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Ce numéro offre une association bien sympathique entre Daredevil et Gambit afin de coincer Constrictor. Brève mais inédite et 100% action. A voir.
Action, aventure et rebondissements, un excellent découpage, de beaux décors et dessins rehaussés par des couleurs superbes, un superbe album.
Les paysages proposés par Bourgeon sont toujours aussi somptueux. Cyann se retrouve sur Marcade dans un monde plus impitoyable encore que celui d'Aldaal. Il manque cependant de la profondeur dans les relations de notre belle héroïne avec les gens qu'elle rencontre. Tout semble trop rapide et donne parfois une impression d'inachevé. Sa rencontre avec Pitaine augure peut-être pour le tome 5 d'une relation aussi construite qu'avec Aïeïa, donc patience...
Une bonne suite. Si l'univers carcéral a déjà été traité, la prison dans laquelle notre héro est enfermée donne une ambiance assez polaire. On suit à nouveau avec grand plaisir les aventures de Banks, d'autant plus que le dessin et les couleurs sont touours aussi soignées.
Banks s'est fait arreté et un imposteur a usurpé son identité sur Golden City. Si ce tome est moins bien mené que le premier tome, il n'en demeure pas moins intéressant. Le scénario tient la route, bien qu'il y ait moins de suspense. Le passage dans la base est un peu court, bien que l'attaque du requin dévoile un aspect intéressant qui suscite la curiosité. On ne sait pas trop ce qui se trame sur Golden City. Le dessin est correct, et les couleurs sont belles. Globalement un peu moins bon que le tome précédent, mais suffisament intéressant pour souhaiter découvrir la suite.
Une excellente suite du premier tome, ou l'on apprend les origines de Makabi. Une histoire sur fond humain, très bien menée, et un dessin agréable. Cette série est vraiment une surprise très agréable! A recommander.
Le gros avantage, lorsqu'il y a un grand week-end et que le temps est moyen, c'est que l'on peut relire de vieilles BDs. Je viens de dénicher cette petite perle et j'ai relu d'une traite les 104 pages ou rêve et réalité se mêlent. Le scénario et les dialogues sont servis par une mise en page fabuleuse et la chute de l'histoire est à la hauteur de cette oeuvre originale : bluffante. Je conseille vivement à ceux qui ont la chance de posséder cette merveille de la dévorer à nouveau séance tenante !!!
merveilleux, beaucoup d'humour, de tendresse, un don d'observation redoutable. Que du talent, que du bonheur !
Bonne BD, le tome 1 est un peu long pour "placer "ses personnages, mais les tomes 2 et 3 rattrapent le temps "perdu" ! à quand le tome 4
Trois albums qui apportent au moins une preuve : dans notre beau pays ouvert à toutes les idées, y compris et surtout à celles qui oeuvrent à en détruire les fondements, n'importe qui peut écrire , sans risque personnel, bien sur, n'importe quoi. Même le plus dérisoire et le plus grotesque.
Au fait, ce Sacco, c'est qui au juste ?
Tout est manipulé et manipulable, telle est en synthèse la morale de cette série. Le sujet est traité de façon très efficace et la fin donne froid dans le dos : la révolution a-t-elle toujours été un passage obligé pour passer d'un système à un autre ? Est elle téléguidée dans l'ombre par des dirigeants qui profitent d'un système ou d'un autre ... ?
J'ai relu cette oeuvre pour la nième fois, et toujours la même impression s'en dégage : puissance dans l'évocation. l'histoire se construit comme un puzzle où l'évocation du passé en tableaux allégoriques construit le présent. Les scènes sont puissantes et l'assassinat politique se construit de façon subtile, au fil du récit sans qu'il soit évoqué de façon ouverte. A la fin du récit, l'amour a le dernier mot, au delà de l'âge et de la mort pour une partie immortelle...
Les premières pages sont un peu longues mais dès l'entrée en scène de Long John Silver, l'action se met en place et cela devient alors véritablement passionnant. Les dessins de Lauffray prennent alors beaucoup d'ampleur et deviennent absolument superbes !! Quelle mise en couleurs ! Fabuleux. L'ambiance est bien sombres, les personnages sont tous inquiétants, les dialogues et les personnages sont très crédibles. On y croit, on n'y est. Bref, vivement le T2, car on tient peut être une série superbe.
Ce volume me laisse un sentiment mitigé, au départ une idée originale et à l'arrivée un déroulement un peu "baclé", comme si certaines séquences avaient été supprimées afin que l'histoire s'intègre dans 64 pages. En fait, les tentatives d'assassinat de HITLER ont finalement toutes réussies laissant comme dernier survivant au poste de dictateur, le médium Willy l'un des 7 venu pour tuer le Furher. Cette fin décalée donne un peu de dimension à l'ouvrage.
Numéro 11 à 13 :
Globalement il s'agit d'histoire assez sympatiques mais qui manquent de développement que ce soit dans leur introduction ou leur déroulement. C'est bien dommage car les idées sont plutôt bonne et le personnage de Jackie Estacado intéressant. Seul la dernière histoire semble des plus prometteusepour la suite de la série.
Et voilà la saga infinite crisis s'est terminée avec le retrait pour une année des trois principale figure de l'univers DC à savoir Superman, Batman et Wonder Woman. C'est aux autres héros de prendre la relève et protéger le monde tout ça tout ça. Dans ce numéro on suit surtout Booster Gold, l'homme élastique et la Question. Autant les deux derniers sont intéressants et à travers de leurs enquêtes tombent sur des évênements intéressants autant le personnage de Booster Gold est antipatique et inintéressant à suivre. En tout cas c'est un très bon premier numéro quand même qui promet une suite des plus intéressante.
