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Je ne suis pas motard, un peu roulé dans le passé; mais ce tome 1 est indispensable. Humour fabuleux, on se marre à ne plus pouvoir s'arrêter, le dessein est bon. Avec les 3 jeunes, les tomes suivants deviennent moins hilarants, mais ça erste très bons.
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Death Note T 3
Tsugumi Ohba & Takeshi Obata
On nous l’aura répété que c’est un titre génial ( tout ça, tout ça ! !). Après l’expérience mitigée des 2 premiers tomes, quel serait mon sentiment après la lecture de ce 3 eme tome. L’attendu Death note resterait-il lettre morte ? Pourtant cette couverture a l’air alléchante avec sa croix chrétienne emplis de crane en toile de fond, et (le Dieu de) la mort sur le devant de la scène.
2 évènements majeurs marquent ce 3 eme tome. A commencer par la rencontre entre L et Kira ( Light !). On croit un peu naivement que ce tome sera un immense challenge entre nos 2 héros, mais surtout on se rend compte que le titre a la langue bien pendue, ça blablate (trop !), ça parlote ( trop !), ça pense (trop !)…jusqu’à l’intoxication. Quand meme les enfants rêvés par tous les parents qui se transforment en cauchemars ambulants vaut à lui seul le détour…Le défi, quand à lui, revêt plusieurs formes : tout d’abord par caméra interposée, puis une partie de Tennis, et pour finir par des déductions logiques et rationalistes dans un café qui se confondent dans des analyses extremement longuettes. Pire encore, juste après, on tient les propos du père pour parole d’évangile. Je vous ferai grace de la moralisation outrancière du commissaire…et l’enfant fera pénitence.
( Il est né le Divine enfant…vous connaissez la musique ! ! !). Et pourtant, (Miracle ! ! alléluia ! ! !) le cheminement, le glissement de Light vers la structure judiciaire de L se révèle plaisant, et amusant. Et non, ce ne sera pas qu’un simple Duel. Comme quoi, on peut etre un fasciste fini, un criminel, un bourreau et un cynique manipulateur, et se faire incorporer officieusement dans la police d’Etat. C’est à croire que cela n’est pas incompatible ! !
Le second événement fait pencher la balance un peu plus dans le Fantastique avec les termes de « vrai » et de « faux » Kira. Etrangement l’apparition de ce nouveau meurtrier au cahier exacerbe l’empirisme, et la manipulation de nos héros. L’avenir nous dira si comme le dit le dicton : « tels sont pris qui croyaient prendre » ? ?
Un titre toujours empreint d’un manichéisme latent et d’une attitude pompeusement « normo-morale », ce qui n’empeche pas de massacrer les gens loin s’en faut. Mais l’écriture des auteurs se révèle machiavélique dans ses digressions et ses écarts, et elle surprend, non pas par l’apparition d’un second Kira, mais bien par le fait que ce 2 eme meurtrier ait raccourci sa vie. Et cette fois-ci le sens émotionnel est abouti et respecté. Bref, en espérant que ce ne soit pas qu’un feu de paille ce qui me décevrait beaucoup, j’attends avec une certaine impatience le 4 eme tome.
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Une histoire magnifique et émouvante qui nous plonge au ceur d'une histoire d'amour comme on aimerait tous en connaître une ! Sokal signe ici un petit bijou de récit qui le hisse au titre d'auteur à part entière.
Avec ce troisième tome de la série "Black Op", Stephen Desberg et Hugues Labiano nous livrent à nouveau une histoire de grande qualité.
Complexe mais remarquablement bien construite, cette intrigue d’espionnage vous demandera sans doute une rapide relecture des deux épisodes précédents. Tel que précédemment, Stephen Desberg continue d'installer lentement son histoire au moyen de flash-back qui permettent d'éclairer les événements présents. En effet, une vaste opération de "nettoyage" semble avoir été décidée en haut lieu sur le territoire des USA... Quelles en sont les cibles et pourquoi ? Sous couvert d'une fiction, le scénariste nous propose de découvrir les arcanes peu reluisantes d'une certaine politique, ainsi que les méthodes d'apprenti sorcier qui pourraient être employées par des agences de services secrets. De l'action et des rebondissements pour un thriller comme je les aime.
Au niveau des dessins, Hugues Labiano s'affirme vraiment comme une valeur sûre. Son trait semi-réaliste fait à nouveau merveille, notamment pour retranscrire l'ambiance des années 70. Ses cadrages sont bien pensés et accompagnent au mieux le rythme de la narration.
Cet opus vous fera passer un agréable moment.
On retrouve Thorgal dans une bonne aventure au cours de laquelle il va chercher un mage qui pourrait detenir un antidote contre un mal qui frappe Jolan et sa famille, ainsi que de nombreux habitants d'un royaume. Une aventure classique, mais bien menée.
Pour ma part, je préfère ce nouveau cycle. Le scénario, les personnages, les dessins et les couleurs me semblent plus aboutis. Je commençais à me lasser de Nash et de sa fille, mon intérêt est relancé.
Fin de l'histoire en 4 tomes, avec un dénouement sans grandes surprises, mais au final, une histoire plutôt bien menée, desservie par de bons dialogues et illustsrées par de bons dessins. Globalement une bonne série.
Entrée d'un nouveau personnage, et quelques bons moments, comme par exemple le café que va prendre le président des USA dans cette petite gare. Un tome au-dessus des 2 précédents. De bons dialogues, une bonne atmosphère, certes assez pesante et dure. Et Dixie, au milieu de ses aventures, au milieu de ses parents qui se cherchent et se retrouvent.
Suite de la poursuite des Jones, traqué par les propriétaires terriens et par un inconnu qui doit ramener Ms Jones auprès de sa mère. L'aventure se lit avec plaisir, mais ne casse rien.
