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Un des must de la s-f moderne, une bd déjà révolutionnaire à son époque, devenue un classique absolu, une référence. Moebius et jodorowsky à leurs sommets narratifs et graphiques... Rien de plus à ajouter, tout a déjà été dit.
Album sympa où l'on peut retrouver notre héros (et son écurie ) dans le fabuleux circuit du Mans !
Tout comme "Trolls de Troy", cette série est un chef d'oeuvre de Tarquin et Arleston Scoth !
Album génial qui nous fait découvrir comment s'organisaient les différentes nations impliquées dans cette guerre.
Tanquerelle nous offre un dessin ciselé comme une dentelle et son scénariste une histoire capilotractée comme il faut :). La promenade est rudement sympa.
C'est le premier album de Joan Sfar que j'ai découvert. Et quelle découverte ! Tout son talent se résume dans cet album : de la fantaisie, des idées à chaque page et un dessin flamboyant.
Un premier tome parfait. Un dessin envoutant, une ambiance sf chouette, un brin de poésie, beaucoup de sensibilité. A ranger entre les albums d'Enki Bilal et le dvd de Delicatessen.
C'est l'exemple parfait de la bd avec lequel j'ai beaucoup de mal. Le scénario n'a ni queue ni tête. Le dessin est jolie, esthétique mais le découpage (avec des changements de point de vue à toutes les cases) rend la lecture franchement pénible. C'est malheureux pour les auteurs que la série n'ait pas continuer mais je ne saurai vraiment conseiller cet ouvrage.
Une bonne suite au quatrième tome. Les personnages sont attachants et l'intrigue bien ficelée mais que la mer manque ;)
Sur terre ferme, l'intrigue évolue vers d'autres horizons. Les glaces sont loins mais l'album est loin d'être désagréable. Bien au contraire, il se lit bien et est très sympa.
Après un second tome époustouflant, le troisième tome met un terme à l'aventure initiale en tuant le capitaine. Du même coup, on perd un petit peu la magie des deux premiers tomes. L'Aventure avec un grand A perd un peu sa majuscule et ça c'est tristoune.
Un album hallucinant de beauté. Pour moi, c'est le meilleur de la série. Non seulement le dessin gagne en expressivité mais la lente dérive du bâteau parmi les glaces impressionne durablement. Il s'agit d'un autre monde et Christophe Blain qui a passé du temps en Antarctique dessine comme personne ce lieu étrange. "Les Glaces" est un sommet dans la bd.
Un album où le parfum de l'aventure a le vent en poupe ;). Le dessin comme le scénario sont très bon. Une excellente entrèe en matière.
La suite est toute aussi passionante. Une série vraiment unique entre le pur documentaire et l'objet d'art (ce mélange de photos et de bande-dessinée est vraiment très fort).
Un bel ouvrage, vrai. Le mélange de photographie et de dessin est vraiment étonnant. C'est très fort.
Cette parodie pleine de tendresse de Spirou est pour moi un des indispensables de Lapinot. Plein de trouvailles partout partout et pas mal d'humour. J'adore.
Il ne fait pas bon être alsacien pendant la 2ème guerre en France et Claus est donc mal vu partout. D'où des péripéties qui nous tiennent en haleine, entre marché noir et secrets de famille à la campagne, banditisme et espionnage de Paris à la Suisse.
Tout ça très bien dessiné par les frères Stalner fond une très bonne série.
Bizu cherche le signe d'Ys pour mettre fin aux sortilèges qui menacent la forêt de Brocéliante.
Gentille histoire, gentils dessins, c'est de la bd enfantine qui se laisse lire mais ne révolutionne pas le genre.
Un scénario typique de Jacques Martin, Arno est à Bonaparte ce qu'est Alix à Jules César ! Un jeune musicien de Venise devient intime de Bonaparte et déjoue les complots ourdis contre lui.
Scénario dense, aventures un peu tiré par les cheveux mais prenantes sur un fond historique bien rendu, avec le Juillard du début des 7 vies au dessin, voilà une série intéressante qui n'a peut-être pas eu le succès qu'elle aurait mérité.
Bon sang, j'aurais j'amais cru que ce type aurait osé scénariser une BD. Mais bon c'est à la mode parait il. Alors par curiosité j'ai voulu y jeter un coup d'oeil. Et c'est effectivement aussi con que le personnage lui même. Les fans peuvent se jeter dessus, les autres fuir le plus vite possible. C'est même pas de la BD irrévérencieuse, ça aurait pu, mais non, c'est juste de la très grosse daube.
Colt Walker c'est tout simplement Clint Eastwood. Le scénario de Yann est dans le ton d'un western au ton très dur, et Colt a la gachette très facile. Le personnage est sans pitié, et quand il a pour mission de récupérer une jeune fille des griffes d'une secte mormon intégriste, il n'y va pas de main morte. Bon on comprend pas trop comment il arrive à se faire accepter aussi facilement du chef de la secte, mais bon à part ça, l'ambiance est bien là. Le problème se situe au niveau du dessin de Lamy. Ca fait souvent un peu baclé et imprécis. Mais bon c'est peut être un style. Les cadrages sont bons. En tout cas j'avoue que le dessin m'a géné pour apprécier ce western très cruel qui aurait mérité mieux
Yann se moque du monde des mercenaires. Bob Denard en prend pour son grade, et les crises de guerre civile en Afrique (avec les interventions étrangères) est bien décrite avec toute le mordant de Yann. Les deux personnages principaux, le gosse de riche désoeuvré (Célestin) et sa fiancée hystérique également de la haute et parfaite fille à papa capricieuse (Maïté) sont assez savoureux.