Fin de la saga infinite crisis et autant dire qu'elle est à la hauteur de notre attente. Il y a pas mal de boulversements pour les personnages principaux et surtout pour Superman. Les conséquences ne sont à priori pas désastreuse que pour les super héros mais également pour la population civile qui a du payezr un lourd tribut à cette crise. On peut tout de même regretter deux choses dans cette saga. La première c'est l'utilisation et la fin du Superman original qui après une si longue carrière aurait mériter une fin plus glorieuse. La seconde c'est la mort d'un personnage que j'aimais beaucoup et ça c'est impardonnable :mrgreen: . Globalement c'est une excellente saga que je relirais avec plaisir.
Pas mal de révélations sont présentes dans ce volume et l'action y a plus d'importance que jamais. En effet chaque joueur se bat pour sa vie et une chose est sûr on assiste à un véritable massacre. La suite semble fort prometteuse en révélations et on se demande vraiment quelle direction va prendre l'hhistoire.
L'affrontement entre L et Kira prend une nouvelle tournure avec le face à face entre Light et L. Chacun essaye de sonder les intentions de l'autre et de ne rien laisser échapper pouvant le trahir. Le face à face entre ces deux adversaires est vraiment très intense et subtile sur beaucoup de point et ça promet d'être de plus en plus intéressant dans l'avenir surtout qu'un nouveau Kira vient d'apparaitre sur l'échiquier ce qui va compliquer la situation que ce soit pour L mais aussi pour Light qui risque de voir l'existance du death note révélée.
C'est toujours Masquerouge et pourtant ce n'est plus Masquerouge.
Désolé pour l'amour-propre de COTHIAS, pour l'incontestable talent de VENANZI, mais on ne succède pas impunément au grand JUILLARD.
Masquerouge, c'est lui. Ariane de Troil, c'est lui. Je veux dire que leur âme, leur aura, c'est JUILLARD et personne d'autre. Grace à son talent, ont été escamotées dans les 3 premiers tomes les incontestables faiblesses du scénario et son irritant aspect "donneur de leçon gauchisto-révolutionnaire". Sans JUILLARD, c'est une série quelconque sensée émettre un message politique dont il n'est pas avéré que tous les amateurs de bande dessinée soient tenus de l'approuver et encore moins de le partager. Et l'anachronisme devient aveuglant...
J'ai bien aimé. L'intrigue est fluide et accrocheuse, et le dessin tres agréable a regarder.
Le réalisme de ce que peut vivre un agent des renseignements généraux est bien retranscrit (ennui des filatures, blagues "gauloises" entre collègues, rivalités avec les autres organismes tels que la DST). Dragon apparait etre un homme ordinaire, pas un justicier modèle. Il est tout sauf gentil, et n'hesite pas a utiliser tous les moyens qu'il a pour coincer ses cibles, ou réagir a une situation personelle ( vis a vis du nouveau compagnon de sa femme notamment). Au niveau de sa vie plus intime, il fait avant tout ce dont il a envie sur le moment, qu'il s'agisse des femmes ou de l'alcool... Enfin, nous avons l'image d'un monsieur tout le monde, avec les moments qu'il partage avec sa fille, celle d'un père avant tout.
La conclusion est egalement assez intelligente quand aux moyens restreints dont dispose la police quand celle ci se confond avec la politique étrangère.
A lire, ne serait ce que pour sa volonté de distance avec les clichés de la télévision.
La cité de Guyanacapac va déclencher l'organisation d'un voyage incertain. On sent que ce long voyage va être sans retour pour beaucoup des protagonistes. Les planches mettent en scène l'action de façon très puissante. Les personnages sont complexes et tortueux avec un John Long Silver équivoque, à la fois humain et inhumain. Le tome II Neptune, devrait confirmer cette belle impression.
L'histoire avance, bien que les zones d'ombres subsistent. Tout va plus vite, au détriment du découpage qui en souffre un peu. Par moment, on passe trop rapidement d'un endroit à l'autre. Mais on est quand même pris dans l'histoire, et on suit avec interet l'évolution des personnages. La sensation initiale d'un remake des "aventuriers de l'arche perdue" s'est passablement estompée au cours des tomes 2,3 et 4. Le final suppose que les explications vont arriver dans le prochain (dernier?) tome. Le dessin est bon, mais les couleurs sont trop ternes et pas assez contrastées. Mais c'est un très bon album dans l'ensemble.
Malgré l'effet de surprise passé par rapport au tome 1, ces nouvelles aventures maintiennent un niveau d'action et de suspens soupoudré d'un humour conquérant. Cela confère à l'histoire un second degré délectable. On sent que les auteurs, BERTHET et YANN s'amusent pour notre plus grand plaisir ! Les dessins et les personnages sont toujours aussi soignés et la suite attendue avec impatience. Rendez vous donc à BIR HAKEM !
Un bonheur ! On rit aux éclats grâce au dessins hilarants, aux caractères hétéroclites des animaux et aux histoires à double-fond.
Ne vous fiez pas aux dehors enfantins, Pedro le Coati ravira tout le monde.
Suite des aventures. Un album qui doit son interet plus au personnage et au décor général dans lequel évolue le scénario, qu'au scénario lui-même. Le dessin n'est toujours pas adéquat, notamment en ce qui concerne la représentation des mouvements.
