des cochons, les Russes des ours… La guerre cruelle et atroce du Vietnam Contrastée par d’adorable boules de poils propose une métaphore acerbe de ce conflit idéologique. Un La Fontaine version Trash qui tient toutes ses promesses.
Un « monde » dans lequel nous allons suivre les missions de 3 G.I., 3 lapins donc, prénommés : Perkins, Rats, et Botaski ; elles-mêmes saupoudrées de repérages, d’attaques de nuit, d’embuscades, d’actes héroiques…Dès le premier chapitre, on remarque que l’auteur soigne : les mimiques de nos boules de poils, l’immersion dans la jungle, les explosions, les armes, les avions , les hélicoptères. Bref les détails techniques et graphiques sont poussés à leur paroxysme, et ça se sent.
Pourtant les premiers chapitres sont trop branchés « action non stop », et il faudra attendre les chapitres 6,7, et 8 pour avoir 3 récits complexes, brillants, et l’exemple du quotidien sordide de nos petits soldats à longues oreilles. Mieux encore, avec ces petites peluches l’auteur pourrait rapidement tomber dans l’apitoiement facile, mais il garde une rigueur d’écriture qui fait plaisir à voir.A cela s’ajoute un aspect ludique jamais lourdingue avec moult chiffres, explications, et descriptions.
Un zoomorphisme réellement troublant qui propose une vision alternative à nos récits de guerre gavant, et blasant que l’on nous offre quelque soit le support. L’auteur veut-il dire que meme les êtres les plus affectifs et les plus adorables peuvent entrer en guerre ? Ou bien avons-nous décidé prématurément ce qui était gentil et adorable ?La démarche du titre ne manque pas de piquant, c’est ce qui donne au titre toute sa saveur.
On en redemande ! !
(A noter qu’à la fin du tome un court récit remet les hommes au premier plan, mais il n’atteint jamais la force émotionnelle de nos mangeurs de carottes !)
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Exercice délicat que de retranscrire un roman en bd dans ce cas...
En effet, le recit est dense , et semble mal s'accorder au format bd, il aurait peut etre fallut davantage de pages afin de mieux "espacer" l'ensemble...
2eme tome un peu moins bon à mon sens....
malgré cela, cela reste d'une qualité satisfaisante..
Trés bonne idée de départ, l'adaptation de lettres de soldats en BD. Le résultat est plutot pas mal. On peut apprécier les changements de dessinateurs, et les explications historiques sur le contexte. Au final c'est joli pour les yeux, et ca permet d'apprendre deux trois trucs, et surtout de se rapeller de cette période.
Excellente. J'ai vraiment adoré ce dernier tome. Raoul est fantastique, et surtout trés drole. A lire d'urgence.
Véritablement le meilleur de la série; le plus mature et le plus achevé. Une montagne russe entre le rire et les larmes. La série demeure quand même excellente mais celui-ci dépasse les attentes des fans de Paul. Du moins, pour ma part.
J'ai été très émue à certaines pages, ça fait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. À acheter d'urgence et pas seulement pour ceux qui aiment la pêche...
Dans le vol. 16 de [i][b]Beck[/b][/i], on apprend Koyuki et Cie sont un peu échaudés et désespérés par l'échec relatif de leur 1er single. Cependant, bien que leur marché ne soit pas rempli en termes de ventes, leur producteur, Kawabuto, garde confiance dans leur potentiel et leur talent. C'est ainsi qu'il leur propose d'enregistrer un autre album, avec un nouvel ingénieur du son peu amène ("affinité de grains de beauté" inside), et de s'occuper cette fois-ci eux-mêmes de la promotion. Parallèlement, Koyuki connaît quelques tempêtes dans sa relation avec Maho, mais la réconciliation n'est jamais loin.
Un bon volume, dans la veine des précédents. On y retrouve les déboires et petits bonheurs amoureux de Koyuki, mais aussi les peines et travaux que nécessitent la vie et la promotion de Beck. Pas le temps de s'ennuyer avec ce shonen !