De nombreuses choses ont déjà été écrites sur « Largo Winch » et notamment qu'il serait temps de mettre un terme à cette série. Pour ma part, je vous le dis l'excellent scénariste qu'est Jean Van Hamme continue à nous emballer avec le quinzième opus de cette succes-story.
Notre aventurier préféré est à nouveau plongé dans un sac d'embrouilles, contraint d'honorer une dette contractée envers une triade chinoise. Jean Van Hamme prouve, si besoin était, qu’il n’a pas perdu la main et développe un opus très convainquante dans lequel le lecteur est entraîné à un rythme soutenu. Cette fois ci, l'histoire est moins orientée finance ou stock-options et beaucoup plus sur une intrigue d'aventure pur jus. En outre, l'auteur renforce la consistance de son propos en nous gratifiant de petits passages destinés à nous dévoiler une partie du passé de notre "milliardaire en baskets". A cette occasion, l'humanité et la fragilité de Largo sont mises en avant pour casser une image qui aurait pu devenir par trop manichéenne.
Sur le plan graphique, le dessin de Philippe Francq est comme d'habitude efficace et dynamique. Son trait réaliste fait des merveilles aussi bien dans les scènes d’action et les poursuites de véhicules que pour les plans d'intérieur. Les couleurs informatiques de Fred Besson, qui remplace Marie-Paule Aluard, sont également de bonne facture.
Suite et fin du diptyque dans "La voie et la vertu" en cours de préparation.
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Cat Shit one vol 2,3,0
Motofumi Kobayashi
Après le coup de cœur du premier tome vient le traitement du titre. Pour le dire autrement, l’auteur arrivera-t-il à exploiter son œuvre d’une manière probante pour nous faire continuer la lecture, et confirmer ainsi la veine des derniers chapitres du T1 ?
La première histoire, pour se remettre dans le bain, nous rappelle combien un gaffeur étranger peut etre hais dans un groupe rodé à la guerre. Le second récit quand à lui renforcera sa dichotomie en nous proposant d’adorables lapins réglant leur compte dans la noirceur la plus totale. C’est un Français, protégeant ses plantations, et ses troupes communistes qui seront encerclées dans un piège des plus machiavélique. Dans l’histoire suivante ils sauveront un Vietnamiens orphelins. Mais c’est le dernier récit qui est le plus interessant lorsque le sergent White est confronté à un retour aux USA, et à l’émiettement du discours social. Etrangement, c’est une fois dans sa famille qu’il a le plus fort sentiment de solitude, n’arrivant pas à aligner une phrase entière, son retour précipité en dis long. C’est là que le négationnisme du discours social éclate dans toute son horreur vis-à-vis des hommes partis dans l’enfer vert.
( le problème de la guerre, ce n’est pas la guerre en tant que tel mais bien le discours social lors du retour du criminel de guerre. Il ne s’agit pas de gueuler « No War », ou d’entrer dans un groupuscule anarchiste, ou d’incorporer la mouvance « Peace and Love » . Le problème avec le discours d’une société, c’est qu’elle fait taire le soldat pour le faire parler ensuite vers le récit qu’elle veut entendre, et ainsi lui faire promouvoir le mythe propre à la société en question. Ce qu’il y a d’amusant, c’est que l’auteur propose une ambiance affectivement sécurisante pour ses soldats. ( Remercions l’auteur meme si il est un peu naif lors de la postface de la genèse !). Et oui, la guerre elle aussi met à la disposition de ceux qui se batte une structure.)
Le T3 révèle la curiosité de la troupe lorsqu’ils aperçoivent un nouvel outil crée par le camp adverse. Il nous dit aussi que le cynisme compose l’existence, et que le nerf de la guerre, c’est le blé. Puis l’auteur pousse le cynisme de la situation encore plus loin avec la guerre au Laos ou les hommes d’une meme tribu sont enrolés de force dans chacun des 2 camps pour s’étriper. Un tome extremement cynique qui sauve le genre "humain" in extremis.
Comme son nom l’indique le Volume 0 retrace la rencontre, les origines, et la formation de la troupe Cat Shit One. Une petite anecdote dans laquelle on apprend que le sergent Perkins serait un humain, et qu’il viendrait du futur(?). Il tentera de changer le cours des choses mais en vain. Quelques années après le démantèlement de la troupe, elle se reformera une dernière fois pour une mission rapportant des preuves des agissements des Khmers Rouges.
Malgré quelques raccourcis d’écritures, il faut reconnaître que l’auteur a parfaitement potassé son sujet. Sans entrer dans un moralisme pompeux, et un sommet de niaiserie, genre : « la guerre, c’est mal », le titre se révèle fin, précis, malin, pour finir par prendre réellement au tripe. Bref, un genre d’œuvre et de travail complexe à encourager surtout quand le titre s’accomplit en une brillante métaphore.
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Du grand Goossens! Ah que c'est drôle, j'en ris encore, ha ha ha. Enfin, il faut
apprécier toute la subtilité de son humour, ce qui n'est pas à la portée de tout le
monde. Je conseille donc aux amateurs. Chapeau!
Un beau dessin, de belles couleurs. De l'action qui s'appuie sur un bon scénar. Des personnages attachants en fuite. J'ai lu les deux premiers volumes avec grand plaisir. J'attends la suite... et j'attends de savoir si les élèments a priori surnaturels auront une explication matérielle ou mystique...
Superbe suite d'un déja exellent 1er tome .
Il sagit d'une série accéssible à tous publics.
Vivement le tome 3 " le clan du requin ", cela promet...allons patience.
frais et divertissant, ce manga possède des personnages attachants . On y retrouve le thème bien courant de la quête initiatique; d'avantage basé sur l'humour que sur la violence (même si il n'est pas dépourvu de celle-ci). On se doute de l'aboutissement (à moins d'un coup de théàtre) mais on déguste le cheminement.
il est a la bd se qu'est James Browm est a la Soul c'est le Pape de la Bd je crois qu'il n'y a pas assez de note pour ce Monsieur, c'est drôle, lourd, sex, nul, simple etc. ...et en noir et blanc , pas besoin de couleur, Il est obligatoire d'avoir un Gotlib dans sa bibliothèque pour l'instant on a pas fait mieux que ce mec la
et oui ça vient de ce casser la gueule, très très mauvaise fin ou je n'est rien compris qu'elle dommage la série avait pourtant très bien commencé
bof bof c'est déjà moins bien que le 1er qu'est ce qui ce passe , dessin toujours pas mal mais l'histoire....