Ce troisième album, je l'ai lu d'une traite. L'histoire devient intéressante au fur et à mesure de la progression de la trame. Le dessin est toujours d'un bon niveau. Manque d'éclat dans les couleurs, de manière générale, à mon goût, mais qui ne gâche en rien le plaisir de la lecture.
Un 2e album meilleur que le précédent, où les choses s'accélèrent un peu. Plusieurs personnages y prennent une place mieux définie. Et le dessin est agréable.
Une histoire lue un peu par hasard. Le défaut majeur est une sensation de déjà-vu. La trame fait trop rappeler les "aventuriers de l'arche perdue" (Indiana Jones). Les nazis sont à la quête d'un objet qui devrait leur conférer une puissance absolue. Hormis cela, une histoire de jumeaux, certes pas très originale, mais qui a le mérite d'être liée à une partie un peu plus surnaturelle. Le dessin est bon, les décors bien faits. Je vais tout de même lire la suite.
On ne sait pas trop ou on va dans cette quête mais on suit avec plaisir les aventures de ces personnages sympathiques. Leurs énnemis sont également sont très réussis. Les dessins de Pellet et la description de l'univers y sont précis et permettent à cette série de sortir du lot actuel.
Pas aimé mais j'ai quand même lu jusqu'a la fin (comme quoi...). Scénario à la limite du suréalisme (le début et la fin m'ont bluffé dans le sens ou je me demande comment l'auteur n'a pas eu honte d'écrire ça), le tout complétement expédié et donc pas crédible pour un sous. Les dessins sont tout juste honnêtes sans plus. Une commande quoi. J'espère qu'avec ça, au moins, les auteurs boufferont correctement pendant quelques mois. Si le reste de la collection est du même niveau, je crois que Delcourt est bien parti pour nous faire du Soleil (mais bon, parait il que la médiocrité se vend et permet à la qualité d'exister.. D'accord mais quand même...la...ils vont un peu loin !)
L'évolution dramatique de ce troisième volet de la saga des nouveaux x-men est évidente, entre un scott summers perdu dans ses sentiments (ou leur absence, c'est selon), la révélation de xorn (là, j'ai pas tout compris, et je cherche encore le rapport, surtout au vu de certains épisodes précédents), la prise de manhattan (impressionnante) et la mort d'une figure emblématique (un peu expédiée et limite à mon goût). Malgré l'absence de quitely, le dessin reste sublime dans l'ensemble (la partie au club des damnés par bachalo est une petite merveille) ; le travail de jimenez est excellent, à l'exception du dernier épisode, qui est une horreur en terme de cadrage sur le combat final, un bordel indescriptible où les personnages apparraisent et disparaissent (dans le style "chaque héros combat à tour de rôle le méchant"), dans des cases sans fond. Un comble pour ce dessinateur, vu ses planches précédentes hyper travaillées. Ca laisse un léger goût amer dans la bouche, mais on en redemande encore quand même... Ca reste tellement meilleur que toute la production x-men des années 90.
La saga des nouveaux x-men continue avec ce tome deux, toujours excellent. La saga des oméga-men fait très série-télé, mais c'est du bonheur total ; tandis que la partie arme 12 est plus confuse, bien que très prenante également (par contre, ce nom de perso, fantomex, c'est risible). Concernant les personnages, xorn est très intéressant (son aventure en solo est émouvante) et la présence de la reine blanche, en contrepoint parfait de jean grey pour le triangle amoureux établi avec cyclope, joue pour beaucoup dans la réussite de cette nouvelle équipe. J'avais un peu de mal avec le nouveau look du fauve, mais dessiné par quitely (qui réalise d'ailleurs un travail extraordinaire sur sa partie), c'est une pure merveille, notament dans la scène de poursuite du dernier épisode de l'album (une des plus belles séquences que j'ai lu dans un comics). On en redemande...
J'ai redécouvert récemment par le biais d'un passionné de comics les x-men, que j'avais laché au milieu des années 90 peu après le départ de chris claremont car je n'arrivais plus à m'y retrouver entre les 150 séries marvel estampillées x, avec des histoires compliquées aux diverses ramifications. Il m'a dit "tu vas voir, toute l'intrigue est centrée sur quelques persos et le ménage est fait autour." Pour sûr, quand on lit ce pavé, mais ce n'est pas tout. On parle ici de x-men réinventés, ou plutôt "reformatés", grâce au succès des films (voir le look des héros). Mais, heureusement, ces nouveaux x-men ne sont pas une déclinaison des long-métrages, mais au contraire une version plus sombre, plus "réaliste" (on abandonne le lycra et les personnages deviennent enfin sexués). Entre le graphisme magistral de quitely (un style clair et hyper précis) et kordey (j'adore ses cadrages), ainsi que les scénariis plein de surprises mais aussi assez extrêmes de morrisson, les x-men sont enfin (re)devenus adultes.
Comme je n'ai pas pensé à noter mon avis précédent, je suppose que la moyenne a été donnée automatiquement... et comme on ne peut plus modifier et que c'est vraiment une belle oeuvre, je poste juste pour mettre la note maximum en espérant un nombre de petites boules jaunes plus proche de mon avis...
C'est l'histoire d'un homme qui naît littéralement parlant, en même temps que le cinéma, dans une salle de projection publique à Paris, en 1892. Mais même si, en s'intéressant à l'homme, on approche l'histoire du cinéma, le plus important, comme dans la plupart des histoires de Denis Lapière, c'est l'histoire d'un homme et de ses passions: presque un siècle de vie, de morts, d'amour, dans un contexte historique tourmenté... ça forge une personnalité!