UN album sublime. Les dessins sont magnifiques, l'auteur passe de vignettes classique à des pages pleines ou bien encore à des vignettes sans bordure, sans homogénéité. L'ambiance bien plus sombre que ce que l'on peut croire a premiere vue. L'histoire est elle aussi intéressante croisant amour adolescent, fantastique et recherche de la vérité sur la mort de Christian, et les dialoques bien ficelés. De plus le format original de cette bd (petit format aux coins arrondis) en fait un magnifique objet.
je ne suis pas vraiment fan de sillage.
je trouve qu'il y a un potentiel non exploité: les dessins sont vraiment bien mais le scenario reste tres en surface. chaque tome est independant et de ce fait on est a aucun moment pris dans le recit a la lecture de cette integrale.
chaque tome demarre pas trop mal, mais a une fin baclé, sans grand interet. on se dit que l'histoire demarrera au prochain tome mais c'est a se demander si il y a vraiment une histoire.
serie pas vraiment indispensable pour moi mais bon il parait que certains adorent.
bonne serie. le dessin est honnete, voire plutot bon meme si il est, je trouve, un peu trop classique et manque de personnalité.
pour ce qui est du scenario, corbeyran nous entraine dans son univers, nous expose des faits intrigants mais qui au final sont legerement expliqué dans une fin a mon gout baclé.
c'est une bonne serie, qui vaut le coup d'etre acheté mais pour ce qui est de tout les univers paralleles, ce sera sans moi.
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La nef des Fous
De Turf
4-Au Turf
Le Royaume d’Eauxfolles est englouti. « Au Turf » comme dirait le Roy. Après un tome 3 pétrit de clin d’œil, de cruauté, et de réussite, c’est avec une certaine crainte que j’abordais ce 4 eme tome, alors l’auteur saura-t-il tenir ses promesses ?
Effectivement, mes craintes se sont confirmées avec un tome qui s’attarde sur les pourquoi (?) et réussit le tour de force de ne pas me plaire.
Premièrement, l’auteur se croit malin de modifier la hiérarchie entre le Prince Putatif, et le G.C. ce qui pose problème quand au sens émotionnel du récit. De plus plusieurs découvertes vont etre faites par nos James Bond en herbe : en trouvant un pourquoi au trafic de coloquintes, mais pire encore en trouvant un gros pourquoi au Prince putatif. Par là-meme l’auteur rompt avec la cruauté, le fantastique, et l’irrationnel des précédentes situations mises en place lors du 3 eme tome.
Meme l’apparition du lièvre génétiquement modifié ne nous fait aucun effet, c’est dire si la lassitude nous gagne…
Plus étrange encore, et là on ressent une certaine fatigue spirituelle, c’est dans le réveil de la conscience morale du G.C. Jusque là « Cette conscience » n’avait pas fait son apparition ce qui était plutot bien vu et interessant, alors que le royaume était en péril dans ses fondations. Tout à coup et brutalement, l’auteur force l’entrée de la vertu encombrant le récit, et commence tout doucement à nous faire rentrer son titre dans l’ordre rationaliste, et moraliste. Le retour à ce moment précis de notre cher petit Roy, Clément XVII est loin d’etre un hasard.
Six petits prince putatifs, sept petit nègres, un mystère élucidé d’une manière expéditive, et décevante. Non mais sans blague : « allez hop, au Turf ». L’auteur a-t-il modelé son écriture pour ce tome 4 ? Faut-il y voir une baisse de régime de la part de l’auteur ?
Ou autre chose ? En s’attardant sur les pourquoi il était plus que certain que l’auteur perdrait le tempo de son œuvre.
Malheureusement pour le lecteur le titre se goupillait plutot bien, mais il se barre tout doucement en sucette.
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Superbe album. Les dialogues sont succulents : comment rester indifférent à une planche dont une des bulles contient le texte suivant : " nous avons retrouvé le renard, il poursuit une chaise à porteur avec un cul de jatte et un lapin". Chaque page est l'occasion d'un nouveau délire des auteurs qui brillent par leur humour et leur talent.
Album à recommander à tous sans délai
Attention chef d'oeuvre !!!
Le premier manga traduit en France de Kyoko Okazaki (岡崎 京子).
Le genre de celui-ci est une chronique de la vie quotidienne. Nous suivons Yumi, une jeune femme, employée de bureau, qui se prostitue pour arrondir ses fins de mois et nourrir son crocodile. Comme animal de compagnie, on ne peut pas faire plus original.
