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Ce second opus est à la hauteur du premier. Très divertissant et plein de ressources !
Ce tome 9 est une réussite. Les rapports troubles entre l'église et le nazisme, servent de toile de fond à cette enquête sur le blanchiment d'argent. L'approche est captivante et les personnages très crédibles. Ce premier opus laisse augurer d'un dénouement à la romaine, tambour battant !
Une tranche d'histoire supplémentaire dont on se délecte encore sans déception, si ce n'est celle du dessin qui a changé (ce n'est plus Tanquerelle aux manettes). On perd du coup un peu l'ambiance et on a moins envie de faire l'effort de "recoller" les morceaux. Celà reste néanmoins un épisode indispensable et toujours aussi bien ficelé. Vite, vite, la suite !
Le meilleur tome de la série. C'est là que l'on comprend la statégie du scénariste qui ne se contente pas de remonter le temps, mais nous rapporte au fur et à mesure des épisodes, des tranches d'histoire qui mises bout à bout permettent de comprendre la totalité (pas encore mais une bonne partie) de la "vie" de l'anneau.
Inutile de revenir sur les traits qui ont, pour moi, fait le succès les 2 premiers tomes, et qui heureusement sont présents dans celui-ci.
Si on lit ce second opus longtemps après le premier, on a du mal à s'y retrouver dans l'histoire, et pour cause, on remonte le temps... Le scénario est toujours impécable et on devient vite fan du graphisme !
De prime abord, difficile de se mettre dans le dessin, mais on est littéralement happé par l'histoire. Sans trop savoir ou ça va nous mener, une confiance s'installe entre le lecteur et le scénariste et on sait que ça va nous mener loin...
Une BD magnifique à ne manquer sous aucun pretexte !!! Des dessins somptueux et une aventure captivante dont j'attends la suite avec une terrible impatience !
une petite bd bien sympatique tant par le dessin que par le senario
elle m'a bien plue même si elle est destinée a un jeune publique
vivement suite
Encore un très bon album de Léo qui lance Kim dans la conquête d'une nouvelle planète. Ce premier épisode se lit d'une traite et déjà on attend la suite avec impatiente.
Léo sait introduire de nouveaux mystères sur ces mondes étranges si loin de nous et pourtant si proches.
C'est tout son génie, faire une histoire de science-fiction mais avec des héros tout à fait humain, aux sentiments très proches des nôtres, donc on peut y croire pleinement.
Oui, à lire absolument.
Hippolyte FINN, dit Hipp est le détective très classe d'hollywood. Sa prestance n'a d'égal que sa bravoure et son humour. Son enquête l'entraine bien-sûr dans le milieu du cinéma où règnent quelques vampires qui ne dédaignent pas la lumière des projecteurs ! Cette oeuvre en 3 volumes du créateur de Pin-up est à découvrir de toute urgence .
Album super sympa à lire ! Les dessins sont vraiment excellents et le texte est plein d'humour. Le scénario tient la route sans trop se prendre au sérieux, à découvrir absolument !
J'attaque le deuxième tome, je vous en dirai plus dans quelques temps...
Une belle couverture qui donne envie de lire ce qu'il y a derrière et j'avoue ne pas avoir été déçu. L'intrigue est bonne et la manière de raconter l'histoire laisse beaucoup d'interrogations en suspens pour attendre la suite au tome deux. Le dessin est assez réussi dans l'ensemble, le personnage de lili est beaucoup plus attachant qu'au premier abord, et les quelques maladresses de style (certains effets font penser à du stan et vince, avec des perspectives bizarres n'apportant rien au dessin) ne gâchent en rien mon plaisir de lire cet album.
Historique ! Dans cet épisode, où les X-Men luttent contre Lucifer (dont le
costume a les mêmes couleurs que celui de Magneto), le Professeur X nous
raconte l'épisode qui lui a fait perdre l'usage de ses jambes. A ne pas
manquer !
Dans un monde fantastique sur fond de révolution, on suit un jeune Européen accompagné de son serviteur dans les méandres de la ville dragon. Je n'ai tout simplement pas accroché à l'histoire que j'ai trouvée ennuyeuse et sans intérêt. Quant au dessin, il ne m'a pas tellement plu.
C'est tout ce que j'aime, du rêve, de l'histoire, de l'amour, de la beauté qui surpasse la violence. Les Charles sont vraiment des auteurs géniaux qui font que j'aime la BD, chaque vignette est une oeuvre d'art, et le scénario est très bien ficelé, on se retrouve très bien entre les différentes époques et les différentes nationalités.
A suivre donc, ne passez pas à côté.
L'historie s'articule autour de la découverte d'un bébé enlevé. La trame tarde à démarrer, mais devient intéressante au fur et à mesure qu'on découvre ce qui s'est passé. Une histoire sympa au final, avec des personages attachants, desservie par un dessin net et clair. J'attendais toutefois un peu plus de cette série, en raison des auteurs (j'apprécie beaucoup Kenya).
Une enquête journalistique saupoudrée de fantastique et desservie par un dessin très correct. L'idée de l'appareil prenant des photos d'événements ayant déjà eu lieu est très bonne. Elle n'est toutefois pas traitée trop en profondeur, mais juste ce qu'il faut à mon avis pour entretenir le suspense et éviter que cela soit au détriment de l'enquete principale. Des questions demeurent donc quant à cet objet particulier. Un très bon tome qui se lit d'une traite et qui donne envie de lire le second.
Manichéen, violent et irréaliste même si on imagine que le fonds est vrai.
Ca se laisse lire, mais cela manque vraiment d'humanité, même les méchants en ont !
Numéro 8 et 9 :
Nouvelle aventure pour Jackie Estacado qui se voie opposé Magdalena envoyée par l'église pour des raisons encore obscure. Le combat fait rage entre les deux adversaires durant ces deux numéros mais la fin du numéro 9 commence à nous dévoilé le passé des porteur du Darkness et à priori les révélations de Sonatine sont liés au déboirs actuels d'Estacado.
Les aventures d'Iron Man de ce numéro font suite à l'histoire parue dans le graphic novel Iron Man extremis qu'il est bon d'avoir lu pour tout bien comprendre. En tout cas ce numéro est très bon et nous permet de comprendre un peu mieux la position de Tony Stark dans Civil War. L'intrigue est bien menée avec pas mal de suspense et la fin est vraiment intéressante. Bref un très bon numéro.