Le dessin réaliste de Gillon est tellement précis qu'on dirait parfois des documents d'époque, s'il n'y avait ses choix de couleurs et la lumière ... (par exemple, on voit Chaplin en noir et blanc draguer une beauté vêtue de jaune serin... j'adore!)
L'histoire n'est pas particulièrement palpitante... mais si l'objectif était de transformer l'envie qu'on a de claquer le vieil acariatre, en respect et indulgence... c'est réussi
Imaginez une série noire en BD qui dresse un panorama des Etats-Unis depuis les seventies, ou du moins un panorama de ses marges les plus dérangeantes. Le tout impeccablement découpé, dialogué avec tranchant, dans un noir et blanc de circonstance. Un panorama fait de dizaines de nouvelles se situant à différentes époques, dans lesquelles on recroise des personnages à différents âges. Imaginez que cette œuvre parle de la façon dont la violence contamine la société, comment elle marque les gens et les destins. Imaginez une œuvre digne de la cruelle concision d’un William Irish, de la verve d’un Tarantino, et de la vigueur d’un Scorsese.
Malheuresement Balles perdues est une série maudite en France. Commencée en 1995 par un encore jeune artiste américain, David Lapham, cette série noire a déjà connu deux débuts de publication par chez nous. La première par Dark Horse France en 1996 sous le titre original de Stray Bullets (2 volumes allant jusqu'au #7 américain), la seconde par Bulle Dog en 2001 (2 volumes allant jusqu'au #6 américain). Ces deux maisons ayant mis successivement la clé sous la porte, les quelques lecteurs français en sont restés à l’épisode 7 (sur les 32 publiés aux Etats-Unis).
Ne vous fiez pas à l'abominable maquette de Bulle Dog et à son format zoomé idiot : le contenu est réellement excellent.
Qui reprendra le flambeau ???
Du western original.
Très intéressant graphiquement.
Attendre le tome 2 pour juger en terme de scénario.
Capucin est assez rentre dedans dans son genre. Le dessin psychédélique avec une pichenette de Sfar est aguicheur au départ mais à la lecture, on peut s'y perdre. De même l'histoire ne propose pas de temps morts et sur plus de cent pages, on frise souvent le trop plein.
Pourtant, force est d'admettre que c'est bien ce coté bourrin' qui rend Capucin unique. Capucin est une vraie tête de pioche et sa quête (une terrifiante descente aux enfers) est violente et souvent immorale. On s'en prend clairement plein la tête. La fin du 1er tome est assez démente en ce sens. A découvrir !
Rarement j'ai été autant captivé par une bd. On peut reprocher des tas de choses à Van Hamme comme d'avoir pioché partout pour son histoire. Mais c'est oublier d'une part que l'héroïc fantasy est déjà un monde où le recyclage des histoires prédominent et c'est oublier d'autre part la maestria avec laquelle il nous emporte. Efficace, rythmé, jouissif, intelligent, j'ai été scotché de bout en bout comme rarement. On est dans de la grande bd épique et brutale.
Et puis beaucoup oublie aussi une chose: le dessin de Rosinski. Une vraie merveille. C'est beau tout simplement.
Déjà, c'est un album one-shot, donc pas de frustration de s'arrêter au milieu de l'histoire!
L'histoire? Justement, elle est très réussie, et fourmille de détails drôles. L'idée en particulier de reprendre les mousquetaires de Dumas, déplacés ici, est excellente!
Le dessin est génial, avec des personnages croqués divinement; on dirait des gueules de cinéma.
Bref bref bref un bon moment à passer. Seul regret peut-être. La fin, qui sort un peu du chapeau d'un magicien. Mais bon, elle nous laisse un sourire, et l'envie de refeuilleter le livre!
C'est lu en 2 minutes, mais 2 minutes excellentes.
Juste une bonne blague qui va crescendo.
Du bon!
Album des tres grande qualite au niveau de graphisme, le dessin n'est d'yslaire mais deux jeunes auteurs, qui au vu du resultats ont beaucoup de talent.
Le dessin de sfar est toujours déroutant au départ, puis on s'y fait, et on finit même par l'apprécier.
Les personnages sont trés attachants, on attend avec impatience que le chat se remette à parler...
un chef d'oeuvre de Franquin, un concentré d'humour radioactif...
peut etre mon Taniguchi préféré, en tout cas le premier que j'ai lu.
Du Taniguchi, c'est toujours aussi magnifique.
Un grand mangaka!
10/10 pour le volume 1, il est magnifique.
On rentre trés vite dans l'atmosphère particulière de l'oeuvre.
Mais le 2 est beaucoup plus decevant, les réponses apportées aux questions soulevées dans le 1 ne sont pas à la hauteur de ce qu'on attendait.
le scénario est un peu tiré par les cheveux,
et le dessin est interressant.
Mais ce n'est pas un chef d'oeuvre!
Le plus satyrique de la série. Une parodie de ces révolutions qui enthousiasment les médias (Roumanie) et dont on s'aperçoit après coup que tout n'était que manipulation.
Les retournements de vestes fusent ...
Franchement décue par ce nouveau tome. Ok, je ne suis pas une fan de la série, mais là, nous avons des dialogues frisant la bêtise, des personnages toujours aussi caricaturaux, une histoire avec de gros méchants non identifiés dans le vaste univers... Mouais.
Ce tome 5 est génial!
La série ayant un peu baissé dans les tomes précédents, on assiste ici à une belle remontée vers le grand art.
Le sujet est le rascisme; c'est très bien traité, légèrement et clairement. Pas de morale à la fin, juste ce qu'il faut d'action, de réflexion, c'est génial!