"Si tu n'es pas heureuse, il vaut mieux mourir" lui disait sa mère. Et cette dernière est morte, laissant sa fille seule, avec un père riche mais trop souvent absent. Yumi choisi de vivre et même de mordre la vie à pleine dents. Alors tout paraît simple pour elle.
Mais son père s'est remarié et elle déteste sa belle-mère - des sentiments d'ailleurs amplement partagés. Keiko, sa petite soeur, tente de faire le lien entre tous ces éléments : Yumi, le crocodile, la belle-mère et... Haruo. Ce dernier est l'amant de sa mère. Un jeune homme qui tente vainement de devenir écrivain.
Tout semble se dérouler comme Yumi l'entend : une vie plus ou moins bien réglée, presque ordinaire... jusqu'au jour où elle surprend les deux amants et décide de suivre le jeune homme. Elle s'immisce dans sa vie sans lui laisser le choix. Haruo tombe progressivement amoureux de sa nouvelle colocataire... Mais la mère de Keiko, en horrible marâtre - elle a lu les contes de notre enfance - décide de se venger de tout ce petit monde...
C'est frais, dynamique, plein d'humour, c'est bigrement bien raconté et largement bien dessiné. La technique de tramage est originale : les trames figurants les ombres semblent être posées maladroitement sur les personnages, les objets, les décors ; on a parfois l'impression de se retrouver avec ces vieilles BD, lorsque la couleur dépassait des contours des personnages, procurant une vision double. Ici, rien de tel, ni de désagréable, simplement une impression surannée qui colle bien au propos en s'en démarquant. Kyoko Okazaki décrit admirablement bien une certaine réalité des familles urbaines modernes au Japon.
Qui est Kyoko Okazaki ?
Une jeune femme, née en 1963 à Tokyo. Elle fait ses débuts à 17 ans et se distingue de ses consoeurs en accordant une large place à la sexualité dans ses récits. L'humour le dispute souvent au tragi-comique de situations parfois rocambolesque. Elle dépeint une société japonaise moderne avec des valeurs très proches de ce que nous connaissons, ce qui en fait une œuvre qui facilite l'identification des lecteurs occidentaux.
C'est avec impatience que j'attendrai la traduction d'ouvrages comme Happy House (1992) et River’s Edge (1994). Pink date de 1989.
Malheureusement Kyoko Okazaki a eu un accident de voiture, en 1996, qui l'a contrainte à arrêter sa carrière.
Ce tome est le point de départ de la mini-série Marvel Knights.
C'est donc un volume d'introduction qui présente brièvement les personnages et nous montre dans quelles conditions s'est formée cette nouvelle équipe de super-héros.
Si ce 1er récit n'a rien de transcendant au niveau de l'écriture, il lance tout de même des pistes qui peuvent s'avérer intéressantes si elles sont développées. L'idée de base est assez originale car le Punisher, Daredevil et la Veuve Noire sont 3 justiciers aux méthodes et aux aspirations totalement diffèrentes qui opèrent principalement en solo . Ceci nous promet à l'avenir des réunions houleuses ou les interêts personnels risquent fort de remettre sans cesse en cause la légitimité de cette association.
Concernant le dessin, le résultat est très correct. Même si le trait est globalement un peu rapide cela reste dans la moyenne des productions de seconde zone. Barreto opte pour un style dynamique avec un découpage irrégulier qui rappelle sans jamais l'égaler celui de Joe Quesada. On note cependant que s'il se débrouille bien pour orchestrer des face à face (ici le Punisher contre Ulik) les scènes d'action impliquant plusieurs personnages sont plutôt brouillones. Pas d'affolement, il a le temps de s'améliorer...
Des débuts timides donc pour ces Chevaliers Marvel mais qui laissent l'espoir de goûter à une mini-série sympathique.
Prenez un savant mélange d'Héroïc Fantasy, de fantastique et d'ésotérisme et vous obtenez la BD inclassable et intemporelle qu'est "la quête .." C'est bien simple, cette BD est indémodable par son style, sa dramaturgie (merci Le Tendre) et son incroyable coup de pinceau. Loisel et Le Tendre nous ont concocté un univers fascinant et intriguant, des personnages attachants ayant leur importance capitale au moment venu. Le final est somptueux, tombant à pic et très émouvant. Vraiment indispensable.