Ce numéro nous explique enfin tout sur le retour de Jason Todd et nous montre son combat contre Batman avec le Joker en plein milieu et une chose est sûre c'est que le final est explosif. Bref deux bons épisodes qui nous renvoie au cross overs infinite crises pour en savoir plus sur une partie des évènements.
Ville du crime : Ouf cette histoire est enfin finie et aura été très obscure jusqu'à la fin. Certes on a des explications sur certains points mais le tout est tellement claire qu'on est pas plus avancé.
Gueule d'argile : Petite histoire bouche trou plutôt sympa mais qui n'a rien d'exceptionnelle.
Très bon volumes centré sur le personnage de Tony Stark et le paradoxe selon lequel il a utilisé des fonds provenant de l'armée pour développé des technologies à usage militaire, donc responsable de nombreuses morts, afin de pouvoir développer des applications visant à aider les Hommes. Tout l'album est axé autour de ce paradoxe et va entrainer une grande évolution chez Tony Stark dont les conséquences sont encore inconnues.
Tomes 2 et 3 :
Le deuxième volume de cette série est centré sur la trahison du père de Mark et la révélation de sa véritable mission sur Terre. Le troisième volume montre plutôt la façon dont Mark et sa mère ainsi que la reprise par Mark du boulot de Super héro laissé par son père. Les évènements de ces deux volumes sont très biens présenté et boulverses le quotidien des personnages et redonne ainsi plus d'intérêt à la série. Au delà des combat qui sont plus qu'annecdotiques c'est plutôt la vie et les états d'âme d'un ado super héro qui son développés et son passage d'adolescent insouscient à adulte devant assumé pas mal de responsabilitées. Vraiment une très bonne série.
Fin du match entre Meisei et Seinan qui voit un Tatsuya au sommet de ses capacités portant tous les espoirs de l'équipe sur ses épaules et se battant jusqu'au bout pour la victoire.
Un volume très intéressant qui montre non seulement que Tatsuya se rapproce de plus en plus du niveau de son frère mais il pourrait bien être encore meilleur. Un volume très intéressant à lire.
Fin de l'intrigue dans laquelle était évoquée les "hommes en noir" mais comme d'habitude au final le fond de l'affaire n'a rien à voir avec les "hommes en noir" et n'a pour but que d'introduire durablement un nouveau personnage dans cette histoire. A part cette déception les intrigues en elle même sont très intéressante et la dernière qui se terminera dans le prochain volume est des plus sympathique.
Théodore nous emmène en voyage en douceur sans effets spéciaux. Les lignes s'affinent ainsi que les couleurs. On passe régulièrement du rêve à la réalité et du passé au présent. Cette écriture est personnelle et pleine de classe...
Leo sait y faire car après Aldébaran et Bételgeuse, Antarès pose d'entrée le décors et les enjeux. On ne sent aucune lassitude à retrouver kim et ses amis et déjà le voyage sur Antarès dont la faune semble très inquiétante, nous promet beaucoup de surprises. Vivement le décollage !
Après avoir changé d'éditeur, "100 Bullets" revient pour notre plus grand plaisir. Polar on ne peut plus sombre, cette série fait partie des meilleures publications en matière de comics ces derniers temps.
Telle une mécanique aux rouages bien huilés, l'histoire élaborée par Brian Azzarello se déroule de façon implacable. En guise de mise en bouche, nous retrouvons tout d'abord l'agent Graves dans son numéro habituel d'homme à la mallette. Au cours de ce récit, le scénariste ballade habilement le lecteur (la chute vous surprendra sans doutes) et enrichit son bestiaire d'un personnage supplémentaire qui sera tôt ou tard relié à l'intrigue principale.
Dans un second temps, l'action se délocalise en France où nous retrouvons une ancienne connaissance, Dizzie Cordova, qui semble avoir un rôle important à jouer par la suite. En fin stratège, Azzarello renforce encore plus notre curiosité avec les bribes d'informations qu'il nous livre sur les mystérieux protagonistes censés tirer les ficelles dans l'ombre, notamment lors des dernières vignettes de cet album. Las, ne soyez pas dupes, "100 Bullets" doit flirter avec les 80 épisodes outre-altlantique sans défaillir jusqu'à présent (pour mémoire, seuls les épisodes 11 à 14 nous sont ici comptés), les grandes révélations seront donc pour bien plus tard.
Graphiquement, le travail d’Eduardo Risso est des plus caractéristiques. Ses illustrations sont au final de grande qualité, même si à la base je ne suis pas un grand fan. Les personnages sont plus travaillés qu'il n'y paraît au premier regard (les expressions des visages sont bien rendues). En outre, le cadrage et la manière d'exploiter les zones de clair-obscur renforcent l'ambiance glauque de la narration.
Une fois que vous l'aurez lue, cette série trouvera sa place dans vos références en matière de comics et de polars.
Cette fois-ci les X-Men sont aux prises avec le Mime, capable de reproduire
leurs pouvoirs ainsi que ceux du professeur X. On aimerait voir cette histoire
plus amplement développée. Scénario: Stan Lee. Dessins: Jay Gavin et Dick
Ayers.
Retour de Magneto qui veut créer une armée de mutants, les X-Men l'en
empêchent grâce à Iceberg.
Après un épisode réussit mais relativement calibré qui se limitait à une vendetta privé envers le commando, Greg nous a concocté une aventure plus audacieuse.
On est à la lisière de la science fiction et le récit est d'une envergure importante. L'ambiance de fin du monde se situe quelque part entre New-York 1997 et 28 jours plus tard. Très appréciable.
Côté dessin, Vance a trouvé son rythme et les mouvements sont désormais bien mieux restitués qu'au début de la série.
Toutefois sur cet épisode on regrettera un manque de variété dans les paysages, essentiellement urbains, surtout après avoir constaté la belle maîtrise du dessinateur avec l'environnement naturel dans Commando Caiman. Globalement ça reste très solide.
L'ambiance apocalyptique très réussie confirme le durcissement de la série déjà visible dans Les yeux sans visage. Brazil reste un leader à l'autorité et au charisme incontestables mais on sent bien que l'équipe n'est pas toute puissante. La vie des héros est en jeu et on tremble vraiment pour eux, ce qui n'était pas le cas dans les 2 premiers tomes.