Rabaté nous donne une histoire simple et vraie, où tout un chacun peut y reconnaître par-ci par-là des bouts de sa vie personnelle.
Les vieux se chamaillent en permanence; ils sont insupportables et s'en fichent complètement. La mère de famille est tout simplement dépassée par les évènements. Les autres font comme si.
La fin de ce premier tome relève le tout d'une petite dose de tabasco; c'est bien dosé, intéressant, et donne envie de la suite!
Le dessin est plus.. bizarre.. avec des personnages changeants, très peu de détails. Mais passé quelques pages on l'oublie complètement. Comme le dit la chronique de BdGest, peut-être finalement cela sert-il le texte? On s'imagine les personnages, on les personnalise à l'envie, non, y a pas à dire, c'est sympa.
A lire absolument!
C'est drôle, c'est émouvant, c'est... génial.
Simple d'abord, cette BD se lit d'une traite
Attirée vers Ibicus par d'autres BDs de Rabaté, et par des échos favorables, me voilà lancée dans le pavé. Parce qu'effectivement c'est un gros pavé, tout en noir et blanc, d'ambiance très sombre.
A la lecture l'impression ne se dément pas: l'histoire est sombre, très sombre. Où sont les maigres lueurs d'espoir? Ah si, quelques passades échangées dans un besoin mutuel d'humanité, voire même quelques sourires de femmes. Car si l'on parle avant tout d'argent et de survie au sein de cette tempête, de cette fuite hors de portée des bolchéviks, finalement, tout le monde recherche avant tout les faveurs de la gent féminine. Alors peut-on dire qu'Ibicus s'en sort avec les honneurs? Peut-être.
Le dessin porte admirablement le scénario, il le complète, l'enrichit.
Bref, noir, génial, dur. Une de ces BDs qui montrent que le genre est très loin d'avoir exploré tous les possibles, qui font le lien entre divers arts (peinture, littérature, bd), et vont au-delà.
Le style est plus télégraphique que dans le premier, et j'y ai trouvé moins de continuité.
Cela éclaire néanmoins la campagne du premier tour sous un autre angle, plus acide en faisant percer les intentions cachées de chaque candidat
Tous les ingrédients y sont : bon scénario, dessin exceptionnel avec une grande puissance d'évocation, je me suis régalé et attends la suite avec impatience
Je recommande vivement !!!
Ou est le COTHIAS de la merveilleuse série des 7 vies de l' épervier, série dessinée de manière si flamboyante par le virtuose JUILLARD ?
Faiblesse du scénario, très mauvaise qualité du dessin, couleurs peu attirantes, décidemment rien pour ce pauvre lièvre de Mars qui aurait bien fait de se faire tirer comme un lapin dès le premier tome. Au moins, celà aurait eu le mérite d'éviter ces consternantes et itératives scènes de carnage.
Excellente série !
Il ne s'agit pas vraiment la suite de L'Ile aux Trésors de Robert Louis Stevenson, mais UNE suite plutôt réussie de Xavier Dorison et Mathieu Lauffray !
Très bon album !!! Cela faisait plusieurs année que Graton ne nous avez pas gratifié d'une histoire aussi sympathique. Depuis les albums de la fin des année 70, les aventures de Michel Vaillant était quand même un peu agréable, mais avec cet histoire on se croirait revenu quelques années en arriére ...
Quelle superbe intrigue !!!! Mais qui est t'il ce pilote ?
Bon album !!!! L'un des meilleurs des Dan, malgrès le fait qu'il soit long a démarrer il nous tient véritablement en haleine sur la fin de l'album ...
le début d'Arleston et le charme des courbes de Glaudel ;-)
il ne serait pas paru en 1996 plutôt ?
La fin du cycle, Cothias se fait plaisir et nous fait plaisir avec une fin humoristique et invraisemblable, mais est-ce la réalité ou un rêve.
On est dans la chimère et l'irréalité, bien loin de la noirceur de la fin des 7 vies de l'épervier, mais cela transcende toute la série, et révèle ce qu'elle est, un conte philosophique qui remet en cause les idées reçues.
Et c'est tellement bien dessiné !
Avant tout, petite précision, la note c'est pour ce tome et les quatres autres juste
avant.
Ce que j'ai aimé de cette série, c'est que, pour moi, tout le long de l'histoire on
change de route. Chaque tome nous éclaircit un peu mieux sur la série. Alors je
donne cette note pour le scénaio presque imbatable et le dessins incroyable.
Alors qu'Ariane semble trouver la paix chez ses amis indiens après moulte péripéties, elle est rattrapé par son passé et son père.
Cet album marque le renversement de la série qui de très noir laisse entrevoir une fin heureuse.
C'est quand même un super scénario, qui se lit avec intensité et plaisir, toujours avec les dessins somptueux de Juillard.
un troisieme cycle qui commence ,on ne peut mieux.
Le deuxieme titre est attendu avec impatience
Le père de Ric Hochet commet des actes criminels. Un scénario assez entrainant.
Un histoire agréable qui se lit d'un trait, avec un tribunal des corbeaux "original". Un de bons scénario de Weylan.
Les elfes deviennent visibles ce qui arrive tous les 104 ans) et des brigands cherchent à les capturer. Aria va chercher à les en empêcher. Un scénario sans grande surprise.