J'ai beaucoup aimé cette série mélant humour, aventure, et érotisme. Mourier était au sommet de son art avec un style de dessin et de colorisation incroyable. Du grand art. C'est vraiment dommage que les auteurs aient abandonné cette série au profit d'autres plus rentables et plus grand public. Les Trolls de Troy, c'est rigolo mais ça n'a rien à voir ni au niveau du scénario ni au niveau du dessin.
Un album de la période trash de Yann. Au menu :s le sexe (dans tous les sens, en passant par le virtuel), le sida, la sodomie (le Petit Prince ne sera pas épargné), le rascisme,... le tout sur fond de guerre en Irak. Bref toute une époque disséquée avec ironie et humour noir. Ames sensibles s'abstenir. Les autres peuvent foncer, c'est très bon dans le genre.
cette série est vraiment de très grande classe. Dottie épouse POWERS se trouve entrainée dans une aventure à la suite "du crash" de son mari au dessus de l'Union Soviétique. Ce dernier s'avère être un pilote pas comme les autres et dans le même temps Ivy refait irruption dans la vie de Dottie pour influer sur le sort de ce mari. Du grand art !
numéro 14 à 16 :
Les histoires sont assez sympa avec un bon potentiel mais alors c'est le bordel. On est sur une histoire au numéro suivant on part sur autre chose puis on y reviens et on repart sur autre chose ensuite. Un peu plus de cohérence et de développement des histoires rendrais le tout bien meilleur.
Le marriage de Tornade et la Panthère noire peut enfin avoir lieu. Ce numéro est un peu l'occasion de faire le point sur l'univers Marvel et de réunir les Super héros le tout sur fond de Civil War. Vue la position et l'importance du Wakanda nos deux jeunes marriés vont surrement jouer un rôle assez important dans Civil War. Un numéro très sympa à lire.
JLA : Fin des aventures de la JLA pré Infinite Crisis. L'intrigue aura globalement été sympa sans être vraiment exceptionnelle. J'espère que la prochaine ligue nouvelle formule aura de meilleures aventures.
Green lantern : Fin de l'aventure commencée dans le précédent numéro. Cette histoire avait un bon potentielle mais hélas elle est expédiée beaucoup trop vite pour être vraiment passionante dommage. L'aventure suivante voit Green Lantern collaborer avec Batman et de réconcilier les deux hommes. Cette aventure est assez sympa.
Flash : Fin de la "guerre des Lascars" qui dure déjà depuis pas mal de numéro et met fin à la série Flash publié dans DC universe. Les prochains épisodes seront ceux de la nouvelle série US et seront probablement publiés dans les HS. Globalement cette aventure aura été plutôt sympa.
Un monde sans la ligue de justice :
L'histoire évolue assez lentement avec quelques révélations sous entendues mais l'histoire montre bien que la ligue a quand même un intérêt pour contrer les menaces importantes.
Amour & guerre : Bonne petite histoire avec les teen Titan qui développe davantage la relation en Superboy et Wonder girl. Maintenant reste à voir les conséquences qu'aura infinite crisis sur l'équipe.
L'homme parfait ? : Nouvelle aventure avec Green Lantern et Green Arrow (que de vert d'ailleur il manque plus que le géant vert :mrgreen: ) qui commence très fort avec nos deux héros plutôt en mauvaise posture mais ils ont toujours fait une bonne équipe alors une fois de plus ils s'en sortiront (et pis c'est les gentils d'abord ils peuvent pas perdre :mrgreen: ). Voilà une intrigue plutôt prometteuse.
La guerre des lascars : Décidément avec le retour de Zoom et de Thawne les choses ne sont pas simple pour les flash et le combat est des plus rude. En tout cas le prochain épisode promet d'être intéressant.
Fin d'un des méchants de Spiderman que j'ai le moins apprécié jusqu'à maintenant. Globalement l'histoire n'est pas trop mal sans être non plus extraordinaire mais bon on ne s'ennuit pas. L'intrigue est assez bien ficelée mais j'ai jamais réussi à vraiment rentrer dans l'histoire.
Ce second des trois volumes que comporte la série est plutôt pas mal. Les relations entre les deux personnages évolues dans le même sens mais aucun des deux ne fait pour le moment les premiers pas pour avouer ses sentimes à l'autre. L'histoire est très touchante et le soutiens de la communauté qui s'est créée sur internet autour de Densha est un élément très intéressant. J'ai vraiment hate de lire la fin de cette histoire.
Il s'agit là vraiment d'une excellente série avec une histoire dans les mileux politiques et des yakusa, des personnages charismatiques et sympatiques, et il faut être doué pour rendre des yakusa sympathique. Bref une histoire solide menée sans temps morts sur 12 volumes avec une fin superbe. Voilà une série à ne pas manquer.
Ce volume est essentiellement un album de transition centré surtout sur le départ de l'équipe d'Ichigo du Soul Society et de son retour à la vie normale. Enfin normale pas pour longtemps car il apparait très vite un nouveau personnage pas tellement différent d'Ichigo. Cette nouvelle aventure est très prometteuse et va apporter beaucoup de changement à mon avis. Certaines pistes intéressantes sont lancées et il y a une assez grosse surprise à la fin de volume. Bref c'est toujours aussi excellent.