On retrouve les membres du commando caiman dans une situation délicate. Texas Bronco se fait prendre en pleine tentative de braquage à main armée. Il ouvre même le feu sur le personnel de la banque! Que se passe-t-il ?
Cette situation de départ est simple mais diablement efficace. L'intrigue que Greg a développé dessus est du même acabit. Solide sans être révolutionnaire.
Le ton de cet épisode est diffèrent, plus grave, plus réaliste aussi. C'est appréciable finalement.
Au dessin Vance nous a fait du bon boulot même si l'environnement urbain flatte moins la rétine que la jungle sud-américaine.
C'est le tome le mieux rythmé jusqu'à présent, avec une tension qui va crescendo. La série prend son rythme de croisière.
Comando Caiman constitue (déjà) un sacré tournant dans la série. A partir de cet album, Brazil évoluera au sein d' un groupe d'intervention certes hétérogène, mais plus que compétent.
C'est donc la formation et la première mission du commando qui nous sont racontées. Contexte, recrutement, entrainement, infiltration en pleine jungle hostile...cela fait beaucoup pour un seul album.
C'est bien le soucis de ce tome: il aurait fallut 8-10 pages supplémentaire à Greg pour traiter de manière optimale tous ces faits. Le scénariste s'est bien débrouillé mais son talent n'arrive pas à occulter le déséquilibre. La mise en place fait les ¾ du tome et la fin semble précipitée. Le dernier quart tranche brusquement, l'action et les péripéties s'enchaînent sans répit.
Vraiment dommage car le trait de Vance s'est assoupli et s'accorde fort bien à l'environnement végétal.
Mais l'essentiel est sauf : le commando est constitué, les personnalités des membres sont dégrossies et tous les ingrédients sont réunis pour que la série prenne son rythme de croisière.
Le Ier tome de Bruno Brazil est d'un grand classicisme.
Le scénario mêle espionnage et chasse au trésor dans un pays d'Amérique latine. Rien de transcendant mais un récit intelligent et plutôt bien mené par Greg. C'est surtout l'occasion de découvrir les caractéristiques du héros : charmeur, sûr de lui, d'un sang froid à toute épreuve mais également battant.
Au niveau du dessin Vance étale déjà une maîtrise certaine du découpage et du cadrage. Les séquences de poursuites automobiles notamment, sont très réussies.
On peut tout de même noter que son trait est un peu raide pour ce qui est des corps et des attitudes des personnages. Mine de rien ce défaut de fluidité s'avère regrettable car il nuit à l'immersion. Ainsi l'aventure se lit avec plaisir mais sans excitation ou émotion particulière. Heureusement, par la suite Vance va peu à peu progesser dans ce domaine.
Une bonne mise en route au final.
Excellent album, au graphisme tant splendide qu'à part et très stylisé de Croci. Quant au scénario, afin de l'apprécier à sa juste mesure (c a d excellent), il est à rapprocher de l'oeuvre d'un contemporain méconnu de Bram Stocker, Joseph Sheridan Le Fanu, dont l'oeuvre la plus marquante, mais complètement oubliée depuis lors, fut sans nul doute son "Carmillia", où l'idée complètement innovante et osée pour l'époque de considérer Dracula, le premier vampire... comme une femme (lesbienne de surcroit...)
Sans cette "référence" lors de la lecture, dont se sert Françoise-Sylvie Pauly tout le long du récit, le scénario devient effectivement difficile à suivre et peu rapidement dérouter...
Pourtant, avec une lecture attentive, et fort de ce rapprochement Dracula/Carmillia, dont les auteurs se font plaisir à réhabiliter le mythe crée en son temps par Le Fanu, ce tome 1 devient un régal...
Un grand bof ! Comme dans la plupart des mangas, les suites d'images s'enchevêtrent et donnent au lecteur une impression confuse qui nuit au scénario pourtant original ! Il faut tourner quinze pages pour entrevoir une action qui ne dure que 2 secondes et demi, c'est d'un lassant ! On est loin mais alors très loin des Tanigushi ! Mais il paraît qu'il existe bien pire alors je vais poursuivre mon initiation aux mangas !
trés bon senario , le dessin est pas mal, la couleur a trop d'enprise sur le dessin ou un peu trop informatique, (le crayonné devrait laissé plus d'espace au dessin ) mais c'est une trés bonne Bd , et, l'intrigue est là
Quatre histoires qui fond plaisir à lire lorsque l'on aime les personnages
mythiques de cette série. Il est surprenant de voire à travers ce premier numéro
comment a pu évoluer le dessin des héros de l'histoire.
Il s'agit là d'un album réalisé par un Tropézien de souche. Tout est bourré
d'annecdotes et de référence au village de St Tropez. J'ai eu la chance de
rencontrer Michel Achard dans son atelier dans ce village; c'est une véritable
caverne d'Alibaba (scultures, tableaux, objets cultes de la Bd...). Si vous passez
pas loin de chez lui, allez-y !
Pour en revenir à l'album, c'est plain de couleurs, l'histoire va très vite, l'action
est sans cesse au rendez-vous...
Vivement le second tome, qui paraîtra normalement en Juin 2007, j'attends ce
moment.
L'adaptation d'un roman est toujours difficile, mais les auteurs s'en sortent relativement bien.
Les Scaythes d'Hyponéros ou les Croix de feu sont très difficiles à imaginer, mais l'intrigue prend place petit à petit
Je ne sais pas combien de tomes sont prévus, mais il me semble qu'il y aura 4 tomes pour adapter le T1 du roman, soit vraisemblablement 12 au total !
C'est reparti, un épisode assez amer sur l'évolution des conditions de vie sur Terre, mais réaliste ???
La situation est différente des 2 autres cycles car la colonisation n'a pas du tout commencé, mais il y a toujours autant de bêtes étranges et de mystères sur cette nouvelle planète
Il y a une grosse surprise que j'ai apprécié et qui laisse présager des choses sur la suite de la série, que j'attends avec grande impatience ...
Une intrigue prenante dans un ouest sauvage à une période inconnue... Des persos charismatiques, un touché du dessinateur original, et un mélange de cases bien disposé, voila ce qui fait de cette BD un bien belle ouvrage... (si vous avez aimez 'amerikkka', vous allez adorer 'Bonecreek'...
TiBen...
Aventure palpitante contée par un maître du genre... et j'adore le dessin de Stalner ...