Très court, vivant et surtout...très rigolo. Certains gags font mouche!!!
etant un lecteur regulier du blog je n'ai pas ete deçu on y retrouve des dessins mis en ligne et des inédits
le ton est toujours tres polemique et on rigole bien
tout le monde en prend pour son grade : lecteur,editeur,auteur,critiqueur
pour 15 € on en a pour son comptant avec en plus des couv, des ours deconno, des petites annonces etc
Découvrir les oeuvres des débuts de Benjamin est très intéressant et permet de constater son évolution quant au scénario et à la maîtrise du dessin et des couleurs. Rien que pour cela, "One Day" est un bon album, enrichit encore par les commentaires de son auteur et le art-book.
En revanche, je trouve que les 4 nouvelles de cet album pèchent par manque de substance, bien qu'on y décèle déjà les thèmes de prédilection de Benjamin. Graphiquement, j'y ai retrouvé la patte de l'artiste, avec les imperfections propres aux premiers travaux.
Chongrui Nie offre à nouveau une histoire tirée des contes traditionnels. On retrouve dans ce récit une partie du côté humouristique du "Fils du Marchand", en particulier dans la mise en scène et l'intervention des animaux parlants (le chat, le renard) mais c'est beaucoup plus atténué. En revanche, les dessins de la "Belle du temple hanté", tout en N&B, avec des effets de crayonnés, permettent de prendre pleinement la mesure du talent graphique de l'auteur. En comparaison les couleurs du "Fils du Marchand" conféraient un aspect presque trop lisse (bien qu'assez frais) à cet album. Ici c'est tout le contraire, les personnages et les décors prennent de l'épaisseur et de la substance grâce au trait. A lire !!
La confrontation entre Ed et van Hohenheim amène quelques pistes et révélations qui changent la vision d'Ed par rapport à la transmutation humaine et à ce qu'il avait tenté de faire pour ressusciter sa mère quelques années avant. Ca change également pas mal de chose concernant Al et le devenir de son corps. En même temps, Scar réapparaît, en tuant plusieurs alchimistes d'Etat. Lorsqu'il l'apprend à son retour à Central, Ed décide de le piéger et par là-même d'attirer les Homunculus ; pour se faire, il accepte l'aide de Lin, prince de Xing. C'est aussi l'occasion pour Roy Mustang, encore en convalescence, et son équipe de donner un coup de pouce.
Donc nous avons un petit lot de révélations dans ce volume, ainsi que les inévitables questionnements que cela entraîne pour les frères Elric (mais aussi pour leur maître Izumi). De nouvelles pistes sont ouvertes et le processus qui a pris son corps à Al et son bras et sa jambe à Ed commence à s'éclaircir. Si l'action est reléguée au second plan, elle emplit les pages du dernier quart du volume et annonce un prochain tome sans doute plein de combats et d'affrontements.
Un bon tome.
Au début, on se croit dans un album historique ayant pour cadre la Russie tsariste...mais on est vite détrompé! Le tsar est un dragon et vient d'être assassiné par une des amazones de sa garde. Elle fuit en emportant le dernier oeuf, traqué par un redoutable commissaire de la nouvelle république.
Secondée par une jeune femme un peu sorcière, elle va devoir faire face à de nombreux adversaires dans une atmosphère enneigée.
C'est le grand mélange mais il y a incontestablement là l'étoffe d'une grande épopée. A suivre ...
Détail historique pour les fans :
Le numéro suivant celui-ci, et présenté en 4e de couv, devait s'intituler "LES INHUMAINS SONT PARMI NOUS!", mais il ne parut jamais !!!
En effet, et pour la deuxième fois consécutive, une parution LUG contenant les aventures des Fantastiques fut censurée à l'époque, car LA CHOSE FUT JUGEE TROP IMPRESSIONNANTE POUR FIGURER DANS UNE PARUTION DESTINEE A LA JEUNESSE !!!
Cela paraît impensable à l'heure actuelle...
Les fans des FF devront attendre deux ans, pour voir enfin un album porter ce titre...
Mais leur attente n'aura pas été vaine, car cet album donnera le jour à la lignée des albums grand format luxe Marvel...
Le reste appartient à l'Histoire...
A réserver toutefois aux fans du genre.
Blackstar s'inscrit dans la période où les Maîtres de l'Univers cartonnait sur le petit écran et les rayons des magasins de jouet.
(Il s'en inspire d'ailleurs très très largement...)