Un album agréable à lire avec pas mal d'action et une histoire bien menée. Les personnages sont assez sympathiques mais personnellement je n'arrive pas à m'y attacher. J'aime bien les morales en fin d'album tirés des aventure d'Enée c'est assez bien fait et souvent très vrai.
L'un des plus beaux albums que j'ai lu. Ce subtil mélange d'humour et de réflexion. Ce dessin beau et flamboyant. Un miracle sur chaque page. Un chat qui parle. Cet album comme la série est une vraie merveille.
Berthet encore au début de sa carrière, n'est pas encore au sommet de son art (les personnages sont un peu figés dans les deux premiers tomes), mais il sait créer des ambiances. Les scénarios sont pas mals même s'il manque parfois un petit quelque chose. Mais le résultat est très sympa, avec une bonne interaction des personnages et dans un milieu intéressant : celui d'Hollywood pendant et un peu après la seconde guerre mondiale. Une chouette série qui aurait mérité de connaître une plus longue vie.
L'un de mes préférés de la série, avec plein d'humour et d'anecdotes passionantes.
Un album trop long à mon goût , même si c'est souvent juste, beaucoup de passages traînent en longueur. La scéne sous la tente glace le sang. Un bel album au final.
Pour la première fois (et pour l'instant l'unique fois), Berthet a pris les commandes tout seul d'un album entier. Il a écrit un scénario de thriller bien ficelé, dans un univers interessant (la culture navajo). Un bon album où Berthet s'en tire plutôt très bien pour un premier scénario. Et le dessin est toujours aussi chouette. A découvrir!
Fan de Pin-Up, c'est avec beaucoup d'attente mais aussi d'exigence que j'attendais cette nouvelle série. Yann et Berthet trompant Dottie avec Yoni? Ca intérêt d'être une bonne série! Moi qui m'y connais un peu en SF, j'étais assez impatient de voir comment Yann allait aborder l'anticipation. Evidemment le monde décrit est assez noir, mais toujours avec des touches d'humour, et la fameuse touche très documentée de Yann qui donne un côté très plausible à l'histoire et à l'univers décrit. Une série vraiment très intéressante, qui aurait mérité de se développer, et qui j'espère un jour reprendra. Et toujours le dessin somptueux de Berthet!
Cette histoire de sauvetage est efficace même si les personnages manquent un peu de relief (la faute à ces satanées 45 pages). Le dessin est très beau. Sobre, élégant, tout comme sa mise en couleur. Le singe électrique constitue une agréable lecture et commence parfaitement la série. Dommage que la suite ne soit pas du tout au niveau, à mon goût.
Pour moi cet album a été une découverte majeure. Le scénario intelligent et documenté de Yann sublimé par le dessin de Berthet. C'est magique. Et le personnage de Dottie qu'on voit évoluer tout au long de la série est l'un des plus beaux personages féminins de BD. La premièr série est à mon avis la meilleure (avec les sublimes couvertures des premières éditions), mais c'est vraiment une série a suivre depuis le début et à posséder dans son intégralité. C'est un tout indissociable. Tout au long de la série le dessin de Berthet prend de l'assurance et de la maturité en suivant l'évolution du personnage de Dottie. Les périodes historiques sont très bien retranscrites. Les clins d'oeil et l'humour de Yann font le reste.
Après un premier tome tout nerveux et passionant, voilà la suite des aventures de Capucin. Autant le dire, il n'y a plus de frein à la folie. L'histoire bien linéaire du premier tome laisse place ici à une bizarrerie foisonnante et fascinante, sans jamais rien perdre de sa force. On est tout retourné.
En deux tomes, cette série m'a mis une sacré paire de baffes.
Suite des premières aventures d'Aria qui se ballade de village en village en mettant son nez là où on lui demande rien pour lutter contre l'injustice et les méchants.
Les dessins n'ont pas encore atteint leur maturité et pour l'instant le destin d'Aria est encore obscur, mais c'est le début d'une série qui promet.
Un album romantique où Lapinot en amoureux transi, avec son noeud pap est trop attendrissant. Ca va à deux à l'heure avec plein de situations cocasses et de thé à la bergamotte. Un de mes petits coups de coeur.
Un sommet. Voilà une oeuvre phénoménale. La tragédie qui se noue entre les deux amis ,Testuo et Kaneda, est porté avec un sens du crescendo incroyable sur près d'un millier de pages. Sur fond de dévastation, Otomo nous fait vivre au plus près de ses personnages. Unique !
Une très bonne surprise. Le tout est guilleret. Les personnages sont attachants, on s'amuse avec ses petits strips absurdes. C'est sans compter la fin qui réserve une surprise de taille.
Martin est partie à Paris sous prétexte de ses études et vit au milieu des réfugiés allemands, il a retrouvé Katarina mais n'arrive toujours pas avancer dans sa relation avec elle.
Toujours cette ambiance aigre douce d'avant guerre en arrière plan des soucis de la vie quotidienne, on est toujours pris par cette histoire qui n'est pas très gai mais qu'on imagine être représentative de la vie de l'époque. En tout cas on a envie de lire la suite.