... sans compter que l'histoire prend sa source dans une complicité de combat pour un idéal républicain... traverse les tourmentes du XXème siècle, guerre d'Espagne, 2ème guerre mondiale,.. et vient bouleverser le présent d'un héros fort sympathique engagé dans l'humanitaire!
Tout pour me séduire!
... juste un petit reproche: les infos sur l'histoire et les buts du Cercle de Minsk sont vraiment distillées au compte-gouttes et chaque fois qu'on en apprend un peu plus, c'est interrompu par les "méchants" un peu trop rapidement à mon goût...
Je ne sais pas en combien d'albums la série est prévue, mais pour le moment, aucun risque de s'ennuyer! C'est le genre de série où il se passe tellement de choses dans chacun des album qu'on est obligé de relire depuis le premier tome pour comprendre le dernier paru.
Depuis 3 tomes la série a repris tout son intéret et ce tome continue dans la lancé. Il est très sympa et on passe un bon moment de lecture. Et avec une fin pareil on attend la suite...
A la fin du 3eme tome Zorn et Dirna et leur parents se sont retirés dans leur "maison de campagne" pour y vivre une vie paisible en famille, malheureusement le Dauphin du roi va en decider autrement... Voila en (très) gros pour l'histoire !
Et c'est toujours aussi bon et original, c'est d'ailleurs ce qui fait le charme de cette série. Le tome 4 ne change pas cette règle, même ambiance, même "humour" et des rebondissements... Tous ce qu'il faut pour continuer la série et relancer l'histoire.
Esperons juste que les personnes concernées ne mettent pas autant de temps a sortir le tome 5... ;)
C'est très bien dessiné, mais l'histoire est vraiment enfantine avec des personnages sans consistance. Iznogoud qui veut être calife à la place du calife est dix fois plus drôle dans l'absurde. Il y a des débuts d'intrigues qui suscitent l'intérêt, mais l'histoire n'avance pas et on reste sur sa faim. Peut-être réservé aux enfants ?
Les coupables ne sont pas toujours ceux que l'on croit, merci môssieur HERISSON !
Un p'tit polar à l'ancienne, la police qui patauge, le détective et son ami journaliste qui arrivent et solutionnent l'énigme... Du déjà lu, mais c'est bien fait, alors ne boudons pas le spectacle!
Indispensable car c'est ici qu'on comprend comment Arianne de Troïl devient à son tour Masquerouge entre les tomes 6 et 7 des 7 vies de l'épervier.
On y voit l'intérieur d'un personnage qui a beaucoup souffert avant de devenir ce héros qu'on aurait pu croire insensible sur lui même aux difficultés de sa propre vie.
On y voit que comme les autres personnages derrière le masque, Arianne n'est qu'un pion pour Léonard Langue Agile qui tient les ficelles des 50 albums du cycle de l'épervier.
En fait, c'est paradoxal pour la série Masquerouge, le début a été écrit après la fin: pour bien comprendre, on peut lire dans l'ordre:
1)les 7 vies de l'épervier, tomes 1 à 6
2)Masquerouge tome 8 à 10 où on voit Arianne de Troïl arriver à Paris et devenir progressivement Masquerouge
3)Masque rouge tomes 1 à 3 écrits pour passer dans Pif donc expurgé et où notre héroïne fait de l'abattage en aventures de capes et d'épée
4)Masquerouge tomes 4 à 7
5) dernier tome des 7 vies de l'Epervier
Bonne lecture
Bien que l'histoire soit intéressante, je n'ai pas adhéré aux dessins que je trouve trop simplistes tant au niveau des personnages que des paysages. Dommage car cette BD ne manquait pas d'atout pour nous faire décoller.
Côté esthétique c'est un très bel album.
Le scénario est très réussi, mais la fin est un peu confuse, comme s'il y avait eu un manque d'inspiration de l 'auteur....
Un scénario plutot bon même pas mal du tout mais je n'arrive pas a me faire au dessin qui lui me laisse froid.
Donc scenar 9/10 et dessin 3/10
Deuxième volume de la collection Terres Secrètes, scénarisé par Takian, ce Corpus Hermecticum tient toutes ses promesses. Le fantastique, le religieux et la raison d'état s'y s'entrechoquent à merveille. Les dessins & couleurs de Brion sont magnifiques et servent pleinement le scénario.
Tout commence avec le massacre d'Ouradour-sur-Glane et la survie d'un enfant sauvé par un mystérieux "héros". Puis nous nous retrouvons de nos jours, plonger dans une opération commando quel rapport avec le mystérieux "héros" vous le découvrirez en lisant ce premier tome du Syndrome de Caïn. L'histoire est très intéressante, l'intrigue bien en place est ce premier tome ne nous en apprend pas trop sur chacun des personnages principaux. Vivement la sortie du tome 2.
il sagit d'une série agreable a lire.
Pas indispenssable mais certainement pas un navet non plus.
Le tome 2 fut celui qui m'a le plus conquit ,attendons le tome 4 maintenant.
Un récit de sf très intéressant, bien écrit et assez passionnant à lire, avec un "pitch" original (la mission appolo 11 revenant sur terre avec à son bord armstrong et aldrin en 2035). On attend de voir la suite, en espérant que l'histoire ne se limite pas à son idée de départ, les personnages développés n'étant pas des plus passionnants pour le moment. Concernant le dessin, il apparait déconcertant à première vue : le style photo retravaillée donne un aspect réaliste allant bien à l'histoire, mais qui malheureusement n'est pas exempt de défauts, dont surtout un manque d'originalité et l'expressivité des personnages qui fait penser à un roman photo de magazine. Mais le résultat final reste assez plaisant. A confirmer...
Si le genre de scénario (mafia) n'était pas pour m'attirer, je dois dire que je n'ai pas décroché, bien que le héro manque de caractère. Ce premier tome sert d'ancrage à l'histoire, en établissant les relations entre les protagonistes et découvrant la trame à venir. Une agréable surprise.
Ce premier volume est un vrai régal pour les nostalgique de ce type d'ambiance romantique où les protagonistes citent du Beaudelaire. Il y a du Corto en Théodore !
Le tome 1 posait le décors et les personnages, dans cet épisode la jeunesse et les illusions de Carmen s'enfuient à la vitesse d'une balle qui la frappe en plein coeur. Le dessin, la mise en page et les couleurs sont au service de cette histoire passionnante où se mêlent amour, trahison et action. J'ai pris un réel plaisir à m'attarder sur les planches pour déguster tous les détails de cette épisode. La fin nous laisse espérer que notre héroïne va renaître une deuxième fois et nous donne envie de découvrir la suite au + vite ...