1er tome intéressant , voir même très intéressant bon dessins et couleur
Suite et fin de l'aventure malheuresement on en veut encore
Bd indispensable, superbe dessins, histoire pleine d'humour et d'aventure a suivre
pour l'ensemble de la série , j'ai adoré, série très drôle ou l'on retrouve de Funès, , Roger Moore et bien d'autre a découvrir , pour des aventures rocambolesques '(je rassure l'histoire n'est pas basé sur de Funès ) série malheureusement méconnue a découvrir Urgent
Début un peu lent mais lorsqu'on rentre dans le personnage de Lewis Trondheim on prend plaisir.
Les thèmes évoqués sont d'actualités, les aquarelles sont très réussies.
En résumé, très bien à condition de se laisser prendre au jeu.
Il y a, comme on pouvait s'y attendre avec Mathieu, de belles planches et de l'originalité. Cependant, je dois avouer que je suis resté sur ma faim. A réserver donc aux fans de l'auteur ou aux fans du musée du Louvre.
C'est magnifique!
J'ai été tellement transporté par l'histoire... on s'identifie vraiment au personnage
principal.
Ca reste simple mais beau! Le dessin est particulier mais vraiment bien, et j'ai
envie de dire que 600 pages... c'est pas assez!
Sans aucun doute l'un des meilleurs albums de la série. Enorme coup de chapeau a Cauvin qui nous sort encore une fois un scénario trés solide. Quiproquo, renversement de situation, un chesterfield dans sa meilleure forme, un Blutch qui ne perd pas le Nord, voilà ce qui vous attend. A lire et à relire, pour tout les âges.
L'idyllique voyage en Occident de Mun-Su, Kewil Hyang et Hemosu tourne à la tragédie, la jeune femme étant de plus en plus malade. Ayant appris la révolte de ses conseillers, Hemosu retourne au Jushin pour reprendre la situation en main et c'est Ajite qui vient à Londres pour s'occuper de guérir Kewil Hyang.
L'ensemble (ou presque) de ce volume poursuit l'exploration des souvenirs de Mun-Su avant la chute du Jushin (tout ça grâce aux effets de la mandarage ^^). Il donne également quelques éléments de réponses quant à la nature d'Ajite et à ses objectifs. On y apprend aussi comment Mun-Su s'est retrouvé avec la maladie de Kewil Hyang et on se rend compte que Hemosu a des projets bien déterminés mais qui restent encore flous.
Quelques pages montrent le présent : l'écuyer et Yonshil qui cherchent une plante pour guérir Mun-Su ; le vieillard, Su et Miss Fang qui se préparent à combattre Ajite et les siens.
Un bon volume qui donnent des pistes mais laisse sur sa faim. Apparemment Mun-Su va encore rêver un bon moment.
Hatsumi est enfin décidée à s'éloigner de Shinogu. Pourtant lorsqu'Azusa lui annonce que lui et Shinogu vont reprendre l'enquête pour connaître l'identité de l'amant de la mère d'Azusa, elle accepte de les aider. Mis au courant de cette possibilité et alertée par un commentaire de sa gouvernante Mariko, Ryôki découvre l’identité du mystérieux amant. Connaissant la vérité, il refuse de tout révéler à Hatsumi par peur de la perdre.
Des révélations donc dans ce volume et la confirmation de bien des soupçons, en particulier en ce qui concerne l'amant de la mère d'Azusa ; une énorme surprise en perspective pour les personnages quand tout sera dit au grand jour. Par ailleurs, certains se réjouiront peut-être de voir Shinogu exprimer enfin ses sentiments ; les ascenseurs en panne ont ceci de bien c'est qu'ils rapprochent et donnent des occasions :siffle: Reste à savoir quelle sera la réaction d'Hatsumi le premier étonnement passé. Enfin, comme les difficultés n'arrivent jamais seules, mme Tachibana s'en mêle et découvre que Shinogu n'est pas le vrai fils des Narita ; les raisons de son adoption restent encore inconnues... un autre secret ?
Si la situation n'a pas encore "explosé", les choses commencent à se dévoiler et à apparaître au grand jour.
A noter : la romance Subaru/Akane se précise et avance
Côté scénario, l'histoire est agréable à suivre mais sans vraiment de surprise. Le dessin est toujours aussi sympa, j'aime beaucoup.
Je pense cependant que cette série mériterait un tome qui fasse véritablement exploser l'histoire, parce que là, c'est certes une bonne série mais qui ne marque pas les esprits sur le long terme.
Gotlib est un tel monument de la BD francaise qu'il est difficile de porter un regard neuf sur son oeuvre. Ce grand monsieur est a mes yeux la haut avec les Franquin, les Goscinny et les Herge du 9eme art, pour qui le probleme est le meme: si leur oeuvre ne semble pas si revolutionnaire de nos jour aux yeux des plus jeunes, c'est simplement que leur revolution fut tellement reussie qu'elle en a modifie la BD jusqu'a ce jour.
Sa Rubrique A Brac a son epoque etait un OVNI complet dans le monde de la BD: de la BD d'auteur, sans heros, un style de dessin completement incroyable (melange de realisme anatomique et de caricature decalee) qui mele a la tenue du propos en a fait une des series les plus droles de la BD Franco-Belge, ouvrant les portes a un humour d'auteur destine a un public plus adulte.
Je recommande egalement son autobiographie "J'existe, je me suis rencontre".