Chronique de la vie en Allemagne juste avant la 2ème guerre mondiale, l'ambiance est très bien rendu. Les amours contrariés du personnage principal nous touche même si on aimerait que l'histoire avance un peu plus vite.
Les dessins se Beuriot sont intéressants et illustrent bien l'histoire une fois qu'on est habitué.
le plus mauvais sin city à ce jour :
pas d'imagination , moche , ennuyeux , trop long
* point positif
c'est quand même du sin city
un passage aussi marrant que controversé lorsque le héros est shooté : faire un passage en couleur dans sin city c'est choquant et en même temps l'effet est fort.
* point négatif
#sur le dessin
- les contrastes noirs et blanc ne trouvent plus à s'appliquer : miller ne sait plus où mettre quoi.... On est trés loin des sparadrap de Marv , des immeubles qui écrasent la silhouette , des ondulations de l'eau sur le corps de la menteuse , de la tempete de neige sidérante de beauté de valeur familiale
- le style massif de Miller trouve ses limites : on a vraiment l'impression qu'il ne sait que dessiner des gros parpain (parpains de levres , de visage , de pied ,de main....)
le paralléle entre robin de "batman dk la reléve" en guépard et la tueuse inconnu en orange en léopard est flagrant ...
Du coup on a l'impression que Miller fait du Miller plutot qu'il ne traite son sujet.
# histoire : sans intêret
L'enfer en retour c'est un peu le 1er sin city en optimiste (ce qui déjà est une faute de gout) et en moins bien sur tous les plans
- on ne sent plus tout le pessimisme, tout le caractére pourri de la ville (au fond ils s'en tirent)
- le héros apparait sans asperité , sans défaut (marv était une brute sadique , harrigan un vertueux à la masse , dwight un raté sentimental ): c'est un héros du congrés , qui se bat comme un dieu , beau gosse qui emballe la fille à la fin ainsi que toutes les autres filles
l'histoire est un peu faible (une vague histoire de trafic de chair humaine et pouf notre héros déboule juste parce qu'une fille lui tombe dessus...)
Un ratage.
Ce dernier volume est mon préféré, il met en scéne nos amis et prend à partie le lecteur. Le propos est léger et humoristique et les planches sont toujours aussi réussies. Ce foutoir est plutôt bien agencé et met en scénes les combats de façon dynamique et drôle. j'ai vraiment envie après l'épilogue de poursuivre l'aventure en compagnie de nos larrons.
Une incroyable aventure graphique que cet album, doublée d'une réflexion passionante sur la création sous toutes ces formes. Il s'agit d'une oeuvre unique, fragile et intense dont on ne ressort pas indemne ! Un chez d'oeuvre !
Superbe reccueil de petites histoires ! Mélangeant amour et passion, ce tome est une vraie petite merveille ! On est littéralement pris d'affection pour les peronnages et leurs sentiments dès le début. Et bien que l'auteur soit encore un novice en la matière, il n'en reste pas moins génial. Attention, à ne pas mettre entre toutes les mains.
Non, je ne peux pas dire que c'est génial sous prétexte que c'est du Lewis Trondheim. J'aurai bien aimé. J'adore ce que fait Lewis Trondheim. J'adore les trucs absurdes. J'ai adoré la première histoire. J'aurai adoré aimer le reste. Biensûr, y a bien deux trois trucs avec le caca qui me font rire, un ou deux personnages touchants, une situation et demie.
Mais voilà, à la fin du machin, j'ai eu l'affreuse impression d'avoir perdu de l'argent (15 euros le machin), mon temps (heureusement ça se lit très vite) et ma bonne humeur.
La série de référence de tous les motards ! Très fort. Les personnages sont tous plus cinglés les uns que les autres. On retrouve toutes les clichés de nous autres flambeurs de motards qui se la racontons autour d'une bière. Excelent ! J'ai l'impression que l'on m'a carricaturé !
Encore une série fantasy... mais sans grande originalité. J'ai trouvé l'intrigue un peu molle. On ne sais pas trop qui est le héro de l'homme ou du dieu qui veut intervenir puis qui change d'avis. Pas emballé : je n'ai pas réussi à entrer dedans.
Le graphisme est joli et me poussera peut-être à voir la suite. A suivre.
Le premier tome était du genre efficace, dessin et scénario compris. Ici tout a une drôle d'odeur de vite fait et rien n'est vraiment marquant. Les personnages sont brossés à la vavite, l'histoire se déroule platement, ça manque d'enjeu et de tension (ce qui faisait le sel du premier tome), l'émotion y est totalement absente. Ian le héros a bien un secret mais à la fin des 45 pages, on se fiche complétement de le connaître. Au final, pour ma part, une horrible déception.
Original et beau. J'ai été agréablement surpris par cette BD. Le mélange des genres (histoire et fiction) est osé mais sympa. On attedn la suite avec une certaine impatience et le coup de crayon est superbe !
Très bon ! Les héros sont attachants, le méchant est.... bah... méchant comme il faut. Une épopée à travers un monde mystérieux et coloré plein de paysages et de créatures fantastiques (même si sur ce point, on a un peu l'impression que le but est d'en faire apparaître un maximum)
Les albums nous laissent toujours l'arrivée du suivant le plus rapidement possible. A lire pour tout les fans du genre.
Formidable ! Une série captivante, documentée et à l'intrigue passionnante. Les personnages sont nombreux, complexes et décrits à merveille. De plus, les albums sont pleins de références historiques. A lire absolument pour tout ceux qui sont fans de l'époque.