Il s'agit de différentes petites histoires concernant Malicia et se déroulant visiblement peu après son arrivé chez les X-Men. Toutes ses histoires sont centrées sur son problème à accepter ses pouvoirs et sa peur de faire du mal aux autres. A travers ses aventures Malicia va apprendre à mieux accepter ses pouvoirs et à les utiliser de manière utile en essayant de les contrôler pour limiter les effets secondaire.
Ces petites histoires sont plutôt sympa, j'ai bien apprécier et permettent de mieux cerner le personnage et ce qu'il ressent.
Très bonne série avec des personnages intéressants et des personnalitées très bien traitées avec comme problème de fond la violence et la mise en avant de certains problèmes familiaux. Tout au long des trois volumes on suit avec intérêt l'évolution du petit Ume qui cherche à protégers sa famille de son frère très violant et lui même dans cet objectif rentre dans une spirale de violence aveugle envers à peu près toute personne l'embétant un tant soi peu mais la pratique de l'Aikido va lui permettre de sortir de cette spirale. On a pas de réponse sur la façon dont il réglera le problème avec son frère (je me demande si la série n'a pas été abandonnée au Japon plutôt que terminée) mais on peut considérer la fin comme une fin ouverte absolument pas problématique et même relativement logique.
L'histoire est plutôt sympa et l'apparition d'un nouveau personnage "Argentine" relance bien l'histoire. Mais voilà tout le problème est là : l'histoire est relancée alors que la série est terminée au Japon au tome 11 cependant plutôt que terminée je dirais abandonnée. Bref on a pas de fin à l'histoire ce qui enlève tout intérêt à la série dommage. Je déconseille évidement son achat, il y a largement de quoi lire avec des séries finie.
Le parcourt de Beck est toujours aussi difficile mais le fait de signer un contrat avec LFL fera à mon avis décoler leur carrière sur le long terme plutôt que de connaitre un succès le temps d'un tube ou deux puis retomber dans l'anonymat. Pour le moment ils doivent toujours travailler dur pour arriver au sommet la relation entre Maho et Koyuki n'aident pas forcément à arranger les choses surtout au vue de la fin du volume. L'histoire prend une tournure de plus en plus passionante et donne vraiment envie de connaitre la suite.
Au vue des nombreux protagonistes de l'histoire qui se retrouvent séparés en plusieurs groupes ainsi que les scènes du passé, on pourrait croire que ce volume est plutôt léger en révélations et c'est le cas sauf vers la fin. Cependant toutes les scènes où réapparaissent d'anciens personnages et les scènes explicatives de certains évènements sont extrêmement bien traitée et le tout reste passionnant. De plus la fin laisse très prometteuse quant à la suite. Bref c'est toujours excellent même si l'on arrive à un point où au vue du rythme de parution des volumes et de la complexité de l'histoire il serait bon de relire la série entièrement (pour ma part j'attend qu'elle soit finie).
Ce deuxième tome est excellent même s'il est très légèrement inférieur en intensité par rapport au premier, certainement dû à l'effet de surprise passé ! Néammoins le suspens reste entier et le voyage en car à venir sera sûrement épique ...
Un nouveau tome plein de surprise. L'idée des boites est très originale. Une excellente série que j'adore.
Un nouvel opus superbe, un scénario passionnant, mais un bémol avec l'apparition d'un "petit homme vert" que je juge ridicule. Dommage. Hormis cela, l'histoire est excellente!
Ce deuxième volume est dans la même verve que le premier, l'action et le suspens sont au RDV. Seul bémol, les visages et les expressions des personnages sont toujours aussi figés.
Accélération de l'histoire, avec une capture d'un énorme animal préhistorique. Le bestiaire devient très intéressant et l'histoire est prenante. Un tome formidable.
BD absolument géniale, écrite par un auteur plein d'humour et de talent!!
Après avoir acheté les 2 BD's sur Ebay avec une dédicace superbe de l'auteur j'attends la sortie du troisième album avec impatience. A recommander, vous n'allez pas etre décus!
Un excellent opus parmi les comics Star Wars. Un des rares à mettre en scène des soldats de l'Empire faisant leur devoir au sein de la vaste machine de guerre impériale. Des héros attachants et bien travaillés, un dessin soigné, que demander de plus !
Dottie, alias Poison Ivy et alias Betty a du mal à s'intégrer dans l'Amérique d'après guerre. Elle noie son chagrin dans l'alcool et survit grâce à des séances photo "sulfureuses". Mais un serial killer est sur sa piste. Avec ce tome 3, la série prend une autre direction, celle du thriller et c'est vraiment réussi !
Album dont l'intrigue est vite résolue, aucun suspense, histoire très basique.
Plutôt décevant vis à vis des 2 premiers tomes dont l'histoire était plus intéressante.
Décidément à chaque fois que je prends une oeuvre de Cosey je me fais embarquer et je ne décroche pas... Je viens de lire "Le voyage en Italie" l'intégrale parue sous la collection Aire Libre, de quasiment 100 pages et il se passe quelque chose, on se retrouve happé dans cette histoire et on n'en ressort qu'à la dernière case...
Une histoire forte, des non-dits, des tensions liées à la guerre du vietnam en filigranne... des personnages attachants, une histoire d'amour, d'amitié aussi, un voyage, les souvenirs, des retrouvailles... Il y a une réelle implication psychologique des personnages et c'est plus ça qui laisse finalement ces impressions, plutôt qu'un scénario se déroulant classiquement... J'ai beaucoup aimé...
Encore un tome passionnant et admirablement bien réalisé. Simplement superbe!
Un deuxième tome formidable, confirmant que cette série est un chef d'oeuvre!
Ce tome attendu ne m'a pas decu. La difficulté était de parvenir, après les merveilleuses séries Aldébaran et Betelgeuse, de continuer à être aussi bon et original. Léo y parvient en prodiguant un scénario qui d'emblée montre une richesse qui laisse présager de nombreux rebondissements à venir. D'ailleurs, le tome s'achève dans le suspense. Vivement la suite! Et quelle plaisir de retrouver les personnages de la série. A relever le petit clin d'oeil que fait Léo à son pays d'origine, ou un des protagoniste souhaite aller s'établir.