Cette serie a depuis bien longtemps cesse d'etre drole. Les memes gags se succedent et se ressemblent, les personnages n'ont jamais evolue et la paresse du personage principal n'a d'egale que celle de son createur Jim Davis... On a vraiment l'impression qu'il dessine pour payer les factures et pas pour nous amuser.
Cette excellente BD de Daniel Clowes raconte l'evolution de l'amitie de deux jeunes filles alors qu'elles emergent de l'adolescence a travers une douzaine d'histoires etrange et emouvantes (a l'origine publiees separement).
Des personnages etranges se cotoient dans cette banlieue ennuyeuse d'ou les deux filles revent de partir. Les histoires sont un peu bizarres mais ce surrealisme est ouvert a l'interpretation de chacun et peint un portrait a la fois confus, nostalgique et terrifiant de cette periode adolescente. Le dessin de Clowes, un trait unique et fortement contraste illustre parfaitement l'aspect surreel de l'histoire.
Les personnages sont attachants et la fin que je ne devoilerais pas est tres emouvante.
Ghost World porte bien son nom - ce petit chef d'oeuvre illustre a la perfection le monde fantome et transitoire de l'adolescence. A lire absolument.
Comment, aucun avis sur cette serie?
Le Genie Des Alpages est pour moi principalement une BD d'atmosphere: des personnages droles, attachants et un petit peu cruels, des gags dans tous les coins, des paysages d'une variete sans fin, de la violence, du sexe et de la subversion sans mauvais gout, et des brebis partout!
Ce dernier tome de Pacush Blues est plutot decevant. Comme d'habitude on retrouve nos rats en perpetuel conflit essayant de s'adapter a un environnement extremement hostile, et on suit un anti-heros philosophe et incompris qui deambule dans cet univers qui se veut une satire dechirante de notre monde a nous.
Les themes abordes dans cet episode sont trop disparates pour etre efficaces. Rechauffement global et impact de l'Homme sur son environnement, politique des nations, globalisation, gestion des resources, et surtout ce qui gache un peu tout une sorte de technophobie de l'auteur qui passe trop de temps a pointer le ridicule des comportements des utilisateurs de telephones portables vers la fin de l'ouvrage.
Le dessin est plutot bon, l'idee des differents "mondes" (des camions de marchandises qui foncent sans arret sur une autoroute invisible) est interessante et plutot bien rendue, mais l'interieur de ces camions refrigerants est bien moins attirant que les delires industriels de Variations du meme auteur. Le personnage principal n'est pas tres charismatique et ne soutient pas l'interet du lecteur.
Je preferais chez Ptiluc sa voix de philosophe cynique que celle de vieillard amer qui nous raconte cette histoire. Si vous devez choisir une aventure de cette serie je vous recommande vivement de vous rabattre plutot sur le superbe "Variations Sur Un Theme Impose" ou bien "Jefferson Et Le Mal De Vivre".
J'ai la chance de posseder cette intégrale.
Les dessins sont magnifiques et l'histoire prenante.
Petit bemol concernant les "pardon" à répétition... ça, c'est saoulant.
Mais il est neanmoins necessaire d'avoir cet ouvrage dans sa collection,
ou au moins l'avoir lu.
L'ambiance du sud profond est bien restituée, frace a un dessin qui colle bien à l'histoire et un scénario qui tient la route. Si on ne s'ennuie pas au cours de la lecture et qu'apparement, tous les ingrédients semblent présents pour une bonne histoire, je n'ai pas totalement accroché.
Si le titre m'a paru intéressant, l'histoire est scénaristiquement pauvre. On est malheureusement loin des aventures épiques initiales de Thorgal. Meme le passage dans le labyrinthe est sans interet. A mon avis, un des Thorgal les moins reussis.
La première chose qui m'a doucettement choqué est la couverture : Elle a été modifiée, un tout petit peu... Seulement j'ai eu le sentiment que le profil du personnage se voit moins bien dessiné, c'est dommage.
Il m'est malheureusement impossible de scanner la couverture en raison de sa taille trop grande.
Mais alors... Dès que je l'ai ouvert, de planche en planche, on aurait dit que les couleurs jaillissent vraiment dans mes yeux. Tellement vives qu'on croierait dans un frigo avec toutes couleurs gaies et... robotiques, si j'ose dire. Quelque chose d'impossible comme au paradis, des couleurs cristallines.
Le scénario est simple, mais se lit avec plaisir. Très peu de paroles, beaucoup de voice-off !
Seul le regret, le mien pour préciser, c'est les dessins d'Aoki (auteur coréen)... j'ai du bien mal à les supporter... hélas !
En tout album, ce One-Shot, est très agréable et, sans doute, chatouilleux à nos yeux émerveillés !
Pour le noter, je dirais 7,5 sur 10.
Déçu!
Perso, j'évite en général de mettre un avis sur BD Gest parce que souvent ça tient de l'inctellectualisme exacerbé et on oublie bien souvent que la Bd est un objet de loisir et on le transforme en objet philosophique ou je ne sais quoi.
Bref, tout ça pour dire que je suis déçu de ce dernier opus de la série Luuna. Ok, faudrait peut-être que j'arrête de lire ce genre de Bd à mon âge, mais j'aime bien (et toc!). Mais là désolé de le dire, mais on prend les gens pour des cons. Merci monsieur Crisse! Bah oui, après avoir sorti 4 album assez sympa coté scénar', ça va pas chercher bien loin mais en même temps c'est pour les jeunes (non pas que les jeunes n'ont pas le droit à quelque chose d'intelligent...), on arrive là dans les travers de la BD commerciale. C'est-à-dire que les auteurs savent que ça va marcher parce que les précédents ont marché, et donc ne se foulent pas pour clore le cycle.