J'ai attendu la fin de cette tétralogie pour donner mon avis. Il est toujours très difficile de le faire pour une oeuvre de BILAL. Les 4 volets se construisent sur une période allant de 1993 à 2028 environ, autour de Nike, Leyla et Amir pour se terminer à 4 ... non à 5 avec Sacha et son bébé. Dans ce dernier opus, les dialogues, petites perles d'humour soulignent de façon magistrale la résistance de nos héros face à la bêtises des dogmes. Les planches, véritables tableaux mettent admirablement en scène l'histoire mais de façon plus intimistes que précédemment. Finalement le véritable espoir de l'humanité réside bien dans l'amour qui unit Nike et Leyla, Akim et Sacha et peut-être Stupko Rawloe alias Optus Warhole avec l'humanité ou tout simplement lui-même... Un nouveau chef d'oeuvre à lire et à relire !!!
Du sexe, du sang, du gore... à les feuilleter les albums font réfléchir.
Et pourtant, les dessins sont excellents (et les détails classés X biens fournis), on se laisse bercer, et l'on croît naviguer dans les chefs d'oeuvres italiens de la Renaissance.
L'intrigue est pas mal du tout, et on rentre dedans comme dans du beurre. Historiquement, la série est crédible (bien qu'étant non spécialiste de la période), et nous avons une belle approche de la mentalité et de L'Eglise de la Renaissance, bien que les croyants risquent d'avoir un choc (les 2 tomes sont ils à l'Index ? ). Les passages douteux remis dans le contexte s'expliquent (bien que non nécessaires), mais ce cycle n'est pas à mettre dans toutes les mains.
A acheter, même si le prix (13€) fait réfléchir.
A ce deuxième tome, on peut cependant reprocher que l'intrigue traîne autour de la famille Borgia (vus comme des parrains), au lieu de se concentrer sur le contexte, mais bon... c'est le principe de la BD, même si l'apprenti historien que je suis reste un peu sur sa faim.
La série est plutôt pas mal, les dessins sont excellents sauf ceux de Raymond Poïvet, qui ne m'ont pas convaincus. Mais, dans l'ensemble, ils ont pris un petit coup de vieux (bon d'accord je chipote). N'empêche qu'il y de petits bijoux en soi.
Dommage que toute la trame de l'histoire de France ne soit pas respectée en entier et qu'il manque "des passages". A mon grand regret la trame essentielle s'ouvre avec François Ier, bien que l'époque moderne (en gros 1515-1789) ne soit que survolée. Le Moyen age est limite ennuyeux et l'Antiquité trop rapide.
De l'avis d'un apprenti historien, les informations apportées sont fiables, bien que trop généralistes. N'empêche, les clins d'oeil sont nombreux (nottament à de célèbres tableaux, qui auraient pu être ajoutés) et les citations assez présentes.
Il n'y a pas à dire, pour des enfants ou des adultes voulant se réconcilier avec l'histoire, lancer vous dedans (bien que pour trouver la collection entière vous allez vous amuser), et pourquoi pas lire un vrai livre d'historien pour combler les connaissances...
Cet album est une pure merveille. Juillard est au sommet de son art, ses dessins du nouveau monde sont superbes, les décors et les paysages magnifiques.
Et que dire du scénario qui peut presque se lire comme un one-shot : Ariane retrouve son père dans le nouveau monde et tout ne se passe pas comme elle l'a espéré.
Beaucoup de thèmes sont abordés dans cet album, les rapports de filiation, les rapports homme-femme, nouveau et ancien monde, sur un fonds historique passionnant, et sans manichéisme.
Réellement un chef d'oeuvre de la bande dessinée.
Au secours d'un bateau qui risque d'être pris dans les glaces, avec trafiquants de drogue très méchants en prime, Bernard Prince et Jordan vont tout sauver comme d'habitude (sans Djinn malheureusement)
Un très bon Bernard Prince, haletant de bout en bout, on ne s'ennuie pas une minute et on le lit d'une traite.
Dessins de Hermann parfait, Greg au sommet de sa forme, de l'aventure classique des grandes années Tintin, pas de réflexion, pas de sexe (il n'y a pas une seule femme dans cet album, il n'y a que des hommes, des vrais !), de la distraction pure de bonne qualité.
Un sentiment domine dans cette fin, c'est la déception, la grosse déception. Rien n'est crédible car tout est précipité voire caricatural. Tout se dénoue en quelques pages, sans passion, mécaniquement et presque sans intérêt. Pas de souffle épique, non le vide... sidéral !
On peut dire que ce numéro n'est pas riche en explication mais vue le nombre de page des numéros Semic et de leur prix trop élevé pour leur faible nombre de page c'est pas très étonnant. En tout cas l'histoire est tout de même intéressante et prend une tournure de plus en plus surprenante. D'ailleur on se demande quelles sont les motivations et les intention du Cardinal Innocent qui semble agir en dehors de l'église. En tout cas l'envoie de Magdalena combattre le Darkness n'aura pas porté ses fruits ce dernier ayant remporter la victoire.
Concernant les légendes de Darkness, celle en court est vraiment intéressante et montre bien les rapport qu'entretien Sonnatine avec la famille Estacado et le Darkness.
Déchirée : Les X-Men sont vraiment mal partis pour le moment avec l'attaque du Club des Damnés et la trahison d'Emma Frost mais heureusement Kitty Pride veille et se prépare à répliquer mais comment ? Plus on avance dans cette histoire et plus on a envie de connaitre la suite si bien que l'attente est une vrai torture.
Questions de Confiances : Le retour de Vif Argent, la vérité sur House of M et la loi sur l'enregistrement des gens à super pouvoirs voilà bien des évènements qui se cumule pour l'agence X Factor qui doit choisir son camp, un choix qui ne manque pas de surprendre sur certains points surtout qu'il y a aussi leur conflit avec leur concurrent Singularity dont les dirigeant sont comment dire.... bien singuliers. Bon épisode qui donne envie de connaitre la suite.