Ce dernier tome termine de façon magistrale cette saga qui a commencé de manière un peucommune pour finir en apothéose. Un grand cru !
excellent tome que celui-ci...
Toujours un savant dosage entre histoire independante, et narration plus large..
Vraiment une super serie, pas hyper attirante si on la connait pas, mais , d'un niveau rare dans l'ocean de productions actuelle
Petite serie plutot sympa pour l'instant (poutant les westerns, j'adore pas..), le tome 2 est nettement meilleurs, dessins et couleurs agréables (hormis les visages parfois foireux...)..
Un 2emme tome plus dense et qui relance et rehausse bien l'ensemble
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Say hello to black jack
T 13
Syuho Sato
Au cours du déroulement des tomes, on avait remarqué que l’auteur n’avait pas fait de son titre une simple course dans les vides et froids couloirs des hôpitaux, mais il avait réussi à nous faire accepter les maladies qu’elles soient du corps ou du psychisme. Mais aussi, et surtout parce que ce dernier tome aborde non pas le pourrissement de la société mais un problème plus grave : sa pression morbide et mortifère.
Le coma du jeune Osawa prend la forme d’une allégorie tout au long du tome…Aucunement la vie contre la mort, mais bien la mort contre le relationnel que l’on appelle communément le etre-avec pour etre. La première conversation interessante rencontré dans le titre, ou le problème n’est pas tant leur égoisme respectif entre notre jeune interne et le journaliste, mais bien leur courage morbide qui conduit à une impasse. Et c’est dans la bouche de la petite amie de Saito que ce courage prend tout son sens, alors que la journée fut éprouvante, pour elle, parce qu’un bébé , sous couveuse, est décédé aujourd’hui. Aller au resto, juste après, est comme si elle mangeait le bébé symboliquement pour soulager son psychisme surtout dans une psychodictature de droit humain qui force l’esprit, et le rigidifie. On retrouvera cette pression sociale morbide dans les propos du Docteur Iseya lorsqu’il relate son entrée dans le domaine de la psychiatrie. Il est interessant de remarquer qu’Iseya est celui qui se protège le mieux de part ses méthodes et ses propos, malgré tout on se rend compte que son travail n’abouti pas toujours… du moins il y a des nuances à l’accomplissement du rétablissement de ses patients.
On pourrait toujours parler de la maladie et de sa représentation qu’en ont les patients. Et à partir de là se demander si les préjugés ne sont pas eux aussi une maladie ? On sait que le choix du métier renforce après coup par l’université les à priori de l’individu. Notre jeune Don Quichotte pousse à la relation forcée entre les individus allant à l’encontre d’une certaine idéologie libérale. Un exemple des plus frappant est celui ou notre jeune interne Saito rencontre la mère d’Hayakawa révélant nos progrès technique, et notre éclatement social parce qu’elle vie seule, par la suite elle cherchera à comprendre par l’angoisse que provoque la maladie.
Un petit mot sur l’article dans le journal qui pousse notre journaliste à une solitude forcée, c’est que nous avons plus facilement de gratitude envers une personne qui prend des risques, et rarement ( pour ne pas dire jamais !) vis-à-vis du système social en vigueur.
Que le tome se finissent premièrement par le repas avec la famille de Minagawa, et que l’on y parle mariage, n’est-ce pas l’ébauche d’un tissu relationnel ? ; et deuxièmement, on retrouve une allégorie pour boucler la boucle avec celle d’Ozawa, qui s’est réveillé en voyant sa mère et celle qui l’aime cote à cote, celle de la lumière au bout du tunnel qui peut prendre différentes interprétations en fonction du contexte mais qui là se rapproche, et de beaucoup, de l’allégorie de la caverne de Socrate. ( la liberté éblouissante !)
C’est bien le courage morbide qui est mis en lumière dans ce tome 13. Face à la vie, et à fortiori la mort, ne cherche-t-on pas à ne pas perdre la face d’ou la possession voulu par tous que crée l’affrontement à plusieurs. Sommes-nous un et indivisible pour nous proposer de rester soi-meme ? Un superbe piège de la pensée dans lequel rien n’est moins sur…
Dans quelle optique l’auteur mettra-t-il ses héros par la suite ?Au final, un tome 14 très attendu, s’il veut bien voir le jour…
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Exceptionnelle bd ou un savant mélange d'aventure, d'humour et de sexe nous emporte dans un véritable tourbillon de plaisir pour les yeux.
Pascal Hamel est à n'en pas douter un futur grand de la bd que l'on peut sans conteste déja comparer au maitre Milo Manara car son héroine, Sonia, a ce coté beauté fatale tout en gardant la part d'effronterie qui plait tant aux hommes.(surtout quand elle adopte une tenue d'eve purement professionnel bien sur, puisque c'est pour faire avancer son enquète...).
Un tout jeune dessinateur, donc, fort prometteur qui devrait ne pas nous décevoir avec la sortie prochaine de Sonia 3 ! A lire absolument !
Amitié sincère Pascal
10/10!
Cette série est sublime. Le 1er tome paraît assez classique dans l'univers heroic fantasy, des combats, une quête, de la magie, rien de bien original en apparence. Mais petit à petit le récit s'enrichit d'une dimension supérieure qui est sublimée par un scénario grandiose. Cette quête est un prétexte à une belle leçon sur l'humanité, ses grandeurs et ses travers. Chaque album est une surprise totale.
Côté dessin, c'est magnifique aussi, Loisel que je ne connaissais encore que de nom, est véritablement un grand artiste. Le style un peu vieillot, presque "artisanal" à côté des productions ralisées à l'ordinateur d'aujourd'hui, est parfait et colle très bien à l'histoire.
Je dois bien avouer que c'est la meilleure série que j'ai lu jusqu'à maintenant, alors que je ne suis pas fan de HF.
Mi-figue mi-raisin : ça se laisse lire mais un peu trop de grosses ficelles à mon goût.
L'histoire est assez morne et ne décolle pas : on est loin du génie malfaisant de Zorglub, bien terne derrière sa mallette.
Beaucoup d'émotions dans cet album.
Changement d'univers après les 3 précédents, on apprend beaucoup de l'univers des sourds
Je le conseille pour tous
Album agréable, une bonne ambiance de polar : j'attends le T2 pour voir comment la situation va évoluer !