A posséder absolument. Le dessin et les couleurs de Lepage explosent à chaque case. A cet égard, l'incendie du village m'a laissé scotché quelques temps.
L'histoire prend une dimension et une ampleur que l'on ne soupconnait pas.
Bref, un chef d'oeuvre magistral à acquérir d'urgence
Meilleur album que les précédents, l'histoire devenant plus sombre. Si le dessin est toujours aussi beau, en revanche, on désespère que l'histoire avance plus rapidement.
Correct, sans plus.
Je trouve ces 4 tomes assez bon. On est vite aspiré dans l'intrigue mais je trouve que celle-ci se déroule un peu trop lentement parfois. Je trouve aussi qu'il n'y a pas une place suffisament importante pour la partie contemporaine de l'histoire. Ce problème se ressent surtout lors du dénouement ou on a l'impression cette fois que tout va trop vite.
Très bon album de la série(comme les précédents d'ailleurs). Les planches sont splendides. Le travail de Sorel est impressionnant otut au long de l'album. Un léger bémol : l'histoire elle-même, qui, bien qu'elle soit intéressante, ne fait que revenir sur des évèneents déjà passés.
Grand fan de la série télé, je suis un peu décu par cette adaptation. En effet, si on retrouve un peu de l'humour des personnages, le scénario, lui est baclé et la fin est parachutée.
Le scénario est complet, captivant et chaque album contient son juste lot d'intrigues et de rebondissements. Des personnages diverses aux parcours différents et croisés. Le tout est vous tient en haleine à la fin de chaque tome et j'attend avec impatience la suite de cette saga !
Alors la chapeau ! Cette série est magnifique. Le graphisme et les couleurs sont splendides. L'histoire dévoilée jusqu'à présent n'est certes pas une réélle nouveauté mais le dessin transporte tellement qu'il vaut à lui seul l'investissement. Une merveille pour les yeux.
Petite série très agréable. L'ambiance, le héro, le dessin. Un bémol cependant : l'équilibre des 3 tomes me semble un peu raté. Je trouve le 3° tome trop chargé en rebondissements par rapport aux 2 premiers.
Album sympa où Taranis fait la rencontre d'autres peuples de Gaule.
très drôle mais un peu lourd ! gtrdyyyyyyyyyyyyyhftudgtjhguyçikgydn,hg,
Très bel album où l'on retrouve notre héroine préférée au Japon ancestral.
Cet album est le début d'une des nombreuse aventures de l'aventurière (tome suivant : La pagode des brumes)
Album magnifique (tout comme la série !) où l'on peut voir que Gabriel Marpa a évolué dans la sagesse des moines tibétains et venge sa famille enfaisant subir le même sort à ses oncle et tante sa qu'ils ont fait souffrir.
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Vagabond Tome 24
De Takehiko Inoué
Après un tome 23 qui m’avait légèrement déçu, quel serait mon sentiment après la lecture du dernier tome paru. Plus qu’un jour avant le grand Duel- le suspense est à son comble !- face à la grande montagne, mais c’est au détour d’un songe de notre héros que l’auteur préfère nous livrer un moment choisi, un bout de réel, de la jeunesse de Miyamoto Musashi.
On le retrouve haut comme trois pommes à jouer dans la forêt faisant partie intégrante du monde des vivants en tant qu’interaction entre ses sensations, sa représentation, et les etres vivants qui l’entourent. On est loin du néant et du rien si présent lors du précédent tome. Une phrase, autrefois, l’avait sublimé : « ne faire qu’un avec l’univers », mais l’apparition et la rencontre, tout de suite après, avec Kojiro Sasaki rompt ce « vide » par le jeu d’Eros et de Thanatos qui, à l’inverse, force Miyamoto à une introspection rapide. Une analyse aucunement affligeante ou navrante qui le poussera à demander une forme de pardon heureux à son « moi » de jeunesse.D’une certaine manière, notre héros va à l’encontre de la vision et de l’idolatrie rampante qui jusqu’ici le poussait au meurtre, et surtout de l’archaisme qui en résultait.
Et c’est maintenant que l’on comprend le « détour » du tome 23, et du sens du discours ( ce qui m’avait légèrement déçu !, je le rappelle) de l’ancien forgeron.( autant pour moi !)
Tout cela pour en arriver au Duel face à Denshichiro, ou notre héros perpétue le jeu du bâton ( L’image de la couverture ou les 2 hommes dos à dos ont des sabres mais s’amusent chacun avec un bout de bois annonce un sens pratique et par-là meme une forme de cérémonie d’amitié ambivalente !) dans un environnement précis, ou l’auteur prend garde à ne pas réduire son titre à l’action pour l’action simpliste comme le pense la plupart des badauds amassés pour voir du sang et des morts violentes , ( ce qui est vrai, mais ce n’est qu’une interprétation !) mais bien tout un travail joueur, en continuité, instauré par Kojiro. Le fait que Miyamoto se pose la question de la manière de tuer son adversaire ritualise l’événement, et lui donne une profondeur relationnelle ambivalente, ambiguë, et diffuse qui désoriente.
La métamorphose de la rage hasardeuse en un sourire doux et distant ne fait qu’accroître le pouvoir et la puissance attractive du Duel. Au final, il est interessant de remarquer que le jeu mortel ne diffère pas du précédent jeu avec le morceau de bois qu’il soit sérieux ou non.