Chamber : Une nouvelle ntrigue débute avec pas mal de zones d'ombres et dont l'avenir parait bien floue mais qui peut s'avérer être intéressant. A voir.
Les briseurs de temps : Fin de l'affrontement avec Hypérion dont le sort est quelque peu expédié. En effet on ne peu pas dire qu'on ait le grand combat auquel on pouvait s'attendre. De plus l'avenir de l'équipe des Exilés va se jouer surement dans le prochain épisode et semble assez incertain.
La saga Annihilation continue avec ce mois ci le Surfer d'Argent et le Super Skrull. Une chose est sûr c'est que Marvel fait comme DC avec Infinite Crisis : du grand ménage en supprimant certains personnages. En tout cas c'est un très bon numéro que nous avons ici avec pas mal de révélation et une intrigue de plus en plus intéressante.
Perso j'aimerais bien que ce mag continue après la saga Annihilation avec des séries "Spaciales" comme Nova entre autre.
La séparation : On suit deux des nouveaux vengeurs dans leur choix vis à vis de la loi sur l'enregistrement des gens à super pouvoir. Le premier est Luke Cage dont le choix est logique au vue de son histoire et de sa personnalité. Le second est plutôt une seconde. En effet Jessica Drew doit théoriquement choisir son camps mais c'est sans compté l'intervention d'Iron Man qui révèle au Shield son statut d'agent triple et la force à rentrer en clandestinité. C'est un Iron Man de plus en plus antipathique qui se dévoile au fur et à mesure qu'avance Civil War et j'espère qu'il sera contraint de faire marche arrière.
Choisir son camp : Voilà un épisode des plus surprenant concernant les 4 fantastiques ou plutôt Benn Grimm. En effet ce dernier fait enfin son choix vis à vis de la loi sur l'enregistrement des gens a super pouvoirs mais on peut dire que sa solution est des plus innattendue. C'est vraiment un très bon épisode qui montre bien les conséquences de cette guerre civile.
Le blitz du XXi ème siècle : Un épisode qui voit, malgré le courage de Capitaine América, Lukin / Crâne Rouge marquer des point et surfer sur la vague Civil war qui, dans cet épisode, s'apprète a se déclencher. Bon épisode.
Un dessin très vivant, nerveux, plein de promesses de chefs-d'oeuvres à venir.
Un scénario qui donne envie de lire la suite.
Le tout dans la veine de Vortex...
Plus on avance dans la série et plus l'intérêt grandi. Dans ce volume la conquête spatial prend une autre dimention avec le côté militaire face au côté civil et bien entendu deux buts différents qui se rejoignent le temps d'une mission de secours. Puis deux petites histoires sur deux personnages peu ou pas vue jusque maintenant mais sans doute appelé à jouer un rôle plus important dans le futur avec une bonne dose de réflexion en prime. Bref un volume dont on attend la suite.
Tomes 1 à 15 :
Bonne série sur un thème certes classique mais efficace. L'humour et l'action font l'intérêt essentiel de la série et l'évolution de l'intrigue est plutôt bonne même si il y a une petite perte sur la toute fin. A noter que les personnages sont bien trouvés et leur personnalité bien construite.
Très bon volume qui raconte la génèse de l'équipe Cat shit one. Globalement le thème de la guerre du Viet nam est toujours bien traité et le seul petit reproche que l'on peut faire à ce volume c'est sa tendance à vouloir se raccrocher à notre monde par une histoire tirée par les cheveux (humain du futur transformé en lapin et membre de Cat shit one qui évolue dans ce monde de déjà vue pour lui). Sinon ça reste une très bonne série.
Voilà deux bon big books pour ceux qui aiment les aventures galactiques. Il y a de tout : action, humour, réfléxion.... bref de quoi passer un excellent moment. Les personnages sont attachant et la fin de cette mini série est plutôt marrante même si la fin de l'histoire à proprement parlé est plutôt dramatique.
Ayé... j'ai lu (je devrais dire "fini", pfffiou !) les 400 pages de Quartier Lointain ! J'ai adoré !
Superbe scénario plein de poésie, de sensibilité et de sentiments à fleur d'image... Et quelle talent pour nous faire plonger à notre tour dans la vie d'un jeune garçon au japon à la fin des années 40 !
Je ne suis absolument pas d'accord avec les quelques critiques que j'ai pu lire sur un autre site où il était dit qu'on assistait là à une sorte de d'introspection psychanalytique sur les rapports entre ses parents, sur ces propres questionnements envers son rôle familial et sa place...
Ces questions sont abordées bien sûr mais de façon très légère et au service finalement de l'enquête/surveillance que mène le personnage pour découvrir et empêcher le départ de son père...
ça n'a rien d'un long discours psychanalytique... Je n'ai absolument pas vécu et ressentie l'histoire sous cet aspect...
A la fin du livre on se prend à rêver d'un autre volume où on découvrirait ce que sont devenus les amis de son enfance, si son retour en arrière a modifié quelque chose, il y a matière à faire une suite il me semble...
En tout cas c'est une oeuvre à lire et à posséder sans hésitation pour moi !
La seule envie serait une version entièrement colorisée... J'ai eu un peu de mal au passage des 8 premières planches couleur à celles en noir et blanc... Pourtant certaines sont très belles, comme des gravures, mais d'autres sont aussi plus simples... Et il y avait matière à nous émerveiller avec des couleurs, que ce soit au niveau des paysages, ou même au niveau architectural, cela aurait permis aussi une meilleure information sur l'esthétique de l'époque...