Bon album plaisant à lire lorsqu'on a apprécié les tomes précédents
La fin est agérable et sans queue de poisson, elle laisse néanmoins la possibilité de continuer, mais cela ne me semble pas nécessaire.
Vous voulez découvrir les indes, et l'austérité des guides de voyage vous freine, alors ne cherchez pas ailleurs. Cet album est pour vous.
C'est un mélange de bd, de guide touristique, d'étude sur les mœurs des touristes... Un gros mélange qui se savoure sans retenu.
Dans le prologue il est dit que cette bd est un foutoir hilare. On trouve tout, mode, cinéma, cuisine, transports, musique, religion... Alternance entre bd, long texte, images plein la page et peintures sur le vif. Le format à l'italienne donnant une certaine classe à l'ouvrage.
Cette bd est un long parcours initiatique d'une culture inconnue et troublante... à découvrir en urgence.
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La France a peur de Nic Oumouk
T2
Patrice & Manu Larcenet
Dès le 1 er tome, on s’est rendu compte que Larcenet sortait des crises de rébellions de bas étage si usitées dans nos ouvrages, genre : « la société est toute pourrie, et/ou Tous pourris ». Mais mieux par un défrichage interessant l’auteur arrivait à en extraire une ironie astucieuse. Si Larcenet continuait dans cette meme veine, la lecture de ce second opus s’annoncerait sous les meilleures hospices.
Ce qui frappe d’emblée ( là, encore !), c’est le discours sécuritaire qui pousse à la réaction des acquis sociaux, c’est-à-dire les flics qui remettent la vie sous cloche de verre, et dans une succession de présent inconsistant. Par un concours de circonstances malheureux notre jeune héros se retrouvera armé jusqu’au dent face à un détachement de C.R.S. C’est devant le discours sans échappatoire ( parcours fléché !) morbide que Nic aura à prendre une décision angoissante pour son avenir : La prison, ou le travail (forcé !) d’interet général… Un travail qui l’amènera hors de sa banlieue, en province ou pour etre plus précis dans un petit patelin du nom de Rallerolles Pamoisan. L’angoisse qu’il éprouve lorsqu’il rencontre les « extraterrestres », et leur nourriture BIO est à se tordre.
Première journée chez le maraîcher ou la différence de langage mène à une drame potager. Vu qu’un malheur n’arrive jamais seul, notre jeune héros ouvrira la cage aux lapins, sans la refermer, pour dormir. ( Et là vous allez me demander pourquoi ce casser le cul à entrer dans la cage à lapin ? Eh bien parce que notre racaille n’a rien trouver de mieux que de mettre en colère des poules rouges qui l’empêche de dormir dans son lit !). Au petit matin c’est un paysage fantastico-lapino qui accueille le vieux fermier. Fou de rage, le vieil homme le colle à une tache pénible : « les prunes » ( histoire de le prendre pour une p… !), re-drame. Cette fois-ci, l’altermondialiste exténué l’envoie hors de la ferme pour pecher. On appréciera l’insidieux discours social à ce moment là ! !C’est là que notre jeune héros rencontre la jeune et jolie Edith qui égayera sa fin de journée. Pourtant une mauvaise nouvelle vient d’apparaître dans la boite aux lettres du maraîcher que l’on appellera négligemment « le mercantilisme industriel effréné…La dernière phrase du paysan en fin de soirée tombe comme une sentence : « on s’est fait alterniqué ! ». Alors que nous sommes bien loin de la ville, la pression sociale, ses valeurs psychorigides, et normo-morale rattrapera tout ce petit monde ( chassons le social et il revient au triple galop !), que ce soit la sécurité avec l’alter, ou la vérité avec la jeune Edith ( qui contraste sèchement avec le précédent dialogue !). Au bord de la crise de nerfs Nic Oumouk par en quête d’un nouveau monde…et c’est un monde perdu qu’il découvrira. Lui-meme remplit de plantes à rayures, et de T Rex vert et orange. Les kebabs à 1 euro prenne tout leur sens lorsqu’il entend la conversation le scientifique et le mégalomane monsieur le Maire. Pris pour un membre d’un groupuscule musulman, notre héros sera sauvé par une caille géante qu’il fuira à toute jambe. Les retrouvailles avec Monsieur André auront une saveur toute particulière pour notre poltron, ce qu’il racontera par la suite aux 2 paysans sera bizarrement perçu comme vrai. Un retournement salutaire, sinon apaisant qui voit une confédération paysanne, faisant suite au manifestation des banlieusards, se soulever pour mettre à mal le système en place.
Sous les traits de l’humour Larcenet cherche-t-il à nous faire prendre conscience de quelque chose ? On remarque qu’un réel travail fut effectué sur la mise en abyme de l’image soulignant expressément un sentiment du moment. Un tome 2 plus diffus, plus imperméable, plus complexe aussi qui peut dérouter voire totalement décevoir, mais qui demande un investissement de la part de son lecteur(trice !) pour écouter ce que l’auteur a à dire, mais chacun en pensera ce qu’il voudra ou ce qu’il pourra. Tout de meme, c’est très osé comme forme de délinquance… Une brillante et spirituelle crise de nerfs ! !
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Une aventure humaine dans une atmosphère magnifiquement dépeinte et décrite, dans laquelle le lecteur se retrouve véritablement immergé: c'est la force de cette très belle série. Si le scénario de ce 4e tome m'a un peu moins plu que les deux précédents, on croche néanmoins à cette histoire peuplée de personnages palpables qu'on voit évoluer avec plaisir dans les mers du sud. Une mention particulière pour le dessin d'une excellente qualité et la mise en page graphique soignée.
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Total Souk pour Nic Oumouk
T1
Patrick et Manu Larcenet
Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un titre de Larcenet. Cette occasion s’est représenté avec la sortie du Tome 2 de Nic Oumouk, mais je n’avais point le premier tome, et donc ni une ni deux j’ai mis ces 2 tomes dans ma besace. Malgré tout, on remarque qu’en ce moment Larcenet a la cote, pourtant les déceptions des lecteurs vis à vis de ses oeuvres ne furent jamais aussi grande.