Donc pour résumer, on a pas assez de 50 planches (ouhlala attention faut pas dépasser!) pour tout raconter, alors on condense pour que ça rentre, on zappe des personnages qui sont inutiles (mais sur lesquels on avait insisté comme s'ils étaient importants), puis on bâcle la fin parce que bon "y en a marre de l'indienne maudite"! Tout ça pour se rendre compte que l'histoire n'a servi à rien et qu'on revient au point de départ (non, je raconte pas l'histoire!). Donc on lit ça en 30 mn montre en main en se disant qu'on a perdu son temps pendant 5 tomes et donc pendant 5 ans (oh j'exagère, mais si peu!).
Ah si! Petit point positif! Crisse a pensé à son pote Keramidas et a mis plus de seins nus...
Bref, déçu, voilà tout. Pourtant j'aime bien Crisse mais là je suis déçu!
Voilà mon dernier coup de coeur !
Une BD de Gippi, la première que je lis de cet auteur en fait pour tout vous dire ! Je ne connaissais même pas... Il s'agit de l'album "S", sorte dommage vibrant à son père dont on découvre une partie de sa vie, des tranches, ses habitudes, les choses qui l'ont marqués...
Le récit est entrecoupé de flashback, d'explications (histoire dans l'histoire), depoints de vue différent de la même scène parfois, mais la lecture en reste passionnante et pas pour autant compliquée...
C'est en tout cas une histoire qui prend aux tripes, très sensible et pleine d'émotions... Une histoire dans laquelle la guerre est omniprésente, son horreur, les chocs qu'elle occasionne, les marques indélébiles qu'elle laisse...
Les dessins sont exécutés dans un style graphique très simple, voire brouillon, comme une planche de story board, puis mis en aquarelle... Il s'en dégage pourtant une vraie ambiance et une sorte de poésie...
Le format est original, on est plus près de la taille d'un roman que de celui d'une BD et à mon avis ce n'est pas innoncent... Car son histoire aurait très bien pu faire l'objet d'un récit autobiographique, un livre quoi...
A posséder dans sa collection !
D'abord attiré par la couverture originale et par les critiques dans le bédéthèque, je ne suis pas du tout déçu de l'avoir acheté : le scénario est formidable ! La première planche est un tout prélude et les restes sont à découvrir...
Quant aux dessins, j'avoue que j'ai un peu du mal à les supporter à part la couleur mystérieusement sombre qui est sans rappeler aux Comics... Peu importe !
Il y a même une certaine Carmen dans cette histoire... qui ressemblerait étrangement à Jessica Rabbit (de Qui veut la peau de Roger Rabbit ?)
C'est un très bon album à découvrir !
Donne envie d'en connaîte un peu plus sur l'histoire. Est-ce une fiction imaginée de ce qui aurait pu être ou tout simplement une parcelle de vérité? Qui sait? J'ai bien aimé...
J'y retrouve tout à fait ma culture: celle de mes ancêtres. Le langage pourra être un peu lourd pour l'européen qui se laissera tenter puisqu'on y emploie le joual si propre aux québécois. Ne vous laissez pas décourager, vous rirez sûrement de ces patois que tout québécois connaît mais qui feront dresser les cheveux aux étrangers.
De très belles planches; il ne s'y passe pas grand chose. On dirait qu'on a figé une époque, le temps d'en faire une chronique. Pas mal!
Que c'est noir et désespéré ! A ne pas lire un jour de déprime ! Mais cette histoire de train qui fonce vers nulle part pourrait bien être l'allégorie de notre bonne vieille terre qui fonce dans l'univers pour finir inéxorablement consumé dans le soleil, en attendant les hommes l'exploitent à outrance en laissant dans les wagons de queue les 3/4 de l'humanité.
Je l'avais lu il y a 20 ans, ça n'a rien perdu de sa force, et je ne savais pas que ça avait eu une suite.
Un élément incontournable de la culture bd, la collection "à suivre" avait de la gueule !
BOF assez deçu, ne respect pas trop l'oeuvre original, un peu comme le film je n'st pas trouvé l'humour est l'anbiance du bouquin, c'est plutot la Bd qui retrace le film dommage
pas mieux que le tome 1, a quel dommage que la serie soit terminé, a découvrir d'urgence
j'ai adoré, c'est drôle , bien dessiné, très expressif, superbe mise en couleur etc...; bravo
dessins toujours bizarre , le reste est rigolo, pauvre robin des bois!!!
le dessin et pas mal ou mediocre , c'est farfelu, bonne suprise , on ne reste pas de marbre
bof pas genial , a oublier ou ne pas acheter domange ca parter bien(la couverture )
d'est gentil sans plus, le dessin est gentil aussi c'est une BD une fois on l'oublie
toujours un régal pour les yeux, l'histoire avance
suite aussi éfficace on regerette qu'il n'y est pas plus de planches
on ne peut être qu'admiratif par les dessins et surtout la mise en couleur pour cette album, bonne histoire classique mais on s'en fou
bon dessins, bonne histoire, univers ambiance réussi,
Premier épisode prometteur.
J'ai vraiment ressenti un certain malaise en le lisant, je pense que c'était le but...
Les couleurs sont très bien aussi, elles collent à l'histoire.
On pourrait juste lui reprocher un manque d'originalité au niveau du scénario.
On y retrouve effectivement un côté "Shining" mais aussi "Session 9", pour ceux qui l'ont vu...
A lire tout de même
Un peu vendu comme un largo winch au féminin, cette bd n'en entretient le rapport que par le personnage principal, une riche héritière. Fin de la comparaison. Mélange d'aventure et d'ésotérisme (avec un peu d'érotisme, ce qui ne gâte rien), l'histoire est riche en péripéties et rebondissements. Quant au dessin, de vincentiis est une révélation et sophia est tout simplement une merveille. La mise en couleur est très belle, mais il est à constater qu'elle a changé sur ce tome entre la première et la 2nde édition, les couleurs plus sombres de castillo ayant été remplacées par le travail plus clair de cabrera (pour faire le lien avec le deuxième tome ?) - En tout cas, on aimerait en lire plus que la trilogie annoncée...