Il jouit donc de cette ambiance géniale, où se mêlent Heroïc Fantasy et technologie futuriste.
Quelques détails marrants à propos de cet album :
- Il a été réalisé par Jean-Yves Mitton ! (Chroniques Barbares, mais surtout DEMAIN... LES MONSTRES, EPSILON, PHOTONIK & MIKROS !!!)
-Il n'a été intégré dans la Collection TOP BD qu'après coup.
-Par la suite, à cause d'une erreur de listing, il a été mal numéroté et est en fait le n°8 !!!
Détail marrant :
Un gars dans le courrier des lecteurs de ce numéro pose une question :
C'est qui ce type, en 2e de couverture, avec un costume d'araignée rouge et bleu ???
LES GENS CONNAISSAIENT MEME PAS L'ARAIGNEE A L'EPOQUE !!!
Le premier comics français 100% Marvel !
Aussi difficile à se procurer qu'exceptionnel !!!
Des gags sympas, Zep confirme qu'il a beaucoup d'humour et livre à nouveau un très bon album.
Un album très sympa par l'auteur de Titeuf. Si tous les gags ne font pas mouche, l'album est un très bon moment de détente et rappelera surement des souvenirs de concerts au lecteur.
Cette série se bonifie au fil des volumes parus. On voyage dans le passé et le présent et les liens qui se tissent entre Floyd, Lovna et Nechkov au gré des luttes d'influence, nous tiennent en haleine par leur sutilité... sur fond de guerre contre le communisme. Une réussite dans le genre !!!
Le récit commence dans un désert où une femme, Zoia, est sauvée par un nomade. Celui-ci n'est pas très commode. Puis un autre protagoniste fera son entrée en scène. Ils sont en quête de météorites. Si le dessin ne m'a pas trop emballé, on lit cette BD avec plaisir. Certains dialogues m'ont agréablement plu et l'histoire, teintée d'humour, réserve quelques petites surprises.
L'aventrue débute à Samarkand, ville representant la plaque tournante du commerce en Asie. Le Professeur Philips accompagné de son adjoint engage le guide Barry Lan pour aller retrouver le tombeau de Koulan, reine mongole. La caravane part et découvre le tombeau. L'histoire aurait certainement etre pu intererssante, mais les auteurs livrent un récit unique totalement linéaire, pour l'essentiel sans aucun suspense, et les personnages, notamment le héros Barry Lan, sont dépourvus de dimensions psychologiques. Au final, une histoire plutôt décevante.
Bd bien sympa mais aura t'on la suite un jour ????????????????
Je viens de lire cette bd avec un plaisir énorme.
Voilà le style d'oeuvre qui me plait et j'espère que les tome suivant auront les mêmes qualités
En un mot " superbe "
Je pense que Poisson Pilote est une collection qu'il faut toujours suivre de près. Une fois de plus, celle-ci nous offre un récit original et savoureux.
Le scénario de Hubert nous plonge dans l'ambiance du Paris des années 30.
En résumé, on fait la connaissance de Blanche, une femme de chambre, qui décide d'enquêter sur la mort inquiétante de sa soeur Agathe. Ces investigations la conduiront à travailler dans un bordel bourgeois.
On suit les péripéties de cette jeune fille avec beaucoup de plaisir et d'intérêt. On pleure avec elle, on rit avec elle, bref, on vit à son rythme.
Le ton du récit est frais et léger et les passages dramatiques sont très convaincants.
Cet équilibre fait de cet album une petite réussite.
Le dessin de Kerascoët est très actuel. Son trait subtil et léger colle tout à fait avec le scénario et certaines expressions de visages sont parfaitement bien rendues.
L'atmosphère des rues de Paris décrites ici est très réaliste, également.
"Miss Pas Touche" est une réussite, c'est incontestable.
Allez-y, vous ne le regretterez pas.
C'est à suivre !
Quel voyage ! Les personnages ressemblent à des personnages de la Strada de Fellini, la même poésie désespérée, le même destin contraire, la même pureté, bravo et merci pour ce bijou ...
Après l'accident de Nakanishi les évênements ont séparés Ami et Keisuke mais ce dernier s'accroche à leur relation et au final il n'est pas le seul. Un volume toujours plein d'humour et de remise en question. Le prochain volume sera surement déterminant puisqu'il cloture la série.