C’est en s’attardent sur l’alentour, et sur les errances en ville ou introspective que l’auteur Takehiko Inoue réussit un chef d’œuvre. Il ne réduit pas son titre à un simple présent cognitif paumé dans un plaisir rigide, mais il met en place une forme de culpabilité souple par rapport au « moi » de jeunesse qui influera sur la personnalité, et modulera, ainsi, par l’écoute la matière vivante en tant qu’amplitude qui prend forme. On se sent soulagé après avoir cru un instant que le titre s’enfermerait dans une vision archaique.
Bravo ! ! !
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Lorsque l'on ouvre cette BD on est d'abord saisi par l'impression générale qui s'en dégage : la beauté certes mais une beauté complexe et complète. Les dessins ressemblent à des tableaux avec un jeu subtil d'ombres et de lumières mis en page de très belle manière. les dialogues et le scénario sont captivants. Ce premier tome Hugues & Iris est une réussite et se lit comme un beau roman ... d'amour.
Très bel album où l'on retrouve les fabuleux dessins de Erssel et les textes originaux de Ferry. Ce tome 5 est, pour moi, l'un des meilleurs livres de la série.
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Genshiken
Club D’étude de la Culture visuelle moderne
De Kio shimoku
Le monde des Otakus version soft. On pourrait, si j’étais un Otaku, entrer dans de grandes envolées lyrique, ou faire un réquisitoire ( violent, évidemment !) contre tous ceux qui ne comprennent pas cette culture, et la considère injustement comme de la « sous-culture »
( terme à la fin du bouquin !). Et pourtant il faut bien avouer que l’auteur réussit à rendre touchante sa joyeuse petite troupe de tete en l’air.
Le problème( encore faut-il voir la vie comme un problème !)que l’on rencontre à la lecture de ce tome 1, c’est que finalement on en tire rien si ce n’est le « monde de l’Otaku » et ses errances que sont le Fanzinat, le Cosplay, le Comifest, les grandes joutes verbales lors de la sortie du dernier Anime/manga à la mode, Jeux vidéo…et la solitude qui en découle.
Bref mis à part quelques rituels d’intégrations différents en fonction des personnages dans le Club, de la manière d’assumer sa passion et soi-meme au sein d’un groupe
(Enfin, il faut dire que toute passion vit au travers des autres d’une manière positive ou négative, alors que dire de soi… !), il ne se passe pas grand chose.
Exceptée la jeune Saki Kasukabe qui a une vision très personnelle, en fait non pas tellement mais elle a du mal à comprendre que l’on puisse vivre d’une autre manière que la sienne.
Bon j’arrete là parce que je n’arrive pas à trouver un pole interessant à exploiter pour le titre, pourtant c’est loin d’etre raté.
Enfin, un petit mot sur la question de la « sous culture » et donc implicitement de la « sur culture ». Ca ne veut rien dire, évidemment, parce que l’on peut me jouer la 5 eme symphonie de Beethoven, celle ou le destin frappe à la porte, d’une manière correcte c’est-à-dire sans fausse note, et ce sans émotion. Non pas que je place l’émotion au dessus de tout parce qu’il y a des œuvres qui sont des stéréotypes d’émotions impossible à lire, ou à voir, mais bien parce qu’elle provoque le doute de l’émotion, ou de la sensibilité. Il ne s’agit pas, non plus, de tomber dans un torrent de 40 jours, ou dans la justesse comme on l’entend de temps à autre, mais bien dans une forme de force du doute.
Pour conclure les chroniques quotidiennes de nos Otakus en puissance se révèlent rafraîchissantes et réellement plaisante à lire, mettant en avant un mode de vie, rythmé par les envies, et les affres de nos héros.( Lequel ne l’est pas… !)
En d’autres termes, et meme si vous n’etes pas un Otaku comme moi, Genshiken est bizarrement une très bonne lecture.
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Quelle mauvaise surprise que cet album ! Quel insupportable conglomérat d'affabulations serviles ! Quelle falsification de l'histoire !
Quel ramassis de platitudes et de contre-vérités, de propagande tendancieuse et éhontée !
Décidemment, tout est bon aujourd'hui, y compris la bande dessinée, pour se jeter à corps perdu dans l'obséquiosité. La mystification de lecteurs, peu avertis, est assurée. Mais aussi, combien de lecteurs perdus pour cette série devenue à mes yeux détestable.
L'histoire est loin d'être mauvaise, même si je l'ai trouvée un peu trop classique. En particulier, j'ai apprécié la façon dont V. Pérez a intégré et utilisé les créatures peuplant les légendes celtico-bretonnes. Son approche de cet univers est plutôt intéressante. Quant au splendide dessin de T. Oger, il embellit vraiment l'histoire.
Un volume en demi-teinte et qui souffre de la narration traînant trop longueur de l'auteur.
Ceux qui trouvaient la 2ème partie du tome 5 "crade" et "gore" pourront en dire autant de la première moitié de celui-ci.
La scène entre Yukari et Nakoshi se poursuit avec force sang, coups et violence. Leur expérience commune semble pourtant libérer la jeune fille. Le reste du manga montre Nakoshi déterminé à affronter son passé et s'évère, de fait, plus intéressante (et moins destabilisante).