Les dessins de Michel Faure sont quelquefois inégaux mais certaines vignettes sont sublimes, notamment le visage de l'héroïne est magnifique. Le dessin est pour beaucoup dans cette histoire digne de Makyo, tourmentée et tragique.
Une trilogie de qualité, de très beaux albums à avoir dans sa bibliothèque car on y reviendra toujours avec plaisir.
Attention, chef d'oeuvre ! Pour les amateurs de polars sombres et jusqu'au boutistes, et de belles bandes dessinées en général, ce livre est pour vous. Des personnages très biens écrits (clément brown est inoubliable), des paumés et des ordures, voire les deux à la fois, allant vers leurs destins que l'on pressent inéluctables. C'est très simple, vous vous installez dans un bon fauteuil, vous mettez dans le lecteur cd une musique d'accompagnement et vous aurez l'impression de voir un bon film, superbement écrit par tome (démontrant qu'il savait écrire autre chose que du spirou, et très bon dans le genre policier avec soda) et magnifiquement mis en image par berthet (qui confirma tout son talent par la suite avec pin-up). Indispensable ; si vous ne l'avez pas déjà, achetez-le, lisez-le ou volez-le.
J'ai adoré, surtout au niveau du dessin.
Je donne 9 sur 10 parce qu'on a déjà vu meilleur scénario. Les dessins
parcontre, son vraiment, mais alors vraiment beau, (malgré l'exagération de
certain personnage au niveau de la musculation.)
Pour moi, un des meilleurs tomes de la série. Avec ce nouveau cycle, on change radicalement de ton. Plus de plaisenteries ni autres légèretés du 1er cycle. Les couleurs sont bien différentes et marquent bien une nouvelle approche des deux auteurs. Au final, ils parviennent à relancer une série de bien belle manière.
Tomes 1 et 2 :
Voilà une série qui sort du lot de par sa qualité. Cette série est plus psychologique et loin d'être aussi manichéenne qu'elle pourrait le paraître. Les personnages sont poussés à fond au niveau du développement psychologique et c'est un vrai régal de découvrir leur façon de penser et de raisonner avec deux conceptions de la justice qui s'opposent. Voilà deux tomes qui se dévorent avec l'envie irrésistible à la fin de connaitre la suite et ça va être dr d'attendre. Bref me voilà acccro à une nouvelle série.
Egal à lui-même, Largo continue à se jeter la tête la première dans les pires ennuis. Les histoires se ressemblent toujours un peu et le scénario est assez prévisible, mais ça se lit toujours avec plaisir. Mais que c'est désagréable de devoir attendre la suite !
Ce tome m'a bien plu. Les relations entres certains personnages deviennent intéressantes, et l'intrigue se développe agréablement. Après un démarrage très moyen (les 2 premiers tomes m'ayant moins plus), la série semble avoir trouvé ses marques, bien que la série reste assez conventionnelle dans son genre. A suivre.
Avec ce nouveau cycle, où Nash et sa fille partent à la recherche de leurs origines, l'action se passe sur Mars. Ce tome est à mon sens le + réussi, en effet l'histoire a gagné en efficacité, les personnage en profondeur et les planches en qualité. Même si cette série n'est pas ma préférée, cet épisode m'a passionné.
Un grand classique qui mélange western, mystique indienne et aventures.
Par contre, je trouve curieux la vision de la femme que je trouve assez misogyne, elle passe de la mijaurée sans cervelle à la putain assumée, j'aurais bien aimé en discuter avec Laurence Harlé.
Nettement mieux que les deux premiers tomes, la trame se développe et prend une envergure très intéressante. On a envie de savoir ce qui va se passer. Un petite bémol pour la précision du dessin, qui manque de netteté et de finesse de trait dans les arrières-plan. Les gros plans, notamment sur les visages, sont très bons en revanche.
Dans la veine du premier tome, un album qui ne m'a pas passionné. La trame manque pour moi de suspense.
L'actu revisitée par Maître Maester...
Percutant et drôle à souhait, magnifiquement servi par un dessin soigné (la couleur rend le tout tres vivant).
De quoi nous faire patienter jusqu'au prochain Soeur Marie-Thérèse, qui sera lui aussi en couleur... Ca va etre dur d'attendre jusque la!
Globalement c'est un bon volume toujours aussi drôle mais le véritable intérêt arrive à partir de la seconde moitier du volume avec le début du tournoi pour sélectionner les équipe allant au Koshien. De nouveaux personnages apparaissent et Tatsuya comment à montrer son talent en fonction de la force de ses adversaires.
Fin de la série avec ce dernier volume. On a enfin le choix d'Ami entre Keisuke et Nakanishi ainsi que le "combat" entre ces deux rivaux au championnat du Japon. Autant le second point n'aura aucune réponse autant le premier en aura une. Globalement ce volume est bon mais la fin est un peu précipité c'est dommage d'autant qu'il y avait matière à faire bien mieux même si les fin ouvertes du genre "la vie continue" ne me gène pas.
Il n'y a pas à dire c'est toujours aussi excellent. Les personnages sont très humains et les histoire sont passionnantes. La guerre du Vietnam y est toujours aussi bien traitée même la fin de la guerre dans la dernière mission. Bref un excellent moment.
Très bon volume qui marque la fin des combats D'Ichigo et ses amis au Soul Society. Ce volume est plein de révélations, de rebondissements et de retournements de situation. Bref on a pas le temps de s'ennuyer une seule seconde le tout étabnt très bien traité sans temps mort.
Un monde sans la ligue de justice : L'histoire jusqu'ici plutôt superficielle rentre enfin davantage dans le vif du sujet. Plus on avance plus ça devient intéressant mais attendre quatre épisodes avant de rentrer dans l'histoire ça fait un peu long. J'espère que ça ne va pas se terminer trop abruptement.