On sent vraiment que la fin de l'intrigue approche très rapidement. Les personnages ont beaucoup évolués et les Soma commencent de plus en plus à se libérer de la malédiction. La fin du volume est plutôt surprenante et donne vraiment envie de connaitre la suite.
Très bon volume avec un Guts au sommet de sa forme toujours aussi destructeur. Les nouveaux personnages sont ma fois plutôt intéressants et on a enfin le plaisir de retrouver d'anciens personnages qu'on avait pas revus depuis longtemps. L'intrigue prend une tournure très intéressante et le prochain volume sera surement un vrai régal.
Une aventure basique dans l'univers Star Wars mettant aux prises Luke et Leïa face à Vador (dont ils ignorent qu'il est leur père).
Il sagit d'un des meilleurs albums de chick bill que j'ais lu jusqu'a present, trés bon ouvrage.
Voilà un bon album de la série avec une intrigue qui se découvre au fil de la lecture et qui donne vraiment envie d'enchaîner sur l'ouvrage suivant : blanchiement d'argent, réseau de prostitution et rachat de chaînes de télévsion constituent le coeur de cet épisode très intéressant
Un 2e album nettement meilleur que le premier tome, qui s'articule autour de la contrebande d'album. Plein d'humour, le scénario est assez bien ficelé. Une BD pour tous, un bon divertissement.
Ce one-shot est du très bon cru Marvel bien qu'assez éloigné de l'univers habituel des super-héros.
Veuve Noire est un récit d'espionnage haletant impliquant le SHIELD de Nick Fury, Daredevil et les deux Veuves Noires rivales N.Romanov, coté américain et Y.Belova du camp soviètique.
Le scénario est réellement bien ficelé, digne des plus grands thrillers d'espionnage sortis au cinéma. Pour ne pas vous gacher la surprise sachez juste que l'histoire débute, comme dans le Volte-Face de J.Woo, avec une inversion d'identité. Sauf qu'elle est ici beaucoup plus développée et consistante.
La bonne idée des scénaristes a été de montrer avec réalisme la dureté et le cynisme qui domine les affaires d'espionnage. On est loin des simplistes histoires de J.Bond. Veuve Noire est un objet de torture psychologique pour le lecteur qui ne cesse de se poser des questions, de trembler pour les personnages impliqués dans le récit.
Mais la grande qualité du scénario ne suffirait pas si la partie graphique n'était pas aussi réussie. Le trait m'est apparu a priori simpliste et s'avère finalement littéralement envoûtant. Hampton, que je ne connaissais pas, donne une atmosphère unique et une véritable âme à cette oeuvre. Associées à des retournements de situation bien amenés, l dessin de certaines planches a une vrai portée émotionnelle, chose généralement très rare dans les comics.
En clair, je n'ai qu'un regret : l'histoire ne fait que 72 pages.
Prévu sur 7 tomes ce premier tome, du moins il faut le prendre comme ça je pense, plante le décor. Plusieurs "intrigues" se chevauchent (un sérial killer, une secte, un gangster, des fantômes, des secrets de famille..) sans que l'on puissent faire encore le lien entre elles. C'est peut-être frustrant, mais sans doute parce-ce qu'on l'on a envie de connaître la suite. A noter, des longueurs et répétitions, notamment en ce qui concerne le "secret de famille".
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Berserk T18
Kentaro Miura
Quand je pense que lorsque j’ai débuté cette série, j’étais ultra sceptique ( pour ne pas dire autre chose !), mais à chaque nouveau tome je suis surpris et étonné par la sensibilité, et la puissance folle de ce titre. Replongeons dans le bain, après un tome 17 exceptionnel, qu’est-ce que l’auteur pouvait me sortir pour que je continue, sans crainte mais avec une once tout de meme, les aventures de Guts et de Casca.
Mais avant un petit rappel s’impose ( à mes yeux !) qui voyait sa concrétisation lors de la fin du tome 17, je veux bien sur parler de l’altercation entre les anciens et la jeune Farnèse, ou dans une civilisation ou les plus agés sont enchainés à leur relique, leur materialisme, et leur dogmatisme absolus délaissant les jeunes qui ont, eux, le sentiment d’etre des épouvantails ambulants, il n’est pas rare de voir un jeune ( ou une jeune !) refuser les carcans établis.