La photo prise par l'agence Search met en péril aussi bien Blast que Trapnest. Mais Takumi parvient à résoudre la question en donnant au magasine un autre sujet de commérage. L'affaire affecte tout le monde, à commencer par Nana et Reira.
On suit donc encore les amours des uns et des autres, comme dans les tomes précédents, mais l'explosion qui aurait pu avoir lieu ne vient pas. Il semble que Nana accorde toujours sa confiance à Ren. Par ailleurs, Yasu met enfin de la distance entre lui et sa chanteuse et s'intéresse plus que jamais à Myu.
Maï/Misato revoit le groupe dont elle est fan, mais cette fois-ci en tant que manager : les retrouvailles donnent lieu à une fête. On suit également un peu l'autre Misato (la collégienne) et ses pas dans le club des fans de Blast, mais ça reste en arrière-plan.
Il semblerait donc que dans ce volume on s'éloigne une nouvelle fois des raisons qui ont amené Nana à partir. Le ton nostalgique évoque toujours ce départ et l'attente de son retour, mais les pistes sont de nouveau brouillées et il est difficile de deviner ce qui s'est passé.
Les toutes dernières pages qui nous transportent dans le futur (ou en tout cas, au moment où le récit est fait) nous donnent encore un petit aperçu de la vie de Hachiko. Un bon volume encore mais décidément, il y a de quoi se demander de plus en plus où l'auteur compte nous mener.
Après leur tournée en province, les membres de Blast sont revenus à Tokyo tandis que ceux de Trapnest partent enregistrer en Angleterre. Toujours aussi à cran, Nana parvient difficilement à discuter avec Ren de l'avenir de leur relation. Elle prend cependant plaisir à la soirée donnée pour ses fans de la 1ère heure et y rencontre la petite Misato Uehara, sélectionnée par Shion et son équipe. Rencontre que l'autre "Misato", devenue sa manager, redoute et dont elle s'ouvre à Myu qui transmet à Yasu. Parallèlement, Hachiko reçoit la visite du photographe Kurata qui a continué d'enquêter pour l'hebdomadaire Search sur la mère de Nana et en a retrouvé la trace.
Comme pour les 2-3 derniers tomes, les premières pages du volume 16 s'ouvrent sur ce qui se passe après les évènements qui nous sont racontés. Et là, on peut dire que la surprise est de taille. Le passage est vite passé mais il met en appétit et la suite rassassie plutôt bien.
Les longueurs précédentes axées sur l'évolution des relations amoureuses des uns et des autres sont quelque peu mises de côté et l'histoire se concentre surtout sur l'enquête menée par Kurata à propos des origines de Nana, sur ce qui en ressort (et auquel on pouvait s'attendre étant donné que des pistes bien visibles étaient déjà posées). Hachiko revient dans l'histoire, ou plutôt dans ce qui pourrait avoir des conséquences sur l'avenir de Nana, alors que celle-ci se rend compte qu'elle ne sait rien de la vie que mène son amie. "Misato" prend également de l'importance par ce qu'elle sait et dissimule encore. Bref, ce côté-ci de l'intrigue se développe et prend de l'épaisseur et on peut s'attendre à quelques remous pour bientôt. Le volume se termine sur 52 pages de bonus sur Nobu.
Un meilleur volume que le précédent.
Les albums de Jean-Claude Servais sont empreints d'une nostalgie agréable
la fin de ce dyptique révèle son lot de secrets divers, mais montre une autre facette de Violette, un peu médium, mais toujours aussi fraiche et peut-être moins insouciante que dans les premiers albums N&B
C'est simple mais très bien fait
Album intermédiaire, qui donne des infos sur les origines de ce super agent de la CIA.
On peut le trouver un peu pauvre et bouche-trou par rapport aux autres albums de la série, mais le côté dossier compilant la vie des différents personnages est assez bluffant. Est-ce comme cela dans la vrai vie des services secrets ?
J’aime beaucoup la thématique et les personnages décalés.
Excellent sous réserve d’adhérer au style graphique de Sfar.
OK le dessin est sympa, mais l'intrigue n'est pas très prenante, voire un peu prétentieuse.
Les personnages ne sont pas assez développés pour être crédibles ou attachants.
Ca manque d’humour.
Je réserve mon jugement définitif pour le second tome.
Un peu déçu par ce tome 2, moins délirant que le premier, mais sympathique quand même
Poison Ivy est moins présente dans ce tome et son idylle avec Achab est mal partie
Elle est vraiment éxagérée, cette vie
BD décousue, histoire abracadabrantesque, dessin peu soigné : un bon Jérémiah ou un bois-Maury pour me redonner du beaume au coeur !!!
Une très bonne surprise qui semble malheureusement ne pas avoir trouvé son public (il y en avait trois en occasion "soldées" chez Gibert Joseph).
Je ne m'attendais pas à être aussi pris par cette histoire de journaliste looser qui enquête sur un type se faisant passer pour Elvis ressuscité. L'accent est mis d'avantage sur la passion Elvis et le fanatisme qu'elle génère que sur le King lui-même.
La succession des "interviews" peut avoir un côté un peu rébarbatif au bout d'un certain temps, mais le suspense reste entier jusqu'à la fin (c'est-y lui ou pas ?).
J'ai beaucoup apprécié le dessin, notamment au niveau des ambiances et des couleurs (qui à elles seules méritent une mention spéciale).