Le brave et l'intrépide : En plein infinite crisis Superboy et Nightwing se préparent à aller au coeur de l'origine de la crise afin d'y mettre fin une bonne fois pour toute. Ce petit tête a tête permet de renforcer leur lien avant le combat ce qui est une bonne chose quand on travaille en équipe. Le point positif c'est qu'on sent qu'ils vont prendre le relet de leur deux mentors qui sont restés quelque peu en retrait durant ces évênements.
La guerre des lascars : c'est une véritable foire d'empoigne au point qu'on ne sait plus qui est avec qui et Wally West doit se démener au milieu de tout ça. L'intervention de Zoom relance l'intérêt de tout ça.
Brebis galeuse : L'histoire se termine de manière sympa et les dessins sont magnifique. Globalement c'est plutôt bon même si il faut un peu s'accrocher au niveau de l'histoire.
Un numéro centré sur le personnage d'Ororo "Tornade" Munroe, personnage ayant joué un rôle important au sein des X-Men depuis la création de la seconde équipe en 1975. Les épisodes présents sont plutôt intéressants, centrés sur ses rapports avec T'challa dit la Panthère noire souverain du Wakanda. Dommage que la seconde histoire "je rêve de l'Afrique" soit un peu trop survolée car il y avait des éléments intéressants qui auraient pu être davantage développés. a part celà c'est globalement un numéro intéressant introduisant l'évênement marquant qui se déroulera dans le prochain numéro.
Voilà une histoire en trois numéro centrée sur Malicia et son passé. On en apprend un peu plus sur elle et sur sa famille. L'histoire est plutôt bonne, l'intrigue est bien développée même si elle met un peu de temps à se mettre en place. Le personnage étant lui même intéressant (personnalitée, pouvoir mutant...) ça renforce encore l'intérêt d'en apprendre davantage sur lui.
In bon moment de lecture.
Cette revue regroupe 3 nouveaux épisodes de la mini-série Marvel Knights.
L'équipe originale perd déjà le Punisher. Daredevil lui a en effet fait comprendre que leurs méthodes étaient totalement incompatibles. Pire, le "Diable Rouge" compte désormais sur ses nouveaux alliés (Shang-Shi, l'Epée, la Veuve Noire et maintenant Moon Knight) pour traquer et coincer une fois pour toute Castle pour l'ensemble de son oeuvre.
On a droit à 2 récits parallèles: une enquête du Punisher sur un nouveau fournisseur de drogue et un face à face entre Shang Shi et un tueur envoyé par son propre père.
Les 2 histoires déçoivent, aussi bien au niveau du scénario que du dessin.
L'équipe de super-héros passe au second plan et les dialogues sont simplistes tandis que Barreto a encore du mal avec les scènes d'action, toujours brouillones.
Bref, on attends que la série prenne réellement son envol.
Une histoire un peu confuse, ca bouge, mais par moment, on s'y perd un peu. Ce tome tisse la trame générale, une association de mafieux au niveau mondiale, que la Maison Blanche cherche à contrecarrer en engageant secrètement Najah, experte en guérilla en tout genre. Le scénario est un peu confus pour moi, manque de suspense, et le dessin ne m'a pas trop accroché: manque de reliefs, de détails.
Je n'ai pas adhéré à l'univers de cette BD. Les dessins et les couleurs sont approximatifs, l'histoire un peu confuse et pleine de coups de sabres à couper les cheveux en quatre !!! Je vais encore tenter le N° 3...
Un peu déçu par ce dernier tome d'une serie que j'apprecie beaucoup...
Les dialogues sont parfois decevants, le scenar un peu moins bon, et le dessin reste moyen.....
Cela dit, l'ensemble de la serie reste trés interessant, coherent, et d'un gros niveau..
Voilà une BD sympathique décrivant des tranches de vie se déroulant sur 4 étages. Le coeur de laction se situant durant la crémaillère de Sandra et Antoine qui viennent d'emménager. Petites mesquineries, tromperies conjugales, naissance d'un nouvel amour, l'intrigue se déguste comme une boisson fraîche. Petite particularité intéressante, vous pouvez lire l'histoire par étage du début à le fin de la BD.
Je viens de relire ce tome magique. Je l'ai trouvé encore plus beau. Les découpages de planches, les "prises de vues", les couleurs, les mouvements, tout y est somptueux. Et BLACKSAD semble, tellement humain ! Le reste a déjà été largement évoqué dans les avis précédents.
Vivement la suite...
Nicolas barral nous a déjà montré l'étendue de son talent de dessinateur comique avec baker street et philip et francis. Il récidive avec cette série de petites histoires écrites par benacquista prenant le thème des envoyés de dieu changeant la destinée de plusieurs mortels. Thématique classique, dont tout le sel est apporté par la personnalité des "anges". Si le livre est bien écrit (il n'est pas que drôle, certaines répliques font vraiment mouche, mais il comporte aussi quelques ratés, surtout dans les intros des histoires) et très agréablement mis en image, il y manque néanmoins le petit grain de folie et de délire des ouvrages précédents de barral. Mais cette bd reste un bon moment de lecture quand même.
La dégénerescence et l'âge avancé des patients de gériatrie font parfois oublier que ces personnes ont eu une histoire, une famille, des amours et des désirs comme chacun de nous.
Parfois la maladie nous donnent l'impression à nous autres personnes plus jeunes l'impression de connaitre leurs besoins et leurs pensées.
Cet ouvrage est un hymne à l'amour pour ces gens qui se cherchent et se voient doucement sombrer vers le néant et l'oubli.
Un ouvrage magnifique, bouleversant et pour moi qui suis paramédical un ouvrage à méditer!
Quand la bande déssinée n'est plus un loisir mais est éducation!
1986, un témoignage télévisé d'une vieille dame qui ne retrouve pas son fils parmi les corps des prisonniers rapatriés d'Indochine... l'émission suscite des réactions dont celle d'un journaliste qui va enquêter sur la disparition de cet ancien résistant, engagé en Indochine après la guerre... puis rallié à une autre résistance d'un peuple contre l'occupant...