Chris.
Bon album qui fait bien évoluer l'histoire et les personnages. Le tournure des évènements est certes classique pour une histoire de ce type mais intéressant. Il y a pas mal de révélations mais il reste encore de nombreuses zones d'ombres très prometteuses.
Un peu moins fort que le premier et pas toujours très compréhensible, les états d'âme de Catherine nous émeuvent quelquefois mais ce qui lui arrive est un peu incohérent. Les dessins ont un style séduisant mais pas toujours aboutis, album intéressant mais qui laisse un souvenir mitigé.
Le non sens et l'humour de Martin Veyron servi par un dessin réaliste font que l'on rit souvent à la lecture de ces histoires sans queue ni tête qui brocardent les travers de notre société à travers l'apologie d'un looser qui plait au femme.
Là tout se détraque à la poursuite de la photo d'une femme qui rend dingue tous ceux qui la regarde, et même dieu et le diable s'en mêlent.
Cet épisode nous emmène dans un voyage qui trouve son origine dans une erreur de porte... Les planches sont superbes et les aventures de Cyann succulentes. Aïeïa dont le nom semble si difficile à prononcer nous sert de guide. Un guide dont l'amour impossible pour Cyann maintient la narration en équilibre fragile mais subtil. On quitte avec regret cet univers quasiment onirique sur une dernière planche, belle et poignante, comme une promesse...
Cet épisode m'a assez bleuffé. La présentation sous forme de dossier est originale et suit un cheminement insolite mais efficace. Les auteurs nous emmènent dans un labyrinthe très bien construit, une sorte de puzzle habilement dessiné. Cette longue devinette en forme de rébus aboutit à une fin d'épisode à la hauteur du suspens engrangé tout au long de la narration et promet une suite décoiffante : pensez donc, Alpha est le fils de ... et le cousin de .... ça promet !!!
Ce n'est pas évident de critiquer un album collectif, : au delà des qualités de chaque dessinateur, on ne peut s'empêcher de les comparer entre eux et d'établir ipso-facto un classement de ceux que l'on aime et pas. D'autant plus que le changement intervient au sein de la même histoire, rendant cette dernière un peu plus difficile à suivre. Mais on ne va pas bouder le plaisir de retrouver certains des meilleurs pinceaux de la maison Paquet regroupés ici pour la bonne cause (bien que hugault semble en petite forme sur sa partie).
Au vu des stands de libraires, on constate que de nombreux auteurs de bds européens prennent pour thématique le japon médiéval, avec histoires de samouraïs ou de ronins à la clé (je constate l'absence quasi-notoire des ninjas en bd, genre devenu risible grâce à de nombreux nanars, sauf pour frank miller dans daredevil, mais ça dâte). Si on alterne entre le très bon et le moyen dans le genre, ce livre se place aisément sur le haut du panier, voire au sommet. L'histoire... on s'en fout un peu : on s'est assez gavé de cinéma asiatique, on a un peu l'impression de déjà vu. Mais c'est très bien raconté et c'est largement suffisant. Mais la mise en image... c'est tout simplement magnifique, on a presque l'impression de voir des tableaux s'animer sous nos yeux pour raconter l'histoire. Le graphisme est une pure merveille, peu évidente au premier abord, car le principe de la mise en couleurs directes peut déconcerter l'oeil au vu de la production bd actuelle. La légende des nuées écarlates est une véritable oeuvre d'artiste, une bd comme on n'en fait presque plus actuellement. Sachez l'apprécier et la déguster, vous ne le regretterez pas.
Ariane a la vie dure et nous voilà replongé dans la vie du XVIIe siècle et ses intrigues, avec un des personnages toujours aussi fort, à la poursuite de ce qui n'est peut-être qu'une chimère.
Avoir donné une suite aux 7 vies de l'épervier enlève peut-être un peu de force au premier cycle mais Cothias sait relancer l'intérêt et les dessins de Juillard ont encore gagnés en maturité, ce qui ne semblait pas pourtant être possible.
Une suite donc à la hauteur de l'original.
Dernier acte, drame final ? Tout semble terminé dans la noirceur la plus absolue car pour Cothias les histoires se terminent forcément mal.
Mais on sait qu'en fait l'histoire n'est pas fini et qu'il y aura de nouveaux rebondissement dans le cycle "Plume aux vents".
Et que toutes les séries parallèles enrichiront le mythe de façon plutôt convaincante.
Cela amoindrit un petit peu la force de la série mère telle que lu à l'époque quand on pensait la fin définitive, mais cela n'en reste pas moins un sommet de la bande dessinée historique.
Le destin s'accomplit, le Roi devient roi, Ariane devient adulte, et le drame se joue.
C'est le tome le plus tragique, le plus fort de la série avec toujours la perfection des dessins et des descriptions de l'époque.
Une histoire qui se lit d'un trait, bien que le lecteur comprenne assez vite ce qui va se passer. Néanmoins, et à nouveau, une atmosphère que j 'ai bien aimée. De beaux décors, un bon dessin.
Album de transition pour tirer les conséquences des rebondissements du n° précédent, qui va changer profondément la vie des protagonistes.
Toujours passionant.
On se délecte de ses reflexions d'enfants.
L'auteur s'inspire tout naturellement de sa vie et de ses 4 enfants. Ca donne des gags simples et amusants.
Le drame se noue, le destin implacable impose ses vues et entraine le premier basculement de cette série dont la force du scénario ne se dément pas sur un fonds historique réaliste et grace à des dessins parfaits.