Nic Oumouk est un petit bonhomme gringalet à lunette, qui se fait très souvent fessé par sa maman, qui reve de gloire et de richesse. Et vu que la musique se révèle etre un mauvais tuyau, il deviendra délinquant…Ce qui surprend, dès le départ, c’est l’absence d’une présence paternelle dans l’appartement familial ( composé de la grand-mere, et de la mère de Nic !) fait que notre héros (se) cherchera un « pere », un « grand-frère ».
La première figure que l’on rencontre c’est « Edukator », sorte de Batman de la Grammaire Française qui sanctionne par le copiage et le recopiage d’un texte ou d’une phrase correctement écrite. Qui se cache derrière le masque ?…
A contrario l’autre est une petite frappe, un petit délinquant judiciairement parlant. Il apprendra à Nic Oumouk ce qu’est le racket, l’acte gratuit, le cambriolage, et une tournante…jusqu’à l’affrontement entre ces 2 figures suscitées. Nous apprécierons tout particulièrement le dialogue de sourd entre « Edukator » et Nic, une fois l’identité de l’ombre urbaine révélée, et on se rend compte qu’il torture les jeunes pour leur bien. Tout autant que l’ « idole argent » qui massacre les jeunes, et les tue à la tache, le souverain Bien est une « ancienne valeur » insidieuse qui massacre dans leur propre interet. Sans omettre le sentiment de victoire qu’il éprouve lorsqu’il fait fuir le gang de Yannick Noah.
Etrangement, la fin pénètre dans le fantastique avec la création d’une salle de répétition pour la musique dont on donne, pour une fois n’est pas coutume, le premier coup de pelle très rapidement. L’animosité de notre jeune puceau, à ce moment là, vis à vis des représentants sociaux est à mourir de rire. ( argent facile, et dénonciation !)
En bref, un ( plutot 2 !) Larcenet qui nous épargne le fanatisme de l’identité( ?), et surtout sans une once de reconnaissance pour la société en vigueur. Une ode à la délinquance bien plus fine, et maligne qu’elle en a l’air ! !
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"Résurrection", quatrième tome de la série « I.N.R.I», constitue également l'ultime album de cette excellente série.
L'histoire élaborée par Didier Convard est une nouvelle fois des plus réussie. Loin d'être un simple spin-off du « Triangle Secret », « I.N.R.I » s'analyse plus comme un complément qui permet de mieux cerner depuis l'origine la confrontation impitoyable qui s'est déroulée entre les membres de la Loge Première et ceux des Gardiens du Sang. L'auteur nous propose un univers très dense et bien articulé que vous prendrez plaisir à parcourir plus d'une fois. Sans en écrire trop afin de ne pas gâcher votre lecture, le final vous surprendra sûrement : en tous cas, pour ma part, je ne l'ai pas vu venir malgré les divers indices donnés au cours du récit qui auraient pu me mettre d'y songer.
Les dessins sont eux aussi formidables avec Denis Falque pour la partie moyenâgeuse et Pierre Wachs pour le volet contemporain. Mention particulière à André Juillard dont les couvertures apportent une réelle plus-value à l'ensemble des opus.
Une conclusion gagnante avec un seul défaut : lorsqu'il n'y en a plus, on en voudrait encore ! Peut-être aurons-nous droit à un autre one-shot dans le genre de « Herz » qui s'attachait à l’un des personnages de la série le « Triangle Secret ». Espérons...
7/10.
Ce nouveau cycle des mondes d'Aldébaran est plutôt réussi.
Le scénario coupe un peu avec les deux dernières série, on retrouve des situations un peu plus terre à terre et qui font plus anticipation que sf. Ceci dit la trame générale portée par nos héros nous fait vit replonger dans l'étrange.
Comme d'habitude les faiblesses de la série sont là : le dessin est toujours figé, mais on s'habitue. Kim est encore l'objet d'un "culte" que je trouve ridicule(bon ok elle est belle, mais faut pas exagérer non plus) et des personnages dont certains traits de caractères sont un peu trop accentués ou qui sonnent faux. Dommage pour une série qui à tout de même le très bon goût d'introduire depuis ses débuts une dimension humaine et sentimentale dans la science-fiction qui généralement ne s'y prête pas.
Par contre il y a eu tout de même des améliorations, moins de sexe notament parce qu'à la fin du cycle Bételgeuse ça partait en vrille de ce côté là alors que ça n'apporte pas grand chose à l'histoire. Comme je le disais de bonne idées qui rendent le scénario crédible, le mystère qui nous accroche à la série et donne au récit son souffle d'aventure que j'adore.
J'attend la suite!
The mood est un excellent album, surtout si vous aimez les intrigues proches de l'univers de l'écrivain James Ellroy. De plus, le graphisme très original nous plonge vraiment dans l'histoire et dans l'ambiance dés les premières planches.
Seul bemol, on ne peut que regretter le fait que l'album se lise si vite!
Bref, vivement le tome 2
Voilà un tome qui termine de façon très brillante cette série qui a su monter en puissance au fil des épisodes. Bravo aux auteurs !
Enfin, le nouveau cycle de Léo est arrivé.
Après Beltegeuse, Antares est le nouveau projet de conquête spatial de nos héros.
L'ambiance des cycles précédents est présente dans ce nouvel opus ainsi qu'un bestiaire toujours aussi impressionnant.
Ce tome d'introduction ne peut que nous laisser présager d'une suite à suspens et à rebondissements, tellement ce tome fourmille d'informations et de bonne idées, l'intrigue est posée, on attend avec impatience la suite.
seul reproche, des raccourcis scénaristiques un peut faciles et des visages toujours aussi figés et inexpressifs.
Tres bon deuxième album, dans la continuité du premier tome.
Le dessin de Gazzoti est toujours à la hauteur, et le scénario se tient, le suspens de cette ville fantôme est toujours présent, le seul bémol est peut être la lenteur de l'intrigue, on aimerait en savoir plus.
Vivement la suite !
Les tomes 5 et surtout 6 représentent un vrai tournant dans cette saga. Le personnage incarné par Julienne est attachant et très réussi. Amour et action avec un peu moins de trahison. L'histoire est passionnante et se lit d'un bout à l'autre, sans nous laisser le temps de boire une bière... C'est dire !
Véra put fuir l'Equateuret débarque en Papouasie. Son enquete la mène jusqu'à un détective enquêtant sur des actes de piraterie dans lequel son frère fut très impliqué. A nouveau, cette série de déçoit pas. La trame et le dessin sont tous deux excellents et tiennent le lecteur de bout en bout.