Chef d'oeuvre. Un avis tout personnel pour cet album qui n'a pas vraiment bien marché malgré un excellent scénario et le graphisme époustouflant d'un maître de la ligne claire (le regretté Arno).
Il est vrai que cette histoire entre fiction et réalité (à tel point qu'on a du mal à démêler le vrai du faux) peut dérouter d'un prime abord. L'action se situe dans des lieux et à une époque assez méconnus mais la lecture de Kriespiel (album d'accompagnement) ou mieux de Kriespiel "Le jeu de la guerre" (l'intégrale reprenant à la fois l'album et son complément) éclaire la vraissemblance du scénario.
Il faut lire Anton Six comme une sorte de polar historique qui n'est pas sans rappeler certains films d'espionnage des années 50/60 dont le genre est un peu passé de mode certes, mais qui se découvrent toujours avec délice au hasard d'une soirée télé sur quelques chaînes cablées.
Lors de leur promenade en barque, Kiyoko s'est déclaré à Sei, mais celui-ci préfère attendre pour lui donner une réponse.La jeune fille est perturbée et pense qu'il ne l'aime pas. Parallèlement, Tommy apprend avec stupeur qu'Akémi a disparu ; il contacte donc Yuki pour qu'il l'aide à la chercher. Quand il l'a retrouvée, Yuki décide de dire la vérité sur lui à Akémi: à savoir qu'il n'est pas une fille comme elle le croit. Mais elle est terrorisée et s'enfuit cette fois auprès de Tommy auquel elle demande de bien vouloir lui faire l'amour. De son côté Keiji continue de prendre soin de Sachiko dont la maigreur le préoccupe.
Ce tome est sous le signe de la tempête. Aucun des personnages n'y échappe, pas même le plus insouciant, Tommy. L'histoire se déroule sur un rythme assez rapide dans cet épisode et on sent ainsi qu'on approche d'un tournant décisif. L'accent est mis sur le mal-être d'Akémi qui est largement dévoilé même si les causes en restent assez mal (ou pas assez profondément) définies. L'anorexie de Sachiko est un autre point important et on s'attend aussi de ce côté à un clash qui tarde un peu à venir ; peut-être que les événements des dernières pages le déclencheront.
Un bon tome.
C'est le retour de la prise de tête dans les amours d'Hatusmi et Ryoki, en particulier pour Hatsumi (mais s'et-elle arrêté un instant de cogiter sur des riens ?) mais également pour Ryoki, chacun prenant conscience de la profondeur de ses sentiments pour l'autre et arrivant enfin à les reconnaître. Tout le récit se déroule dans un flottement de sentiments et de décisions prises ou pas prises au bon moment (c'est plutôt ça). Shinogu, là dedans, s'en tire assez bien, à mon sens, puisque non content de se déclarer, il bénéficie finalement des paroles influentes des parents d'Hatsumi et de celles d'Asuza. Son image de garçon "droit et pur" me paraît légèrement ternie dans ce tome.
Un bon volume dans l'ensemble.
June cherche toujours à s'enrichir et son parcours est parsemé d'embûches
Le cynisme du personnage est appréciable, mais ce tome est en dessous des autres, en laissant présager un tome 5 beaucoup plus riche ...
La vie de Catherine à Barcelone, chronique douce amère d'une femme qui cherche à donner un sens à sa vie en regardant vivre les autres. Le très beau graphisme de Goetzinger magnifie cette tranche de vie qui pourrait être le scénario d'un film d'Aldomovar.
je vous retranscris les impressions de ma fille de 13 ans car je n'ai pas lu les 5 tomes...
<< J'aime beaucoup les histoires et le dessin est sympa >>
Vu le plaisir qu'elle prend à lire cette série, je pense que les pré-ados doivent trouver ça pas mal en général.
Ceci dit, ses séries préférées restent Garfield et Boule et Bill très loin devant !
On rit par moment, par moment on trouve ça un peu idiot... Bref, pour passer 30mn (pas plus) quand on n'a rien à faire...
Comme les 5 premiers tomes, celui-ci se laisse lire mais ce n'est pas un chef d'oeuvre de la BD. Ceci dit, je ne pense pas que ça en ait l'ambition.
j'ai acheté et j'ai regretté... Il y avait surement moyen de faire nettement mieux avec cette idée. C'était pourtant alléchant comme scénario !!!
La fin arrive sans suspens, on s'attend à ce dénouement, le sort destiné à certains des 7 est baclé je trouve...
J'ai mis 5/10 car j'aime beaucoup le dessin par contre...
Le réveil d'un ptérodactyle sème l'émoi d
Histoire farfelue et tarabiscoté, dessins particuliers, malgré tout cela a un charme
désuet auquel on se laisse prendre.
Nos amis Rat et Taupe continuent leurs aventures accompagnés de Blaireau. Crapaud court au devant de nouvelles catastrophes. Cette histoire a le don de réchauffer le lecteur et les évènements de ce tome donne un peu d'ampleur à l'histoire... Vraiment excellent!
Très beau premier tome. Les personages sont attachants, les paysages magnifiques. Une vraie petite bouffée de bonheur!
Très bon début de cycle pour cette guerre des Sambre, on retrouve le style d'Yslaire dans la scénarisation, et un talent dingue chez ces deux jeunes dessinateurs. C'est entrainant, bluffant, surprenant, et magnfique. Au rang des indispensables.