Lors de ma chronique du tome précédent, J’avais parlé du sentiment d’appartenance qui caractérisait Guts. La rencontre avec le jeune Isidro va dans ce sens, je veux dire que dans peu ( difficile à dire car l’auteur n’a pas l’air pressé !) de temps Guts créera un groupe et/ou une famille. Ce qui ira à l’encontre du « loup solitaire », parfois d’une grande réussite ( les titres de Sergio Léone !) et d’autres fois d’un ratage complet, et de son romantisme mollasson qui va avec. La grande question est : « Qui composera ce groupe ? ». Après l’interaction avec le vieux forgeron, une autre interaction fait son apparition celle du cavalier squelette. Il était déjà apparu devant Guts lorsqu’il était au plus bas, par là-meme il servait d’empreinte, mais plus étrange encore il lui fournissait les armes psychiques et matérielles. Cette fois-ci Guts interagira seul avec la nouvelle occultation, ce sont les questions du recul, du zen, de la méditation, en somme de la passivité qui en prennent un coup. Il est certain que ce n’est pas dans une mise à l’écart, dans une position de la tortue, ou de se recroqueviller comme un ver de terre qui résoudra notre possibilité d’interaction. Et surtout, on se rend compte que c’est un pied dans la mort qu’il découvre le sens de sa vie.( il serait interessant de parler de ceux qui, de nos jours, créent leur propre drame pour (re)découvrir le sens de leur vie !)
Faire balader Casca permet à l’auteur de nous faire découvrir « tout un monde » au pied de la tour des chatiments. Cette jeune femme représentant un doute dans toutes les convictions de meurtre de notre héros. Il est interessant de remarquer que l’auteur ne s’attarde aucunement sur le manque de vivre qui sévit tout en étant une composante importante de la situation alors que les réfugiés affluent de plus en plus, mais plutot sur les rituels archaiques. Le jeune Joachim les découvrira à ses dépends.
Luka, quand à elle , a mis en place une structure d’entraide entre filles de joie, et un système équitable des récompenses. A contrario, le grotesque Mozguz tenant des propos d’une bondieuserie creuse, gère sa hiérarchie par la torture et la volonté Divine. C’est lors d’un Dialogue entre l’inquisiteur et Farnèse qui nous permet de voir ou elle veut en venir, souvent conduire les hérétiques vers le bucher, faisant suite à une sollicitation durant sa jeunesse lui permettant de fuir ses souffrances. On s’amuse à scruter les réactions du jeune Serpico, l’auteur en fera surement quelque chose de ce garçon, on remarque qu’il est sceptique devant les propos médiocres de Mozguz et surtout qu’il n’est pas très chaud lorsque l’on brule des dissidents à la foi en vigueur. Bref, c’est un véritable microcosme qui s’offre à nos yeux, mâtiné d’une discrimination silencieuse.
Là ou l’auteur est brillant, c’est dans la manière d’aborder cet ensemble, de ne pas nous proposer de formules toute faite, de distiller une finesse affective rarement atteinte dans mes lectures. Le titre a un tempo proche du nectar des Dieux, à chaque page il m’impressionne par la désinvolture rigoureuse de son écriture. Les codes utilisés par l’auteur sont évidents mais il ne faut pas les observer en tant que tel, mais bien en tant qu’une multiontogenèse. Un autre auteur exploiterait d’une manière maladroite la puissance jubilatoire d’un tel titre. Une œuvre qui a accomplit le tour de force de me faire apprécier l’Heroic-Fantasy.
Une brillante perle noire !!
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Y'en a marre ! marre d'imposer ce style de bande dessinée aux petits jeunots ! marre de Soleil, marre des lanfeust de troll de troy des étoiles de la galaxie ! Lire lanfeust me procure la même sensation de nausée que lorsque je regarde la star académie à la télévision ou que j'écoute Céline Dion ! Heureusement que la bd d'auteur existe encore et que Lanfeust ne chante pas !
Que la montagne est belle et ce n'est pas Cosey qui vous chantera le contraire. Quant à Jean Ferrat s'il dessine comme il chante il se peut que sa montagne à lui passe inaperçu ! plus sérieusement, une réedition de cette extraordinaire aventure serait souhaitable avec du beau papier glacé façon marron et des couleurs plus vives ! un chef d'oeuvred'authenticité !