L'histoire est passionnante car elle évoque des faits que l'histoire officielle élude consciencieusement...
...car elle évoque avec talent, la difficulté d'agir en accord avec ses convictions dans des contextes historiques conflictuels et aussi, combien, même avec des convictions fortes, on peut se faire exploiter à des fins politiques...
mais elle est aussi attachante par la vérité sympathique sans être héroïque des personnages créés par les auteurs.
... et c'est bien raconté... et c'est magnifiquement dessiné avec autant de soin sur les physionomies que sur les décors. Les couleurs sont franches ou d'une délicatesse asiatique ... selon le contexte.
... et ce superbe poème d'Aragon chanté par Ferrat: "Un jour pourtant, un jour viendra couleur d'orange..."
Une très belle oeuvre!
Un président tyrannique en quête de gorilles pour revigorer son armée. Une histoire pas très originale, mais teintée d'humour, qui en fait un album sympathique. A lire.
Ce tome 6 voit l'histoire baisser sérieusement d'intensité. Le scénario s'essouffle et la tentative d'assassinat de la Reine peu crédible. J'espère que la suite sera un peu plus convainquante !
Tous les ingrédients sont présents pour faire une excellente BD, les personnages ont la démesure voulue, les planches sont superbement mises en scène. Seul bémole, les expressions des personnages me semblent un peu figées... mais peut-être est ce voulu ? Enfin ne boudons pas notre plaisir, vivement la suite que nous fassions connaissance avec la Momie !
Ca y est j'ai lu le tome 1 : "La nuit du masque" et bien j'ai adoré !!!Voilà une série fort sympathique, le dessin est très agréable, certains passages sont hilarants et côté enquête policière et action on n'est pas en reste ...Une série très bien équilibrée, je vais me lancer immédiatement dans le tome 2 ...En tout cas je la conseille vivement à ceux qui ne la connaissent pas encore...
Cette série est vraiment un régal pour tout public! Les contes y sont détournés avec réjouillance. Je suis allée au bout de la série sans que mon intérêt faiblisse.
Ce premier volume est un enchantement pour les yeux et l'intellect! Cette fresque familiale et historique nous emporte littéralement. La théorie de classification des êtres humains en fonction de la couleur de leurs yeux n'est pas sans avoir une sombre résonnance dans cette période post-guerres mondiales que nous vivons...
Vraiment, je ne me lasse pas de lire "L'impératrice Rouge"; la richesse du scénario est inépuisable. Dans ce monde en ruine, hors du temps, au parfum de la Russie (La déchéance d'une civilisation semble être un thème privilégié pour Adamov, cf "Les eaux de Mortelune"), l'impératrice qui n'est pas sans rappeler la Grande Catherine, se dispute le pouvoir avec son bien médiocre époux, et cherche à assouvir ses désirs charnels sans fin. Le climat est très brutal et féroce. Le dessin très minutieux donne à cette violence un caractère raffiné pour mieux dénoncer la superficialité et la vanité des prétendants au trône. Le pouvoir renait de la violence; et celle-ci s'assoit sur la dictature.
Je trouve beaucoup d'humour dans cette BD qui présente l'enfance du célèbre enchanteur. Certaines trouvailles sont hilarantes! L'histoire semble plutôt s'adresser à des enfants, comme le laisse entendre les personnages, leurs préoccupations et leurs dialogues... et pourtant je relève de nombreux clins d'oeil culturels et quelques allusions grivoises qui échapperont aux jeunes lecteurs. Peut être est-ce là ce qui m'a dérangé finalement: je ne saurais dire à quel type de public cette série s'adresse en lisant ce premier épisode...
mon dieux pourquoi cette série est arrêter ! a lire et a découvrir absolument
Pas emballé plus que ça , j'aime le dessin, l'histoire, j'attend la suite
Superbes dessins , très bonne atmosphère , très réussi, on en redemande, bravo
Classique, efficace , 1er album a voir la suite , bons dessin , mais bon 1er tome qui fait attendre
Arcane majeur est une série beaucoup plus réussie que son ainée (arcanes) et sa cadette (l'histoire secrète), car s'éparpillant moins dans son récit, mais il faut reconnaitre que pécau a réussi à créer un univers dans lequel les questions posées dans une série trouvent réponses dans une des autres, alors que ces dernières se déroulent toutes dans un espace temps différent. Le trait de damien, à la fois rétro et moderne, colle à merveille pour cette série au ton 60's et achevant de rendre la bd très agréable à suivre.
Je me méfie des bds sur le sujet de l'aviation, m'attendant à un catalogue technique de l'aéronautique comme c'est souvent le cas en général ; et puis, en ce qui concerne la bd dans ce domaine, je croyais que buck danny et nos compères tanguy et laverdure avaient déjà tout dit. La bd d'aviation, c'est une bd d'aventures, c'est tout ! Et là, surprise, ce n'est pas une bd d'aventures ! La couverture est plaisante (aah, la belle pin-up) et donne envie de découvrir l'intérieur (de la bd, pas la pin-up). Si le thème de la rivalité et du triangle amoureux n'est guère original, cette bd est superbement réalisée, le scénario apporte ce qu'il faut de péripéties avec des personnages attachants et le trait de hugault, tant pour ses héros que ses mécaniques, est de "haut vol" si je puis me permettre ce jeu de mots facile. Un beau livre au parfum nostalgique dont on attend la suite...
Le suspens devient vraiment haletant dans ce troisième volet. J'aime tout particulièrement dans cette série, le dessin souvent lumineux et pastel qui donne une impression ethérée. Les cadrages serrés et les raccords images ajoutent au mystère et à l'installation du thème paranormal. Tout est savamment dosé et on ne tombe pas dans le grand guignol... Une bonne série fantastique!